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13/06/2009

Vaccins : l'horreur ! Des conseils en ligne

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Le gouvernement français ne peut rien entreprendre faute de vaccins disponibles en masse.

Il a néanmoins réservé 130 millions de doses, soit 2 par français de plus de 3 mois (idem que pour la Belgique, 1 vaccination + 1 rappel par habitant).


Ce qui signifie que s'il n'envisage pas l'obligation, ça lui ressemble bien, et que ce sera pour le moins de l'abattage en masse, comme jamais vu !


Rien ne devrait techniquement être prêt avant octobre/novembre, on a donc 3 à 4 mois pour informer (et s'informer) sur cette opération qui semble bien avoir pour but ce que l'expert russe indique dans le PDF joint.


De toute façon, les vaccinations sont en soit un danger public.

Il faut ABSOLUMENT profiter de ce délai et de cette occasion pour étudier objectivement la question, s'organiser, et à l'arrivée, être déterminés à ne pas se laisser intoxiquer par inoculation de poisons et de virus délétères.


Dire que les vaccinés ont à craindre des non vaccinés est d'ailleurs reconnaître l'inefficacité de la méthode, qui, si elle était efficace, leur permettrait précisément de ne rien craindre.

Au contraire, ce sont les vaccinés qui sont dangereux pour les non vaccinés, car contaminés délibérément, et aux défenses immunitaires affaiblies, donc susceptibles de propager tous les virus de la Terre. Ils sont en plus contaminés aux métaux lourds, mercure, aluminium (se comporte comme un métal lourd), et autres poisons type formol...


APPEL A S'INFORMER POUR NE PAS SE LAISSER EMPOISONNER


- Dr Andrew MOULDEN (voir fichier joint A LIRE, EDIFIANT !) :

« Tous ceux pour lesquels j’évoque les diagnostics en leur montrant clichés et vidéos, s’effondrent et ne peuvent souvent retenir leurs larmes ! ».


- Mettre fin au mythe des vaccins à l'origine de la suppression des maladies :

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Après 10 ans de recherche pharmaceutique dans l'un des plus grand laboratoire du monde, voyant que nous trompions délibérément la population, nous nous sommes tournés vers la naturopathie.
Mais il nous a fallu du temps pour admettre cet enseignement pourtant évident, et ce sont les vaccins qui nous ont créé le plus de réticence.
Pourtant nous savions l'imposture...
Elevés avec des expressions du genre "majeur et vacciné", où la vaccination est une religion que l'on ne peut pas mettre en cause sans passer pour un blasphémateur, il en faut du mérite pour admettre l'évidence...
Alors, le sol semble se dérober sous les pieds, toutes les certitudes s'envolent, et ce n'est ni confortable ni valorisant, car on réalise à quel point on a été assez naïf pour être abusé à ce point.
PAR PITIE, OUVREZ LES YEUX QUAND IL EST ENCORE TEMPS, NOUS NE VOULONS PAS QU'IL VOUS ARRIVE DU MAL !!!

ALUMINIUM et VACCINS 17-09-2008.pdf

Dr Moulden Catastrophe planétaire.doc

Docteur L Day.pdf

Expert russe Leonid IVACHOV Témoignage.pdf

Floraison Spécial Maladie et Naturopathie -.pdf 

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Bienvenue sur Terre cher enfant...
Que Dieu te protège des médecins et infirmières qui ont perdu la raison !
Les vaccins causent l'autisme
http://www.alliancelibertesante.com/autisme_vaccins.html

Naturopathie - Santé Naturelle
Prévention des maladies

"Le microbre n'est rien, le terrain c'est tout ! "
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Fédération Internationale Santé Naturelle

Des conseils en ligne

L'atelier d'éducation nutritionnelle à domicile pour les enfants

 

10/06/2009

Une taxe carbone pour "préparer l'après-pétrole"

Ben tiens ! Il fallait bien un évènement médiatique pour préparer ça, non ?

Le fim Home de YAB a atteint tous ses objectifs au profit des multinationales et de l'état, et au détriment des grands cons.ommateurs que nous sommes !


