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24/10/2014

L’éclatement du bloc de l’URSS : le traité de Minsk du 8 décembre 1991

Pour savoir qui a des intentions d'expansionnisme en Europe, entre Poutine qui souhaite sécuriser les frontières de la Fédération de Russie et les criminels Nazis des US/UE sionistes qui n'ont de cesse que  de vouloir remodeler les cartes du monde à leurs profits exclusifs.

Petit retour historique en 1991 sur les conditions de l'éclatement du bloc de l'URSS.

Si nous avions encore un doute sur le fait que les US/UE/Nazis, avaient comploté pour provoquer l'éclatement du bloc de l'URSS, en 15 pays indépendants, en 1991, pour pouvoir ensuite venir se les accaparer, un à un, en les forçant à entrer dans l'UE et à adhérer à l'OTAN, quitte à dépenser quelques milliards de dollars, voici de quoi éclairer notre lanterne.

Comme nous l'indiquions dans notre précédent article : (
Vidéo : L’Union européenne et l’OTAN, les deux cancers qui rongent les pays Européens au profit des intérêts des US/Nazis !) et comme nous savons que les Banksters/Illuminati préparent leurs plans très longtemps à l'avance. Nous pouvons constater qu'en 1991, en même temps que l'éclatement du bloc de l'URSS donnait naissance à "15 états indépendants" au lieu de "15 républiques soviétiques", la même année, soit en 1991, les USA Nazis, finançaient déjà des groupes politiques pro-européens en Ukraine par l'intermédiaire d'ONG comme la Fondation Carnegie. La diplomate américaine Victoria Nuland, représentante du Bureau des affaires européennes et eurasiennes à Washington, a indiqué que ce financement a dépassé 5 milliards de dollars entre 1991 (date de l'indépendance de l'Ukraine) et 20134,5.

Rappelons pour mémoire que Victoria Nuland est celle qui a insulté l'europe dès le mois de février 2014, dès le début de la soi-disant révolte en Ukraine, lors d'une conversation téléphonique avec l'un de ses collaborateurs aux USA. "Que l'Union Européenne aille se faire foutre !" La phrase est de la secrétaire d'Etat adjointe américaine pour l'Europe, Victoria Nuland, lors d'une conversation téléphonique enregistrée semble-t-il à l'insu des protagonistes. Sous entendu, l'Europe et les peuples européens n'avaient rien à dire pour s'opposer à un coup d'état fomenté en Ukraine parce que les USA n'allait pas perdre les quelques milliards dépensés par les US/UE pour s'accaparer l'Ukraine, et financer le gouvernement Nazi de KIEV bien avant 1991.   En revanche, il va falloir nous faire payer pour permettre aux US/UE Nazies, de financer et d'entretenir un état nazi en Ukraine aux portes de la Russie !

Crise ukrainienne de 2013-2014

Extrait : Depuis 1991 les États-Unis financent des groupes politiques pro-européens en Ukraine par l'intermédiaire d'ONG comme la Fondation Carnegie3. La diplomate américaine Victoria Nuland, représentante du Bureau des affaires européennes et eurasiennes à Washington, indique que ce financement a dépassé 5 milliards de dollars entre 1991 (date de l'indépendance de l'Ukraine) et 20134,5.

Extrait : La crise ukrainienne de 2013-2014 a débuté le 21 novembre 2013 à la suite de la décision du gouvernement ukrainien de ne pas signer l'accord d'association avec l'Union européenne2. Des manifestations de grande ampleur se déclenchent alors et aboutissent le 22 février 2014 à la fuite puis à la destitution du président Viktor Ianoukovytch, remplacé par Oleksandr Tourtchynov. Un nouveau gouvernement, dirigé par Arseni Iatseniouk, est mis en place. En réaction, la Crimée proclame son indépendance et vote pour son rattachement à la Russie, rattachement reconnu par la Russie, provoquant une crise diplomatique internationale.

Source et suite : ICI

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L’éclatement du bloc de l’URSS : le traité de Minsk

Le 8 décembre 1991 - 2007

En décembre 1991, de l’U.R.S.S. sont nés 15 Etats indépendants (à la place des 15 républiques soviétiques). Le 8 décembre 1991 Boris Eltsine, Stanislas Choukevitch ainsi que Leonid Kravtchouk signent le traité de Minsk qui donne naissance à la CEI (Communauté des États indépendants).

Le 21 juin 1991, Boris Eltsine, président de la fédération de Russie, est élu au suffrage universel. Peu de temps après, le 1er juillet, le pacte de Varsovie est dissous.

