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22/11/2015

"La guerre de la coalition anti-Daech est une vaste supercherie" (Hezbollah)

 

Nov 21, 2015 17:15 UTC - IRIB- «Ce qu’on appelle la coalition anti-Daech n’a d’autre souci que la mise à l’écart de Bachar al-Assad», a affirmé Ibrahim Amin al-Seyyed, le Président du Conseil politique du Hezbollah.

«Les pays de cette coalition font fi de ce qui se passe, dans la région ou à l’encontre de ses peuples, et ne réagissent pas aux crimes commis par Daech et les autres groupes terroristes takfiris, à l’encontre des peuples de la région, des femmes et des enfants musulmans et chrétiens», a ajouté Amin al-Seyyed.

«Ce que les pays de la coalition anti-Daech et les pays du golfe Persique appellent la guerre contre ce groupe terroriste est, en effet, une vaste supercherie concoctée par ces même pays qui le soutiennent», a-t-il précisé, selon le site d’information Al-Ahed.

«Lorsque les pays de la coalition ont fait l’objet d'actes terroristes, les personnes tuées, dans ces pays, ont été considérées comme des personnes dont la vie n'a pas de prix, mais les victimes de la région du Moyen-Orient n’ont guère de valeur à leurs yeux», a souligné Ibrahim Amin al-Seyyed, le Président du Conseil politique du Hezbollah.
 
 

Attentats Paris - Des intervenants déballent et les médias filtrent peu !

Il faut hélas que des événements si graves se produisent pour que:

- Les langues se délient plus librement sans manières
- Les médias aient moins le temps d'être "filtrants" (car il faut maintenir des débats à l'antenne durant toute la journée).
- De sérieuses questions soient posées quant au rôle suicidaire de la politique internationale française.



Les attentats de Paris du 13 novembre 2015 en sont un exemple.

Et la dernière de ce jour:

Valls a quasiment couvert les attentats en refusant délibérément des informations précieuses et sourcées! (France Inter): https://www.youtube.com/watch?v=W0mWx9oYDHE

https://www.les-crises.fr/scandale-lex-chef-de-la-dst-m-v...

Pour ceux qui veulent en savoir plus sur l'iceberg dont ces vidéos montrent la partie non immergée:

L'opposition syrienne "modérée", après le 13 novembre ça vous concerne:
https://www.youtube.com/watch?v=puP7nKTNwrg

Syrie - Quand l'entêtement devient un crime:
https://www.youtube.com/watch?v=huCDdlycT0Q

Attention, la France choisit ses amis (Arabie Saoudite):
https://www.youtube.com/watch?v=AFxGu4uiYxY

Les exploits de l'Europe lors de la crise des migrants:
https://www.youtube.com/watch?v=kaOZKLS1dvs

Un autre montage sur la guerre en Syrie et la propagande, vivement conseillé:
http://www.dailymotion.com/video/x14vcz5_un-autre-regard-...

La chaîne du youtubeur franco-algérien connu sous le pseudo humoristique "Aldo Sterone" mais qui traite néanmoins de sujets très sérieux, et dont une vidéo a été utilisée dans notre montage:
https://www.youtube.com/user/AldoSterone111


(De nombreux sujets intéressants qui peuvent bien sûr engendrer de nombreux débats puisqu'on n'est jamais 100% d'accord sur tout avec quelqu'un).

Les condoléances de la part "d'Assad le terrible" qui aurait pu pourtant profiter bien moins gentiment de la situation:

http://www.agoravox.tv/actualites/international/article/b...

Lectures conseillées sur le même sujet:
http://www.les-crises.fr/syrie-comment-les-medias-francai...
http://www.les-crises.fr/lidentite-du-mysterieux-fourniss...
http://www.les-crises.fr/lidentite-du-mysterieux-fourniss...

http://www.les-crises.fr/lidentite-du-mysterieux-fourniss...
http://www.les-crises.fr/maxime-chaix-la-guerre-secrete-m...

