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18/09/2015

Astéroïdes en septembre ? Quand MSN.COM et EXPRESS.CO.UK osent contredire la NASA

Excellent !

C’est ni oui, ni non, la NASA n’en sait rien, et elle a pu très bien avoir reçu des ordres de ne rien dire, aussi, dans le doute….. il vaut mieux s’y préparer !

Quand MSN.COM et EXPRESS.CO.UK osent contredire la NASA …

Quand MSN.COM et EXPRESS.CO.UK osent contredire la NASA …

Puisque MSN.COM et express.co.uk sont des médias d'information réputés comme étant crédibles, ces articles prennent une certaine importance ...

Voici la traduction du texte complet de MSN.COM , publié aujourd'hui.

Mes commentaires sont en fin d'article.

Expert says meteor could wipe out Earth next week despite Nasa's claim we're safe

http://www.msn.com/en-gb/news/uknews/expert-says-meteor-could-wipe-out-earth-next-week-despite-nasas-claim-were-safe/ar-AAemjcv?li=AA9SkIr&ocid=mailsignoutmd

Un expert dit qu’un météore pourrait anéantir la Terre la semaine prochaine malgré l'affirmation de la Nasa qui affirme que nous sommes en parfaite sécurité

Avec juste un peu plus d'une semaine pour aller jusqu'aux premiers grondements de la fin des temps - il pourrait être temps de parfaire les compétences de planification d'urgence au cas où vous seriez le dernier homme vivant - après que toute la Terre ait reçu un impact catastrophique !

Comme une pléthore d'horreurs qui sont attendus à pleuvoir et ravager la planète, y compris des frappes de météores, des tremblements de terre, tsunamis et même comme certains le suggèrent un torrent de Dieu Tout-Puissant lui-même - nous avons décidé de prendre un peu de conseils d'experts qui disent que les observateurs de la fin du monde pourraient bien avoir raison quelque part.

Les théoriciens du complot n’ont toujours pas remarqué que lorsque la dernière journée de la terre viendra - insistant sur le fait qu'il pourrait se passer n’importe quoi entre le 22 au 28 Septembre - mais s’il fallait les croire - alors nous devrions commencer à dire bye-bye à nos proches bientôt.

 Le professeur Robert Walsh, directeur exécutif de la recherche à l'Université de Central Lancashire a puisé dans ses vastes connaissances pour mettre un peu de contexte historique pour ce prochain phénomène.

Ce que vous ne pouvez pas réaliser c’est que la Terre est frappée avec une centaine de tonnes de matériel extraterrestre chaque jour! Cependant, ces débris sont sous la forme de nombreuses petites roches, dont la majorité brûlent dans l'atmosphère de la planète.

La Terre a connu des effets très destructeurs dans le passé - il suffit de demander aux dinosaures ! Oh, attendez, vous ne pouvez pas! L'astéroïde tueur dans ce cas a été estimé à environ 10 km de diamètre. Donc, nous devons prendre la menace au sérieux.

En fait, en Février 2013, un caillou de la taille d’un camion a explosé dans les cieux au-dessus de Tcheliabinsk, en Sibérie. Spectaculairement pris par les appareils photos quand il a accéléré à travers le ciel, la force de l'explosion a fracassé les fenêtres, blessant des centaines de personnes. Cependant, le résultat pourrait être beaucoup plus dévastateur si ce genre d'événement avait été répété au-dessus d'un centre majeur de la population comme Londres, New York ou Pékin.

La communauté d'astronomie internationale prend au sérieux la plus petite menace d'une collision avec un astéroïde dévastateurEn Avril 2015, une conférence internationale organisée par l'Agence spatiale européenne a réuni plusieurs disciplines scientifiques (y compris les astronomes, physiciens et ingénieurs) pour débattre sur quelles seraient les possibilités pour voir se qui se passerait autour de la Terre face à une scène de collision d'astéroïdes.

La NASA indique que s’il y avait un objet assez grand pour faire le type de destructions comme celles indiquées pour Septembre indiqué dans les commentaires à travers les blogs et articles sur le Web, nous l’aurions déjà vu maintenant.

