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11/02/2012

Amasie, le futur supercontinent qui succédera à la Pangée en vidéo

Une preuve de plus que la Terre grandit et qu'elle est en expansion.


Amasie, le futur supercontinent qui succédera à la Pangée en vidéo


Le 10 février 2012 à 12h19

Par Laurent Sacco, Futura-Sciences
 
Dans plus de 50 millions d'années, un nouveau supercontinent devrait se former, d'après des géophysiciens de l'université de Yale. Nommé Amasie, il sera centré sur l'océan Arctique actuel, largement fermé par la fusion du continent américain et de l'Asie, rassemblés en haut de l'hémisphère nord.

L'article publié dans Nature aurait certainement intéressé Haroun Tazieff, Katia et Maurice Krafft. Un groupe de chercheurs y parle de tectonique des plaques, plus précisément de la théorie des cycles de Wilson.

La théorie de la tectonique des plaques est le cadre général et unificateur de la géologie moderne. Rétrospectivement, on a peine à croire que sa formulation date de moins de cinquante ans. C'est en effet seulement à la fin des années 1960 que les géophysiciens Jason Morgan, Dan Mc Kenzie et Xavier Le Pichon publient les articles fondateurs. Il aura fallu pour cela passer de la théorie de la dérive des continents d'Alfred Wegener à celle de l'expansion des fonds océaniques.

Paléomagnétisme et dérive des continents

Une science, tout particulièrement, aura permis cette révolution dans les sciences de la Terre : celle du paléomagnétisme. Des particules ferreuses s'orientant selon les lignes de champs magnétiques dans des laves en train de se refroidir vont permettre à Vines et Matthews de découvrir les fameuses zébrures magnétiques au fond de l'Atlantique. Mémoires fidèles des inversions du champ magnétique de la Terre déjà découvertes par Brunhes au début du XXe siècle, les basaltes océaniques de part et d'autre de la dorsale médio-océanique au fond de l'Atlantique ne laissent pas d'autre choix que d'accepter que les continents dérivent bel et bien.

Amasia the Next Supercontinent Movie 1
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&...

Une reconstitution du ballet des continents sur les derniers 500 millions d'années d'après des chercheurs de l'Université de Yale. © Yale University-Sergeytule-YouTube

Les enregistrements magnétiques de la Terre n'indiquent pas seulement que son champ s'inverse périodiquement. On peut aussi s'en servir pour déterminer des changements de latitudes et des rotations de continents dans le temps. En effet, une boussole voit son aiguille légèrement dévier de l'horizontale en fonction de la latitude du lieu car elle suit les lignes de champ magnétique. L'aimantation rémanente dans une roche volcanique indique donc non seulement la direction du pôle magnétique à ce moment-là mais aussi la latitude de la roche à la période où elle s'est formée.

Les vieilles montagnes et terrains datant de la même époque et présentant une même nature, que l'on peut trouver par exemple de part et d'autre de deux blocs continentaux autrefois soudés, sont des vestiges de collisions entre plaques. Il est possible, en joignant ces informations à celles données par le paléomagnétisme, de reconstituer approximativement la dérive des continents.

Après la Pangée, trois futurs supercontinents possibles

On a découvert de cette manière qu'avant le supercontinent baptisé Pangée (300 millions d'années), devait en exister au moins un autre appelé Rodinia (1,1 à 0,7 milliard d'années) et avant lui encore un autre que l'on nomme Columbia (1,8 à 1,5 milliard d'années). Les archives géologiques sont compatibles avec une hypothèse avancée il y a des dizaines d'années par le géophysicien canadien Tuzo Wilson. Tous les 400 millions d'années environ, un supercontinent se formerait pour ensuite se fragmenter et enfin se rassembler. Il s'agit de la théorie des cycles de Wilson.

La configuration du prochain supercontinent proposée par les géophysiciens. Ce sera l'Amasie (Amasia en anglais). © Mitchell et al, Nature

La configuration du prochain supercontinent proposée par les géophysiciens. Ce sera l'Amasie (Amasia en anglais). © Mitchell et al., Nature

Se pose alors une question : à quoi ressemblera le prochain supercontinent ? L'ouverture de l'Atlantique va-t-elle se poursuivre jusqu'à ce que le Japon et la Chine entrent en collision avec l'Amérique du Nord et le Mexique, à 180 ° de l'Afrique ? C'est la théorie de l'extraversion.

