Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

12/01/2014

Israël: "Des enfants palestiniens mis en cages !"

Ceci, se passe dans l’Etat sioniste, celui qui a décrété SEUL, être l’unique Pays démocratique du Moyen-Orient !

Qui dit mieux ?

C'est cela que l'on vous nous cacher ? Et on veut aussi venir nous donner des leçons de morale en France ?

Est-ce que l'on doit la fermer aussi ?

Israël: “Des enfants palestiniens mis en cages !”

Internationalnews

Mondialisation 6 janvier 2014

 

boyarrested_

Une organisation israélienne défendant les droits de l’homme a accusé le pays de torturer des mineurs palestiniens et elle a produit un rapport sur des cas de mise en cage publique ainsi que sur des menaces et des passages à l’acte de violences sexuelles.

 « La majorité des enfants palestiniens détenus sont accusés d’avoir lancé des pierres, et 74 % d’entre eux sont soumis à des violences physiques lors de leur arrestation, de leur transfert ou de leur interrogatoire ” (photo ism-france)

Le Comité public contre la torture en Israël (Public Committee Against Torture in Israel, PCATI) a condamné Israël qui ne protège pas les mineurs palestiniens de la torture arbitraire . Le groupe exige des autorités qu’elles introduisent dans le droit national israélien des dispositions spécifiques protégeant tous les enfants de la torture.

Le groupe de défense des droits de l’homme déclare que [les dispositions du] droit international contre la torture, inscrites dans le Protocole d’Istamboul (« Manuel pour enquêter efficacement sur la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants »), n’ont pas été transcrites dans la législation nationale israélienne.

Le PCATI argue que « le terme “torture” désigne tout acte par lequel une douleur ou des souffrances aiguës, physiques ou mentales, sont intentionnellement infligées à une personne », selon les termes mêmes du Protocole d’Istamboul. En outre, « chez les enfants, la torture peut avoir un impact direct ou indirect, selon qu’ils ont eux-mêmes subi la torture ou la détention, que leurs parents ou d’autres proches en ont été les victimes, ou qu’ils ont été les témoins d’actes de torture ou autres formes de violence ».

Le rapport de l’ONG a été publié en préambule à l’audition de mardi dernier par la Commission des Pétitions Publiques de la Knesset sur des sujets connexes. Le PACTI a fondé sa plainte sur les données de rapports enregistrés d’abus sur des enfants, collectés ces dix dernières années.

La pratique consistant à placer les enfant dans des cages à l’extérieur avait été stoppée par la ministre de la Justice Tzipi Livni à la suite de sa découverte, rapporte le Jerusalem Post.

Le PCATI affirme qu’il continue d’enquêter activement sur les cas relatifs à la torture et aux mauvais traitements d’enfants par des soldats et des interrogateurs des Forces de Défense Israéliennes (IDF). Ils enquêtent sur les menaces et actes de violence sexuelle, la mise en cage de prisonniers dans des cages métalliques (y compris des enfants), le comportement militaire au cours de la détention et de l’arrestation de Palestiniens.

Par ailleurs les données collectées par le PACTI sont appuyées par un certain nombres d’ONG également impliquées dans la collecte des preuves d’allégations de tortures. Selon le « Bureau du Défenseur Public » israélien, la découverte de personnes enfermées dans des cages métalliques remonte à l’inspection nocturne d’une prison au plus fort d’une récente tempête hivernale.

Des enfants ont été découverts à l’extérieur, sous des températures glaciales, enfermés pendant des heures pendant la nuit suivant leur arrestation, en attendant d’être inculpés le lendemain matin.

« Pendant notre visite, laquelle se passait au cours d’une violente tempête qui a frappé le pays, les avocats ont rencontré des détenus qui leur ont décrit un tableau choquant : en pleine nuit, des dizaines de détenus sont transférés dans les cages métalliques construites à l’extérieur des installations carcérales de transit de l’IPS [Israël Prison Service] à Ramla », écrit le Défenseur Public dans son site web.

