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15/04/2011

Chernobyl, de Fukushima, catastrophes nucléaires et les liens d'intérêts entre l'OMS et l'AIEA !

On vous empoisonne et on vous handicape avec le nucléaire, les guerres éternelles, les vaccins, les médicaments, l'alimentation chimifiée, les chemtrails, les polluants chimiques, etc... mais c'est pour votre bien et c'est sans doute votre karma !

Il faut sans doute continuer à payer pour le péché originel que l'humanité n'a jamais commis.

Au fait, entendez-vous parler l'OMS en ce moment pour vous prévenir des dangers des radiations nucléaires ? Non ! Elles sont sans doute bonnes pour votre santé, et cet organisme criminel préfère vous laver le cerveau avec les dangers des virus imaginaires pour vendre leurs vaccins tueurs et éliminer les populations ignorantes des dangers qu'elles encourent avec les vaccins.

L'OMS ne peut pas intervenir pour vous prévenir des dangers des radiations car elle a des liens d'intérêts avec l'AIEA, l'Agence Internationale de l'Energie Atomique !

Ecoutez bien cette vidéo et lisez l'article ci-dessous, vous serez fixés.

Chernobyl Catastrophe to Fukushima-2/2


http://www.youtube.com/user/ThePlot911

Voir l'original de Paul Fusco:
http://inmotion.magnumphotos.com/essay/chernobyl

Selon Viatcheslav Grichine, membre de l'Union Tchernobyl, principale organisation des liquidateurs, sur 600 000 liquidateurs, « 25 000 sont morts et 70 000 restés handicapés en Russie, en Ukraine les chiffres sont proches et en Biélorussie 10 000 sont morts et 25 000 handicapés » (Wikipédia)

Le 26 avril 1986, la population locale n'est pas prévenue de l'accident et poursuit ses activités habituelles sans prendre de précautions particulières. Ainsi à Pripyat, 900 élèves âgés de 10 à 17 ans participent à un « marathon de la paix » qui fait le tour de la centrale. Un film argentique amateur d'époque montre de manière très flagrante que Pripyat est déjà contaminée gravement : la radioactivité y a formé de nombreux flashs blancs au rythme de plusieurs par seconde17.

L'évacuation débute le 27 avril et les 45 000 habitants de Pripyat sont les premiers concernés. Ils n'ont été informés que quelques heures auparavant par la radio locale, qui leur demandait de n'emporter que le strict minimum et leur promettait qu'ils seraient de retour sous 2 ou 3 jours. Emmenés par l'armée, ils sont hébergés dans des conditions précaires dans la région de Polesskoie, elle-même gravement touchée par les radiations. Les premiers symptômes d'une forte exposition aux radiations (nausées, diarrhées, etc.) commencent à apparaître déjà chez beaucoup d'entre eux.

Au début du mois de mai, les 115 000 personnes habitant dans un rayon de 30 km autour du site sont évacuées, opération qui se poursuit jusqu'à la fin du mois d'août. Chaque évacué reçoit une indemnité de 4 000 roubles par adulte18 et 1 500 roubles par enfant. Les évacuations touchent au total environ 250 000 personnes de Biélorussie, de Russie et d'Ukraine. Slavoutich, une ville comptant plus de 30 000 habitants à la fin de l'année 1987, est créée ex nihilo.

Quatre « zones de contamination » décroissantes sont définies. Deux d'entre-elles ne sont pas évacuées, mais les habitants disposent d'un suivi médical et de primes de risque. Il y a eu 50 000 personnes évacuées de Pripyat.

Pour Gorbatchev, la catastrophe constitue la première mise en œuvre de la politique de glasnost (« transparence ») présentée au cours du XXVIIe congrès du PCUS (25 février -- 6 mars 1986) et qui a rencontré de fortes oppositions. Dans son esprit, l'accident constitue « un nouvel argument fort en faveur de réformes profondes. »

Le 14 mai, Gorbatchev prononce une allocution télévisée dans laquelle il reconnaît l'ampleur de la catastrophe et admet que des dysfonctionnements profonds ont eu pour conséquence que « ni les politiques, ni même les scientifiques n'étaient préparés à saisir la portée de cet événement. »

Cette volonté de transparence ne va pas sans une très importante propagande autour des travaux réalisés, destinée à mettre en valeur la « bataille contre l'atome ». Une banderole apposée sur le réacteur éventré proclame que « le peuple soviétique est plus fort que l'atome » tandis qu'un drapeau rouge est fixé au sommet de la tour d'aération de la centrale à l'issue des travaux de déblaiement.