Ou bien cette ouverture va-t-elle finir par s'arrêter pour finalement s'inverser ? C'est la théorie de l'intraversion. Cette dernière hypothèse pourrait s'avérer la plus probable étant donné que la chaîne des Appalaches allant du sud au nord des États-Unis témoigne d'une ancienne collision entre continents, avant la formation de la Pangée justement.

Aucune de ces deux hypothèses ne serait la bonne d'après l'article publié dans Nature par des chercheurs de l'université de Yale. Selon eux, d'après les dernières données des archives paléomagnétiques et autre archives paléogéographiques, chaque fois qu'un nouveau supercontinent se forme, il le ferait à 90 ° du centre du précédent.

Selon cette théorie de l'orthoversion proposée par Ross N. Mitchell et ses collègues, si l'on se base sur les mouvements actuels des plaques tectoniques et les analyses paléomagnétiques qu'ils ont effectuées, d'ici 50 à 200 millions d'années, le nouveau supercontinent se retrouvera centré sur les régions polaires boréales.

La mer des Caraïbes et l'océan Arctique disparaîtront. L'Amérique du Sud pivotera avec la Terre de Feu remontant vers le nord, en même temps que l'Alaska et le Canada entreront en collision avec le nord-est de l'Asie, comme le montre une carte du futur supercontinent proposée par les géophysiciens.

Puisqu'il se manifeste par la collision entre l'Amérique du Nord et l'Asie, ce supercontinent a été baptisé Amasie par les chercheurs. Il semble cependant peu probable que l'humanité soit encore présente sur Terre à ce moment-là et encore moins sous sa forme actuelle. La théorie de l'orthoversion ne sera donc jamais véritablement testée...

http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/physique-1/d/ama...

 

Vers la formation d'un nouveau supercontinent?

Et il ne passerait rien sur Terre comme transformations ? Dans des millions d'années, vraiment, se formerait un nouveau supercontinent ?

Ou la Terre serait-elle en train de se transformer pour son ascension et elle serait en pleine expansion ?

Ce qui expliquerait les éruptions volcaniques, les changements climatiques, les intempéries, les morts d'animaux dans le monde et les tremblements de terre.

Vers la formation d'un nouveau supercontinent?

Par LEXPRESS.fr, publié le 10/02/2012 à 09:16

 Vers la formation d'un nouveau supercontinent?

Les continents de la Terre devraient fusionner dans plusieurs millions d'années, affirme l'étude parue dans la revue Nature.

REUTERS/Pawel Kopczynski

L'Amasie, issue de la fusion des Amériques avec l'Europe et l'Asie, devrait voir le jour dans plusieurs millions d'années, selon une étude parue dans la revue Nature

Et si le globe terrestre formait un nouveau continent autour du Pôle Nord? Tel est, en tout cas, ce que revèle une étude, parue, ce jeudi, dans la revue scientifique britannique Nature.  

Ce nouveau supercontinent, baptisé "Amasie", né de la fusion des Amériques avec l'Europe et l'Asie, pourrait se créer dans 50 à 200 millions d'années, suite aux mouvements progressifs des continents pendant des dizaines de millions d'années. L'Afrique et l'Australie se déplaceraient aussi vers le Nord. 

Au cours de l'histoire de la Terre, des supercontinents - la Pangée, Rodinia, Nuna - se sont assemblés tous les 700 à 800 millions d'années, avant de se disloquer. 

Hypothèses contradictoires

Le ballet des supercontinents repose-t-il sur des règles précises permettant de savoir où sera créé le suivant? Ross Mitchell et ses collègues de l'Université de Yale (Etats-Unis) ont cherché à savoir comment se déplacent les continents, alors que la croute terrestre est constituée d'une mosaïque de plaques flottant sur la matière du manteau. La Pangée, dernier supercontinent créé voici quelque 300 millions d'années, avait regroupé les masses terrestres au niveau de l'équateur, en les concentrant autour de la position actuelle de l'Afrique de l'Ouest. 

Deux hypothèses contradictoires avaient jusque là été formulées: le successeur de la Pangée se reformerait à la place de son prédécesseur ("introversion"), ou au contraire, dans l'hémisphère opposé ("extroversion") mais toujours au niveau de l'équateur. 

