Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Rechercher : Les Rothschild et Rockefeller augmentent la pression sur Poutine

L’AS DES AS. Ukraine (Crimée): Vladimir Poutine, le maître du jeu ou le métronome

Et un second but à zéro pour Poutine !

Et sans verser une goutte de sang, SVP !!

L’AS DES AS. Ukraine (Crimée): Vladimir Poutine, le maître du jeu ou le métronome

Publié le mar 11, 2014 @ 19:18

Vladimir Poutine

Vladimir Poutine

La meute des aboyeurs a complètement perdu le contrôle de la situation. Il ne leur reste que des cris d’orfraie pour tenter d’exister. Moscou a balayé du revers de la main le "groupe de contact" auquel avaient appelé la chancelière allemande, Angela Merkel, et le président américain, Barack Obama. On ne peut, d’une part, faire ce vœu pieux, et dans le même temps passer par des sanctions/menaces pour tenter d’infléchir la position du Kremlin qui, sans pousser les régions de l’est de l’Ukraine au bord de l’implosion, vient clairement de mettre une pression supplémentaire sur l’Occident, en promettant de soulager la Crimée avec un apport conséquent de 800 millions d’euros, rubis sur l’ongle.

La réponse du berger à la bergère.

Pour les rendre encore plus fous, puisque les putschistes-nazis de Kiev sont adoubés par l’Occident, la Russie a elle aussi jugé légitime la déclaration d’indépendance adoptée mardi par le parlement de la république autonome ukrainienne de Crimée, a annoncé le ministère russe des Affaires étrangères. Les poils hérissés, les Occidentaux ne savent plus à quels saints se vouer. Hélas, ils n’auront plus que leurs larmes pour pleurer, avec cette déclaration sans nuance de Moscou:

"Le ministère russe des Affaires étrangères qualifie de légitime la décision du parlement de Crimée. La Fédération de Russie respectera pleinement les résultats du référendum programmé en Crimée (pour le 16 mars) où assisteront les observateurs de l’OSCE"

C’est le ministère russe, dans un communiqué, qui a fait l’annonce.

Le peuple aura le dernier mot

Moscou a piégé l’Occident en acceptant enfin que les 54 observateurs internationaux dépêchés par l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) à entrer dans la péninsule de Crimée. Leur rapport suite au référendum du 16 mars, par exemple s’ils disent qu’il y a eu des fraudes risque d’être très amusant. Les choses sont faites et rien ne sert de jouer demain, les vierges effarouchées. La population, russophone à plus de 90% et russophile, a déjà fait son choix et le scrutin ne sera qu’une formalité.

Quand hier, à Donetsk, près de 10 000 manifestants pro-russes ont défilé, contraignant le "leader" pro-européen Vitali Klitschko, L’ami de Botul qui était récemment à l’Elysée -vous savez, le mec qui n’a pensé des années durant qu’avec ses muscles-, candidat à l’élection présidentielle, à annuler son meeting, on peut se dire que c’est plié. Les autres contrées de l’est, du sud-est et du sud emboîteront, sans doute, le pas à la Crimée. Ils vous diront que la Russie les a annexés, flouant comme le fait Obama, l’autodétermination des peuples à disposer d’eux-mêmes. Ces gens, quand les règles qu’ils ont édictées ne correspondent pas à leur idéologie du moment, ils renversent toujours la table. Des losers on vous dit !

L’ultime syncrétisme ou la quenelle supplémentaire

Les députés du Parlement pro-russe de Crimée ont déclaré ce mardi la péninsule indépendante de l’Ukraine, étape préalable avant le référendum de dimanche pour permettre son rattachement à la Russie. «Une déclaration d’indépendance de la république autonome de Crimée et de la ville de Sébastopol» a été adoptée par 78 des 81 députés présents, selon un communiqué de ce parlement élu, lui, et considéré comme illégal par les autorités de Kiev, élus à la criée ou s’auto-désignant. Qui est plus légitime ?

La Crimée est russe. Définitivement. Les forces russes, qui a vu les autorités locales craindre une attaque des nazis de Kiev, contrôlent désormais les points stratégiques de la péninsule. le Premier ministre de la région, Serguiï Axionov a pris en charge les forces armées et les 2 millions de Criméens, majoritairement russophones, ont vu les chaînes russes remplacer les chaînes ukrainiennes sur leur poste de télévision. La radio militaire ukrainienne a cessé d’émettre et la plupart des militaires ukrainiens ont fait allégeance à Moscou. Des forces d’auto-défense non-identifiées, en treillis et vestes fourrées et cagoules fouillent tout voyageur arrivant à Simféropol en provenance du Nord. Que les amateurs se taisent à jamais car, "trop parler c’est une maladie"

T.P. Poly-Rythmo De Cotonou (Benin)
Trop Parler, C'est Maladie (80's Classic Soukous!!!!)

http://www.youtube.com/watch?v=PfZzm8H4YCE

http://allainjules.com/2014/03/11/las-des-as-ukraine-crim...

