16/03/2009
Pôles magnétiques terrestres : La Terre pourrait perdre le Nord magnétique
Que fait-on pour prévenir les populations ? Rien !!!!
Des variations importantes du champ magnétique, observées par des satellites dans certaines régions du globe, préfigurent peut-être une inversion des pôles. Ce phénomène s'est déjà produit plusieurs fois dans l'histoire de la planète.
Nous baignons tous dans le champ magnétique terrestre, sans nous en apercevoir.
Nous en prenons conscience essentiellement lorsque nous devons nous orienter à l'aide d'une boussole. C'est la manifestation la plus évidente de l'existence du magnétisme terrestre, qui existe depuis plus de 3 milliards d'années et qui est engendré, à 3 000 kilomètres sous nos pieds, par l'agitation du noyau de fer liquide de notre planète. Du fait de la présence de ce fer liquide (qui se transforme en une graine solide à partir de 5 000 km de profondeur), celle-ci se comporte comme un gigantesque aimant dont les lignes de champ sont actuellement bien organisées en un dipôle, avec un pôle nord et un pôle sud magnétiques orientés, peu ou prou, dans l'axe de rotation de la Terre.
Or une inversion, avant de se produire, est annoncée par une série d'étapes intermédiaires, qui se manifestent par des anomalies du champ magnétique. Ce sont peut-être de tels événements que vient de mettre en évidence l'équipe de l'IPG, dirigée par Gauthier Hulot.
Au terme de son étude, elle conclut que "le mécanisme mis en uvre dans les variations constatées pourrait être similaire à celui des inversions magnétiques". Sans toutefois pouvoir affirmer avec certitude qu'un tel phénomène est en préparation.
Les chercheurs - parmi lesquels Mioara Mandea, de l'IPGP, et Nils Olsen, de l'Institut de recherches spatiales danois de Copenhague - ont accumulé les indices. Ils ont observé l'évolution du champ magnétique terrestre depuis vingt ans, à partir des mesures prises par le satellite américain Magsat en 1980 et par le satellite danois Oersted (qui embarquait des instruments du CNES) en 2000.
Le magnétisme terrestre peut en effet être mesuré soit par des observatoires répartis à la surface du globe, soit par des satellites. Une telle observation est possible car le manteau entourant le noyau liquide de la Terre, formé de silicates, constitue un médiocre conducteur électrique par rapport au noyau et est donc "transparent" pour le champ magnétique.
Les scientifiques ont constaté des variations du champ magnétique dans quatre grandes régions du globe. La première, située sous l'océan Pacifique, dans l'hémisphère Nord, est sujette à un changement assez faible.
C'est aussi "l'endroit où le champ magnétique terrestre est le plus intense et le plus proche d'une structure dipolaire", constate Gauthier Hulot.
Les trois autres régions, en revanche, sont le siège de modifications beaucoup plus importantes. L'une d'elles se trouve dans l'hémisphère Sud, sous l'Afrique - dans cette zone, "le champ est moins intense et présente une structure beaucoup plus éloignée de la structure dipolaire"- et les deux autres sont situées aux pôles.
Ces variations sont en relation avec les mouvements circulaires, dans un sens et dans l'autre, qui agitent le fer liquide à la surface du noyau terrestre. L'observation directe de cette agitation étant impossible, les chercheurs ont eu recours à des simulations numériques reconstituant une Terre et un champ fictifs, à partir de modèles élaborés par l'Institut de géophysique et physique planétaire de Los Alamos (Nouveau-Mexique) et le département de sciences planétaires de l'université Johns Hopkins de Baltimore (Maryland).
Or ces simulations ne font pas apparaître la disparité constatée entre les deux hémisphères de la Terre, pour ce qui est de l'ampleur des variations récentes du champ magnétique.
Comment expliquer cette structure asymétrique ?
D'après les mesures effectuées par les observatoires magnétiques terrestres, dont certains
existent depuis trois siècles, l'importante variation notée dans la zone africaine semble être une caractéristique relativement jeune du champ magnétique terrestre. Et elle est liée "mathématiquement au fait que l'intensité du dipôle de la Terre a globalement diminué depuis deux mille ans", ajoute Gauthier Hulot.
