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21/04/2011

Ascension : Les enjeux de l'humanité

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Le système solaire est actuellement « bombardé » par des rayonnements, en provenance du centre de la Voie Lactée. Le soleil se comporte comme focalisateur de ces rayonnements sur les planètes de son système, entre autre, la Terre. Ces rayonnements se composent des longueurs d’ondes identifiées par la science, ainsi que d’autres, non vulgarisés. Il y a maintenant une forte augmentation des UV, des rayons gamma, et surtout d’un rayonnement tout particulier, que nous nommerons « rayonnement cyclique ». Ce rayonnement, calé sur la fin de la précession des équinoxes, a une action directe sur la réplication de l’ADN, sur nos centres de perception, en « affinant » nos capacités sensorielles par action sur les glandes pinéale, pituitaire, et sur notre cerveau supérieur.
 
Par exemple, pour ce qui est de la vision, nous discernerons des longueurs d’ondes  beaucoup plus subtiles. Ce processus progressif nous confèrera la possibilité de voir directement des champs d’énergies invisibles jusqu’alors : champ aurique, entités diverses. Les capacités psychiques ne seront pas en reste, avec une augmentation des fonctions télépathiques. Quand à la réplication de l’ADN, cela va entraîner des mutations génétiques sur des nouveaux nés, des capacités de reconstruction organiques, des transformations physiologiques importantes, pour certains humains réceptifs.   Ces phénomènes cycliques sont connus depuis la nuit des temps, mais l’oligarchie dirigeante, qui souhaite garder la mainmise sur l’humain, en a fait disparaître toutes les traces. Les livres anciens, gravures, sculptures, technologies, on été détruits ou dissimulés au regard des profanes : les esclaves humains qui les servent.


Des technologies on été développées pour ralentir, voir stopper les effets de ces radiations cycliques. Des épandages aériens massifs sont planifiés sur toute la planète. Des moyens énormes sont déployés, depuis des dizaines d’années, afin de permettre aux flottes aériennes civiles et militaires de répandre dans l’atmosphère des cocktails chimiques.  Les avions civils, de certaines compagnies, sont équipés de systèmes entièrement automatisés. Certains épandages sont programmés à distance, ils se déclenchent en fonction du parcours, de la hauteur, de la météo et de l’émission des rayonnements. D’autres substances sont maintenant directement mélangées au carburant des réacteurs. L’organisation des épandages est tenue dans le plus grand secret, à travers la complexité de filières, dont les employés, ne savent pas, la plupart du temps, ce qu’ils font réellement. Les curieux sont rapidement mis hors d’état de nuire. La peur restant le meilleur garant du secret.
 
La désinformation massive qui règne sur les épandages, focalise les attentions sur toutes les théories possibles, avec faux-vrais témoignages,  faux-vrais documents, révélations les plus diverses. Le tout étant de distraire le curieux et de saturer les intelligences.

Il n’est pas nécessaire de s’exposer directement au « rayonnement cyclique ». Ses radiations traversent la matière dense et inondent le minéral, le végétal et l’animal, ou qu’il se trouve, même dans les plus grandes profondeurs.
 
Les humains ne sont pas égaux dans la façon de capter ces rayonnements. Certains les  reçoivent naturellement et réagissent positivement, d’autres restent relativement neutres, mais des personnes, heureusement minoritaires pour l’instant, réagissent négativement.  Vous pouvez discerner cette dernière catégorie dans la masse des informations véhiculées par les médias : folie subite, crime gratuit, agressivité, actes barbares. Les humains les moins structurés psychiquement, de force morale réduite, « pètent » littéralement les plombs, et passent en mode « cerveau reptilien ». D’où des actes dignes des plus bas instincts, le sentiment d’une prise de contrôle totale de leur être par des forces qui les dépassent.
 
