Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

13/11/2010

Deux bulles géantes au coeur de notre galaxie intriguent les astrophysiciens

La presse officielle commence à en parler ! Il était temps !

Quant
a
ux   astrophysiciens ,  ils vont commencer à comprendre que contre les merveilles de l'Univers ils ne peuvent rien comprendre. Il va falloir que dans quelques temps, ils revoient leurs copies !

Quant à l'humanité, il serait temps qu'elle se réveille. Au lieu de regarder le sol, elle ferait mieux de regarder ce qui se passe dans le Cosmos en ce moment, car ce n'est pas fini, cela ne fait que commencer les découvertes !

Deux bulles géantes au coeur de notre galaxie intriguent les astrophysiciens

La découverte de deux bulles géantes mystérieuses liées l'une à l'autre et émettant de puissants rayonnements gamma au coeur de notre galaxie, la Voie Lactée, intrigue les astrophysiciens, qui supposent qu'elles seraient des résidus de l'éruption d'un énorme trou noir.

La découverte de deux bulles géantes mystérieuses liées l'une à l'autre et émettant de puissants rayonnements gamma au coeur de notre galaxie, la Voie Lactée, intrigue les astrophysiciens, qui supposent qu'elles seraient des résidus de l'éruption d'un énorme trou noir.

AFP - La découverte de deux bulles géantes mystérieuses liées l'une à l'autre et émettant de puissants rayonnements gamma au coeur de notre galaxie, la Voie Lactée, intrigue les astrophysiciens, qui supposent qu'elles seraient des résidus de l'éruption d'un énorme trou noir.

Cette structure s'étend sur 50.000 années-lumières (une année lumière équivaut à 9.460 milliards de km) et daterait de plusieurs millions d'années.

"Ce que nous voyons, ce sont deux bulles émettant des rayons gamma s'étendant sur 25.000 années-lumière respectivement au sud et au nord du centre de la Voie Lactée et nous ne comprenons pas totalement leur nature ou leur origine", explique Doug Finkbeiner, un astronome du centre d'astrophysique de l'Université Harvard à Cambridge (Massachusetts).

Il a été le premier à détecter cette structure, qui s'étend sur plus de la moitié du ciel visible, de la constellation de la Vierge à celle de la Grue.

Outre Doug Finkbeiner, Meng Su et Tracy Slatyer de l'Université Harvard ont également contribué à cette découverte réalisée en analysant des données accessibles au public provenant du télescope Fermi à champ large (LAT) lancé en juin 2008 par la Nasa, l'agence spatiale américaine.

Ce télescope spatial, fruit d'une collaboration internationale, est le plus sensible aux émissions de rayons gamma grâce à un détecteur à très haute définition et balaie le ciel entièrement toutes les trois heures.

Les rayons gamma sont les rayonnements lumineux ou électromagnétiques dotés de la plus haute énergie.

D'autres astrophysiciens qui étudient ces rayonnements n'avaient pas détecté ces bulles, en partie à cause de l'abondance de ces émissions qui se produisent partout dans le ciel et créent une sorte de brume interstellaire.

Ce phénomène se produit quand les particules, se déplaçant à une vitesse proche de celle de la lumière, inter-agissent avec la lumière et les gaz interstellaires dans la Voie Lactée.

L'équipe de chercheurs auteurs de la découverte a fini par détecter les deux bulles en affinant constamment leurs modèles, un processus qui a permis d'éliminer les autres émissions diffuses de rayonnements gamma.

Les astrophysiciens continuent à analyser ce phénomène pour tenter de mieux comprendre comment cette structure jamais vue auparavant s'est formée.

Les bulles émettent des rayonnements gamma beaucoup plus puissants que ceux détectés ailleurs dans la Voie Lactée, précisent les chercheurs.

Ils notent aussi que ces deux bulles ont des bords bien définis.

Parmi les hypothèses avancées, les astrophysiciens citent des jets de particules provenant du trou noir très massif au coeur de la galaxie.

Dans un grand nombre d'autres galaxies, de tels jets sont formés par de la matière tombant vers le centre du trou noir, objet massif dont le champ gravitationnel est si intense que rien, même pas la lumière, ne peut s'en échapper.

Bien que rien n'indique que le trou noir au centre de la Voie Lactée soit la source de tels jets de particules, ils auraient pu exister il y a plusieurs millions d'années.

