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17/10/2016

«Qu'ils ne comptent pas là-dessus!»: Poutine n'entend pas annuler les contre-sanctions

«Qu’ils ne comptent pas là-dessus!»: Poutine n’entend pas annuler les contre-sanctions
17:38 16.10.2016

Poutine n’entend pas annuler les contre-sanctions

 

Lors de la conférence de presse qui s’est tenue à l’issue du sommet des BRICS à Goa, à la question de savoir si les contre-mesures économiques russes seraient assouplies au moins partiellement, le président russe Vladimir Poutine a répondu que l’Occident pouvait toujours courir.

 
Poutine a fait remarquer que même si la Russie avait introduit les restrictions économiques « consciemment » et qu'il s'agissait d'une « réponse asymétrique », elles n'avaient pas été introduites uniquement en réponse aux sanctions occidentales et seulement dans les domaines où c'était bénéfique pour la Russie.

A la question de savoir si l'assouplissement des contre-mesures de la part de la Russie était possible, le leader russe a répondu de manière très claire:

« qu'ils ne comptent pas là-dessus ».

Et de poursuivre :

« Je vais essayer de développer mon idée. Je ne considère pas que nos contre-mesures soient des sanctions, ce sont des contre-mesures introduites afin de protéger notre marché, » a expliqué M. Poutine.

En outre, le chef de l'État russe a fait savoir que la Russie n'envisageait pas de prendre de nouvelles mesures à l'égard des pays de l'Occident en réponse aux sanctions :

« Nous ne projetons rien pour l'instant, aucune contre-mesure. Il faut voir comment nos partenaires agiront, nous prendrons la décision après », a-t-il souligné.

Le président russe a expliqué que suite aux sanctions qui touchent le domaine de la production industrielle, de la production à double usage et des financements, la Russie a choisi de ne pas

« faire la même chose en réponse » :


« Donc, nous l'avons fait dans un domaine qui leur pose des problèmes, ils perdent des milliards, vous le voyez. Ce n'est pas nous qui le disons, ce sont des experts occidentaux, les représentants des domaines respectifs de la production. » Et de conclure qu'aucune mesure ne serait prise dans le but de « punir quelqu'un pour se punir en retour ».

 

Syrie: la coalition internationale US illégale mise au pied du mur après les négociations à Lausanne le 16 octobre 2016

Vous allez comprendre les raisons de la colère de Londres et des USA contre les médias russes, Wikileaks qui est accusé de faire ses révélations sur les courriers secrets de Clinton en faveur de la Russie et de Trump qui dénonce des élections truquées par les grands médias US, et ce, suite à l'échec des négociations sur la Syrie qui se tenaient à Lausanne le 16 octobre 2016, pendant que les USA passaient leur temps hier à attaquer et à menacer la Russie et Poutine pendant qu’il se trouvait au Sommet des BRICS en Inde à Doa.

Négociations et sommet qu’il fallait à tout prix perturber !

Les BRICS ouvrent officiellement leur sommet en Inde

La Russie s'est opposée au départ d'Assad, aux trêves qui permettent aux pays du Golfe et occidentaux d'armer leurs mercenaires au détriment de l'aide humanitaire à apporter aux civils syriens, et au plan B des USA qui prévoyait de bombarder l'armée Syrienne et par la même occasion l'armée russe qui est sur le terrain.

La Russie avait déjà annoncé qu’elle riposterait, d’une part pour soutenir son allié Syrien, d’autre part pour protéger ses propres troupes travaillant avec l’armée syrienne.

Donc, nouvel échec et mat en faveur de Poutine qui a maintenu la zone de no fly sur la Syrie ! Dehors les Yankees !