« Il apparaît que cette procédure consistant à faire attendre des prisonniers dans des cages à l’extérieur durait depuis de nombreux mois et elle a été avérée par d’autres responsables officiels ».

Le PCATI souligne que : « ne pas autoriser l’enfant ou le mineur arrêté à jouir pleinement de ses droits, notamment ne pas permettre un avocat ou un adulte accompagnant, au moment de l’arrestation et de l’interrogatoire, met l’enfant dans un état de désarroi, de détresse, et augmente la pression exercée sur l’enfant par les forces de sécurité en vue de parvenir à des aveux ou à des informations au cours de l’interrogatoire ».

Selon le PCATI, le seuil de « l’acte d’abuser » par Israël doit être abaissé quand il s’agit d’enfants. L’ONG croit par ailleurs qu’enfants et adultes ont droit à une réhabilitation. Le Comité estime aussi que les cas d’abus ont droit à bénéficier d’un examen exhaustif de leurs plaintes et d’être « accompagnés d’un représentant de leur choix quand ils témoignent devant un enquêteur israélien ».

Citant le rapport de 2013 par Defense of Children International (DCI-Palestine) et par Lawyers for Palestinian Human Rights (LPHR), le PACTI réaffirme que :


« Israël est la seule nation à poursuivre automatiquement et systématiquement des enfants devant des tribunaux militaires d’où sont absentes les garanties basiques et fondamentales pour un procès équitable ».

L’association de défense des droits humains estime que quelque 700 enfants palestiniens, dont certains n’ont que 12 ans, subissent chaque année le système de détention militaire israélien.

« La majorité des enfants palestiniens détenus sont accusés d’avoir lancé des pierres, et 74 % d’entre eux sont soumis à des violences physiques lors de leur arrestation, de leur transfert ou de leur interrogatoire » selon les preuves collectées par Defence for Children International Palestine.

Il faut ajouter « qu’aucun enfant israélien n’entre en contact avec le système des tribunaux militaires ».

1er janvier 2014 – Russia Today

Article en français : http://french.irib.ir/component/k2/item/308795-«-des-enfa...

Titre original: Israël: “Des enfants dans des cages !”

 

Dossier Gaza

http://mounadil.files.wordpress.com/2012/11/ranan-youssef-arafat.jpg?w=450&h=299

 

http://www.internationalnews.fr/article-israel-des-enfants-dans-des-cages-121944948.html 

 

Interdiction de Dieudonné : La France qui dérape n’est pas celle qu’on nous montre du doigt

Une réaction du Dr Christophe OBERLIN, aux interdictions de spectacles de Dieudonné qui se passe de commentaires.

Un grand remerciement pour avoir le courage de remettre les choses à leur  place !


10 janvier 2014 | Thèmes (S.Cattori) : Etat juif d’Israël Lobbies Liberté d’expression Désinformation

 

Dr Christophe Oberlin

Interdiction de Dieudonné : La France qui dérape n’est pas celle qu’on nous montre du doigt

C’est au nom d’un état juif à majorité juive, censé accueillir les juifs du monde entier, que les autochtones, les Palestiniens sont martyrisés depuis soixante ans. Pourtant certains n’hésitent pas à condamner les Palestiniens, les Arabes en général, et tous ceux qui les soutiennent pour un « antisémitisme » supposé. Les Palestiniens devraient déclarer aimer les juifs et insister à tout moment sur la distinction entre juifs et sionistes. C’est évidemment déloyal. En 1942 les Français n’aimaient pas les « boches » et aucune association anti raciste n’a jamais protesté.

