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07/12/2011

Nucléaire israélien : Incontrôlable et dangereux !

Un petit retour en arrière sur un article qui est paru le 17 novembre 2011 sur le nucléaire israélien !

Mais là tout va bien, il faut la fermer !

Celui qui est dangereux c'est le nucléaire hypothétique Iranien, l'Isralien est super bon pour votre santé !

Ne l'aviez-vous  pas compris ?

 

Nucléaire israélien : Incontrôlable et dangereux !

Jeudi, 17 Novembre 2011
 

Commentaires (10)

 

Saurons-nous éviter le pire ?Saurons-nous éviter le pire ?Nucléaire israélien : Incontrôlable et dangereux !

Le professeur et historien militaire israélien Martin Van Creveld parle du nucléaire israélien et n'hésite pas à exercer un chantage atomique à l'encontre des Européens, en affirmant qu'Israël a « la capacité d'atteindre la plupart des capitales européennes avec ses armes nucléaires ». Souhaitant l'expulsion de tous les Palestiniens y compris ceux des territoires occupés depuis 1967, le professeur fait observer que les Européens ne pourront pas réagir parce que dit-il : « Nous possédons plusieurs centaines d'ogives atomiques et de fusées et pouvons atteindre nos cibles tous azimuts, et même Rome. La plupart des capitales européennes font partie des cibles potentielles de notre Armée de l'air ». « Nos forces armées ne sont pas au trentième rang, mais aux deuxième ou troisième rang mondial. Nous avons la capacité de détruire le Monde avec nous. Et je peux vous assurer que cela arrivera avant qu'Israël ne disparaisse ».

Même si cette déclaration (reprise par l'hebdomadaire néerlandais Elsevier) remonte à 2003, il faut savoir que M. Martin Van Creveld est encore aujourd'hui très écouté dans les milieux gouvernementaux israéliens et américains. C'est pourquoi, cette déclaration doit être prise très au sérieux. La majorité des Européens vit encore dans le souvenir et la nostalgie des Trente Glorieuses : ces années de croissance économique pendant que les guerres, souvent coloniales, se déroulaient au Moyen-Orient, en Asie ou en Afrique. Cela a fini par créer un état d'esprit généralisé qui fait croire aux Européens qu'ils sont à l'abri de tout conflit. Ajoutons la propagande quotidienne désignant «le terrorisme islamiste » ou le nucléaire civil iranien comme ennemis de l'Europe et nous voyons que la propagande atteint  son but : détourner l'attention contre les Musulmans.

Pourtant le professeur israélien n'hésite pas à désigner ouvertement les capitales européennes comme cibles potentielles des missiles sionistes. Et cela, dans le plus grand silence de nos grands médias et de nos gouvernements. Pourquoi ? L'Europe vit-elle sous le chantage nucléaire israélien ? Autrement dit, en plus du chantage moral permanent, que les sionistes appellent antisémitisme, n'y a-t'il pas un autre chantage moins apparent mais tout aussi efficace de la part d'Israël ? Il est à remarquer que dans sa déclaration concernant les capitales européennes, Martin Van Creveld n"en mentionne qu'une nommément, à savoir Rome. Pourquoi ? Parce que Rome contient une puissance symbolique et spirituelle particulières. Capitale de l'Empire romain devenue capitale du Catholicisme, Rome apparaît à beaucoup de sionistes comme un barrage à leur influence, une dernière digue qu'il faut faire sauter.

Si ces propos n'avaient pas été tenus par un universitaire israélien, ils n'auraient pas eu une très grande importance. Mais nous connaissons le sionisme et sa longue et triste histoire. C'est un mélange de provocations et de violences qui, souvent, cherche à se dissimuler sous le masque de la victime. En Europe, ce masque est tombé depuis longtemps. Quel Européen croit aujourd'hui qu'Israël c'est la paix ? Quel Européen de bonne foi peut ignorer qu'Israël,  c'est soixante ans d'illégalités internationales ? Qui ignore en France la puissance et la malfaisance du lobby sioniste ? Et c'est justement parce que la vérité finit par s'imposer que le sionisme, se sentant acculé, est capable du pire.

