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26/11/2011

Relier les points : Changements cosmiques, instabilité planétaire et météo extrême

Pour ceux qui nous écrivent en nous disant qu'il ne se passe rien sur la planète, ni dans le cosmos, et que nous raconterions des histoires, notamment sur la comète Elenin. Parce qu'il ne se serait rien passé et qu'il ne se passe rien selon eux.

Comme si Elenin était le seul élément cosmique à nous intéresser.

Au royaume des aveugles, les borgnes sont rois.

Ils feraient mieux de demander des obligations de résultats à leurs gouvernants, leurs scientifiques et leurs curés qu'ils paient et rémunèrent sur leurs propres deniers. Parce que nous voudrions voir des résultats sur toutes les belles théories qu'ils nous enseignent depuis des millénaires et non pas d'avoir à essayer de décoder tous leurs mensonges et manipulations pour tromper l'humanité par le biais de leur propagande merdiatique et leur soi-disant enseignement.

Si la vérité nous avait été toujours été dite, ce blog n'aurait pas lieu d'exister.
Or, s'il existe, c'est qu'il y a un réel problème avec les informations.

Pour voir s'il ne se passe rien du tout, nous vous invitons à prendre connaissance de cet article, très bien fait qui date du 23 juillet 2011, écrit par Sott Net.

Bien entendu il s'est passé beaucoup de choses depuis. mais cela donnera une idée plus précise à celles et ceux qui prétendent qu'il ne se passe toujours rien, ni dans le cosmos, ni sur notre belle planète.

L'article étant très long et comportant des vidéos, nous n'en mettons qu'un extrait, ici.

La suite sera à consulter sur le site de Sott Net.

Alarm Clock

Relier les points : Changements cosmiques, instabilité planétaire et météo extrême

© NASA / SDO
Vue de l’éjection de masse coronale depuis le Solar Dynamics Observatory le 7 juin 2011.

Avec les changements terrestres qui se produisent maintenant clairement et le temps qui presse, les éditeurs de Sott.net font face à l'urgence de se mettre à jour submergés par une avalanche de nouvelles importantes et d'essayer de donner un sens aux choses ! Les événements climatiques récents ont été sans précédent : le printemps et le début de l'été ont été, pour le moins, bizarres sur tout le globe.

Vous parlez de météo ou d'un type géologique de phénomène ; quelqu'un dans le monde y a eu droit : volcans, séismes, pluies torrentielles, inondations, trous terrestres, tornades, sécheresses, incendies... même de la neige en été ! Passons-les tous en revue du mieux que nous pouvons en commençant par le haut : le facteur cosmique.

Solar Activity
© Mike Borman
Image prise le 4 juin 2011
Lieu : Evansville en Indiana (États-Unis)


Les changements cosmiques sont en route

Les changements sur la planète Terre englobent une telle diversité de phénomènes, depuis les anomalies de météo extrême jusqu'aux volcans et séismes, que c'est peut-être une bonne idée de prendre du recul et de voir si nous pouvons donner un sens à tous ces changements dans le climat cosmique qui peuvent nous affecter. Oui, nous sommes conscients que cette approche va à l'encontre du discours officiel qui prétend que ces changements sont causés par les hommes brûlant du carbone qui vivent dans une bulle isolée qui ne peut que se réchauffer. Mais les pièces du casse-tête sur la table pointent vers une image différente et plus grande.

Une pièce centrale énorme est notre Soleil, ce qui n'est pas surprenant, puisque cette explosion permanente dans l'espace est ce qui donne de l'ordre dans notre coin de l'univers et la vie sur Terre. Ces deux dernières années, on s'attendait à ce que le Soleil entre en haute activité selon son cycle habituel de taches solaires de 11 ans. Mais les scientifiques se sont retrouvés à se gratter la tête lorsque notre étoile locale est restée tranquille. Maintenant elle délivre un tel spectacle d'éruptions que les scientifiques disent « ooh et ahh ».