Les réactions immédiates aujourd’hui après les menaces proférées hier par Londres et les USA :

Syrie: la coalition internationale US illégale mise au pied du mur après les négociations à Lausanne du 16 octobre 2016

Syrie : Washington et Londres menacent la Russie de nouvelles sanctions

Londres censure la presse russe : Rédactrice en chef de RT : les comptes bancaires de la chaîne bloqués au Royaume-Uni

WikiLeaks : Julian Assange privé d'internet par des services gouvernementaux

WikiLeaks, John Podesta et Hillary Clinton : les cinq révélations choc à retenir

«Election truquée» : Trump déclare la guerre aux grands médias américains

Elections aux USA : Coïncidence? des «âmes mortes» parmi les électeurs démocrates

 

 

Syrie: Au pied du mur

Publié le 16 octobre 2016 par Editeur

Syrian Talks Failure Due to US, Russia Basic Differences: Analyst

 

Les négociations que beaucoup qualifiaient de « dernière chance » se sont achevées à Lausanne sans même un communiqué commun. Russie, USA, Iran, Irak, Arabie Saoudite, Turquie, Quatar, Egypte et Jordanie ne sont pas arrivés à un quelconque accord au sujet d’une paix en Syrie du fait de la condition posée par les américains: Le renversement du Président Assad.

Les américains avaient annoncé étudier un « plan B » en cas d’échec des négociations, « Plan B » qui consistait à bombarder les troupes régulières syriennes.

La Russie a déjà annoncé qu’elle riposterait, d’une part pour soutenir son Allié Syrien, d’autre part pour protéger ses propres troupes travaillant avec l’armée syrienne.

Les américains vont-ils donc lancer des opérations qui amèneront immanquablement des combats directs contre la Russie? Eux seuls sont en mesure d’éviter une guerre directe. Ou de la commencer.

 

Poutine nomme la raison principale du refus de se rendre à Paris. Hollande a à parler avec Poutine...très sérieusement...

Hier Poutine a nommé clairement les raisons de son refus de se rendre à Paris qui relèvent des traîtrises renouvelées par Hollande et de son refus de coopérer avec la Russie en Syrie, selon les promesses non tenues de l'argent des USA.

De plus le guignol de Hollande s'était autorisé à changer le programme de Poutine dont la venue à Paris était prévue depuis 1 an pour inaugurer la cathédrale Russe au quai Branly pour le diriger vers des réunions de travail concernant le dossier Syrien. Poutine a refusé de se rendre à Paris.

Aujourd'hui la marionnette des USA prétendrait rencontrer Poutine Hollande a à parler à Poutine ! qu'il a menacé avec Jean-Marc Ayrault de faire poursuivre avec la Syrie auprès de la CPI pour crimes de guerre, à présent il aurait soi-disant l'intention de discuter très sérieusement avec Poutine sur la Syrie pour lui faire les mêmes propositions que la Russie a déjà refusées mille fois. Il a tout simplement oublié que Poutine intervient de manière légale en Syrie et que c'est lui qui mène le jeu avec ses alliés.

 

Syrie : Hollande menace Poutine et Assad de saisir la Cour pénale internationale

Poutine pris d'une crise de fou rire de 3 jours en apprenant qu'Hollande le menace de le traîner devant la CPI

 

Poutine nomme la raison principale du refus de se rendre à Paris

20:48 16.10.2016


Le président russe Vladimir Poutine

Les relations entre la France et la Russie sont désormais extrêmement tendues, et l'Élysée a renoncé à une rencontre culturelle prévue à Paris avec le président russe au profit d'une discussion sur la Syrie.

Le président russe Vladimir Poutine a déclaré avoir décidé de reporter sa visite à Paris pour l'inauguration d'une grande cathédrale orthodoxe non pas parce qu'il refusait d'évoquer la question syrienne, mais parce que l'Élysée a laissé comprendre que le moment n'était pas opportun pour cette manifestation culturelle russo-française.
 
"L'inauguration de notre centre spirituel et culturel orthodoxe et la visite d'une exposition des peintres russes constituaient la raison principale de mon déplacement programmé en France. Tel était effectivement le but de ma visite, à savoir la participation conjointe à ces manifestations culturelles. Mais à cause des circonstances bien connues autour du dossier syrien, la partie française a décidé que ce volet du programme n'était pas opportun en tant que rencontre culturelle, et quant à la discussion du problème syrien, rien n'était prévu au programme. Outre la Syrie, on a bien d'autres problèmes", a expliqué le chef de l'État.
 