 

 

 

Lire la suite

11/03/2014 | Lien permanent

Après l’alliance russo-chinoise, Poutine confirme l’alliance avec l’Amérique latine

Quand d'autres criminels nazis créent les divisions entre pays et fabriquent des génocides sanguinaires, Poutine joue la carte du rassemblement des pays dans l'intérêt de tous les peuples !

 

13 juillet, 13:46

Après l’alliance russo-chinoise, Poutine confirme l’alliance avec l’Amérique latine

Par La Voix de la Russie | Difficile à dire si ceux qui avaient parlé encore tout récemment d’isoler la Russie sur la scène internationale se sentent ridicules ou non (après tout ils sont bien habitués à l’être ces derniers temps), mais vraisemblablement ils le devraient…

La tournée de Vladimir Poutine en Amérique latine est un succès. Un grand succès. Et une nouvelle grande victoire géopolitique. De la même manière que celle qui a suivi la visite du président russe en Chine, en mai dernier. Cette dernière avait alors définitivement confirmé l’alliance entre la Russie et la Chine, en dépit des « efforts » occidentaux à saper cette alliance. Cette visite a pour rappel permis non seulement d’obtenir une nouvelle grande victoire géopolitique à la Russie mais également et sur le plan économique, a confirmé la diversification majeure de ses relations dans le domaine économique, notamment en ce qui concerne les livraisons de gaz, et qui a résulté en la signature d’un contrat gazier historique, prévoyant l’approvisionnement en gaz russe de l’Empire du Milieu pour les 30 prochaines années.

La meilleure réponse qui soit à l’Union européenne qui d’une manière infatigable (et comme toujours sous pression étasunienne) parlait de la nécessité d’une plus grande « indépendance énergétique » de l’UE vis-à-vis de la Russie (sans avoir véritablement de plan B). La Russie, elle, a préféré prendre les devants et l’initiative, et en signant ledit accord historique avec la Chine, a diversifié, et de quelle manière, son portefeuille clientèle. Après tout, les affaires sont les affaires. Mais en général, et étant quelqu’un pour qui l’entreprenariat n’est pas étranger, je peux dire qu’il est toujours préférable de faire des affaires avec quelqu’un dont on partage une vision commune et des valeurs proches. Justement, la Russie et la Chine (sans oublier les autres pays des BRICS) partagent largement une vision commune sur l’avenir du monde et les relations internationales.

Pour revenir à l’Amérique latine, cette visite du leader russe fait déjà grand bruit dans le monde entier, l’Occident ne faisant pas exception. Avant d’arriver à Cuba, première étape de cette tournée latino-américaine, Vladimir Poutine a signé le décret annulant 90% de la dette de Cuba (datant de l’époque soviétique) d’un montant total de 35 milliards de dollars. Les 10% restant vont être remboursés par Cuba sur une période de dix ans, pour ensuite être réinvestis par la Russie à Cuba, dans bon nombre de projets communs. L’un de ces projets concerne la coopération dans le domaine pétrolier, en l’occurrence la recherche et l’exploitation pétrolière dans le golfe du Mexique. L’autre aspect de la coopération bilatérale concernera la création d’une base de ravitaillement à Cuba pour les navires russes. Comme l’a souligné le président russe à l’agence de presse internationale cubaine Prensa Latina,la coopération entre la Russie et Cuba revêt un caractère stratégique et est orientée sur le long terme. Vladimir Poutine a par ailleurs rencontré le Comandante et leader charismatique de la révolution cubaine, Fidel Castro, avec lequel il a eu un long entretien privé, qui a porté sur les questions internationales et l’état de l’économie mondiale.

La prochaine escale devait être l’Argentine, autre partenaire stratégique de la Russie dans la région, mais le président russe a décidé de modifier légèrement le plan de sa tournée, afin de passer d’abord par le Nicaragua, pays ami et allié de longue date de la Russie. Le président nicaraguayen Daniel Ortega a personnellement rencontré Vladimir Poutine à l’aéroport. Les discussions ont porté sur grand nombre de projets communs, dont la livraison de matériels agricoles russes, le déploiement des stations au sol du système russe de positionnement par satellites GLONASS sur le territoire du Nicaragua, la coopération dans le domaine de la pharmacologie, ainsi que la création d’une base d’approvisionnement de navires russes.

