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29/01/2010

Chemtrails et Ovnis

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Chemtrailovni.pdf


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« HAARP - Un système d’armement modifiant le climat »

Ci-dessous un rapport pour le moins édifiant de la Commission européenne des affaires étrangères, de la sécurité et de la politique de défense (rapport A4-0005/99 en date du 14 janvier 1999) sur les expériences menées par les Etats-Unis via le projet HAARP (High Frequency Active Auroral Research Project).

La mise en lumière de ce document officiel est plus que jamais nécessaire alors que l’on semble si préoccupé de la protection de l’environnement, de la prolifération nucléaire et qu’il y a peu Barack Obama recevait le prix Nobel de la paix.

« HAARP - Un système d’armement modifiant le climat »
Le 5 février 1998, la sous-commission sécurité et désarmement du Parlement a procédé à une audition portant notamment sur HAARP. Des représentants de l’OTAN et des États-Unis avaient été conviés à la réunion. Ils ont toutefois choisi de ne pas venir. La sous-commission a déploré que les États-Unis n’aient envoyé aucun représentant à l’audition et qu’ils n’aient pas saisi l’opportunité de faire des commentaires sur le matériel présenté(24).
HAARP est un programme de recherche sur le rayonnement à haute fréquence (High Frequency Active Auroral Research Project). Il est conduit conjointement par l’armée de l’air et la marine des États-Unis et par l’Institut de géophysique de l’université d’Alaska à Fairbanks. Des tentatives analogues ont lieu en Norvège, dans l’Antarctique, mais aussi dans l’ex-Union soviétique(25). HAARP est un projet de recherche utilisant un équipement terrestre, un réseau d’antennes. Chacune est alimentée par son propre émetteur pour réchauffer des parties de l’ionosphère(26) au moyen d’ondes radio puissantes. L’énergie ainsi générée réchauffe certaines parties de l’ionosphère, ce qui crée des trous dans l’ionosphère et des "lentilles" artificielles. HAARP peut avoir de multiples applications. La manipulation des particularités électriques de l’atmosphère permet de contrôler des énergies gigantesques. Utilisée à des fins militaires contre un ennemi, cette technique peut avoir des conséquences terribles. HAARP permet d’envoyer à un endroit déterminé des millions de fois plus d’énergie que tout autre émetteur traditionnel. L’énergie peut aussi être dirigée contre un objectif mobile, notamment contre des missiles ennemis.
Le projet améliore la communication avec les sous-marins et permet de manipuler les conditions météorologiques mondiales. Mais l’inverse, perturber les communications, est également possible. En manipulant l’ionosphère, on peut bloquer la communication globale tout en conservant ses propres possibilités de communications. La radiographie de la terre sur une profondeur de plusieurs kilomètres (tomographie terrestre pénétrante) à la fin de découvrir les champs de pétrole et de gaz, mais aussi les équipements militaires sous-terrains, et le radar transhorizon qui identifie des objets à grande distance au-delà de la ligne d’horizon sont d’autres applications du système HAARP.
Depuis les années 50, les États-Unis procèdent à des explosions nucléaires dans les ceintures de Van Allen(27) afin d’examiner les effets des impulsions électromagnétiques qu’elles déclenchent sur les communications radio et le fonctionnement des équipements radars. Ces explosions ont généré de nouvelles ceintures de rayonnement magnétique qui ont pratiquement entouré la terre tout entière.
Les électrons se déplaçaient le long de lignes de champs magnétiques et créaient une aurore boréale artificielle au-dessus du pôle nord. Ces essais militaires risquent de perturber à long terme les ceintures de Van Allen. Le champ magnétique terrestre pourrait s’étendre sur de vastes zones et empêcher toute communication radio. Certaines scientifiques américains estiment qu’il faudra plusieurs centaines d’années avant que les ceintures de Van Allen retrouvent leur état initial.
HAARP peut bouleverser les conditions climatiques. Tout l’écosystème peut être menacé, en particulier dans l’Antarctique où il est fragile. Les trous dans l’ionosphère causés par les ondes radio puissantes qui y sont envoyées constituent un autre effet très grave d’HAARP. L’ionosphère est notre bouclier contre le rayonnement cosmique. L’on espère que ces trous se refermeront, mais l’expérience acquise suite à la modification de la couche d’ozone donne à penser le contraire. Le bouclier de l’ionosphère est fortement percé à plusieurs endroits.
En raison de l’ampleur de ces incidences sur l’environnement, HAARP constitue un problème global et il faudrait évaluer si les avantages que procure ce système compensent les risques encourus. Ses incidences écologiques et éthiques doivent être évaluées avant la poursuite des travaux de recherche et la réalisation d’essais. L’opinion publique ignore pratiquement tout du projet HAARP et il est important qu’elle soit mise au courant.
HAARP est lié à la recherche spatiale intensive menée depuis 50 ans à des fins clairement militaires, par exemple en tant qu’élément de la "guerre des étoiles" en vue du contrôle de la haute atmosphère et des communications. Ces travaux de recherche doivent être considérés comme extrêmement néfastes pour l’environnement et la vie humaine. Personne ne sait avec certitude ce que peuvent être les effets de HAARP. Il faut lutter contre la politique du secret en matière de recherche militaire. Il faut promouvoir le droit à l’information et au contrôle démocratique des projets de recherche militaire ainsi que le contrôle parlementaire.
Une série d’accords internationaux ("la convention sur l’interdiction d’utiliser à des fins militaires ou à d’autres fins hostiles des processus modifiant l’environnement, le traité sur l’Antarctique, l’accord établissant les principes des activités des États en matière de recherche spatiale, en ce compris la lune et d’autres corps spatiaux ainsi que la convention des Nations unies sur le droit maritime) font que HAARP est un projet hautement contestable non seulement sur les plans humain et politique mais aussi du point de vue légal. En vertu du traité sur l’Antarctique, l’Antarctique ne peut être utilisée qu’à des fins pacifiques(28), ce qui signifie que HAARP enfreint le droit international. Tous les effets des nouveaux systèmes d’armement doivent être évalués par des organes internationaux indépendants. Il faut encourager la conclusion d’autres accords internationaux afin de protéger l’environnement contre toute destruction inutile en temps de guerre.
(24) Ce paragraphe est basé sur des données émanant de l’audition.
(25) Nick Begich, expert convié à l’audition.
(26) L’ionosphère contient de gigantesques champs magnétiques protecteurs appelés ceintures de van Allen, capturant des particules chargées (protons, électrons et particules alpha).
(27) En 1958, l’US Navy a fait exploser trois bombes contenant du matériel nucléaire fissile à une altitude de 480 km au-dessus de l’Atlantique sud. Le projet dirigé par le département de la défense des États-Unis et la commission de l’énergie atomique et portait le nom de code Project Argus. Source : Dr Rosalie Bertell.
(28) Article 1, traité sur l’Antarctique.
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/haarp-un-sys...

02:22 Publié dans Energies libres, électricité gratuite | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

Explosion financière : mettez-vous à l'abri AVANT !


MoneyWeek


Cher Lecteur,

La Bourse vire au rouge.

Que lisait-on dans Les Echos hier ? "La Bourse de Paris poursuit son repli en ouverture dans le sillage des marchés asiatiques. Toutes les valeurs du CAC 40 sont dans le rouge, à commencer par les financières."

Comme je vous le disais dans la Quotidienne de lundi, les mesures préconisées par Obama ont eu un effet immédiat. Nous allons assister à la déstabilisation des marchés -- qui vont devenir de plus en plus volatils.

Il est temps de vous mettre à l'abri d'un marché actions qui va dérailler... s'il ne déraille pas déjà !

Mais si ce n'était que ça...