Une taxe carbone pour "préparer l'après-pétrole"

Près de trois ans après le lancement du Pacte écologique par Nicolas Hulot, qui avançait l'idée d'une taxe carbone, le gouvernement a rouvert le débat sur ce sujet, mercredi 10 juin. Les ministres de l'écologie, Jean-Louis Borloo, et de l'économie, Christine Lagarde, ont présenté le Livre blanc de la Contribution climat énergie (CCE, dite "taxe carbone").

La loi issue du Grenelle de l'environnement, actuellement en deuxième lecture à l'Assemblée nationale, prévoit que "dans les six mois suivant [sa] publication, l'Etat étudiera la création d'une contribution dite 'climat-énergie' en vue d'encourager les comportements sobres en carbone et en énergie". C'est la raison pour laquelle le gouvernement organise, les 2 et 3 juillet, une "conférence de consensus" qui réunira experts, associations et syndicats pour définir cette CCE ainsi que sa mise en place.

Selon Benoît Faraco, coordinateur "changements climatique et énergie" à la Fondation Nicolas Hulot, les réflexions et débats s'articuleront principalement autour de la proposition de Nicolas Hulot, à savoir la mise en place d'une taxe sur les émissions de gaz à effet de serre liés à la consommation d'énergie, et qui concernerait tout le monde : particuliers, entreprises et administrations.

Le principal enjeu des débats concernera, selon M. Faraco, les modalités d'application de la CCE pour "bien faire comprendre qu'il ne s'agit pas de créer une nouvelle taxe ou de renflouer les caisses de l'Etat".

Car la fondation propose de redistribuer le produit de la taxe sous forme d'une allocation climat annuelle pour les particuliers – un chèque de 130 € selon les estimations – et de compenser avec un abaissement des charges sociales pour les entreprises. Au total, cela devrait générer un flux d'argent circulaire d'environ 8 milliards d'euros par an.

L'objectif de la taxe n'est donc pas de créer un impôt supplémentaire, mais d'établir un "cercle vertueux" qui aurait pour but de dissuader l'achat d'énergie fossile. Mais, comme le dit M. Faraco, "on pourrait se dire, à première vue, que si on rend l'argent aux Français, cela ne sert à rien".

Dans la proposition de la fondation, chaque ménage recevra, quelle que soit sa consommation d'énergie fossile, un chèque du même montant. Mathématiquement, plus la taxe d'un ménage sera élevée – due à sa forte consommation d'énergie "non propre" –, moins il gagnera à la fin de l'année. Et inversement. "Les ménages à forte consommation seront incités à réduire leur consommation, tandis que les ménages vertueux, eux, se verront récompensés, explique M. Faraco. Le but est de préparer la hausse du prix de l'énergie qui, de toute façon, est inévitable."

Ainsi, logiquement, la CCE devra suivre de manière proportionnelle la hausse du prix des énergies fossiles pour "préparer progressivement l'après-pétrole". "Nous n'allons pas attendre que le pétrole atteigne 200 dollars le baril pour réagir. A terme, l'idée est, d'ici à 2030, de multiplier par trois le montant de la taxe", précise, en conclusion, Benoît Faraco.


Source : http://www.lemonde.fr/planete/article/2009/06/10/une-taxe...

Réseau sortir du Nucléaire : Pétition

Signez l'Appel en faveur du porte parole du Réseau Sortir du Nucléaire

Le porte-parole du Réseau "Sortir du nucléaire" frappé d'exception juridique. Signez et diffusez l'appel à un classement "sans suites" en sa faveur !


Lisez et signez l'appel : http://www.sortirdunucleaire.org/dossiers/Soutien-SLhomme.html


Merci de diffuser très largement ce message à vos connaissances !


Menacé de 5 ans de prison pour avoir révélé la vulnérabilité du réacteur nucléaire EPR en cas de crash d'avion de ligne,
Stéphane Lhomme, porte-parole du Réseau "Sortir du nucléaire", est sous le coup d'une  enquête "préliminaire" qui dure depuis plus de 3 ans, et dans l'impossibilité d'accéder à son dossier juridique. Le bâtonnier de Paris estime que de tels délais "sont contraires à la notion de procédure juste et équitable". Stéphane Lhomme est menacé de 5 ans de prison et de 75 000 euros d'amende.