Après donc le Nicaragua, le président russe se rendra comme prévu en Argentine où il rencontrera la présidente du pays Cristina Fernandez de Kirchner. Les relations russo-argentines actuelles sur le plan politique, économique, commercial et culturel battent leur plein et ne cessent d’aller de l’avant. Après l’Argentine, Poutine se rendra au Brésil, leader de la région, également partenaire stratégique de la Russie et membre des BRICS. Au Brésil, plusieurs rencontres sont prévues, les deux pays ayant d’importants projets économiques communs et une vision très proche sur l’actualité internationale. Par ailleurs, le président russe assistera à la finale de la Coupe du monde de football au Stade Maracana, à Rio de Janeiro. Le Brésil passera alors le relais à la Russie, qui accueillera la prochaine Coupe du monde de 2018.

Pour finir, revenons à ce que nous avons dit au début. Certains n’ont toujours pas froid aux yeux de se ridiculiser constamment. C’est leur droit. Mais franchement et après cette tournée latino-américaine du leader russe, on a vraiment de quoi à se poser des questions sur l’état mental de certains leaders occidentaux et plus globalement de l’élite politique occidentale, ainsi que de leurs marionnettes.

Quant aux amis de la Russie, ils ne manquent pas : Cuba, le Nicaragua, l’Argentine, le Brésil, sans oublier bien sûr les autres alliés de la Russie que sont le Venezuela, la Bolivie, l’Equateur ou encore l’Uruguay, et le tout uniquement dans le cadre d’une région, en l’occurrence l’Amérique latine. Cela sans parler des alliés et partenaires stratégiques de la Russie au niveau de l’Union eurasienne avec les pays issus de l’Empire russe et l’ex-URSS. Sans parler des poids lourds que sont la Chine et l’Inde, ainsi que les autres pays des BRICS. Sans parler des amis de la Russie en Afrique et dans le monde arabe. Et quelqu’un parle encore « d’isoler » la Russie ? A ce rythme, ceux qui parlent constamment et d’une manière hystérique, d’isoler tout le monde (tout en restant une minorité) finiront très rapidement eux-mêmes isolés. Et c’est leur choix. La dure réalité, pour cette même minorité, du nouveau monde. Un nouveau monde qu’ils finiront par accepter, qu’ils le veuillent ou non… /N


Source : http://french.ruvr.ru/2014_07_13/Apres-l-alliance-russo-c...

Lire la suite

15/07/2014 | Lien permanent

Poutine a tâté le talon d’Achille de l’Occident, par Youri Selivanov: La chasse aux oligarques est ouverte !

Quand Poutine ouvre la chasse aux oligarques, les BANKSTERS, Illuminati/Sionistes/Reptiliens et leur Nouvel Ordre Mondial en rêvant avec la Chine et les BRICS de faire chuter le dollar, leur instrument de destruction du Monde !

Poutine a tâté le talon d’Achille de l’Occident, par Youri Selivanov

Poutine a tâté le talon d’Achille de l’Occident, par Youri Selivanov

En Juin, la « Nouvelle Russie » a publié un article, La Grande révolution anti-oligarchique , où les relations de Vladimir Poutine et du capital oligarchique en Russie sont qualifiées d’antagonistes et devant être tranchées. L’article prévoit que la confrontation entre les oligarques et le Kremlin continuera, « Poutine sera amené tôt ou tard à prendre des mesures nouvelles et très difficiles visant à un contrôle plus étroit (jusqu’à l’éradication totale) de tout l’édifice de la communauté oligarchique tout simplement parce que sans cela il pourra mettre une croix sur tous ses plans de renaissance de la Russie « .

Il ne s’est pas passé trois mois avant que les «mesures nouvelles et très difficiles » de Poutine en relation avec l’oligarchie locale ne commencent à prendre une tournure très concrète. Les commentateurs qui réduisent l’arrestation du milliardaire Vladimir Evtushenkov à ses machinations avec « Bashneft » sont enclins à prendre leurs désirs pour des réalités. À savoir, faire un cas particulier de ce sujet et, à Dieu ne plaise, ne pas le laisser s’emparer des esprits et apparaître comme une illustration de certaines tendances globales.

Cependant, Vladimir Poutine, semble-t-il, a tiré précisément des conclusions globales concernant l’oligarchie nominalement russe, à partir du drame vécu par l’Ukraine. Les grands magnats locaux, confortablement tapis dans les ruines de l’économie de l’ex-URSS et ayant prospéré dans l’art de tirer bénéfice de ces ruines, ont fait de leur pays un esclave économique de l’Occident. Et quand ce dernier a jugé nécessaire de mettre un terme au destin géopolitique de l’Ukraine, les oligarques comme un seul homme ont trahi leur peuple, et leur indépendance nationale.

Certes, cette leçon a été pour Poutine un élément crucial de l’expérience ukrainienne. Et cela ajouté à la compréhension claire de ce que les oligarques pseudo-russes ne valent pas mieux que les pseudo-ukrainiens, et, que si nécessaire, ils livreront leur patrie sans gamberger, a incité le Kremlin à une action préventive musclée pour nettoyer la clairière oligarchique.

