08/07/2014
Un sioniste israélien élu député en France !
Et voilà, le résultat le travail de sape des traîtres qui aboutit à la mise sous tutelle de l'état sioniste, de la France et du peuple français ! Imaginez si c'était un député musulman ou arabe qui avait élu à députation, le scandale que cela aurait provoqué en France !
Mais là les merdias aux ordres des lobbies sionistes, ce sont bien gardés de nous en faire la publicité ! Pas la peine de chercher où sont les espions du Mossad, nous les avons à l'assemblée nationale !
Un sioniste israélien élu député en France !
Mardi, 11 Juin 2013 [Section : Communications du PAS]
Commentaires (26)
Meyer Habib, vice-président du CRIF (Conseil Représentatif des Institutions Sionistes de France), membre du bureau exécutif du non moins sioniste Congrès Juif Européen, et ancien conseiller du Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou, vient d’être élu ce dimanche 9 juin député de la 8ème circonscription des Français de l’étranger. Celle-ci comprend des pays du pourtour méditerranéen : Chypre, Grèce, Israël, Italie, Malte et Turquie.
L’une des propositions du programme politique de Meyer Habib, qui possède la nationalité israélienne, est pour le moins très étonnante. Il juge en effet important de « transférer l’ambassade de France de Tel Aviv à Jérusalem, capitale de l’Etat d’Israël » (proposition n°13).
Cette proposition est doublement illégale au regard du droit international. D’une part, parce que la résolution 478 du 20/08/1980 du Conseil de Sécurité interdit aux Etats membres de l’ONU d’établir à Jérusalem des missions diplomatiques. D’autre part, les résolutions de 1968, 1980, 1999 et 2000 déclarent « nulle et non avenue » toute décision du gouvernement israélien allant dans le sens d’une modification du caractère et du statut de la ville sainte de Jérusalem, constituant ainsi une violation flagrante de la Convention de Genève.
Par cette proposition, Meyer Habib démontre qu’une fois de plus l’arrogance sioniste n’a aucune limite ! Comment pourrait-il en être autrement, lorsque l’on constate qu’aucune des résolutions promulguées par les instances internationales n’ont eu d’effets sur le processus de sionisation de cette ville trois fois sainte ?
La volonté des différents gouvernements israéliens d’isoler Jérusalem du reste des territoires palestiniens occupés, par des constructions illégales de colonies rendant ainsi toute rétrocession extrêmement difficile, résulte de ce mépris, de cette arrogance du sionisme qui le mènera inexorablement à sa perte.
Quant à l’élection de Meyer Habib, les chiffres parlent d’eux-mêmes et en disent long sur la faiblesse de son programme : seulement 3% des Français de la 8ème circonscription de l’étranger ont voté pour lui…
- Un député français prône la « valeur juive de la vengeance »
-
Pour se rafraîchir la mémoire, voici, en bonus, la compilation de ses performances.
Habib à l'Opéra Bastille avec Valls et Goldnadel
Quand Habib prend la pose avec l'extrême droite israélienne
Habib soutient les colons écolos
Habib invité: la gaffe de Karim Achoui
Habib félicité par Shimon Peres
Habib aux funérailles de son "ami Arik Sharon"
Agression sous faux drapeau: Habib interpellé par la police
23:43 Publié dans Franc-Maçonnerie & Jésuites Lucifériens, France/Israël/Elections, Israël, Palestine, Colonisation, Rothschild, Mafia Kazhar, Sionisme, Oligarchie, LDJ | Lien permanent | |
del.icio.us |
|
Imprimer |
Digg |
Facebook | | |
|
L'État d'Israël disposera-t-il d'un siège de député français ?
Voilà comment le traître de SARKOZY, VRP du Nouvel Ordre Mondial a ouvert la boîte de Pandore à ses amis sionistes/francs-maçons, en 2009, en livrant la France aux intérêts des lobbies sionistes ! Voilà comment ils se sont arrangés pour faire passer des représentants politiques de l'état sioniste d'Israël, du statut à la rigueur, de Consul ou d'ambassadeurs, au statut de députés pouvant ainsi influencer les lois et la politique extérieure de la France.