Pendant 15 ans, seuls les 56 premiers décès seront reconnus par les autorités.

Sur 30 ans, plusieurs rapports cités par l'IAEA estiment le coût de la catastrophe de Tchernobyl à plusieurs centaines de milliards de dollars33. Pour sa part, le directeur de Greenpeace France, Pascal Husting, chiffre le coût total de Tchernobyl à 1 000 milliards34. En 2011, plus de 1,5 milliards de dollars sont encore nécessaires pour la construction du nouveau sarcophage à la centrale nucléaire accidentée de Tchernobyl35.

Après la campagne du Kosovo en 1999, l'Assemblée Parlementaire du Conseil de l'Europe a réclamé l'interdiction de la fabrication, des essais, de l'utilisation et de la vente d'armes à l'uranium appauvri afin de préserver les générations présentes et futures (Conseil de l'Europe 24/01/2001).

En outre, la directive 96/29/Euratom6 dispose que tout produit dépassant une concentration de 10 000 becquerels par kilogramme doit être confiné. Or, bien que l'uranium appauvri ait une concentration 4 000 fois supérieure à cette limite, il est toujours disséminé dans l'environnement par le biais de ces munitions.


Sources:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Catastrophe_de_Tchernobyl

http://en.wikipedia.org/wiki/Chernobyl_disaster

http://www-pub.iaea.org/MTCD/publications/PDF/Pub1239_web...

http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_r%C3%A9acteurs_nuc...

http://fr.wikipedia.org/wiki/Uranium_appauvri

Japon : Poème d'une élève de Fukushima

Merci de diffuser ce message poignant autour de vous, émanant d'une élève de Fukushima (Japon) qui est âgée seulement de 16 ans et qui est très lucide sur la situation que les Japonais vivent en ce moment, et sûrement pour de longues années encore. Elle dénonce les mensonges des médias, des experts et des politiques japonais.

Nous ne serons pas non plus épargnés par les radiations nucléaires, et nos politiques et nos experts ne valent pas mieux !

Le message sous la vidéo.

Chers amis, je voudrais publier ce poème poignant d'une élève de Fukushima (Japon), parce que c'est la vérité. La catastrophe japonaise dépasse l'imagination mais malheureusement elle est réelle. Elle touche nos familles, nos proches, nos amis mais elle touche aussi le monde entier.

Nous ne supportons plus les mensonges et l'aveuglement des hommes politiques et des pro-nucléaires! Nous voulons un monde viable pour nos enfants et leur descendance, un monde où la nature est respectée et où les valeurs humaines et l'honnêteté jouent le rôle le plus important.

Poème d'une élève de Fukushima
http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&am...


Calendrier Maya et la vague universelle de l'année 2011

 Pour vous aider à suivre les différentes étapes de la vague universelle que nous traverserons au cours de l'année 2011 pour arriver à la date du 28 octobre 2011, vous pourrez télécharger le tableau des dates clés, ci-dessous.

Pour vous remémorer l'article en entier portant sur le Calendrier Maya, le 9 mars 2011, l'aube de l'onde d'unité d'après Carl Johan Calleman, cliquez ICI.

 

Image1.JPG

 


14/04/2011

Un Ovni sur la ville de Kesennuma durant le tsunami qui engloutit la ville ?

Nous revenons sur notre article précédent, ICI, car l'un de nos lecteurs canadiens, nous signale avoir vu sur la vidéo ci-dessous, le passage étrange d'un objet s'agitant dans le ciel, au-dessus de l'immeuble en feu que l'on peut appercevoir à partir de 1 mn 40 de la vidéo.

Vérification faite, effectivement, nous constatons qu'il y a bien un objet qui s'agite dans le ciel au-dessus de l'immeuble en feu !

Regardez la vidéo ci-dessous et soyez attentifs à partir de 1 mn 40 jusqu'à 1 mn 50.

Ensuite vous regarderez l'image qui a été extraite de la vidéo.

Merci à Myck de nous l'avoir signalé pour que tout le monde puisse en profiter.

 

 Vidéo impressionnante du Tsunami au Japon

Une vidéo spectaculaire de la force de la nature : la ville de Kesennuma en train de se faire engloutir par le Tsunami. La rapidité du phénomène est impressionnante.