Il n’est pas exclu que les mêmes considérations des instances supérieures du Kremlin explique le fait que Moscou officielle n’a jamais dévoilé son attitude négative face aux nombreuses initiatives des jeunes leaders de la Nouvelle-Russie, qui ont beaucoup oeuvré pour convertir le soulèvement de la population locale dans une révolution anti-oligarchique à grande échelle. Cette position est tout à fait logique – car où commencer une guerre tous azimuts contre les oligarques, si ce n’est en Ukraine, où leur pouvoir absolu a conduit à une catastrophe nationale.

Bien sûr, leurs homologues de l’autre côté de la frontière ne sont pas aussi fous et ils comprennent bien qui est le patron. Mais à la lumière des différences fondamentales actuelles entre la Russie et l’Occident, tout cela est sans importance. Parce que l’oligarchie d’ici, tout aussi bien que l’Ukrainienne, est essentiellement compradore, attachée à l’intégration de la Russie dans le système économique occidental en tant que fournisseur de matières premières aux conditions les plus désavantageuses pour le pays, en fait des conditions d’esclavage. Sans oublier le fait que, dans certains cas, les deux oligarchies sont étroitement enchevêtrées au point qu’il est difficile de les distinguer.

Quelques favorables que soient, au moins en public, les représentants de ce type d’intérêts économiques envers Poutine personnellement, quelle que soit leur crainte de lui également, la logique objective les pousse inévitablement à résister à l’autorité. Et ce d’autant plus que le pouvoir orientera la barre du navire de l’Etat sur un cours anti-occidental.

Par ailleurs, en septembre, l’oligarchie de Moscou avait prévu la première action publique organisée contre la politique de Poutine sous la forme d’une « rencontre des dirigeants d’entreprises russes » annoncée par Anatoli Tchoubaïs. Et, très probablement, l’arrestation de l’un de ces dirigeants visait précisément à faire tomber ces plans.

Et tout aussi curieux. A peine les autorités russes avaient mis son bracelet électronique à Evtushenkov, qu’est parvenue d’Amérique une déclaration plutôt inhabituelle, surtout compte tenu de l’hystérie anti-russe de ces derniers temps. Le Secrétaire d’État adjoint, coordonnateur des sanctions américaines contre la Russie Daniel Fried a exprimé l’avis que l’Occident pourrait atténuer ou lever ses sanctions contre Moscou sans exiger le retour de la Crimée à l’Ukraine. Compte tenu de la dominante actuelle de la politique américaine, qui exige au contraire une pression maximum sur la Russie et la restitution de la péninsule de Crimée, cette déclaration est proprement inouïe. Bien que Fried ait expliqué cela par les progrès obtenus dans les pourparlers de paix à Minsk et d’autres détails, la coïncidence de la proposition de Moscou avec l’arrestation de l’un des oligarques russes les plus importants semble capitale.

Il est à noter que même les succès militaires spectaculaires de Novorossia n’ont pas contraint les Etats-Unis à abandonner leur politique très dure envers la Russie. Mais il a suffi que Poutine en réponse à des sanctions occidentales « tâte la mamelle » de l’un des compradores de Moscou, pour que Washington commence immédiatement à parler de la possibilité de reconnaître sans problème la Crimée russe. Il semble que l’histoire de Yevtushenkov et qui se passe derrière (et cela  ne se résume pas à une machination banale avec »Bashneft »), a effrayé bien plus les Occidentaux que la menace même de perdre toute l’Ukraine.

Poutine donne à comprendre très clairement que dans ses mains pour continuer ce débat avec l’Occident il y a des arguments beaucoup plus puissants que l’interdiction de la fourniture des « cuisses de Bush » [poulet importé des USA] ou des choux de Bruxelles. À savoir – le démantèlement complet de l’oligarchie compradore comme première étape de la révolution anti-oligarchique (lire – anti-occidentale) qui mûrit depuis longtemps à travers le monde, dont la nécessité d’une réorganisation drastique selon des principes plus humains et plus justes est exprimée par le pape lui-même. Et Vladimir Poutine, qui a rencontré le pape juste après sa déclaration révolutionnaire, est actuellement le seul chef de file mondial capable non seulement de prendre la tête d’une telle campagne mondiale pour la justice, mais aussi de l’amener à sa conclusion logique.

Par conséquent, même la moindre menace de la part de Poutine d’emprunter cette voie, et c’est ainsi qu’il faut comprendre l’essence profonde des derniers événements, est capable de provoquer chez ses homologue de l’Ouest  un état proche d’une prostration complète. Après tout, à l’Ouest ils sont bien conscients du fait que le système de pouvoir de l’oligarchie financière, malgré sa toute-puissance apparente, n’est plus maintenant que comme un château de cartes, prêt à s’effondrer à la moindre poussée. Et il semble que le Kremlin ait vraiment senti où est le talon d’Achille, où il doit porter ses coups.

