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30/10/2015

La véritable raison pour laquelle l'Etat Islamique détruit des temples en Syrie risque de vous surprendre

Voilà comme cela nous serons tous fixés : le pillage et le saccage à tous les niveaux !

 

La véritable raison pour laquelle l'Etat Islamique détruit des temples en Syrie risque de vous surprendre


 
 

L'Etat Islamique détruit des temples antiques de Syrie pour cacher que tout y a été pillé, écrit Mick Van loon sur Newsmonkey . L'EI vend en effet, les statues, les frontons en pierre et les fresques à des commerçants internationaux, avance L'archéologue franco-libanaise Joanna Farchakh, une sommité en matière d'antiquités du Moyen-Orient. « Des antiquités de Palmyre sont déjà en vente à Londres », déclare l’experte. Mais ce n’est pas tout, des objets syriens et irakiens volés par l’EI se trouvent déjà en Europe. Ils ne se sont plus en Turquie où ils étaient arrivés en premier.

La destruction de temples n'a en soi rien à voir avec l'idéologie du groupe, bien qu'il utilise ces saccages à des fins idéologiques. L’EI dissimule en fait ses gains et efface les preuves de ses pillages. « Ils détruisent les preuves. Personnes ne sait donc ce qui a été dérobé précédemment », affirme l’archéologue.

L'EI collabore notamment avec des organisations de malfaiteurs turcs pour faire passer en fraude les inestimables trésors de l’Antiquité en Europe et trouver des acheteurs. Des preuves existent démontrant que des collectionneurs et des marchands d'art passent des commandes auprès de l'EI qui pille d'abord l'endroit où se trouvent ces trésors et le fait ensuite exploser.

L'EI emploie toute une équipe de spécialistes qui utilisent des pelleteuses et d'autres outils pour prendre les objets d'art. Selon des sources syriennes, ces voleurs professionnels d'œuvres d'art percevraient même un salaire fixe.

Que ces objets ne puissent pas être montrés tout de suite une fois achetés n'est visiblement pas un problème. Il existe deux sortes de clients et dans les deux cas, ils ont beaucoup d'argent. La première catégorie se compose de collectionneurs qui aiment les antiquités. L'autre catégorie est composée d'investisseurs qui envisagent la chose à long terme. Ils comptent sur le fait que dans 15 ans ou plus, ces objets auront perdu de leur intérêt et que plus personne ne les réclamera. Contrairement aux œuvres d'art que les nazis ont volées aux Juifs, il n'y a dans ce cas aucun descendant qui pourrait exiger de les récupérer, explique le journaliste.

D’un côté, ces deux dernières années, l'EI a appris comment faire grimper  les prix et, de l'autre, comment obtenir un rendement maximal du vol d'antiquités. Palmyre en est l'exemple parfait. C'est une raison pour laquelle l'EI ne détruit pas tout immédiatement à cet endroit.

« Plus la destruction dure longtemps, plus les prix montent sur le marché international de l'antiquité », affirme Joanna Farchakh dans The Independent. En outre, chaque destruction partielle est un spot publicitaire gratuit de l’EI à l'intention d'acheteurs potentiels. C'est pourquoi il s'est passé un certain temps avant que l'EI ne fasse exploser le premier temple à Palmyre : pour donner du temps aux clients. Selon l’archéologue, ces derniers savent déjà que le temple romain sera le prochain à être détruit, après les temples de Baal Shamin et celui de Bel. Suivront ensuite l'agora et les souks de Palmyre.

 

29/10/2015

En images : à Moscou, les stations de métro ont des airs de palais

Magnifique! Nous avons beaucoup à apprendre de la Russie !

Finalement, ils ont bien fait de s'attaquer à ce pays, car nous découvrons la Russie, sa culture, sa générosité, sa force et son efficacité dans ses décisions, grâce à Poutine !

En images : à Moscou, les stations de métro ont des airs de palais

par Naomi Clément |

Dans sa nouvelle série, le photographe canadien David Burdeny expose toute la grandeur de la Russie. À travers ses stations de métro.

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Station de métro Arbatskaya, Moscou © David Burdeny

Qu’il s’agisse de New York, de Londres ou encore de Paris, les stations de métro ne se résument en général qu’à de lugubres plateformes de béton noir, au sujet desquelles nous n’avons qu’une hâte : en sortir. Comment alors imaginer qu’à Moscou, ces tunnels sombres et souterrains aient des allures de véritables palais tsariens ?

