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04/11/2014

Russie, RIA NOVOSTI, en panne d'informations ? Que se passe-t-il en Russie depuis les élections dans les régions séparatistes pro-russes?

Juste une constatation qui nous amène à nous interroger sur ce qui passe en Russie depuis les élections du week-end dernier dans les régions séparatistes pro-russes.

En effet, nous avons remarqué dans la Rubrique Actualités Internationales du site d'information RIA NOVOSTI, que le dernier article date du 3/11/2014 à 16 : 09, intitulé : Donbass/élections: Moscou espère que l'UE ne durcira pas les sanctions à son encontre, plus aucun article n'est paru dans cette rubrique qui est riche habituellement.

Dans la rubrique Russie, nous avons toujours cet article qui a été publié le 3/11/2014 à 18:15. Tourisme en Russie: les Asiatiques remplacent les Américains et les Européens

Pourtant ce n'est pas l'actualité qui manque sur le site la Voix de la Russie qui n'a pas cessé de mettre des articles en ligne, sans discontinuer. Comme ceux-ci par exemple :

 

* Incendie à bord du navire anti-sous-marins Kertch

* La Russie place sous sa responsabilité les sites nucléaires de Crimée

* Les exercices de l'OTAN à grande échelle commencent en Lituanie

Le commandant de l'OTAN en Europe évoque à nouveau de l'activité croissante des forces aériennes russes

Par La Voix de la Russie | Le commandant en chef des forces de l'OTAN en Europe, le général américain Philip Breedlove a évoqué à nouveau de la croissance de l’activité des forces aériennes russes, en soulignant que l’aviation russe utiliserait des systèmes de combat plus complexes, un nombre d’appareils plus important que d’habitude, leur permettant de voler plus près du territoire de l’alliance.

Le ministère russe de la Défense avait déjà affirmé à plusieurs reprises que tous les vols d’avions des forces aériennes de Russie ont toujours été réalisés et sont toujours réalisés en stricte conformité avec les réglementations internationales sur l'utilisation de l'espace aérien au-dessus des eaux neutres, sans violer les frontières des autres États.

La Russie s'attend à des attaques apparemment et elle se prépare depuis quelques temps déjà.

* « Des groupes armés attendent la commande pour commencer la déstabilisation de la situation dans nos pays »

Hollande, Monsieur 3 % qui ne représente que lui-même, a appelé "LUI-MÊME", Poutine à ne pas reconnaître le vote séparatiste ! Ben voyons !

* VIDÉO - Ukraine: Hollande appelle Poutine à ne pas reconnaître le vote séparatiste

 
 
Quand tous ces criminels ne seront plus au pouvoir, le terrorisme sera éradiqué faute de financement des BANKSTERS et de leurs réseaux criminels internationaux.

* Benjamin Fulford : La Cabale est désespérée !


Poutine s'en fout, il continue sans relâche à apporter l'aide humanitaire à Donetsk et à Lougansk !


* L'aide humanitaire russe livrée à Donetsk et à Lougansk

* Un convoi d'aide humanitaire pour le Donbass a franchi la frontière de la Russie

Et bien sûr, les chiens de garde des Banksters continuent à menacer la Russie de durcir les sanctions. Quand ils auront compris que la Russie s'en fout, ce sera un grand jour. A moins que Poutine ne se décide à donner un grand coup de pied armée dans la fourmilière Nazie de Kiev !

* Donbass : les Etats-Unis menacent la Russie de durcir les sanctions

* Quelque chose ne tourne pas rond au sein de l'ONU !

* Le chef de l'Office des Nations Unies à Genève trouve dangereuse la tendance à négliger les lois

Et pendant ce temps en France, le ballet des drones continue sur les centrales nucléaires ! Mais tout va bien ! Encore le Netanahyu et sa clique criminelle nazie, CRIF y compris qui exercent leurs menaces et leurs pressions sur la France !

 

* Drones au dessus des centrales nucléaires : permis de tirer !

 Cela va finir par péter, amis !

 

31/10/2014

Deux drones ont de nouveau survolé des centrales nucléaires cette nuit

Au total ce sont 9 centrales nucléaires qui ont été survolées dont celle du Tricastin et toujours en pleine nuit ?


« Ces engins n’ont pas été neutralisés car ils ne représentaient pas de menace directe » qu'ils disent, en plus ils sont petits donc pas de souci à nous faire ! Dormez tranquilles braves gens !

On voit comment nous sommes protégés, hein ?
S'il n'y a pas de menace directe pourquoi déposer plainte ?
 
Et qui peut se permettre de venir provoquer sans risque de se faire démasquer ?
 
Et le colonel de l'armée de l'air qui s'y met aussi en nous certifiant que les engins sont de petite taille. Comme s'il fallait qu'ils soient de grosse taille pour être dangereux passant sur les centrales nucléaires volontairement !
 
Le colonel Jean-Pascal Breton, porte-parole de l’armée de l’air, a relativisé lors d’une conférence de presse jeudi la menace constituée par ces engins, soulignant qu’ils étaient de toute petite taille.
 
Un commentaire censé d'un internaute que nous avons relevé sous l'article :
 

"T'en fais pas baby, tout ça c'est pas grave" dit la chanson et nous disent EDF et nos autorités civiles et militaires. N'empêche que, même avec un petit drone de rien du tout, on peut se préparer à causer du tort et à faire des dégâts. Si on est dans l'incapacité de voir venir, de détecter un peu à l'avance et d'intercepter des petits drones, il en ira sans doute de même avec des drones un peu moins petits et capables de transporter quelque chose de nocif pour le site de l'une ou l'autre des nombreuses centrales que compte le pays. Alors, pendant que les autorités continuent à faire semblant que rien ne se passe devant le bon peuple des gogos, il ne serait peut-être pas mal venu que ces mêmes autorités se remuent aussi activement que discrètement pour mettre un terme à ce genre de menées. Il ne s'agit peut-être pas d'une attaque de terroristes ou d'écolos fanatiques du style Greenpeace en pire, mais il y a clairement des malfaisants qui tentent tout de même quelque chose et provoquent de manière pas innocente nos autorités. Alors, à quoi on joue ?

Deux drones ont de nouveau survolé des centrales nucléaires cette nuit

La centrale nucléaire Golfech, Tarn-et-Garonne, survolée drone nuit jeudi vendredi.

La centrale nucléaire de Golfech, dans le Tarn-et-Garonne, a été survolée par un drone dans la nuit de jeudi à vendredi. - AFP/Eric Cabanis.

Les engins ont volé au-dessus des centrales de Golfech et de Penly «  sans conséquences pour la sûreté des installations  », a précisé EDF.

Dans la nuit de jeudi à vendredi, des drones ont survolé deux nouvelles centrales nucléaires, en dépit des enquêtes ouvertes pas les autorités pour de précédentes incursions. Les engins ont survolé les centrales de Golfech (Tarn-et-Garonne) et de Penly (Seine-Maritime) « sans conséquences pour la sûreté des installations », ont précisé EDF et la gendarmerie, confirmant une information de la chaîne d’information en continu i>Télé.