Ces bulles pourraient aussi s'être formées avec des gaz provenant d'explosions ayant résulté de la naissance d'étoiles, ou de groupes stellaires au centre de notre galaxie, avance l'astrophysicien David Spergel de l'Université Princeton (New Jersey, est).

"Dans d'autres galaxies, nous observons que la formation d'étoiles peut créer d'énormes flux de gaz", note-t-il.

Mais "quelle que soit la source d'énergie derrière ces gigantesque bulles, ce phénomène est lié à un grand nombre de questions fondamentales en astrophysique", selon lui.

http://www.france24.com/fr/20101110-deux-bulles-geantes-c...


NASA : une annonce de conférence de presse pour le 15 novembre

Pour la découverte d'un objet exceptionnel dans notre voisinage cosmique avec l'observatoire Chandra aux Rayons X ! On voit que 2012 approche !

Il y a quelques jours c'était des découvertes avec le télescope spatial Fermi, maintenant c'est avec Chandra !

Et toujours ce phénomène double !
Les Univers gémellaires seraient-ils en train de fusionner et d'ascensionner ?


Apparemment la NASA ne comprend pas ce nouveau phénomène magnétique !

Dieu leur fait une farce, il change les données quand il veut !


What Lies Beneath ? Magnetar Enigma Deepens
http://chandra.harvard.edu/photo/2010/sgr0418/
  
  
NASA Announces Televised Chandra News Conference
  
  
AVIS AUX MÉDIAS : M10-157
 
  
La NASA annonce une conférence de presse télévisée sur le Chandra-Ray
 
  
WASHINGTON--La NASA tiendra une conférence de presse à 12 h 30 HNE le lundi 15 novembre, afin de discuter de découverte par l'Observatoire des rayons X Chandra d'un objet exceptionnel dans notre voisinage cosmique.

La Conférence de presse sera produite à partir du studio de télévision de la NASA siège, 300 E St SW à Washington et transmise en direct à la télévision de la NASA.

Les représentants des médias peuvent assister à la Conférence, nous joindre par téléphone ou poser des questions d'endroits participants de la NASA. Pour confirmer ou obtenir des informations de connexion, les journalistes doivent envoyer leur nom, affiliation et numéro de téléphone à Trent Perrotto à: trent.j.perrotto@nasa.gov par 10 h EST le 15 novembre. Les journalistes qui souhaitent assister à la Conférence en personne doivent avoir une information d'identification valide de presse pour l'accès. Aussi les médias non-américains doivent apporter des passeports.

Les scientifiques participant à la recherche seront disponibles pour répondre aux questions. Le panel des scientifiques offrant une analyse de la recherche sont les suivants :
-Jon Morse, directeur, Division de l'astrophysique, siège de la NASA à Washington
-Kimberly Weaver, astrophysicien, Goddard Space Flight Center de la NASA, Greenbelt, MD.
-Alex Filippenko, astrophysicien, Université de Californie, Berkeley

Pour la NASA TV en flux continu de la vidéo, de liaison et de plus amples renseignements, visitez :

http://www.NASA.gov/NTV


Pour plus d'informations sur l'Observatoire de diffraction des rayons x de la NASA Chandra, visitez :

http://www.NASA.gov/Chandra


http://Chandra.Harvard.edu  

 


12/11/2010

Filament et tempêtes magnétiques solaires, du nouveau !

Le soleil s'active !

http://www.spaceweather.com/

c4_strip768.gif

Movie formats: 1.4 MB gif, 0.5 MB iPad, 0.3 MB iPhone. Credit: SDO

FRIDAY BLAST: Active sunspot 1123 erupted during the early hours of Nov. 12th, producing a C4-class solar flare and hurling a filament of material in the general direction of Earth. Click on the image to play a three and a half hour (0000 -0330 UT) time lapse movie of the event.

UPDATE: Coronagraph images from the Solar and Heliospheric Observatory (SOHO) and NASA's twin STEREO spacecraft show a faint coronal mass ejection emerging from the blast site and heading off in a direction just south of the sun-Earth line. The cloud could deliver a glancing blow to Earth's magnetic field sometime on Nov. 14th or 15th. High latitude sky watchers should be alert for auroras on those dates.Trad. approx. :


Une explosion vendredi : La tache solaire active 1123 a explosé aux premières heures de ce 12 novembre, produisant une éruption solaire de classe C4 et projetant un filament de matière solaire en direction de la Terre. Cliquez sur l'image (sur le site SpaceWeather) pour voir le film de cet événement.