La série du photographe israélien Tomer Ifrah, que nous avions interviewé en février dernier, nous avait certes mis la puce à l’oreille. Ce dernier, qui s’était pris d’amour pour les sous-sols flamboyants de Moscou, nous expliquait que les stations de métro de la ville étaient tout simplement le reflet de l’histoire russe :

Les premières stations ont ouvert en 1935 mais se sont répandues graduellement au fur et à mesure des années, quand de plus en plus de stations ont été construites, dans les 50s, les 60s et jusqu’à aujourd’hui. En fait, elles sont toutes connotées par l’époque dans laquelle elles ont été bâties, donc en voyageant de station en station, on voyage aussi à travers le temps.

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Station de métro Sokol, Moscou © David Burdeny

L’architecture souterraine au pays de Poutine

Mais un autre photographe révèle aujourd’hui toute la splendeur de ce métro russe, de façon plus frappante encore. À travers sa série A Bright Future : New Works from Russia, relayée par le site Factodesign, le Canadien David Burdeny souligne l’incroyable richesse architecturale des rames moscovites.

Ses photographies n’ont pas été simples à réaliser : au pays de Poutine, les stations de métro appartiennent à l’armée civile (et font également office de bunker). Ce n’est qu’avec l’aide des producteurs de l’émission de télévision anglaise Top Gear, qui se focalise justement sur le métro russe, qu’il a réussi à décrocher une autorisation.

Sur le site Factodesign, David Burdeny expliquait : “Les premières stations à avoir été construites ne sont pas forcément inspirées du constructivisme ; elles sont presque religieuses. Les suivantes s’inspirent ensuite de l’art deco“. Couloirs de colonnes infinis, lustres majestueux, moulures royales ou larges parterres de béton… ces lieux souterrains sont de véritables œuvres architecturales, entre Art Deco donc, Rococo et constructivisme.

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Station de métro de l’Aéroport, Moscou © David Burdeny

 

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Station de métro Elektrozavodskaya, Moscou © David Burdeny

 

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Station de métro Kiyevsskaya, Moscou © David Burdeny

 

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Station de métro Kiyevsskaya, Moscou © David Burdeny

 

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Station de métro Komsomolskaya, Moscou © David Burdeny

 

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Station de métro Kropotkinskaya, Moscou © David Burdeny

 

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Station de métro Mayakovskaya, Moscou © David Burdeny

 

 

L'Iran envisage d'adhérer à la banque des BRICS

Une bonne chose pour l'Iran, les pays du BRICS et le monde multipolaire qui naît sous nos yeux !

L'Iran envisage d'adhérer à la banque des BRICS

12:48 26.10.2015 (mis à jour 16:03 26.10.2015)

BRICS

L'Iran envisage d'adhérer à la banque des BRICS, rapporte l'agence Tasnim se référant à un responsable iranien.

L'Iran envisage d'adhérer à la banque des BRICS, a déclaré l'adjoint du ministre iranien de l'Economie Mohammad Khazaei lors d'une rencontre avec le ministre brésilien de l'Industrie Armando Monteiro.

 "Nous espérons l'adhésion de l'Iran le plus vite possible, et souhaitons qu'elle obtienne le statut de membre de la banque", a-t-il précisé.


La création de cette banque avait été décidée en 2013 par les pays membres des BRICS, le Brésil, la Russie, l'Inde, la Chine et l'Afrique du sud, qui représentent 40% de la population mondiale.

D'après le ministre chinois des Finances, Lou Jiwei, cette nouvelle structure aura vocation à être un complément au système financier international déjà existant, la Banque mondiale (BM) et le Fonds monétaire international (FMI).

 

 

Les services de police et de gendarmerie pourront réaliser des enquêtes pénales sous pseudonymes sur internet !!

La chasse aux sorcières désormais autorisée sur le net !

Les services de police et de gendarmerie pourront réaliser des enquêtes pénales sous pseudonymes sur internet !!

29 oct

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Un arrêté publié au Journal Officiel autorise de nombreux services de police et de gendarmerie à agréer des agents et officiers pour qu’ils puissent réaliser des enquêtes pénales sous pseudonymes sur internet.

Voilà qui ne rassurera pas les paranoïaques. Même si le procédé est contesté au nom du principe de loyauté dans l’acquisition des preuves, indispensable au respect des droits de la défense, la police et la gendarmerie disposent désormais de facultés très étendues pour procéder à des enquêtes sous pseudonymes sur internet.

La possibilité pour les enquêteurs de recourir à des pseudonymes pour infiltrer des réseaux et obtenir des informations sur des infractions et des suspects était déjà prévue pour la protection des mineurs (depuis une loi de 2007), pour la lutte contre les jeux d’argent illicites (depuis 2012), pour la lutte contre des infractions au code de la santé publique (depuis fin 2013), ou encore pour la lutte contre le terrorisme, le proxénétisme ou d’autres formes de traite des êtres humains (depuis la loi du 13 novembre 2014 contre le terrorisme),

Rassembler les preuves et rechercher les auteurs

Mais depuis la loi du 17 août 2015 sur l’adaptation de la procédure pénale au droit de l’Union européenne, le champ d’application des enquêtes sous pseudonymes s’est considérablement étendu. La technique est désormais autorisée pour une longue liste de crimes et de délits, qui comprend notamment les attaques informatiques, l’aide au séjour irrégulier d’un étranger en France, le blanchiment d’argent, la non-justification de ressources, l’association de malfaiteurs, l’escroquerie en bande organisée, ou le travail illégal.