"DES PÔLES UN PEU PARTOUT"
La structure dipolaire du champ magnétique terrestre s'affaiblit en effet et l'intensité du champ magnétique terrestre, après avoir connu un pic il y a 2 000 ans, a décru depuis de 20 % et continue de décroître de façon accélérée. Si ce processus continue à ce rythme, l'ensemble de la structure dipolaire est appelé à disparaître, avec pour conséquence "la disparition de la notion de pôle magnétique", prédisent les chercheurs. On trouverait alors sur notre planète "de nombreux pôles sud et des pôles nord un peu partout".
Tous ces indices sont-ils vraiment les signes précurseurs d'une inversion du champ magnétique terrestre ?
Les scientifiques restent prudents. Un argument pourrait plaider en faveur de la survenue d'un tel phénomène : il n'y a pas eu d'inversion depuis 780 000 ans, alors que les études depaléomagnétisme indiquent que, depuis 10 millions d'années, les inversions arrivent statistiquement tous les 200 000 ans environ en moyenne. Dans une certaine mesure, "l'époque actuelle est inhabituellement stable et une inversion ne serait pas aberrante", estime Gauthier Hulot.
Mais d'autres arguments vont dans le sens contraire. L'intensité du champ magnétique terrestre, même si elle est actuellement en décroissance rapide, reste néanmoins élevée par rapport à celle de périodes passées, et elle pourrait très bien s'inscrire à nouveau à la hausse. En outre, il arrive que le champ magnétique terrestre connaisse des "excursions", sortes d'inversions manquées qui n'arrivent pas à leur terme. Beaucoup d'observations et d'études seront encore nécessaires avant que l'on sache si la Terre est, ou non, en train de perdre la boule.
Un phénomène à fréquence variable
Les scientifiques supposaient, depuis le début du XXe siècle, que le champ magnétique de la Terre s'était inversé à plusieurs reprises au cours de son histoire. Mais cette hypothèse n'a pu être confirmée qu'avec la mise au point, dans les années 1960, de la méthode de datation isotopique potassium-argon utilisant des spectromètres de masse. Cette technique a permis de dater plusieurs coulées volcaniques vieilles de 4 millions d'années, puis d'établir la chronologie des inversions survenues pendant les 5 derniers millions d'années. On sait aujourd'hui que la fréquence moyenne de ce phénomène évolue considérablement dans le temps, avec de longues périodes calmes. Les recherches en paléomagnétisme ont aussi servi à mieux connaître la tectonique des plaques, grâce à l'étude du magnétisme ancien de roches de continents différents et de même période.
ARTICLE PARU DANS L'EDITION DU 25.04.02
Source primaire: http://www.lemonde.fr/article/0,5987,3244--272866-,00.html
Source secondaire: http://www.jacquesfortier.com/Zweb/JF/TerreCreuse/P%C3%B4lesInversion.html
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Science de la Terre : Le pôle magnétique terrestre est-il en train de s'inverser ?