Fusion des deux Amériques

L'équipe de Ross Mitchell propose un troisième modèle - "orthoversion"-, selon lequel l'Amasie devrait se créer à un angle de 90° par rapport à l'ancienne Pangée, c'est-à-dire au niveau de l'Arctique, et non à proximité de l'équateur. Les Amériques resteraient au niveau de la ceinture de feu du Pacifique, marquant les zones de subduction, c'est-à-dire là où les plaques tectoniques s'enfoncent sous la croute terrestre. Les deux Amériques fusionneraient, avant de migrer vers le Nord, et d'entrer en collision avec l'Europe et l'Asie, là où se situe approximativement le pôle Nord. 

Les chercheurs estiment que leur modèle est cohérent avec l'analyse du magnétisme d'anciennes roches qui ont gardé la trace de l'orientation du champ magnétique terrestre au moment de leur formation. 

Voici quelque 300 millions d'années, la Pangée se serait formée à environ 90° de la position du précédent supercontinent, Rodinia. Et la création de Rodinia, voici 1 milliard d'années, aurait obéi à la même règle, par rapport à la position de son prédécesseur Nuna ayant existé il y a 1,8 milliard d'années. 

Avec
 
http://www.lexpress.fr/actualite/sciences/vers-la-formati...

01/02/2012

Orage magnétique: la fuite des électrons démasquée

Cet article qui traite des orages magnétiques et de la ceinture de radiations ou ceinture de Van Allen, tombe à pic pour diverses raisons.

La vidéo ci-dessous portant sur les rayons cosmiques, leurs effets délétères sur la santé de l'homme et sur les modifications de notre ADN tombe à pic pour que nous ayons des réponses aux questions que nous nous posons sur la future ascension de l'ensemble de notre système solaire au travers de la ceinture de photons ou de l'anneau de lumière d'Alcyone, et sur notre évolution neurologique et spirituelle en cours. Anneau de lumière d'Alcyone dont les vibrations sont tellement puissantes qu'elles ont la capacité de transformer la matière en profondeur, d'activer notre ADN et d'apporter tous les changements que nous observons sur Terre actuellement. Cataclysmes, anomalies gravitationnelle du noyau de Terre, fonte des banquises, mouvements des plaques tectoniques, tremblements de terre, tsunami, intempéries, disparation des espèces animales ou végétales et apparitions de nouvelles espèces adaptées aux nouvelles énergies, soit les nouveaux germes de vie qui apparaissent sur notre planète. Près de 18 000 espèces ont été découvertes en 2011, Quarante-six nouvelles espèces animales découvertes au Surinam, Découverte de nouvelles espèces marines, etc...

Notre Système solaire se trouverait sur un bras de la Galaxie et il serait en train d'ascensionner vers son centre. Nous serions actuellement dans les turbulences de l'anneau de lumière d'Alcyone et il semblerait que la Terre sera la dernière planète à traverser cet anneau pour nous permettre de faire notre saut quantique prévu pour le 21 décembre 2012.

Sur la base de cette vidéo :

1 - nous pouvons comprendre ce qui se passe actuellement pour l'activation de notre ADN en vue de notre évolution neurologique et spirituelle prochaine. ADN dont l'un des brins sur 12 sera activé, non seulement grâce aux radiations solaires mais aussi grâce aux radiations et vibrations qui nous arrivent à partir de la ceinture de photons ou bande photonique ou encore l'anneau de Lumière d'Alcyone que nous devons traverser complètement pour faire notre saut quantique à l'horizon de la date du 21 décembre 2012.

2 - il va falloir que les scientifiques de la NASA nous expliquent quelles sont les technologies qu'ils utilisent pour permettre aux fusées et aux astronautes de traverser la ceinture de radiations ou ceinture de Van Allen, sans dégâts, quand nous savons que pour traverser celle-ci, il faudrait que les parois des fusées soient en plomb et qu'elles mesurent 2 mètres d'épaisseur et que les astronautes aient des combinaisons en plomb pour les protéger des brûlures profondes et lésions produites par ces radiations. Or, les fusées semblent être fabriquées dans un alliage d'aluminium ainsi que les combinaisons des astronautes. C'est-à-dire tout ce qu'il faut pour cuire dans un four à micro-ondes. Imaginons quels effets peuvent donc produire les radiations solaires et cosmiques sur les fusées et notamment sur les astronautes.