Le bureau d'objets géocroiseurs de la NASA au Jet Propulsion Laboratory est à la pointe de ce qui est aujourd'hui une collaboration mondiale pour regarder le ciel pour tous les astéroïdes qui pourraient menacer notre planète. Leur programme "Spaceguard" détecte et enregistre ces objets et essaie de déterminer leur nature; comme ce qui est de leur masse ou de quoi ils pourraient être constitués.

En 1994, Jupiter, la plus grosse planète de notre voisinage  astronomique, a connu un astéroïde de la comète Shoemaker Levy 9- ce fut la première fois que l'humanité avait prédit et qu’elle a pu ensuite observer un tel événement.

Les astéroïdes sont les débris rocheux laissés après la formation des planètes dans notre système solaire. La plupart se trouvent dans un énorme anneau de l'espace connu sous le nom de la ceinture d'astéroïdes quelque part entre les planètes Mars et Jupiter.

Cependant, certains se trouvent en dehors de la ceinture principale d'astéroïdes. Trois groupes appelés Atens, Amors, et Apollos sont ceux qui nous inquiètent ici sur Terre. Ils sont connus comme les astéroïdes les plus proches de la Terre et ils évoluent en spirale dans les parties intérieures du système solaire et peuvent parfois croiser le chemin de la Terre et de Mars.

En conséquence le Programme Effet impact de la Terre à l'Imperial College de Londres, sait que les vitesses d'impact typiques sont de 17 km /s pour les astéroïdes et 51 km / s pour les comètes.

Pour donner un peu de contexte sachons que:

• Une comète pourrait voyager d'Edimbourg à Londres en 10 secondes

• Un astéroïde pourrait voyager d'Edimbourg à Londres en un peu plus de 30 secondes

Il y a plusieurs façons d'essayer de faire dévier un astéroïde de sa trajectoire. La première est d'essayer la "méthode Hollywood" et simplement de la faire sauter ! Cependant, en dépit des effets visuels éventuellement spectaculaires qui pourraient résulter du "bombardement",  l'astéroïde cassé pourrait simplement devenir un essaim de roches légèrement plus petites et très destructrices se dirigeant vers notre planète. Vraiment, cela ne serait à utiliser ou en très très dernier recours,.

Un autre moyen serait de simplement donner un coup de pouce à l'astéroïde, pour changer sa trajectoire loin de la Terre. Frapper avec une sorte d'impact pourrait faire cela. Ou peut-être un engin spatial non habité avec assez de masse pourrait être mis en orbite autour de l'astéroïde pour  changer efficacement «l’attraction gravitationnelle» et modifier la trajectoire de cette façon.

Orbiter autour et atterrir sur une comète peut sembler comme des trucs de Star Trek. Cependant cela a été effectivement réalisé en 2014 par Rosetta de l'Agence spatiale européenne qui a également envoyé un petit atterrisseur appelé Philae  jusqu'à la surface de la comète.

Cependant, il a fallu une décennie à Rosetta  pour se rendre à sa destination avec la comète. Donc, on aurait besoin de nombreuses années pour dévier un impact dirigé la Terre, l'astéroïde aurait besoin d’être poussé ou tiré à des millions de kilomètres loin de la Terre.

Donc, avec l'anticipation en cours sur la fin du monde, le Dr Sarita Robinson, professeur de psychologie à l 'Université de Central Lancashire a examiné les raisons pour lesquelles nous sommes tellement fascinés par la fin du monde!

Pourquoi les gens sont attirés par ces croyances est une question intéressante. Une possibilité est que dans un monde qui est imprévisible, il offre un sentiment de contrôle. Les gens peuvent être préoccupés par l'avenir et ce qu'il faut planifier, mais sans aucune information de base des plans cela peut s’avérer difficile. Si un leader charismatique vous dit que le monde va finir à une date précise, vous pouvez planifier pour l'événement. En ayant une date de planification vous enlevez l'incertitude dans votre vie.