Derrière les plans de relance à répétition, le chômage massif et l'immobilier qui s'effondre se cache la plus grande arnaque financière depuis Madoff.

Eh oui, vous avez bien lu. Alors le gouvernement américain prétend "purger" l'activité financière de ses démons... il laisse une arnaque de plusieurs milliers de milliards d'euros grossir... grossir... grossir... jusqu'à exploser ?

Il y a en effet toutes les chances pour que cela arrive.

Le jour J -- celui de l'explosion -- il vaudra mieux être bien à l'abri, reclus, calfeutré... tout ce que vous voudrez mais surtout pas là !

Car cette arnaque -- loin de se cantonner à délester les comptes de riches financiers américains -- est sur le point de ruiner des milliers d'investisseurs à travers le monde ! Dont peut-être vous...

En lisant ce qui suit, vous découvrirez pourquoi cette arnaque financière pourrait être dévoilée au grand jour d'un moment à l'autre -- mais surtout comment vous positionner pour ne pas en pâtir... et même en profiter !

Meilleures salutations,

Cécile Chevré
La Quotidienne de MoneyWeek

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Super-Madoff

Une arnaque faisant 200 fois la taille de celle de Bernie Madoff pourrait exploser dans les mois qui viennent et réduire à néant l'épargne de millions de Français...

... alors que d'autres se retrouveront
beaucoup plus riches dans le même temps

Nos analystes avaient prédit la catastrophe des subprime... la crise de l'immobilier US... la hausse spectaculaire de l'or... le krach boursier de 2008... l'effondrement du système bancaire et financier...

A présent, ils vous révèlent
comment sortir gagnant de la crise



Cher Investisseur,

L'arnaque de Bernie Madoff a coûté aux investisseurs de la planète environ 50 milliards de dollars. Mais croyez-moi, ce n'est rien à côté de ce qui est en train de se passer.

Ca coûtera des milliers de milliards d'euros aux investisseurs.

Mais ça pourrait aussi rendre quelques-uns extrêmement riches, grâce à un investissement en particulier. Et vous pourriez faire partie des gagnants... à condition d'agir vite.

Croyez-moi, vous n'en entendrez pas parler dans la presse grand public, dans le secteur de la finance ou de la part des bureaucrates de l'Elysée. Non... on vous parlera plutôt de la chute des marchés un jour... de la crise bancaire le lendemain... du pouvoir d'achat le surlendemain...

On vous parlera du ralentissement de l'économie... des constructeurs automobiles en danger... des emplois qui disparaissent... puis de la possibilité d'un Plan de Relance qui pourrait tout réparer comme par miracle.

Sauf qu'il manque l'essentiel.

L'essentiel, c'est qu'on n'a pas affaire à une récession "normale". Nous vivons une DEPRESSION. Et les dépressions suivent des règles différentes.

La situation mondiale n'a jamais été si grave depuis 1929. Les gouvernements de la planète -- la France y compris -- affirment qu'ils peuvent inonder les marchés d'argent... en commençant par les banques. Mais même si tous ces milliards remotivent les prêts des banques, à qui vont-elles prêter cet argent... et pour quoi faire ?

Le CAC 40 a perdu 42% en un an. L'économie ralentit : en France, on est entré dans la pire récession depuis 1975 au moins, avec une croissance qui devrait être inférieure à -3% en 2009 -- et ce chiffre a été révisé à la hausse trois fois depuis l'automne 2008.

Le déficit public devrait atteindre -- voire dépasser -- les 100 milliards d'euros. On a enregistré 17% d'augmentation de faillites d'entreprises françaises en 2008. L'automobile, qui représente un emploi sur 10 en France, est particulièrement touchée. Le gouvernement promet son aide et parle de mettre en place des mesures de soutien, fiscales, budgétaires, etc... mais vu le succès des précédentes mesures, qui peut dire si celles-ci fonctionneront ? Imaginez les dégâts si un dixième de la main-d'oeuvre française devait se retrouver au chômage !

Et même sans les problèmes de l'automobile, on comptait 217 000 chômeurs de plus sur l'ensemble de l'année 2008. En janvier dernier, on a même enregistré un pic record de +4,3% en un mois... et à l'heure où j'écris ces lignes, ce sont pas moins de 2,38 millions de Français qui sont au chômage.

Au sein de l'Union européenne, ce n'est pas mieux : l'Allemagne et la France, les deux "locomotives" de l'Union luttent... Mais du côté de pays plus petits, comme les ex-républiques des pays de l'Est, ou encore l'Espagne et l'Irlande, c'est une véritable débâcle. Comme ce qui s'est passé en Islande, ces états frôlent la faillite. Les Etats-Unis doivent renflouer leurs banques ? La France et l'Allemagne, en vertu de la solidarité européenne, pourraient se retrouver à renflouer des pays tout entiers !

Dans de telles conditions, à quoi voulez-vous que serve un n-ième plan de relance ?

Le problème, c'est un excès de DETTE. La dette publique... la dette privée... toutes sortes de dette.

Et cette dette a beau être concentrée aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne, elle affectera le monde entier. Le CAC 40 a déjà perdu 41% par rapport à ses sommets de 2008. Et comme nous le verrons dans quelques lignes, le pire reste à venir.

Mais avant d'en arriver là, faisons un peu connaissance...


Nous avions prévu l'effondrement des subprime,
la crise bancaire et la hausse de l'or :
sur quoi aurons-nous raison aujourd'hui ?



Je suis William Bonner, président-fondateur du magazine MoneyWeek, qui a récemment uni ses forces avec La Vie Financière. Je dirige également les Publications Agora France, filiale d'Agora Inc., un groupe de presse spécialisé dans la finance et l'investissement. Au fil des ans, nous avons constitué un réseau international d'analystes, d'experts et de penseurs qui réfléchissent à la finance autrement, dans le refus de la langue de bois et du politiquement correct.

Et les événements économiques et boursiers auxquels nous assistons en ce moment, mon équipe et moi-même les avions prévus de longue date.

Best-seller
du New York Times

Dès 2004, par exemple, j'écrivais dans le livre L'inéluctable faillite de l'économie américaine que le système consistant à baisser les taux pour alimenter la consommation par le crédit facile et l'injection de liquidités ne pouvait que mener au désastre :

"Le capitalisme de consommation américain est condamné [...] Les tendances qui ne pouvaient pas durer sont en train de s'achever. Les consommateurs ne peuvent pas continuer à s'endetter. La consommation ne peut pas continuer à prendre une part de plus en plus importante du PIB. Les investissements en équipements et les bénéfices ne peuvent pas tomber beaucoup plus bas. Les étrangers ne continueront pas à financer les excédents de consommation des Américains [...], du moins pas au cours actuel du dollar".





Best-seller
du New York Times

Dans mon second livre, L'Empire des dettes, j'analysais dès 2006 l'effondrement de l'immobilier qui s'est produit en 2007 :

"Un krach du marché boursier s'accompagnerait des lamentations habituelles. Mais un krach de l'immobilier serait bien pire. Les ménages en sont arrivés à compter sur la hausse du rapport prêt-valeur de leur maison pour rester solvables. Privés de cette hausse, ils n'auraient plus qu'à épargner et réduire leur consommation. Ce qui conduirait à toutes les choses négatives que la Fed s'est donné tant de mal et de déshonneur à éviter : la récession, le chômage, les faillites, les saisies et la chute des prix".


La suite devait nous donner raison ; et bien des événements que nous anticipions se sont déroulés exactement comme nous l'avions prévu. Nous avions parlé bien avant les autres de la hausse de l'or -- de l'explosion de la bulle des dot.com... de la baisse du dollar... et bien d'autres choses encore.

