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15/11/2016

Les prévisions astrologiques 2017 par Roland Legrand

L'analyse des principaux transits planétaires autour du zodiaque en 2017 et leurs répercussions possibles pour les natifs des douze signes ou ascendants.


Par Roland Legrand, fondateur de l'école ABLAS à Brisbane, Qld, Australie.

 

Les prévisions astrologiques 2017 par Roland Legrand

https://www.youtube.com/watch?v=nx36e4QpXw0


 

 

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12/11/2016

Climat : Trump pourrait profiter d’une faille juridique pour sortir de l’accord de Paris

 

Climat : Trump pourrait profiter d’une faille juridique pour sortir de l’accord de Paris

LE MONDE | | Par Simon Roger

 
Donald Trump au Capitole, à Washington, le 10 novembre.

Climatosceptique endurci, le futur président des Etats-Unis a promu pendant sa campagne un modèle énergétique basé sur les ressources fossiles.

C’est un bloc de trois phrases dans l’avant-dernière page de l’accord de Paris sur le climat, un énoncé qui serait anodin s’il ne s’agissait d’un texte de droit international où chaque mot compte. L’article 28 de l’accord est l’objet de toutes les spéculations depuis l’élection de Donald Trump à la Maison Blanche, car il pourrait ouvrir la voie à un désengagement des Etats-Unis, deuxième émetteur mondial de gaz à effet de serre, dans la lutte contre le réchauffement climatique.

Le président élu des Etats-Unis, climatosceptique endurci, n’a pas fait mystère de son hostilité à l’accord conclu fin 2015 lors de la COP21, qui prône la transition vers une économie décarbonée – pour contenir le réchauffement sous le seuil des 2°C – alors que lui promeut un modèle énergétique basé sur le pétrole, le gaz et le charbon. Or, l’article 28, qui fixe les conditions de sortie de l’accord, souffre d’une faille dans laquelle la future administration Trump pourrait être tentée de s’engouffrer, remettant ainsi en cause les engagements pris par Barack Obama.

Lire l’éditorial du « Monde » :   Trump peut démolir l’accord sur le climat

D’après l’article, tout pays souhaitant dénoncer l’accord doit attendre trois ans à compter de son entrée en vigueur – le 4 novembre –, puis respecter un préavis d’un an, avant de s’en libérer effectivement. Quatre ans, c’est la durée du mandat de Donald Trump.

Mais le dernier alinéa de cet article précise qu’une partie ayant dénoncé la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC) « sera réputée avoir dénoncé également le présent accord [de Paris] », puisque l’accord de la COP21 a été adopté sous les auspices de la CCNUCC. Comme la Convention-cadre est en vigueur depuis 1994, la condition des trois ans, fréquente dans les traités internationaux, est remplie. Tout pays peut donc aujourd’hui en sortir s’il respecte le préavis d’un an.

Cette hypothèse d’un double retrait américain de la CNUCC et de l’accord de Paris fait planer un nuage sombre sur les négociations en cours à Marrakech, ville hôte de la COP22. « Le leadership des Etats-Unis a été décisif pour construire l’accord de Paris », a rappelé Elina Bardram, directrice générale pour le changement climatique auprès de la Commission européenne, interrogée le 11 novembre au Maroc. Refusant de « spéculer sur les décisions politiques éventuelles du nouveau président élu », elle assure que la détermination européenne à respecter les engagements de Paris « reste intacte ».

Un accord « ratifié par Obama, mais au nom de la nation »

Même méthode Coué dans les rangs de la délégation chinoise, qui promet de poursuivre ses efforts et « attend de voir » ce que fera son partenaire américain après l’investiture de M. Trump, le 20 janvier 2017. Depuis 2014, les deux plus gros pollueurs de la planète ont fait de l’action contre le réchauffement l’un des axes-clés de leur relation bilatérale. Un retrait de Washington n’annulerait pas l’accord de Paris mais redistribuerait les cartes de la gouvernance climatique.