Premiers signataires :

Corinne Lepage (CAP 21), Noël Mamère (Les Verts), Olivier Besancenot (NPA), José Bové (Europe-Ecologie), Cécile Duflot (Secrétaire nationale des Verts), Corinne Morel-Darleux (Secrétaire nationale à l'écologie du Parti de Gauche), Francine Bavay (Vice-Présidente du Conseil régional d'Ile de France), Raoul-Marc Jennar (Chercheur / Tête de liste NPA Européennes Sud-Est), Myriam Martin (Tête de liste NPA Européennes Sud-Ouest), Philippe Chesnau (Vice-Président du Conseil Régional PACA), Christophe Ondet (Secrétaire national du Parti Pour La Décroissance), Jean-Marie Harribey (Co-Président d'Attac), Roland Desbordes (Président de la Commission de recherche et d'information indépendantes sur la radioactivité - CRIIRAD), Claude Bascompte (Président des Amis de la Terre France), Gustave Massiah (Economiste / Président du CRID), Gilles Lemaire (Attac), Bernard Laponche (Expert indépendant), Eugène Riguidel (navigateur), Michel Verna (Membre du conseil national de Génération Ecologie),  Gilles Kuntz (Les Alternatifs - Conseiller municipal de Grenoble), Alain Touleron (Les Alternatifs - Adjoint au Maire de Vaulx-en-Velin), Hervé Guerrera (Conseiller municipal d'Aix-en-Provence), Michael Lowy (Chercheur), Simon Charbonneau (Professeur de droit de l'environnement), Philippe Leclercq (Conseiller régional Gauche Alternative), ...

Merci pour votre soutien !

Cordialement,

L'équipe du Réseau "Sortir du nucléaire"

18:30 Publié dans Alertes, Disparitions, Nucléaire, Pétitions, Plainte | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

05/06/2009

Le plan secret de vaccination contre la grippe porcine de Sarkozy

par F. William Engdahl

Selon un article sur des fuites dans un journal français, le gouvernement français est en train de mettre au point des plans secrets, pour imposer à l'ensemble de la population française une campagne de vaccination obligatoire, prétendument contre l’éventuelle maladie de grippe porcine. Ce plan, sans précédent, va même à l’encontre des recommandations des avis de la santé publique. Les géants pharmaceutiques bénéficient de cette mesure, tandis que la grippe porcine pousse la tendance à la militarisation de la santé publique et au recours inutile à la panique dans la population pour faire avancer l'ordre du jour. 
 
Selon un article de l'édition du 30 mai du quotidien français Le Journal du Dimanche, le régime Sarkozy a autorisé une dépense d'environ 1 milliard d’euros pour acheter des vaccins, destinés prétendument à lutter ou à protéger contre le virus H1N1 de la grippe porcine. Le seul problème, c’est que, à ce jour, ni l'OMS, ni le Center for Diseases Control (CDC) des États-Unis n’ont réussi à isoler, photographier au microscope électronique, ni à classer chimiquement le virus Influenza A H1N1. Rien de scientifique n’indique non plus que des virologistes français l'aient fait. Rendre obligatoire des médicaments contre une maladie supposée, qui n'est même pas caractérisée, est pour le moins douteux. 
 
Encore plus étrange, il y a l'aveu de la Food & Drug Administration du régime étasunien, l’organisme chargé de la santé et la sécurité de ses citoyens, selon lequel, le « test » autorisé à sortie prématurée pour contrôler le H1N1 n'est même pas éprouvé. Plus précisément, dans tous les décès présentés à ce jour comme preuve scientifique de mort attribuable au virus H1N1 de la grippe porcine, il n'existe aucune preuve médico-légale qu’ils soient dus effectivement à ce genre de virus. Les épidémiologistes européens pensent que les décès rapportés à ce jour sont « le fruit du hasard » ou de ce qu’on dénomme infections opportunistes. 
 