Dernière nouvelle : Les images du coronographe de l'Observatoire Solaire et Héliosphérique (SOHO) et les deux satellites STEREO de la NASA montrent une éjection de masse coronale faible partant du point d'explosion et se dirigeant juste au sud de la ligne Soleil-Terre. Le nuage pourrait atteindre le champ magnétique terrestre vers le 14 ou le 15 novembre. Des aurores boréales pourraient être observées à ces dates sous les hautes latitudes.

http://www.spaceweather.com/

 

Energies libres : Le Projet révélation du Dr Steven Greer

Les énergies libres et propres, issues des technologies UFO ou OVNIS,  existent depuis 60 ans, mais elles sont tenues secrètes par la NASA.

Le document à télécharger : ICI

 

Le projet révélation Du Dr Steven Greer - Les énergies libres et propres existent depuis 60 ans

Tachyons et énergie libre : références et bibliographie

Un rappel des références portant sur des découvertes utilisant l'énergie libre.
Sans compter que selon le Dr Steven Greer, les énergies libres et propres, issues des technologies UFO ou OVNIS existent depuis plus de 60 ans, mais elles sont tenues secrètes par la NASA.

Ovnis & Et : les vérités cachées par le Dr Steven Greer
http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2009/12/27/ovnis-et-et-veritees-cachees.html

Livres Révélations - Steven M. GREER
http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2007/12/23/livres-revelations-steven-m-greer.html


Mercredi 11 janvier 2006  

Le moteur fonctionnant à l'énergie libre (énergie gratuite) de John Bedini existe depuis quinze ans. Il fonctionne selon les principes de l'électromagnétisme découverts par Nikola Tesla avant 1900 au cours de ses essais à Colorado Springs.(voir le site Internet www.keelynet.com)
{Magazine, Nexus, No 11, 11-12/2000}

 

Le 13/02/1998, l'Allemagne a accordé un brevet mondial aux fabricants d'une machine productrice d'énergie libre basée sur le carbone, une feuille mince de ce matériau étant capable de produire à perpétuité 400 watts d'électricité.
{Magazine, Horizons virtuels, No 1, 05/2002, Pile éternelle}

La pile de Joe est naturelle puisqu'elle fonctionne grâce à une force vitale (l'orgone). C'est le seul appareil producteur d'énergie conçu par l'homme et naturel qui permute directement la source d'énergie initiale et l'alimentation finale. Elle semble donc fournir une "énergie libre". (Livre "Experimenter's guide to the Joe Cell" (anglais), nutech@arc-net.au)
{Magazine, Nexus, No 7, 03-04/2000}

"De tous, d'entre les morts et les vivants, c'est Crookes qui s'en est approché le plus [NDLR: de la machine à énergie libre]. Son radiomètre fonctionnera à la lumière du jour ou dans l'obscurité nocturne. Il fonctionnera partout où il y a de la chaleur, et il y a de la chaleur partout." (Nikola Tesla, conférence de 1892)
...
Radiomètre de Crookes :
Crookes (sir William), Londres 1832 - 1919. Physicien britannique, il a isolé le thallium (1861) et montré que les rayons cathodiques sont des particules électrisées. Pour étudier les rayonnements, il construit le radiomètre (1875) puis "le tube de Crookes", source de rayons X inventé en 1879.

Constitué d'une sphère de verre dans laquelle on a fait un vide partiel, et d'un croisillon monté sur un axe. Ce croisillon est composé de 4 ailettes en mica, avec une face naturelle réfléchissante et une face noircie absorbante.

Utilisé dans des conditions habituelles, le radiomètre est éclairé en lumière blanche. Les ailettes tournent dans le sens tel que les faces noires "poussent".
...
L'appareil de Tesla destiné à capter l'énergie radiante du milieu naturel est décrit dans les brevets US N°685.957 et 685.958. Un condensateur est connecté à la terre via un conducteur métallique enfoncé dans le sol. L'autre borne du condensateur est connectée à une plaque de métal de grande surface élevée assez haut au-dessus du sol. Comme la plaque est sans cesse bombardée par de l'énergie radiante, elle se charge électriquement. Cette charge est emmagasinée dans le condensateur et cherche à s'échapper vers le sol. Couplés au condensateur se trouvent un commutateur et la charge qu'il faut actionner. Le commutateur envoie par pulsations l'énergie du condensateur vers la charge, transformant l'énergie radiante en courant électrique continu utilisable.
...
Ce sont les rayons qui arrivent la nuit que Tesla voulait domestiquer à l'aide de son récepteur à énergie libre. Mais ce fut un autre pionnier qui découvrit le secret permettant de capter cette énergie cosmique : le Docteur Thomas Moray (1892 - 1972).