Mais tout cela... ce n'est que de l'histoire. Du passé. Ce que vous voulez savoir... c'est ce qui va se passer demain.

Continuez votre lecture et je vous le dirai. Mais attention : vous devez réagir rapidement -- ou vous serez dépassé par les événements.

Et croyez-moi, nous ne sommes pas au bout de nos surprises. Le pire est loin d'être passé. En fait, le pire, ce sera lorsque les Américains se débarrasseront de leurs dettes... d'une manière que Charles de Gaulle avait prévue dès les années 60. Selon lui, les Américains profitaient d'un "privilège exorbitant" parce qu'ils pouvaient rembourser leurs dettes simplement en imprimant plus de dollars.

Le vilain secret du gouvernement américain

En 2009, le gouvernement américain devrait emprunter 2 500 MILLIARDS de dollars -- qui viennent s'ajouter à 500 milliards l'an dernier. Et à une dette nationale de plus de 10 000 milliards de dollars.

La dette est si gigantesque... et grandit si rapidement... que le gouvernement US a du mal ne serait-ce qu'à payer les intérêts. Et si vous imaginez qu'il va pouvoir rembourser ses précédents prêts... vous allez être très déçu. C'est une véritable "arnaque en pyramide" -- qui demande de nouveaux investissements en permanence. Avant que cette crise ne termine, les investisseurs se retrouveront "dans le rouge" de plus de 20 000 milliards de dollars.

Mais les Américains ne sont pas idiots. Ils savent qu'ils ne peuvent pas financer cette sorte d'emprunts éternellement. S'ils essayaient, cette immense demande d'argent ferait certainement grimper les taux d'intérêt -- ruinant ainsi leurs efforts. En fait, les prêteurs étrangers réduisent déjà leurs engagements ; la proportion de dette US entre des mains étrangères chute rapidement.

Mais les Américains ont un vilain petit secret -- et réservent une bien mauvaise surprise aux investisseurs qui ne se doutent de rien. En toute discrétion, la Réserve fédérale (la banque centrale des Etats-Unis) s'est vu accorder le droit de prêter de l'argent directement au gouvernement américain. Mais où la Fed va-t-elle le trouver, cet argent ?

Vous vous rappelez le "privilège exorbitant" dont je vous parlais plus haut ? Eh bien, le voici...

Le 27 janvier 2009, le Wall Street Journal a découvert le pot aux roses :

"Dans la mesure où elle ne peut plus baisser ses taux, [la Réserve fédérale US] a commencé d'imprimer de l'argent dans les faits pour tenter de soutenir l'économie".

A peine un investisseur sur 1 000 comprend ce que cette phrase signifie vraiment. Mais pour celui qui la comprend, c'est une opportunité comme on n'en voit qu'une fois dans sa vie.

Voyez-vous, le gouvernement américain avale des milliers de milliards de dollars pour essayer de dépenser jusqu'à sortir de la dépression. De l'argent sain. De l'argent malsain. De l'argent intelligent. De l'argent idiot. Ces sommes gigantesques sont littéralement aspirées des mains de leurs propriétaires. Tout ce que vous avez à faire, c'est vous positionner correctement... et attendre que les profits tombent.

Il y a des moments où les dieux de la richesse vous font un clin d'oeil : c'est le cas actuellement.


D'abord, laissez-moi vous en dire plus
sur les catastrophes financières qui nous attendent...
Puis je vous expliquerai comment éviter les désastres
et faire croître votre argent au-delà de ce que vous pensiez possible


Comment ? Il faut avoir les bons contacts...


Imaginez un ami qui aurait l'étrange talent de savoir interpréter pour vous les événements futurs. Quelqu'un qui serait prêt à prendre des risques pour faire des prédictions au premier abord invraisemblable et qui, pourtant, se vérifieraient presque à chaque fois.

Fin janvier 2003, par exemple, alors que tout le monde ne jurait que par les actions et la reprise de l'économie mondiale, il vous aurait parlé de la future remontée de l'or et du long et lent déclin du dollar... vous aidant ainsi à profiter de l'envolée du métal jaune et multipliant votre capital par plus de 2,5.

Toujours en 2003, en février, cette fois-ci, il aurait attiré votre attention sur la Chine et sa croissance spectaculaire. A l'époque, la majorité des investisseurs restait frileuse sur l'Empire du Milieu... mais grâce à cette prédiction, vous auriez pu vous positionner avant le reste du marché et voir vos gains augmenter alors que le PIB chinois alignait cinq années de hausse consécutives (et ce n'est pas fini).

Début 2004, il aurait été parmi les premiers à vous parler des matières premières et du supercycle haussier. Vous auriez ainsi pu profiter d'une tendance qui multiplierait le cours du pétrole par plus de 4... tandis que le cuivre grimpait de 70%... le nickel de 160%... le zinc de 123%... et j'en passe.

Dès 2006, il aurait vu venir la baisse de l'immobilier aux Etats-Unis... vous protégeant ainsi de la spirale infernale qu'elle déclencherait à l'été 2007, et dont les conséquences ont atteint un point culminant à l'automne 2008 : crise des subprime, crise du crédit, faillites en série chez les particuliers comme chez les entreprises, krach boursier, crise des valeurs financières...

Toutes ces prédictions se sont vérifiées. Et une personne qui aurait pu les connaître à l'avance aurait pu agir en conséquence pour se protéger et gagner beaucoup d'argent.

N'aimeriez-vous pas savoir ce que cet ami aurait à vous dire maintenant ?

En ce moment, quelques grandes tendances se dessinent qui font peser une lourde menace sur la France.

Par exemple :

· Quel sera l'impact de l'effondrement économique et financier global auquel nous nous attendons actuellement ? Bizarrement, les Américains sont la principale cause du problème, mais ils pourraient être moins affectés que nous. Eh oui, même si leur économie est mise à mal en ce moment, ils peuvent corriger le problème... à nos dépens : il leur suffit d'effacer leur dette en imprimant toujours plus d'argent -- et ils ne s'en priveront pas, même si cela a toutes les chances de laminer le système financier et monétaire mondial. Dans un instant, je vous dirai pourquoi nous sommes particulièrement vulnérables.

· Les plus vulnérables de tous seront les retraités et tous ceux qui s'apprêtent à partir bientôt à la retraite. Parce que comme vous le savez, notre système de retraites est au bord de la faillite. Et quand celle-ci sera déclarée, le gouvernement n'aura pas d'autre choix que de réduire radicalement les chèques des retraites. Si possible en noyant le poisson par des tours de passe-passe dont il a le secret et sans nous le dire clairement. Et ça ne se passera pas dans sept ou dix ans comme certains experts le disent... cela viendra beaucoup plus vite qu'on le croit ! Je vous dirai comment.

· Les conséquences de la crise sur la Chine seront gigantesques. En ce moment, il y ont 20 millions d'ouvriers Chinois qui cherchent de l'emploi...

C'est pourquoi la crise économique pourrait causer une véritable révolution dans le pays. Est-ce que cela remet en cause l'ascension de ce géant ? Jusqu'où la Chine peut-elle chuter ? Connaîtra-t-elle une reprise dans les mois qui viennent, et si oui, comment en profiter ? Qu'en est-il des autres pays émergents ? Comment le paysage économique et social français sera-t-il affecté ? Je vous le dirai tout à l'heure.

Je veux vous parler de toutes ces choses et davantage encore. Mais d'abord, je veux vous convaincre qu'il ne s'agit pas d'un exercice futile. Il y a un côté pratique à tout ceci. Parce que c'est une affaire d'argent... de votre argent. Et nous savons que vous avez beaucoup de décisions à prendre dans ce domaine.