Ce que nous savons avec certitude, c'est que les gens qui sont morts ont souvent eu avant des complications respiratoires de nature non divulguée. Des gens meurent chaque jour de maladies respiratoires. Aux États-Unis seuls, quelques 36.000 décès liés à la grippe sont enregistrés chaque année, sans panique ni frayeur excessive. La plupart sont des personnes âgées ou des patients atteints de maladies pulmonaires. À ce jour, dans toute la France, 24 personnes ont été identifiées par les autorités de santé comme ayant les « symptômes » du H1N1. Il est intéressant de noter ce que citent l'OMS et le CDC comme symptômes du H1N1 : température, toux, maux de tête, écoulement nasal. Hmmmmm. Connaissez-vous quelqu'un avec les symptômes de la grippe porcine ? On notera aussi que, dans le dépouillement de plus de 15.000 cas de grippe porcine du H1N1 « confirmés » dans le monde, la grande majorité a guéri miraculeusement en trois à sept jours, tout comme dans le cas d'un mauvais rhume.
 
 
Objectif : Militariser la santé publique
 
Il devient de plus en plus évident qu’une arrière-pensée est derrière les vagues successives de panique de masse créées ces dernières années par la CDC, l'OMS et des organismes gouvernementaux. Nous avons été affolés de manger du bœuf quand le bétail, au Royaume-Uni et ailleurs, a développé une maladie mortelle appelée ESB ou « maladie de la vache folle. » Plus tard émergea la preuve du fait que l'ESB était la conséquence de la vaccination des vaches pour tuer des insectes inoffensifs qu’elles ont sous la peau. Plus récemment, après des rapports de cas de ce qu'on appelle la « fièvre catarrhale» chez la vache, le mouton et la chèvre en Belgique et en Hollande en 2006, les autorités vétérinaires d’Allemagne, de Suisse et d’Autriche ont imposé une vaccination obligatoire ou un traitement avec des médicaments pour soi-disant protéger les animaux des morsures d'insectes prétendument porteurs de maladie habituellement inoffensives.
 
La vaccination des animaux des cheptels a été rendue obligatoire contre une maladie qui est en général si anodine qu’elle passe inaperçue, et qui dans de rares cas extrêmes pourrait être liée à la mort. Tous les animaux de plus de trois mois devaient être vaccinés. Les vaccins, selon un rapport de la publication suisse Aegis-Impuls de 2008, ont provoqué la mort en masse, une baisse de la natalité, une diminution de la production laitière, des crises cardiaques et d'autres graves effets. Les vaccins ont été utilisés en dépit du fait que personne apparemment n’avait certifié leur sûreté avant. Ils contenaient typiquement de l'hydroxyde d'aluminium et du Thiomersol ou mercure, en tant qu’adjuvants et/ou conservateurs, tous deux hautement toxiques et tous deux également utilisés dans la plupart des vaccins humains.
 
En dépit de la masse de protestations et de rapports auprès des autorités vétérinaires en Allemagne, en Suisse et en Autriche, il n’a pas été tenu compte des alertes et la vaccination de masse obligatoire a continué. Il n'est guère étonnant que les agriculteurs prennent leurs tracteurs pour protester dans la rue.
 
Le rapport d'un plan secret du gouvernement français, visant à vacciner tous les citoyens français de plus de trois mois, plus de 100 millions de doses, est plus que préoccupant. Selon Le Journal du Dimanche, anticipant un probable retour du virus en automne, le gouvernement français va dépenser près d'un milliard d'euros pour acheter des vaccins. Les autorités annonceront en automne si elles décident de rendre le vaccin obligatoire. « Nous serons prêts à attaquer dans un délai très court, » explique la ministre de la Santé. Selon les sources, l'État veut commander 100 millions de doses vaccinales contre la grippe auprès de trois laboratoires, GlaxoSmithKline, Novartis et Sanofi. Les deux derniers sont des compagnies françaises.
 
Le rapport français vient juste après l’adoption par le Sénat de l'État du Massachusetts d’un projet de loi de vaccination obligatoire contre la prétendue grippe porcine du H1N1. Dans l'hôpital d'État de l'État de New York, le planning des autorités est de débattre de rendre obligatoire la vaccination annuelle contre la grippe pour tout employé de la santé publique, bien qu’il n’existe aucun vaccin approuvé contre le H1N1. De plus en plus, il commence à apparaître que la peur des pandémies d’oiseaux ou de porcs est un prétexte pour justifier les vaccins obligatoires avec des substances dont les effets secondaires néfastes sont manifestement plus grave que la grippe dont ils devraient nous prémunir.
 