Plusieurs mouvements indépendantistes se manifestent dans plusieurs républiques, notamment en Lituanie, qui proclame son indépendance, et en Estonie. Après la Lettonie, l’Ukraine et la Moldavie proclament leur indépendance et sont suivies plus tard par l’Azerbaïdjan, le Kirghizistan et l’Ouzbékistan. L’URSS se démantèle et le mouvement d’indépendance amorcé par les autres républiques sera également suivi par le Tadjikistan et l’Arménie.

Le 8 décembre 1991, Boris Eltsine, Stanislas Choukevitch ainsi que Leonid Kravtchouk, présidents des républiques de Russie, de Biélorussie et d’Ukraine, se regroupent près de Minsk, en Biélorussie, et constatent que le temps de l’URSS est désormais terminé.

C’est ainsi qu’ils signent le traité de Minsk qui donne naissance à la CEI (Communauté des États indépendants). Le 21 décembre 1991, huit autres anciennes républiques soviétiques, l’Arménie, l’Azerbaïdjan, le Turkménistan et l’Ouzbékistan s’ajoutent à la Russie, à la Biélorussie et à l’Ukraine comme membres fondateurs de la CEI par le traité d’Alma-Alta (Kazakhstan).

La signature de cet accord établit officiellement la disparition de l’URSS. Seuls les trois États baltes ainsi que la Géorgie, désirant s’intégrer rapidement à l’Union européenne, refusent d’adhérer à la CEI.

 

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France : Tous pourris : Qui sont les 60 députés et sénateurs fraudeurs ?

Ensuite, ils auront le culot de demander aux Français de respecter la Loi !

Est-ce que vous allez encore continuer à voter pour eux ?

Le 22/10/2014

Qui sont les 60 députés et sénateurs fraudeurs ?

Le canard enchainé révèle aujourd'hui que 60 députés et sénateurs seraient dans le viseur du fisc.

Le canard enchainé révèle aujourd’hui que 60 députés et sénateurs seraient dans le viseur du . Qui sont les 60 fraudeurs ?

Qui sont les 60 députés et sénateurs fraudeurs ?

D’après le canard enchainé, la Direction générale des finances publiques procède actuellement à plusieurs recoupements en s’appuyant sur les déclarations de patrimoine des 925 députés et sénateurs. Au total, plus de 60 parlementaires seraient dans le viseur du fisc, pour des différends allant du contentieux classique à la fraude massive. La liste des 60 députés et sénateurs fraudeurs devrait être connue d’ici à la fin de l’année.

La nouvelle législation sur la transparence de la vie publique a conduit à l’établissement de listes de sénateurs et députés fraudeurs grâce aux déclarations de patrimoine des élus transmises à l’administration fiscale. Le fisc a ainsi pu constater certaines différences évidentes entre ce que les élus déclaraient et ce qu’il possédaient réellement ( voir aussi Le patrimoine caché de Manuel Valls).

« Les députés et les sénateurs sont des Français comme les autres. Nombre d’entre eux minimisent leur patrimoine, par négligence ou par calcul, mais sans dépasser les 5 ou 10% de la valeur réelle. En revanche, ils sont quelques-uns à tenter sciemment de tromper l’administration. Et pas qu’un peu », explique un haut fonctionnaire de Bercy au canard enchainé ( voir Mise en examen de Patrick Balkany pour corruption et fraude fiscale).

PÉTITION : Exigeons l’inéligibilité à vie pour les élus condamnés !

 Les 60 députés et sénateurs fraudeurs


 

 

23/10/2014

Vidéo. RSI. Régime social des indépendants : bienvenue en enfer ! A qui profite le RSI ?

A des entreprises privées, soi-disant missionnées par l'Etat, y compris en ce qui concerne l'URSSAF  !

Sauf que comme ce sont des entreprises privées, il faut qu'elles rapportent la preuve de la signature d'un contrat entre les deux parties et non pas qu'elles procèdent par la voie du régime obligatoire imposé aux indépendants !

Conclusions : si vous êtes dans ce cas, demandez leur la copie des contrats que vous auriez signés avec eux.

Matraqués par les taxes et les cotisations, ils sont artisans, commerçants, professions libérales. Ils représentent « la première entreprise de France ».

Les TPE, les Très Petites Entreprises comme on les appelle également (de 1 et 20 salariés), se disent matraquées par les cotisations sociales qu’un système qui semble « obligatoire » leur impose. Chaque jour, des centaines de milliers de travailleurs non-salariés subissent les agissements et dysfonctionnements du RSI.