Faut-il acheter de l'immobilier ou des FCP ? Compte tenu du niveau actuel des taux, faut-il investir dans l'obligataire ? Faut-il acheter des francs suisses ? Ou de l'or ? L'assurance-vie est-elle encore intéressante ?

Nous voudrions vous aider à répondre à toutes ces questions. En vous aidant à comprendre ce qui se passe dans le monde et où tout cela nous mène. Vous aurez un avantage décisif sur vos concitoyens. Un avantage secret dans chaque conversation... et dans chaque décision financière que vous aurez à prendre.

Voyons de plus près ce qui nous attend :


Le système financier mondial s'effondre


La richesse de la France tient à sa capacité à exporter des produits à haute valeur ajoutée : des Airbus, des satellites, des produits de luxe, de l'agro-alimentaire, du vin. Autre grande source de richesse pour la France : les touristes. Or les Louis Vuitton, Moët-Hennessy, PPR et les autres ont été gravement touchés par la crise financière de ces derniers mois. Mais ce n'était qu'un avertissement : la vraie crise est devant nous...

Qu'en sera-t-il quand les touristes déserteront la France ? Qui viendra quand il n'y aura plus d'argent à dépenser, qui achètera notre champagne ? Nos avions Rafales ? Qui assistera à nos défilés de mode haute couture ? Personne. Les restaurants et les hôtels seront vides et l'argent cessera de circuler.

Résultat : bientôt, l'afflux de nouveaux chômeurs aura vidé les caisses de l'Etat.

Quel rapport entre la France et les Etats-Unis ?

Les Américains sont les plus gros consommateurs au monde. Lorsqu'ils arrêtent d'acheter, le monde entier est concerné. C'est exactement ce qui est en train de se passer en ce moment même. Les consommateurs américains sont enlisés dans leurs dettes : privée de ce moteur essentiel, l'économie mondiale est paralysée.

Mais qui est vraiment le grand perdant ? Leur banque centrale, la Réserve Fédérale, a prouvé qu'elle était prête à tout pour empêcher le pays de sombrer. Elle ira jusqu'à faire marcher sa planche à billets pour "effacer" la dette américaine -- ce qui réduira à néant la valeur du dollar (et le système monétaire mondial, mais c'est une autre histoire...).

Les Asiatiques aussi seront vite sur pied. Ils savent produire très bon marché. Bien meilleur marché que la France -- et c'est elle qui risque de souffrir le plus. En effet, la France produit des biens de luxe tels que le vin, la haute couture, bref, tout ce que les gens aiment acheter lorsque les temps vont pour le mieux, mais dont ils peuvent se priver quand c'est nécessaire.

Je dois également vous avertir que l'époque n'est plus au luxe et à l'ostentation. Même ceux qui ont de l'argent ne veulent plus le montrer. Le monde entier se retourne contre les riches... contre la consommation... et contre le type même de produits dont la France est spécialiste !

Tout ça vous semble difficile à croire ?

Peut-être. Mais bien des prédictions de nos analystes il y a quelques années paraissaient difficiles à croire aussi. Pourtant, elles se sont vérifiées, et souvent de façon spectaculaire.

Par exemple :

** Dès 2000, nos spécialistes avaient repéré l'effervescence qui régnait sur le secteur des dot.com. Nous avons su prévoir que la situation se développerait en bulle affectant tout le marché, et qu'elle s'accompagnerait de malversations financières et comptables du type Enron, Parmalat, etc. Et contrairement aux soi-disant experts qui affirmaient que nous étions entrés dans une "Nouvelle Ere" de prospérité éternelle, nous savions que cette bulle finirait par éclater, entraînant la perte de milliards de dollars et la ruine de millions de petits épargnants.

** Nous avions également prévu de longue date le déclin du dollar US. A la naissance de la monnaie unique européenne, il fallait 0,8 $ pour acheter un euro ; à l'heure où j'écris ces lignes, il faut plus de 1,27 $. Mais en 2002, personne ne pensait voir le dollar perdre la moitié de sa valeur en quelques années. Personne... sauf nous. Nous avions vu clair dans le jeu de la Réserve fédérale ; alors que tout le monde chantait les louanges d'Alan Greenspan puis de Ben Bernanke, nous savions que leur politique ne pouvait que détruire le dollar... ce dont l'euro -- et d'autres devises mondiales -- ne pourrait que profiter !

** Bien avant qu'elles ne fassent la couverture des journaux financiers, nos spécialistes se sont intéressés aux matières premières : le pétrole, bien entendu, mais aussi les métaux précieux, les métaux industriels, le béton, le charbon, l'uranium... Entre la consommation fiévreuse de l'Occident et la croissance exponentielle de la Chine et de l'Inde, les besoins en ressources naturelles ne pouvaient que connaître une véritable explosion, comme nous l'avions anticipé.

Pourquoi prévoir toutes ces choses ? Dans quel but ?

Notre maison d'édition est spécialisée dans la finance. Nous avons nos propres analystes financiers et avons mis en place un réseau mondial de correspondants qui nous tiennent informés des évolutions locales. Cette infrastructure est très efficace et l'information est indépendante, ce qui est rare de nos jours.

Prenons quelques exemples :

** En 2004, alors que les marchés commençaient tout juste à se remettre de la crise de 2001-2003, nous suivions depuis des mois la croissance de la Chine, de l'Inde et d'autres pays émergents. Jugeant que leur évolution était désormais assez solide, notre spécialiste a recommandé à ses lecteurs de se positionner sur un titre bien précis qui leur a permis de profiter en toute simplicité du développement des pays émergents... et d'engranger 102% de gains par la même occasion !

** Je vous parlais de l'émergence de l'Inde et de l'influence qu'elle a sur les marchés occidentaux. Eh bien, l'un de nos analystes s'est intéressé au cas d'Arcelor, à l'époque de sa fusion avec Mittal. En anticipant cette tendance, il a sélectionné un warrant sur le titre Arcelor, qu'il a recommandé à ses lecteurs. Grâce à ce conseil, ils ont pu engranger un gain de 679% entre le 20 et le 17 janvier 2006...

** Les matières premières font elles aussi couler beaucoup d'encre -- mais nous n'avons pas attendu le battage médiatique actuel pour nous y intéresser. En nous positionnant avant la majeure partie des investisseurs, nous avons pu engranger des gains de 149% sur la valeur du secteur de l'uranium UrAsia... 137,50% sur Bolsini, une valeur aurifère... 61% sur GeneralMoly, qui comme son nom l'indique, se spécialise dans le molybdène... et j'en passe.

** Et est-ce que je vous ai parlé des petites valeurs ? Nos spécialistes ont été parmi les premiers en France à proposer des recommandations basées exclusivement sur les small caps -- et ils ont de belles performances à leur actif, avec par exemple un gain de 74% en 4 mois grâce à Groupe Silicomp... 43,17% avec Etam... 60% grâce à Maison France Confort et la hausse de l'immobilier... ou 53,8% avec Solucom... et bien d'autres encore.

** Il y a aussi eu ce que nous avons appelé "la Transaction de la Décennie" qui a permis à ceux qui l'ont suivie de tripler leur mise de départ... à ce jour. Mise en place par nos spécialistes dès 1999, son principe était très simple : vendez les actions, achetez de l'or. Depuis, le CAC 40 a fait des montagnes russes, atteignant jusqu'à 7 000 points... avant de revenir à son niveau actuel. L'or, en revanche, a connu une ascension foudroyante : de 250 $ à la fin de l'année 99... il est passé à plus de 1 000 $ en 2006. Actuellement à plus de 900 $, sa hausse est loin d'être terminée, et la Transaction de la Décennie a encore de beaux jours devant elle !

Mais permettez-moi de vous expliquer pourquoi je vous écris.