Commentaire : Une énorme tempête solaire s'est déchaînée la semaine dernière. Certains l'ont appelée l'éruption solaire de plasma la plus massive jamais observée. Les astronomes de la NASA ont déclaré que l'énorme éruption solaire du 7 juin, appelée éjection de masse coronale, n'était probablement pas la plus grande jamais arrivée, mais elle est notable à la fois pour sa taille et son comportement étrange : des vagues massives de plasma furent éjectées du Soleil pour retomber sur la surface solaire.

« Nous voyons des choses que nous n'avons jamais vues auparavant, » a déclaré Phillip Chamberlin, un astrophysicien du Goddard Spaceflight Center de la NASA et scientifique de projet adjoint sur le satellite Solar Dynamics Observatory (SDO) de l'agence. « C'est un événement vraiment excitant. On s'attend à beaucoup de choses. »

Juste un jour ou deux avant l'éruption, le Soleil faisait ces vagues spectaculaires :

La suite : ICI

 

Le niveau de la mer montera-t-il plus vite que prévu ?

Un article de mai 2011 mais qui est toujours plus que d'actualité puisque le niveau des mers et des océans continue de monter partout dans le monde et que les banquises continuent de fondre plus que jamais.

Nous vous rappelons que la montée des eaux est l'un des facteurs d'inversion des pôles magnétiques et géographiques terrestres.

Voir nos articles précédents sur le sujet :

Le réchauffement climatique et la montée des eaux
http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2011/02/28/le-rechauffement-climatique-et-la-montee-des-eaux.html

L'inversion des pôles géomagnétiques entraînée par de brusques changements du niveau des mers
http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2011/02/27/l-inversion-des-poles-geomagnetiques-entrainee-par-de-brusqu.html

Ne vous reposez donc pas pour vous préparer, et quitter au moins les bords de mer, sur les mensonges du GIEC et son Climagate qui annonce soi-disant la montée des mers en 2100, car :

1 - la montée des niveaux des mers, se fait progressivement,

2- ils ne viendront pas vous prévenir pour partir des zones dangereuses.

 

Le niveau de la mer montera-t-il plus vite que prévu ?

Le 4 mai 2011 à 17h40

Par Jean-Luc Goudet, Futura-Sciences

Le Giec a été trop prudent dans ses conclusions, affirme l’Amap, qui surveille le climat des régions arctiques. La fonte des glaces, banquise et inlandsis, est plus rapide que ce que l’on pensait et pourrait induire une montée du niveau des océans de 0,90 à 1,60 mètre en 2100.

À la manière du Giec (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat) qui conseille les pays membres de l’ONU, l’Amap (Arctic Monitoring and Assessment Programme, programme de surveillance de l’Arctique) travaille pour les voisins de l’océan Arctique : Canada, Danemark, États-Unis, Finlande, Islande, Norvège, Russie et Suède. L’organisme vient de réaliser un rapport, élaboré sur la base d’études de climatologues, qui sera remis cette semaine à Hillary Clinton lors d’une réunion des représentants de ces pays le 12 mai prochain.

Ce rapport est déjà disponible (Snow, Water, Ice and Permafrost in the Arctic (SWIPA) 2011 - Executive Summary, au format PDF et en anglais, voir d'autres liens au bas de cet article). Il aboutit à des conclusions assez alarmistes. Selon lui, il faut s’attendre à la fin du siècle à une hausse du niveau des océans comprise entre 90 centimètres et 1,60 mètre. L’estimation est nettement supérieure à celle du Giec publiée en 2007 et qui indiquait entre 20 et 60 centimètres en 2100. Rappelons que le réchauffement du climat induit une hausse du niveau des mers par deux mécanismes : l’augmentation de volume des eaux superficielles due à l’élévation de température de l’eau (sa densité diminue) et fonte des grands réservoirs d’eau douce actuels, en particulier les inlandsis du Groenland et de l’Antarctique. D’après l’Amap, la régression des glaciers du Groenland aurait été quatre fois plus forte entre 2004 et 2009 que lors de la période 1995-2000.

