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10/11/2012

Un astéroïde nommé "Nibiru" serait en direction de la Terre et il y aurait 10% de chances de collision, selon des employés de la NASA

Cet astéroïde n'a rien à voir avec la planète Nibiru qui ferait 4 fois la taille de Jupiter et 60 fois la taille de la Terre et qui est appelée aussi Hercolubus ou la géante de l'espace.

Donc, elle ne risque pas de percuter la Terre compte tenu de sa taille, mais de bien la perturber lors de son passage tous les 3600 ans.

Néanmoins Nibiru est entourée de son cortège d'astéroïdes.

Celui-ci semble faire la taille de l'état du Texas ce qui n'est pas rien non plus.


Un astéroïde nommé "Nibiru" serait en direction de la Terre et il y aurait 10% de chances de collision, selon des employés de la NASA

Niburu.jpg

Un astéroïde nommé "Nibiru" serait en direction de la Terre et il y aurait 10% de chances de collision, selon des employés de la NASA

vendredi 9 novembre 2012

* Il s'agit d'un article en provenance du site de CNN...
Selon des fuites par des employés et scientifiques anonymes de la NASA, un astéroïde baptisé «Nibiru» se dirige dans une voie directe vers la terre, avec 30% de chances de collision.

Naturellement, la NASA se tait pour l'instant pour ne pas inciter à la panique et afin d'obtenir tous les faits avant de faire un communiqué de presse.  Certaines rumeurs non confirmées parlent d'un astéroïde correspondant à la taille du Texas et la date estimée de collision serait au cours du mois de novembre et décembre 2012. La NASA n'a ni confirmé ni démenti aucune de ces allégations.

http://conscience-du-peuple.blogspot.fr/2012/11/un-asteroide-nomme-niburu-serait-en.html

09/11/2012

LE SAUT QUANTIQUE : La Magie du Cosmos - Episode 3

A voir pour notre prochain saut quantique !

Pour voir les précédents épisodes voir les liens ci-dessous :

L'ILLUSION DU TEMPS - La Magie du Cosmos - Episode 1

LA MAGIE DU COSMOS : Qu'est-ce que l'espace ? Episode 2

 

Le saut quantique, est un documentaire scientifique (0h52) de la série La Magie du Cosmos diffusée sur Arte, qui s'intéresse à la physique quantique, un des domaines complexes de la science, évoqué par le physicien Brian Greene. Épisode 3 sur 4.

LE SAUT QUANTIQUE : La Magie du Cosmos

 

La mécanique quantique est la branche de la physique qui a pour but d'étudier et de décrire les phénomènes fondamentaux à l'œuvre dans les systèmes physiques, plus particulièrement à l'échelle atomique et subatomique. C'est aussi la partie de la physique où apparaît la constante de Planck. Elle fut développée au début du XXe siècle par une dizaine de physiciens américains et européens, afin de résoudre différents problèmes que la physique classique échouait à expliquer, comme le rayonnement du corps noir, l'effet photo-électrique, ou l'existence des raies spectrales.

Au cours de ce développement, la mécanique quantique se révéla être très féconde en résultats et en applications diverses. Elle permit notamment d'élucider le mystère de la structure de l'atome, et plus globalement elle s'avéra être le cadre général de description du comportement des particules élémentaires, jusqu'à constituer le socle de la physique moderne.


La mécanique quantique comporte de profondes difficultés conceptuelles, et son interprétation physique ne fait pas encore l'unanimité dans la communauté scientifique. Parmi ces concepts, on peut citer la dualité onde corpuscule, la superposition quantique, l'intrication quantique ou encore la non-localité.
Globalement, la mécanique quantique se démarque de la physique classique par deux aspects : Des règles différentes quant à l'additivité des probabilités, et l'existence de grandeurs physiques ne pouvant se manifester que par multiples de quantités fixes, appelés quantas, qui donnent leur nom à la théorie.


La physique quantique est l'appellation générale d'un ensemble de théories physiques qui, comme la théorie de la relativité, marquent une rupture avec ce que l'on appelle maintenant la physique classique, l'ensemble des théories et principes physiques admis au XIXe siècle.
Les théories dites "quantiques" décrivent le comportement des atomes et des particules, ce que, notamment, la mécanique Newtonienne et la théorie électromagnétique de Maxwell, n'avaient pu faire, et permettent d'élucider certaines propriétés du rayonnement électromagnétique.
La physique quantique heurte le sens commun à plusieurs égards. Sa description du monde microscopique, radicalement nouvelle, s'appuie sur de nouveaux postulats.