Je suis le fondateur de MoneyWeek, un magazine tout à fait unique en son genre.

Mon équipe et tout mon réseau sont composés d'analystes et de spécialistes de la Bourse, de l'investissement et de l'économie. Des gens qui vont sur le terrain et savent de quoi ils parlent. Ils connaissent les difficultés des investisseurs individuels comme vous. Et ils savent comment y répondre.

Nous avons un double objectif. Analyser l'avenir pour anticiper les tendances et les événements qui pourraient détériorer votre santé économique et ruiner votre avenir financier. Nous vous aidons également à transformer ces tendances en gains substantiels.

L'enjeu est énorme. Toutes les décisions que vous prenez aujourd'hui décideront de vos succès ou échecs à venir. Vous devez prendre les BONNES décisions, et ne pas vous tromper. Vous réalisez à quel point votre décision sera plus juste si vous savez de quoi demain sera fait.

En fait, vous pouvez profiter de beaucoup de choses... à condition d'avoir une vue claire de ce qui se passe. Et de bien appréhender ce que les jours et les mois à venir nous réservent. C'est bien pour ça que MoneyWeek est là : notre travail consiste à prévoir les événements que personne n'attend -- pour mieux vous y préparer... et au final, en tirer profit. Et je peux vous assurer que les prochaines années seront plus difficiles que la plupart des gens ne l'imaginent.   

Le retour de l'hyper-inflation


Ne faites pas l'erreur de croire que l'inflation est morte. La crise actuelle a peut-être ralenti la hausse des prix... mais croyez-moi, ce n'est qu'un bref répit.

Partout dans le monde, les gouvernements ont déjà engagé près de 4 000 milliards de dollars pour lutter contre la crise financière. Au niveau européen, c'est 200 milliards d'euros qui ont été "mis sur la table".

En France, le président Sarkozy a annoncé en décembre dernier un plan de relance d'un total de 26 milliards d'euros... qui a été immédiatement englouti sans effets notables !

Mais la vraie question, c'est surtout... d'où provient tout cet argent ?

Le fait est qu'il vient du même endroit : de l'épargne. Des plans de retraite. Des portefeuilles boursiers. Des détentions des compagnies d'assurance. La réalité est indéniable : les gouvernements occidentaux sont ruinés ; ils n'ont pas de tirelire secrète cachée quelque part en prévision des cas d'urgence. Non, chaque euro englouti dans les plans de sauvetage doit être EMPRUNTE à d'autres... ou créé "à partir de rien", simplement en faisant marcher la planche à billets.

C'est mathématique : plus il y a de monnaie en circulation, plus la valeur individuelle de chaque billet et de chaque pièce diminue. Vous savez ce que cela signifie : de l'inflation. Et au rythme où la masse monétaire mondiale augmente en ce moment, ce ne sera pas les 2% qu'on veut nous faire gober actuellement... pas 5%... pas même les 14% connus dans les années 70... mais des taux insensés -- pensez à l'Argentine en 2002... au Zimbabwe en 2008... à la République de Weimar dans les années 30.

Rappelez-vous que le moteur de ce phénomène est aux Etats-Unis... et qu'il a une raison claire et évidente de créer de l'inflation : c'est un moyen d'échapper à ses dettes. Pour les Etats-Unis, ce système de financement est une véritable "arnaque en pyramide", comme je l'ai décrit en 2006 dans mon livre L'Empire des Dettes. Et cet empire est en train de s'effondrer...

Les investisseurs du monde entier perdraient aussitôt toute confiance dans le système financier, et dans toutes les formes de richesse papier (ou électronique). Aucune autre devise n'est vraiment prête à prendre la place du dollar en tant que devise de réserve mondiale.

Durant un sérieux effondrement du billet vert, selon toutes probabilités, toutes les devises perdraient leur valeur. Il en résulterait une hausse fulgurante des prix mondiaux des actifs tangibles. L'hyperinflation se répandrait au reste de la planète comme une traînée de poudre.

Si cela se produit, les seules personnes qui préserveront leur richesse (et gagneront de l'argent) seront celles qui possèdent un investissement bien particulier...


Le seul investissement anti-crise


Traditionnellement, cet investissement prend de la valeur durant les périodes d'inflation élevée et de dévaluation monétaire. Durant les années 70 inflationnistes, il représentait l'un des meilleurs investissements. Dans les années 90, quand l'inflation était basse, il a vu sa demande fondre comme neige au soleil... et a littéralement disparu de la scène financière pendant des années.

Mais depuis que les prix ont atteint un plancher en 1999, il a vu sa valeur plus que doubler. En tant que réserve de valeur traditionnelle pour une grande partie de l'Asie, cet investissement profite d'une demande en hausse alors que cette partie du monde se développe. Et pendant ce temps, en Occident, son statut de placement "en lieu sûr" attire de plus en plus d'investisseurs.

Je l'appelle "l'investissement anti-crise" parce qu'il peut gagner de la valeur dans les périodes d'inflation comme des les périodes de récession. Si les banques centrales laissent l'inflation grimper (en maintenant les taux d'intérêt au plancher), les devises perdront de la valeur par rapport à lui. Mais si les banques augmentent trop leurs taux d'intérêt (déclenchant une récession), notre remède à la crise conservera bien plus sa valeur que les actifs papier, si bien que son prix grimpera.

En d'autres termes, ce placement fournit une assurance contre toutes sortes de maux économiques.

Voilà pourquoi MoneyWeek vous donne les informations dont vous avez besoin pour profiter des meilleures opportunités dans ce secteur -- des opportunités qui vous permettront de surmonter la tempête financière qui s'annonce. Nous vous révélerons par exemple...

* Pourquoi ce placement ne peut que connaître une hausse fulgurante dans les mois qui viennent.


* Comment profiter des fusions-acquisitions dans son secteur.

* Pourquoi certaines de ces valeurs ont produit des gains colossaux ces dernières années -- et où trouver des opportunités du même genre en ce moment.



Saisissez les opportunités


Tous ces changements, toutes ces situations, font naître des opportunités. Mais encore faut-il être capable d'identifier ces opportunités pour pouvoir en profiter. C'est là que nous intervenons. Jour après jour, les spécialistes de MoneyWeek mènent l'enquête dans les coulisses de l'économie et de la finance, pour vous aider à décrypter l'actualité y adapter vos investissements. Avec eux, toutes les semaines, vous découvrirez les secteurs les plus prometteurs, les idées d'investissement les plus profitables, et les stratégies patrimoniales les plus sûres.

Par exemple, n'aimeriez-vous pas :

* Reconnaître le plus tôt possible les produits et les entreprises les plus prometteurs, qui permettent d'engranger des plus-values boursières rapides ?

* Assurer la transmission efficace de votre patrimoine à vos enfants en minimisant la ponction de l'Etat ?

* Réduire votre impôt et votre ISF en profitant des avantages liés à votre situation personnelle ?

* Miser sur la bonne entreprise cotée en bourse en anticipant les secteurs qui seront porteurs dans un avenir proche ?

Tout cela est possible...

L'investissement doit être repensé. Il faut être au-dessus de la mêlée pour s'en sortir. Les valeurs spéculatives, junk bonds, et autres produits à haut risque sont délaissés au profit de placements sûrs et tangibles. Des biens qui ne "s'évaporent" pas subitement en temps de crise. Déjà d'importants flux monétaires ont déserté la bourse.

Tout ce qui suit est très important. Il y a quelques années, nous vous aurions recommandé de vous positionner sur les ressources naturelles et les secteurs qui leur sont liés. Notre équipe internationale d'analystes financiers a fait gagner beaucoup d'argent à tous ceux qui ont bien voulu suivre ces recommandations.