Marée haute en 2100

Toujours selon le rapport, le Giec aurait été trop prudent dans ses estimations. Actuellement, la régression estivale de la banquise arctique (de l’eau de mer, dont la fonte ne provoque pas d’élévation du niveau de la mer) bat régulièrement des records et il est probable que l’océan Arctique sera libre de glace en été dans trente ou quarante ans, affirme le rapport. L’évolution dans les régions arctiques, où le réchauffement est plus important qu’aux latitudes plus basses, est rapide, souligne le rapport, comme on le remarque sur l’inlandsis groenlandais. La réduction annuelle de la couverture glaciaire est passée de 50 gigatonnes entre 1995 et 2000 à plus de 200 gigatonnes entre 2004 et 2008.

Ce n’est pas la première étude qui conduit à une prévision de hausse du niveau de la mer plus élevée que les pronostics du Giec. En 2009, plusieurs articles prédisaient entre 0,75 et 1,90 mètre à la fin du siècle. Très récemment, James Hansen et Makiko Sato concluent à une hausse qui pourrait aller jusqu’à 5 mètres ! Les mécanismes à l’œuvre sont en effet complexes, avec de nombreuses rétroactions, positives et négatives. Par exemple, la fonte de la neige ou de la glace accélère le réchauffement du sol qu’elle recouvrait puisqu’elle fait disparaître cette couche qui réfléchissait la lumière solaire. Ce phénomène vaut également pour la banquise, qui, par son pouvoir réflecteur, réduit l’échauffement de l’eau sous-jacente. La diminution de surface de cette banquise conduit donc à une élévation de la température de l’eau, surtout en été, ce qui, finalement, aboutit à une hausse du niveau.

Les hausses annoncées par ce rapport auraient à l’évidence des conséquences très lourdes sur la vie des populations côtières actuelles. La conférence réunissant les pays concernés aura donc un bon sujet de discussion…

 

Les régions polaires, et en particulier l'Arctique, vivent un réchauffement plus rapide que les faibles latitudes. © Amap (image extraite du rapport)
Les régions polaires, et en particulier l'Arctique, vivent un réchauffement plus rapide que les faibles latitudes. © Amap (image extraite du rapport)

Jean-Luc Goudet, Futura-Sciences

http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/climatologie-1/d/le-niveau-de-la-mer-montera-t-il-plus-vite-que-prevu_29962/

Chaos sur la planète, La menace Solaire. Documentaire M6

Regardez en tout premier lieu ce reportage de M6, intitulé : Chaos sur la planète : La menace solaire, pour que vous soyez préparés à ce qui nous attend entre les années 2012/2013.

LA NASA PREVOIT UNE GRANDE DEVASTATION en 2013.

Ensuite vous regarderez la seconde vidéo pour vous rendre compte des mensonges qui sont véhiculés par certains scientifiques de la NASA sur 2012 et sur l'existence de NIBIRU.

Nous n'avons jamais dit pour notre part que l'année 2012 marquerait la fin du monde, mais que nous rentrerons dans une nouvelle ère d'évolution.

Est-ce que nous devons ressortir à ce scientifique les preuves que des astronomes officiels avaient déjà découvert Nibiru en 1981 ?

Nibiru ou la planète X, n'existe pas ?

http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2009/11/13/nibiru...

Localisation de la planète X ou Nibiru

Rapport de 1988 par Robert Sutton Harrington de la NASA
nph-iarticle_query-Nasa 1988.pdf


Qui est Robert Sutton Harrington ?

