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28/06/2009

Instauration du Nouvel Ordre Mondial pour l'automne 2009 ?

Une analyse géopolitique intéressante à écouter, ce d'autant plus que ces informations sont recoupées par d'autres sources journalistiques à découvrir ci-dessous après avoir écouté la vidéo.

Le 28/06/2009

Mr Ahmadinejad confirme une conspiration britannique
visant à déstabiliser le Moyen-Orient.
Tsunami financier et économique à l'automne 2009.
Faille de San Andréas désormais dans la ligne de mire du sommet de la franc-maçonnerie.
Décès de Michael Jackson et Nouvel Ordre Mondial.

Alain Delon : le nouveau pion utilisé par le sommet de la franc-maçonnerie pour le nouvel ordre mondial.

Source : http://revelations4.blogs.fr/

LE MESSAGE AUDIO CORRESPONDANT :

http://www.blog-video.tv/video-10631eb87f-Archive-tele-du...


Archive télé du 28/06/2009 10:45:12 sur Blog video

Journalist Files Charges against WHO and UN for Bioterrorism and Intent to Commit Mass Murder

by Barbara Minton, Natural Health Editor
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Source : http://naturalnews.com/z026503_pandemic_swine_flu_bioterrorism.html

Traduction Google en Français : Cliquez sur le lien ci-dessous :

Une journaliste porte des accusations contre l'OMS et les Nations Unies pour Bioterrorisme et intention de commettre un meurtre en masse.


Virus artificiel

Président de l'Institut des questions géopolitiques à Moscou, l'ex-général Leonid Ivachov croit détenir la clef des pandémies qui semblent se multiplier. Selon lui, le virus A H1N1, qui a désormais contaminé plus de 25 000 personnes, a été fabriqué dans des laboratoires par des médecins militaires. En guise de preuve, il cite les "renseignements américains", sans plus de précision, qui estimeraient à quelque "3 milliards de personnes" la surpopulation de la planète d'ici à 2015. Des apprentis sorciers auraient donc "activé" des agents infectieux capables de provoquer une extermination massive. Ivachov, le plus sérieusement du monde, y voit une "stratégie globale".


Source : L'express


Jackson and Fawcett Deaths Overshadow NWO Moves On Liberty

Kurt Nimmo
Infowars
Friday, June 26, 2009

Source :
http://www.prisonplanet.com/jackson-and-fawcett-deaths-ov...

Traduction Google en Français : Cliquez sur le lien ci-dessous

Les décès de Jackson et Fawcett pour éclipser l'instauration du NWO et la privation des Libertés

En complément une enquête sur la FED par Alex Jones

Alex Jones Federal Reserved Rant HQ
http://www.tagtele.com/videos/voir/38908


27/06/2009

Vaccin Hépatite B : Le labo GSK reconnu responsable d'une sclérose en plaques

Société 25/06/2009 à 17h54

Le labo GSK reconnu responsable d'une sclérose en plaques

INFO LIBÉ

Le laboratoire pharmaceutique a été reconnu responsable de la sclérose en plaques d'une adolescente, survenue après sa vaccination contre l'hépatite B.

FLORENT LATRIVE

Vaccination (ici contre la grippe).

Vaccination (ici contre la grippe). (Alix Guigon / AFP)

C'est une victoire pour tous ceux qui cherchent à faire établir en justice le lien entre la vaccination contre l'hépatite B et la sclérose en plaques. Après plus de dix ans de procédure, le laboratoire pharmaceutique GlaxoSmithKline (GSK) vient d'être reconnu «entièrement responsable» pour la sclérose en plaques diagnostiquée chez une adolescente en 1998, quelques mois après sa dernière injection du vaccin Engerix B contre l'hépatite B.

La décision du Tribunal de Grande Instance de Nanterre, en date du 12 juin et révélée aujourd'hui par Libération, condamne GSK a verser 396.000 euros de dommages-intérêts à la jeune femme, aujourd'hui âgée de 27 ans.

Cette décision est une première depuis un arrêt de la Cour de Cassation de 2003 indiquant que le lien entre la vaccination et la sclérose en plaques ne pouvait être établi.