Cette science a apporté une révolution conceptuelle ayant des répercussions jusqu'en philosophie, comme la remise en cause du déterminisme, et en littérature. Elle a permis nombre d'applications technologiques : Énergie nucléaire, imagerie médicale par résonance magnétique nucléaire, diode, transistor, microscope électronique et laser.
Un siècle après sa conception, elle est abondamment utilisée dans la recherche en chimie théorique-quantique, ainsi qu'en physique, c'est-à-dire mécanique quantique, théorie quantique des champs, physique de la matière condensée, physique nucléaire, physique des particules, physique statistique quantique, astrophysique, gravité quantique, aussi en mathématiques avec la formalisation de la théorie des champs, et récemment, en informatique, avec l'ordinateur quantique et la cryptographie quantique.


Elle est considérée avec la relativité générale d'Einstein comme l'une des deux théories majeures du XXe siècle. Cependant, la physique quantique est connue pour nécessiter un formalisme mathématique ardu. Feynman, l'un des plus grands théoriciens spécialistes de la physique quantique de la seconde moitié du XXe siècle, a ainsi écrit : "Personne ne comprend vraiment la physique quantique."
La raison principale de ces difficultés est que le monde de l'infiniment petit se comporte très différemment de l'environnement macroscopique auquel nous sommes habitués.


Dans ce troisième épisode, Brian Greene nous emmène à la découverte de la physique quantique, qui régit l'univers à l'échelle de l'infiniment petit. Il y a un siècle, quand cette théorie fut élaborée, les plus grands esprits, comme Albert Einstein, Niels Bohr et d'autres, s'affrontaient pour l'âme de la physique. Pourquoi les règles du monde quantique, qui semblent si bien décrire le comportement des atomes et leurs composants, sont-elles si différentes de celles qui s'appliquent aux individus, aux planètes et aux galaxies ?

Aujourd'hui encore, le débat autour de l'impact de la mécanique quantique sur la véritable nature de la réalité, fait rage.



- La série La Magie du Cosmos :

L'ILLUSION DU TEMPS

QU'EST-CE QUE L'ESPACE ?



- Voir aussi :

THEORIE DES CORDES

EQUATION DE DIRAC

LA PHYSIQUE QUANTIQUE : Jean-Jacques Crèvecoeur

LE VIDE QUANTIQUE, SOURCE D’ÉNERGIE

 

SOURCE

LA MAGIE DU COSMOS : Qu'est-ce que l'espace ? Episode 2

 

Passionnant !

Pour voir le 1er épisode voir le lien ci-dessous

L'ILLUSION DU TEMPS - La Magie du Cosmos - Episode 1

LA MAGIE DU COSMOS : Qu'est-ce que l'espace ? - Episode 2

Qu'est-ce que l'espace ?, est un documentaire scientifique (0h52) de la série La Magie du Cosmos, qui s'intéresse à l'espace, cette étendue séparant et entourant tout, de l'infiniment petit comme à l'échelle quantique jusqu'à l'infiniment grand tel que l'Univers, expliqué par le physicien et auteur Brian Greene. Épisode N° 2 sur 4.


LA MAGIE DU COSMOS : Qu'est-ce que l'espace ? Episode 2


L'espace est avant tout une notion de géométrie et de physique qui désigne une étendue, abstraite ou non, ou encore la perception de cette étendue. Conceptuellement, il est synonyme de contenant aux bords indéterminés, mais l'espace prend de nombreux sens précis et propres à de multiples disciplines scientifiques dérivées de la géométrie.

Nous sommes à une étape importante dans la compréhension de notre Univers et des lois physiques qui le gouvernent. Il semble désormais que les questions auxquelles sont confrontées les scientifiques à propos de notre Univers et de ses deux extrêmes, l'infiniment petit et l'infiniment grand, soient intimement liées.


L'espace sépare aussi bien deux galaxies que deux atomes. Auteur du livre La Magie du Cosmos, le physicien Brian Greene révèle qu'il s'agit d'un tissu dynamique qui peut s'étirer, se tordre, se déformer, onduler sous les effets de la pesanteur. Plus étrange encore, la découverte récente d'un mystérieux ingrédient qui constituerait 70% de l'Univers et que les physiciens appellent "énergie sombre". Même s'ils admettent son existence, ils ignorent encore ce que c'est. L'examen de l'espace à des échelles infiniment petites ne fait que rendre le mystère encore plus profond.
Dans l'Univers, l’espace contient si peu de matière qu'il pourrait être considéré comme vide. C’est une notion difficile à concevoir, car sur Terre la matière est partout, sous ses 3 états, liquide, solide, et gazeux. "La nature a horreur du vide", disait Aristote.