Globalement, il est préférable d’éviter l’exposition directe au rayons du soleil, les rayonnements UV et gamma sont nocifs pour tous, en particulier au levé et au couché du soleil. Le bronzage, prôné par le culte du corps, annihile en partie les effets des rayonnements cycliques, par déstructuration de l’ADN intervenant dans la réplication des cellules de notre corps.
 
Il y a aussi toute cette chimie répandue dans notre alimentation, elle n’est pas là par hasard. Les raisons officielles ne sont données que pour nous endormir. Beaucoup de gens n’arrivent pas à comprendre ce qui se passe et l’on met cette folie sur le dos des profits financiers, qui certes sont le moteur utilisé, mais la raison cachée est d’empêcher le maximum d’humains de bénéficier des rayonnements cycliques. L’oligarchie serait dévoilée, ainsi que tous ses serviteurs zélés. Les humains réceptifs reprendraient immédiatement leur liberté de choix, d’action, et quitteraient ce système inique, basé sur l’esclavage des masses. Leurs nouvelles facultés leur permettant de créer de nouvelles technologies, organisations sociales, basées sur le respect du vivant (cultures celtes, amérindiennes…). Ils percevraient directement l’imposture des élites. Ce qui commence à se passer sous nos yeux. Mais l’immense majorité de l’humanité est toujours sous l’emprise des manipulations déstructurantes chimiques (alimentation, pollution de l’air, médicaments), électromagnétiques (GSM, WiFi, émetteurs, satellites, processeurs) et de la misère (affaiblissement général chronique).
 
Seuls les plus conscients, les plus « robustes » risquent de passer à travers ce parcours du combattant, dont le but est de nous maintenir en esclavage, en entretenant nos rêves de jours meilleurs. C'est-à-dire en nous poussant à admirer les nantis de la planète, les serviteurs zélés de nos maîtres oligarques.

La pression va augmenter sur la planète, et le risque est que l’humanité se scinde en plusieurs groupes, que les serviteurs de l’oligarchie vont volontairement opposer. Un premier groupe, sensible aux transformations, et qui va en bénéficier, sera empêché d’en faire profiter l’autre partie, moins réceptive aux radiations cycliques. L’oligarchie, comme dans la série X-Men, créera des évènements démontrant la volonté de puissance et la monstruosité des premiers.  Ils seront combattus et opprimés par la majorité des humains, après que l’on ait exacerbé leurs peurs de l’inconnu, de la différence.

C’est une lutte à mort qui s’engage, l’oligarchie psychopathique contre les humains. Les changements planétaires, la redéfinition des zones vitales de la Terre, font qu’il n’y aura pas de place pour tout le monde et que personne ne doit contrecarrer les plans de l’oligarchie régnante (l’Empire). Les populations doivent-être maintenues dans l’ignorance de ce qui se passe et de la manipulation planétaire en cours.

Le groupe mutant doit être réduit au silence, éradiqué. Il est le seul à pouvoir emmener le reste de l’humanité dans sa libération du système carcéral, mis en place depuis des lustres.

A un moment, il y aura un virage délicat à négocier pour l’humanité : ne pas tomber dans les pièges de la manipulation !

Wait and see !

Paul

Japon : le séisme a provoqué une importante liquéfaction des sols

Info rédaction, publiée le 19 avril 2011
 
Alors que les dégâts sont aujourd'hui estimés à plus de 200 milliards d'euros, il semblerait qu'on ne sache pas tout des conséquences du violent séisme et du tsunami qui ont dévasté le Japon le 11 mars dernier. Sur le net, circulent des vidéos révélant un phénomène géologique tout à fait surprenant : une liquéfaction des sols, conséquences directe des longues et violentes secousses du séisme. Ainsi, des scientifiques américains de l'Université de l'Oregon sont partis sur le terrain au Japon observer ces sols devenus mous, boueux et incapables de soutenir efficacement les bâtiments.

12:26 Publié dans Cataclysmes, Catastrophes, Failles, International, Séismes, Tsunami | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

Yellowstone : un "super volcan" endormi

Ce documentaire tente de faire la lumière sur les conséquences que pourrait avoir le réveil des volcans du parc de Yellowstone et nous permet de faire connaissance avec les "super volcans" du parc.