Le problème vient quand la fin du monde n’arrive pas. Il peut être très difficile pour les gens quand ils découvrent soudainement que le monde n'a pas pris fin. Ils ont besoin de trouver un moyen d’expliquer pourquoi on est encore ici, tels que les erreurs de calculs .

En 1938, aux États-Unis une station de radio a diffusé une version du livre de HG Wells «La Guerre des Mondes", mais le jeu radiophonique était censé être une émission en direct d'un événement réel de la vie. Ce fut dans les jours avant que vous pourriez vérifier des choses sur l'internet et les gens de confiance pour les nouvelles à la radio. En conséquence des milliers de personnes auraient fui leur maison pour échapper à l'invasion martienne.

Des comportements similaires ont été observés en 1992 lorsque la BBC a diffusé un drame appelé Ghostwatch, un documentaire «en direct» où certaines personnes croyaient qu’un vrai poltergeist s’était échappé et que ce serait la fin des temps. Les gens ont signalé des problèmes psychologiques chez les enfants après avoir vu le spectacle.

Certaines personnes croient que la pleine lune a un effet négatif sur le comportement humain , l'hypothèse Transylvanie. Cependant, aucune preuve réelle n'a été trouvée.

Une étude des admissions au service d'urgence a démontré que la pleine lune a été associée à une augmentation significative de morsures d'animaux à l'homme. D'autres études ont noté une légère hausse dans les nominations de médecins généralistes dans les 6 jours suivant la pleine lune. Cependant, d'autres études n’ont rapporté aucun lien entre la pleine lune et une augmentation des traumatismes / violence menant à des hospitalisations et aucune augmentation de la violence et de l'agression à ceux qui résident dans des unités psychiatriques.

Estimant que la fin du monde est proche n’est pas une mauvaise chose si elle ne perturbe pas votre vie quotidienne. Tant que vous ne vendez pas votre maison pour dépenser l'argent pour passer de belles vacances ou pour le donner à un chef de la secte de préparation pour la fin du monde ne peut pas être une mauvaise idée. La plupart d'entre nous ne prennent pas de risques et prennent la vie quotidienne au sérieux.

Nous ne pouvons pas penser à propos de risques tels que ce que nous pourrions faire s’il y avait une pandémie de grippe par exemple. Il est tout à fait logique de garder un peu de nourriture et de l'eau dans votre maison pour les urgences. La plupart des gens ne veulent pas penser à la mort parce que c’est psychologiquement inconfortable. Par conséquent la plupart d'entre nous ne font pas les tâches de préparation de tous les jours sensibles (telles que le maintien d'une couverture et d'un flacon de café dans la voiture au cas où nous sommes coincés dans la neige en hiver).

Les gens qui sont en détresse en fin de prédictions mondiales devraient essayer de rationaliser et de remettre en question leurs pensées négatives.

*******************************************

Fin de l'article

Excellent article , d'ailleurs.

En effet , il est sage de se garder une petite réserve d'eau et de nourriture au cas ou , on ne sait jamais.

Le plus important est de rester soi-même , de continuer nos activités quotidiennes normales , de surtout ne pas tomber sous la domination d'un gourou qui prendra votre précieux temps et surtout votre argent.

Personnellement , je ne croie pas qu'un météore va entrer en collision avec notre terre à la fin du mois , mais ce n'est que mon opinion personnelle , personne n'en a la certitude , même pas la NASA.

Voici ce que express.co.ukécrivait il y a quelques jours :

Paul Chodas, du bureau d'objets géocroiseurs de la NASA à sa Jet Propulsion Laboratory, Pasadena, en Californie, a déclaré: "Il n'y a aucune preuve existante qu'un astéroïde ou tout autre objet céleste soit sur une trajectoire qui causerait un impact avec la Terre." En fait, non un seul des objets connus a une chance crédible de frapper notre planète au cours du prochain siècle » la Nasa a également publié un communiqué sur son site pour  rassurer le public mondial pour dire que les histoires effrayantes ne sont pas vraies. Mr Chodas a ajouté: ". Il n'y a pas de base scientifique, pas l'ombre d'une preuve, qu’un astéroïde ou tout autre objet céleste causera un impact sur la Terre à ces dates. " S’il y avait tout objet suffisamment grand pour faire ce genre de destruction en Septembre, nous avons vu quelque chose dès maintenant.