«  Le survol de nuit de deux centrales par des engins de type drone a été détecté par les gendarmes chargés de la protection des centrales et par des employés », a déclaré un porte-parole de la gendarmerie. « Ces engins n’ont pas été neutralisés car ils ne représentaient pas de menace directe » pour la sécurité des installations, a-t-il assuré. Les incidents se sont tous deux produits vers 21H00, selon EDF. La société entend porter plainte, comme dans les cas précédents.

Entre le 5 et le 20 octobre dernier, des drones ont survolé sept centrales nucléaires (Creys-Malville, Blayais, Nogent-sur-Seine, Cattenom, Chooz, Gravelines et Bugey) et de sites du Commissariat à l’énergie atomique (CEA), sans aucune conséquence sur le fonctionnement des installations ni sur la sécurité, d’après EDF.

Lire aussi

Drones : EDF et l’Etat cherchent la riposte

L’ONG Greenpeace, qui avait fait voler en 2012 un drone au-dessus de La Hague et un paramoteur au Bugey, a démenti toute implication et dit s’inquiéter « de la survenue et de la répétition de ces survols suspects ».

Le gouvernement annoncé jeudi des mesures pour lutter contre.

Sur le plan institutionnel, ce nouvel épisode met en lumière les longs délais de renforcement de la sécurité des sites. L’Etat a fixé en 2009 aux exploitants nucléaires (EDF, Areva et le CEA) des « obligations de résultats face à des menaces de référence ». Certaines études sont en cours, alors que le renforcement des installations (moyens de détection, grillages, portes blindées...) doit normalement s’achever fin 2016 . EDF plaide de son côté depuis plusieurs années pour renforcer les sanctions pénales et la mise en cause des personnes morales en cas d’intrusion. Un texte a été préparé pour être adopté dans le cadre d’une ordonnance cet été, avant d’être retiré. Il pourrait être inclus dans un futur texte sur la sécurité intérieure.

Le colonel Jean-Pascal Breton, porte-parole de l’armée de l’air, a relativisé lors d’une conférence de presse jeudi la menace constituée par ces engins, soulignant qu’ils étaient de toute petite taille.

 
 
 
 
 

 

France/drones: deux nouvelles centrales nucléaires survolées

Encore une fois, le Gouvernement, l'armée et EDF nous prennent pour des imbéciles !

Bizarre que ces incidents arrivent depuis que les 4 groupes énergétiques sont passés aux mains des sionistes, notamment depuis le décès du PDG de Total ! Ils ont donc les mains libres sur tout !

Avec la mort de Christophe de Margerie, ce sont 4 groupes énergétiques français qui ont été décapités la même semaine

Une chose est sûre, nous avons la preuve flagrante que les centrales nucléaires sont vulnérables et violables et que nous ne sommes pas protégés contre les actes de malveillance des psychopathes qui nous gouvernent et de leurs alliés maléfiques.

Ils ont l'occasion de descendre ces drones mais ils ne le font pas, surtout en pleine période de déclenchement du plan Vigipirate ! Il y a de quoi se poser des questions, non ?

De 5 choses l'une :

1 - soit ils connaissent la provenance de ces drones et l'identité de ceux qui sont aux commandes et ils ne déposent pas plainte en faisant leur travail en douce, comme d'hab !

2 - soit ils ne connaissent pas la provenance de ces drones et l'identité de ceux qui sont aux commandes, et ils descendent ces drones pour pouvoir les identifier au cours de l'enquête qui doit ouverte après le dépôt de plainte par EDF,

3 - ils savent parfaitement ce qui se passe et laisse faire, et en cas d'incident ils sauteront sur le râble des "djihadistes" pour leur faire porter le chapeau d'une attaque terroriste nucléaire pratiquée sous fausse bannière !

4 - ils se servent de l'impact médiatique produit par le passage de ces drones sur les centrales nucléaires pour nous paralyser et mettre un frein aux revendications des français, en votant des lois encore plus liberticides,

5 - ils sont vraiment en train d'essayer de repérer les têtes nucléaires dissimulées par l'entité sioniste sous les réacteurs nucléaires comme l'indiquais le Site d'Islamic Intelligence ICI  !

France/drones: deux nouvelles centrales nucléaires survolées

15:21 31/10/2014

PARIS, 31 octobre - RIA Novosti

Deux nouveaux cas de survol de centrales nucléaires par des drones inconnus ont été constatés en France, rapportent vendredi les médias locaux.

 

Selon la chaîne BFM TV, les gendarmes ont aperçu "des aéronefs assimilables à des drones" dans la nuit de jeudi à vendredi au-dessus de deux centrales situées dans le Midi-Pyrénées et en Normandie.

 

"Les objets volants n'ont pas été neutralisés car il n'y avait pas de menace directe", explique le groupe Electricité de France (EDF) dans un communiqué cité par la chaîne.

 

Plus tôt dans la semaine, EDF a fait savoir que sept centrales nucléaires françaises avaient été survolées par des drones de provenance inconnue au cours du mois d'octobre. Le premier survol a été détecté le 5 octobre au-dessus de la centrale en déconstruction de Creys-Malville (est), tandis que les six autres ont eu lieu entre le 13 et le 20 octobre dans plusieurs régions du pays.

Suite à ces incidents, le groupe EDF a porté plainte.

En France, le survol des centrales nucléaires est interdit dans un périmètre de cinq kilomètres et de 1.000 mètres d'altitude autour des sites.

Sur le même sujet

 

Les laboratoires US de guerre biologique à l’origine de l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest (interview de Francis Boyle)

 

Est-il encore besoin de dire et d'écrire que les vaccins sont des armes biologiques qui portent atteinte au système immunitaire et neurologique, modifient notre ADN, nous affaiblissent, nous déciment ou nous handicapent et effacent notre mémoire pour nous empêcher de nous défendre contre notre prédateurs communs ?

"La maladie ne s'attrape pas", "elle se fabrique" par nos mauvaises habitudes alimentaires, notre mauvais positionnement mental, notre ignorance du fait biologique, nos addictions ou parce qu'elle est provoquée par des agents toxiques extérieurs qui sont injectés directement dans le sang.

 

Les laboratoires US de guerre biologique à l’origine de l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest (interview de Francis Boyle)

Voici la retranscription en français de l’interview récente du spécialiste en guerre biologique, Francis Boyle(*), auteur de plusieurs ouvrages sur le sujet des armes biologiques américaines, dont celui paru en français aux Editions Demi Lune "Guerre biologique et terrorisme".

L’enregistrement audio de cette émission se trouve ici : http://prn.fm/cant-happening-102214/

* * *

T R A N S C R I P T I O N

David Lindorff (du site ThisCantBeHappening) : Nous avons l’honneur d’accueillir sur notre antenne le juriste (lawyer) Francis Boyle, qui s’est distingué en portant plainte auprès d’un tribunal de Malaysie contre George W. Bush et Dick Cheney pour Crime contre l’humanité. Il va nous parler de l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest. Il a une opinion assez sinistre sur cette affaire. Francis, vous êtes là ?