L'État d'Israël disposera-t-il d'un siège de député français ?
Conformément à la réforme constitutionnelle de 2009, l'Assemblée nationale que nous élirons en juin comptera onze députés représentant les deux millions de Français résidant à l'étranger, dont le vote était précédemment réaffecté à leur circonscription d'origine en France. Leur huitième circonscription couvre l'Italie, Saint-Marin, le Vatican, Grèce, Turquie, Chypre, Malte et Israël, en tout 100 000 électeurs dont un peu plus de la moitié d'Israéliens[1].
Cette réforme pose de graves problèmes institutionnels. Il existe un Conseil supérieur des Français de l'étranger, ainsi qu'une Assemblée des Français de l'étranger et ceux-ci élisent déjà douze sénateurs (8 UMP et 4 PS). Or, si le Sénat fédère les intérêts locaux, l'Assemblée nationale incarne une souveraineté nationale indivisible. L'élection de députés catégoriels ne peut que dégrader la représentation de l'intérêt général et affaiblir le Parlement.
De fait, certains milieux s'engouffrent dans cette faille. II apparaît en effet une différence de nature entre un Français installé en Italie, aux États-Unis ou au Sénégal et un expatrié en Israël. En dehors des problèmes spécifiques des expatriés, la situation des premiers n'implique pas de position politique particulière, tandis que les seconds ont accompli une démarche liée au nationalisme israélien. On note à cet égard, que les Français expatriés possédant aussi la nationalité de leur pays de résidence, sont 95% en Israël contre 55% en moyenne dans les sept autres pays. En d'autres termes les uns sont des Français résidant à l'étranger, les autres sont des Israéliens d'origine française.
Un discours qui éclaire la réforme d'une lumière crue.
Vice-présidente (PS) de l'Assemblée des Français de l'étranger, Daphna Poznanski est parmi les candidats actuellement déclarés, la seule qui réside effectivement à l'étranger (en Israël) et affiche une expérience dans le domaine des expatriés. Son blog est presque entièrement consacré à leurs problèmes : validation de l'activité pour la retraite, équivalence des diplômes, obtention de documents d'état-civil, couverture sociale, polémique contre la binationalité ... Elle observe des positions modérées au sujet du conflit israélo-palestinien, préconisant une solution à deux états, qui pour elle, doit être un préalable à une solution fédérale. Elle n'aborde toutefois pas la question des frontières.
Avec les trois candidats suivants, on entre dans un autre monde. Ils ne possèdent visiblement aucune expérience en matière d'expatriés pour lesquels ils improvisent des promesses électorales, mais ne cachent pas que le lobbying en faveur de la politique israélienne est leur véritable motivation.
Soutenu par l'Union des patrons juifs de France, Edward Amiach s'exprime sans fard dans l'interview qu'il donne sur son blog :
"(...) Pour résumer, vous voulez être un lobbyiste à l’Assemblée, même si ce n’est pas dans la tradition française.
Je n’ai pas peur du mot : oui, un lobbyiste, mais sous la forme de ce que fait l’AIPAC aux États-Unis. Quand on pense que 85 % des parlementaires américains sont pro-israéliens ! Si nous travaillons comme il faut, nous arriverons peut-être à ce résultat en France dans 50 ans."
En dépit des apparences, ce ne sont pas là les nouvelles élucubrations du rédacteur des Protocoles des sages de Sion[2], mais la feuille de route d'un authentique lobbyiste d'Israël. L'impasse au Proche-Orient résultant principalement du soutien inconditionnel apporté à la politique israélienne par un gouvernement américain paralysé par le lobby israélien[3], on se propose un objectif comparable pour la France.
Adjoint au maire de Neuilly-sur-Seine, Philippe Karsenty se consacre particulièrement à la presse. Il alimente sur son blog une "Agence de notation des médias" spécialement vigilante en matière de traitement de la politique israélienne. Il s'acharne depuis 2000 sur France2 et son journaliste israélien Charles Enderlin qui a osé imputer la mort du jeune Mohamed Al-Durah aux militaires israéliens. Il se montre déçu par Nicolas Sarkozy avec lequel il a fait un bout de chemin au début de leurs carrières respectives, mais qui n'aligne pas ses actes de Président de la République française sur les positions israéliennes. Plus de six mois avant le scrutin, il affirme que "la plupart des médias" le désignent comme favori.