La "NASA ne piste qu’environ 13,000 astéroïdes proches de la Terre », mais accepte de dire que ce chiffre est seulement d'environ 2% de ceux là et il n'a aucune idée de l'endroit où le 98% restant se trouvent.

Source :

SIX énormes astéroïdes s’en viennent

13 Septembre 2015

http://www.bengarneau.com/2015/09/six-enormes-asteroides-...

Donc, la NASA ne connaît que 2 % des astéroïdes.

Cependant, ils affirment qu'aucun objet ne va nous frapper, et c'est valide pour les 100 prochaines années.

Vous voyez le problème comme moi, ils négligent les 98 % des astéroïdes qu'ils ne connaissent pas.

Donc, est-ce qu'un astéroïde va nous frapper dans quelques jours ?

Réponse :

La NASA ne peut pas le savoir, elle n'en sait pas plus à ce sujet que vous et moi.

Mais on aura la réponse dans quelques jours ...

 

 

 

11/09/2015

D'où vient l'excès d'antimatière dans le flux de rayons cosmiques qui bombardent en permanence la Terre ?

Encore des preuves que nous ascensionnons vers le Grand Attracteur tout en traversant au cours de notre voyage des zones cosmiques différentes dans lesquelles nous sommes bombardés par des particules d’antimatière ou positon ou positron qui transforment la matière en profondeur, et en énergie ou en lumière cosmique, et qui activent notre ADN, tout en nous faisant évoluer sur les plans neurologique et spirituel !

D'où vient l'excès d'antimatière dans le flux de rayons cosmiques qui bombardent en permanence la Terre ?

Les réponses se trouvent, sans doute ci-dessous :

 

* - Vidéo : Oubliez le Réchauffement climatique. Ascension et déménagement de la Galaxie vers le Grand Attracteur de Laniakea !

Vous êtes ici : super-continent de galaxies Laniakea et le Grand Attracteur

Vidéo : Entrée en Antimatière: l'annihilation des positrons galactiques

Déjà en 2013, le CNRS en parlait :

CNRS : L'expérience AMS mesure un excès d'antimatière dans l'espace

 

Paris, 3 avril 2013

Extrait : La collaboration internationale du spectromètre magnétique Alpha AMS, qui implique le CNRS pour la partie française, publie ses tout premiers résultats dans sa quête d'antimatière et de matière noire dans l'espace. Les premières observations, basées sur l'analyse de 25 milliards de particules détectées durant les 18 premiers mois de fonctionnement, révèlent l'existence d'un excès d'antimatière d'origine inconnue dans le flux des rayons cosmiques. Ces résultats pourraient être la manifestation de l'annihilation de particules de matière noire telle qu'elle est décrite par certaines théories de supersymétrie, même si des analyses complémentaires seront nécessaires pour vérifier une telle origine révolutionnaire.

 

D'où vient l'excès d'antimatière dans le flux de rayons cosmiques ?

 

Par Patricia Courand | mardi 23 septembre 2014

 

L'expérience AMS (Alpha Magnetic Spectrometer), actuellement à bord de la Station Spatiale Internationale (ci-dessus), vient de publier de nouveaux résultats, basés sur l'enregistrement de 41 milliards de particules cosmiques. Crédits : CERN

Les physiciens en ont acquis la certitude au cours de ces dernières années : les rayons cosmiques contiennent une proportion anormalement élevée de particules d'antimatière, dont l'origine est pour l'instant inconnue. Or, de nouveaux résultats issus d'une expérience menée sur la Station Spatiale Internationale pourraient aider à lever le voile sur ce mystère.