Malgré son rôle fondamental pour le développement de la vie sur Terre, le magnétisme terrestre demeure très mal connu Crédits : Tracy -------------------------------------------------------------------------------- Le pôle Nord Magnétique de la Terre se déplace et s'affaibli. C'est l'une des conclusions de l'étude des anciennes coulées de lave, qui nous offre une meilleure compréhension de ce phénomène encore mal connu. L'origine du champ magnétique terrestre est déterminée. On ne sait pas bien comment ça marche mais on sait que le noyau incandescent de la terre y est pour quelque chose. Tous les astres de notre système solaires ne possèdent pas de champ magnétique, certain oui, dautres non. On sait aussi que le champ magnétique s'inverse périodiquement, la dernière fois c'était il y a 780 000 ans. Par contre les scientifiques se demandent toujours comment et pourquoi. De plus les conséquences d'un changement de polarité pourraient être dangereuses pour notre espèce, car il nous protège diverses radiations émanant du soleil et du cosmos. Une nouvelle étude vient apporter sa pierre à l'édifice de la compréhension du magnétisme terrestre, publiée le 26 septembre dans la revue Science. En particulier, le rôle du second champ est mis en évidence. Le champ magnétique terrestre se compose de sortes de demi cercles qui joignent un pole magnétique à un autre, ces pôles magnétiques sont dailleurs proches des pôles Nord et Sud traditionnels. Le second champ est donc le deuxième demi-cercle, en termes de taille. Il semble que son rôle lors d'inversion est déterminant. Brad Singer de l'université du Wisconsin, associé à l'expert en paléomagnétisme Kenneth Hoffman nous explique ce processus, à partir d'analyses effectuées en Allemagne. « Quand la coulée de lave est éjectée puis se refroidi dans le champ magnétique terrestre, elle conserve la mémoire du champ magnétique à cet instant » précise Singer. « Il est très difficile de détruire ceci dans une coulée de lave une fois que c'est formé. Vous avez alors une trace de la direction du paléochamp magnétique qui existait sur Terre ». Les chercheurs se sont focalisés sur les pierres qui datent d'époques d'inversement et qui peuvent donc témoigner de ce quil sest passé. Ils effectuent des prélèvements sur divers sites, remontant des millions d'années en arrière. Ainsi lors de périodes troubles liées au moment de linversion, il existait plusieurs zones magnétiques fortes. Singer illustre son propos : « Si vous étiez présent lors des éruptions qui marquèrent Tahiti par exemple, votre boussole ne montrerait ni le pôle Sud, ni le pôle Nord, mais l'Australie ». Les preuves s'accumulent pour suggérer que nous approchons l'un de ces états de transition, car le champ magnétique terrestre est faible et décroit rapidement. Les scientifiques essaient de prévoir son comportement futur. On s'attend à ce qu'il intervienne dans 1500 ans. Mais comme ce cycle n'est pas stable, les estimations sont à prendre avec des précautions. Nul ne sait vraiment quand il aura lieu. J.L Unisciences.com 01/10/2008 Source : http://www.unisciences.com/physique/news/fin_magnetisme.php2.php?id=248&page=2 | ||
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25/02/2009
Les portes interdimensionnelles planétaires
Les portes-interdimensionnelles sont des Merkabas. Elles existent comme une paire “Trou noir” (pour passer dans une dimension inférieure) - “Trou blanc” (pour passer dans une dimension supérieure) connecté au centre par un sceau fréquentiel.
En commencant par les Portes Planétaires (PP).
Pour Terre : la Porte 1 est située au Pôle Sud, à Halley et est reliée à la Porte Interdimensionnelle Galactique 1 (PG) située sur Mercure et à la Porte Interdimensionnelle Universelle 1 (PU) sur Theta-Orion (Terre Parallèle). elle permet aussi de rallier la “Terre Parallèle”.
La PP 2 est située à Sarasota, en Floride et est reliée à la PG 2 sur Vénus et à la PU 2 sur Epsilon-Eridanus. elle permet aussi de rallier la “Terre Intérieure”.
La PP 3 est située dans les Bermudes et est reliée à la PG 3 située sur Terre et à la PU 3 située sur Alpha-Centauri.
La PP 4 est située sous la Pyramide de Gizeh (cf. le message sur les Pyramides) à la PG 4 sur Mars et à la PU 4 sur le Soleil.
PP 5 : Machu Picchu au Pérou - PG 5 : Ceinture d’astéroïdes (Maldak). PU 5 : Alcyone-Pléiades-Tara.
PP 6 : à côté de Moscou. PG 6 : Jupiter. PU 6 : Sirius B-Procyon.
PP 7 : Lac Titicaca au Pérou. PG 7 : Saturn. PU 7 : Arcturus-Omega Centauri.
PP 8 : Xian en Chine. PG 8 : Uranus. PU 8 : Orion-Mintake-Gaïa.
PP 9 : Bam Tso Heiho au Tibet. PG 9 : Neptune. PU 9 : Andromède Mirach.
PP 10 : Abadan en Iran. PG 10 : Pluton. PU 10 : Lyre-Véga.
PP 11 : Pewsey en Angleterre. PG 11 : Nibiru. PU 11 : Lyre-Aveyon.