L'histoire débute en 1994, quand Camille (1), alors âgée de 12 ans, reçoit une première injection d'un vaccin contre l'hépatite B. Nous sommes alors en pleine campagne nationale: les pouvoirs publics incitent la population à se vacciner contre une maladie susceptible de déclencher des hépatites aigües et des cancers du foie. Entre 1994 et 1998, 20 millions de Français sont vaccinés, le tiers de la population.

En février 1997, Camille subit son rappel du vaccin. Dès avril, elle est hospitalisée pour des troubles de l'équilibre et de la vision, constatées lors d'une compétition de gymnastique rythmique. En janvier 1998, le diagnostic formel tombe: c'est la sclérose en plaques. L'adolescente est alors âgée de 15 ans. Sa mère dépose plainte contre GSK en février 1999.

Des centaines de plaintes similaires ont été déposées devant les tribunaux civils, mais aussi au pénal: la juge Marie-Odile Bertella-Geoffroy, qui dirige le pôle de santé publique à Paris, a mis en examen GSK et le français Sanofi Pasteur MSD l'an dernier pour «tromperie aggravée». L'affaire est toujours en cours d'instruction.

Comme bien souvent dans les affaires de santé publique, il est très difficile d'établir la preuve avec certitude. Les études scientifiques tentant de prouver le lien entre la vaccination contre l'hépatite B et la sclérose en plaques peinent à prendre en compte des accidents qui, en tout état de cause, demeurent rares. En septembre 2008, une étude menée par une équipe de l'Assistance Publique-Hôpitaux de Paris concluait ainsi à un risque non-nul, mais faible sur les enfants.

Pour le Tribunal de Nanterre, nul besoin d'attendre une preuve définitive, qui ne viendra sans doute jamais. La responsabilité du laboratoire est engagée s'il existe des «présomptions précises, graves et concordantes», ce qui est le cas pour Camille. Contacté par Libération, GSK refusait jeudi en fin d'après-midi de commenter cette décision ou dire s'il comptait faire ou non appel.

(1) Le prénom a été modifié

Source :  Libération

 

Santé : L'antidouleur Di-Antalvic va être retiré de la vente

SANTE

L'antidouleur Di-Antalvic va être retiré de la vente

Voir la vidéo sur l'article original

NOUVELOBS.COM | 26.06.2009 | 17:16

L'agence européenne du médicament recommande le retrait dans toute l'Europe d'un médicament antidouleur controversé, le DXP, présent notamment dans le Di-Antalvic, et à l'origine de surdoses fatales depuis plusieurs années.


L'agence européenne du médicament (EMEA) a recommandé jeudi 25 juin le retrait dans toute l'Europe d'un médicament antidouleur controversé, le dextropropoxyphène (DXP), présent notamment dans le Di-Antalvic en France et à l'origine de surdoses fatales depuis plusieurs années.

Le comité de l'EMEA pour les médicaments à usage humain, réuni à Londres, a conclu que le risque présenté par ces produits, "particulièrement le risque de surdose mortelle", était plus élevé que leurs avantages, tandis qu'il n'y avait "pas de preuve que ces (produits) soient plus efficaces" que d'autres.

L'EMEA n'a pas non plus "identifié de mesure adéquate pour minimiser suffisamment les risques", comme un avertissement ou une limitation de la taille des boîtes. La commission européenne a 67 jours ouvrables pour donner son avis. Dans la plupart des cas, elle suit celui de l'EMEA.

Retrait progressif


En 2005, la Suède et le Royaume-Uni avaient retiré de leurs marchés nationaux l'alliance du DXP, un opiacé faible créé dans les années 60, et du paracétamol, après un nombre très important de décès par intoxications, volontaires ou non : 200 par an en Suède pour 9 millions d'habitants et entre 300 et 400 par an au Royaume-Uni pour 60 millions d'habitants.

Dans d'autres pays, comme la France, le nombre de décès s'était avéré bien inférieur. Une enquête menée au niveau national avait même montré que d'autres médicaments antidouleur dits de "palier II", comme le tramadol, avaient une toxicité supérieure à celle du DXP associé au paracétamol.

Devant ces différents résultats, la Commission européenne avait demandé en novembre 2007 à l'EMEA d'évaluer une fois pour toutes les risques et bénéfices de l'alliance DXP-paracétamol. En mars 2009, l'étude avait été étendue à tous les médicaments contenant du DXP.