L'hypocrisie du 11 janvier qui apparait alors encore plus incroyable:
https://www.youtube.com/watch?v=dCiy799B0Q4

Et parce-que l'UE et la France hollandiste ne contribuent pas seulement à créer le chaos au Moyen-Orient mais aussi ailleurs:
https://www.youtube.com/playlist?list=PL1fQfU9jb9Uz66X5Th...

 

Le Conseil de sécurité de l’ONU met Daesh au ban de la communauté internationale

Encore une victoire de Poutine qui a poussé depuis des mois, tous les pays qui entendaient agir militairement en Syrie de manière illégale, à obtenir un mandat de l'ONU !

Cet accord du Conseil de Sécurité de l'ONU, tombe à pic et la Russie pourra s'en servir contre la France et tous les pays agissant sous couvert de la coalition internationale US, parce qu'il vient de prendre "acte et date" selon le Droit International. Cet accord de l'ONU vient de reconnaître que toutes les frappes françaises et celles de la coalition internationale US, effectuées en Syrie, avant cet accord de l'ONU, étaient illégales !

De plus Poutine gagne, en faisant reconnaître que la France notamment aidait, finançait et armait des organisations terroristes, reconnues désormais en tant que telles par l'ONU et que la France appelait l'armée Syrienne Libre ou l'opposition modérée contre Assad !

La France n'a donc pas à se gargariser, d'avoir obtenu cet accord de l'ONU parce que désormais, à partir de la date de cet accord de l'ONU elle peut être reconnue coupable de crimes de guerre, de crimes commis contre l'humanité, de fournitures de moyens à une organisation terroriste, avec pour responsables, les personnes de Hollande, Fabius, Valls et toute la clique de mafieux ! Bravo Poutine !

Apparemment, la France n'est pas autorisée comme tous les autres pays de la coalition US à faire usage de la force, sauf Poutine qui a été appelé à l'aide par Bachar Al-Assad.


Extrait : La résolution adoptée souligne également la nécessité de coordonner les actions militaires entre les gouvernements de tous les Etats qui ont entamé des opérations anti-terroriste. Néanmoins, la résolution ne donne à personne l’autorisation légitime d’agir militairement contre Daesh car il n’y a pas de référence à l'article 7 de la charte de l'ONU qui autorise l'emploi de la force.

Le Conseil de sécurité de l’ONU met Daesh au ban de la communauté internationale

Les 15 membres du Conseil de Sécurité de l’ONU a adopté à l'unanimité une résolution proposée par la France pour lutter contre «une menace mondiale sans précédent pour la paix internationale et la sécurité».

La résolution «demande aux Etats qui en sont capables de prendre toutes les mesures nécessaires, en conformité avec le droit international, et en particulier avec la charte de l'ONU, sur les territoires contrôlés par Daesh en Syrie et en Irak». Car Daesh «constitue une menace globale et sans précédent pour la paix internationale et la sécurité», peut-on lire dans ce texte qui a fait l’unanimité.

La résolution adoptée souligne également la nécessité de coordonner les actions militaires entre les gouvernements de tous les Etats qui ont entamé des opérations anti-terroriste. Néanmoins, la résolutions ne donne à personne l’autorisation légitime d’agir militairement contre Daesh car il n’y a pas de référence à l'article 7 de la charte de l'ONU qui autorise l'emploi de la force. Mais grâce à son adoption, les pays ont reçu un soutien politique important pour leurs opérations militaires.

La Russie a déjà demandé plusieurs fois de couper les sources de financement du terrorisme. Lors du sommet du G20, le 16 novembre à Antalya en Turquie, le président russe Vladimir Poutine a même dévoilé que Daesh recevait de l’argent des 40 pays, dont certains membres du G20.

L’ambassadeur syrien auprès de l’ONU, Bashar Ja’afari, a remarqué juste avant le vote de la résolution condamnant Daesh proposée par la France qu’on aurait dû l’adopter il y a longtemps. «Bienvenue à tous ceux et à toutes celles qui se sont finalement réveillés et qui ont joint le club de la lutte contre les terroristes», a-t-il précisé.