 

 

 

Documentaire "Chaos sur la planète, La menace Solaire"


Chaos sur la planète, La menace Solaire par einstein-rosen-podolsky


2012 d'après la NASA

http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=bz89imr3U44



En image : la tempête sur Saturne n'en finit plus

Il faudrait demander au GIEC, si les hommes sont aussi responsables des tempêtes sur Saturne ? Ce qui prouve que le Soleil est en train d'agir sur toutes les planètes de notre système soaire et qu'il s'agit bien de changements cosmiques et non pas seulement planétaires.


En image : la tempête sur Saturne n'en finit plus

Le 21 novembre 2011 à 11h32

Par Jean-Baptiste Feldmann, Futura-Sciences

De mémoire d'astronome, on n'avait jamais connu de tempête aussi spectaculaire sur Saturne. Celle qui a débuté en décembre 2010 sévit toujours, sous les caméras de la sonde Cassini.

Il y aura bientôt un an que Christopher Go a découvert un panache blanc dans l'hémisphère nord de Saturne. Bien que de tels phénomènes atmosphériques ne soient pas exceptionnels sur les planètes gazeuses (en 2007 la sonde Cassini avait découvert une tempête électrostatique sur Saturne tandis qu'en 2010 Jupiter perdait sa bande équatoriale sud), l'astrophotographe philippin était loin de se douter qu'il venait d'assister à la plus importante tempête jamais observée sur la Planète aux anneaux.

Non, il ne s'agit pas de la palette d'un peintre s'essayant à des mélanges de couleurs, mais bien de la tempête observée sur Saturne par la sonde Cassini. 11 heures seulement entre les deux images suffisent à mettre en évidence des variations dans les panaches colorés.
Non, il ne s'agit pas de la palette d'un peintre s'essayant à des mélanges de couleurs, mais bien de la tempête observée sur Saturne par la sonde Cassini. Onze heures seulement entre les deux images suffisent à mettre en évidence des variations dans les panaches colorés. © Nasa/JPL-Caltech/Space Science Institute

Le record de durée (150 jours pour la tempête de 1903) a été pulvérisé depuis longtemps et personne ne sait ce qui arrêtera le phénomène. Les astronomes ont profité de l'opposition au cours du mois de mai dernier pour réaliser depuis la Terre de très nombreuses images.

Ce qui n'était au début qu'une formation cyclonique (constituée de remontées d'ammoniac) d'environ 10.000 kilomètres de diamètre s'est peu à peu étendu dans toute la bande tempérée nord, poussée par de puissants courants atmosphériques.

Huit mois de la vie d'une tempête sur Saturne.
Huit mois de la vie d'une tempête sur Saturne. © Nasa/JPL-Caltech/Space Science Institute

Féérie de formes et de couleurs

Si le spectacle dans nos télescopes est spectaculaire, il est sans commune mesure depuis la banlieue de Saturne où orbite la sonde Cassini depuis 2004. Cette dernière nous a envoyé un florilège d'images de cette tempête, toutes plus belles les unes que les autres, à découvrir sur le site de la mission. Pour Carolyn Porco, chef de l'équipe d'imagerie de la sonde Cassini, « c'est une grande chance d'être présent en orbite (avec Cassini) pour assister à ce phénomène extraordinaire. La tempête s'est propagée jusqu'à encercler complètement la planète dans une large bande kaléidoscopique où s'entrecroisent vagues, tourbillons et remous, créant une sublime extravagance visuelle ». En regardant les photographies, on comprend mieux cette envolée poétique de la scientifique.

Mosaïque en fausses couleurs réalisée à partir des images prises par la sonde Cassini. © Nasa/JPL-Caltech/<em>Space Science Institute</em>
Mosaïque en fausses couleurs réalisée à partir des images prises par la sonde Cassini. © Nasa/JPL-Caltech/Space Science Institute

25/11/2011

Climategate 2 : Les fraudes du Giec deuxième série !

Franchement, ils nous font rire avec leurs mensonges quand ceux, qui comme nous, ont recherché les réelles causes du réchauffement cosmique et non pas terrestre !