Yellowstone : un "super volcan" endormi (partie 1)



 

Yellowstone : un "super volcan" endormi (partie 2)



 

Yellowstone : un "super volcan" endormi (fin)



 
 

10:42 Publié dans Séismes, Tsunami, Volcans, Volcanisme, Ceinture de feu, Yellowstone | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

Le "supervolcan" de Yellowstone bien plus grand que ce que l'on pensait

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Info rédaction, publiée le 15 avril 2011

Yellowstone : de nouvelles mesures estiment le "supervolcan" encore bien plus grand

La taille du "super volcan" situé sous le parc national de Yellowstone, dans le Wyoming aux États-Unis, serait bien plus importante que celle estimée jusqu'à présent. Des scientifiques doivent publier une étude dans la revue Geophysical Research Letters pour rendre compte de l'immensité du panache sous-terrain de roches chaudes.

Les dernières estimations établies par les scientifiques révèlent que le volcan souterrain du site de Yellowstone s'étendrait sur une distance de près de 643 kilomètres d'est en ouest, selon le National Geographic. Pour en arriver à de tels résultats, les chercheurs ont utilisé la méthode de conductivité électrique, une technique basée sur l'aptitude de chaque matériau à laisser passer le courant électrique.

Ils ont, pour ce faire, utilisé des dizaines de stations de surveillance mesurant l'intensité des ondes électromagnétiques générées dans l'ionosphère, une couche électriquement chargée de la haute atmosphère terrestre. Ces ondes ont la propriété de pénétrer profondément dans la terre en affectant la variation de la conductivité électrique des matériaux qu'ils rencontrent.

Les images magnétotelluriques qui résultent de ce protocole sont très semblables à celles obtenues par des techniques d'échographie ou d'IRM dans le domaine de la santé. Grâce à ces résultats, les chercheurs ont pu constater que l'ensemble de roches chaudes du volcan sous-terrain s'étendait bien au delà des premières estimations établies à partir des mesures sismiques de 2009.

Un très ancien volcan

Après sa dernière grosse activité il y a 640.000 ans, le "supervolcan" de Yellowstone, s'est petit à petit transformé en caldeira, une dépression en forme de cercle qui résulte de l'effondrement de la partie centrale d'un volcan. Une trentaine d'éruptions moins importantes ont depuis rythmé la vie du cratère le remplissant de laves et de cendres jusqu'à le transformer en une vaste plaine.

La découverte du volcan enfoui remonte à 2004 suite à la constatation d'une remontée du terrain d'environ 7 centimètres par an. Les scientifiques avaient alors découvert un réservoir de magma situé à environ 10 kilomètres de la surface. Ce réservoir s'approvisionne d'un panache de roches très chaudes provenant du manteau de la Terre.

Grâce aux images magnétotelluriques récoltées par les nouvelles recherches, les chercheurs ont  réalisé une carte représentant les caractéristiques de la croûte terrestre et du manteau supérieur jusqu'à 320 kilomètres de profondeur. Ces nouvelles représentations devraient leur permettre de construire de meilleurs modèles géologiques de la surface terrestre.

Découvrez en image le site de Yellowstone sur Maxisciences :

http://www.maxisciences.com/yellowstone/yellowstone-un-parc-national-d-039-une-dangereuse-beaute_art13975.html

Découvrez un reportage de 2008 sur le "supervolcan" :

http://www.maxisciences.com/yellowstone/video

http://www.maxisciences.com/yellowstone/le-supervolcan-de-yellowstone-bien-plus-grand-que-ce-que-l-039-on-pensait_art13974.html

D'autres sources :