Utilisé seul, le DXP est actuellement autorisé dans dix pays membres de l'Union européenne (la Belgique, le Danemark, l'Espagne, la Finlande, la France, la Grèce, l'Italie, le Luxembourg, les Pays-Bas, et la Suède). L'alliance DXP et paracétamol (parfois aussi avec de la caféine) est autorisée en Belgique, à Chypre, en France, au Luxembourg, à Malte et au Portugal.
L'EMEA a recommandé jeudi à ces Etats de retirer "progressivement" ces produits du marché, "pour permettre le transfert en toute sécurité des patients vers des thérapies alternatives appropriées".

"Conditions normales d'utilisation"
Pour sa part, l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) a annoncé aussitôt que le retrait se ferait "dans un délai de l'ordre d'un an" en France.

Sans ouvertement regretter la décision de l'EMEA, elle a rappelé que, pour sa part, elle avait demandé à l'EMEA de maintenir l'association DXP-paracétamol, estimant que celle-ci avait "un profil de sécurité d'emploi satisfaisant dans des conditions normales d'utilisation".
Elle a noté en substance qu'en France, on ne se suicide guère au DXP. Il existe selon elle en effet "des pratiques différentes en France dans le choix des médicaments en cas d'intoxication médicamenteuse volontaire, mais aussi dans le mode de conditionnement de ces produits et leurs conditions de délivrance".

En revanche, le CHU de Toulouse avait décidé dès juin 2005 de bannir l'association DXP-paracétamol. L'une des conséquences de cette mesure, étudiée par la revue Prescrire dans son numéro de juillet, avait été une augmentation de 19% en 2006 de la consommation d'antalgiques de palier I (paracétamol seul, aspirine, ibuprofène), moins forts que ceux de palier II (et encore moins que ceux de palier III, morphine etc...) et une diminution de 22% des antalgiques de palier II, sans que les patients s'en soient plaints, selon la revue. (Nouvelobs.com)

Source : NouvelObs

26/06/2009

Analyse d'une publicité pour l'implant sous-cutané Verimed

jeudi 25 juin 2009 - Mouvement "J.A.M.E.H.!"

(Jamais Avec La Manipulation Electronique de l’Humain)

Découvrez le site : http://www.jameh.org/index.htm

L'objet de ce site est d'alerter chacun sur le péril que causerait l'utilisation des micropuces et des implants électroniques à notre intégrité d'Etre Humain et aux Droits Fondamentaux de chacun.

L'intégralité du contenu de ce site n'est pas de la science fiction.Il n'est pas non plus une composition d'un créateur de hoax [canular] .Tout ce que vous découvrirez est véridique et le fruit d'un travail documentaire et d'information d'un certain nombre de citoyens.

Les infos et les illustrations sont vérifiables auprès de leurs sources, connues comme dignes de foi.

Le Mouvement "JAMEH !" Alliance éthique pour la sauvegarde du libre-arbitre

Analyse d'une publicité pour l'implant sous-cutané Verimed

Fichier à télécharger à partir du lien ci-dessous


Analyse d'une publicité pour l'implant sous-cutané Verimed vendu par la société Verichip et visionnable sur la vidéo ci-dessous :

Nous vous invitons à la visionner d'abord avant de poursuivre la lecture de ce document

Cette vidéo fait la promotion de l'implant sous-cutané à visée médicale, et joue sur ce principe :

"quelle personnalité influente en parle positivement pour valoriser le produit et son image ?"

Effectuant un temps d'arrêt à 22 secondes, nous pouvons constater les éléments suggestifs suivants qui apparaissent en arrière plan, mais dont l'attention est détournée par les graphismes mouvants et les logos de Verimed.

On y voit la mention suivante : "There when you need it" : Là quand vous avez besoin de lui !


VERICHIP - VeriMed System Will Guide ER Patient's Therapy
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Images subliminales dans la vidéo

 

Nouvelle image (2).png


Comité Consultatif National d'Ethique pour les Sciences de la Vie et de la Santé
http://www.jameh.org/pdf/avis098.pdf

 

Brzezinski prévoyait la provocation de l'Iran

Un petit rappel salutaire !

Brzezinski prévoyait en mars 2007 la provocation de l'Iran par les USA en cas d'échec US de la guerre en Irak.