D’autant plus que cela correspond entièrement aux intérêts fondamentaux de l’Etat et de la société russe. Qui ne consiste en aucun cas à assister à la poursuite du pillage de leur propre pays par les sangsues occidentales et leurs caniches locaux.

http://centerkor-ua.org/mneniya/biznes/item/3382-putin-na...

http://histoireetsociete.wordpress.com/2014/09/27/poutine...

Via le réseau international

 

Lire la suite

27/09/2014 | Lien permanent

La différence entre Poutine et Obama

Y'a pas photo pour savoir lequel est le plus actif des deux.


Lire la suite

24/10/2015 | Lien permanent

Poutine est à prendre au sérieux

Poutine est à prendre au sérieux

Poutine est à prendre au sérieux

« SI LA BAGARRE EST INÉVITABLE, IL FAUT FRAPPER LE PREMIER »

Ce serait une grave erreur pour l’Occident et ses dirigeants de ne pas prendre au sérieux ce que dit Poutine. Il n’est pas du genre à parler pour ne rien dire. Ce qu’il a à dire, il le dit sans élever le ton et sans effet oratoire. Les mots sont pesés, les pensées sont claires et ses intentions sont sans équivoque. On se souviendra de son intervention, l’an dernier, à la rencontre de Valdaï, où il avait précisé les défis à relever de la part des puissances qui conditionnent les destinées de ce monde.

« …le monde s’est engagé dans une époque de changements et de mutations profondes, époque où nous devons tous faire preuve d’un degré élevé de prudence et d’une capacité à éviter les démarches irréfléchies ».

Cette année, à l’occasion de sa rencontre avec les experts internationaux, réunis à Sotchi pour la XIIe édition du club de discussion de Valdaï, il a de nouveau pris la parole dans un contexte où les problèmes semblent s’accentuer plutôt que diminuer. Le conflit en Ukraine n’est toujours pas résolu. En Syrie, le droit international de l’État syrien est toujours bafoué par la coalition occidentale qui ignore la souveraineté et l’indépendance du peuple syrien. Elle recrute, forme, arme et finance une soi-disant armée de libération syrienne (ALS) pour lutter contre l’armée syrienne et le gouvernement de Bachar Al-Assad. Pendant ce temps, les terroristes de l’État islamique étendent leur influence et leur domination sur le territoire syrien et, au lieu de disparaître sous les frappes de la coalition occidentale, ils se sont renforcés. Ce fut à tout le moins le cas jusqu’à ce que la Russie intervienne en réponse à l’appel du président Bachar Al-Assad.

« Les États-Unis possèdent un grand potentiel militaire, mais il est toujours difficile de mener un double jeu : lutter contre les terroristes et en même temps en utiliser certains pour poser des pions sur le damier du Moyen-Orient dans leur propre intérêt. Il est impossible de vaincre le terrorisme si l’on utilise une partie des terroristes comme un bélier pour renverser des régimes que l’on n’aime pas. On ne peut pas ensuite se débarrasser de ces terroristes. C’est une illusion de croire qu’on pourra les chasser du pouvoir. Le meilleur exemple nous est donné par la situation en Libye. On espère que le nouveau gouvernement pourra stabiliser la situation, mais ce n’est pas le cas pour l’instant ».

Ce double jeu des États-Unis et de ses alliés agace d’autant plus Vladimir Poutine qu’il rend pratiquement impossible toute action concertée pour se libérer de l’État islamique et du terrorisme, quelle que soit la forme qu’il prend. Il n’y a pas, comme il le dit dans une autre partie de son intervention, un terrorisme modéré et un terrorisme cruel. Dans les deux cas on tue et l’on assassine, faisant fi de tout droit et de toute loi.

« «Il ne faut pas diviser les terroristes entre modérés et non-modérés. On voudrait savoir la différence. Les experts disent que les terroristes «modérés» décapitent les gens de façon modérée ou tendre»

Deux conflits majeurs permettent de cerner avec précision ce qui sépare l’approche de la Russie de celle des États-Unis et de L’Europe.

En Ukraine, la Russie a toujours soutenu que le conflit en est un entre le Donbass et le gouvernement central de Kiev. Il appartient donc au gouvernement de Kiev de reconfigurer la constitution en concertation avec les gouvernements du Donbass (Donetsk et Lougansk) de manière à respecter leurs particularités culturelles et leur autonomie comme peuples. C’est d’ailleurs la conclusion à laquelle en est arrivé Minks2. À ce jour Kiev se résiste à cette concertation assurant un statut particulier pour cette région du sud-est de l’Ukraine.