Yellowstone Supervolcano's Size Exceeds Expectations

http://news.discovery.com/earth/yellowstone-park-supervolcano-plume-110414.html

"Yellowstone Supervolcano's Size Exceeds Expectations," Discovery News, April 14, 2011,

http://news.discovery.com/earth/yellowstone-park-supervolcano-plume-110414.html

"Yellowstone Has Bulged as Magma Pocket Swells," National Geographic Daily News, January 19, 2011, 

http://news.nationalgeographic.com/news/2011/01/110119-yellowstone-park-supervolcano-eruption-magma-science/

Numbers Indicate Yellowstone Supervolcano Eruption Could Cause Devastation
http://www.associatedcontent.com/article/7967181/numbers_indicate_yellowstone_supervolcano_pg2.html?cat=8


Yellowstone "gonflé" par des poches de magma

Info rédaction, publiée le 25 janvier 2011

Sur le site de Yellowstone, parc national situé dans le Wyoming aux Etats-Unis, des experts ont observé des déformations du sol. Après plusieurs mesures, ils ont constaté que celui-ci était plus élevé de 25 centimètres à certains endroits qu'en 2004 !

A Yellowstone, le paysage a connu un changement exceptionnel. C'est ce que rapportent, dans la revue National Geographic, plusieurs scientifiques. Le volcan qui s'y trouve aurait pris une "profonde inspiration" et aurait, par conséquent, poussé le sol vers le haut par endroits.

Ce volcan, qui bouillonne, a connu des éruptions dans le passé qui furent à chaque fois mille fois plus puissantes que celle du Mont St-Helens en 1980.

La caldeira de Yellowstone, qui couvre une surface de 40 x 60 kilomètres dans le Wyoming, est un ancien cratère formé après la dernière grosse activité de ce "supervolcan", il y a 640.000 ans. Depuis, environ 30 "petites" éruptions ont rempli cette caldeira de lave et de cendres, et le paysage était relativement plat.

Mais depuis 2004, les scientifiques ont remarqué que le terrain prenait de la hauteur (environ 7 centimètres par an, pour ralentir à 1 centimètre par an ou moins à partir de 2007). Au total, le sol s'est élevé à plus de 25 centimètres comparé au niveau de 2004. Selon les experts cités par National Geographic, il y aurait un réservoir de magma qui gonflerait dans les profondeurs, à environ 10 kilomètres de la surface. Heureusement, cette brusque montée du terrain ne présage pas de catastrophe imminente. Les experts veulent tout de même se pencher sur ce phénomène, qui leur permettra sans doute de savoir quand aura lieu la prochaine éruption. L'observatoire volcanique de Yellowstone du U.S. Geological Survey (USGS) a d'ailleurs commencé à cartographier la caldeira et ses parties "gonflées" en utilisant des systèmes GPS et un radar synthétique interférométrique d'ouverture, qui permet de mesurer les déformations du sol.

Un phénomène cyclique

La théorie actuelle est la suivante : un réservoir de magma se nourrit d'un panache de roche très chaude en provenance du manteau de la Terre. Lorsque la quantité de magma augmente, le réservoir se gonfle et la surface, qui nous est visible, s'étend. Selon les données géologiques recueillies sur Yellowstone, il y aurait un cycle d'inflation et de déflation depuis les 15.000 dernières années. Le phénomène ne serait donc pas nouveau.


National Geographic donne l'exemple de mesures faites entre 1976 et 1984 : la caldeira a pris 18 centimètres de haut, pour ensuite retomber, une dizaine d'années plus tard à 14 centimètres.

Le système hydrothermal qui se trouve sous la surface de Yellowstone pourrait aussi jouer un rôle dans ces déformations du sol. Tout comme les 3.000 séismes qui secouent le site chaque année.

http://www.maxisciences.com/yellowstone/yellowstone-gonfl...

Le point chaud de Yellowstone (Etats Unis)

Dans un document que vient de publier l'Université de l'Utah, on apprend que des géophysiciens américains ont réalisé la première image à grande échelle de la conductivité électrique du panache gigantesque de roche en fusion (au moins partielle) qui alimente le « super volcan » de Yellowstone. Cette image montre que le panache est encore plus imposant que celui révélé par les images réalisées à partir des ondes sismiques. 