PP 12 : Montsegur en France, haut lieu des cathares…
PG 12 : Soleil. PU 12 : Lyre-Aramatena.
Toutes ces informations sont confirmées par les annales akashiques.
Les portes interdimensionnelles planétaires
http://www.dailymotion.com/video/x3hk5z_portes-interdimen...
Voir les autres vidéos ici : http://area51blog.wordpress.com/2009/01/27/portes-interdimensionnelles-planetaires/#more-1785
01:08 Publié dans Anciennes Civilisations, Les Mayas et 2011/2012, Apocalyse - Révélation, Ascension du Système solaire, Cosmos, Météorites, Comètes, Eruptions Solaires,, Espace, Laniakea, Grand Attracteur, Les Alliés de l'Humanité | Lien permanent | | del.icio.us | | Imprimer | Digg | Facebook | | |
Nibiru, les Sumériens et les Annunakis
Les Sumériens racontent l’existence de la planète il y a plus de 6000 ans….Cette planète non observable aurait une orbite de 3600 ans et serait habitée par des êtres appelés Annunakis. Ce mythe remonte à l’antiquité et aux écritures Sumériennes gravées dans la pierre.
TRACES DE LA PLANETE X DANS LE PASSE
Des textes sumériens (Irak actuel) datant de 6.000 ans indiquent que par le passé, la Terre fut heurtée par une grande planète (Nibiru) qui est entrée dans son orbite. C’est aussi la version trouvée dans l’ancien testament. Ils décrivent cette planète comme une pierre angulaire de notre système solaire sans laquelle aucune autre étoile ne pourrait suivre son cours. Cette planète mythique a reçu différents noms à travers les âges : -Nibiru ou la 12ème planète, pour les Sumériens (traduit aussi en planète du dépassement ou du croisement). -Marduk (Mardouk) pour les Mésopotamiens et les Babyloniens (ce qui signifie « grand Astre du Ciel » ou « Roi des Cieux »). -Winged globe (globe ailé) par les Hébreux anciens, en raison de sa logue orbite. -Nemesis chez les Grecs. -Hercobulus pour les Incas. -les Égyptiens et les anciens Hébreux la représentaient sous la forme d’un disque ailé à cause de son immense orbite elliptique en forme d’ailes déployées. -Les Prophètes l’ont rebaptisée Étoile Rouge ou Croix de la Destinée, ainsi que Messager Ardent et Comète de la Fatalité.
Dans l’Antiquité, seulement cinq planètes de notre système solaire étaient connues des astronomes : Mercure, Vénus, Mars, Jupiter, Saturne, qui avec le Soleil et la Lune étaient les seuls corps errants dans la sphère des étoiles fixes et ont ainsi donné leur nom aux jours de la semaine. Depuis le 16ème siècle jusqu’à nos jours une pléthore d’objets est venue peupler le système solaire connu et le nombre de planètes est désormais porté à neuf depuis la découverte de Pluton en 1930. En 1978, 2 astronomes de l’observatoire de la Marine US à Washington, R. Harrington et T. Van Flanders établirent que les orbites de Neptune et Uranus avaient subi des perturbations venant de l’attraction gravitationnelle d’un mystérieux corps céleste non identifié et qui fut appelé la planète X pour traduire à la fois son caractère énigmatique et le rang de planète qu’elle occuperait au sein du système solaire. L’existence d’une planète au-delà de l’orbite de Pluton a été avancée pour rendre compte des perturbations observées sur le mouvement d’Uranus et Neptune, perturbations que la présence de Pluton seule n’arrivait pas à expliquer. Cette mystérieuse planète avait précédemment éjecté Pluton et Charon de leurs anciennes positions (comme satellites de Neptune). Selon ces deux astronomes, la planète X était une intruse que le soleil aurait piégé dans une orbite très excentrique, très inclinée sur l’écliptique. Cette planète serait bien plus grosse que la terre. En janvier 1981, un astronome de l’Observatoire National des Etats-Unis déclara que, pour la première fois, des irrégularités avaient été constatées dans l’orbite de Pluton, ce qui pouvait laisser supposer qu’il existait une interférence provoquée par la présence d’une autre planète au sein de notre système solaire. En fait, les astronomes sont pour la plupart convaincus qu’il existe réellement une planète supplémentaire dans notre système solaire, raison pour laquelle elle fut appelée la planète X..