Entretemps, la Russie continue à travailler sur un projet de résolution qui propose d’organiser des campagnes internationales pour combattre Daesh. Le texte adopté hier est une version renouvelée d’un document présenté le 30 septembre.

Lire aussi : «Pour Paris !» et «Pour les nôtres !» : message aux terroristes écrit sur des bombes russes (VIDEO)

L’ambassadeur russe à l’ONU, Vitaliï Tchourkine, a précisé que la myopie de certains membres du Conseil de sécurité avait empêché l’adoption du projet de résolution russe sur la lutte contre le terrorisme.

«Nous sommes persuadés que les essais de certains membres du Conseil de sécurité de l’ONU de bloquer notre travail sur le projet est une myopie politique. On peut lutter contre les terroristes avec une main et jouer avec eux avec l’autre», a souligné Vitaliï Tchourkine.

Après le vote, l’ambassadeur russe à l’ONU a déclaré que la délégation française avait inclus «des corrections importantes faites par la Russie» et ajouté que maintenant, le monde devait se mettre à faire des «pas concrets».

 

Quand la France décidait d'armer les islamistes syriens (2013)

 Et là aussi, Hollande nous mentira pour attester qu'il n'a jamais voulu armer ses mercenaires de l'EI !

 Voir aussi : Armes en Syrie : le coup de poker de la France 14/03/2013

Ajoutée le 14 mars 2013

Le Point.fr - Publié le 14/03/2013 à 18:29 - Modifié le 14/03/2013 à 20:27


Arme


Paris annonce sa volonté de convaincre les Européens de lever l'embargo sur les armes à destination de l'opposition syrienne. Décryptage.


Il aura fallu deux ans et 70 000 morts pour que la France et la Grande-Bretagne veuillent réellement trouver une issue au drame qui a cours en Syrie. Le chef de la diplomatie française, Laurent Fabius, a surpris ce jeudi en annonçant que Paris et Londres allaient demander d'avancer la prochaine réunion de l'Union européenne sur l'embargo sur les armes en direction de la Syrie, prévue fin mai. Surtout, le ministre des Affaires étrangères a indiqué que, à défaut de l'unanimité requise dans l'Union européenne pour lever cette mesure, la France, "une nation souveraine", pourrait prendre la décision unilatérale de livrer des armes à l'opposition.

"On ne peut pas accepter qu'il y ait ce déséquilibre actuel avec, d'un côté, l'Iran et la Russie qui livrent des armes à Bachar (el-Assad) et, de l'autre, des résistants qui ne peuvent pas se défendre", a fait valoir jeudi Laurent Fabius sur France Info. Un souhait encore répété dans l'après-midi par François Hollande, à son arrivée au sommet européen à Bruxelles. "Nous souhaitons que les Européens lèvent l'embargo. Nous sommes prêts à soutenir la rébellion, donc nous sommes prêts à aller jusque-là. Nous devons prendre nos responsabilités", a insisté le président français.
Essor des djihadistes

Décidé en mai 2011, peu après le début de violente répression exercée par les forces de Bachar el-Assad à l'encontre des manifestants pacifiques, l'embargo interdit toute vente, fourniture, transfert ou exportation d'armes à la Syrie, quel qu'en soit le destinataire (régime ou opposition). La mesure n'autorise que la livraison à l'opposition de matériels non létaux, comme du matériel de protection ou de communication (gilets pare-balles, talkies-walkies, équipements de désamorçage de mines).

