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17/05/2009

Hausse du niveau des océans

Hausse du niveau des océans : les estimations revues à la baisse

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La hausse du niveau de mer est un sujet inquiétant et de plus en plus d’actualité. Enfin, c’est ce que nous pensions jusqu’à maintenant. Attention, le problème est bien réel, mais, il se peut que nous ayons légèrement dramatisé. Une étude publiée aux Etats-Unis vient en effet de révéler que la fonte de la calotte glaciaire de l'Antarctique ferait monter le niveau des eaux océaniques de manière moins importante que tout ce qui était prévu.

D’après des chercheurs britanniques et néerlandais, si la calotte glaciaire disparaît totalement, l'élévation du niveau des océans serait de 3,2 mètres et non pas de cinq à sept mètres comme le prévoyaient d’autres études. Cependant, les effets seront quand même dramatiques pour de nombreux pays et îles. Une autre étude avait annoncé qu’une augmentation d’un seul mètre suffirait pour « affecter le champ de gravité terrestre dans l'hémisphère sud et modifier la rotation de la planète ».

Un changement de rotation de la Terre impliquerait une accumulation de l'eau océanique dans l'hémisphère nord. Cela aurait pour conséquence des différences importantes dans le niveau des différents océans. Dans ce cas là, la côte Est des Etats-Unis connaîtrait les élévations les plus importantes. « Même si la calotte glaciaire de l'Ouest Antarctique ne contribuait qu'à une élévation d'un mètre du niveau des océans étalée sur de nombreuses années, le niveau des mers le long des côtes nord-américaines connaîtrait une élévation 25% supérieure à la moyenne », a expliqué le principal auteur de la recherche, Jonathan Bamber.

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Source : http://www.developpementdurable.com/environnement/2009/05/A1722/hausse-du-niveau-des-oceans-les-estimations-revues-a-la-baisse.html

24/04/2009

La Guadeloupe menacée par un tsunami dû à l'effondrement d'un volcan, selon une étude

 PARIS : La Guadeloupe menacée par un tsunami dû à l'effondrement d'un volcan, selon une étude

Par AFP, publié le 21/04/2009 à 18:17 - mis à jour le 22/04/2009 à 00:33

PARIS - L'effondrement d'un volcan sur l'île de la Dominique dans les Caraïbes provoquerait un tsunami qui atteindrait en quelques minutes les côtes densément peuplées de la Guadeloupe située à proximité, selon une étude publiée mardi.

 Carte de la Guadeloupe, où des scientifiques craignent un tsunami

AFP - Carte de la Guadeloupe, où des scientifiques craignent un tsunami

"La question n'est pas de savoir 'si' ce glissement de terrain et ce tsunami vont se produire mais 'quand'", écrit Richard Teeuw, géologue de l'université britannique de Portsmouth, auteur principal de cette étude.

"Le déclic sera probablement un tremblement de terre majeur, intervenant après les pluies diluviennes et l'érosion dues à la saison des ouragans. Cela pourrait se produire dans une centaine d'années ou ça pourrait arriver la semaine prochaine", poursuit-il dans cette étude publiée dans la lettre d'information de l'American Geophysical Union.

Un morceau de rocher d'un million de tonnes pourrait se détacher de ce volcan, le Pic du diable, basculer dans l'océan et provoquer un tsunami avec des vagues de trois mètres, selon les calculs des géologues.

Ce glissement de terrain affaiblirait un autre amoncellement de roches, de quelque trois millions de tonnes, provoquant des vagues encore plus importantes, jusqu'à cinq mètres.

Un tel événement causerait d'importants dégâts et ferait également des victimes, selon cette étude.

Photo aérienne prise le 14 Avril 2007 des falaises situées au nord-est de l'île de Marie-Galante dans les Antilles Françaises

AFP/Archives/Marcel Mochet
Photo aérienne prise le 14 Avril 2007 des falaises situées au nord-est de l'île de Marie-Galante dans les Antilles Françaises

Les 30.000 habitants et touristes se trouvant sur la côte de la Guadeloupe, à une cinquantaine de kms au nord de la Dominique, n'auraient pratiquement pas le temps d'aller se réfugier sur les hauteurs, estiment les auteurs.

Beaucoup de plages de la Guadeloupe sont "larges avec de faibles inclinaisons" dans la mer, une situation qui les rend particulièrement vulnérables aux tsunamis, souligne Richard Teeuw.

"Cette partie du monde est bien préparée aux risques dus aux ouragans mais est relativement démunie face à l'impact rapide d'un tsunami", ajoute-t-il.

Certains endroits ne sont même pas protégés par des récifs de coraux susceptibles d'absorber une partie de l'énergie des vagues d'un tsunami.

La formation de rochers du pic du diable est instable depuis un premier effondrement survenu il y a plusieurs milliers d'années, d'autant que l'érosion a rongé les falaises sous le volcan.

Les géologues ont interprété cette situation en étudiant des images en trois dimensions de Google Earth faisant clairement apparaître des failles dans le rocher.

07/04/2009

Nibiru : Les dernières photos du 7 avril 2009 à partir des Alpes-Maritimes

Retransmission d'un message émanant des Alpes-Maritimes

J'ai rêvé ou il s'agit bien de Nibiru et de son orbitre très elliptique ?
Photos prises le mardi 7 avril 2009 à partir des Alpes-Maritimes


Bonjour à toutes et à tous,
 
Depuis hier je voulais en avoir le cœur net en tentant de photographier le Soleil pour voir si Nibiru était bien visible.
Hier je me suis loupée car le ciel était nuageux autour du Soleil.
Ce matin, temps splendide sur les Alpes-Maritimes, ciel clair et le soleil splendide à souhaits.
J'ai voulu donc le photographier et voici les résultats des photos prises ce matin, le mardi 7 avril 2009.
En fait, il ne faut pas photographier le soleil directement, mais photographier à côté.
Compte tenu de son orbite très elliptique par rapport au Soleil, elle est visible dans ce que je pense être la progression de son orbite.
La nuit elle est rouge orangé et le jour elle apparaît comme un point lumineux au lever et au coucher du soleil.
 