« Il sera, à mon sens, extrêmement difficile » de revenir en arrière, a indiqué de son côté Salaheddine Mezouar, le ministre marocain des affaires étrangères, qui préside la COP22. Si une telle démarche de retrait américain est possible, « rien n’indique pour le moment que ce sera la voie choisie par les Etats-Unis, observe Sébastien Duyck, juriste au Centre pour les lois environnementales internationales (CIEL), à Genève. Si Donald Trump s’y résout, cela déclenchera une longue bataille juridique interne avant qu’il obtienne un accord du Sénat ». Depuis Washington, le dirigeant du CIEL, Carroll Muffett, mesure lui aussi la difficulté de sortir du double cadre de la CCNUCC et de l’accord de Paris : « La convention climat est un traité international solide, conclu il y a près de vingt-cinq ans. Un retrait aurait un impact négatif sur la diplomatie américaine, explique le juriste. Quant à l’accord de Paris, il faut tout de même rappeler qu’il a été ratifié par Barack Obama, certes, mais au nom de la nation américaine. »

Pour n’avoir ni à patienter quatre ans avant de rejeter l’accord de Paris, ni à activer la clause de sortie de la Convention-cadre, le président élu pourrait emprunter une troisième voie, qualifiée par les observateurs d’« option passive » : « Une autre stratégie possible est de rester dans l’accord de Paris, de ne pas mettre en œuvre la contribution nationale américaine – ce qui ne sera pas sanctionné puisque l’accord ne repose pas sur la sanction mais sur l’incitation – et de piéger l’accord de l’intérieur », avance Matthieu Wemaëre, avocat et expert en droit de l’environnement.

Un climatosceptique pour protéger l’environnement

Rien n’oblige en effet Donald Trump à réduire d’ici à 2025 les émissions de gaz à effet de serre de 26 à 28 %, comme le recommande la contribution américaine rendue publique en novembre 2014. Il peut aussi freiner les programmes fédéraux enclenchés par son prédécesseur. Il prévoit de nommer Myron Ebell, directeur d’un think tank climatosceptique financé par les industriels des énergies fossiles, à la tête de l’Agence de protection de l’environnement (EPA), l’instance qui veille notamment au respect de la réglementation gouvernementale.

A la conférence de Marrakech, beaucoup espèrent que la nouvelle administration s’attellera à des priorités domestiques, comme la question de l’emploi, avant de mettre en œuvre ses vues sur le climat. Les plus optimistes imaginent même un « contre-effet Trump » en se remémorant les mois qui avaient suivi l’élection de George W. Bush en 2000 et sa décision de dénoncer le protocole de Kyoto. « Au lieu de figer le processus de négociations en cours, l’attitude arrogante de Bush avait au contraire donné un nouvel élan à la dynamique internationale », rappelle Sébastien Duyck.

 

 

Journal US: «Le TTIP est mort vendredi dernier»

Tant mieux !

Place au protectionnisme des pays souverains !

 

Suite à la victoire de Donald Trump, l’Union européenne craint que les négociations sur le TTIP ne s’enlisent pour une période indéfinie.
 
 
 
 
TTIP 
 
Dans la foulée de l’élection présidentielle américaine, l’administration de Barack Obama jette l’éponge et renvoie la ratification du TTIP aux calendes grecques.
 
L'administration de Barack Obama a définitivement abandonné les tentatives de persuader le Congrès de ratifier l'accord de partenariat transatlantique sur le commerce et l'investissement (TTIP), écrit The Wall Street Journal.

Les députés républicains et démocrates siégeant au Congrès, poursuit le quotidien, ont clairement fait savoir qu'ils n'envisageaient pas de débattre de cet accord dans le sillage immédiat des élections présidentielles:
 
« Le TTIP est mort vendredi dernier, les députés démocrates et les républicains ayant refusé de le promouvoir dans la foulée des élections. En outre, l'administration de Barack Obama a officiellement déclaré que pour le moment, il n'y avait aucune possibilité de faire avancer la ratification », écrit le WSJ.
 
Rappelons que la Commissaire européenne au Commerce, Cecilia Malmström, a indiqué vendredi s'attendre à une « pause » dans les négociations sur le TTIP, accord de libre-échange très contesté entre l'UE et les États-Unis, avec l'élection de Donald Trump à la Maison Blanche.