Novavax, une compagnie pharmaceutique étasunienne de Rockville dans le Maryland, vient juste d’annoncer assez opportunément qu’elle développe un vaccin contre le H1N1, basé sur des « particules apparentées aux virus, » contenant trois protéines du virus de la grippe sans les gènes nécessaires à la réplication. Le vaccin est produit grâce à des techniques de modification génétique des organismes ou des OGM. L'annonce a été faite dans les jours où la compagnie a annoncé une perte d'exercice financier de 36 millions de dollars.
 
Le médicament Tamiflu, qui est officiellement recommandé par l'OMS comme traitement pour « atténuer » les symptômes d’une éventuelle grippe porcine ou Influenza A H1N1, telle qu'elle a été rebaptisée, est lui-même hautement toxique. Santé Canada a informé les Canadiens de rapports internationaux sur des hallucinations et des comportements anormaux, dont l’automutilation, chez des patients prenant le médicament antiviral Tamiflu. Dans certains cas, la mort a été le résultat, et de graves complications pulmonaires sont largement associées au Tamiflu, le médicament dont le principal bienfaiteur financier est considéré comme son plus grand actionnaire, l'ancien secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld.
 
En 1976, aux États-Unis, le Président Gerald Ford, soucieux de remporter une élection serrée, face à une éventuelle pandémie, ordonna une vaccination de masse de la population, pour montrer aux électeurs qu'il était un Président « pratique. » La pandémie de 1976 n’arriva jamais, mais un grand nombre de gens souffrirent des graves effets neurologiques secondaires du vaccin, dont la production avait été précipitée, parmi lesquels furent signalés 25 décès du syndrome de Guillain-Barré.
 
La vaccination obligatoire avec des médicaments dont les effets secondaires sont inconnus, parce qu'ils n'ont pas été rigoureusement testés de façon indépendante, commença à frapper le genre humain aux États-Unis ou en Allemagne durant les années 30, lors d’expériences humaines de masse, effectuées avec des prisonniers handicapés mentaux et d’autres personnes défavorisées. 
 
Article original en anglais, Sarkozy’s Secret Plan for Mandatory Swine Flu Vaccination, publié le 3 juin 2009.
 
Traduction : Pétrus Lombard.

F. William Engdahl est un collaborateur régulier de Mondialisation.ca.  Articles de F. William Engdahl publiés par Mondialisation.ca

Source : http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid...

H1N1 : «Il va falloir vacciner tout le monde»

L'intoxication médiatique continue !

Propos recueillis par Martine Perez
04/06/2009 | Mise à jour : 16:57
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Le Pr Sylvie Van der Werf


Le Pr Sylvie Van der Werf Crédits photo : AFP

INTERVIEW - Le Pr Sylvie Van der Werf, directeur d'une unité de recherches à l'Institut Pasteur et du Centre national de référence pour la région Nord, estime, dans un entretien au « Figaro », que toute la population devra être vaccinée contre le virus H1N1 dès que le vaccin, en cours de préparation, sera disponible.

 Est-on dans une situation inédite avec ce virus A/H1N1 qui a émergé au Mexique ?

Oui, clairement, nous sommes face à un virus nouveau, qui circule dans la «communauté» (c'est-à-dire à partir de foyers autonomes et non plus importés de l'étranger, NDLR), sur plusieurs continents. Nous sommes au bord de la phase 6 d'alerte pandémique de l'Organisation mondiale de la santé. En réalité, la phase 6 se caractérise par la transmission «communautaire» du virus sur au moins deux continents. Nous y sommes. Sauf que ces niveaux d'alerte ont été définis dans l'optique d'une pandémie liée au virus H5N1 de la grippe aviaire, bien plus virulent. Alors que la pathogénicité de ce nouveau virus est pour l'instant modérée. Cela explique la temporisation de l'OMS sur ce sujet.

Est-ce que l'arrivée de l'été va arrêter la circulation du virus en Europe ?