Nous avons déjà écrit qu'un 11 septembre qui se déroulerait cette fois en Europe n'est pas du tout à exclure. Et rien ne nous assure qu'il se produise avec des moyens conventionnels. Il faut donc que les Européens prennent conscience de ce danger. L'absence de guerre en Europe depuis 1945 (excepté en Yougoslavie), a fini par créer chez beaucoup une idée fausse : la guerre, c'est pour les autres. Maintenant que la crise est installée pour longtemps en Europe, les Européens commencent à ouvrir les yeux et à comprendre que la misère, ce n'est pas seulement pour les « autres ». Le même raisonnement doit être appliqué à la guerre. Et aujourd'hui, la principale cause de guerre et d'instabilité dans le monde est Israël dans sa volonté de domination.

L'entité sioniste continue de fabriquer, chaque année, un véritable arsenal de destruction massive. Classé sixième puissance nucléaire mondiale, le pays possède, selon une note confidentielle du Pentagone, plus de 200 ogives nucléaires et vient de développer un nouveau missile, le Jéricho III, à très longue portée 'plus de 11 000 km' pour étendre sa zone d'«influence». Elle produit également des armes biologiques et chimiques, et refuse systématiquement de se soumettre à de nouvelles inspections de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et de signer le Traité sur la non-prolifération nucléaire.

Seule une union de tous, Musulmans, Chrétiens, Juifs, humanistes, tous anti sionistes, peut empêcher le pire.

http://www.partiantisioniste.com/communications/nucleaire...

 

Bouclier de l'OTAN: Moscou active son système d'alerte antimissile

Tout va bien, braves gens dormez tranquilles, les politiques aux ordres de leurs maîtres, pensent et agissent pour votre bien.

Que diriez-vous d'une grande guerre mondiale nucléaire ?

Vous reprendrez bien un petit coup d'atome, non ?

Combien en voulez-vous ??


Publié le 29 novembre 2011 à 09h47 | Mis à jour le 29 novembre 2011 à 09h47

 

Bouclier de l'OTAN: Moscou active son système d'alerte antimissile

 
«Si ce signal n'est pas entendu, nous utiliserons... (Photo: Mikhail Klimentyev, Reuters)

 

«Si ce signal n'est pas entendu, nous utiliserons d'autres moyens de défense, nous prendrons des mesures sévères, comme je l'ai promis le 23 novembre», a mis en garde le président russe, Dmitri Medvedev.

Photo: Mikhail Klimentyev, Reuters

Agence France-Presse
Moscou

La Russie a activé son système d'alerte antimissile à Kaliningrad, enclave russe aux portes de l'Union européenne, afin de répondre aux «menaces» représentées par le projet de bouclier antimissile de l'OTAN en Europe, a indiqué mardi le président Dmitri Medvedev.

La station radar «Voronej-TM» a été activée, a précisé le chef de l'État après avoir menacé le 23 novembre de déployer des missiles balistiques à Kaliningrad si les États-Unis et l'OTAN continuaient de mettre Moscou devant le «fait accompli».

«J'espère bien que cette démarche sera considérée par nos partenaires comme un premier signal montrant que notre pays est prêt à répondre de manière adéquate aux menaces du système de défense antimissile (de l'OTAN) pour nos forces stratégiques nucléaires», a déclaré M. Medvedev au cours d'une réunion avec des hauts responsables de l'armée dans la région de Kaliningrad.

«Si ce signal n'est pas entendu, nous utiliserons d'autres moyens de défense, nous prendrons des mesures sévères, comme je l'ai promis le 23 novembre», a mis en garde le président russe, cité par les agences.

 

M. Medvedev avait alors expliqué que l'une de ces mesures consisterait à déployer dans la région de Kaliningrad une batterie de missiles Iskander.

Il s'agit de missiles de courte portée, dont le champ d'action est de 280 kilomètres mais peut atteindre, selon des responsables russes, 500 kilomètres dans certaines versions.

Le président russe a rappelé que Moscou exigeait depuis des mois des garanties que le projet de bouclier antimissile américain en Europe ne menaçait pas la Russie.

«Nous ne pouvons plus nous contenter de promesses verbales selon lesquelles le système (de bouclier antimissile américain) n'est pas dirigé contre la Russie. Des déclarations verbales ne sont pas une garantie pour nos intérêts», a-t-il ajouté.

