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09/06/2014

Effondrement économique mondial. Comment vous préparer ?

Les conseils donnés par Charles SANNAT diplômé de l'Ecole Supérieure du Commerce Extérieur et du Centre d'Etudes Diplomatiques et Stratégiques. Il commence sa carrière en 1997 dans le secteur des nouvelles technologies comme consultant puis Manager au sein du Groupe Altran - Pôle Technologies de l’Information-(secteur banque/assurance). Il rejoint en 2006 BNP Paribas comme chargé d'affaires. Il est actuellement le directeur des études économiques d'AuCOFFRE.com et rédacteur du Contrarien Matin, 'Décryptage quotidien, sans concession, humoristique et sarcastique de l'actualité économique'.

Extrait de son article : « Nous avons au mieux 18 mois devant nous » écrit sur la base des prévisions faites par Jacques Attali, dont il faut rappeler qu’il l’un des promoteurs du NOM et qu’il peut leur lancer un message et donner un délai de 18 mois  à ses alliés, les banksters internationaux et autres mafieux pour mettre en place et finaliser la prochaine guerre mondiale qui pourrait toucher en priorité l’Europe avec le conflit savamment orchestré en Ukraine contre la Russie et la Chine.

 

Édition du Lundi 2 juin 2014

Alors comment vous préparer ?

Voilà la question que nous nous posons tous et à laquelle chacun, dans notre configuration personnelle et « sous contrainte », nous essayons de répondre.

Lorsque que l’on parle de se protéger de faillite bancaire et d’effacement de l’épargne, il n’y a pas 36 solutions. Il faut évidemment débancariser au maximum et avoir son argent en dehors des griffes de l’État. Il faut donc détenir des actifs tangibles comme l’or, l’argent et même dans une certaine mesure des billets de banque (les retraits étaient très fortement limités à Chypre).

Lorsque l’on parle de possibles ou d’éventuelles guerres civiles, il faut se situer dans des zones rurales et non-urbaines. Cela est également valable pour l’autonomie d’une famille toujours plus facile à la campagne qu’en ville. Un simple potager et un poulailler vous aideront grandement à améliorer l’ordinaire.

Nous avons vécu l’exode rural puisque les villes avaient besoin de bras pour faire tourner les usines. Les progrès technologiques étant passés par là, l’avenir sera rural et nous devrions vivre comme la Grèce qui est précurseur sur ce point-là, un véritable exode urbain.

Quittez les villes tant que vous le pouvez car après il se pourrait qu’il soit trop tard et je vous renvoie à l’article précédent du même Jacques Attali où il vous appelait à vous « débrouiller » ! Oui, n’attendez plus de savoir ce que l’État pourra faire pour vous, car l’État est devenu le problème et ne nous apportera plus aucune solution.

Le temps des demi-mesures est révolu. Il y aura à l’avenir deux types de gens. Ceux qui auront su prendre à temps les bonnes décisions et changer leur postulat de vie, ceux qui en un mot auront décidé de se débrouiller et tous les autres.

Je vous souhaite à toutes et tous bonne chance et beaucoup de courage dans vos prises de décisions car vous allez devoir décider aujourd’hui, sur un risque hypothétique pour demain, de changer de vie tout de suite ! Évidemment, c’est tout sauf facile ou évident surtout lorsque cela engage une famille, un conjoint et des enfants et que vos choix iront complètement à l’encontre du consensus mou qui nous entoure.

En cette veille du 70e anniversaire du débarquement allié en Normandie, je me souviens de ma grand-mère paternelle qui avait été prise pour une grande folle en faisant rentrer 600 boîtes de pâtés début 39. Je me souviens de ma grand-mère maternelle qui avait demandé sa mutation en tant qu’institutrice dans un bled de campagne de 250 habitants car elle avait 3 gamines en bas-âge à nourrir. Je me souviens de ce que l’on m’a raconté sur la réaction de son inspecteur d’académie qui l’a longuement regardée et lui a trouvé l’un des villages les plus reculés de France en lui disant le plus sérieusement du monde : « Si cela devait mal se passer, là-bas au moins vous ne devriez pas voir trop de boches. »

Aujourd’hui, la probabilité pour que les choses se passent très mal augmente de jour en jour. Je laisse donc la parole à Jacques Attali lui-même en relayant ici son dernier article que je vous invite à lire là encore avec attention autant pour ce qu’il dit, que pour ce qu’il suggère ou encore pour ce qu’il ne dit pas, tant les propos d’Attali, un homme brillant, peuvent et doivent se lire sur ces trois niveaux.

L’article en entier : ICI

 

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