En admettant qu'ils puissent franchir la ceinture de Van Allen et passer l'obstacle de l'attraction terrestre qui devrait ramener tous les objets volants vers la Terre, et une fois qu'ils ont perdu la force de propulsion des réacteurs, le carburant n'étant pas éternel dans les réservoirs que nous sachions. Il va falloir qu'ils nous expliquent quelle est la force de propulsion qui leur permet de voyager dans l'espace pour aller sur la lune ou sur d'autres planètes par exemple, s'ils ne connaissent pas les passages multidimensionnels et sans maîtriser les lois de l'anti-gravité.

Les questions sont posées.

Pour aller plus loin dans les réflexions.

Rayons Cosmiques et Modifications de l'ADN
http://youtu.be/VUk1iKxzC7Q


Source : http://videos.next-up.org/Arte/ExtraitRayonsCosmiquesMagn...

Espace : L'homme peut-il franchir les ceintures de Van Allen ?
http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2009/07/18/1.html

L'homme n'a jamais marché sur la Lune
http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2009/06/21/impost...

Alcyone, le Grand soleil Central et son anneau de Lumière ou bande photonique
http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2011/09/11/alcyone-le-grand-soleil-central-et-son-anneau-de-lumiere-ou.html

Anneau de Lumière d'Alcyone et l'ascension
http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2011/04/03/anneau...


Orage magnétique: la fuite des électrons démasquée

Créé le 30-01-2012 à 18h19 - Mis à jour le 31-01-2012 à 12h21  

Cécile Dumas

Par Cécile Dumas

Dans les deux grandes ceintures de radiations qui entourent la Terre, se produisent parfois de brusques disparitions d'électrons... Ils s'échappent dans l'espace, affirment des physiciens.

 

Modélisation des variations des ceintures de radiations -lorsque les particules entrent et sortent- entre octobre et novembre 2003 d'après les données du satellites SAMPEX.
(NASA/Goddard Scientific Visualization Studio)

Modélisation des variations des ceintures de radiations -lorsque les particules entrent et sortent- entre octobre et novembre 2003 d'après les données du satellites SAMPEX. (NASA/Goddard Scientific Visualization Studio)

Le Soleil nous a livré ces dernières semaines de beaux exemples de tempêtes qui viennent perturber la magnétosphère, ce bouclier créée par le champ magnétique de notre planète. Les aurores qui illuminent le ciel boréal témoignent de l'orage magnétique déclenché par les bourrasques de vent solaire. Dans ces moments-là, la pression s'accroit sur ces deux grosses oreilles qui entourent la Terre: les ceintures de radiations, composées de protons et d'électrons de haute énergie.

Curieusement, certains orages magnétiques s'accompagnent d'une réduction soudaine du flux d'électrons dans ces structures, appelées ceintures de Van Allen. Alors que l'on pourrait s'attendre au contraire à une augmentation du flux lorsque le vent solaire souffle plus fort.. Que deviennent ces électrons ? Sont-ils en fuite dans le milieu interplanétaire ? Tombent-ils au contraire vers l'atmosphère terrestre ? Ou bien sont-ils rendus indétectables ?

Cette question demeure ouverte depuis les années 60, depuis la découverte des ceintures de radiation par Van Allen (1). Pour en savoir plus, des chercheurs de l'Université de Los Angeles (UCLA, Etats-Unis) ont combiné les points de vue de 6 satellites d'observation de la Terre, dont la flotte des trois satellites THEMIS de la Nasa, lors de l'orage géomagnétique du 6 janvier 2011.


Ceintures de Van Allen: où passent les électrons

http://www.dailymotion.com/video/xo6lzu_ceintures-de-van-...


Modélisation des variations des ceintures de radiations lors des orages magnétiques-lorsque les particules entrent et sortent- entre octobre et novembre 2003 d'après les données du satellites SAMPEX.(NASA/Goddard Scientific Visualization Studio)

Ce jour-là, le flux d'électrons, accélérés à une vitesse frôlant celle de la lumière, a chuté pendant six heures. Les données satellites ne montrent pas d'augmentation du nombre de particules tombant vers l'atmosphère. En revanche, les mesures révèlent une zone de faible densité qui s'étend depuis les bords extérieurs des ceintures vers l'intérieur.

