Et voilà  comment on bousille le climat planétaire !
Ensuite l'homme sera accusé de  provoquer le désastre sur la planète !
Que ne ferait-on pas pour de l'argent  n'est-ce pas ?
Encore une technologie sûrement extraite du réseau Haarp ou des expériences faites au CERN en Suisse avec le LHC  !
Nous pouvons constater  que nous ne pouvons accéder à aucune page du site de la Sté  Météo Systems, ni à leur  vidéo de présentation qui se trouve en page d'accueil. 
Toutes les pages nécessitent une  identification hormis la page de contact. 
Le lien du site pour  faire un test par vous-mêmes :
 
The World 
is Running  Out of Fresh Water
http://www.meteo-systems.com/index.php
Encore un groupe  secret qui utilise des technologies secrètes que nous ne pouvons pas  vérifier.
Et une société domiciliée en Suisse en prime : un paradis  fiscal ! Pour faire vraiment la pluie et le beau temps !
  
Des ingénieurs suisses  font pleuvoir dans le désert
04/01/2011 | Mise à  jour : 21:56 
 

Un homme se baigne dans une piscine près d'Abu Dhabi, le 25 décembre  2010. Crédits photo : KARIM SAHIB/AFP 
Un projet secret financé par le  président des Emirats Arabes Unis aurait permis de faire tomber la pluie plus de  50 fois dans la région d'Abu Dhabi pendant l'été. A chaque fois, les services  météorologiques locaux ne prévoyaient pourtant ni nuages, ni  précipitations.
L'homme pourra-t-il un jour faire  tomber la pluie sur commande ? Les experts du climat en doutaient. Les  nombreuses expériences menées en ce sens se sont en effet toujours révélées  décevantes. Un projet secret étonnant, financé par le président des Emirats  Arabes Unis et révélé par le Sunday Times dimanche, pourrait toutefois changer cette donne. Dans la région d'Abu Dhabi,  réputée pour sa sécheresse estivale, des ingénieurs suisses auraient réussi à  faire tomber la pluie à une cinquantaine de reprises cet été.
Dans une vidéo confidentielle que  les journalistes du Sunday Times ont pu visionner, le président de la société  Meteo Systems International, Helmut Fluhrer, révèle être «en train de tester une  nouvelle technologie de déclenchement de pluie artificielle, Weathertec, dans la  région d'Al Ain à Abu Dhabi». «Nous avons démarré en juin 2010 et avons réussi à  faire pleuvoir à plusieurs reprises», soutient-il. Selon les mêmes journalistes,  des scientifiques allemands de l'Institut Max Planck de météorologie ont  participé à la surveillance du projet. Le respectable professeur Hartmut Grassl,  ancien directeur de l'institut, serait notamment impliqué.
 
Moins coûteux que le  dessalement de l'eau de mer
Plutôt que d'ensemencer des nuages  existants avec du chlorure d'argent, une méthode rudimentaire à l'efficacité  douteuse mais encore utilisée en Chine ou en Israël, les chercheurs ont mis en  place dans le désert des parasols métalliques d'une dizaine de mètres de haut capables  de charger l'air électriquement. Ces  derniers produisent des ions négatifs qui sont envoyés dans  l'air. Ces particules ont la propriété d'agréger les poussières  qui forment alors un support idéal à la condensation de l'eau naturellement  contenue dans l'air. La formation de plusieurs milliards de ces minuscules  gouttes pourrait alors donner un nuage, lui-même source de pluie. Le dispositif, allumé 74 fois en 112 jours - dès que la  saturation de l'air en eau dépassait 30% - aurait provoqué des chutes de pluie à  52 reprises. Le volume de ces précipitations n'est pas révélé. A  chaque fois, les services météorologiques locaux ne prévoyaient ni nuages, ni  précipitations. 
Le climatologue français Hervé Le  Treut affiche pour le moment un scepticisme prudent. «Peut-être que cette  nouvelle technique est un déclencheur très efficace mais cela reste difficile à  établir avec le peu d'informations dont on dispose sur le projet»,  explique-t-il. Et quand bien même le dispositif fonctionnerait, «cela ne règle  pas le problème de l'approvisionnement: il faut que la circulation atmosphérique  apporte naturellement de l'air humide de manière continue pour que l'on dispose  d'une véritable source d'eau». Ce qui n'est pas vraiment le cas dans la région. 
L'entreprise Meteo Systems semble  pourtant penser que son dispositif pourrait se substituer aux très coûteuses  usines de dessalement de l'eau de mer. D'après ses calculs, la production de 100  millions de mètres cubes d'eau douce coûterait seulement 7 millions d'euros par  an avec cette technologie, contre 53 millions d'euros pour une usine de  dessalement.
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