Votre avis : J'ai rêvé ou pas ?
Les photos en pièces jointes et un lien de vidéo qui indique la progression de son orbite.
 
Comparaison
Latest Photos of Nibiru planet X
 
D'autres moyens de comparaison
 
 
Amicalement
Mirella
 
 
Première photo
Vous voyez quoi à gauche du Soleil. Ce point lumineux ?
Nibiru1.jpg
 
 
Deuxième photo
Le point lumineux se déplace progressivement vers la gauche du soleil

Nibiru2.jpg

Troisième photo
Le point lumineux continue à se déplacer vers l'arbre

Nibiru3.jpg

Quatrième photo
Le point lumineux continue à se déplacer vers l'arbre

Nibiru4.jpg

Cinquième photo
Le point lumineux disparaît derrière la branche de l'arbre
mais il est encore visible au travers du feuillage
Nibiru5.jpg
Sixième photo
Le point lumineux a disparu derrière l'arbre
Nibiru6.jpg
 
 

24/01/2009

Anciennes civilisations : Caral, une prodigieuse civilisation anéantie et oubliée

Par Jean Etienne, Futura-Sciences

Une des plus anciennes, mais aussi des plus imposantes civilisations d’Amérique, a disparu brutalement il y a 3.600 ans. Pourquoi ? A cause des effets conjugués d'un tremblement de terre et de El Niño, affirment des scientifiques.

Puisant sa source au XXXe siècle avant J-C, la civilisation dite de Caral, aussi appelée de Norte Chico, est considérée comme la plus ancienne du continent américain. Etablie sur la côte Pacifique, au pied de la Cordillère des Andes, sur l'actuel Pérou, elle doit son nom à un site archéologique important situé à 180 kilomètres au nord de Lima. Postérieure à la civilisation de Sumer (4.000 à 3.000 av. JC), contemporaine de la construction des grandes pyramides d’Egypte, la civilisation de Caral précède les Olmèques (1.200 à 500 av. JC).

Sa principale caractéristique est certainement son architecture monumentale tout en relief, formée de plateaux surélevés et de places circulaires creuses. Parmi les constructions de la quarantaine de sites identifiés jusqu’à présent, les archéologues ont découvert divers instruments de musique, ainsi que plusieurs indices faisant penser que cette civilisation maîtrisait la fabrication du textile, des drogues, et peut-être même de différents aphrodisiaques. On n’y découvre cependant aucune trace de céramique ni de poteries, pas plus que d’œuvres d’art.

A l’instar de bien d'autres civilisations, Caral a construit des pyramides, qui se dressent sur une surface de 65.000 mètres carrés et dont la plus grande mesure à sa base 150 x 160 mètres pour une hauteur de 18 mètres, le sommet étant plat et recouvert d’un amphithéâtre dont les gradins peuvent contenir plusieurs centaines de personnes. La population, estimée à une dizaine de milliers de personnes, avait mis au point un vaste réseau d’irrigation et cultivait du coton ainsi que divers légumes et fruits, et vivait aussi du produit de la pêche.

Une civilisation anéantie en quelques générations

L’âge d’or de Caral a duré largement plus d’un millénaire, jusqu’aux environs du 18e siècle avant notre ère.  Il n'a pourtant fallu que quelques générations pour qu'elle disparaisse... Rien, sur le terrain, ne fait penser à un massacre ou à une quelconque violence de la part d’un peuple n’ayant apparemment jamais construit d’armes de guerre.

La solution de l’énigme vient peut-être d’être apportée grâce à une étude conduite par une équipe de recherche de l’université de Floride et de l’Institut des changements climatiques de l’université de Maine, récemment publiés dans les Annales de l’Académie américaine des Sciences (AAAS).

Pour Mike Mosseley, l’un des auteurs de cette étude, l’extinction de cette civilisation aurait été provoquée par l’action conjuguée d’un violent tremblement de terre et du phénomène météorologique El Niño. Selon le chercheur, Caral se situe à proximité de la zone de friction entre deux importantes plaques tectoniques, ce qui en fait une des zones les plus sismiques de la planète. Il y a environ 3.600 ans, un important séisme de magnitude 8 ou même plus a non seulement entraîné la destruction d’une bonne partie des constructions intégrées aux pyramides, mais a aussi déstabilisé la chaîne de montagnes qui domine la vallée, entraînant l’accumulation d’éboulis en contrebas.

A la suite de l'épisode El Niño, d’abondantes pluies saisonnières ont inondé les régions côtières du Pérou, lessivant les débris rocheux en les entraînant vers l’océan dont les marées les ont ensuite rejetés sur les côtes, formant ce qui est devenu aujourd’hui une grande crête de sable nommée Medio Mundo. Isolées, les baies ouvrant autrefois accès à la mer se sont ensablées, ruinant les systèmes d’irrigation et les vastes étendues agricoles faisant vivre toute la civilisation de Caral.

Privée de ses ressources, celle-ci s’est alors mise à décroître puis s’est complètement éteinte en l’espace de quelques générations. « La fin de cette civilisation pourrait servir de conte moral pour notre époque, notamment en ce qui concerne les effets du phénomène El Niño sur le climat », conclut Mike Mosseley.

Source : http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/homme/d/caral-un...

21/01/2009

Réchauffement cosmique : Les Signes d'un Changement !