Orage magnétique la fuite des électrons démasquée Espace

 http://www.youtube.com/watch?v=MWRoFVWQ3GA&feature=pl...

Ces résultats, publiés le 29 janvier dans la revue Nature Physics, montrent donc que les électrons manquants sont essentiellement arrachés aux ceintures de radiations par les particules de vent solaire au pic de leur activité. 

Les physiciens auront dans quelques mois de nouveaux outils pour étudier ces phénomènes, avec la mission RSPB (Radiation Belt Storm Probes), qui doit être lancée en août 2012, et dont les sondes vont opérer depuis les ceintures de radiation. Il est important pour les missions d'exploration spatiale, notamment les missions habitées, mais aussi pour les satellites, de connaître le comportement et la dangerosité des ceintures de Van Allen. Les particules électriquement chargées et relativistes (accélérées à des vitesses proche de celle de la lumière) peuvent en effet mettre hors course les systèmes électroniques des satellites. Ces radiations sont par ailleurs dangereuses pour les organismes vivants.

C.D.
Sciences & Avenir.fr
30/01/12

(1)  Grâce au premier satellite américain Explorer-1 lancé en 1958, équipé d'un détecteur de particules, le phusicien Van Allen a découvert l'existence de ces ceintures de radiations.

http://www.sciencesetavenir.fr/espace/20120130.OBS0168/or...

 

L'étoile polaire perd de sa masse !

Après la découverte d'Une anomalie gravitationnelle intense enregistrée dans le noyau terrestre ! , qui s'est produite sans que l'on nous le dise, le 15 novembre 2011, voici que maintenant, c'est l'étoile polaire qui se fait la malle, en perdant de sa masse.


Grâce au Ciel nous avons des journalistes scientifiques très compétents qui ne parlent pas non plus de ce nouveau phénomène.

Une preuve de plus qu'ils sont payés pour se taire, pratiquer la censure et lancer des fausses propagandes tous azimuts pour tromper les peuples.
 
Vous ne trouvez pas que cela fait beaucoup pour continuer à croire qu'il ne se passe RIEN dans le cosmos ni sur Terre, avec tout ce que nous enregistrons depuis ces dernières années, comme cataclysmes, morts de millions d'animaux dans le monde, la disparation d'espèces animales et la découverte de plus 18 000 espèces d'animaux, etc.. ?

Ce sont aussi les hommes et le CO2 qui est un gaz naturel présent dans tout l'Univers qui provoquent aussi la perte de la masse de l'étoile polaire ?
 
Et si la Terre était vraiment en train d'inverser ses pôles magnétiques avec tout ce remue ménage cosmique et terrestre ?

Soyez assurés aussi, qu'ils ne viendront pas vous le dire parce que les moutons doivent travailler comme des esclaves pour les élites Illuminati, jusqu'à la dernière seconde.

La preuve des travaux effectués sur ces recherches par les scientifiques et le dossier à télécharger : ICI

Une traduction partielle de l'article en français en bas de l'article.


ScienceNOW - Up to the minute news from Science

North Star peuvent être Wasting Away

Le fichier : THE PERIOD CHANGE OF THE CEPHEID POLARIS SUGGESTS ENHANCED MASS LOSS
 
 

THE PERIOD CHANGE OF THE CEPHEID POLARIS SUGGESTS ENHANCED MASS LOSS

Hilding R. Neilson et al. 2012 ApJ 745 L32 doi:10.1088/2041-820


 
L'étoile polaire est-elle en train de s'effilocher ?

Lundi 30 janvier 2012 | Mise en ligne à 14h36 |

La plus célèbre de toutes les étoiles, Polaris, ou simplement «l'étoile polaire», qui donne le nord depuis des siècles, pourrait être en train de s'effilocher petit à petit, perdant en gaz l'équivalent de la masse de la Terre à chaque année, d'après une étude parue dans Astrophysical Journal Letters.