Ces dernières avaient fait l'objet d'une étude en décembre 2009 et avaient permis de délimiter la « tuyauterie » qui alimente le volcan de Yellowstone. En effet, les ondes sismiques se déplacent rapidement à travers les roches froides et plus lentement à travers les roches chaudes. Les mesures de vitesse des ondes sismiques avaient donc permis d'obtenir une image en trois dimensions, tout comme les rayons X sont combinés pour réaliser un scan médical.

Les images obtenues à partir des données sismiques avaient révélé que le panache de roche en fusion à très haute température descendait de la surface en formant un angle de 60° et s'étirait sur une distance de 240 km en direction de l'ouest-nord-ouest pour plonger à une profondeur de 650 km à hauteur de la limite entre les états de Montana et de l'Idaho, limite au-delà de laquelle ne peut aller l'imagerie sismique.

Dans la dernière étude, les images de la conductivité électrique du panache montrent que la partie conductrice plonge de manière moins brutale, avec un angle de seulement 40° (au lieu de 60), en direction de l'ouest et s'étire sur une distance de 640 km d'est en ouest. L'image « géoélectrique », quant à elle, ne peut atteindre une profondeur supérieure à 320 km.

En dépit de ces différences, il s'avère que le corps qui conduit l'électricité se trouve sensiblement au même endroit et présente la même forme avec les deux types de mesures.

La dernière étude ne fait toutefois jamais état du risque d'éruption cataclysmale dans la caldeira de Yellowstone, comme cela s'est produit à trois reprises au cours des deux derniers millions d'années.

Le document de l'Université de l'Utah rappelle qu'il y a 17 millions d'années le panache éruptif qui se situe actuellement sous Yellowstone a entraîné une première éruption dans une zone qui se trouve de nos jours à la croisée des chemins des états d'Oregon, Idaho et Nevada. Tandis que la plaque nord-américaine se déplaçait lentement vers le sud-ouest en passant au-dessus du point chaud, plus de 140 éruptions ont eu lieu le long d'une ligne allant vers le nord-est dans la région actuelle de la Plaine de la Snake River, dans l'Idaho.

Le point chaud s'est finalement trouvé à la verticale de Yellowstone il y a quelque 2 millions d'années, produisant trois énormes éruptions il y a 2 millions, 1,3 millions et 642 000 ans. Deux de ces éruptions ont recouvert de cendre la moitié de l'Amérique du nord, avec des quantités 2500 et 1000 fois supérieures à celles émises par l'éruption du Mont St Helens en 1980. D'autre éruptions de moindre importance ont eu lieu entre ces deux événements et dans les années qui ont suivi, jusqu'à il y a 70 000 ans.  

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Le Norris Geyser Basin, l'un des endroits les plus chauds de la caldeira de Yellowstone
(Photo: C. Grandpey)

 

10:32 Publié dans Séismes, Tsunami, Volcans, Volcanisme, Ceinture de feu, Yellowstone | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

En vidéo : l'étrange vortex de Vénus

Ce vortex tourne depuis des décennies et c'est seulement maintenant que l'on nous en parle ?

Curieux non ?

Avec cela, il ne se passe rien dans notre système solaire qui puisse avoir des incidences sur notre planète depuis des décennies.

Nous rappelons que nous sommes entrés dans l'ère du verseau le 4 février 1962.

Cela fait donc bien quelques décennies que les changements cosmiques ont commencé à s'effectuer ce qui rapporte la preuve que des mécanismes sont bien en route pour favoriser l'ascension de notre système solaire vers le centre de la Galaxie.

 

En vidéo : l'étrange vortex de Vénus

Le 19 avril 2011 à 17h34

Curiosité de l'atmosphère vénusienne, un tourbillon installé au pôle sud de la seconde planète du Système solaire tourne depuis des décennies en changeant de forme.