La Russie, qui dit craindre que ce système ne réduise à néant sa force de dissuasion, a exigé d'y être associée, en vain jusqu'à présent.

De leur côté, les États-Unis ont indiqué à maintes reprises que le système antimissile auquel la Roumanie, la Turquie, la Pologne et plus récemment l'Espagne ont officialisé leur participation ne menaçait pas la Russie.

M. Medveved a toutefois observé que l'activation du système d'alerte antimissile «ne fermait pas la porte au dialogue pour continuer à discuter de ces questions avec nos partenaires».

Ces équipements sont un «instrument de contrôle de l'espace aérien» et ne constituent «pas, en soi, une menace pour nos voisins», a-t-il dit.

Mercredi, les États-Unis avaient répondu à Moscou en soulignant à nouveau que leur système ne menaçait pas la Russie, et qu'ils ne comptaient pas renoncer à sa mise en place. L'OTAN avait jugé que la menace russe était une réponse «décevante».

La nouvelle station radar «Voronej-TM» permet d'observer simultanément jusqu'à 500 objets volants -missiles, avions, etc.- sur une distance allant jusqu'à 6000 km, a précisé pour sa part le ministre russe de la Défense, Anatoli Serdioukov.

http://www.cyberpresse.ca/international/europe/201111/29/01-4472701-bouclier-de-lotan-moscou-active-son-systeme-dalerte-antimissile.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B13b_europe_287_section_POS1

Explosion en Iran : les Etats-Unis et Israël seraient impliqués

Est-ce que cela vous étonne vraiment ?

Explosion en Iran : les Etats-Unis et Israël seraient impliqués

LEMONDE.FR avec AFP | 05.12.11 | 11h06

De nombreux anciens agents des services secrets et experts américains estiment que l'explosion en novembre d'un dépôt d'armes sur une base militaire près de Téhéran est due à une opération menée par les Etats-Unis et Israël contre le programme nucléaire iranien, selon le Los Angeles Times.

Le 12 novembre, cette énorme explosion sur une base des Gardiens de la révolution, a rasé la plupart des bâtiments et tué trente-six personnes, dont le général Hassan Moghadam, responsable des programmes d'armement de ce corps d'élite du régime et fondateur de leurs forces balistiques. Aucune explication n'a été donnée sur cette explosion, qui n'est pas la première à frapper une base des pasdarans, le corps d'élite de l'armée iranienne, lesquels sont soumis à des sanctions internationales pour leur implication dans le programme nucléaire iranien.

Selon le Los Angeles Times de dimanche, la mission secrète menée par Washington et ses alliés vise à neutraliser le programme nucléaire iranien et à éviter une attaque aérienne des Etats-Unis ou d'Israël.

"GUERRE DU XXIE SIÈCLE"

"Cela ressemble à une forme de guerre du XXIe siècle", affirme Patrick Clawson, directeur de la section Iran au Washington Institute for Near East Policy, cité par le journal. "Il semble qu'il y ait une campagne d'assassinats et une guerre informatique, ainsi qu'une campagne de sabotage." Selon le Los Angeles Times, les Etats-Unis et leurs alliés tentent aussi de freiner le programme militaire iranien en lui fournissant secrètement depuis des années des pièces, des plans ou des logiciels défectueux.

Aucune preuve de sabotage n'a été mise au jour, mais le programme nucléaire iranien a rencontré des obstacles à son développement ces dernières années. "Il est clair que c'est ce que nous faisons", affirme au journal Art Keller, un ancien agent de la CIA qui a travaillé en Iran. "C'est pratiquement la mission déclarée de la division antiprolifération [de la CIA] que de tout faire pour ralentir le programme iranien d'armes de destruction massive."

De nombreux experts occidentaux sont convaincus que les ingénieurs américains et israéliens ont introduit le "ver informatique" Stuxnet dans le programme nucléaire iranien en 2010, rappelle le Times, selon lequel le virus a mis hors d'usage des centrifugeuses destinées à enrichir l'uranium.