Francis Boyle : Merci beaucoup David de m’avoir invité. Pour contextualiser cette conversation, je suis celui qui a écrit le brouillon de la loi anti-terroriste contre les armes biologiques (Biological weapons anti-terrorism act) en 1989. Les États-Unis ont mis en place cette loi au titre de la Convention sur les armes biologiques, qui a été votée à l’unanimité par les deux chambres du Congrès US et mise en application par George W. Bush, et vous pouvez lire tous les détails dans mon livre « Guerre biologique et terrorisme », tout y est documenté…

 

DL : D’accord. C’est évidemment un sujet que vous connaissez très bien, et j’ai lu une interview de vous par une chaine grecque, qui était assez surprenante, où vous dites que cette épidémie n’est pas ce qu’on dit, avec cette histoire de chauves-souris qui sont venues par les airs depuis le Zaïre, et qu’il s’agirait ici d’une variante de l’ « Ébola du Zaïre » ce qui est curieux, car le Zaïre est à plus de 3500 km de là. De quoi s’agit-il à votre avis ?

FB : Oui. Entre nous, toute cette histoire ne tient pas debout. Le gouvernement américain possède trois laboratoires BSL-4 (Bio Safety Lab niveau 4). Un en Guinée, un au Libéria, un en Sierra Leone, au coeur de l’épidémie en Afrique de l’Ouest. Et ces laboratoires BSL-4 font toutes sortes de  recherches plus effrayantes les unes que les autres sur les armes biologiques.

DL : Pourquoi sont-ils situés dans ces pays ?

FB : Parce que la Guinée n’a pas signé la Convention sur les Armes biologiques, le Libéria non plus. La Sierra Leone l’a signée, mais c’est une colonie britannique. J’avais d’ailleurs contesté dès 1988 le programme du Pentagone de recherche sur la Defense biologique (Biological Defense program) – et vous pouvez le lire dans mon livre, et leur avais demandé pourquoi ils conduisaient cette « double recherche », offensive et défensive, sur les armes biologiques au Libéria – qui à l’époque était une dictature militaire sous le joug du Capitaine Doe soutenu par la CIA – en contournant ainsi la Convention sur les armes biologiques. J’ai tout ici, dans un document du gouvernement US intitulé « Biological Defense program », et vous trouverez tout ça dans mon livre : le Center for Desease Control (CDC) menait des recherches dans le domaine biologique pour le Pentagone, en Sierra Leone, déjà en 1988, et probablement même avant ça, car il a fallu construire le laboratoire. De plus, la Columbia University menait aussi des travaux dans le domaine des armes biologiques (Bio warfare) pour le Pentagone, au Libéria, dès 1988. C’est celui que j’avais contesté en parlant de contournement des termes de la BWC (Bio-Weapons Convention, ou Convention sur les armes biologiques). Voyez-vous David, tout ceci n’est qu’une vaste opération de camouflage par le CDC. Ils sont plongés jusqu’au cou dans ces horribles travaux de recherche sur les armes biologiques depuis au moins 1988.

DL : Vous avez parlé de « double recherche », pouvez-vous préciser ?

FB : Bien, voilà ce qui se passe : pour pouvoir justifier ces travaux effrayants, si vous lisez les contrats, et j’ai pu en lire un avant que tout ne soit classifié, vous y lisez : "Il pourrait y avoir cette terrible forme de maladie émergente, et nous devons développer un vaccin pour cela. Et donc, nous allons commencer à travailler sur ce virus, il est possible que nous ayons à le modifier génétiquement et…"

DL : –    (l’interviewer a un rire nerveux)

FB : Non David, ne riez pas, j’ai lu ces documents…

DL : C’est un rire nerveux, c’est que je suis horrifié !

FB : …au début des années 1980, sous l’administration Reagan, au moment où j’ai pris connaissance de tout ça, « et par conséquent, nous devons le modifier génétiquement, ou faire une chose de ce genre, pour créer un vaccin et protéger tout le monde. » C’est ce qui était écrit, et ils font ça pour tous les virus : L’ébola, la fièvre hémorragique, etc…  Si vous ne me croyez pas, lisez l’édition du New York Times de vendredi dernier, où l’administration Obama a essayé d’enterrer tout ça au beau milieu du brouhaha des autres informations. Obama y dit : « Notre politique officielle est désormais d’arrêter ce type de recherche ». Ce qui revient à admettre qu’ils en faisaient.

DL : C’était vendredi dernier ?

FB : Oui, le New York Times de vendredi dernier. Cela revenait donc à admettre qu’ils en faisaient ce genre de recherches jusqu’à vendredi dernier au moins. Et si vous jetez un oeil sur la liste de ces recherches, le virus Evola n’y figure pas. Pourquoi ? Cela ne signifie pas qu’ils ne faisaient pas de « double recherche » sur l’Ebola. Toutes ces informations sont publiques. Si Ebola avait été sur la liste vendredi, les gens auraient demandé : mais que faisiez-vous avec ce virus Ebola ? Okay ? Cet article de vendredi dans le New York Times, c’est un peu le « Smoking Gun » [la preuve irréfutable - NdT], puisqu’Obama admet que les USA ont mené ce genre de recherches. Et en consultant la documentation, j’ai pu remonter jusqu’à l’administration Reagan, avec ces néoconservateurs qui sont arrivés au pouvoir et qui voulaient des armes biologiques. Et vous pouvez aussi lire le document du PNAC [Project for the New American Century, traduit en français ici] en 2000, ces mêmes néoconservateurs de l’ère Reagan qui écrivaient clairement vouloir développer des armes biologiques. Ils sont revenus au pouvoir avec Bush Junior, et ils ont poursuivi dans cette voie. Les néocons voulaient ces armes biologiques, et je pense que ça a vraiment commencé sous Reagan et ça a continué depuis. La deuxième administration Reagan l’a fait aussi, pas la première, mais 2e très certainement, sous l’influence de ce Richard J. Danzig qui est maintenant aux Conseils d’administration de ces sociétés "Big Pharma", et qui a établi des accords (bundle) en violation du Foreign Exchange (FX) and Governement Act.

DL : A-t-on la preuve que la souche du virus Ebola qui sévit en Afrique de l’Ouest a été génétiquement modifiée ?

FB : Laissez-moi vous dire ceci : toutes les précédentes épidémies d’Ebola en Afrique avaient été circonscrites, avec un taux de mortalité de 50%. Celle-ci n’est pas « contenue » et a un taux de mortalité de 70%. Cela me fait dire que nous avons affaire à un organisme génétiquement modifié, ou OGM. Nous savons que ce type de travaux était conduit à Fort Detrick. Il y a aussi ce Docteur Kawaoka  à l’University du Wisconsin de Madison, il a admis sur sa page Web avoir modifié génétiquement le virus Eola pour le rendre plus violent. Il a aussi ressuscité le virus de la grippe espagnole, pour le Pentagone.