Et d'ajouter qu'on ne pouvait parler d'un profond engagement de Paris dans le processus de règlement en Syrie.


«Le porte-avions Charles de Gaulle s'était approché à un moment des côtes syriennes, et il semblait qu'on avait convenu de coopérer, mais deux jours après, le bâtiment français a fait machine arrière et mis le cap sur le canal de Suez. De quoi peut-on parler ? », a rappelé le chef du Kremlin.
 
Et de souligner que Moscou était toujours prêt à parler avec tout le monde et d'autant plus avec une puissance aussi importante que la France.
 
« Je répète que ce n'était pas la raison principale de ma visite à Paris. Et si le principal est annulé, il est inutile de se rencontrer pour discuter des questions qui ne figurent même pas à l'ordre du jour. Je tiens à rappeler une fois de plus que la France travaille au sein du groupe des amis de la Syrie, mais elle n'est pas très profondément impliquée dans la problématique syrienne », a résumé le président russe.
 
Le porte-parole de la présidence russe Dmitri Peskov a déclaré en amont que Vladimir Poutine avait reporté sa visite, mais qu'il restait « disposé à visiter Paris lorsque le président Hollande se sentirait à l'aise » pour le recevoir.
 
"Nous attendrons que le moment soit venu", a précisé M. Peskov.
 
Samedi soir, au Conseil de sécurité des Nations unies, Moscou a mis son veto à une résolution française sur un cessez-le-feu à Alep, alors que la version de la résolution russe n'a pas non plus réussi à satisfaire les États-Unis, la France et le Royaume-Uni. L'Élysée a renoncé à une rencontre culturelle prévue à Paris avec le président russe au profit d'une discussion sur la Syrie.

Le patron du Kremlin devait en effet inaugurer, le 19 octobre, dans le cadre d'une visite privée, un "centre spirituel et culturel orthodoxe russe" abritant une église, une école et les services culturels de l'ambassade, ainsi qu'une exposition organisée par la Fondation Vuitton sur la collection du mécène russe Sergueï Chtouchkine.

 
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Mon Oct 17, 2016 9:14AM
 
 Hollande veut échanger ses points de vue avec Poutine
 
Holland veut évoquer la Syrie avec la Russie même si cette dernière n'y est pas prête.(Photo d'illustration)
 

Le Président français vient de déclarer qu’il ne changerait pas d’avis sur le soutien apporté par Poutine à Damas mais qu’en même temps, il souhaiterait s’entretenir avec ce dernier au sujet de la crise en Syrie.

Le Président français avait accusé la Russie de crimes de guerre à Alep. 

Le président français, François Hollande. ©AFP

 « Vladimir Poutine ne veut pas discuter de la Syrie de manière sérieuse. Moi, je suis toujours prêt pour cela ; mais je ne cède rien. », avait lancé François Hollande dimanche à la presse.  

Hollande a même expliqué qu’« un arrêt des bombardements », « une mis en place du cessez-le-feu » et « une livraison des aides humanitaires » feraient alors partie de ses éventuelles futures discussions avec Poutine.

Une rencontre Poutine-Hollande prévue pour le 19 octobre a été annulée au dernier moment et après que les deux chefs d’Etat aient eu une altercation téléphonique suite au veto opposé par la Russie à la résolution française devant le Conseil de Sécurité de l’ONU. 

 

 

Londres censure la presse russe : Rédactrice en chef de RT : les comptes bancaires de la chaîne bloqués au Royaume-Uni

Les sanctions promises par Londres et Washington après l’échec des négociations à Lausanne, alors que la Russie s’est opposée au départ d’Assad et à la mise en place de trêves pour permettre aux pays du Golfe et aux pays occidentaux d’armer leurs mercenaires, au détriment de la livraison de l’aide humanitaire apportée aux civils syriens, commencent par la censure des médias russes à Londres et au blocage des comptes de RT (Russia Today).

