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25/10/2016

Nations unies : plus de 80 ONG appellent à l'exclusion de la Russie du Conseil des droits de l'homme

Et bien sûr il doit y avoir du Georges SOROS là-dessous !

 

Nations unies : plus de 80 ONG appellent à l'exclusion de la Russie du Conseil des droits de l'homme

©Denis Balibouse/Reuters

 

Des dizaines d'organisations non gouvernementales ont exhorté les Nations unies à priver la Russie de son siège au Conseil des droits de l'homme de l'organisation internationale, mettant en cause les actions de la Russie contre Daesh en Syrie.

A quelques jours des élections qui permettront de renouveler 14 des 47 membres du Conseil des droits de l'homme des Nations unies, des dizaines d'organisations non gouvernementales (ONG) ont exhorté les pays membres de l'Organisation des Nations unies (ONU) à en exclure la Russie, rapporte l'agence AFP.

Les ONG signataires exhortent les membres à «considérer si le rôle de la Russie en Syrie, qui consiste en particulier à soutenir et entreprendre des activités militaires qui ont ciblé systématiquement des civils et des objectifs civils, l'autorise à siéger à la principale instance intergouvernementale de l'ONU chargée des droits de l'homme».

Le Conseil des droits de l'homme, institution controversée

Mais après un rapport de 2005 des Nations unies elles-mêmes, qui établissait que «des Etats ont cherché à se faire élire à la Commission non pas pour défendre les droits de l'Homme mais pour se soustraire aux critiques ou pour critiquer les autres», le Conseil des droits de l'homme continue de poser question. En septembre 2015, WikiLeaks avait par exemple révélé que le Royaume-Uni et l'Arabie saoudite s'étaient entendus pour s'attribuer des sièges au sein de l'organe de l'organisation internationale.

Ce qui a valu à l'Arabie saoudite, sa désignation très controversée à la tête du groupe consultatif du Conseil des droits de l'homme. En plus de pratiquer des exécutions par décapitation et du statut discutable réservé aux femmes et aux minorités sexuelles dans le pays, l'Arabie saoudite est fortement soupçonnée d'apporter son aide à Daesh et de commettre des crimes de guerre au Yemen, où elle dirige une coalition régionale dont les frappes font de nombreuses victimes civiles.

En savoir plus : L’Arabie saoudite coule l’enquête de l’ONU sur les crimes de guerre au Yémen, Washington reste muet

Le 30 septembre 2015, à l'appel du gouvernement de Bachar el-Assad et conformément au droit international, la Russie est intervenue auprès de l'armée régulière syrienne pour combattre les groupes terroristes, prenant pour cibles les positions militaires des organisations terroristes comme Daesh et le Front Al-Nosra, rebaptisé Front Fatah al-Cham depuis qu'il a rompu avec Al-Qaïda.

L'appel des ONG coïncide avec l'introduction. il y a une semaine, auprès du Conseil des droits de l'homme par le Royaume-Uni d'une résolution portant sur des allégations de violations des droits de l'homme en Syrie. Le Conseil y a répondu favorablement et voté pour l'ouverture d'une enquête, suscitant la colère de Moscou. La porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, a qualifié ces accusations de «cyniques» et de «déshonorantes».

Lire aussi : Un an d'opération antiterroriste russe en Syrie : cinq étapes marquantes

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George Soros
 
Les informations selon lesquelles 16 États américains utiliseront des machines de vote fournies par une entreprise liée au milliardaire George Soros ont provoqué l’indignation de milliers d’Américains.

Plus de 28 000 Américains ont signé une pétition contre l'utilisation des machines de vote fournies par Smartmatic, une société liée au financier George Soros, qui a été publiée vendredi dernier sur le site du Congrès américain. « Nous demandons au Congrès de tenir une session extraordinaire en vue de retirer les machines de vote appartenant à George Soros dans 16 États. Cet homme a été lié à la campagne d'une personne qui participe à l'élection et a un parti pris clair pour un candidat. Le fait qu'il possède des machines de vote dans 16 États porte atteinte à notre système électoral », lit-on dans la pétition.   
 
 
 
Réunion en 2013 des chefs d'États ou des ministres des affaires étrangères, accompagné des négociateurs en chef des pays en négociation pour le TPP.
 
L’une des plus grandes révélations de la dix-septième partie des courriels du directeur de campagne d'Hillary Clinton est un mail du conseiller du fonds Soros Fund Management adressé à M. Podesta pour fixer un rendez-vous afin de discuter du Partenariat Trans-Pacifique (TPP). Et ce n’était pas le premier, d’après le contexte. 
 
Michael Vachona, le conseiller du fonds Soros Fund Management, qui gère 30 milliards d'actifs pour le compte du financier George Soros, a adressé un mail à John Podesta dans lequel il propose de fixer un rendez-vous pour discuter de ses préoccupations majeures, dont le TPP, la crise ukrainienne et la crise migratoire.
 
 

Le meurtre de Bachar el-Assad au programme du Congrès US

 

Le meurtre de Bachar el-Assad au programme du Congrès US

 

Le meurtre de Bachar el-Assad au programme du Congrès US

 
Washington semble n’avoir jamais abandonné l’idée d’une méthode radicale pour le règlement du conflit syrien.

Le participant d'un briefing à huis clos, organisé par le Council on Foreign Relations (CFR) américain, a proposé de régler le conflit en Syrie en tuant le président syrien Bachar el-Assad, a déclaré une source, qui a également participé à la rencontre. « Et si l'on recourait au meurtre d'el-Assad ? », a demandé ce participant, cité par le magazine américain Foreign Policy, à Philip Gordon, ex-responsable du Proche-Orient au sein de la Maison Blanche. Selon l'édition, la question a laissé perplexe les autres participants et a été rapidement rejetée par M. Gordon.
 