Voici l'image extraite de la vidéo
Cliquez sur l'image pour zoomer

ovni_japon.JPG


EISCAT SVALBARD RADAR : Un radar pour étudier l'atmosphère et l'ionosphère terrestre en zone polaire

Ben voyons !

Pour revenir sur l'article précédent, pour vous présenter ve copain du réseau Haarp, l'EISCAT qui a été cofinancé par le CNRS. Et où l'ont-ils construit ? Sur l'ile Svalbard, en Norvège !

Et que trouvons-nous déjà à Svalbard ?

Le coffre-fort de l'humanité - Pourquoi Bill Gates, Monsanto et Rockefeller ont-ils peur ?

Intéressant non ?

Il s'en passe des choses en Norvège, surtout lorsque l'on sait qu'un homme politique Norvégien a révélé l'existence de bases sous-terraines en Norvège pour mettre à l'abri les élites en prévision de l'arrivée de Nibiru  !

Planète X : La Norvège craint l'apocalypse

Les révélations d'un homme politique Norvégien
planete X.PDF

 

EISCAT SVALBARD RADAR : Un radar pour étudier l'atmosphère et l'ionosphère terrestre en zone polaire

5/7/96
Pour des informations complémentaires,
contacter les chercheurs, en cliquant ici


Le 22 août 1996, l'un des Très Grands Equipements cofinancé par le CNRS, le radar à diffusion incohérente " Eiscat Svalbard Radar" (ESR), sera inauguré sur l'île Svalbard, à 80¡ de latitude Nord. ESR est consacré à l'étude de la haute atmosphère et de l'ionosphère, et au couplage entre le Soleil et la Terre (interaction vent solaire/ magnétosphère terrestre). Les premiers tests d'observation de l'Eiscat Svalbard Radar ont eu lieu le 16 et le 17 mars 1996 et ont été concluants. Ce radar a été construit grâce à une collaboration entre l'Allemagne, la France, la Grande Bretagne, la Finlande, la Norvège et la Suède dans le cadre de l'association scientifique EISCAT (European Incoherent Scatter Scientific Association). Outre le radar de Svalbard, EISCAT est composé de deux antennes radar réceptrices situées à Kiruna en Suède et à SodankylŠ en Finlande et de deux antennes émettrices, réceptrices situées à Troms¿ en Norvège. En novembre 1995, le Japon avec le National Institute of Polar Research of Japan est devenu le septième membre de la Société EISCAT, ouvrant la perspective d'une seconde antenne sur l'île de Svalbard.

Le Soleil émet de la lumière dans une large gamme spectrale. Dans l'extrême ultraviolet, son rayonnement électromagnétique est assez énergétique pour arracher des électrons à l'oxygène et à l'azote de l'atmosphère, au-dessus de 80 km, créant ainsi l'ionosphère. Celle-ci sert à la fois de bouclier à la planète, et de réflecteur pour les communications radio entre les pays. Dans l'ionosphère naviguent en outre les satellites. Enfin, l'ionosphère constitue un laboratoire naturel de plasma (c'est-à-dire un mélange de gaz neutre et de gaz ionisé) difficile à étudier en laboratoire et qui constitue plus de 99 % de l'Univers.

En outre, le Soleil perd en permanence des électrons et des ions dans un flux appelé le " vent solaire ". En l'absence du vent solaire, le champ magnétique terrestre serait en première approximation celui du dipôle magnétique. L'impact du vent solaire avec le champ magnétique de la Terre produit un phénomène comparable au vent d'une soufflerie sur un obstacle : une onde de choc à l'avant, qui conduit les particules solaires à contourner la Terre à environ quinze rayons terrestres (96 000 km) de son centre. Notre planète se trouve donc confinée dans une cavité : la magnétosphère. Ecrasée sur la Terre par le vent solaire côté jour, cette magnétosphère s'étend en une longue queue magnétique de plusieurs dizaines de rayons terrestres côté nuit, où à environ trente rayons terrestres, les particules d'origine solaire se retrouvent en une zone encore mal connue. Une partie de ces particules est expulsée vers l'espace, le reste retournant vers la Terre. C'est par cette brèche que des électrons et des ions du vent solaire peuvent pénétrer dans la cavité magnétosphérique. Ils se rapprochent de la Terre jusqu'à ce que le champ géomagnétique devienne assez intense pour les piéger. Ils " spiralent " alors autour des lignes de force du champ et vont se précipiter dans l'atmosphère au niveau des pôles, sur un ovale situé typiquement entre 65 et 75 degrés de latitude. Au cours de ce retour vers la Terre, sous l'action conjointe (encore mal comprise) du champ magnétique et du champ électrique présents dans ces régions, ces électrons sont accélérés jusqu'à une dizaine de milliers de km/s. En s'engouffrant dans l'atmosphère, les particules entrent en collision avec celle-ci. Certaines collisions ionisent les atomes et les molécules, d'autres collisions réfléchissent les électrons et les ions vers l'autre hémisphère. Le troisième type de collisions, qui est le plus important quantitativement, concerne celles qui excitent le gaz neutre. Enfin, les électrons précipités et cascadés vont chauffer les électrons ambiants par friction dans des proportions considérables. Les ions, atomes et molécules excités reviennent à leur état d'équilibre en émettant du rayonnement, entre autres dans le visible. C'est le phénomène d'aurore polaire : boréale au nord, australe au sud.