En physique, la notion d’espace, et la façon dont celui-ci est modélisé mathématiquement, varie en fonction des conditions expérimentales. En mécanique classique, dont les lois expliquent la quasi-totalité des phénomènes survenant à échelle humaine, l’espace est modélisé comme un espace euclidien de dimension 3. La relativité restreinte, dont les lois prennent en compte le fait que la vitesse de la lumière est une constante quel que soit l’observateur, introduit un lien entre l’espace et le temps. L’espace-temps y est modélisé comme un Espace de Minkowski. Ces lois ne s’appliquent que dans un cadre restreint, pas d’accélération du référentiel, pas de gravité. En relativité générale, qui étend la mécanique classique en intégrant le fait que la vitesse de la lumière, en excluant le caractère absolu du temps, est une constante, l’espace, la matière et le temps sont liés. L’espace-temps est modélisé mathématiquement comme une variété de dimension 4, dont la courbure dépend du potentiel de gravitation. Les prédictions de la relativité générale ne s’écartent sensiblement des prédictions de la mécanique classique qu'à des champs de gravité extrêmement forts, ou à des vitesses extrêmement élevées.


En mécanique quantique, qui étudie les phénomènes à des tailles tellement petites que les changements d’états ne sont plus continus, mais se font par saut nommés quanta, l’espace est modélisé comme un espace euclidien de dimension 3, mais la notion de position n’existe plus, et est remplacée par la notion de fonction d'onde, ou nuage de probabilité. Position et mouvement y sont liés par le principe d'incertitude d'Heisenberg qui postule qu’ils ne peuvent être connus simultanément avec précision, ce qui rend impossible toute notion de trajectoire d’une particule. Bien qu’efficace pour prédire les phénomènes, cette modélisation pose des problèmes d’interprétation.

Pour les calculs, la mécanique quantique ne considère pas la position du système étudié, mais son état. Les états des systèmes sont modélisés mathématiquement dans un espace de Hilbert. Dans cet espace aussi, les mouvements ou changements d'état, sont discontinus.


Dans La magie du Cosmos, Brian Greene livre un cours de physique moderne passionnant, en même temps qu’un état des lieux de la recherche scientifique. Avec l'aide de métaphores, animations, grandes et petites histoires, expériences, mises en perspectives, etc., le physicien s’emploie par tous les moyens, en conviant Einstein à ses tribulations, pour à la physique à portée de tous, et à expliquer les découvertes et les secrets infinis du Cosmos, au-delà des apparences.


- La série La Magie du Cosmos :

L'ILLUSION DU TEMPS

- Voir aussi :

THEORIE DES CORDES

L'UNIVERS INVISIBLE : Énergie noire

MATIÈRE NOIRE ET ÉNERGIE SOMBRE, THÉORIES DE L'UNIVERS

QU'EST-CE QUE L'UNIVERS ? - La Fabuleuse Histoire de la Science

08/11/2012

Les scientifiques ont prouvé l'existence de mondes parallèles

Les scientifiques ont encore découvert que les mondes parallèles existent !
Est-ce un scoop, vraiment ? Non, on le savait déjà, mais il faut le confirmer pour lever le doute de certains.

8.10.2012, 21:20

Les scientifiques ont prouvé l'existence de mondes parallèles

   
       

Оксфордский университет Оксфорд

 
© Photo : CXS.hu

 

Une équipe de scientifiques de l'Université d'Oxford a prouvé que les mondes parallèles existent.

La théorie de ces mondes est apparue en 1950. Hugh Everett a proposé que chaque nouvel évènement dans l'univers, peut-être, provoque sa séparation. Ainsi, le nombre d'univers alternatifs tend vers l'infini. La théorie avait été reconnue comme tenant du fantastique et oubliée. Cependant, à l'université d'Oxford l'équipe a conclu que Everett était sur la bonne voie.

Les calculs montrent que les structures arborescentes en formes de buissons, qui se forment au cours de la désagrégation de l'univers en versions parallèles de lui-même, expliquent les résultats de la nature probable de la mécanique quantique. Les scientifiques affirment qu'il est inévitable que nous vivons dans l'un de ces nombreux mondes parallèles, et non pas dans un monde unique. /L

http://french.ruvr.ru/2012_10_08/Oxford-decouverte-scient...