« C'est illégal et cela ne changerait rien de toute façon. Cela s'avère d'ailleurs peu nuisible aux intérêts de la Russie en Syrie et à ceux de l'Iran notamment », a expliqué Philip Gordon.
 
Conformément à la loi de 1976, un fonctionnaire de l'État américain ne peut pas être impliqué dans un meurtre politique ou dans ses préparatifs.

« Même si el-Assad mourrait ou était tué pour une cause ou une autre, l'enjeu du conflit, qui est le régime syrien soutenu par la Russie contre l'opposition locale, ne changera pas », a répété pour sa part une source de l'édition à la Chambre des représentants. Quoi qu'il en soit, il est certain que la recherche de solutions agressives pour le règlement du conflit syrien est de plus en plus prisée à Washington.
 
 
 
 

Trêve humanitaire à Alep: l'échec expliqué par Moscou

 
 
Dmitri Peskov, porte-parole du Kremlin.
 
Les djihadistes et l'opposition «modérée» ont empêché la réussite de la trêve humanitaire à Alep syrienne, selon le Kremlin.

Le porte-parole du président russe Dmitri Peskov a commenté l'échec de la trêve humanitaire à Alep qui avait été proclamée dans la région pour permettre l'évacuation de la ville des djihadistes sans armes et des civils.
 
« Pendant tous ces jours (de la trêve, ndlr) on a vu des tirs visant les postes de contrôle, des attaques de djihadistes visant les principaux itinéraires de l'acheminement du fret humanitaire. Tout cela rend difficile, sinon impossible la formation de convois humanitaires », a indiqué le porte-parole. Selon lui, le Kremlin appelle à réfléchir sur la possibilité, de manière générale, de faire un distinguo entre les djihadistes et l'opposition modérée en Syrie.
 
« En attendant, le distinguo entre les groupes terroristes et la prétendue opposition modérée n'a pas été fait et on devrait décider si c'est possible en général », a ajouté Dmitri Peskov.
 
Rappelons que la trêve a duré à Alep du 20 au 22 octobre. Neuf couloirs humanitaires avaient été mis en place, dont six réservés aux résidents civils et deux aux combattants bloqués dans la partie est de la ville. 
 
Mardi 18 octobre, les forces aériennes russes et syriennes ont suspendu leurs frappes à Alep, en Syrie, soit avant la date prévue, pour assurer la préparation d'une pause humanitaire. Or, les terroristes du Front Al-Nosra ont tiré sur les habitants d'Alep rassemblés près de l'entrée d'un couloir humanitaire dans le quartier de Bustan al-Qasr. En outre, les extrémistes ont exécuté publiquement 14 représentants des autorités locales, ceci comme punition pour avoir appelé à quitter les quartiers contrôlés par les groupes armés. Selon différentes estimations, jusqu'à 7 000 djihadistes de différents groupes armés sont retranchés dans l'est d'Alep.
 
 
 
 

A Alep, l'armée donne son dernier avertissement aux insurgés



Bombardements à Alep
 
Les forces aériennes syriennes ont largué sur la partie est d'Alep des tracts appelant les combattants à profiter de leur «dernière chance» pour quitter la ville.

Dans le cas contraire, les insurgés présents à Alep seront éliminés, promettent les tracts.

« C'est votre dernier espoir. Si vous ne vous retirez pas de ces zones, vous serez éliminés. Nous vous avons laissé un couloir sécurisé. Ne tardez pas à prendre votre décision, sauvez-vous », lit-on dans les papiers. « Vous savez bien que vous êtes abandonnés par tous, personne ne va vous aider », indiquent les tracts.

Une pause humanitaire a duré du 20 au 22 octobre à Alep. Au cours de cette période, des couloirs ont été ouverts par l'armée syrienne pour que les combattants et les résidents civils puissent quitter les quartiers est de la ville, mais les forces antigouvernementales contrôlant ces zones ont empêché les habitants locaux de le faire.
 
Les formations armées illégales ont sapé la pause humanitaire à Alep en tirant sur les habitants à la sortie de la ville, d’après le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov.

Les hommes armés qui contrôlent les quartiers est de la ville syrienne d'Alep ont tiré sur les habitants qui essayaient de quitter la ville pendant la pause humanitaire, a déclaré lundi le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov lors d'un entretien téléphonique avec le secrétaire d'État américain John Kerry.
 
 
Qartiers est d'Alep contrôlés par les djihadistes
Un groupe de 48 civils a réussi à s’échapper de la partie est d’Alep, d’après un représentant de la police de la ville.

« 48 personnes ont pu quitter l'est de la ville d'Alep. Nous ne pouvons pas donner de détails. Nous espérons que grâce au même système nous réussirons à faire sortir encore plus de gens », a expliqué un représentant de la police d'Alep à l'agence Rossiya Segodnya.
 
 
 
Alep
La partie ouest de la ville syrienne d’Alep est régulièrement pilonnée depuis ses quartiers est au-dessus desquels flottent toujours les drapeaux des organisations terroristes Front al-Nosra et État islamique (Daech).

Les terroristes du Front al-Nosra et de Daech qui se sont retranchés à Alep-Est ont refusé de soutenir la pause humanitaire instaurée à titre unilatéral par la Russie et ont de nouveau pilonné aux mortiers les quartiers résidentiels de la partie ouest de cette ville syrienne, en faisant des morts et des blessés.
 

Le complot judéo-maçonnique n’existe pas !

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