Des moyens somme toute ridicules comparés aux avions de chasse et autres chars syriens qui bombardent au quotidien les villes et quartiers tenus par l'opposition. Mais l'essor de groupes djihadistes profitant de l'inaction de la communauté internationale, notamment à l'est de la Syrie, pousse désormais l'Occident à la prudence, de peur que leurs armes ne se retrouvent entre les mains d'islamistes radicaux. "Le but n'est pas de combattre des djihadistes au Mali pour fournir des armes aux djihadistes en Syrie", avait lancé en février dernier le chef de la diplomatie belge, Didier Reynders, justifiant ainsi la décision de prolonger l'embargo européen sur les armes jusqu'au 1er juin prochain.
"Urgence humanitaire"

http://www.lepoint.fr/monde/armes-en-syrie-le-coup-de-pok...

http://droite.tv/quand-la-france-decidait-darmer-les-isla...

 

Armes en Syrie : le coup de poker de la France 14/03/2013

Petite piqûre de rappel sur les positions adoptées par Hollande et Fabius, en mars 2013, qui décidaient de faire lever l'embargo européen sur les armes à destination de la Syrie pour pouvoir armer la supposée "opposition Syrienne".

Ils vont nous dire qu'ils n'étaient pas déjà complices de leurs mercenaires en Syrie ?

Armes en Syrie : le coup de poker de la France

Paris annonce sa volonté de convaincre les Européens de lever l'embargo sur les armes à destination de l'opposition syrienne. Décryptage.

Par Armin Arefi

Publié le 14/03/2013 à 18:29 - Modifié le 26/03/2013 à 17:36 | Le Point.fr

François Hollande et Laurent Fabius, sur le perron de l'Élysée.

François Hollande et Laurent Fabius, sur le perron de l'Élysée. © AFP/ Kenzo Tribouillard

Il aura fallu deux ans et 70 000 morts pour que la France et la Grande-Bretagne veuillent réellement trouver une issue au drame qui a cours en Syrie. Le chef de la diplomatie française, Laurent Fabius, a surpris ce jeudi en annonçant que Paris et Londres allaient demander d'avancer la prochaine réunion de l'Union européenne sur l'embargo sur les armes en direction de la Syrie, prévue fin mai. Surtout, le ministre des Affaires étrangères a indiqué que, à défaut de l'unanimité requise dans l'Union européenne pour lever cette mesure, la France, "une nation souveraine", pourrait prendre la décision unilatérale de livrer des armes à l'opposition.

"On ne peut pas accepter qu'il y ait ce déséquilibre actuel avec, d'un côté, l'Iran et la Russie qui livrent des armes à Bachar [el-Assad] et, de l'autre, des résistants qui ne peuvent pas se défendre", a fait valoir jeudi Laurent Fabius sur France Info. Un souhait encore répété dans l'après-midi par François Hollande, à son arrivée au sommet européen à Bruxelles. "Nous souhaitons que les Européens lèvent l'embargo. Nous sommes prêts à soutenir la rébellion, donc nous sommes prêts à aller jusque-là. Nous devons prendre nos responsabilités", a insisté le président français.

Essor des djihadistes

Décidé en mai 2011, peu après le début de la violente répression exercée par les forces de Bachar el-Assad à l'encontre des manifestants pacifiques, l'embargo interdit la vente, la fourniture, le transfert et l'exportation d'armes à la Syrie, quel qu'en soit le destinataire (régime ou opposition). La mesure n'autorise que la livraison à l'opposition de matériels non létaux, comme du matériel de protection ou de communication (gilets pare-balles, talkies-walkies, équipements de désamorçage de mines).

Des moyens somme toute ridicules comparés aux avions de chasse et autres chars syriens qui bombardent au quotidien les villes et quartiers tenus par l'opposition. Mais l'essor de groupes djihadistes profitant de l'inaction de la communauté internationale, notamment à l'est de la Syrie, pousse désormais l'Occident à la prudence, de peur que leurs armes ne se retrouvent entre les mains d'islamistes radicaux. "Le but n'est pas de combattre des djihadistes au Mali pour fournir des armes aux djihadistes en Syrie", avait lancé en février dernier le chef de la diplomatie belge, Didier Reynders, justifiant ainsi la décision de prolonger l'embargo européen sur les armes jusqu'au 1er juin prochain.