Certains de leurs conseils ont battu le marché. Les résultats sont éloquents :

... Notre spécialiste des valeurs françaises a recommandé CFF Recycling, avec à la clé, un gain de 72,3%.
... Notre spécialiste de l'or a recommandé une société aurifère, Rochester, qui a rapporté une plus-value de 78,57%.
... Notre spécialiste des petites valeurs a conseillé l'achat de Ginger, qui avait grimpé de 41% lorsqu'il a recommandé de vendre.
... Notre expert en matières premières a engrangé une plus-value de 41,5% grâce à China Natural Resources.
... Notre analyste warrants a permis un gain de 129,41% grâce au Warrant Put Vivendi.

Et ce ne sont là que quelques exemples des bénéfices que nos lecteurs ont pu réaliser grâce au secteur des ressources naturelles

Mais aujourd'hui, le monde a changé de façon spectaculaire. Et aujourd'hui, notre toute première recommandation financière sera bien différente...


Où investir maintenant


C'est très clair : l'époque où l'Occident avait le contrôle de la planète est terminée. On vit actuellement un basculement historique de l'équilibre mondial -- à tous les niveaux : économique, géopolitique, financier...

Tout est en train de changer. Le système financier mondial implose. Des politiques économiques et monétaires qu'on aurait considérées comme "insensées" ou "trop dangereuses" il y a quelques années sont désormais appliquées un peu partout.

En bref, le monde économique vit une crise... et seule une personne sur 100 en comprend l'importance. Certains pensent que le capitalisme a échoué. D'autres sont sûrs qu'il s'agit d'une sorte de conspiration. Et beaucoup de gens sont persuadés que les banques centrales et les politiciens pourront leur sauver la mise.

Ils se trompent tous. Comme l'écrivait autrefois le grand économiste Joseph Schumpeter, il existe des périodes de "destruction créatrice". Nous sommes en train d'en vivre une. On ne peut pas l'arrêter, on ne peut pas reculer. Tout ce que vous pouvez faire, c'est comprendre ce qui se passe... puis vous positionner pour protéger votre patrimoine -- et le développer si possible.

Permettez-moi d'insister, parce que c'est important ; ce ne sont pas des bavardages en l'air. En tant qu'investisseur, vous devez savoir anticiper les grandes tendances, et en tirer les bonnes conclusions. Aujourd'hui, une seule s'impose : le 21ème siècle sera le siècle des pays émergents.

Alors que la France, l'Europe, les Etats-Unis sombrent sous le poids des déficits, des réglementations paralysantes et de structures vieillissantes, les pays émergents prennent de la vitesse. Leurs entreprises s'améliorent, leurs sociétés se modernisent. Une nouvelle classe moyenne émerge, impatiente de s'équiper et de consommer.

Tout cela, vous vous en doutez, créée des marchés gigantesques : infrastructures, biens d'équipement, automobiles (et tous leurs composants), construction... et j'en passe : les opportunités sont spectaculaires, comme on n'en voit qu'une fois dans une vie d'investisseur.

Ce que vous ne savez pas, c'est comment faire pour en profiter. Ca, nous vous le dirons... Vous ne voudriez tout de même pas manquer de si belles opportunités ? Je suis sûre que non. Et je veux vous aider à ne pas passer à côté, grâce à des conseils comme...

** La Chine et l'Inde font beaucoup parler d'elles -- mais d'autres pays émergent déjà, impatients de prendre la relève : l'un d'entre eux en particulier promet de prendre de la vitesse dans les mois qui viennent, notamment grâce à un excellent positionnement dans le secteur des matières premières et des éco-carburants. Nous vous dirons comment profiter de sa hausse sans prendre de risques inutiles.

** L'Australie offre une combinaison ultra-profitable pour les investisseurs : riche en or, en métaux de base et autres ressources naturelles précieuses, sa proximité avec la Chine et le reste de l'Asie lui donne accès à des marchés gigantesques et en pleine expansion. Quelques placements bien choisis vous aideront à profiter de ce potentiel spectaculaire.

** L'Afrique semble être bonne dernière dans le classement économique mondial. Pourtant, ce continent méconnu mérite d'être en bonne place dans votre portefeuille pour les années qui viennent. Nous vous dirons pourquoi, et nous vous indiquerons les meilleurs moyens de vous positionner en toute sécurité.

L'équipe de MoneyWeek est sans cesse à la recherche des meilleures occasions de placements et prend sa tâche très au sérieux. C'est justement ce que vous attendez d'eux.


Ce secteur ne peut que baisser dans les mois qui viennent :
voici comment ne pas couler avec le navire


Vous aider à construire votre richesse, ça passe aussi par vous dire où ne PAS investir. Et c'est particulièrement important en ce moment, alors que la désinformation financière fait des ravages dans les portefeuilles des investisseurs individuels, désorientés par la crise boursière.

Il suffit de regarder ce qui se passe avec l'immobilier. Partout dans le monde, le boom de l'immobilier s'est transformé en krach retentissant. Les propriétés ont fini par être hors de portée de l'acheteur moyen, ce qui provoque un effondrement de la demande.

En France, tous les indicateurs sont dans le rouge : les ventes de logements neufs se sont effondrées de 40% sur le dernier semestre 2008. Dans l'ancien, la baisse a été de 20% sur l'ensemble de l'année dernière... et du côté des banques, les demandes de prêts immobiliers ont chuté de 40% à 50% ! Le secteur est sinistré : au total, 55 000 emplois devraient être supprimés dans l'immobilier français.

La crise est en train de prendre de la vitesse ; les propriétaires essaient de vendre leurs propriétés aussi rapidement qu'ils le peuvent, faisant baisser les prix plus encore. C'est ce qui est en train de se passer aux Etats-Unis et en Angleterre -- et la France n'est pas épargnée.

Là encore, il y a plusieurs moyens de vous protéger -- mais aussi de faire des profits considérables grâce à l'effondrement de la bulle immobilière. Mon équipe peut vous montrer...

· Le seul pays où les prix de l'immobilier continueront à grimper dans les années qui viennent -- et les 5 meilleurs moyens de profiter de cette tendance.

· Une catégorie d'immobilier à éviter à tout prix dans le retournement qui nous attend.

· Comment jouer la baisse de l'immobilier, grâce à une catégorie de placements bien particulière.

MoneyWeek peut vous guider dans vos recherches. Je suis sûre que c'est un élément très appréciable pour un investisseur comme vous. Car...

Je suis certaine que nous partageons un seul et même objectif.

J'ai décidé de vous adresser ce message pour une seule raison : je crois que vous détenez un pouvoir... le pouvoir d'entreprendre, de penser et d'agir librement, de prendre des risques, de construire... or ce pouvoir est en voie rapide de disparition... "L'assistanat" est aujourd'hui le sport le plus en vogue !

En anticipant l'avenir, les tendances et les évolutions, vous saurez où investir, quels seront les créneaux porteurs de demain. Vous pourrez tirer parti d'investissements bien pensés, soigneusement sélectionnés par notre équipe d'experts financiers. Et nous voulons que vous puissiez le faire sans prendre le moindre risque. Comme je vais vous l'expliquer dans un instant, vous pourrez lire MoneyWeek à votre rythme et voir si nous tenons nos promesses avant de vous engager.


Les meilleures opportunités d'investissement
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MoneyWeek est une source unique de conseils financiers pratiques et d'informations destinées à vous permettre d'optimiser vos investissements. Nous ne nous contentons pas de fournir des nouvelles et de l'information financière -- nous vous montrons comment mettre cette information en application, rapidement et facilement. Le but est simple : vous aider à augmenter et protéger votre argent, pour que vous puissiez, en fin de compte, assurer l'avenir de votre famille et profiter d'un style de vie toujours plus prospère.