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Les ampoules fluocompactes sont définitivement dangereuses pour la santé

Argent Dette Vendredi 26 octobre 2012

 

fluorbulbs_dees.jpg

 

Les ampoules à incandescence de 100 watts viennent donc d’être retirées définitivement de la vente. Progressivement, toutes ces ampoules “à filament” disparaîtront des rayons des magasins. Il s’agit de faire des économies d’énergie, même si l’éclairage ne correspond qu’à 15% de la consommation d’électricité.

Mais on est en droit de se poser quelques questions :

1) C’est la première fois qu’on interdit totalement à la vente un produit non dangereux. Qu’on incite à l’utilisation de systèmes d’éclairage plus économiques est une chose. Qu’on interdise le produit le plus répandu, le moins cher, et qu’on impose un remplacement systématique du précédent, en est une autre. On voit bien qu’il y a là un enjeu économique et que la décision a été largement influencée par les fabriquants des ampoules fluo-compactes. Car le marché est gigantesque et le créneau économique des ampoules fluo-compactes est limité dans le temps, compte tenu des avancées technologiques d’autres systèmes d’éclairage.

A-t-on interdit le savon face aux détergents ? la voiture face au train ? le boulier face à la calculatrice ? la moulinette face au robot de cuisine ? Non… Cette mesure autoritaire inédite serait dictée par une nécessité d’économies énergétique qui ne s’applique bien sûr pas à la consommation d’énergie pour l’industrie ou pour les transports.

Elle aboutit à imposer au consommateur de nouveaux investissements, de nouvelles dépenses et à favoriser des groupes industriels.

2) l’économie n’est pas totalement probante. Les ampoules fluo-compactes, lentes à l’allumage, peu compatibles avec les minuteries, restent souvent allumées en permanence dans les lieux publics. Le nombre de leurs cycles marche-arrêt diminue leur durée de vie théorique. Leur fabrication est beaucoup plus compliquée (électronique), leur empreinte écologique (CO2) est beaucoup plus importante et elles imposent un recyclage.

3) les fluo-compactes sont beaucoup plus dangereuses pour la santé (voir video ci-dessous), mais le principe de précaution n’est pas appliqué.

- elles contiennent d’abord du mercure. Avec une moyenne de 5mg de mercure, la fluocompacte est considérée comme un déchet dangereux. Un bris accidentel provoquant l’échappement du mercure, qui est toxique. Contrairement au ampoules à incandescence, il est interdit de les jeter avec les ordures ménagères. L’Agence de protection environnementale des États-Unis (APE), estime que 800 millions de lampes fluorescentes sont jetées chaque année, ce qui provoquerait la contamination au mercure de 81 000 km² d’eau.


- elles produisent beaucoup plus de rayons ultra-violets. Selon la direction générale de la santé de la Commission européenne, ceci pourrait favoriser les maladies dermatologiques.

- et surtout, le fonctionnement des ampoules fluo-compactes génère de puissants champs électromagnétiques, susceptibles de perturber fortement les personnes. Le CRIIREM (Centre de Recherche et d’information Indépendantes sur les Rayonnements ElectroMagnétiques) déconseille l’utilisation de ces ampoules en tant que lampes de chevet ou de bureau et recommande une distance de sécurité d’un mètre.

En effet, les ampoules à incandescence n’émettent pas de rayonnement électro-magnétiques intenses. Mais, comme le montre la video à la fin de ce billet, les champs détectés autour des électro-compactes allumées atteignent, à 20 cm, entre 180 V/m et 4 V/m pour des puissances allant de 20 à 11 Watts. Il faut attendre 1 mètre pour retrouver une valeur de 0,2 V/m, correspondant au bruit de fond radiofréquences ambiant…

4) les fluo-compactesne survivront pas, d’ici 5 ou 10 ans, à la future génération des diodes électroluminescentes (LED), éclairage de l’avenir, qui sont encore plus économiques, plus durables et inoffensives.


Les LEDs sont déjà largement utilisées dans les feux tricolores, les lampes de poches ou frontales, les éclairages de sécurité, les illuminations de fêtes. Leur durée de vie peut dépasser un siècle. Elles sont encore plus économiques. Mais elles n’ont pas encore l’intensité des autres éclairages, même si les recherches avancent très vite. Les DEL de couleur blanche sont encore assez chères, mais déjà moins coûteuses que les lampes fluocompactes. Leur efficacité lumineuse fait des progrès réguliers.