L'épouse de Gil Taïeb est conseillère municipale socialiste de Paris. Il est lui aussi fortement impliqué dans le lobbying israélien. Il pratique depuis longtemps une forme d'action qui sous une couverture caritative, soutient la politique israélienne (collecter des fonds en France en faveur des nécessiteux israéliens, ceux-ci pouvant être les soldats). Son comité de soutien est presque exclusivement israélien : ministres, militaires, maires, ainsi que Michel Boujenah et Rika Zaraï. Il reproche au Ministère des Affaires étrangères français d'avoir critiqué les récentes colonisations en Cisjordanie et incrimine dans une lettre ouverte au Président de la République, le vote français favorable à l'admission de la Palestine à l'UNESCO.
"Alors qu’Israël est attaqué et que des milliers d’Israéliens subissent les tirs des terroristes de la bande de Gaza, l’UNESCO vient d’accueillir les palestiniens en son sein et reconnait la Palestine.
Quelle leçon donnée par le monde !!!
La souffrance juive n’intéresse personne ! (...)"
Il se plaint en des termes d'un sentimentalisme affecté de ce que lors de sa récente visite en Israël, Bertrand Delanoë n'ait pas réservé l'exclusivité à l'État juif, mais ait également rencontré les représentants de l'Autorité palestinienne.
"Israël ne mérite t-il donc pas une visite exclusive ?
Israël n’aurait il pas le droit à un bonheur entier et non partagé ?
Les israéliens se doivent-ils toujours d’être aimés en silence ?
Monsieur Bertrand Delanoë, l’amitié a besoin parfois d’exclusivité et de courage, ne l’oubliez pas et revenez visiter Israël et sa capitale Jérusalem."
Le Maire de Paris apparaît pourtant comme un soutien de la politique israélienne, mais ces militants semblent réincarner les staliniens de jadis : un compagnon de route est tenu d'obéir sans état d'âme ni égard pour sa propre fonction politique.
Ancienne représentante en France de l’American Jewish Committee, l'une des principales officines américaines de lobbying israélien, Valérie Hoffenberg est la candidate de l'UMP. Elle contraste avec le discours sans retenue des trois précédents. Elle s'efforce de convaincre son public juif qu'en dépit des critiques que lui valent certaines positions françaises, le Président Sarkozy est bien un ami d'Israël. Elle déplore toutefois le vote français en faveur de l'admission de la Palestine à l'UNESCO.
L'envahissant lobby israélien
En résumé, cette réforme semble devoir aboutir à une officialisation du lobbying israélien. La République française offre un siège de député à un état en guerre dont la vision raciale et l'agressivité régionale se sont dramatiquement exacerbées depuis un an, pour lequel le soutien occidental constitue un enjeu vital et trois candidats sur cinq s'affirment d'emblée déterminés à utiliser la fonction élective qu'ils briguent, comme levier pour contrôler depuis l'étranger, la politique extérieure française.
Selon l'Agence juive, la population juive française compterait près de 500 000 personnes[4] ce qui en ferait la troisième population juive du monde, loin derrière Israël (5,5 millions) et les USA (5,3 millions). D'où les efforts considérables de propagande. On a vu ces derniers mois, les thèmes idéologiques comme délégitimation et autres nature juive de l'état se succéder à rythme croissant sous la plume des philosophes maison et autres agents d'influence. Pour résumer, toute critique à l'égard de la colonisation des territoires occupés aboutirait à "délégitimer" l'État d'Israël et on exige que les nations s'engagent sur sa nature "juive", comme si la Communauté internationale devait avaliser le caractère essentiel de son expansionnisme aux dépends des Palestiniens et ses visions raciales.
Depuis que le Président de l'Autorité palestinienne a posé la candidature à l'ONU, c'est le thème de "l'inexistence du Peuple palestinien" qui est agité. Les Palestiniens ne seraient que des gens accourus récemment en Palestine pour ramasser les miettes de la créativité juive comme l'affirme un livre dont le CRIF assure la promotion.