Lorsqu’on dit aujourd’hui en France « qu’on n’aime pas les Américains », tout le monde comprend qu’il ne s’agit évidemment pas de tous les Américains en tant qu’individus, mais qu’on désigne par-là la politique et les guerres américaines qui ont fait un million de morts en quelques décennies. Et « ne pas aimer les Américains », ne tombe pas sous le coup de la loi. Quand on dit qu’on n’aime pas les Corses, ce n’est évidemment pas très intelligent, mais tout le monde comprend qu’on entend par là une certaine ambiance xénophobe qui règne en Corse. Ca ne tombe pas sous le coup de la loi.

Quand on dit qu’on n’aime pas les juifs, il est évident que cela désigne ceux qui soutiennent un état raciste dans ses lois et ses actes. Ce qui veut dire qu’on n’aime pas les juifs racistes, rien d’autre. C’est le message de Dieudonné. Et voilà qu’on voudrait faire tomber cela sous le coup de la loi. C’est déloyal et stupide.

J’ai personnellement des gens de ma famille qui sont morts en déportation. Quand Desproges dit « On se demande pourquoi les juifs se précipitaient à Auschwitz ? D’abord parce que c’était gratuit ! » C’est du deuxième degré, ça me fait rire, et ça ne porte en rien atteinte à la mémoire de ma famille. Quand quelqu’un se fait photographier devant Auschwitz en faisant une quenelle, ça ne porte pas atteinte à ma dignité ni à celle de ceux qui sont morts en déportation. Par contre c’est un geste fort à l’encontre de tous ceux qui tentent de masquer les crimes d’Israël derrière les crimes nazis. C’est à eux que ce discours s’adresse.

Et voilà que nos politiques, les plus tristes que la France ait connus depuis longtemps, voudraient expliquer à un humoriste ce qui est drôle et ce qui ne l’est pas ! Et on voudrait nous faire croire que les millions de personnes qui rient sont des idiots ou des antisémites, y compris ceux qui soutiennent les Palestiniens dans leur lutte contre l’apartheid ! C’est méprisant, et aussi effrayant. Et les commentaires à sens unique de nos radios et télévisions nationales donnent le frisson.

Ceux qui condamnent Dieudonné n’ont pas assisté à ses spectacles, et n’ont pas réalisé qui est son public : un public de jeunes, extraordinairement diversifié, qui représente une France fraternelle, fondamentalement antiraciste, la France de demain.

Alors il y a heureusement quelques poches de résistance dans les tribunaux. Et le jugement prononcé à Nantes, cassant l’interdiction d’un spectacle de Dieudonné, rassure. Toutes les barrières n’ont pas cédé.

Et voilà qu’un juge unique du Conseil d’Etat, sur simple convocation du gouvernement, dans un texte d’une pauvreté affligeante, dépourvu du moindre fondement juridique, impose son opinion à toutes les lois existantes, à tous les arrêts précédents français et européens !

La France qui dérape, elle est là.

Christophe Oberlin
10 Janvier 2014
URL de cet article :
http://www.silviacattori.net/article5272.html


Christophe OBERLIN, né en 1952. est chirurgien des hôpitaux et professeur à la faculté Denis Diderot à Paris ; il enseigne l’anatomie, la chirurgie de la main et la microchirurgie en France et à l’étranger. Parallèlement à son travail hospitalier et universitaire, il participe depuis 30 ans à des activités de chirurgie humanitaire et d’enseignement en Afrique sub-saharienne, notamment dans le domaine de la chirurgie de la lèpre, au Maghreb et en Asie. Depuis 2001, il dirige régulièrement des missions chirurgicales en Palestine, particulièrement dans la bande de Gaza où il a effectué près d’une trentaine de séjours. Il est le coauteur avec Jacques-Marie Bourget de Survivre à Gaza, (éditions Koutoubia, 2009) la biographie de Mohamed al-Rantissi, le chirurgien palestinien frère du dirigeant historique du HAMAS assassiné par l’État d’Israël… Il est également le traducteur du livre Gaza, au carrefour de l’histoire du journaliste anglais Gerald Butt (aux éditions Encre d’Orient).

http://www.silviacattori.net/article5272.html

Voir aussi du même auteur :

Christophe Oberlin : Israël ... est un état mafieux


11/01/2014

Affaire Dieudonné : Analyse juridique du traitement de l'affaire reposant sur la morale !