 

Les rayons cosmiques sont des particules très communes dans l'Univers : principalement constituées de protons et d'électrons, ces particules bombardent en permanence la Terre. Mais aux côtés des protons et des électrons, il se trouve que les rayons cosmiques sont également constitués d'un autre type de particule : les positons (ou positrons). Les positons ? Ce sont des particules d'antimatière, cette forme "miroir" de la matière (en savoir plus sur l'antimatière sur le site du CERN : "A la recherche de l'antimatière"). Les positons ressemblent à s'y méprendre aux électrons (ils ont la même masse) à ceci près qu'ils sont de charge opposée (on dit que le positon est l'antiparticule de l'électron).

 

Or, au cours de ces dernières années, en utilisant les données fournies par le satellite Pamela en 2008, puis par le satellite Fermi, et enfin plus récemment la Station Spatiale Internationale (ISS), les physiciens ont observé un fait étrange : le flux de rayons cosmiques heurtant en permanence notre planète se caractérise par un excès inexpliqué de positons (donc par un excès d'antimatière).

 

Pour bien comprendre ce dont il s'agit ici, rappelons d'abord que les particules sont chacune dotées d'un niveau d'énergie, se mesurant en électron-volt (eV). Or, lorsque les physiciens ont commencé à analyser les caractéristiques des flux de rayons cosmiques enregistrés par Pamela, Fermi puis l'ISS, ils ont découvert que pour les électrons et les positons dont le niveau d'énergie était compris entre 10 GeV (Giga electron-Volts) et 250 GeV, la proportion de positons par rapport à la totalité des positons et des électrons augmentait avec le niveau d'énergie. En d'autres termes, plus le niveau d'énergie des électrons et des positons étudiés tend vers 250 GeV, et plus la proportion de positons par rapport à la totalité des électrons et des positons augmente. En revanche, lorsque le niveau d'énergie des particules considérées dépasse ce cap, cette augmentation cesse brutalement (on parle d'un phénomène de "coupure").

 

D'où vient cet excès de positons ? Jusqu'ici, deux hypothèses étaient envisagées : ces positons pourraient soit provenir de quasars situés à proximité de notre galaxie (les quasars (vidéo) sont des noyaux de galaxies lointaines, qui présentent la particularité d'être extrêmement brillants), soit être... des particules de matière noire.

 

La matière noire ? Il s'agit de cette mystérieuse forme de matière qui serait présente en grande quantité dans l'Univers : invisible (car n'émettant aucun rayonnement électromagnétique), elle ne dévoilerait sa présence que par les effets gravitationnels qu'elle induirait sur les corps alentours (pour plus d'informations sur la matière noire, lire cet article publié sur le site du Laboratoire CNRS d'Annecy-le-Vieux de Physique Théorique).

 

Or, de nouveaux travaux menés sur la base des données fournies par le détecteur de particules AMS, installé à bord de l'ISS, viennent d'apporter des éléments nouveaux. Ces résultats, reposant sur l'enregistrement de 41 milliards de particules dans des énergies de 0,5 GeV à 500 GeV et incluant 10 millions de positons et électrons, ont été publiés le 18 septembre 2014 dans la revue Physical Review Letters.

 

Que révèle cette nouvelle étude ? D'une part, elle affine le seuil de niveau d'énergie au-delà duquel la proportion de positons cesse d'augmenter (la "coupure"). Ce seuil serait à 275 GeV, plutôt que 250 GeV. Ce premier résultat est important car le fait de confirmer et de préciser l'existence de cette coupure plaide en faveur de l'hypothèse selon laquelle ces positons seraient des particules de matière noire. En effet, plusieurs théories prédisent l'observation d'un tel excès de positons qui résulterait de l'annihilation de particules de matière noire, avec à la clé une "coupure" aux énergies élevées (comme c'est donc le cas ici).