Ceci d'autant plus que dans le même temps, s'enflamme en France un débat récurrent relatif au vote des résidents étrangers dans nos élections locales, que l'UMP rejette en invoquant des dangers subliminaux.
[1] Ce billet s'inspire de la matière fournie par Daniel Horowitz il y a environ une semaine
[2] Les Protocoles des sages de Sion sont un faux antisémite rédigé sans doute au tout début du XXe siècle. Ils simulent un ensemble d'instructions émanant d'une autorité juive clandestine et visant dans chaque pays à la corruption des élites afin d'asseoir la suprématie juive sur le monde.
[3] Dans Le lobby pro-israélien et la politique étrangère américaine, (2007, Édition La découverte) John J. Mearsheimer et Stephen M. Walt détaillent les moyens mis en œuvre pour aligner la politique américaine sur les impératifs israéliens.
[4] La population concernée par ce décompte est composite et sujette à interprétation. Lire La population juive de France : socio-démographie et identité, Doris Bensimon, Sergio Della Pergola, 1984, CNRS/Université hébraïque de Jérusalem
23:03 Publié dans France/Israël/Elections, Israël, Palestine, Colonisation, Les Lobbies et la Politique, Sionisme, Oligarchie, LDJ | Lien permanent | |
del.icio.us |
|
Imprimer |
Digg |
Facebook | | |
|
La double nationalité, une tradition française
Un peu d'éclairage sur la double nationalité dont certains profitent pour venir influencer les lois et les décisions françaises tout en travaillant au profit des lobbies sionistes par exemple et par là-même pour l'état sioniste d'Israël. En sachant que des pays qui pratiquent l'allégeance perpétuelle nationale, ne laissent pas la possibilité à leurs ressortissants de renoncer à leur nationalité, s'agissant du Maroc et d'Israël, de la Chine et de l'Allemagne.
La double nationalité, une tradition française
Par Constance Jamet - Mis à jour le 09/07/2011 à 08:49 - Publié le 22/06/2011 à 08:48
FOCUS - Ce statut concernerait près de cinq millions de personnes en France.
» Binationalité: Guéant n'a «aucune intention de changer la loi»
Qu'est ce que la binationalité (ou double nationalité) ? C'est l'appartenance simultanée d'une personne à la nationalité de deux Etats. Cela existe aussi bien pour un Français ayant acquis une autre nationalité que pour un étranger devenu français et ayant conservé sa nationalité d'origine. La binationalité résulte d'accords internationaux. Elle n'est pas inscrite dans le droit français mais est ancrée dans une longue tradition. «La France a toujours accepté la double nationalité, comme le Royaume Uni. Après la Première Guerre mondiale, lors de la réintégration de l'Alsace-Moselle dans la République française, certains Allemands installés dans la région voulaient devenir Français tout en gardant aussi leur nationalité d'origine. Cela n'a posé aucun problème», rappellait en mai dernier à l'AFP l'historien Patrick Weil.
Combien de personnes sont-elles concernées en France ? Aucune statistique officielle n'existe, la loi française n'obligeant pas un citoyen à signaler à l'état civil qu'il possède une autre nationalité. L'UMP avance le chiffre de quatre à cinq millions de binationaux. Selon les évaluations des ambassades, plus de la moitié des 2,5 millions des Français de l'étranger sont binationaux.
Comment acquière-t-on la double nationalité? On peut la décrocher à la naissance. Un enfant ayant vu le jour dans un pays étranger qui applique le droit du sol se voit reconnaître la nationalité dudit pays. Il acquiert en plus celle de ses parents, lorsque l'État dont ils sont les ressortissants attribue la nationalité par filiation, comme c'est le cas en France.
La double nationalité peut s'obtenir également «par naturalisation, par mariage, ou par accès à l'indépendance d'un État», rappelle l'administration sur son site web, qui cite le cas de l'Algérie en 1962. «La loi française n'exige pas qu'un étranger devenu français renonce à sa nationalité d'origine ou qu'un Français ayant acquis une autre nationalité renonce à la nationalité française», précise-t-elle.