Cependant, entre le côté jour et le côté nuit, les lignes de force du champ magnétique terrestre sont ouvertes sur l'espace interplanétaire. Les particules du vent solaire peuvent s'engouffrer dans ces " cornets polaires " et se précipiter vers l'atmosphère. C'est la seconde brèche dans la carapace magnétique terrestre. En outre, dans ces régions, des ions de la haute atmosphère peuvent s'échapper de la magnétosphère. Cette région reste jusqu'à ce jour relativement mal connue.

Un effort sans précédent a été engagé pour comprendre ces phénomènes physiques et les mécanismes qui en sont à l'origine, EISCAT et l'Eiscat Svalbard Radar (ESR) étant une composante indispensable de cet effort international.

Eiscat Svalbard Radar consiste en une antenne de 32 m de diamètre et en un émetteur/récepteur à environ 500 MHz, qui permettra d'étudier l'ionosphère entre 70 et 2000 km d'altitude sur une bande de dix degrés de latitude. Il délivrera une puissance de 500 kW en des impulsions de quelques dizaines de micro secondes. Cette onde électromagnétique, en traversant le plasma ionosphérique, met en mouvement les électrons, qui réémettent une onde (onde diffusée). La connaissance de la distribution en fréquence de la puissance (le spectre en fréquence) de l'onde diffusée, permet de déduire les paramètres du plasma ionosphérique tels que :

- les températures (énergie) des ions et des électrons ;
- la densité des électrons ;
- la vitesse d'ensemble des ions ;
- la fréquence de collisions entre les ions et les particules neutres et la composition ionique.

Pour obtenir de telles informations il est indispensable d'avoir une très forte puissance d'émission, un bon rapport signal sur bruit nécessitant des récepteurs refroidis et un traitement du signal très sophistiqué. Le radar ESR prend en compte toute ces spécificités.

Les recherches autour de EISCAT et ESR sont essentiellement fondamentales. Le radar a été conçu et construit pour étudier l'atmosphère et l'ionosphère polaires. L'étude du couplage magnétosphère - ionosphère - thermosphère avec son système de courants, son champ de convection et la dynamique des neutres est un des objectifs prioritaires. L'échappement des ions de l'ionosphère vers la magnétosphère, le bilan de l'énergie déposée par le champ électrique, par les précipitations dans l'atmosphère terrestre et l'apport au niveau de la Terre que ceci représente est toujours un sujet ouvert. En outre grâce à ESR, on espère découvrir à quoi ressemble la reconnection transitoire entre le champ magnétique interplanétaire et le champ magnétique terrestre, comment est composée l'ionosphère polaire, aussi bien en terme de composition ionique que de températures, ou encore cartographier la circulation ionosphérique globale au dessus de la calotte polaire

La compréhension de tous ces phénomènes a aussi son importance pratique dans les possi-bilités de prédiction de l'activité aurorale. Celle-ci - aurores discrètes ou diffuses - perturbe la propagation des ondes électromagnétiques. La prédiction de cette activité est très importante pour les transmissions d'images de télévision dans les régions polaires, pour les communications radio utilisant les fréquences HF et enfin pour des raisons purement militaires telles que la surveillance de la zone polaire.

(D'après CNRS-Info numéro 326 (1/07/96)

 

http://www.cnrs.fr/Cnrspresse/n26a2.html

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