Elles supplanteront rapidement les lampes fluo-compactes.

Alors, pourquoi ce forcing excessif, obligeant le changement de nos ampoules classiques pour une génération technologique d’éclairage coûteuse, dangereuses et éphémère ? Quel a été le rôle des lobbies industriels ? N’aurait-il pas été plus judicieux d’investir justement cet argent dans l’onnovation technologique des LEDs, afin de disposer encore plus vite de types d’éclairages écologiques ?

Principe de fonctionnement d’une lampe à filament :

Les ampoules à incandescence contiennent un filament en tungstène qui émet de la lumière lorsqu’il chauffé à blanc lorsqu’il est parcouru par un courant électrique. Afin d’éviter que ce filament ne se consume, il est placé dans une ampoule sans air (vide) ou remplie d’un gaz rare. Les ampoules à incandescence sont peu chères à l’achat. Leur durée de vie est limitée par l’évaporation du tungtène. Une grande partie de l’électricité consommée est perdue sous forme de chaleur (rayonnement infrarouge).

Principe de fonctionnement d’une lampe fluo-compacte :


Ces lampes sont semblables aux tubes fluorescents. La base de l’ampoule abrite des composants électroniques qui assurent un éclairage continu alors que le courant d’alimentation est alternatif. À la cathode du tube, un filament produit des électrons. Un arc électrique se propage alors à l’intérieur du tube provoquant un va-et-vient régulier d’électrons. Les électrons percutent des atomes de mercure dans le tube, ce qui émet une lumière ultraviolette (UV) invisible à l’oeil nu. Les UV heurtent une couche fluorescente en surface du tube, composé de sels de phosphores. Ceux-ci réagissent aux ultraviolets en émettant une lumière visible blanchâtre, moins agréable que celle des lampes incandescentes.

Principe de fonctionnement d’une LED :


led.1246526563.jpgLes LEDs sont des composants électroniques à semi-conduction. Dans un semi-conducteur, la conduction du courant peut se faire soit par des électrons ( comme dans métal ) soit, par des trous. Quand un électron quitte sa place , il laisse un trou. Un électron, voisin de ce trou, peut venir le combler, laissant alors un trou vide. Le trou s’est donc déplacé. Un champ électrique force les électrons et donc les trous à s déplacer dans le même sens.


Une LED (diode électro-luminescente) est une jonction entre deux moitiés de semi-conducteur. Dans une moitié, il n’y a presque que des trous. On dit que cette moitié est dopée P (pour positif, parce que les trous sont comme un charge positive). Dans l’autre moitié, dopée N, il y a plein d’électrons libres. Bref, les deux moitiés prises séparément, sont conductrices.  La recombinaison des électrons avec les trous fait qu’ils sont obligés d’évacuer de l’énergie sous la forme de lumière.

Dans une LED il n’y a pas de filaments dans l’ampoule, mais des couches de matériaux semi-conducteurs, nitrure d’aluminium et phosphorure de gallium, qui n’opposent aucune résistance au courant et n’entraînent donc pas de perte d’énergie. Un courant électrique traverse les couches semi-conductrices, les électrons en surnombre rencontrent des atomes chargés positivement, ce qui dégage de l’énergie sous forme de lumière


http://www.next-up.org/France/Upie.php#1
http://www.next-up.org/Newsoftheworld/Smart_Meter.php
http://www.next-up.org/France/Linky.php#1
http://www.next-up.org/pages/nouvellesdumonde_THT.php
http://www.next-up.org/Newsoftheworld/Full_signal.php#1
http://www.next-up.org/Newsoftheworld/BioInitiativeIntro....
http://www.next-up.org/Newsoftheworld/2011.php#1    
http://www.next-up.org/France/Une_Terre_pour_les_EHS_2011...
http://www.cartoradiations.fr/Socodei.php
http://www.next-up.org/Newsoftheworld/PublicationsDVD.php#1
http://www.next-up.org/France/Wifi.php#1
http://www.next-up.org/Newsoftheworld/2012.php#1
http://next-up.org/Newsoftheworld/Lampe_Fluo_Compacte.php

http://www.next-up.org/divers/image_semaine1.php
http://www.next-up.org/Newsoftheworld/PressReviewRevuePre...

 

http://www.next-up.org/Newsoftheworld/Mobile_spy.php#2

 

 

http://www.internationalnews.fr/article-les-ampoules-fluo...

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