C'est vrai, il y a des facteurs climatiques plus ou moins favorables à la transmission de la grippe. La forme saisonnière se transmet plutôt l'hiver, mais ce n'est pas un critère absolu. En zone tropicale, les virus grippaux circulent toute l'année, avec deux pics, notamment pendant la saison humide. En Europe, l'épidémie démarre plutôt en décembre. Mais nous sommes actuellement dans une situation particulière puisque ce nouveau H1N1 diffuse actuellement aux États-Unis et au Canada, alors que c'est l'été, et donc hors des périodes classiques de circulation. Sans doute, le fait que la population est vierge de toute immunité, la rend plus susceptible. Mais nous ne sommes pas dans des conditions normales de transmission actuellement.

Comment voyez-vous l'évolution de la situation ?

Je n'imagine pas une seconde que la diffusion s'arrête et que ce nouveau virus disparaisse comme par enchantement. Il circule activement notamment dans l'hémisphère sud, avec une situation complexe puisqu'il y a une co-diffusion avec celui de la grippe saisonnière. Jusqu'à présent, chaque fois qu'un nouveau virus apparaissait, il se substituait au saisonnier. Ce n'est pas le cas actuellement. Nous sommes dans une situation nouvelle. Nous ne savons pas s'il y aura une circulation des deux virus ou d'un seul, à l'automne dans l'hémisphère nord. Cela va dépendre de ce qui se passera dans le Sud. En Australie, comme en Amérique du Sud, la transmission communautaire est active. L'Afrique est surveillée de près. Tout laisse à penser que ce virus touchera l'ensemble de l'hémisphère Nord, avec une transmission communautaire. Fin juin? Fin août? Fin septembre? On ne peut pas exclure que le virus se mette à circuler à une période inhabituelle.

La virulence est-elle inquiétante ?

Pour l'instant, le taux de décès est de l'ordre de un pour 1000 malades. Cela reste proche du taux de décès de la grippe saisonnière. Sauf, que habituellement, ce sont des personnes âgées qui sont concernées et que la population est largement immunisée, soit naturellement, soit par le vaccin. Le nombre de malades potentiel pourra donc être très élevé. Pour l'instant nous n'avons pas mis en évidence de marqueurs de virulence. On sait que les virus grippaux mutent en permanence. Et nous ne sommes pas à l'abri d'un changement qui augmenterait sa virulence et sa transmissibilité. Nous sommes en train de répertorier toutes les mutations «dangereuses» possibles. Par ailleurs, notre laboratoire examine la structure génétique chaque virus de cette grippe pour chaque cas français, afin d'en surveiller au plus près l'évolution, comme d'autres labos dans le monde. Nous redoutons aussi des réassortiments génétiques entre ce virus et ceux de la grippe saisonnière, et notamment avec un autre H1N1 majoritairement résistant au Tamiflu.

Va-t-on vers une vaccination systématique de la population contre ce nouveau virus ?

Nous allons être conduit à vacciner tout le monde, au Nord, comme au Sud, dans les pays riches comme dans ceux en voie de développement. Et mon avis est que le plus vite sera le mieux, compte tenu de l'évolution actuelle. Mais il y a des délais incompressibles. L'OMS a donné à tous les laboratoires investis dans les vaccins la souche de virus de base. Si tout va bien, si les rendements sont bons, si cette souche se comporte sans imprévu, il faudra compter quatre à six mois, avant de disposer de vaccins. Par ailleurs, c'est un vaccin nouveau, avec une population naïve, nous ne sommes pas dans des conditions classiques. Il va falloir faire des essais cliniques pour vérifier l'efficacité et l'absence d'effets secondaires. Il faudra sans doute deux doses contre ce nouveau virus. Tout cela prolonge les délais d'obtention. Les travaux de préparation d'un vaccin contre une pandémie liée au H5N1 représentent une aide notable.

Faudra-t-il se faire vacciner contre ce nouveau virus et contre la grippe saisonnière ?

Les stocks contre la grippe saisonnière sont pratiquement déjà constitués. Les laboratoires s'attellent donc au nouveau vaccin. Aucun élément ne permet de dire que la grippe saisonnière, comme ce nouveau H1N1, va arrêter de circuler. Et il y a donc toutes les raisons de prévoir une double vaccination. Mais les décisions prises sont à réévaluer en permanence au regard de l'évolution de la situation.

Source : http://www.lefigaro.fr/sante/2009/06/03/01004-20090603ARTFIG00515-h1n1-il-va-falloir-vacciner-tout-le-monde-.php