Même la NASA en 1982 va reconnaître l’existence possible de la planète X. Puis, en 1983, le satellite Iras repère dans l’espace lointain un objet mystérieux, ainsi que le rapporte le 30 décembre 83 le Washington Post après avoir interviewé le responsable de l’Iras qui déclare “un corps céleste, peut-être aussi gros que la planète Jupiter et peut-être orienté vers la terre au point de faire partie du système solaire, a été découvert dans la direction de la constellation d’Orion par un télescope en orbite… nous ne savons pas ce que c’est”. Le télescope à infrarouge embarqué à bord d’un satellite américain dans le cadre du programme IRAS identifia formellement l’existence de cette planète, baptisée « Planète X » par les chercheurs de la NASA. Dans les années qui suivirent, on fut plus discret, mais les recherches continuèrent indiquant que X. devait avoir une orbite inclinée de 30 degrés sur l’écliptique, qu’elle devait se trouver trois fois plus loin du soleil que Pluton et avoir 3 à 4 fois la masse de la terre. En 1987, la NASA reconnaît officiellement l’existence de cette planète, ainsi que le rapporte Newsweek du 13/7/87. Nibiru existe donc bel et bien. Elle décrit effectivement une large orbite elliptique autour du Soleil (plus proche de celle d’une comète que de celle des autres planètes de notre système) et revient à proximité de la Terre tous les 3600 ans, comme Sitchin l’avait pressenti. Son orbite va dans le sens contraire de celui des autres planètes de notre système. Elle est actuellement cachée par la barre d’astéroïdes qui se trouvent entre Mars et Jupiter. C’est pour cette raison qu’elle a été découverte aussi tardivement.
PROPHETIE DES HOPIES
Chez les indiens Hopis d'Amérique du Nord, l'une d'elles dit ceci : “Un jour certaines étoiles viendront ensemble en une seule rangée, comme cela s'est déjà produit il y a des milliers d'années. C'est le temps de purification pour la Terre. Des changements de climat et de nombreuses catastrophes peuvent se produire quand nous parviendrons à ce stade. Ce qui peut se produire alors personne ne peut le savoir réellement”. Des ” étoiles en une seule rangée ” ? Voilà un élément qui évoque l'alignement de toutes les planètes prévu le 21 décembre 2012. D'après cette prophétie, outre d'immenses dégâts et pertes en vies humaines, ce serait le début d'une nouvelle ère glaciaire. Les prophéties des Hopis auraient été communiquées à leurs prophètes par le Créateur lui-même. Elles peuvent ou ne peuvent pas se concrétiser. Il s'agit donc davantage de probabilités modifiables selon la volonté du Créateur ou des hommes, d'après ce que prétendent les Hopis qui les ont faites. Celles qui se sont réalisées sont tellement impressionnantes que le livre des prophéties des Hopis (Hotevilla) a été traduit en Français par l'Unesco.
PROPHETIE MAYA
Les prophéties des Mayas sont en gros identiques à celles des Hopis. Elles indiquent que nous sommes parvenus à la fin d'un dernier cycle d'existence pour nos civilisations. Les dates données de ce cycle correspondent pour le début au 12 août 3114 avant J. C. et au 21 décembre 2012 pour la fin. A ce moment-là notre planète est censée enregistrer de très violents séismes terriblement dévastateurs.
DOC PROPOSANT UNE THEORIE INTERESSANTE
Sumer, Nibiru, Annunakis
00:53 Publié dans Ascension du Système solaire, Nibiru - Planète X ou Nemesis, Elenin, Nibiru et les ANNUNAKIS | Lien permanent | | del.icio.us | | Imprimer | Digg | Facebook | | |
Sumer, Nibiru, Annunakis
00:46 Publié dans Ascension du Système solaire, Nibiru - Planète X ou Nemesis, Elenin, Nibiru et les ANNUNAKIS | Lien permanent | | del.icio.us | | Imprimer | Digg | Facebook | | |