Le ministre de la défense israélien, Ehoud Barak, a récusé les spéculations sur l'existence d'une guerre "clandestine" menée en Iran, soulignant que les sanctions et les menaces de frappes militaires étaient privilégiées pour mettre un terme au progamme nucléaire de la République islamique.

http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2011/12/05/ex...

L'UE se donne un mois pour frapper le pétrole iranien

C'est parti !

Oui bien sûr l'UE doit soi-disant arrêter l'Iran dans son programme nucléaire, il faut aller lui voler son pétrole, geler son argent et lancer une 3ème guerre nucléaire mondiale, non pas contre l'Iran seulement mais contre l'Humanité ! Car c'est bien de cela dont il s'agit : d'éliminer les 2/3 de la poulation mondiale avant le 21 décembre 2012.

Et avec quel argent et quels militaires vont-ils partir en guerre ?
Le nôtre et avec des militaires qui ne sont pas payés ?

Ils font tout pour nous endetter avec les guerres et pour nous livrer pieds et poings liés aux Illuminati-Sionistes-reptiliens et à leur idéologie millénaire de nous instaurer leur Unique Religion Mondiale et leur Nouvel Ordre Mondial.

Observez la Pape en ce moment, le soi-disant représentant du fils de Dieu sur Terre, s'il s'insurge contre la 3ème guerre mondiale nucléaire qu'ils ont savamment préparée depuis quelques décennies.
 
Et comme vous l'avez compris, il n'y aurait que le soi-disant nucléaire Iranien qui serait mauvais pour nous.
Une bonne nucléaire nous ferait sans doute du bien.
 
Que nous parlent-ils des 600 bombes nucléaires voire plus détenues par les Sionistes en Isral et qu'ils refusent de déclarer à l'ONU.
Que font l'ONU, l'UE et les USA pour exiger de connaître le stock d'armes nucléaires détenu par Israël.
 
Lisez encore la jolie propagande sioniste que voilà et ouvrez les yeux.
 

L'UE se donne un mois pour frapper le pétrole iranien

Par Jean-Jacques Mevel Publié le 01/12/2011 à 22:36 Réactions (6)
Jeudi à Bruxelles, Alain Juppé assuré que l'Europe travaillait à «des sanctions plus dures et sans précédent».
Jeudi à Bruxelles, Alain Juppé assuré que l'Europe travaillait à «des sanctions plus dures et sans précédent». Crédits photo : GEORGES GOBET/AFP
 
Après le cri d'alarme de l'AIEA sur le nucléaire, les Vingt-Sept durcissent leurs sanctions contre Téhéran.

De notre correspondant à Bruxelles

Le compte à rebours est lancé pour frapper Téhéran là où ça fait mal. L'Union européenne a décidé d'adopter, en janvier au plus tard, un train de sanctions présentées comme sévères contre la finance, le transport et l'énergie - en clair le pétrole iranien dans toutes ses dimensions.

Après le cri d'alarme de l'AIEA sur le nucléaire militaire, la mise à sac de l'ambassade britannique à Téhéran a balayé les réticences. «Nous avons décidé de travailler sur des sanctions plus dures et sans précédent», assure jeudi Alain Juppé, dans une allusion transparente à un éventuel embargo sur le pétrole. Le texte arrêté, jeudi à Bruxelles, vise aussi les Gardiens de la révolution, branche de l'armée chargée de réprimer toute dissidence interne.

Rappel des ambassadeurs

La formulation retenue est assez diplomatique pour couvrir les pays en pointe - la France, le Royaume-Uni et l'Allemagne - et ceux qui ont émis des réserves - l'Italie, l'Espagne et la Grèce. Il s'agit «d'atteindre sévèrement le système financier iranien, celui des transports et celui de l'énergie». L'embargo, soutenu par Paris et Berlin, n'est plus à exclure. Londres milite aussi pour isoler financièrement Téhéran. Les États-Unis l'on fait en novembre, paralysant de fait une partie des rentrées pétrolières.