"Urgence humanitaire" (Paris)

"Des livraisons d'armes risquent toujours de nourrir une course à l'armement et de provoquer une glissade vers une guerre par procuration, qui pourrait embraser toute la région", a renchéri la semaine dernière le chef de la diplomatie allemande, Guido Westerwelle. "Il y a urgence humanitaire en Syrie, au regard tant du nombre de morts que de celui des réfugiés syriens. Et la situation empire de jour en jour", confie au Point.fr une source diplomatique française. "L'idée est qu'une réunion accélérée sur la question de l'embargo des armes à destination de la Syrie se tienne avant mai."

Celle-ci pourrait avoir lieu les 22 et 23 mars, date à laquelle les ministres européens des Affaires étrangères doivent se retrouver pour une réunion informelle à Dublin. La prise de position française a en tout cas eu le mérite de secouer ses partenaires européens, particulièrement amorphes sur la question. Berlin a déclaré jeudi être "prêt à discuter immédiatement au sein de l'Union européenne" de l'opportunité de lever l'embargo, "si des partenaires importants de l'UE estiment que la situation est maintenant différente". Bruxelles a assuré de son côté qu'il était "possible" de discuter "sans délai" de la nouvelle opportunité, si l'un des 27 membres le souhaitait.

Prudence des rebelles

Étrangement, aucun État membre n'a formellement réclamé de levée de l'embargo au cours de la dernière réunion des ministres européens des Affaires étrangères, lundi à Bruxelles. D'après un haut responsable français s'exprimant sous le couvert de l'anonymat, l'objectif de la France serait notamment de fournir à l'opposition syrienne des moyens de défense antiaériens (missiles sol-air) contre les avions et les hélicoptères du régime. Il faut aux opposants "des armes qui puissent contrer les attaques des avions", a confié ce responsable à l'Agence France-Presse.

"Ces armes, c'est ce que demande la Coalition nationale syrienne [principale coalition de l'opposition syrienne, basée à l'étranger, NDLR]", rappelle la source diplomatique française. "À ce stade, il ne s'agit pas de se lancer dans des supputations. Rien n'a encore été décidé", assure-t-elle. Du côté de l'Armée syrienne libre (ASL), les annonces française et britannique sont accueillies avec prudence. "Le vrai problème de l'Armée syrienne libre [ASL] aujourd'hui est la multiplication des sources d'armement et de financement, ce qui provoque un déficit de contrôle du commandement central sur toutes les forces sur le terrain", affirme au Point.fr Fahad al-Masri, porte-parole du commandement conjoint de l'Armée syrienne libre de l'intérieur.

Tactique française

Tandis que l'ASL bénéficie de livraisons d'armes limitées de la part de l'Arabie saoudite et du Qatar, certaines personnalités privées habitant le Golfe alimentent les groupes rebelles les plus radicaux. "La livraison effective d'armes par la France permettrait d'unifier les ressources de l'ASL et ainsi de réunir sous un même étendard tous les groupes armés qui luttent pour la chute du régime", assure Fahad el-Masri. "Nous possédons dans notre armée des centaines d'officiers, anciens hauts gradés de l'armée régulière, qui savent manier les armes lourdes et de qualité."

Mais le porte-parole garde également en mémoire les multiples promesses de l'Occident envers l'opposition syrienne, restées, selon lui, lettre morte. "Si la France et la Grande-Bretagne ne mettent pas en application leur parole, elles pourraient au contraire ouvrir la voie à un soutien ouvert de l'Iran et de la Russie au régime syrien, afin qu'il massacre encore davantage sa population." Pour l'heure, Paris répète sa volonté de trouver une issue politique au conflit. "Toujours persuadé de sa supériorité militaire, le régime syrien ne fait rien pour la mise en place d'une telle solution", fait valoir la source diplomatique française. "Pour que Damas se persuade de l'intérêt à participer au dialogue politique, il faut créer les conditions d'un changement dans l'équilibre des forces sur le terrain."

Consultez notre dossier : "La tragédie syrienne".