  • Retrouvez toutes les images de Vénus

On la voit briller soit à l'aube du côté du soleil levant, soit au crépuscule sur l'horizon ouest, ce qui lui a valu l'appellation impropre d'étoile du berger. Vénus, deuxième planète en partant du Soleil après Mercure, pourrait être la soeur jumelle de notre Terre, tant elles sont identiques en taille, masse et densité. Mais Vénus a mal tourné : une atmosphère composée de gaz carbonique et d'acide sulfurique, une surface où la pression atteint 90 atmosphères et la température 460° C, voilà qui fait de la Planète de l'amour un véritable enfer ! Mieux comprendre le passé de cette planète, c'est imaginer ce que pourrait être le destin futur du climat terrestre. Une raison suffisante pour que l'Esa lance en novembre 2005 la sonde Venus Express, onze ans après la fin de la mission américaine Magellan dont le radar avait permis la cartographie de la planète.

L'un des instruments les plus spectaculaires de la sonde européenne est son spectromètreinfrarougeVirtis (pour Visible and Infrared Thermal Imaging Spectrometer) capable d'étudier la composition de la surface comme celle de l'atmosphère. Virtis a par exemple fourni la preuve d'une activité volcanique récente sur Vénus en découvrant au sommet d'un volcan l'existence de roches fraîchement formées et pas encore altérées par le contact avec l'atmosphère vénusienne, comme c'est le cas sur Terre avec les coulées de lave fraîches.

The Southern Polar Vortex on Venus (3.8 microns) [720p]

http://www.youtube.com/watch?v=zsI1z4EMshg&feature=pl...

Animation montrant le vortex polaire sud de Vénus réalisée à partir des images prises en infrarouge par la sonde Venus Express. © Esa/Virtis-VenusX/Inaf-Iasf/Lesia-Obs. de Paris (G. Piccioni, Inaf-Iasf)/djxatlanta, YouTube

Une atmosphère très complexe

Dernièrement, un groupe international de chercheurs dont certains de l'Observatoire de Paris a utilisé Virtis pour étudier en détail les mouvements d'un cyclone au pôle sud de Vénus. Ces formations nuageuses (une à chaque pôle) sont connues depuis le passage de Mariner 10 en 1974 et on en observe d'autres exemples dans le Système solaire, comme l'étrange hexagone nuageux qui tourne autour du pôle nord de Saturne. Sur Vénus les choses sont un peu plus compliquées. Alors que son vortex hexagonal tourne autour du pôle en un peu plus de 10 heures, celui situé dans l'hémisphère sud de Vénus est décalé de 3 degrés par rapport au pôle géographique dont il fait le tour en quelques jours. En observant les modifications du vortex sud vénusien au cours de quatre orbites successives, Venus Express nous montre une structure dont la morphologie évolue très rapidement (moins de 24 heures), passant d'une spirale à un « S » inversé, un « 8 » ou prenant une forme très irrégulière.

Pour Hakan Svedhem, membre de l'équipe scientifique en charge des données de la sonde, de telles observations sont capitales pour comparer Vénus et la Terre, deux planètes dotées d'une atmosphère épaisse. Lui et ses collègues pensent que des modifications de forme aussi rapides sont provoquées par des vents cisaillants dont les vitesses et les directions changent brusquement. L'ensemble ne pourra être interprété que dans le cadre d'une modélisation de la dynamique globale de l'atmosphère vénusienne. L'orbite de la sonde ne lui permet pas d'étudier le vortex nord de la planète et il faudra d'autres missions pour savoir si son comportement est comparable à celui de l'hémisphère sud.

Le tourbillon polaire sud de Vénus observé dans différentes longueurs d'onde par la sonde Venus Express. © Venus Express / Virtis / Observatoire de Paris / Lesia
Le tourbillon polaire sud de Vénus observé dans différentes longueurs d'onde par la sonde Venus Express. © Venus Express / Virtis / Observatoire de Paris / Lesia

http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronomie/d/en-...