Menés par l'astrophysicien Hilding Neilson, de l'Université de Bonn, les travaux portent sur environ 160 ans de données, plus précisément sur sa brillance. Celle-ci suit un cycle de 4 jours au cours desquels les gaz de la surface, sous l'effet de la gravité, s'enfoncent vers le centre de Polaris et laissent derrière eux une couche plus opaque qui réduit la quantité de lumière émise. Cette couche finit cependant par être chauffée par l'étoile, qui du coup prend de l'expansion et devient alors moins opaque.

Mais les données examinées par M. Neilson et son équipe montrent que ce «pouls» n'est pas constant : comme l'écrit ce compte-rendu de Science, il s'est au contraire étiré de 4,5 seconde par année en moyenne depuis le milieu du XIXe siècle. Ce qui suggère que la structure de l'étoile est en train de changer.

Or, écrivent les chercheurs, si Polaris est comme on le croit une vieille étoile qui «brûle» de l'hélium, alors ce ralentissement ne peut pas s'accorder avec nos modèles du vieillissement des astres, et la seule façon de raccommoder les observations avec lesdits modèles serait que Polaris perde des gaz.

Notons qu'un autre chercheur, David Turner, de l'Université St Mary's, a affirmé à Science qu'il demeure possible que l'étoile polaire ne soit pas aussi vieille qu'on le pense, et qu'au lieu d'osciller avec des couches internes qui vont vers l'extérieur et vice-versa, toutes ses couches pourraient «gonfler» et rétrécir à l'unisson. La perte de masse ne serait alors pas nécessaire pour expliquer les observations.

http://blogues.cyberpresse.ca/sciences/2012/01/30/letoile...


La Estrella Polar disminuye, según los astrónomos
http://actualidad.rt.com/ciencia_y_tecnica/cosmos/issue_3...



Polaris - 1201.0761v2.pdf

31/01/2012

La NASA prise en flagrant délit de mensonge. Oubliez le réchauffement !

Article 3 : Et hop 4 jours après il faut oublier le réchauffement climatique car ils nous annoncent que nous rentrerions dans une nouvelle ère glacière !

Où est passé le CO2 qui provoquait le réchauffement dit planétaire ?

Ils se moquent de qui ?

Acte 1 : Mensonge 1
2011, année la plus chaude dans l'Arctique depuis 50 ans, selon un expert

Article 2 : Mensonge 2 et fabrication d'une fausse vidéo  par la NASA pour nous impressionner
La NASA retrace l'histoire du réchauffement climatique
entre les années 1880-2011


Et maintenant on fait quoi du CO2 et de la culpabilisation de l'homme qui serait soi-disant responsable du réchauffement planétaire ?


Vous remarquerez dans l'article ci-dessous qu'ils parlent du fait que les aurores boréales dues aux dernières explosions solaires et aux derniers orages magnétiques, ne se seraient pas produites aux endroits habituels.

Et alors ? Cela n'attire pas leur attention sur une possible inversion des pôles magnétiques terrestres en cours ?

Cela n'attire pas non plus leur attention sur le fait que le soleil et l'anneau d'Alcyone ou bande photonique que nous sommes en train de traverser en ce moment, sont les uniques causes du réchauffement planétaire qui est cosmique de toute façon, et que tous ces processus attestent que l'ensemble de notre système solaire est bien en train d'ascensionner vers le centre de la Galaxie pour se préparer à notre prochain saut quantique prévu pour le 21 décembre 2012 ?

Cela n'attire pas non plus leur attention sur le fait que les vibrations de l'anneau d'Alcyone ou bande photonique ou encore ceinture de photon, dégagent des vibrations tellement puissantes qu'elles transforment la matière en profondeur et qu'elles sont aussi la cause de la fonte des banquises. Ce dernière phénomène pouvant produire une inversion des pôles magnétiques terrestres dès que le niveau des mers et des océans s'élèvera ?

Ils le savent, sauf qu'il ne faut pas nous le dire pour nous permettre de nous préparer, mais il faut aussi selon eux que la population mondiale soit réduite des 2/3 avant le 21 décembre 2012. Plus qu'ils ont la peur que nous puissions nous retourner contre eux après nous avoir menti non seulement depuis des millénaires mais aussi sur les réelles causes du réchauffement cosmiques.



 Oubliez le réchauffement !