DL : Doux Jésus…

FB : Il a aussi fait des recherches très poussées sur la grippe, y compris en modifiant génétiquement le virus H5N1, ce virus de la grippe si dangereux qui a sévi lors de l’épidémie du SRAS [SRAS -Syndrome respiratoire aigu sévère – NdT]. Et le tout était financé par le Pentagone ou bien le National Institute of Health (NIH), ou par le CDC. Ces travaux étaient si dangereux qu’il avait dû transférer son laboratoire du Wisconsin vers le Winnipeg au Canada. Mais peut-être que les Canadiens ont dit « allez-vous-en d’ici, on ne veut pas de vous ici, c’est trop dangereux pour nous », je ne sais pas. Ce que l’on sait, c’est que le laboratoire BSL-4 Kanema de l’Université de Tulane était impliqué. Nous savons qu’ils font ce type de recherches sur les armes biologiques depuis longtemps. [Le laboratoire US de] Fort Detrick était impliqué aussi. Ils sont connus également depuis longtemps pour conduire ce genre de recherches, y compris sur le virus Ebola. Les trois laboratoires que j’ai cités ont tous été mis en place par l’USAID, qui n’est rien d’autre qu’une organisation servant de couverture pour la CIA. Je suis juste en train d’essayer de relier tous ces points entre eux, sur la base des informations que j’ai pu récolter sur ces armes biologiques, depuis si longtemps, depuis mes études à l’université de droit à Harward, et je me suis intéressé professionnellement à la question, puisque j’ai été appelé à défendre le Council for Responsible Genetics au début des années 1980, dans leur Comité sur les armes biologiques, etc…

DL : Êtes-vous en train de suggérer que cette épidémie a été déclenchée délibérément, ou bien s’agit-il selon vous d’un accident, le virus leur aurait échappé sans qu’ils le veuillent ?

FB : Vous savez David, si vous allez sur le site Web du Ministère de la Santé de la Sierra Leone – c’est une information publique – ils ont fermé le BSL-4 de Kanema cet été et ont affirmé que c’était la source de l’épidémie Ebola, car Tulane et d’autres laboratoires administraient des vaccins aux gens.

DL : Vous voulez dire, au personnel des laboratoires ?

FB : Non, aux gens, aux Africains de l’Ouest. Sur une large échelle.

DL : Mais alors il y a un vaccin ?

FB : Ils disent que c’est un vaccin, mais ce dont il s’agit, c’est un virus Ebola vivant. Ils ont affaire à un virus Ebola vivant pour ce soi-disant vaccin.

DL : (rire nerveux du journaliste)

FB : De plus, nous savons que le NIH, a travaillé avec le CDC, depuis un certain temps pour combiner le virus vivant d’Ebola avec celui du « rhume commun ».

DL : Mon Dieu. Mais pourquoi font-ils ça ? Comment justifient-ils cela ?

FB : Mais pour développer un vaccin, David.

DL : C’est comme ça qu’ils l’expliquent ?

FB : Eh oui, c’est tout ce qu’ils peuvent dire. Et donc, si vous mettez ensemble le virus vivant d’Ebola avec celui du rhume, vous obtenez quelque chose qui est aussi contagieux que le rhume commun, mais pas autant que la grippe. Et ça pourrait bien être ce à quoi nous avons affaire ici. Ce vaccin, ou appelez-le comme vous voulez, avec l’Ebola vivant et le rhume commun, a été injecté à une vaste population en Sierra Leone, et peut-être au Libéria, et c’est cela l’origine de l’épidémie, mais ne me croyez pas sur parole et allez voir le site Web du Ministère de la Santé de la Sierra Leone, et vous verrez que c’est leur conclusion sur ce qui arrive aujourd’hui, et c’est pour cela qu’ils ont ordonné la fermeture du laboratoire américain BSL-4 cet été.

DL : Est-ce pour cela qu’ils sont contents que les Cubains soient venus, plutôt que de voir les Américains arriver ?

FB : Le problème c’est qu’aucun Américain ne veut y aller, parce qu’ils savent que les USA sont derrière tout ça. Si vous regardez ce qu’ils appellent le « projet d’aide », c’est le vide total. C’est simplement une vaste mise en scène pour faire croire qu’ils font quelque chose, alors qu’en réalité ils ne font pratiquement rien.

DL : Les USA n’ont d’ailleurs envoyé aucun médecin là-bas, seulement des soldats, n’est-ce pas ?

FB : Exact. Et la raison est claire. La semaine dernière il y avait une réunion à Kanema, en Sierra Leone, avec des représentants de toutes ces organisations gouvernementales internationales, et la décision a été prise d’abandonner ces gens  à leur sort. Pas de traitement…

DL : Oui j’ai lu ça, il faut juste les laisser se soigner eux-mêmes.

FB : Ils les renvoient à la maison avec du simple Tylénol (Doliprane). Ils sont désormais livrés à eux-mêmes, et ce à quoi nous assistons est seulement une mise en scène pour faire croire que les USA font quelque chose, alors qu’ils ne font rien. Les Cubains se sont montrés très héroïques vu la situation. L’organisation Médecins sans frontières est là aussi, et certaines ONG privées également. Mais toutes les organisations gouvernementales sont absentes, en fait elles n’ont jamais voulu s’en mêler, car elles ont réalisé que derrière l’épidémie, il y avait la recherche US sur les armes biologiques, et qu’il n’y avait pas grand-chose à faire, et que tout ce qui restait à faire c’était de laisser tout cela se consumer tout seul.

DL : Ce que vous dites est vraiment convaincant et me suggère deux choses. La première est la suivante : bien que le milieu de la médecine inclut beaucoup de gens très motivés sur le plan de l’aide humanitaire, pourquoi n’avons-nous eu aucun "whistle blower" (lanceur d’alerte) sur ce sujet ? Cela semble si scandaleux et dégoutant que quelqu’un aurait dû lancer l’alerte, non ?

FB : David, si vous regardez au cours de toutes ces années, et ces informations sont du domaine public, il y a environ 27 ou 28 microbiologistes qui sont morts.[1]

DL : Oui j’ai lu ça.

FB :  27 ou 28 microbiologistes morts. Je pense que ces chercheurs ont menacé de sonner l’alarme sur ces programmes aussi dangereux qu’illégaux de recherches américaines sur les armes biologiques, et on les a tués. Et c’est pour cela que nous n’avons pas de lanceurs d’alerte ici, parce qu’ils seraient tués eux aussi. Je crois que c’est clair.

DL : Oui j’ai lu à ce sujet, la liste est impressionnante. Et il y a des histoires bizarres de personnes qui arrêtent leur voiture au-dessus d’un pont et qui sautent.

FB : Des histoires souvent ridicules. Et je crois que tous ces microbiologistes, plutôt que de sonner l’alarme, ils sont allés voir leur supérieur, au CDC ou ailleurs. Cette information a suivi son chemin et on les a éliminés. C’est pour cela que nous n’avons pas de whistle blowers. En fait nous en avions, mais ils sont tous morts, avant qu’ils n’aient pu lancer l’alerte.