Un régime « inventé » en 2005 pour disait-on, simplifier la vie des professions libérales. La plupart de ceux que nous avons rencontrés « survivent » en raison des charges qu’ils doivent payer. Régulièrement, ils manifestent leur mécontentement dans les rues, autour des ronds-points, devant les caisses régionales du RSI et devant les bâtiments de l’URSSAF… dans l’indifférence générale. À qui profite réellement le RSI ?

Régime social des indépendants bienvenue en enfer !

 

http://www.egaliteetreconciliation.fr/Regime-social-des-i...

 

 

Canada : Fusillade à Ottawa: trois morts dont deux tireurs (médias)

 

Il y en a qui commencent à disjoncter contre les pouvoirs en place apparemment ! Ou on alimente la peur des citoyens pour les paralyser !

 
20:39 22/10/2014
WASHINGTON, 22 octobre - RIA Novosti

Plusieurs dizaines de coups de feu ont été tirés mercredi au centre de la ville canadienne d'Ottawa, faisant trois morts dont deux tireurs, rapportent les médias internationaux.

Fusillade d'Ottawa: le parlement encerclé par la police

Selon la police locale, trois fusillades différentes ont eu lieu: au Monument aux morts (cénotaphe), à l'hôtel du parlement et près du Centre d'achat Rideau. 

Selon le New York Times, un homme armé a tué un soldat qui montait la garde au cénotaphe, avant de pénétrer dans l'enceinte du parlement. Le premier ministre canadien Stephen Harper a été évacué.

Un parlementaire canadien, Bernard Trottier, a plus tard annoncé sur Twitter qu'un tireur a été tué par la police à l'intérieur du parlement.
Selon le Globe&Mail, un second homme armé aurait été tué peu de temps après.

La police parle de plusieurs attaquants. Les habitants du centre d'Ottawa ont reçu l'ordre de se confiner dans les bâtiments.

 

02:30 Publié dans Actualité, politique ou géopolitique, Economie, International | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

France : Comment destituer le président de la République (en trois étapes)

Une occasion en or pour demander la destitution de Hollande ?

Comment destituer le président de la République (en trois étapes)

Le Sénat a adopté, le 21 octobre 2014, les nouvelles modalités de destitution du président de la République.

Par Francetv info avec AFP

Mis à jour le 22/10/2014 | 08:56 , publié le 22/10/2014 | 08:56

Sept ans après la réforme constitutionnelle de 2007, le Parlement a finalement adopté, mardi 21 octobre, un texte encadrant le processus de destitution du président de la République.

Voté au Sénat par 324 voix pour et 18 contre, le texte doit désormais être soumis au Conseil constitutionnel avant d'être promulgué. Que prévoit-il ? Comment le président peut-il être destitué ? Francetv info résume la procédure.

1 Le président de la République manque à ses devoirs

Le chef de l'Etat bénéficie toujours d'une forme d'immunité : il n'est pas responsable des actes accomplis en sa qualité de président de la République, explique l'article 67 de la Constitution. Il ne peut pas non plus être forcé à témoigner ou faire l'objet d'une action judiciaire durant son mandat.

Mais la réforme constitutionnelle prévoit désormais la destitution du chef de l'Etat, "en cas de manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l'exercice de son mandat".

2 Députés et sénateurs se réunissent en Haute Cour

Ce sont les parlementaires, députés et sénateurs, réunis en Haute Cour, qui peuvent destituer le président de la République. Cette instance est présidée par le président de l'Assemblée nationale.

Pour lancer une procédure de destitution, un dixième des députés ou des sénateurs doivent d'abord signer une proposition de réunion de la Haute Cour, en expliquant en quoi le président a manqué à ses devoirs. Un parlementaire ne peut signer qu'une seule proposition de ce type au cours d'un même mandat présidentiel.

Puis l'Assemblée nationale ou le Sénat doit ensuite approuver à la majorité des deux tiers cette réunion de la Haute Cour. La proposition est ensuite immédiatement transmise à l'autre chambre du Parlement. Elle doit se prononcer dans les quinze jours : si elle rejette la proposition, la procédure s'arrête.

3 Les parlementaires débattent puis votent

Une fois la Haute Cour réunie, une commission est mise en place, composée de six vice-présidents de l'Assemblée et de six vice-présidents du Sénat, chargée d'élaborer un rapport sur la possible destitution du chef de l'Etat. A sa demande, l'intéressé peut être entendu et se faire assister par toute personne de son choix, ou se faire représenter.

Après 48 heures maximum de débats, auxquels seuls le président et le Premier ministre peuvent participer, les membres de la Haute Cour doivent statuer sur la destitution, à la majorité des deux tiers. Leur décision prend effet immédiatement.