Voici l'article évoqué par Ultraman ce matin. Il semblerait que dans les médias de masse, on parle de plus en plus de l'imminence d'un retour à un mini-âge glaciaire, et surtout en prenant en compte le rôle joué par le soleil.
 
Oubliez le réchauffement climatique – c'est le cycle 25 dont il faut s'inquiéter (et si les scientifiques de la NASA ont raison, la Tamise sera à nouveau prise par les glaces)

L'office météorologique publie de nouveaux chiffres qui ne montrent aucun réchauffement depuis 15 ans


Par David Rose, Mail Online


29 janvier 2012


Le supposé 'consensus' sur un réchauffement climatique causé par l'homme se retrouve face à un défi gênant après la publication de nouvelles données de températures montrant que la planète ne s'est pas réchauffée pendant les 15 dernières années.


Les chiffres suggèrent qu'on pourrait même aller vers un mini-âge glaciaire qui rivaliserait avec la chute de température qui a duré 70 ans et avait permis au 17ème siècle des kermesses sur la Tamise gelée.


Basées sur des lectures de plus de 30.000 stations de mesure, les données ont été publiées sans fanfare par l'office météorologique et l'unité de recherche climatique de l'université d'East Anglia. Elles confirment que la tendance à une élévation des températures mondiales s'est terminée en 1997.

Une peinture de 1684 dépeint une des  kermesses les plus glacées sur la Tamise pendant le petit âge glaciaire




Pendant ce temps des scientifiques climatiques de premier plan ont déclaré dimanche au Mail qu'après avoir émis inhabituellement des niveaux élevés d'énergie au cours du 20ème siècle, le soleil se dirige aujourd'hui vers un 'grand minimum' de production, menaçant d'étés froids, d'hivers plus rudes et d'un raccourcissement de saison disponible pour les cultures.

La production solaire traverse des cycles de 11 ans, avec un nombre élevé de taches solaires au moment des pics.


Nous sommes maintenant à ce qui devrait être le pic du dénommé 'cycle 24' – qui a donné la semaine dernière une tempête solaire avec des aurores boréales plus au sud que d'habitude. Mais le nombre des taches solaires diminue de moitié par rapport à celles observées pendant le pics des cycles du 20ème siècle.


Les analyses des experts de la NASA et de l'université d'Arizona – dérivées de mesures du champ magnétique à plus de 220.000 km sous la surface du soleil – suggèrent que le cycle 25, dont le pic est attendu en 2022, sera encore beaucoup plus faible.


Selon l'article publié la semaine dernière par l'office météorologique, il y a 92% de chance qu'aussi bien le cycle 25 et ceux qui suivront les décennies suivantes seront aussi faibles, ou plus faibles que ceux de la période du ''Minimum de Dalton'' entre 1790 et 1830. A cette époque, nommée d'après le météorologue John Dalton, les températures moyennes d'Europe ont chuté de 2°C.


Il est cependant possible également que la nouvelle chute de l'énergie solaire puisse être aussi importante que le ''minimum de Maunder'' (d'après l'astronome Edward Maunder), entre 1645 et 1715 au moment le plus froid du 'petit âge glaciaire' quand on donnait des fêtes sur la Tamise gelée et que les canaux en Hollande avaient gelé.


Moyenne des températures mondiales entre 1997 et 2012

Cependant, dans son article, l'office météorologique a déclaré que les conséquences aujourd'hui seraient  négligeables – parce que l'impact du soleil sur le climat est largement inférieur à celui du dioxyde de carbone d'origine humaine. Bien que la production solaire est supposée décroître jusqu'en 2100, ''Cela ne causerait une réduction des températures mondiales que de 0,08°C.'' Peter Scott, l'un des auteurs, a dit :''nos découvertes suggèrent qu'une réduction de l'activité solaire à des niveaux inconnus depuis des centaines d'années serait insuffisante pour compenser l'influence dominante des gaz à effet de serre.''

Ces découvertes sont farouchement discutées par d'autres experts solaires.

''Les températures mondiales peuvent se retrouver plus froides qu'aujourd'hui pendant 50 ans ou plus'', a dit Henrik Svensmark, directeur du centre de recherche climatique à l'institut spatial du Danemark. '' Ce sera une longue bataille pour convaincre certains scientifiques en climat que le soleil est important. Il est possible que le soleil en fasse lui-même la démonstration sans l'aide de quiconque.''