{Magazine, Nexus, No 17, 11-12/2001, L'énergie libre}

 -Vitesse de la lumière 

Le Dr J.H. Sutton (NASA) s'aperçut que si les équations d'Einstein interdisaient de trouver suffisamment d'énergie pour accélérer une particule de masse finie à une vitesse supérieure à c, rien n'empêchait en revanche une particule "née avec une vitesse supérieure à c" de continuer tranquillement son chemin.
{Livre, Age cosmique aux USA (L'), Schiff J.M., Ed. Albin Michel}

 En 1970, deux chercheurs britanniques (Allen et Endean) découvraient un champ électromagnétique dans lequel les particules se déplacent à une vitesse double de c.
{Livre, Age cosmique aux USA (L'), Schiff J.M., Ed. Albin Michel}

Marco Todeschini, scientifique italien : "les derniers résultats expérimentaux détruisent les postulats de la vitesse constante de la lumière qui sont depuis 1905 la base de toute théorie, la vitesse de la lumière dépend du système de référence, tout comme la vitesse de tout ce qui est en mouvement. Le rétrécissement des corps et du temps, établis par l'équation de Lorenz et qui est la base de la relativité de Einstein, n'existe pas en réalité !"
{Livre, Livre Jaune N° 5 (Le), Collectif d'auteurs, Ed. Félix}

Les tachyons sont de fines particules virtuelles, véhiculant de l'énergie réelle mais de masse imaginaire, qui se déplacent à une vitesse supérieure à celle de la lumière.
{Livre, Coucou, c'est Tesla, l'énergie libre, Collectif d'auteurs, Ed. Félix}

Mac Coll des laboratoires Bell de New Jersey écrivit dés 1932 qu'une particule traverse une barrière sans délai mesurable. Eugène Wigner de l'université de Princeton arriva à la conclusion en 1955 que dans certains cas des particules vont plus vite que la lumière dans un tunnel.

T.C. Hatmann avait émis l'hypothèse et prouvé dés 1962 que certains photons pouvaient atteindre une vitesse supraluminique.

Des expériences effectuées en 1992 par le physicien Günter Nimtz de l'université de Cologne en Allemagne, ont abouti à la multiplication de la vitesse de la lumière par 4,7.
En 1993, l'équipe de Raymond Chiao, Aephraïm Steinberg et Paul Kwiat, ont réussi à multiplier la vitesse de "c" par 1,7 fois à l'université de Berkeley en Californie.

{Livre, Armes de l'ombre (Les), Marc Filterman, Ed. Carnot, Collection Ciceron}

"Deux nouvelles expériences semblent suggérer que multiplier par trois cents la vitesse de la lumière est aujourd'hui possible. Rien ne peut excéder la vitesse de la lumière, selon les manuels de classe de tout étudiant. Si cela était possible, alors la théorie de la relativité d'Einstein s'écroulerait et les lois de la physique théorique sombrerait en pleine confusion. Cependant, en utilisant une combinaison d'effets atomiques et électromagnétiques, des chercheurs ont produits en laboratoire des rayons lumineux qui semblent se déplacer plus rapidement que la vitesse de la lumière. Il s'agit là d'une telle vitesse que dans ces conditions particulières, l'essentiel de l'impulsion électrique quitte la chambre d'expérimentation avant même d'y entrer. (The New York Times, par James Glanz, 30 mai 2000)
{Livre, Franchir le seuil du millénaire, Kryeon, Ed. Ariane}

 

L'hypothèse selon laquelle la vitesse réelle de l'électron doit toujours être la même, quelque soit sa distance, est erronée ! La vitesse et le taux vibratoire ne sont pas la même chose, et cette différence est en rapport avec la définition physique du nuage d'électron.
{Livre, Franchir le seuil du millénaire, Kryeon, Ed. Ariane}

La limitation de la vitesse de la lumière n'est que locale.
{Livre, Origine du monde (L'), Collectif d'auteurs, Ed. Félix}