Un point que Claude Goasguen avait un temps envisagé de modifier. Dans un document de travail, publié fin juin par Libération, le député de Paris proposait de subordonner la nationalité française par mariage ou par naturalisation à «la renonciation expresse du déclarant» à sa nationalité étrangère. Selon le rapport du député, la double nationalité constitue «un vecteur potentiel de conflits d'allégeance et d'intérêts» entre le pays d'origine et celui d'adoption, limitant l'intégration. Une proposition retoquée lors d'une réunion du groupe UMP.
Quels sont les droits et les devoirs d'un binational ? Dans l'Hexagone, il jouit des mêmes droits et devoirs qu'un Français. Aucun métier ne lui est fermé. Etant un citoyen français comme les autres, le binational ne peut se prévaloir de sa nationalité étrangère lorsqu'il réside en France. De même, un Français binational ne peut se réclamer de sa nationalité française auprès des autorités de l'autre État dont il possède aussi la nationalité lorsqu'il réside sur son territoire.
La double nationalité existe-t-elle partout ? Le principe de binationalité s'est développé dans la deuxième partie du XXe siècle mais certains pays ont des législations plus restrictives. Jusqu'en 2002, l'Australie obligeait ses nationaux qui prenaient une autre nationalité à renoncer à leur passeport australien. La Chine ne reconnaît pas non plus la double nationalité. Plus près de nous, Berlin n'autorise la double nationalité que pour les ressortissants de l'Union européenne et suisses, les Aussiedler (minorités allemandes qui vivaient en Union soviétique), et les enfants nés de deux parents de nationalités différentes. Les étrangers vivant outre-Rhin, ne correspondant pas aux critères susmentionnés, ne peuvent acquérir la nationalité allemande qu'à condition de renoncer à leur nationalité d'origine.
En France, est-il possible de restreindre l'accès à la binationalité ? S'il est toujours possible de légiférer en France, certains pays comme Israël et le Maroc, qui pratiquent l'allégeance perpétuelle nationale, ne laissent pas la possibilité à leurs ressortissants de renoncer à leur nationalité.
Actuellement, peut-on perdre sa binationalité ? Pour un étranger ayant acquis la nationalité française, cela peut arriver en cas de «changement de situation personnelle». Un Français qui a acquis une autre nationalité peut perdre sa nationalité française par manifestation de volonté, via une déclaration auprès du consulat français du pays de résidence ou, s'il vit en France, auprès de la sous-direction des nationalisations. Dans ce dernier cas, la décision sera rendue par décret ministériel.
LIRE AUSSI :
» Marine Le Pen demande la fin de la binationalité
» ANALYSE - France : des binationaux par millions
» «130.000 naturalisations par an, c'est trop»
22:24 Publié dans France/Israël/Elections, Sionisme, Oligarchie, LDJ | Lien permanent | |
del.icio.us |
|
Imprimer |
Digg |
Facebook | | |
|
La partition de l'Irak et la prise de la Palestine occidentale sont la réalisation d'un complot sioniste datant des années 80
On comprend mieux le false-flag organisé par les sionistes lors des attentats du 11 septembre 2001 aux USA ? Il fallait aussi un prétexte pour aller attaquer l'Irak et lui enlever toutes ses richesses y compris toutes les traces de la civilisation sumérienne qui aurait pu compromettre l'origine véritable des reptiliens-sionistes, tant il est vrai que les musées et les sites archéologiques ont été détruits durant la période d'occupation.
Voir le précédent article ci-dessous :
Lundi 30 juin 2014
La partition de l'Irak est la réalisation d'un complot sioniste datant des années 80
Son auteur, Oded Yinon travailla au ministère des Affaires étrangères d'Israël. Le texte fut révélé au monde par Israel Shahak qui fut le président de la ligue israélienne des droits de l’homme.