Les États-Unis, n’ayant pas participé directement à ces négociations de Mink2 n’en continue pas moins à apporter leur soutien au gouvernement central de Kiev en lui fournissant des armes et en formant des soldats pour lutter contre les populations du Donbass.

En Syrie, la Russie reconnaît la légitimité de l’État syrien ainsi que celle de son président, Bachar Al-Assad. C’est d’ailleurs à l’invitation de ce dernier que la qu’elle intervient pour lutter contre les terroristes de l’État islamique qui n’ont rien à voir, comme tel, avec le peuple syrien. Par contre, les groupes armés, d’une soi-disant opposition syrienne, profitent de la présence de l’État islamique pour accentuer leurs actions contre l’armée régulière et le gouvernement de Bachar Al-Assad. À plusieurs reprises, la Russie a demandé aux États-Unis qui l’accusent de bombarder cette armée de l’opposition qu’ils soutiennent en armements, en formation et en argent de leur fournir la liste des positions de l’ALS. Tout ceci pour éviter de les prendre pour cibles. Cette requête est demeurée sans réponse. Pour la Russie, Il appartiendra à l’armée régulière syrienne de les combattre ou aux responsables politiques des deux groupes en litige de résoudre entre eux, leurs différents. Pour Moscou, ce sera toujours le peuple syrien qui devra avoir le dernier mot concernant le choix de ses dirigeants et le régime politique de l’État.

Quant aux États-Unis et ses alliés, ils ne reconnaissent pas la légitimité du gouvernement dirigé par Bachar Al-Assad et n’en tiennent aucunement compte dans leurs interventions en Syrie. Ils recrutent des mercenaires d’un peu partout à travers le monde pour grossir les rangs de l’ASL. Cette opposition armée n’est en rien comparable avec les combattants du Donbass, en Ukraine. Dans ce dernier cas, ce sont les populations locales, soutenues par leurs gouvernements régionaux, qui réclament un statut spécial qui respecte leur particularité culturelle et ethnique.

Il est évident que les approches ne sont pas du tout les mêmes et que les fondements qui les soutiennent ne répondent pas aux mêmes principes.

Pour la Russie, il est prioritaire de respecter le principe du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes et de celui des États à jouir pleinement de leur indépendance et souveraineté.

Pour les États-Unis et ses alliés européens, le principe qui sous-tend tous les autres est celui de la subordination des régimes politiques et économiques à leurs intérêts. La gouvernance mondiale recherchée nivelle le principe des nations et, avec ce dernier, celui de leurs droits.

La rencontre de Vienne

Lavrof et Kerry34

Cette rencontre sur trois jours des principaux acteurs concernés dans cette guerre en Syrie n’a malheureusement pas donné les résultats escomptés. Les États-Unis ont décidé d’envoyer des militaires en Syrie pour soutenir l’armée d’opposition syrienne et poursuivre ainsi leurs actions contre le gouvernement syrien. Cette décision prend la forme d’une véritable provocation contre l’intervention russe en Russie. Sous des dehors de promoteur de la paix en Syrie, John Kerry se moque éperdument de la Russie et de son ministre des relations internationales, Serguei Lavrov. Il parle et agit comme si les États-Unis avaient toujours bien en main le leadership de la lutte contre le terrorisme et des voies à suivre pour rétablir la paix en Syrie.

Cette intervention du secrétaire d’État, John Kerry, ne prend aucunement en compte l’approche russe de la lutte contre l’État islamique pas plus d’ailleurs que celle de la reconnaissance légitime du Gouvernement syrien. Plus tôt, le chef de la diplomatie russe s’était prononcé pour un règlement politique du conflit syrien impliquant la participation du président Bachar Al-Assad et la participation de l’ensemble de l’opposition syrienne non armée.

Il faut dire que les provocations des États-Unis contre la Russie ne manquent pas. Tout est mis en œuvre pour discréditer ses interventions en Syrie et minimiser ses succès. Sur la scène européenne, l’étau se resserre autour de la Russie. Sur ce dernier point, la Russie a servi un sérieux avertissement à l’OTAN.

« Il s’agit du rapprochement de l’OTAN et de ses infrastructures militaires vers nos frontières, ce qui constitue un phénomène que nous considérons comme indésirable et dont nous expliquons depuis longtemps les potentielles conséquences dangereuses », a déclaré le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov à la question de commenter les informations parues dans le WSJ.

Que va conclure Vladimir Poutine de tout cela?