À ce jour, les Vingt-Sept ont déjà frappé les actifs de centaines d'entreprises iraniennes. L'UE applique depuis juillet 2010 une interdiction des nouveaux investissements dans le pétrole et le gaz. Jeudi, elle a ajouté à sa liste noire les noms de 143 sociétés et 37 personnes, visées par des gels d'avoirs et des interdictions de visa. Elle a aussi marqué son «indignation» face à l'attaque contre la représentation britannique et prévoit de coordonner les rappels d'ambassadeurs. Pour d'éventuelles sanctions pétrolières, la difficulté à surmonter est l'inégale répartition du fardeau entre le sud et le nord de l'Europe. L'UE a importé 5,8% de son brut d'Iran l'an dernier. Mais le sacrifice serait plus rude pour l'Espagne (15% de ses approvisionnements), la Grèce (14%) ou l'Italie. S'ajoute dans ces trois capitales une fatigue avouée de devoir assumer, après la Libye et la Syrie, le contrecoup des sanctions à chaque rebondissement politique dans le monde musulman.

Cette fois, c'est Athènes qui appelle à l'aide. Ses finances à sec, la Grèce a trouvé à Téhéran un fournisseur très obligeant qui lui fournit le pétrole à crédit. «Il faut en tenir compte et veiller à ce que l'interruption des livraisons de l'Iran puisse être compensée par une hausse de production ailleurs», explique Alain Juppé. À ses yeux, c'est tout à fait possible.

Les réticences de la Grèce et les réserves de l'Italie expliquent le délai que s'accorde l'UE, comme ce fut le cas avec la Libye au début de l'année. Des contacts vont donc être noués avec d'autres puissances pétrolières de la région. Il s'agit aussi d'éviter un effet pervers bien connu des professionnels: tout embargo risque de provoquer un effet temporaire de rareté qui, par le biais d'une hausse des cours, bénéficie au producteur sanctionné s'il trouve d'autres clients…

IRAN: les forces militaires se préparent au combat

mardi 6 décembre 2011

IRAN: les forces militaires se préparent au combat

 
ZEROHEDGE - L'Iran estime qu'elle n'a plus rien à perdre. Après une série d'explosions mystérieuses et la destruction de drones d'attaque de l'OTAN, il semble que le pays riche en pétrole est de plus en plus enclin à la probabilité d'une guerre. Selon Ynet News, l'Iran serait entrain de "déplacer des missiles vers des sites secrets", selon un journal britannique; "plus tôt, les habitants de Téhéran commencent à stocker des biens, craignant une grève imminente."
 
Le commandant Mohammed Ali Jaafari de la garde révolutionnaire iranienne a ordonné à ses forces d'assurer la préparation opérationnelle sur les installations nucléaires du pays avant une possible guerre ou grève. 
 
Le Telegraph a rapporté lundi soir que. "Le mouvement est pour l'instant une précaution". 
 
Le journal britannique cite des sources de renseignement occidentaux stipulant que "l'Iran organise un repositionnement de missiles balistiques, d'explosifs et des troupes dans des positions défensives, afin d'offrir une réponse rapide dans le cas d'une attaque par Israël ou les Etats-Unis ". 
 
 
Un responsable du renseignement occidental de haut rang a cité qu'"il y a une profonde inquiétude au sein de la haute direction du régime iranien et qu'elle redoute être la cible d'une attaque militaire surprise par Israël ou les États-Unis.
 
"Pour cette raison, ils prennent toutes les précautions nécessaires pour s'assurer qu'ils peuvent se défendre correctement si une attaque se produit".
 
 
 
"Nous allons être attaqués"
 
L'isolement de l'Iran sur ses ambitions nucléaires, sa prétention à avoir abattu un drone espion américain dans son espace aérien, et l'attaque de l'ambassade britannique nourrissent les Iraniens ordinaires de peurs.
 
"Les étrangers sont nombreux à quitter l'Iran ... Je soupçonne qu'il y aura une action militaire ... nous allons devenir un autre Irak", a déclaré l'architecte Mahsa Sedri, 35 ans. "Manifestement, quelque chose se passe ... sinon les étrangers ne quitteraient pas l'Iran."
 
"Nous allons être attaqués ... je le sens ... Je vide mes comptes en banque pour avoir de l'argent en poche en cas d'attaque", a déclaré Hassan Vosughi, employé du gouvernement. "Moi et tous mes amis avons stocké des marchandises à la maison."
 
Peut-être, devraient-ils stocker aussi du pétrole...