Le texte entier par ce lien en Anglais : http://cosmos.ucc.ie/cs1064/jabowen/IPSC/articles/article0005345.html et ICI http://antiisgood.wordpress.com/tag/syria/
Extrait : "Je me souviens très bien (avant j'étais «en opposition»), la nécessité de la guerre que l'on m'avait expliquée à moi et à d'autres, un an avant la guerre de 1956, et la nécessité de conquérir "le reste de la Palestine occidentale quand nous en aurons l'occasion" cela a été expliqué dans les années 1965-1967."
« La reconquête du Sinaï, avec ses ressources actuelles, est un objectif prioritaire que les accords de Camp David et les accords de paix empêchaient jusqu’ici d’atteindre (…) Privés de pétrole et des revenus qui en découlent, condamnés à d’énormes dépenses en ce domaine, il nous faut impérativement agir pour retrouver la situation qui prévalait dans le Sinaï avant la visite de Sadate et le malheureux accord signé avec lui en 1979.
La situation économique de l’Égypte, la nature de son régime, et sa politique panarabe, vont déboucher sur une conjoncture telle qu’Israël devra intervenir…
L’Égypte, du fait de ses conflits internes, ne représente plus pour nous un problème stratégique, et il serait possible, en moins de 24 heures, de la faire revenir à l’état où elle se trouvait après la guerre de juin 1967. Le mythe de l’Égypte « leader du monde arabe » est bien mort (…) et, face à Israël et au reste du monde arabe, elle a perdu 50% de sa puissance. À court terme, elle pourra tirer avantage de la restitution du Sinaï, mais cela ne changera pas fondamentalement le rapport de force. En tant que corps centralisé, l’Égypte est déjà un cadavre, surtout si l’on tient compte de l’affrontement de plus en plus dur entre musulmans et chrétiens. Sa division en provinces géographiques distinctes doit être notre objectif politique pour les années 1990, sur le front occidental.
Une fois l’Égypte ainsi disloquée et privée de pouvoir central, des pays comme la Libye, le Soudan, et d’autres plus éloignés, connaîtront la même dissolution. La formation d’un État copte en Haute-Égypte, et celle de petites entités régionales de faible importance, est la clef d’un développement historique actuellement retardé par l’accord de paix, mais inéluctable à long terme.
En dépit des apparences, le front Ouest présente moins de problèmes que celui de l’Est. La partition du Liban en cinq provinces (…) préfigure ce qui se passera dans l’ensemble du monde arabe. L’éclatement de la Syrie et de l’Irak en régions déterminées sur la base de critères ethniques ou religieux, doit être, à long terme, un but prioritaire pour Israël, la première étape étant la destruction de la puissance militaire de ces États.
Les structures ethniques de la Syrie l’exposent à un démantèlement qui pourrait aboutir à la création d’un État chiite le long de la côte, d’un État sunnite dans la région d’Alep, d’un autre à Damas, et d’une entité druze qui pourrait souhaiter constituer son propre État —peut-être sur notre Golan— en tout cas avec l’Houran et le Nord de la Jordanie. (…) Un tel État serait, à long terme, une garantie de paix et de sécurité pour la région. C’est un objectif qui est déjà à notre portée.
Riche en pétrole, et en proie à des luttes intestines, l’Irak est dans la ligne de mire israélienne. Sa dissolution serait, pour nous, plus importante que celle de la Syrie, car c’est lui qui représente, à court terme, la plus sérieuse menace pour Israël. Une guerre syro-irakienne favoriserait son effondrement de l’intérieur, avant qu’il ne soit en mesure de se lancer dans un conflit d’envergure contre nous. Toute forme de confrontations inter-arabe nous sera utile et hâtera l’heure de cet éclatement. (…) Il est possible que la guerre actuelle contre l’Iran précipite ce phénomène de polarisation.
« La reconquête du Sinaï, avec ses ressources actuelles, est un objectif prioritaire que les accords de Camp David et les accords de paix empêchaient jusqu’ici d’atteindre (…) Privés de pétrole et des revenus qui en découlent, condamnés à d’énormes dépenses en ce domaine, il nous faut impérativement agir pour retrouver la situation qui prévalait dans le Sinaï avant la visite de Sadate et le malheureux accord signé avec lui en 1979.