Et pour y arriver, notre équipe d'experts passe constamment les marchés au peigne fin, à la recherche d'opportunités exceptionnelles à vous révéler. Et ils sont loin d'être novices en ce domaine, puisque parmi ces opportunités, vous découvrirez...


· Le seul marché haussier permanent ! Le CAC 40 a beau s'enfoncer dans la baisse et les conditions économiques continuer à se dégrader, sur ce marché, il y a toujours quelque chose qui grimpe : nous vous montrerons comment vous positionner pour exploiter ce potentiel spectaculaire.


· Comment investir dans une matière première qui est plus précieuse que le pétrole, absolument irremplaçable et qui se fait de plus en plus rare !


· Les forêts ont échappé à la folie spéculative... et elles pourraient vous offrir un rendement stable et sûr dans ces temps troublés -- grâce à nos conseils, vous pourrez vous positionner en toute simplicité sur "le bois".


· Ces entreprises sont à la pointe de l'énergie alternative -- et leur technologie sera de plus en plus demandée à mesure que la crise énergétique s'aggrave. Nos experts vous dévoileront lesquelles, et comment en profiter.


Mais avant que je vous explique comment vous inscrire, permettez-moi de vous en dire plus sur tout ce que vous obtiendrez avec MoneyWeek...


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A partir de maintenant, toutes les semaines, vous avez rendez-vous avec une équipe d'experts financiers qui vous guideront dans vos choix d'investissement.

Et nous ne vous laisserons pas vous débattre dans l'océan d'informations qui inonde les investisseurs actuellement. Des informations essentielles, des opinions claires, des conseils précis, des stratégies pensées pour vous aider à faire croître et protéger votre argent, dans tous les domaines : voilà ce que vous trouverez dans chaque numéro de MoneyWeek.

Mais ce n'est qu'un début...

· Nous nous chargeons d'éplucher pour vous les conseils de la presse financière ; nous en faisons ensuite un résumé du pire et du meilleur... pour que vous puissiez choisir en toute objectivité ce que vous voulez mettre dans votre portefeuille boursier.

· Nous vous apportons aussi sur un plateau l'actualité financière et économique mondiale : chaque semaine, nos spécialistes passent au peigne fin la presse étrangère -- Etats-Unis, Allemagne, Angleterre, Europe, Chine... Mon équipe décrypte les principales tendances, celles qui compteront vraiment pour vos investissements dans les semaines et les mois qui viennent.

Vous gagnez ainsi du temps -- et de la perspective -- tout en bénéficiant des meilleurs conseils. Nous ne nous contentons pas d'éplucher et résumer la presse (ce qui est déjà un travail immense en soi) : nous vous expliquons comment appliquer les idées d'investissement qu'on y trouve.

Mais je dois vous dire que MoneyWeek n'est pas seulement une source de conseils d'investissement. Nous vous apportons des informations qui peuvent vous aider dans tous les aspects de votre vie financière. Comment dépenser votre argent de manière optimale... comment consolider votre sécurité financière en diversifiant votre épargne au-dehors des marchés financiers... comment profiter d'un mode de vie plus luxueux...

A MoneyWeek, nous consacrons tous nos efforts à vous fournir...


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Nous vous aiderons également à réduire votre facture d'impôts avec de nombreuses stratégies, tactiques et astuces fiscales que vous pourrez utiliser pour protéger votre argent durement gagné. Tout ça dans des conseils simples, clairs et faciles à appliquer.

Et s'il est très agréable d'économiser de l'argent et de voir vos investissements augmenter plus rapidement que vous ne l'auriez imaginé... il y a mieux encore. A mesure que votre patrimoine grandit et s'améliore, vous pourrez vous offrir des luxes que vous considériez autrefois comme hors de votre portée. Et là encore, MoneyWeek sera là pour vous aider.

A la fin de chaque numéro de MoneyWeek, vous découvrirez en effet des astuces et des conseils pour mieux dépenser votre argent. Vous pourrez par exemple...

Trouver des voyages exclusifs aux meilleurs prix. Partez en safari photo dans la savane africaine. Prenez des leçons de cuisine en Andalousie. Construisez des châteaux de sable en Corse. Parcourez le monde... à des prix étonnamment bas.

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Cordialement,

William Bonner
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Davos : le suicide du chef de la sécurité !

On élimine un témoin gênant ?


Nous serions à la veille du cataclysme, sauf si la vérité est révélée à temps
Info à prendre avec les réserves qui s'imposent...

http://www.letemps.ch/Page/Uuid/33c2de62-0a92-11df-811c-d...


Le flic en chef du Davos a été suicidé dans son hôtel avec 2 balles dans la tête...
Il paraît qu'il avait entendu parler des huiles élitistes comme quoi la phase 2 définitive du Krach systémique était imminente... pour déclencher la 3° Guerre Mondiale.


Les marchands de canons et les banquiers internationaux sont ceux qui s'enrichissent dans les guerres, qui permettent aussi de réduire la population...


Cela aurait fait jaser s'il avait cafté...
http://www.whatdoesitmean.com/index1328.htm
Extrait : FSB reports circulating in the Kremlin today are stating that the Swiss Police Commander heading security at the World Economic Forum in Switzerland , Markus Reinhardt, was “suicided” after his discovering that the Davos summit was planning for the “final collapse” of the Global Banking system in preparation for Total War.


Qui assiste au Davos ?
voir dépêche Bloomberg :
http://www.bloomberg.com/apps/news?pid=20601087&sid=a...
Extrait :
More than 2,500 political, business and financial leaders are gathering in Davos, Switzerland, this week for the 40th World Economic Forum. Attendees include European Central Bank President Jean-Claude Trichet, Microsoft Corp. Chairman Bill Gates, and French President Nicolas Sarkozy.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/01/26/01011-201001...

http://www.tdg.ch/actu/suisse/chef-securite-forum-davos-s...

http://www.letemps.ch/Page/Uuid/33c2de62-0a92-11df-811c-d...



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Qui a planifié le pillage des musées nationaux irakiens ?

Faut bien faire disparaître toutes les traces des Sumériens et des Annunakis, n'est-ce pas ?

 

Trafics coloniaux
Qui a planifié le pillage des musées nationaux irakiens ?
par R. N.

En une semaine, les sept plus grands musées nationaux irakiens ont été pillés et la Bibliothèque nationale a été incendiée. Le plus vieil État du monde a été dépossédé de l’essentiel de ses trésors archéologiques et artistiques sous le regard impassible des forces de la Coalition. Cependant, alors que ces événements ont été présentés par les agences de presse états-uniennes comme une conséquence du chaos dans lequel le pays est plongé, des personnalités internationales n’ont pas tardé à dénoncer une vaste opération de spoliation organisée par un groupe de marchands d’art occidentaux. L’UNESCO a appelé à l’interdiction de commercialisation des œuvres volées. Le président Chirac a qualifié ces cambriolages de « crimes contre l’humanité » insinuant qu’ils auraient pu être ordonnés par un gouvernement. Pour éviter que le scandale ne rejaillisse sur la Maison-Blanche, le conseiller aux Affaires culturelles du président Bush a présenté sa démission.

17 avril 2003

Les pillages ont eu lieu dans des villes « libérées » par la Coalition. Asif Mohammed, conservateur du musée de Mosul, qui fait partie de la liste des institutions culturelles pillées, a attesté à nos confrères du Guardian de la présence des troupes états-uniennes dans la ville lorsque le pillage a eu lieu.