Pendant la campagne électorale américaine, le candidat républicain n'a eu de cesse de fustiger le libre-échange qui a tué, selon lui, l'industrie et les emplois américains.

Donald Trump a notamment promis de renégocier, voire d'abroger l'Accord de libre-échange nord-américain (Aléna, étendu au Mexique en 1994 à partir d'un précédent traité conclu par le Canada et les États-Unis en 1989). Entamées en 2013, les négociations sur le TTIP, accord commercial qui vise à supprimer les barrières douanières et règlementaires entre les États-Unis et l'UE, piétinent. Fin septembre, l'UE a renoncé à conclure ce dossier sous l'administration de Barack Obama.
 
 
 

Trump : "Le réchauffement climatique est un canular"

Fin de l'escroquerie de la COP !!!

 

Trump : "Le réchauffement climatique est un canular"

Fin de la plaisanterie pour les mondialistes ?

Publié le : mercredi 9 novembre
Source : geopolis.francetvinfo.fr

 

Poutine à Trump : la Russie est prête à restaurer ses relations avec les Etats-Unis

 

Poutine à Trump : la Russie est prête à restaurer ses relations avec les Etats-Unis 

 

 

A l’issue du scrutin présidentiel, le candidat républicain est devenu le 45e président des Etats-Unis. Après son discours, le président russe l’a félicité pour sa victoire et a exprimé son espoir de normaliser les relations russo-américaines.

«Nous comprenons que le chemin de la normalisation des relations entre les Etats-Unis et la Russie ne sera pas facile mais nous sommes prêts à remplir notre part», a fait savoir le président russe lors d'une rencontre avec des ambassadeurs du monde entier à Moscou. 

Il a aussi précisé que l’état actuel des relations entre la Russie et les Etats-Unis n’était pas à imputer à la Russie.

«La Russie est prête à restaurer les relations en plein format avec les Etats-Unis», a-t-il précisé.

Plutôt dans la journée, le Kremlin a annoncé que le président russe avait envoyé un télégramme à Donald Trump pour le féliciter de sa victoire.

«Vladimir Poutine a fait part de son espoir de coopération dans les difficiles relations russo-américaines afin qu'elles s'améliorent, et de travail commun sur les dossiers internationaux en quête de réponses et sur les défis relatifs à la sécurité dans le monde», a déclaré la présidence russe dans un communiqué.

 

«Le président russe espère l'émergence d'un dialogue constructif entre Moscou et Washington, qui se baserait sur des principes d’égalité, de respect mutuel et d’attention envers les positions des uns et des autres», a-t-on conclu au Kremlin.

Le porte-parole de la Douma, Viatcheslav Volodine, a aussi exprimé ses espoirs de voir la victoire de Donald Trump à la présidentielle «aider à ouvrir la voie à un dialogue plus constructif entre Moscou et Washington».

«On ne peut pas qualifier les relations actuelles entre la Russie et les Etats-Unis d’"amicales". Avec le nouveau président des Etats-Unis, un dialogue plus constructif est possible. Le parlement russe soutiendra tous les pas allant dans cette direction», a-t-il poursuivi.


Lire aussi :
EN IMAGES : le discours complet de Donald Trump devant les électeurs après sa victoire

 

Un membre du Comité du conseil de fédération pour la défense et la sécurité, Alexeï Pouchkov a, pour sa part, précisé que le jeu mené par Hillary Clinton face à la Russie pendant la campagne présidentielle lui avait joué un mauvais tour.

«Jouer la carte russe et décrire Vladimir Poutine comme un sale type n’a pas aidé Clinton. Au contraire, l’entrée dans un conflit avec Moscou n’a causé que la peur», a-t-il lancé sur Twitter. 

 

 

D’après plusieurs sondages, les relations entre les Etats-Unis et la Russie ont atteint aujourd'hui leur plus bas niveau depuis la fin de la Guerre froide.


https://www.youtube.com/watch?v=LVqt-CDvzyE



 

Lire aussi : EN CONTINU : Trump promet à la planète le partenariat et non le conflit