La situation économique de l’Égypte, la nature de son régime, et sa politique panarabe, vont déboucher sur une conjoncture telle qu’Israël devra intervenir…
L’Égypte, du fait de ses conflits internes, ne représente plus pour nous un problème stratégique, et il serait possible, en moins de 24 heures, de la faire revenir à l’état où elle se trouvait après la guerre de juin 1967. Le mythe de l’Égypte « leader du monde arabe » est bien mort (…) et, face à Israël et au reste du monde arabe, elle a perdu 50% de sa puissance. À court terme, elle pourra tirer avantage de la restitution du Sinaï, mais cela ne changera pas fondamentalement le rapport de force. En tant que corps centralisé, l’Égypte est déjà un cadavre, surtout si l’on tient compte de l’affrontement de plus en plus dur entre musulmans et chrétiens. Sa division en provinces géographiques distinctes doit être notre objectif politique pour les années 1990, sur le front occidental.
Une fois l’Égypte ainsi disloquée et privée de pouvoir central, des pays comme la Libye, le Soudan, et d’autres plus éloignés, connaîtront la même dissolution. La formation d’un État copte en Haute-Égypte, et celle de petites entités régionales de faible importance, est la clef d’un développement historique actuellement retardé par l’accord de paix, mais inéluctable à long terme.
En dépit des apparences, le front Ouest présente moins de problèmes que celui de l’Est. La partition du Liban en cinq provinces (…) préfigure ce qui se passera dans l’ensemble du monde arabe. L’éclatement de la Syrie et de l’Irak en régions déterminées sur la base de critères ethniques ou religieux, doit être, à long terme, un but prioritaire pour Israël, la première étape étant la destruction de la puissance militaire de ces États.
Les structures ethniques de la Syrie l’exposent à un démantèlement qui pourrait aboutir à la création d’un État chiite le long de la côte, d’un État sunnite dans la région d’Alep, d’un autre à Damas, et d’une entité druze qui pourrait souhaiter constituer son propre État —peut-être sur notre Golan— en tout cas avec l’Houran et le Nord de la Jordanie. (…) Un tel État serait, à long terme, une garantie de paix et de sécurité pour la région. C’est un objectif qui est déjà à notre portée.
Riche en pétrole, et en proie à des luttes intestines, l’Irak est dans la ligne de mire israélienne. Sa dissolution serait, pour nous, plus importante que celle de la Syrie, car c’est lui qui représente, à court terme, la plus sérieuse menace pour Israël. Une guerre syro-irakienne favoriserait son effondrement de l’intérieur, avant qu’il ne soit en mesure de se lancer dans un conflit d’envergure contre nous. Toute forme de confrontations inter-arabe nous sera utile et hâtera l’heure de cet éclatement. (…) Il est possible que la guerre actuelle contre l’Iran précipite ce phénomène de polarisation.
La Péninsule arabique toute entière est vouée à une dissolution du même genre, sous des pressions internes. C’est le cas en particulier de l’Arabie saoudite : l’aggravation des conflits intérieurs et la chute du régime sont dans la logique de ses structures politiques actuelles.
La Jordanie est un objectif stratégique dans l’immédiat. À long terme, elle ne constituera plus une menace pour nous après sa dissolution, la fin du règne de Hussein, et le transfert du pouvoir aux mains de la majorité palestinienne.
C’est à quoi doit tendre la politique israélienne. Ce changement signifiera la solution du problème de la rive occidentale, à forte densité de population arabe.
L’émigration de ces Arabes à l’Est —dans des conditions pacifiques ou à la suite d’une guerre— et le gel de leur croissance économique et démographique, sont les garanties des transformations à venir. Nous devons tout faire pour hâter ce processus. Il faut rejeter le plan d’autonomie, et tout autre qui impliquerait un compromis ou une participation des territoires, et ferait obstacle à la séparation des deux nations : conditions indispensables d’une véritable coexistence pacifique.