Pourtant, aucune action n’a été entreprise pour protéger le musée. Même scénario lors du saccage du Musée National de Bagdad, dont 80 % des quelques 150 000 pièces ont été dérobées, selon Moayyed Saïd al-Damergi, conseiller de l’ancien ministre de la Culture.« Les chars américains étaient stationnés devant l’entrée principale du musée, lorsque les pillards l’ont mis à sac sous le nez des soldats », affirme M. Damergi, professeur d’Archéologie à l’université de Bagdad, rapporte une dépêche AFP, « nous avons demandé de l’aide aux soldats pour s’opposer aux pillards, mais ils nous ont répondu qu’ils n’avaient pas d’instructions pour intervenir ».

Les plus éminents archéologues avaient prévenu la Coalition des risques de vols aux conséquences désastreuses. Des spécialistes états-uniens avaient été reçus au Pentagone bien avant le début des combats afin de sensibiliser les militaires à « la probabilité des pillages de sites historiques », identifiant les sites sensibles à protéger. « Ils étaient informés. Tout ça aurait pu être évité » dénonce Jeremy Black, spécialiste de l’Irak antique à l’université d’Oxford. Mais de manière paradoxale, malgré les mises en gardes adressés par des experts internationaux, rien n’a été entrepris pour empêcher le hold-up de musées.

La Coalition a argué dans un premier temps que cette mission n’était pas de son ressort, puis, devant l’émoi international, elle se pose aujourd’hui en preux défenseur du patrimoine culturel irakien. Le secrétaire d’État états-unien, Colin Powell, a déclaré, le 14 avril à Washington, que « les États-Unis appellent la population à rendre tout objet volé et lui donnent des instructions sur la façon de procéder. Le Bureau de la reconstruction et des affaires humanitaires aidera les Irakiens et les experts internationaux à restaurer les objets et à reconstituer les catalogues endommagés par les pilleurs ». Malheureusement trop tard. On ne peut que déplorer que l’armée états-unienne n’ait pas eu le même empressement à protéger les musées qu’à sécuriser les puits de pétrole.

À Bagdad, le seul bâtiment officiel protégé par les forces coalisées durant les pillages était le ministère du Pétrole. Il est communément admis que le pétrole irakien est convoité par les états-uniens. Mais d’autres faits laissent penser que leur convoitise ne s’arrête pas là.

Le professionnalisme des pillages prouve qu’ils ne peuvent être le fait de la seule population irakienne. Si des citoyens ordinaires y ont sans doute pris part, tout semble indiquer que des professionnels du marché de l’art antique y ont également participé. Donny George, directeur de recherche et d’études au Musée National Irakien de Bagdad, est convaincu que les voleurs étaient des professionnels. Dans une déclaration à l’AFP, il affirme « que [les pillards] n’ont pas touché aux copies, ils ont volé les originaux. C’est une opération de vol organisé ». Le directeur de ce même musée parle, lui, de complicités internes, les pillards ayant mis la main sur les œuvres les plus précieuses alors que celles-ci avaient été placées en chambre forte au début des bombardements sur Bagdad. Selon The Independent, les ordinateurs du Musée National de Bagdad, qui contenaient le recensement des collections, ont été vandalisés au point que l’on ignore encore à l’heure actuelle si les informations stockées sur les disques durs sont récupérables ou non. La disparition de ce recensement compliquerait singulièrement les dispositifs visant à empêcher la revente des œuvres sur le marché international. Autrement dit, des professionnels n’auraient pu mieux faire.

Dans une lettre adressée aux États-membres de la Coalition, publiée dans le Guardian, neuf éminents archéologues appellent à une protection des institutions culturelles et à une vigilance internationale pour empêcher la revente d’objets d’art irakiens volés. Ces experts dénoncent également avec indignation un groupement créé en 1994, l’American Council for Cultural Policy (ACCP), qui, selon le New York Times, a négocié avec le département d’État et le département de la Défense états-uniens avant le début du conflit pour assouplir la législation qui protège l’Irak de la spoliation de son patrimoine historique. Le but serait de pouvoir exporter d’Irak des antiquités, commerce interdit depuis la fin du mandat britannique, en 1924, par une loi, renforcée en 1975. La crainte de ces archéologues est que les États-Unis profitent du gouvernement de tutelle qu’ils installent en Irak pour modifier et assouplir la législation locale sur l’exportation des œuvres d’art et d’antiquités, et ainsi accéder à la requête de l’ACCP.

L’héritage culturel irakien est-il menacé ? La Coalition affiche officiellement un souci d’épargner les sites historiques de tout bombardement. Elle ne manque pas de faire savoir qu’elle a mis en place une section chargée « de la protection du patrimoine irakien », dirigée par un officier réserviste, anthropologue dans le civil, et affiche un grand souci de ne pas provoquer de catastrophe archéologique. Mais les tractations de la Coalition avec l’ACCP et la non-intervention de ses soldats accréditent la thèse d’un pillage organisé dans la plus pure tradition coloniale.

Le principal but avoué par le président de l’ACCP, Ashton Hawkins, avocat spécialisé dans le commerce d’art, est d’unir ses membres influents comme un contrepoids aux législations « rétentionnaires » des pays riches en patrimoine archéologique. L’ACCP souhaite également la révision du Cultural Property Implementation Act (Convention états-unienne de 1983 destinée à freiner le pillage culturel et historique), pour réduire à néant les efforts faits par des nations étrangères pour bloquer l’importation de leurs antiquités aux États-Unis. Le troisième combat officiel de l’ACCP est de décourager le recours à la jurisprudence connue sous le nom de 1977 US v McClain, qui s’appuie sur le National Stolen Property Act (loi états-unienne qui punit tant le voleur que le receleur. Elle a permis, en février 2002, la condamnation de Frederick Schultz, grand marchand d’antiquités américain, ancien président de la National Association of Dealers in Ancient, Oriental and Primitive Art, pour avoir reçu en connaissance de cause d’un négociant anglais des antiquités égyptiennes volées.)

Convaincu par la doctrine libérale de l’administration Bush, Ashton Hawkins tient à préciser que, pour l’ACCP, « la dispersion du matériel culturel à travers le marché est l’un des meilleurs moyens pour le protéger ».

Depuis que le monde archéologique dénonce dans la presse ses agissements, l’ACCP dément toute accusation de vouloir faire modifier la législation irakienne sur les antiquités et met au contraire en avant l’offre qu’elle aurait faite au Pentagone d’apporter une aide financière et matérielle pour la conservation des œuvres ainsi que pour la reconstruction des institutions culturelles irakiennes. Les tractations en vue de libéraliser le marché de l’art antique avec le gouvernement états-unien avaient pourtant été jugées « encourageantes », avant le début des pillages.

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Pr. McGuire Gibson

Sur instructions du secrétaire général de l’ONU, Kofi Annan, le directeur général de l’UNESCO, Koïchiro Matsuura, a multiplié les initiatives. Il a envoyé, avec l’aide du British Museum, une mission sur place pour évaluer l’ampleur des vols. Il a organisé ce matin, à Paris, une consultation d’experts pour définir une stratégie adaptée. Au sortir de cette réunion, l’un des participants, McGuire Gibson, professeur à l’université de Chicago, nous a déclaré : « les pillages ont été planifiés de l’extérieur de l’Irak ». Koïchiro Matsuura a annoncé la création d’un fonds spécial pour le patrimoine culturel irakien, puis, il a appelé à prononcer un embargo international sur les objets d’art irakiens. Surtout, il a réclamé l’adoption d’une résolution ad hoc par le Conseil de sécurité des Nations Unies, signifiant ainsi que la responsabilité des pillages incombe à des États. Sans attendre, Martin Sullivan président du Comité consultatif des Affaires culturelles, a présenté sa démission au président Bush pour que le scandale ne rejaillisse pas sur la Maison-Blanche.

 

http://www.voltairenet.org/article9534.html

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