DL : Avez-vous publié vous-même sur ce sujet et sur les documents dont vous me parlez ? Ou bien comptez-vous le faire ?

FB : J’ai donné des interviews. Nous avons envoyé des communiqués de presse, à l’Institute for Public Accuracy, et j’ai donné aussi des interviews. J’ai travaillé sur d’autres sujets depuis le début de cette crise, mais si vous allez sur Internet, vous verrez que je suis un peu partout…

DL : Oui, j’ai vu ça. Mais pas dans les grands médias, évidemment.

FB : Évidemment, quelqu’un a donné l’ordre de ne pas m’interviewer, et d’ailleurs, après les attaques à l’anthrax d’octobre 2001, j’ai été le premier à dire qu’il s’agissait d’anthrax militarisé (weaponized anthrax) provenant d’un laboratoire gouvernemental américain. Ce qui fut confirmé plus tard. Mais personne ne m’a interrogé. Je crois que j’ai donné en tout et pour tout trois interviews. Une à Fox News, à Boston, j’ai donné une conférence à Harvard, et une interview à la BBC, et à une chaine de la Pacific à Washington. Je parle de tout ça dans mon livre. Cela s’est passé dans les tout premiers jours après les attaques, et après plus rien. Le grand silence. Plus personne n’a parlé avec moi. Plus personne parmi les grands médias. Ces communiqués de presse sont envoyés à plus de 8000 organes de presse tout autour du globe, tous l’ont vu. Tous savent qui je suis. Mais il est clair qu’un ordre a été donné de ne pas avoir affaire avec moi. Et donc, non, rien dans les grands médias.

DL : Et les médias grands publics dans d’autres pays ? En Russie, en Chine, ou ailleurs ?

FB : Très peu. En Grèce, j’ai donné une interview[2], mais c’est la seule. Le gouvernement US a probablement dit à ces médias de se tenir éloignés de Francis Boyle. Mais vous savez, je ne suis pas payé pour les interviews, je ne suis pas en train de perdre de l’argent, je fais ça pour informer le public, pour essayer de faire sortir la vérité. Les seuls à m’interviewer ont été des médias alternatifs comme le vôtre.

DL : Ce qui est étrange dans cette histoire d’armes biologiques génétiquement modifiées, c’est qu’il est difficile de prévoir là où elle va frapper. En supposant que ce que vous dites est exact, comment peuvent-ils penser tenir ce virus éloigné des USA ?

FB : Vous savez, M. Duncan est ici, aux USA. Il est le cas « zéro » [le premier en dehors des USA – NdT]. L’information est déjà parue, selon laquelle le Département de la Défense et le NIH ont un programme informatique qui simule tout ça, ils savent exactement ce qui va se passer, en Afrique de l’Ouest, et maintenant en Espagne, à cause de l’infirmière là-bas [apparemment guérie depuis – NdT], et ici aux USA à cause de M. Duncan, puisque c’est le cas « zéro », et donc la liste de ses contacts. Ils peuvent insérer tout cela dans l’ordinateur et voir ce qui va se passer. Dans le New York Times hier, il y avait un diagramme avec M. Duncan et tous ses contacts et leurs enfants, et chacun d’entre eux est surveillé. Sauf pour les 4000 personnes sur le bateau de croisière. Ce qui pose la question : pourquoi n’ont-ils pas mis tous les gens du bateau en quarantaine ? Au Nigéria, où ils disent avoir stoppé l’épidémie…

DL : J’allais vous poser la question…

FB : …ils ont contacté tout le monde et les ont mis sous surveillance. Mais pas les 4000 personnes sur le paquebot de croisière, et ils ont tous été relâchés sur recommandation du CDC, qui a d’ailleurs dit « il suffit d’une période de quarantaine de 21 jours », et donc tous les gens sur le paquebot ont été libérés. L’OMS (Organisation mondiale de la santé) a critiqué cette décision et dit qu’il faudrait une période de 42 jours de quarantaine. Et si vous regardez les chiffres qui sont derrière les calculs de l’OMS et qui ont abouti à cette période de 42 jours, c’est toujours avec un taux d’efficacité de seulement 98% et un taux de mortalité de 50%, et non de 70%, ce dernier taux indiquant qu’il semble bien s’agir d’un virus manipulé génétiquement et qui est bien plus dangereux que l’Ebola d’origine. Je ne suis pas sûr, mais il me semble que par sécurité, il faudrait parler de période de quarantaine de 50 jours, et d’ailleurs tous ces chiffres du CDC ou de l’OMS sont simplement basés sur le rapport risque/coût, c’est tout. Ils disent simplement que c’est moins couteux de laisser les gens partir après 21 jours, ou 42 jours, plutôt que de les garder en quarantaine.  C’est une analyse risque/coût (Cross-Benefit Analysis) au détriment de nos vies. Peut-être que nous serons comme le Nigéria, mais la différence entre le Nigéria et nous [aux USA] est que le Nigéria a retrouvé tous les contacts, alors que nous avons laissé partir dans la nature 4000 personnes de ce paquebot, et avec ces 4000 personnes, ils ont simplement appliqué les protocoles du CDC qui n’ont aucune  valeur et sont très dangereux .

DL : Et bien sûr vous ne pouvez pas mettre en quarantaine toutes ces 4000 personnes ensemble, il faut les maintenir séparées les unes des autres, pour ne pas qu’ils se contaminent les uns les autres.

FB : Absolument. Ils auraient très bien pu les garder sur le bateau pendant 42 jours en leur expliquant les raisons, avant de les relâcher.

DL : Vous faites le lien entre l’OMS et le CDC en disant qu’ils sont tous deux coupables dans cette affaire, mais l’OMS comprend de nombreux pays, il y a du personnel venant de pays qui ne sont pas alignés avec les USA. Comment est-ce que ça marche ?

FB : David, je ne me rappelle pas exactement les chiffres, mais l’OMS est financée sur la même base que l’ONU, puisque c’est une organisation spécialisée.

DL: Oui, environ 25% par les USA

FB : En effet, environ 25%, plus le fait que nous devons des milliards de dollars à l’ONU.  Et celui qui paie les musiciens choisit la musique. Je ne sais pas à quel point nous devons de l’argent à l’OMS, mais ils font ce qu’on leur demande de faire. Ils peuvent à l’occasion essayer de révéler quelque chose, mais ils ne vont pas se dresser contre nous. Toujours est-il que le CDC est trempé jusqu’au cou dans cette affaire, et ils font du camouflage, nous ne pouvez pas croire un mot de ce qu’ils disent.

DL : Ouah. Mais alors que devons-nous faire face à cette situation ? Vu que nous ne pouvons pas faire confiance au gouvernement sur ce sujet ?