Quand Valls et Bernard Stirn inventent leur jurisprudence et des lois sur la morale qui n'existent pas, la preuve !

Relation avec Julie Gayet : Hollande "déplore" la une de "Closer"

Dieudonné "abandonne définitivement" son spectacle, "Le MUR" au NOM DE LA MORALE DE VALLS & STIRN et non pas au regard de la LOI !


11/01/2014

Mon ami François a cassé son dignitomètre

Dans les moments difficiles, on va rechercher les vrais amis, et imaginez si j’ai été ému quand j’ai vu s’afficher sur mon galaxy S4 de 5° génération le nom de François. Ça faisait si longtemps… Depuis la campagne du guerrier Delors en 1994, ça ne nous rajeunit pas.21541622_2557822.jpg

- Ben alors, François, comment va ? Tous mes vœux de bonheur, de réussite… et bien sûr beaucoup d’amour.

- Merci, toi aussi. Mais franchement, ça va pas trop.

- Que passa ?

- J’ai cassé mon dignitomètre, et je n’en avais qu’un. Me voici perdu…

- Ton quoi ?

- Mon dignitomètre. Ça m’emmerde, parce que c’était un super dignitomètre de la maison Dignitomachin, de Tulles. Ils fabriquent des dignitomètres depuis le fameux discours de Mac-Mahon le 28 avril 1873 : « Avec l'aide de Dieu, le dévouement de notre armée, qui sera toujours l'esclave de la loi, avec l'appui de tous les honnêtes gens, nous continuerons l'œuvre de la libération de notre territoire, et le rétablissement de l'ordre moral de notre pays».

- Ah bon, mais c’est un peu dépassé tout ça… La République est passée par là…

- Eh mais t’est ouf, t’as pas lu l’arrêt du Conseil d’Etat du 9 janvier 2014 n° 374508 ?

- Oui, je connais l’annonce du Conseil d’Etat, le gardien de nos libertés…

- Mon ami, t’en a trop lu dans l’annonce. Le Conseil d’Etat a jugé hier que la cohésion sociale était liée au respect de la dignité…

- Wahou ! Attends, mais ça c’est un truc de moralistes... ou de théocrates... ou de curés… ou de mollahs… ou d’imams… ou de rabbins… ou de prêtres… ou de pasteurs… ou de griots… Mais quels sont les textes de la Constitution, du Code civil et du Code pénal qui définissent la dignité ?

- C’est vite vu : il n’y en a pas !

- Ah bon ? Mais comment on fait pour défendre la cohésion sociale par la dignité, si on ne sait pas ce qu’est la dignité ?

- Avec un dignitomètre. C’est l’appareil magique qui mesure la dignité, et c’est imparable. Les nouveaux sont à lecture instantanée, et il y a même une application android, alors tu peux enregistrer des tracés. Comme çà, a tout moment, tu sais si tu es digne et si tu sauvegardes la cohésion nationale. On peut placer le dignitomètre sur le front ou sous l’aisselle, et même se le caler dans le train. (La Quenelle !) C’est là que c’est le plus précis, mais en cas d’urgence, il faut passer dans une pièce isolée, et c’est pas toujours pratique.9782849901892.jpg

- Et alors…

- J’ai cassé mon dignitomètre. Je l’ai fait tomber, et bing…

- Oulala, tu es sûr que ce n’est pas un acte manqué freudien ? 

- De toi à moi, je le crois.

- Et t’en as pas un autre ? Tu peux pas demander celui de Valls ?

- Jamais de la vie : son dignitomètre est complètement déréglé… On dirait une boussole sur le pôle.