Il a souligné que, en déclarant l'effet d'un minimum solaire faible, l'office météorologique se reposait sur les mêmes modèles informatiques infirmés par l'actuel pause du réchauffement climatique.




Les niveaux de CO2 ont continué à augmenté sans interruption et, en 2007, l'office météorologique a déclaré que le réchauffement climatique allait revenir en force. Il disait qu'entre 2004 et 2014 il y aurait un accroissement général de 0,3°C. En 2009 il a prédit qu'au moins trois années entre 2009 et 2014 battraient les précédents records de température de 1998.
 

Cycles d'activité solaire entre 1749 et 2040

Pour l'instant il n'y a aucun signe de l'imminence de tout cela. Mais hier un porte-paroles de l'office météorologique a insisté que ses modèles étaient toujours valables.

''Une projection à 10 ans reste une science d'avant-garde. La période annoncée pour la projection n'est pas encore terminée'', a-t-il dit.


Le Dr Nicola Scafetta, de l'université Duke en Californie du nord, est l'auteur de plusieurs articles qui discutent des modèles climatiques de l'office météorologique concernant un 'réchauffement constant depuis 2000 jusqu'à aujourd'hui'.


''Si les températures continuent de rester stationnaires ou repartent vers un nouveau refroidissement, la différence entre les modèles et les données enregistrées deviendra finalement si importante que la communauté scientifique tout entière remettra en question les théories actuelles'', a-t-il dit.


Il pense que comme le modèle de l'office météo attache une plus grande signification au CO2 qu'au soleil, il est tenu de conclure qu'il n'y aurait pas de refroidissement. ''la vraie question est de savoir si le modèle lui-même est précis'', a dit le Dr Scafetta. Par ailleurs, l'un des plus éminents experts en  climatologie, le Pr Judith Curry de l'institut de technologie de Géorgie, a déclaré penser que la prédiction confiante de l'office météo d'un impact négligeable était difficile à comprendre.

''Ce qu'il serait responsable de faire serait d'accepter le fait que les modèles peuvent avoir de sérieux défauts en parlant de l'influence du soleil'', a dit le Pr Curry. Quant à l'interruption du réchauffement, elle a dit que de nombreux scientifiques ''ne sont pas surpris.''
 
 

400 ans d'observation des taches solaires

Elle a fait remarquer qu'il devenait manifeste que des facteurs autres que le CO2 jouent un rôle important dans l'élévation ou la diminution de la chaleur, comme les cycles de 60 ans de température de l'eau du Pacifique et de l'Atlantique.

''Ils ont été insuffisamment appréciés en terme de climat mondial'', a-t-elle dit. Quand ces deux océans étaient froids dans le passé, comme entre 1940 et 1970, le climat s'est refroidi. Le cycle du Pacifique est repassé du chaud au froid en 2008 et l'Atlantique est supposé s'inverser aussi dans les prochaines années.


Pal Brekke, conseiller du centre spatial norvégien, a dit que des scientifiques ont trouvé difficile à accepter l'importance des cycles de l'eau, parce que le faire c'est admettre que ce sont les océans – et non le CO2 – qui ont été la cause du réchauffement climatique entre 1970 et 1997.


Même chose pour l'impact solaire – qui était très actif pour la plus grande partie du 20ème siècle.
''La nature est sur le point de réaliser une très intéressante expérience, d'ici 10 ou 15 ans nous pourrons beaucoup mieux déterminer si le réchauffement du siècle dernier était vraiment causé par le CO2 humain ou par des variations naturelles.''


Pendant ce temps, depuis la fin de l'année dernière, les températures mondiales ont chuté de plus d'un demi-degré par la ré-émergence de l'effet de refroidissement de 'La Nina' dans le Pacifique sud.


''Nous sommes bien dans la deuxième décennie de pause,'' a dit Benny Peiser, directeur de la fondation politique de réchauffement climatique. ''Si nous ne voyons pas de preuve évidente d'un réchauffement climatique d'ici 2015, il deviendra clair que les modèles sont ratés. Et s'ils le sont,  certains scientifiques pensent que ces implications pourraient être très sérieuses.''


SOURCE
Traduit par Hélios