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29/10/2015

Turquie : des officiels affirment que Daesh aurait orchestré l'attentat pour retarder les élections

On se demande quel est l'intérêt pour Daesh de retarder les élections ?


Turquie : des officiels affirment que Daesh aurait orchestré l'attentat pour retarder les élections

28 oct. 2015, 12:36

Les funérailles des victimes au lendemain de l'attentat à Ankara, le 11 octobre 2015.

© Umit Bektas Source: Reuters

 Les funérailles des victimes au lendemain de l'attentat à Ankara, le 11 octobre 2015.

Selon les procureurs turcs, c'est l'Etat islamique qui a ordonné les attentats suicides qui ont fait plus de 100 morts à Ankara, la capitale, le 10 octobre dernier.

Selon un communiqué du bureau du procureur général d'Ankara, cité par Hurriyet Daily News, l'attentat «visait à perturber la stabilité politique en sabotant les prochaines élections et perturbant la formation d'un gouvernement, le tout pour nuire à l'image politique du pays».

«Il a été déterminé que ce groupe [à l'origine de l'attaque] a planifié des attentats en Turquie après avoir reçu des instructions directes de l'organisation terroriste Daesh en Syrie», a en outre indiqué le bureau du procureur d'Ankara dans une déclaration publiée sur son site internet.

«Les données disponibles sur les matériaux numériques» auraient indiqué que l'attaque a été organisée par une cellule basée à Gazantiep (Sud-Est) et visait à retarder les élections prévues le 1er novembre.

Le 10 octobre dernier à Ankara, deux kamikazes se sont fait exploser lors d'un rassemblement pour la paix, faisant 102 morts et plus de 500 blessés. Il s'agit de l'attaque terroriste la plus meurtrière jamais commise en Turquie.

 

Les politiciens avaient d'abord évoqué une alliance entre l'Etat islamique et les rebelles kurdes, après qu'il fut déterminé qu'un des assaillants était en lien avec Daesh et le président turc, Recep Tayyip Erdogan, affirmant que le groupe terroriste et les rebelles «travaillaient ensemble».

Le Premier ministre islamo-conservateur Ahmet Davutoglu avait lui, présenté Daesh comme le «suspect numéro 1» de l'attaque d'Ankara, sans toutefois exclure formellement la responsabilité des rebelles kurdes ou de l'extrême gauche.

Par ailleurs, quatre suspects liés à une cellule djihadiste turque ont été inculpés et écroués la semaine dernière. Selon le procureur d'Ankara, l'un des deux kamikazes a été formellement identifié comme Yunus Emre Alagöz, frère de l'auteur présumé d'un précédent attentat attribué aux djihadistes qui avait fait 34 morts en juillet à Suruç (sud).

Depuis l'attentat du 10 octobre, l'opposition turque accuse le gouvernement d'avoir fermé les yeux sur les activités des militants djihadistes dans le pays.

La France soutient les groupes terroristes en Syrie, estime Bachar El-Assad

Les vérités de Bachar Al-Assad.

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Le président syrien lors d'un discours à Damas

© Sana Source: Reuters - Le président syrien lors d'un discours à Damas

Alors qu’une délégation parlementaire française était ce mercredi à Damas pour discuter, en dépit de la réprobation de l’Elysée, avec le président syrien, ce dernier a dénoncé le rôle joué par les autorités françaises dans le conflit.

«De nombreux pays de la région ou occidentaux, dont la France, continuent jusqu'à présent de soutenir le terrorisme en donnant une couverture politique aux groupes terroristes en Syrie et dans la région», a-t-il affirmé à l’agence de presse officielle Sana. Il a par ailleurs estimé que «le terrorisme est la raison principale de la souffrance du peuple syrien [...], ainsi que l'embargo imposé à la Syrie».

Le 27 octobre, une délégation de trois députés français s'est rendue à Damas afin d’y rencontrer Bachar el-Assad. Jean-Frédéric Poisson, président du Parti chrétien-démocrate breton, qui était du voyage, a déclaré que la solution au conflit passerait par un dialogue avec le président syrien, «qui est en place et qui est élu par le peuple syrien».

En savoir plus : «Beaucoup de députés français souhaitent qu’on commence à discuter avec Assad», selon Jacques Myard

Cette position est à l’opposé de celle défendue par le gouvernement français. En 2012, le chef de la diplomatie, Laurent Fabius, avait affirmé que «le régime syrien doit être abattu et rapidement» et que «Bachar el-Assad ne mériterait pas d'être sur la terre». La même année, le même Fabius avait déclaré à propos du groupe djihadiste, le Front al-Nosra, combattant aux côtés des rebelles contre le président de la Syrie, que «sur le terrain, ils font un bon boulot», comme l’avait alors rapporté le journal français Le Monde. A la tribune des Nations unies, François Hollande a souligné, concernant le chef de l’Etat syrien qu’«étant le problème, il ne pouvait pas faire partie de la solution».

Ce n’est pas la première fois que la France et ses alliés dans le dossier syrien, se voient accusés de soutenir des groupes terroristes contre Bachar el-Assad. Plus tôt, en octobre, un archevêque syrien avait demandé au Royaume-Uni de stopper son soutien aux islamistes

Lire aussi : Le président syrien Bachar el-Assad se déclare prêt à des élections anticipées

 

28/10/2015

La racaille d’Obama perd son sang froid et devient arrogant face à la sérénité de V. Poutine

Qui est Poutine ?

Vladimir Poutine, le grain de sable dans la machinerie du Nouvel Ordre Mondial

G.20 de saint Petersbourg.. Obama insulte Vladimir Poutine face à son inflexibilité et se met à proférer des insultes…. Qui n’a aucune conséquence que celle de lui rétorquer le jugement qu’il a de ce pseudo marionnettiste des Illuminatis.


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Conférence de Philippe Ploncard d'Assac, du samedi 14 mars 2015 à Paris

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La définition du "débat" en France : un monologue creux, sans contradicteurs !

Seul les journalistes de propagande peuvent débattre en France – VIDÉO MONTRANT LA VÉRITÉ

Le 20 octobre 2015, le magazine Marianne a réuni quelques « sommités » médiatiques (Jean-François Kahn, Laurent Mouchard dit « Joffrin », Natacha Polony, Jacques Julliard, Alexis Brézet), politiques (Jean-Paul Delevoye, Jacques Généreux) et franc-maçonnes (Daniel Keller, Catherine Kintzler) à la Mutualité de Paris pour un débat sur… le débat. ERTV était sur place !

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Énorme arnaque

 

 

 

Ils font littéralement l’inverse de ce qu’ils disent aux micros ! Une belle mascarade à nouveau. Pour les Charlies du 11 janvier qui pensent que le débat existe encore en France, vous vous trompez de chemin. Le débat n’est qu’unilatéral et ce sont toujours les mêmes marionnettes qui les mènent. Ce sont eux qui décident ce qui peut-être débattu dans ce pays. Nous, nous sommes seulement là pour les écouter.


Vidéo E&R