- Oui, en effet, ça s’est vu… Comment on va faire ?

- Ecoute, voilà le cas qui me turlupine. Si je demande à un officier de sécurité d’apporter au petit matin des croissants dans ma garçonnière, pour ma petite chérie et moi, tu crois que c’est digne pour la cohésion nationale ?

- C’est pas légal, car ça n’entre pas dans la mission de l’officier de sécurité, et c’est un détournement de fonds publics. Donc, t’es cuit…

- Non, mais ça c’est la loi, on s’en fiche. Ce qui compte c’est la morale obligatoire, la dignité d’ordre public !

- Acheter des croissants et les apporter à des amoureux pour égayer leur petit matin, c’est pas indigne… Et puis, les roudoudous d’amour ne menacent pas la cohésion nationale.

- Ouf, tu me sauves la vie ! Alors on peut s’assoir sur la loi, et respecter la dignité… C’est cool la jurisprudence du Conseil d’Etat.

- Attention, laisse-moi finir. Les roudoudous d’amour étaient-ils destinés à la légitime ?

- Légitime de quoi ?

- Ben, légitime du mariage pour tous !

- Ah, je ne sais pas, je ne suis pas marié. Parce que, tu comprends, si je suis marié et que j’ai plusieurs femmes, c’est illégal et je risque la taule. Là, non marié, je peux avoir plusieurs femmes, c’est légal.

- C’est légal mais ce n’est pas moral…marie-paule-zierski-carnet-de-morale-o-2844944612-0.jpg

- T’es sûr ? Pourtant si je respecte la loi, je ne menace pas la cohésion sociale, et que je suis le chéri de ma chérie, et inversement, je fais ce que je veux. Ça ne regarde que nous.

- Oui, si c’est la loi qui commande, mais maintenant, c’est la morale. T’es cuit mon pauvre ami.  Laisser les gens libres de faire ce qu’ils veulent dans le respect de la loi, c’est un truc à te fiche la société en l’air. Il faut vite que j’agisse…

- Mais que fais-tu ?

- Je téléphone à mon ami Stirn pour avoir une audience dans deux heures, et un arrêt du Conseil d’Etat dans trois heures.  

- Non, non, s’il te plait… Je t’assure que je ne recommencerais plus !

- Oui,…mais non ! Le risque est trop grand. Le plus sage pour sauver la cohésion sociale est que Stirn t’empêche de faire une chose que tu t’es engagé à ne plus faire. Allô ? Dans une heure ? Allez hop, on file au Conseil d’Etat !

- Mais je n’ai pas le temps d’appeler mon avocat !

- Ton avocat ? Mais le Conseil d’Etat de l’Etat moral va te condamner pour ton bien, alors tu n’as pas besoin d’avocat ! Les avocats ne connaissent que le droit, et le respect du droit sans la morale obligatoire, ça peut tuer la cohésion sociale.

- Oui, tu as raison… On fonce !

- Et cette fois-ci, attache ton casque. C’est pas moral, mais légal

- Mais si c’est pas moral, ça sert à quoi ?

http://lesactualitesdudroit.20minutes-blogs.fr/archive/20...


14:13 | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

Relation avec Julie Gayet : Hollande "déplore" la une de "Closer"

Et voilà à quoi pense Hollande au lieu d'oeuvrer aux intérêts du Peuple Français qui croule sous les dettes, le chômage et les taxes !

La crise et les manifestations ne sont que pour le Peuple comme vous l'aurez compris !


Où est la morale qu'il entend imposer aux autres par la voie du Conseil d'Etat à Dieudonné ?

Relation avec Julie Gayet : Hollande "déplore" la une de "Closer"

La Une de "Closer" (

Relation avec Julie Gayet : Hollande "déplore" la une de "Closer"

Le magazine people consacre un dossier à "l'amour secret du président" avec l'actrice Julie Gayet. Le chef de l'Etat va "examiner les suites judiciaires".