L’enquête par pseudonyme est autorisée lorsque les infractions constatées « sont commises par un moyen de communication électronique », afin « d’en rassembler les preuves et d’en rechercher les auteurs ».

Toutefois seuls les officiers et agents de la PJ qui sont « affectés dans un service spécialisé et spécialement habilités à cette fin » peuvent agir sous pseudonymes et notamment participer à des actes préparatoires d’infractions « sans en être pénalement responsables ». C’est tout l’objet de l’arrêté du 21 octobre 2015 publié ce jeudi au Journal Officiel, qui détermine les services dans lesquels peuvent se trouver des agents et officiers habilités.

Et ils sont nombreux :

1. Services et unités relevant de la direction centrale de la police judiciaire :
– la sous-direction antiterroriste ;
– la sous-direction de la lutte contre la criminalité organisée et la délinquance financière ;
– la sous-direction de la lutte contre la cybercriminalité ;
– les directions régionales et interrégionales de la police judiciaire.

2. Services et unités relevant de la direction centrale de la sécurité publique :
– les directions départementales de la sécurité publique ;
– les sûretés départementales ;
– les circonscriptions de sécurité publique.

3. Services et unités relevant de la direction centrale de la police aux frontières :
– l’office central pour la répression de l’immigration irrégulière et de l’emploi d’étrangers sans titre au sein de la sous-direction de l’immigration irrégulière et des services territoriaux ;
– l’unité de coordination opérationnelle de la lutte contre le trafic et l’exploitation des migrants ;
– les brigades mobiles de recherche ;
– la brigade des chemins de fer.

4. Services et unités relevant de l’inspection générale de la police nationale :
– la division nationale des enquêtes ;
– les délégations de l’inspection générale de la police nationale à Paris, Lille, Lyon, Marseille, Bordeaux, Rennes, Metz et Fort-de-France ;
– le bureau de l’inspection générale de la police nationale à Nice.

5. La direction générale de la sécurité intérieure.

6. Services et unités relevant de la préfecture de police :
– à la direction du renseignement : la sous-direction chargée de la lutte contre l’immigration irrégulière et le travail illégal des étrangers ;
– à la direction régionale de la police judiciaire : la sous-direction des brigades centrales, la sous-direction des affaires économiques et financières et la sous-direction des services territoriaux ;
– à la direction de la sécurité de proximité de l’agglomération parisienne : la sûreté régionale des transports au sein de la sous-direction régionale de la police des transports et les sûretés territoriales au sein des directions territoriales de sécurité de proximité.

7. Services et unités relevant de la direction générale de la gendarmerie nationale :
– la sous-direction de la police judiciaire ;
– le service technique de recherches judiciaires et de documentation ;
– les sections de recherches de la gendarmerie départementale et des gendarmeries spécialisées ;
– les sections d’appui judiciaire ;
– les brigades départementales de renseignements et d’investigations judiciaires ;
– les brigades de renseignements et d’investigations judiciaires de la gendarmerie d’outre-mer et des gendarmeries spécialisées ;
– les brigades de recherches de la gendarmerie départementale et des gendarmeries spécialisées.

8. Services et unités relevant de l’inspection générale de la gendarmerie nationale :
– le bureau des enquêtes judiciaires.

L’arrêté précise que les officiers et agents doivent être « jugés aptes » après une « formation spécifique », et être habilités spécialement par le procureur général, après agrément de la hiérarchie.

Numerama

Victimes de Daesh et de Boko Haram

Ne nous faisons aucune illusion sur ces groupes soi-disant séparés portant des noms différents. Il s'agit toujours des mêmes mercenaires disséminés dans le monde, pour instrumentaliser la terreur partout !

Victimes de Daesh

29 oct. 2015, 11:29



Nigéria : plus de 300 otages de Boko Haram libérés par l'armée gouvernementale

28 oct. 2015

 

La mère d'une victime de Boko Haram trouve du réconfort auprès d'une militante du mouvement "Bring back our girls"

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les forces nigérianes ont délivré de nombreuses femmes et enfants qui étaient retenus en otage par le groupe djihadiste, connu pour ses kidnappings, au cours d'une opération qui aurait tué 30 membres de l'organisation.