Tout est bon pour endormir les moutons et les laisser se reposer jusqu'en 2100, en leur faisant croire que tout va bien et qu'ils encore le temps de se préparer.

Sauf que les changements sont en cours depuis quelques décennies déjà et visibles pour ceux qui ont encore des yeux pour voir et des oreilles pour entendre.

Nous vous laissons apprécier cet article et les nouvelles fraudes du GIEC qui est un organisme intergouvernemental, politisé et à la botte de l'oligarchie et du Nouvel Ordre Mondial.

 

Nouvel Ordre Mondial: l’alchimie climatique de la fadaise du RCA refait surface dans un ClimateGate 2.0

De nouvelles informations sur l’escroquerie qu’est cette thèse du « réchauffement climatique anthropique » viennent d’être publiées. Bien évidemment ces informations ne sont pas reprises par les médias à la botte de l’oligarchie qui pousse toujours pour qu’on paie directement un impôt carbone aux banquiers pour financer leur Nouvel Ordre Mondial.

Beaucoup de consciences se sont éveillées depuis quelques années, mais profitons donc de ce ClimateGate 2.0 pour le redire: il n’y a pas plus de réchauffement climatique anthropique que de beurre en branche !

 

La science en bien des domaines est non seulement manipulée, mais nous pourrions dire carrément kidnappée au profit du même petit nombre qui pousse son agenda totalitaire et rétrograde.

 

– Résistance 71 –

 

Climategate 2.0: Une nouvelle publication de courriers électroniques refait tanguer le débat sur le réchauffement climatique

 

Par James Taylor

Le 23 Novembre 2011

Url de l’article original:

Climategate 2.0: New E-Mails Rock The Global Warming Debate
http://www.forbes.com/sites/jamestaylor/2011/11/23/climategate-2-0-new-e-mails-rock-the-global-warming-debate/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Une nouvelle série de 5000 courriers électroniques entre des scientifiques se situant au centre de l’étude sur la supposition que l’humain serait la cause de la crise du réchauffement planétaire global a été anonymement diffusée au public hier, déclanchant une nouvelle tempête de controverse près de deux ans après qu’une série similaire de courriels ait déclanché le scandale du Climategate (NdT: Novembre 2009)

Trois thèmes essentiels émergent de ces courriels nouvellement fuités:

  • Des scientifiques importants et centraux dans le débat du réchauffement climatique prennent des mesures pour cacher plutôt que de disséminer les données et discussions qui mènent à leurs conclusions,
  • Ces scientifiques perçoivent le réchauffement climatique comme une “cause politique” plutôt que comme une recherche scientifique équilibrée,
  • Bon nombre de ces scientifiques admettent franchement entr’eux que la plupart de la science sur le sujet est faible et dépendante d’une manipulation délibérée des faits et des données.

En ce qui concerne la transparence scientifique, une des caratéristiques qui définit la science est la diffusion et le partage sans retenue des données scientifiques, des théories et des procédures de façon à ce que des entités indépendantes et spécifiquement les sceptiques à une théorie ou une hypothèse particulière, puissent répliquer et valider les expériences ou observations faites. Les échanges de courriers électroniques entre les scientifiques impliqués dans le Climategate, en revanche, montrent un effort concerté de cacher plutôt que de disséminer les preuves et procédures inhérentes à leur travail.

“On m’a dit que le GIEC se situe au dessus de la loi du FOI (Freedom of Information, NdT: loi sur la liberté de l’information). Une des manières de se couvrir soi-même et tous ceux qui travaillent dans le AR5 serait de supprimer tous les courriers électroniques à la fin du processus” écrit Phil Jones, un scientifique travaillant pour le GIEC dans un courriel fraîchement publié.