François Hollande a "déploré profondément", vendredi 10 janvier auprès de l'AFP, "les atteintes au respect de la vie privée", et annoncé "examiner les suites, y compris judiciaires" à apporter à la parution du magazine "Closer".

Le magazine people fait état vendredi d'une relation entre le président François Hollande et l'actrice Julie Gayet dans un dossier de 7 pages accompagné de photos. "Closer" affiche ainsi en Une le titre évocateur "L'amour secret du président".

Hollande "examine les suites, y compris judiciaires"

S'exprimant en son nom propre et non pas en tant que président de la République, François Hollande "déplore profondément les atteintes au respect de la vie privée auquel il a droit comme tout citoyen" en ajoutant qu'il "examine les suites, y compris judiciaires, à apporter à cette parution" de "Closer".

"Closer" se base sur plusieurs photos où l'on voit un homme casqué entrer dans un immeuble parisien. "Autour du jour de l'an, le chef de l'Etat, casque sur la tête, rejoint à scooter la comédienne dans son pied-à-terre où le président a pris l'habitude de passer la nuit", écrit le magazine. "Des photos étonnantes", poursuit l'hebdomadaire, "qui posent la question aussi de la sécurité du président. Le chef de l'Etat est accompagné d'un seul garde du corps qui protège le secret de ces rencontres avec la comédienne et apporte même les croissants !" ----------Qui c'est qui paie ce garde du corps et les croissants ?

"C'est un président qui a un coup de coeur"

Pour Laurence Piau, directrice de la rédaction du magazine "Closer", François Hollande "est un président normal, une personne normale. C'est un président qui a un coup de coeur et une histoire. Il faut vraiment dédramatiser autour de ces images", a-t-elle déclaré sur Europe 1.

Décrivant les photos publiées dans un dossier de 7 pages, Laurence Piau a expliqué : "On voit le président qui rentre dans un immeuble, accompagné par son garde du corps. Et Julie Gayet qui rentre, quelques temps après, dans le même immeuble. Et puis, l'un et l'autre qui sortent le lendemain". "Le lendemain, le même motard qui a déposé le président la veille revient le chercher en scooter", a-t-elle ajouté.

A la question de savoir si le magazine avait contacté l'Elysée, Laurence Piau a répondu "absolument pas, non, non. On n'a pas l'habitude de contacter qui que ce soit avant de publier des images".

Plainte de Julie Gayet

Officiellement, le chef de l'Etat a pour compagne la journaliste Valérie Trierweiler, après avoir longtemps vécu avec l'ancienne candidate à la présidentielle Ségolène Royal, avec qui il a quatre enfants.

Julie Gayet, âgée de 41 ans, actuellement à l'affiche du film "Ames de papiers", avait porté plainte fin mars 2013 auprès du parquet de Paris pour identifier les auteurs d'une rumeur diffusée sur internet qui lui prêtait une liaison avec François Hollande. 

Actrice inclassable, elle alterne entre les films d'auteur et à gros budget (elle était à l'affiche de "Quai d'Orsay" de Bertrand Tavernier, mais aussi de "Delphine 1, Yvan 0" de Dominique Farrugia). En 2012, l'actrice avait participé à un clip de campagne de François Hollande où elle qualifiait le candidat à la présidentielle d'homme "humble", "formidable" et "vraiment à l'écoute". (Ah bon ? Et à l'écoute de qui ?).

http://obsession.nouvelobs.com/people/20140110.OBS1919/re...

France : Le niveau de la dette jugé dangereux par la Cour des comptes

Et pendant que Valls et ses sbires du Conseil d'Etat notamment, nous inventent une nouvelle jurisprudence sur le dossier de Dieudonné ainsi que des lois sur la morale qui n'existent pas en Droit et nous imposent leur dictature en France et que Hollande, se roule les pouces, ne pense qu’à taxer le Peuple et qu'à s'occuper de sa Maîtresse Julie Gayet, ce qu'il juge moral sans doute, voilà où nous en sommes de la dette de la France :

50 millions d’euros par an !