 

Autre résultat d'importance, fourni par cette nouvelle étude : il conforte le scénario d'un excès anormal d'antimatière dans les rayons cosmiques. Jusqu'ici en effet, il était toujours possible d'envisager que la proportion excessivement élevée dans les rayons cosmiques des positons par rapport à la totalité des positons et des électrons ne soit en réalité que la conséquence d'un déficit d'électrons, en lieu et place d'un excès de positons. Or, ces nouveaux travaux montrent que ce phénomène n'est pas le produit d'un déficit d'électrons : il y a effectivement un excès de positons par rapport aux électrons, pour des niveaux d'énergie compris entre 10 GeV et 275 GeV. En d'autres termes, des particules d'antimatière d'origine inconnue sont bel et bien présentes dans les rayons cosmiques.

 

Ces travaux ont été publiés le 18 septembre 2014 dans la revue Physical Review Letters, sous le titre "High Statistics Measurement of the Positron Fraction in Primary Cosmic Rays of 0.5–500 GeV with the Alpha Magnetic Spectrometer on the International Space Station" .


 Quasars: tueurs ou créateurs de galaxies ?

Les galaxies sont-elles nées d'un trou noir ? Le jet des quasars, ces trous noirs supermassifs au coeur des galaxies sont-ils à l'origine de la naissance des étoiles avant de les avaler ? Premier épisode d'une collection de Web docu sur l'astrophysique au XXIe siècle. Réalisateur: Pierre-François Didek (Karamoja Productions). Directeur de collection: Vincent Minier (Laboratoire AIM Paris-Saclay). 


 

Vidéo : Entrée en Antimatière: l'annihilation des positrons galactiques

Une vidéo pour comprendre ce qui se passe actuellement sur Terre avec l’apparition de particules d’antimatière qui déroute les scientifiques et qui est sans doute, le simple résultat de notre ascension vers le Grand Attracteur.

Encore une preuve que l'Univers est électrique composé de charges électriques positives ou négatives, comme dans le courant électrique.

Qu'est-ce que le positon ou le positron ?

En physique des particules, le positron ou positon1, encore appelé antiélectron, est l'antiparticule associée à l'électron. Il possède une charge électrique de +1 charge élémentaire (contre -1 pour l'électron), le même spin et la même masse que l'électron. C'est la première antiparticule découverte, ce qui explique qu'elle n'ait pas le nom composite d'« anti-électron ».

 

Est-ce que l'Annihilation des électrons par les positons représente la destruction de la matière ?

Sûrement pas ! La disparition de l'une ou l'autre des particules donne naissance à une libération d'énergie ou à un rayonnement de lumière de haute énergie ou rayons gamma.

La mort n’existant pas dans l’Univers, il ne peut s’agir que de transformations.

Annihilation (Positron - Electron) un rayonnement se produit quand un électron (de charge négative) entre en collision avec un positron (positivement changé et anti-particule de l'électron). Le résultat habituel est l'émission de deux photons de rayons gamma - chaque voyageur à une distance l'une de l'autre de511 KeV. L'exemple dans ce glossaire montre la décroissance de F-18 par émission de positons suivie par le rayonnement d'annihilation résultant. Ce processus a des applications dans la tomographie par émission de positons (TEP).

* - l'annihilation ou l'anéantissement entre une particule et son antiparticule consiste en la disparition de l'une et de l'autre, donnant lieu à libération d'énergie.

* - On peut avoir production de photons d'annihilation lors de la désintégration  β+.

* - la période d'annihilation électrons-positrons est un nom donné à un stade du Big Bang.



Entrée en Antimatière: l'annihilation des positrons galactiques ( 25 avril 2007)

Conférence donnée le 25 avril 2007 par Peter Von Ballmoos dans le cadre des Grands Séminaires de l'Observatoire Midi-Pyrénées.