FB : Mon conseil est le suivant : heureusement, selon la Constitution des États-Unis, la Santé publique ne relève pas du gouvernement fédéral. Elle dépend des États, des comtés, des villes, des communautés, des villages, des autorités sanitaires [locales]. Et donc ces autorités sanitaires locales doivent s’unir, et faire appel à des experts indépendants qui n’ont jamais participé à aucune recherche dans le domaine des armes biologiques pour le gouvernement américain, et partir de là, élaborer une stratégie pour leurs communautés. Si vous lisez les médias grands publics, ils contactent tous ces experts qui ont trempé dans des recherches en guerre biologique pour les USA.

DL : Oui, c’est un peu comme demander à des généraux de nous parler des guerres.

FB : Exactement. C’est la même chose. Vous ne pouvez accorder aucune confiance à ce qu’ils disent. Et donc, je pense qu’il y a vraiment quelque chose à faire, mais que cela doit se passer au niveau local, dans les communautés et avec les autorités sanitaires. Par exemple nous avons eu une crise ici à l’université de Droit. Les abrutis en charge de l’Université ont envoyé un juriste gouvernemental taiwanais. Et ils savaient que nous avions affaire à la tuberculose. J’ai découvert cela, et ai demandé que tout le monde passe des tests, ils ont refusé, alors j’ai lancé l’alerte. Et avec les autorités sanitaires et tous ici, nous avons finalement obtenu que tout le monde passe les tests et nous avons découvert que cinq personnes étaient infectées par la tuberculose. Heureusement on a pu les traiter et elles s’en sont sorties. Sans cela, elles auraient développé la tuberculose, qui est une maladie extrêmement contagieuse. Ce qui est sûr, c’est qui faut travailler avec les autorités sanitaires locales et des spécialistes qui n’ont jamais été impliqués dans des travaux de guerre biologique pour le gouvernement des USA. Malheureusement nous avons 14 000 scientifiques qui participent à ces affreuses recherches en armements biologiques pour le compte du gouvernement des USA, je les appelle les « scientifiques de la Mort », et plus de 1500 laboratoires aux États-Unis qui font ce type de recherche. Vous ne pouvez pas leur faire confiance.

DL : Combien de laboratoires ?

FB : 1500

DL : Mon Dieu. Alors que nous ne sommes pas censés en faire.

FB : C’est exact. Ce genre de travaux de recherche constitue un crime selon les termes de la loi antiterroriste contre les armes biologiques que j’ai écrite, et nous avons dépensé 79 milliards de dollars depuis le 11 septembre 2001 dans ce domaine de recherche, ce qui en dollar constant, représente le double de ce qui a été dépensé pour le projet Manhattan pendant la Seconde Guerre mondiale pour développer la bombe atomique.

DL : Mais ils disaient que c’est défensif.

FB : Oui, ils disaient que c’est pour protéger le peuple américain de virus émergents comme l’Ebola. Mais regardez autour de vous. Vous pouvez voir qu’ils n’ont rien fait pour protéger qui que ce soit.

DL : S’ils travaillaient sur un vaccin depuis les années 80, ils devraient l’avoir maintenant, non ?

FB : Soit ils devraient l’avoir, soit ils l’ont, et c’est dans les tiroirs au fin fond du laboratoire de Fort Detrick, mais ils ne nous le disent pas, et ils ne l’ont donné qu’aux plus hauts dirigeants de notre gouvernement. C’est très similaire aux attaques à l’anthrax d’octobre 2001, et le fait que tout le monde à la Maison-Blanche prenait du Cipro [antibiotique prévenant les effets de l’anthrax – NdT]. Mais bon, je ne sais pas s’ils l’ont. Soit nous avons le vaccin, soit tout cet argent a été dépensé en pure perte, soit (et ce n’est pas incompatible) ils l’utilisent pour développer des armes biologiques. Faites votre choix. Je dois vous laisser. Merci de l’invitation.

DL : Merci Francis d’être venu si rapidement à notre antenne.

 

(*) Francis A. BOYLE est un professeur états-unien de renommée mondiale dans sa spécialité, le droit international, qu’il pratique et dont il est un ardent défenseur. Il rédigea la loi anti-terrorisme de 1989 sur les armes biochimiques, la législation américaine mettant en application la Convention sur les armes biologiques de 1972. Titulaire par l’université de Harvard de deux doctorats, un de Droit (Magna cum laude) et un en Sciences politiques, il enseigne à l’université de l’Illinois, à Champaigne. (Source Editions Demi Lune)

Traduction IlFattoQuotidiano.fr

 


Notes de la Rédaction :

  1. A ce propos, il se trouve que Glenn Thomas, consultant de l’OMS à Genève et spécialiste du virus Ebola est mort en juillet dernier dans le crash du Vol Mh17 en Ukraine, en même temps que 17 spécialistes du virus du SIDA qui se rendaient à un conférence à Kuala Lumpur. Il est évidemment trop tôt pour en tirer des conclusions hâtives, c’est certainement un coup de malchance.
  2. L’interview de F.Boyle par la chaine grecque sera bientôt disponible en français sur ce site.

Pétain et la dissolution de la Franc-maçonnerie sous Vichy !

Faites-vous votre propre opinion sur les décisions prises par Pétain de dissoudre la Franc-maçonnerie sioniste par la Loi du 13 août 1940. Traître ou patriote Pétain ? 

Encore une fois nous ne faisons aucun amalgame entre les sionistes et les juifs qui sont les victimes de ces criminels qui se servent d'eux comme des boucliers humains pour faire avancer leurs plans diaboliques !

Les plans sont là et ils les poursuivent.
A télécharger : les_protocoles_des_sages_de_sion_nilus.pdf

A rapprocher de cet article pour voir combien ils nous aiment tous :

« SCOOP EXCLUSIF : le rapport classé top secret de la dernière réunion des Bilderberg… »

 

En quatre ans, Vichy parvient à briser la franc-maçonnerie

 

« Un juif n’est jamais responsable de ses origines. Un franc-maçon l’est toujours de ses choix », répète le maréchal Pétain. Orchestrée par Vichy avec le soutien des Allemands, la répression contre les francs-maçons est redoutable. En 1945, la franc-maçonnerie sort brisée des années d’occupation.