Il est certain qu’il a décodé depuis un bon bout de temps la stratégie et les objectifs des États-Unis. Les comportements de ses « partenaires » occidentaux, comme il les appelle, lui confirment le fait qu’ils ne démordent pas de leur grand projet de s’asservir les nations et les peuples. La confrontation est de plus en plus plausible. Sur ce dernier point, John Kerry qui se dit optimiste quant à la non intervention de la Russie peut très bien se tromper. Il devrait plutôt prendre très au sérieux ces propos tenus par Vladimir Poutine à la tribune de Valdaï.

“Il y a 50 ans, à Saint-Pétersbourg, la rue m’a appris une règle : si la bagarre est inévitable, il faut frapper le premier.”

 L’Occident risque beaucoup à ne pas prendre au sérieux Vladimir Poutine. 

Oscar Fortin

http://humanisme.blogspot.com

Lire la suite

02/11/2015 | Lien permanent

Poutine revient en force: les réactions

Nous n'en attendions pas moins de ce Grand Homme, non seulement fin stratège, intelligent et un humaniste qui laissera son nom dans l'histoire du Monde ! 

Certains journalistes conquis par sa prestation à l'ONU, les New Yorkais sont descendus dans la rue pour le soutenir, et les réseaux sociaux qui explosent pour lui apporter tout le soutien qu'il mérite !

Hourra Poutine !

Poutine revient en force: les réactions

22:23 28.09.2015(mis à jour 22:46 28.09.2015)

Russlands Präsident Wladimir Putin

Le discours de Vladimir Poutine à l'ONU se trouve au cœur des débats. Personne n'a pu rester indifférent: la presse comme les réseaux sociaux.

Les diplomates de la délégation ukrainienne ont levé, lors de l'intervention du président russe Vladimir Poutine, un drapeau ukrainien troué par des balles.

Ukrainian flag from Ilovaysk battle in front of Putin at #UNGA pic.twitter.com/WjN6BqtY61

Le président ukrainien Piot Porochenko a quant à lui quitté la salle lors de l'allocution du chef de l'Etat russe.

D'après la journaliste de CNN Christiane Amanpour, Vladimir Poutine a présenté une vision "intelligente" du monde à l'ONU.

La journaliste a remarqué que M. Poutine avait parlé de beaucoup de choses, y compris de la Syrie, ce qui n'a rien de surprenant.

"Il a clairement dit que le monde avait fait une faute en ayant décidé de ne pas coopérer avec le gouvernement syrien, de ne pas coopérer avec (Bachar El) Assad, car Assad est le seul homme capable de lutter contre l'EI et qui le fait actuellement. Ensuite, il a dit que c'était la seule issue à cette situation tragique", a remarqué Christiane Amanpour.

"C'est sa vision sur ce qui se passe en Syrie, et c'est une vision intelligente. Il a fait beaucoup, y compris à la télévision en Russie, pour expliquer que l'EI et son culte représentent une grande menace pour le monde… Ainsi, il a évoqué ce qui préoccupe la plupart des gens, la lutte contre l'Etat islamique, mais il a ajouté sa cerise sur le gâteau, il a appelé à laisser Assad tranquille  pour le moment. Et c'est une question importante, car actuellement, le président Obama et d'autres s'apprêtent visiblement à choisir cette voie", a-t-elle souligné.

Les journalistes du New York Times estiment que si le président américain aspire vraiment à régler le conflit syrien, il n'a qu'à négocier avec Vladimir Poutine:

"Peu importe que cela soit pénible pour lui, le président Obama n’a pas d’autre choix que d’essayer de coopérer avec le président Poutine si on veut en finir avec la débâcle en Syrie, tout comme il a été obligé de collaborer avec la Russie pour obtenir un accord avec l’Iran”, pointent les journalistes.

Et le Time d'ajouter: si le président russe parvient à convaincre le président américain sur la question syrienne, ce sera le plus grand triomphe diplomatique de ces dernières 15 années.

Les journalistes de Komsomolskaya Pravda (KP) ont demandé aux habitants de Damas, la capitale syrienne, leur opinion sur le discours de Vladimir Poutine à l'Onu. Ils disent que leur espoir renaît.

"Bien sûr que nous avons tous attendu que Vladimir Poutine déclare un soutien militaire direct de la Syrie par ses troupes. Mais nous comprenons tous qu'il ne fera pas comme les États-Unis, à contourner le droit international. C'est pourquoi l'initiative de réunir le Conseil de sécurité en coordination de la lutte contre les terroristes semble logique. Au moins, un espoir est apparu chez  nous", confie à KP un jeune Syrien.

Libération, bien que toujours sur ses gardes, suppose que "s’il (Vladimir Poutine) parvient à imposer son plan de coalition élargie en renforçant Al-Assad au passage, c’est-à-dire +faire céder Washington+, Poutine remportera l’une de ces victoires qui remplissent d’orgueil les Russes".

"Il a parfaitement raison": la réaction des réseaux sociaux

Poutine est probablement le seul leader à l'ONU qui comprend correctement des questions globales.