Les Arabes israéliens doivent comprendre qu’ils ne pourront avoir de patrie qu’en Jordanie (…) et ne connaîtront de sécurité qu’en reconnaissant la souveraineté juive entre la mer et le Jourdain. (…) Il n’est plus possible, en cette entrée dans l’ère nucléaire, d’accepter que les trois quarts de la population juive se trouve concentrée sur un littoral surpeuplé et naturellement exposé ; la dispersion de cette population est un impératif majeur de notre politique intérieure. La Judée, la Samarie, et la Galilée, sont les seules garanties de notre survie nationale. Si nous ne devenons pas majoritaires dans les régions montagneuses, nous risquons de connaître le sort des Croisés, qui ont perdu ce pays.
Rééquilibrer la région sur le plan démographique, stratégique et économique, doit être notre principale ambition ; ceci comporte le contrôle des ressources en eau de la région qui va de Beer Sheba à la Haute-Galilée et qui est pratiquement vide de juifs aujourd’hui. »
Références :
« This essay originally appeared in hebrew in KIVUNIM (Directions), A journal for Judaism and Zionism ; Issue N°14 – Winter, 5742, February 1982. Editor : Yoram Beck. Editorial Committee : Eli Eyal, Yoram Beck, Amnon Hadari, Yohanan Manor, Elieser Schweid. Published by the Department of Publicity/The World Zionist Organization, Jerusalem. »
http://leschroniquesderorschach.blogspot.fr/2014/06/la-pa...
16:47 Publié dans Actualité, politique ou géopolitique, Economie, Arnaques, Mensonges, Propagande, Conspiration mondiale, Conspiration, Complot, Corruption, Franc-Maçonnerie & Jésuites Lucifériens, Irak, Les Projets des Maîtres du Monde, Propagande raciste, Rothschild, Mafia Kazhar, Sionisme, Oligarchie, LDJ, USA, Israël | Lien permanent | |
del.icio.us |
|
Imprimer |
Digg |
Facebook | | |
|
Gaza : le gouvernement israélien autorise le rappel de 40.000 soldats réservistes
Et ils vont nous faire quoi ? Que tout ce tremblement de terre organisé avec un contingent supplémentaire de 40 000 réservistes serait simplement rassemblé pour aller donner une leçon de morale aux Palestiniens pour avoir soi-disant enlevé et tué 3 israéliens dans le cadre du false-flag orchestré par le Mossad lui-même ? Ou c'est pour aller s'accaparer les réserves de GAZ à GAZA ?
GAZ/A le gouvernement israélien autorise le rappel de 40.000 réservistes
Israël a autorisé le rappel de 40.000 réservistes en prévision d’une possible offensive terrestre contre la bande de Gaza, ont rapporté mardi des médias israéliens.
Cette décision a été prise par le cabinet de sécurité dirigé par Benjamin Netanyahu quelques heures après que l’armée a lancé une vaste attaque aérienne contre le Hamas palestinien à Gaza pour faire cesser les tirs de roquettes visant le territoire israélien.
Un haut responsable israélien a indiqué mardi à l’AFP que l’armée était prête à toutes les options, y compris une offensive terrestre pour stopper ces tirs.
«L’armée prépare une série d’options, y compris une invasion ou une offensive terrestre», contre l’enclave palestinienne contrôlée sur le plan sécuritaire par le mouvement islamiste Hamas, a-t-il ajouté sous le couvert de l’anonymat.
Un autre responsable a déclaré que l’armée avait reçu des instructions «pour préparer les différentes alternatives militaires pour être prête le cas échéant».
«Les attaques aériennes que nous avons menées ne constituent qu’une étape. L’opération n’a pas de limite de temps», a prévenu un porte-parole de l’armée, Peter Lerner.
L’armée israélienne a lancé depuis 2006 plusieurs offensives dans la bande de Gaza. La dernière a duré du 14 au 21 novembre 2012 et fait 177 morts Palestiniens, en majorité des civils.
http://www.liberation.fr/monde/2014/07/08/gaza-le-gouvern...
16:10 Publié dans Actualité, politique ou géopolitique, Economie, Arnaques, Mensonges, Propagande, Crimes contre l'humanité, Eugénisme, Israël, Palestine, Colonisation, Rothschild, Mafia Kazhar, Sionisme, Oligarchie, LDJ, USA, Israël | Lien permanent | |
del.icio.us |
|
Imprimer |
Digg |
Facebook | | |
|