 

L’Etat français n’a guère qu’un mois d’existence lorsqu’il interdit la franc-maçonnerie. La loi du 13 août 1940 dissout les « sociétés secrètes » et, quelques jours plus tard, sont déclarées nulles les associations dites de la « Grande Loge de France », et du « Grand Orient » en métropole et dans l’Empire. Quels sont les auteurs de cette loi ? A quelles motivations obéissent-ils ? L’ensemble du gouvernement du maréchal Pétain est associé à la décision puisque le projet de loi a été présenté au Conseil des ministres, à Vichy. Une discussion s’est même engagée à propos du terme de « sociétés secrètes ». Le ministre du Travail, René Belin, souligna l’intérêt d’une formule large qui permettrait de toucher en même temps les groupes de pression du patronat comme le Comité des forges. Le garde des Sceaux, ministre de la Justice, Raphaël Alibert a éprouvé de la satisfaction à rédiger cette loi. Disciple de Charles Maurras, porté à attribuer ses échecs électoraux sous la IIIe République à des manœuvres déloyales, Alibert déploie une grande activité répressive et antirépublicaine. Il pourchasse comme traîtres tous les amis de la Grande-Bretagne qu’ils soient révélés, comme le Général de Gaulle qu’il fait condamner à mort par un conseil de guerre, ou potentiels comme les francs-maçons. Le maréchal Pétain est subjugué par la fougue entraînante de son garde des Sceaux. Alibert a su réveiller le souvenir amer de l’affaire des fiches que Pétain en son temps avait réprouvé. En juillet 1940, le maréchal reçoit Camille Chautemps qui l’a beaucoup aidé, comme vice-président du Conseil, à imposer la solution de l’armistice, le 16 juin 1940.  Conseille à ce radical, haut dignitaire de la franc-maçonnerie (prince du royal secret) de démissionner de la société de pensée. Chautemps décline la proposition et demande au maréchal Pétain quels reproches lui inspire la franc-maçonnerie. Pétain lui répond vaguement : « Je sais seulement que c’est une société dont tout le monde me dit qu’elle fait beaucoup de mal à mon pays. »

L’hostilité affichée de Pétain

Par la suite, Pétain ne se contente plus de partager les sentiments de son entourage, il développe une hostilité marquée. A Gergovie, le 30 août 1942, il la dénonce aux membres de la Légion française des combattants : « Une secte, bafouant les sentiments les plus nobles, poursuit, sous couvert de patriotisme, son œuvre de trahison et de révolte. » En janvier 1943, il encourage le zèle du Service des sociétés secrètes : « Vous ne devez pas hésiter. La franc-maçonnerie est la principale responsable de nos malheurs ; c’est elle qui a menti aux Français et qui leur a donné l’habitude du mensonge. Or, c’est le mensonge et l’habitude du mensonge qui nous ont amenés où nous sommes. » Philippe Pétain a trouvé une formule dont il est assez content pour la répéter à plusieurs interlocuteurs : « Un juif n’est jamais responsable de ses origines ; un franc-maçon l’est toujours de ses choix. » Pierre Laval témoigne de l’animosité du maréchal de France : « Le maréchal Pétain, écrit-il, attribuait à la franc-maçonnerie la responsabilité de nos malheurs et il considérait ses membres comme des malfaiteurs publics. » Ont joué contre les loges, le souvenir de l’affaire Stavisky, l’antiparlementarisme et certainement la pensée catholique, mais les événements politiques immédiats ont aussi leur part. Les responsables et les officiers sont très affectés par la dissidence dans l’Empire. Les chefs de l’armée, le général Weygand, l’amiral Darlan, avaient accepté les très dures conditions que Hitler imposait dans l’armistice parce que la France conservait sa flotte et l’Empire. Or, l’appel de Charles de Gaulle agitait les colonies. Le gouverneur du Tchad, Félix Eboué prit contact avec lui et rallia son pays à la France libre. Félix Eboué était franc-maçon. Or, nombreux étaient les fonctionnaires des colonies appartenant à la franc-maçonnerie. La loi du 13 août 1940 était un bon instrument pour épurer une administration coloniale tentée par les appels de Londres. La lettre de présentation au maréchal Pétain de la loi du 13 août 1940 qui dissout les sociétés secrètes fait état des risques de sabotage de l’œuvre de redressement national qui seraient dus à l’appartenance de fonctionnaires à la franc-maçonnerie : « Leur activité tend trop souvent à fausser les rouages de l’Etat et à paralyser l’action du gouvernement. » La publication de la loi au Journal officiel du 14 août 1940 s’accompagne de deux formulaires à remplir par tous les fonctionnaires, agents des communes, établissements publics de métropole, des colonies et protectorats. Par l’un, le signataire déclare n’avoir jamais appartenu à la franc-maçonnerie et prend l’engagement de ne jamais y appartenir. L’autre modèle de formulaire tient compte de l’intérêt de l’Etat français de ne pas se priver des services d’hommes désabusés par leurs erreurs. Le fonctionnaire y avoue avoir été membre d’une société secrète et précise à quelle date il a rompu toute attache avec la franc-maçonnerie. Il s’engage à ne plus jamais y adhérer. Toute fausse déclaration entraîne la démission d’office de son auteur. La vérification des déclarations eut pour conséquence la création d’organismes spécialisés, police et préfets n’offrant pas toutes les garanties d’efficacité. Peu zélés à réprimer, ils se disaient dépourvus de moyens de contrôle des déclarations. Un idéologue de l’antimaçonnisme apporta, en août 1940, à Raphaël Alibert, la loi portugaise contre les sociétés secrètes ; le vicomte Léon de Poncins, lui avait offert sa documentation en l’avertissant que, sans fichiers, les mesures d’interdiction seraient plus efficaces. Des fichiers et des organismes de surveillance se mettent en place dans une grande discrétion qui masque une lutte pour leur contrôle entre les vichystes et les Allemands. A la fin d’octobre 1940, les scellés sont apposées sur les locaux des obédiences ; documents et archives sont saisis. Le chef de l’Etat charge le nouvel administrateur général de la Bibliothèque nationale, Bernard Faÿ, d’inventorier cette masse d’archives. Son secrétaire, Gueydan de Roussel, organise l’inventaire et l’exploitation des énormes archives tirées des loges et confiées à la BN. Les Allemands s’intéressent aussi à ces trésors. En décembre 1940, ils pillent des caisses venant des obédiences maçonniques de Caen et de Bordeaux. L’état-major spécial de Rosenberg envoie en Allemagne quatre cent soixante-dix caisses de documents provenant des territoires occupés à l’ouest.

Une quantité de services

Le lieutenant S.D. Moritz est chargé du service antimaçonnique allemand. Il se tient au courant des activités des bureaux français car Bernard Faÿ n’est plus seul. Se sont créés : un service de renseignements, rue Greffulhe, dirigé par Jean Marquès-Rivière ; un service de la Préfecture de police, 4, square Rapp (à l’emplacement de l’ancienne Société théosophique), dirigé par le commissaire Moerschel ; et enfin un centre de documentation, 8, rue de Puteaux (siège de la Grande Loge de France) où officie Henry Coston. L’amiral Darlan s’inquiète de ce foisonnement et crée, à son tour, en mai 1941, le Service de police des sociétés secrète confié au capitaine de frégate Robert Labat, venu du 2e Bureau de la marine qui constitue son réseau de renseignements en zone sud.