 

Bill Tatro estime que si les présidents Obama et XI jouent aux dames, le président Poutine joue aux échecs.

Dans le même temps, les habitants de New York sont descendus dans les rues pour soutenir Vladimir Poutine.

 

En attendant, le hashtag #PutinPeacemaker est dans le top de Twitter.

 

Lire la suite

28/09/2015 | Lien permanent

Mensonge & Vérité Poutine

 

Mensonge & Vérité Poutine


Lire la suite

16/09/2015 | Lien permanent

Poutine et l'Orthodoxie

 

 

 

Lire la suite

06/11/2016 | Lien permanent

Le nabot qui veut rivaliser avec Poutine !

Holland et Poutine.jpg

Lire la suite

21/10/2016 | Lien permanent

Comment renverser Poutine? Hillay répond...

Comment renverser Poutine? Hillay répond...

 Sun Oct 23, 2016 10:30AM

 

Hillary Clinton chercherait à renverser Poutine en le faisant piéger en Syrie© Global Research

Hillary Clinton chercherait à renverser Poutine en le faisant piéger en Syrie© Global Research

Ce n'est pas seulement le bureau ovale qu'elle vise....Hillary Clinton veut renverser Poutine. ....

Dans un récent article signé Diana Johnstone, Global Research évoque les objectifs que s'est fixé la candidate démocrate à la Maison Blanche et écrit : " Clinton a de grandes ambitions. Elle cherche ni plus ni moins à changer l'ordre politique en Russie et à renverser Poutine. Elle jouit d'ailleurs du soutien de la majorité au Département d'Etat et au Département de la Défense voire au Congrès. Hillary semble vouloir rejouer le coup de l'ex-conseiller pour la sécurité nationale américaine, Zbigniew Brzeziński , lequel a trompé l'URSS et l'a entraînée malicieusement dans le bourbier afghan qui s'est transformé en un Vietnam pour la Russie. Il n'est pas faux dire que ce "Vietnam afghan" a même provoqué la chute de l'empire soviétique tant il a distillé la haine des russes dans les cœurs et les esprits des peuples de la région. Ces mêmes Russes qui pour dire la vérité, sont plutôt de nature pacifiste pour avoir eux-mêmes subi le martyr au cours de deux guerres mondiales.

Des ruines de l'URSS, a émergé le gouvernement Eltsine, un vrai pantin entre les mains de Bill Clinton, le président américain de l'époque. C'est à cette ère particulièrement enchanteresse pour les Etats-Unis que Mme Clinton Pense et le seul obstacle sur sa voie, reste la personne de Poutine.

 

Mais quelle est la nouvelle version de cette ancienne formule?  

"La nouvelle version consiste à mettre à profit les efforts légaux de la Russie en Syrie, efforts destinés à sauver le pays du danger de l'implosion. Clinton compte ternir autant que se faire peut l'image de la Russie de Poutine et fournir à ses adversaires qui sont nombreux en Russie le prétexte nécessaire pour le renverser. Voilà pourquoi les Américains font tout pour que la guerre en Syrie traîne en longueur. Ils attendent Poutine au tournant" 

"C'est justement pour cette même raison que l'offensive syro-russe contre l'Est d'Alep a déclenché une campagne médiatique d'une violence inouïe contre la Russie et que les Occidentaux se sont mis à traiter Poutine de " criminel de guerre" . Ce n'est pas sans raison si les Etats-Unis ont fait tout pour que Bagdad retarde son offensive contre Moussel et qu'il la déclenche juste parallèlement à la bataille de l'Est d'Alep. La tactique américaine veut que les terroristes de Daech quitte la ville de Mossoul et qu'ils aillent directement dans l'Est de la Syrie pour rejoindre les rangs de ceux qui se battent contre Assad et Poutine".

L'article évoque par la suite le second volet de la stratégie de Clinton contre Poutine, axé sur l'Ukraine et écrit : " l'ambition de Hillary Clinton ne connait pas de borne et elle est bien visible à travers ses courriels sur la Libye. Hillary s'efforce de reléguer d'elle-même à la postérité l'image d'un "stratège spécialisé dans le changement des régimes" , un stratège de "soft war" qui a recours aux moyens patents et latents pour mettre au pas toute résistance contre l'empire américain à travers le monde. Mais c'est quoi le principal soutien de Hillary Clinton? Les armes atomiques. Je n'irai pas jusqu'à dire que Hillary Clinton parviendra à gagner le jeu qu'elle a commencé, n'empêche que la cirque électorale à laquelle nous assistons en ce moment vise à induire en erreur l'opinion publique américaine et internationale et à la tromper sur les vrais objectifs de Clinton"

 

Lire la suite

23/10/2016 | Lien permanent

Page : 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12