“Tout le travail que nous avons fait a été fait en rapport avec les fonds de recherche que nous avons et doit être bien caché”, écrit Jones dans un autre courriel récemment publié. “J’ai discuté de cela avec le sponsor principal (US department of energy) dans le passé et ils sont contents de ne pas faire connaître les données originales de la station.”

Les courriels du Climategate originaux contenaient des preuves similaires de destruction d’information et de données que le public serait en droit de penser qu’elles seraient disponibles en accord avec les principes de la liberté d’information. “Mike, peux-tu effacer tous les courriels que tu aurais pu avoir avec Keith (Briffa) en référence à AR4 (4ème évaluation du GIEC)?” écrivit Jones au scientifique Michael Mann de Penn State University dans un courriel déjà publié au cours du Climategate 1.0, “Keith fera pareil… Nous allons demander à Caspar (Ammann) de faire pareil également. Je vois que le site CA(Climate Audit Website) affirme qu’ils ont découvert le problème de 1945 dans un article de “Nature” !”

Les nouveaux courriels révèlent également les tentatives des scientifiques de politiser le débat et d’avancer des conclusions prédéterminées.

“Le truc serait peut-être de décider sur le message principal et d’utiliser cela pour guider ce qui est inclus ou pas”, des rapports du GIEC, écrit Jonathan Overpeck, auteur principal et coordinateur de la plus récente évaluation du GIEC.

“J’ai laissé tomber avec (la professeure de climatologie au Georgia Institute of Technology) Judith Curry il y a un moment. Je ne sais pas si elle se rend compte de ce qu’elle fait, mais cela n’aide pas la cause”, écrivit Mann dans un autre de ces courriels fraîchement publiés.

“J’ai discuté avec des gens aux Etats-Unis afin de trouver un journaliste d’enquête pour enquêter et dénoncer “ le journaliste scientifique sceptique Steve McIntyre, écrit Mann dans un autre courriel.

Ces nouveaux courriers électroniques ajoutent du poids à ceux déjà révélés par le Climategate 1.0, révélant les efforts de politiser le débat scientifique. Par exemple, Tom Wigley, un scientifique de l’University Corporation for Atmospheric Research, était l’auteur d’un mail du Climategate 1.0 estimant que ses collègues scientifiques du Climategate “devaient se débarrasser” d’un rédacteur en chef d’une revue scientifique parce qu’il publia des articles en contradiction avec les estimations d’une crise de réchauffement climatique.

Plus encore que de révéler un code de mauvaise conduite et des motifs non valides, les nouveaux courriels publiés révèlent des admissions franches des faiblesses de la science au sujet des estimations sur le réchauffement climatique

“Les observations ne montrent pas d’augmentation des températures à travers toute la troposphère tropicale à moins d’accepter une seule étude et approche et d’omettre un bon nombre d’autres. Ceci est tout simplement dangereux. Nous devons communiquer le doute et être honnête. Phil, j’espère que nous pourrons trouver le temps pour en discuter si nécessaire.”, écrit Peter Thorne du Met office au Royaume-Uni.

“Je pense également que la science est manipulée afin d’y mettre une pirouette politique, ce qui pour notre sauvegarde, n’est peut-être pas très intelligent sur le long terme,” ajoute Thorne.

“Mike, les chiffres que tu as envoyé sont très trompeurs… Il y a eu un bon nombre de présentations malhonnêtes des résultats des modèles par des certains auteurs et par le GIEC lui-même!, reconnaît Wigley.

D’autres courriels certainement plus terribles seront sûrement découverts dans les jours qui viennent alors que des observateurs scrutent ces 5000 courriers électroniques. Ce qui est d’ores et déjà clair, est le besoin de recherches plus objectives et d’une conduite plus éthique de la part des scientifiques qui sont au cœur du GIEC et des discussions sur le réchauffement climatique.

James M. Taylor is senior fellow for environment policy at The Heartland Institute and managing editor of Environment & Climate News.

http://resistance71.wordpress.com/2011/11/24/nouvel-ordre...