Une seconde offensive contre la franc-maçonnerie se déclenche au cours de l’été 1941. Raphaël Alibert n’est plus ministre et la volonté répressive de l’amiral Darlan, vice-président du Conseil, a de quoi surprendre ceux qui connaissent ses amitiés maçonniques. Il s’est toujours défendu d’appartenir à la maçonnerie et a signé, sans hésitation, le serment écrit que Pétain exigea un jour des ministres réunis en conseil. Il affirme au garde des Sceaux, Joseph Barthélemy : « Je ne suis pas franc-maçon, mais mon père l’a été pour deux. » L’origine du durcissement vient de la situation générale. L’offensive contre l’URSS a rendu les Allemands plus vigilants et plus exigeants. Goering rappelle que la « lutte contre les juifs, les francs-maçons et autres puissances "idéologique" opposées à l’Allemagne est une tâche toujours urgente du parti et de l’armée. » La France vient de perdre le Levant après d’éprouvants combats contre les Français libres, situation qui conduit à rechercher des « traites ». La politique germanophile de Darlan est contestée jusqu’au cœur du pouvoir, en particulier par le général Weygand. Les amis, de ce dernier font courir le bruit de son appartenance à la « synarchie », société secrète protéiforme. Il lui est donc utile de jouer les vertueux.

Les frères sont assimilés aux juifs

Dans cette recherche des boucs émissaires responsables de l’échec de la révolution nationale, le maréchal Pétain prononce, le 12 août 1941, le discours du « vent mauvais » où il montre que la lenteur de la rénovation vient de l’opposition de ceux qui privilégient leur intérêt avant les intérêts de l’Etat : les trusts, les anciens partis politiques et la franc-maçonnerie. Il annonce des mesures sévères. L’amiral Darlan et son ministre de l’Intérieur, Pierre Pucheu, constatent que les mesures de 1940 interdisent l’activité et le recrutement de nouveaux membres des sociétés secrètes mais sont incapables de briser l’étroite solidarité qui subsiste entre les dignitaires en même temps qu’elles ne permettent pas d’éprouver la sincérité du ralliement des fonctionnaires francs-maçons au régime. Une nouvelle loi (11 août 1941) interdit donc aux anciens dignitaires et hauts gradés de la franc-maçonnerie l’exercice des fonctions publiques énumérées à l’article 2 du statut des juifs du 2 juin 1941 (on note la volonté d’assimilation des catégories d’exclus). Les fonctionnaires et militaires concernés sont déclarés démissionnaires d’office. Ils sont nombreux dans ce cas car la qualification de « hauts gradés » s’applique dès le troisième degré (maître) et concerne donc la très grande majorité des francs-maçons en France. La loi prévoit surtout une disposition qui se veut infamante et cherche à impliquer la population française : le Journal officiel publie, dès le 12 août 1941, les noms des dignitaires et hauts gradés. En quelques mois sont exposés à la curiosité du public les noms de dix-huit mille dignitaires francs-maçons. Plus de trois mille fonctionnaires sont renvoyés. Si les Français découvrent la confirmation d’appartenance largement dénoncées par la presse en 1933-1934, ils s’étonnent de certaines absences et ne voient pas toujours l’intérêt de publier autant de noms de postiers et d’instituteurs, exacts serviteurs du public par ailleurs. La Légion française des combattants se réjouit. Jusque-là privée d’un accès aux dossiers individuels par les préfets, elle dispose enfin de listes à pointer pour obtenir le renvoi des fonctionnaires suspects. Le ministre des Communications, Jean Berthelot, envoie à Alger un haut responsable franc-maçon de la SNCF, au poste de chef des services financiers du Méditerranée-Niger. La Légion repère son nom sur les listes et s’indigne auprès du maréchal : « L’Algérie n’est pas la terre de refuge des fonctionnaires indésirables en France. » Le retour au pouvoir de Pierre Laval, en avril 1942, est marqué par une distance par rapport à la politique de Darlan-Pucheu. Plus politique, il prête l’oreille aux protestants de Marcel Déat qui, dans L’œuvre, est devenu l’avocat des francs-maçons persécutés. Sa position est un retour à la politique de 1940 : écarter les nostalgiques de l’ancien régime mais ne pas inquiéter les francs-maçons dévoués au bien public. Il explique ses intentions aux préfets de la zone libre, le 25 septembre 1942 : « Le maire de Rouen est franc-maçon et il remplit son devoir d’une manière magnifique sous les bombes. Il fait figure de grand Français et je ferais figure de petit français si je l’écartais. Le maire de Vitry-le-François est franc-maçon. Il a eu sa ville détruite deux fois. Il est encore là pour servir ses compatriotes. Je serais un mauvais Français si je lui faisais du mal. » Il soulignera, lors de son procès, dans un but plus intéressé, que la question de la répression antimaçonnique l’opposait au maréchal Pétain. Au demeurant, Pierre Laval ne touche pas à la législation existante mais il accorde plus largement les dérogations qu’elle prévoyait (Marcel Peyrouton, ministre de l’Intérieur, en a bénéficié lorsqu’il devint ambassadeur en Argentine). Il recommande à Maurice Reclus, un conseiller d’Etat qu’il nomme à la tête de la Commission des dérogations, de protéger les faux déclarants, d’accorder largement des dérogations et de faciliter la réintégration des fonctionnaires francs-maçons (mais il les fait surveiller étroitement). L’Etat français a beaucoup dépensé pour la propagande. De cette manne, l’antimaçonnisme a bien profité. Des affiches dénoncent l’emprise des francs-maçons sur les républicains, leur collusion avec les Anglo-Saxons, leurs liens avec les juifs. Causeries à la radio et conférences répètent ces reproches. Bernard Faÿ a publié pendant quatre ans une revue mensuelle Les documents maçonniques où voisinent des études historiques (La Révolution, L’affaire des fiches, La SDN, Les parlementaires), des dossiers sur le rôle de la maçonnerie dans la société et des articles de propagande plus élémentaires. En octobre-novembre 1940, le Petit Palais abrite une exposition préparée par Jacques de Lesdain, le directeur politique de L’illustration, « La franc-maçonnerie dévoilée ». Les organisateurs annoncent un million de visiteurs à Paris, chiffre à prendre avec les précautions d’usage. L’exposition est montrée à Nancy, Bordeaux, Rouen, avant d’être présentée à Berlin en 1942.

Alger protège les francs-maçons

Il fallut attendre l’arrivée du général de Gaulle à Alger en 1943 pour que les fonctionnaires révoqués – maçons ou non – soient réintégrés. En novembre 1943, le Grand Maître Dumesnil de Gramont arrive à Alger pour siéger au nom du mouvement de résistance Libération-Sud à l’assemblée consultative. Il s’emploie à ce que les travaux des loges puissent reprendre en toute légalité. Jacques Soustelle et Georges Gorse demandent à de Gaulle de répondre à ce souhait. La présence d’Henri Queuille, un radical, à la vice-présidence du Comité français de libération nationale (CFLN), favorise les démarches. A l’assemblée consultative, le général de Gaulle répond à Yvon Morandat : « Nous n’avons jamais reconnu les lois d’exception de Vichy, en conséquence la franc-maçonnerie n’a jamais cessé d’exister en France. » Enfin, le 15 décembre 1943, une ordonnance du CFLN porte annulation de la loi du 13 août 1940 et des dispositions relatives aux sociétés secrètes. Après la Libération, l’ordonnance du 31 mars 1945 rétablit la légalité républicaine et rend exécutoire en métropole l’ordonnance d’Alger du 15 décembre 1943.

Voir aussi :