 

En lien avec ces articles ci-dessous :

Syrie négociations à Lausanne. Sommet des BRICS en Inde à Doa

Syrie : Washington et Londres menacent la Russie de nouvelles sanctions

Les « sanctions économiques » ou la guerre en col blanc

Interview intégrale du Président Poutine par TF1

 

Rédactrice en chef de RT : les comptes bancaires de la chaîne bloqués au Royaume-Uni

Margarita Simonyan, rédactrice en chef de RT, a annoncé que tous les comptes bancaires de la chaîne RT avaient été bloqués au Royaume-Uni. La porte-parole de la diplomatie russe a qualifié cette démarche d’abandon de la liberté d’expression.

«Tous nos comptes bancaires ont été bloqués au Royaume-Uni. Tous. "La décision est unilatérale". Vive la liberté d’expression !», a twitté la rédactrice en chef de RT, Margarita Simonyan.

 

 

«Nous avons réexaminé notre arrangement avec vous et avons pris la décision de ne plus vous fournir ces services», a fait savoir à RT UK la banque NatWest dans le courrier officiel qu’elle lui a adressé.

Il est également précisé que toutes les entités de Royal Bank of Scotland, dont NatWest fait partie, refuserait à l’avenir de coopérer avec RT. Selon le document, cette décision est «définitive» et «n’est pas sujette à discussion».

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«Nous n’avons aucune idée de la raison pour laquelle cela s’est passé parce que ni hier, ni avant-hier, ni le mois dernier, rien d’extraordinaire ne nous est arrivé, personne ne nous a menacés. Théoriquement, cela pourrait être lié à de nouvelles sanctions antirusses britanniques et américaines qui pourraient être publiées très prochainement. Peut-être que ces deux évènements ne sont pas liés. Notre département juridique étudie maintenant cette situation», a précisé Margarita Simonyan.

Concernant le blocage de la chaîne russe à vocation internationale, la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, a précisé qu’en quittant l’UE le Royaume-Uni a «abandonné toutes ses obligations liés à la défense de la liberté d’expression».

«Comme on dit : on entame une nouvelle vie sans mauvaises habitudes», a-t-elle ironisé.

 

«On dirait que c’est plus qu’une coïncidence que cela soit arrivé au moment où la propagande antirusse a atteint un niveau sans précédent», a déclaré l’écrivain John Wight à RT.

«Cela reflète l’ampleur avec laquelle l’Occident perd la guerre de l’information. RT joue un rôle clé en défiant les récits de l’Occident et des médias occidentaux quand il s’agit des évènements en Ukraine, en Syrie et au Moyen-Orient», a-t-il poursuivi.

 

 

 

Elections aux USA : Coïncidence? des «âmes mortes» parmi les électeurs démocrates

 

Coïncidence? des «âmes mortes» parmi les électeurs démocrates

14:20 17.10.2016

des fantômes

Cette fois, la campagne électorale aux États-Unis ressemble vraiment à un show: tantôt les candidats se lancent des accusations personnelles en dessous de la ceinture, tantôt l’élection se transforme en roman de Gogol, quand les morts votent démocrate…

Rudolph Giuliani, ancien maire de New York et conseiller du candidat à la présidence américaine du Parti républicain, a révélé dans une interview accordée à CNN certains cas de violations du processus électoral par les démocrates

Affirmant que de « nombreux » bureaux de vote sont concernés par des fraudes électorales, Rudolph Giuliani a dévoilé une information vraiment choquante. Selon l'homme politique, « les morts votent généralement pour les démocrates ».

Afin de prouver ses propos, le conseiller de Donald Trump s'est rappelé l'époque où il était représentant du procureur général. Selon lui, il faudrait même « être un idiot » pour affirmer que l'élection sera « propre » à Philadelphie et Chicago, car « 720 morts ont voté à Chicago pendant la campagne électorale de 1982 ». Auparavant, Donald Trump avait déjà mentionné dans ses discours plusieurs exemples de fraude électorale, notamment que certains principaux médias américains, y compris la chaîne de télévision CNN, influent sur la présidentielle américaine en faveur de Hillary Clinton.

En savoir plus: https://fr.sputniknews.com/international/2016101710282300...