Où passe l’argent des Français ?

Dans le financement des guerres de l’état le plus démocratique du Moyen-Orient ?

Comme vous l'aurez compris, l'urgence c'était de s'occuper de mettre à mort  Dieudonné !1503328_1427419834161199_1042108885_n.jpg

Les dangers ne viennent pas des Peuples qui se révoltent mais de ceux qui les dirigent et qui prennent leurs ordres auprès d'officines sionistes de France, d'Europe et d'ailleurs !

Et surtout, ils ne prendront pas la décision de nous faire sortir de l'Europe criminelle car le marché est trop juteux pour les Banksters  !

 

 


Le niveau de la dette jugé dangereux par la Cour des comptes

·         

    • Par Lefigaro.fr avec Reuters

    • Mis à jour le 09/01/2014 à 15:32

    • Publié le 09/01/2014 à 15:29

La France est dans une zone dangereuse en raison de la taille de sa dette publique et les efforts entrepris ces dernières années ne lui ont pas permis d'en sortir, a déclaré jeudi le premier président de la Cour des comptes, Didier Migaud.

Lors de l'audience solennelle de rentrée de la Cour, il a mis en garde les autorités françaises contre l'impact sur les comptes publics de "la remontée prévisible des taux d'intérêt qui accompagnera tôt ou tard le retour de la croissance". Une hausse d'un point de pourcentage des taux entraînerait un surcoût pour l'Etat de 2 milliards d'euros la première année et 15 milliards d'euros au bout de dix ans, a-t-il souligné. "Le niveau atteint par la dette place notre pays dans une zone dangereuse. Les efforts jusqu'ici engagés ne suffisent pas à nous en dégager", a déclaré Didier Migaud, rappelant que les documents budgétaires prévoient une dette publique équivalente à 93,4% du PIB fin 2013, soit 1.931 milliards d'euros.

Il a qualifié ce constat de "décevant et préoccupant". "Ce qui n'a pas été fait en 2011, 2012 et 2013, c'est autant de chemin supplémentaire à parcourir pour les années à venir. Et cette partie du chemin à parcourir ne sera pas la moins exigeante, tout au contraire", a-t-il poursuivi. Le déficit public de la France devrait être légèrement supérieur à 4% du PIB fin 2013, un niveau que les autorités se sont engagées à réduire sous 3% fin 2015. La dette exprimée en proportion du PIB devrait baisser à partir de 2015, après avoir culminé à 95,1% fin 2014.

La France prévoit cette année un effort de 18 milliards d'euros pour réduire le déficit, concentré sur la maîtrise des dépenses plutôt que sur la hausse des prélèvements. Quinze milliards d'économies sont ainsi prévus par rapport à la croissance tendancielle des dépenses, dont 9 milliards d'euros pour l'Etat et 6 milliards sur la sécurité sociale. "La Cour estime que l'effort doit porter en absolue priorité sur les régimes de sécurité sociale, car la persistance anormale de déficits structurels depuis plus de vingt ans singularise notre pays par rapport à tous ses voisins", a poursuivi Didier Migaud. "La dette sociale qui s'est accumulée est une profonde anomalie" et "les perspectives financières des régimes sociaux sont insoutenables et injustes pour les générations futures", a-t-il ajouté.

Quelques semaines après l'annonce par le Premier ministre d'une "remise à plat" de la fiscalité française, il a estimé que "la réduction de la dépense publique apparaît comme un préalable à une mise à plat réussie de la fiscalité". Malgré des taux d'intérêt historiquement bas ces dernières années, la charge de la dette publique représente quelque 50 milliards d'euros par an.

 

http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2014/01/09/97002-2014010...