Qu'est-ce que l'antimatière ? A quoi ressemble-t-elle? Où peut-on l'observer ? Peut-on la fabriquer sur Terre ? A quoi sert-elle ? Ce sujet donne matière à toutes ces questions et nous amènera à discuter de l'annihilation de vastes quantités d'antimatière au centre d¬e notre Voie Lactée. Comme nous le verrons, l'antimatière n'est pas que du domaine de la Science-Fiction : notre propre monde de matière produit parfois des particules d'antimatière. Par exemple : lors de la décroissance de certains éléments radioactifs des positrons - les électrons d'antimatière - sont émis de façon naturelle, et lorsqu'un positron rencontre un électron il s'annihile dans un flash de lumière. La masse de ces deux particules se transforme alors en rayonnement, selon la célèbre relation E=mc2 d'Einstein. Le satellite INTEGRAL observe actuellement ce rayonnement et fait apparaître notre ciel sous une lumière singulière : une émission d'annihilation électrons-positrons qui semble provenir d'une seule région étendue - la partie centrale de notre Voie Lactée - et qui correspond à l'annihilation de 15 milliards de tonnes de positrons par seconde !

 

Pour en savoir plus sur le site du CERN

Où est passée l'antimatière ? ICI 

 

 

Vous êtes ici : super-continent de galaxies Laniakea et le Grand Attracteur

Apprenez à découvrir notre nouvelle adresse cosmique : Laniakea et ce qui s'y passe en son sein avec le Grand Attracteur qui attire actuellement à lui, tout ce qui est contenu dans l'espace de Laniakea, soit des milliards de galaxies dont la nôtre et phénomène cosmique qui doit transformer la matière en profondeur et y compris à activer notre ADN sous l'influence des puissantes énergies que nous traversons au cours de notre ascension.

Des scientifiques ont découvert que la Terre recevait des quantités énormes d'énergies et des particules d'antimatière, dont les positons ou positrons, ce dont ils s'étonnent, n'en comprenant pas l'origine et les qualifiant d'anomalies !

Il ne s'agit pas d'anomalies mais d'une réaction électrique qui engendre la libération d'énergie ou de Lumière Cosmique !

 

Article précédent :

* - Vidéo : Oubliez le Réchauffement climatique. Ascension et déménagement de la Galaxie vers le Grand Attracteur de Laniakea !

 

Notre nouvelle adresse cosmique

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Vous êtes ici : super-continent de galaxies Laniakea

  Une tranche du Superamas Laniakea dans le plan équatorial supergalactique © Cosmic Flows

Avec une équipe internationale, l’astrophysicienne-cosmographe Hélène Courtois a découvert le super continent de galaxies dans lequel nous vivons: Laniakea.

Parmi les nombreux obstacles qu’ont rencontrés Christophe Colomb et les explorateurs de l’Amérique, dessiner des cartes précises ne fut pas le plus facile à contourner. A l’époque des grands navigateurs (XVe et XVIe siècles), la cartographie s’appuyait sur l’exploration : longer les côtes pour dessiner les contours du continent, suivre les cours d’eau pour représenter les terres.

Quelques centaines d’années plus tard, c’est avec une méthode finalement assez proche que la cosmographe Hélène Courtois, de l’Institut national de physique nucléaire et de physique des particules (Université Claude Bernard Lyon 1 / CNRS), et trois confrères d’universités internationales* ont cartographié une vaste zone de notre univers observable. Mais leurs cartes à eux sont en quatre dimensions, et cette quatrième dimension vient bouleverser notre représentation de l’Univers.

Une nouvelle image de l’Univers

Dans l’Univers tel que le font apparaître les travaux d’Hélène Courtois et ses confrères, des bateaux (les galaxies) suivent les courants d’une rivière (la matière). Les galaxies sont regroupées en amas ou en superamas et se déplacent en évitant de grandes régions appelées “vides”. Leurs déplacements, provoqués par les concentrations de matière visible ou invisible, les amènent à se séparer ou se rassembler comme en suivant l’eau de la rivière de part et d’autre d’une ligne de partage.

L’équipe internationale assemblée par Hélène Courtois (une vingtaine de chercheurs en plus des quatre co-auteurs de l’article) ont créé des cartes de l’Univers dont le “champ de vitesse” des galaxies constitue la quatrième dimension. Plutôt que produire un instantané de leur position à un instant donné, les cartes montrent la dynamique de leurs déplacements :

Leur mouvement nous fournit de précieuses indications de cosmologie, par exemple sur la localisation de la matière noire : les mouvements dépendent de sa masse, or nous savons que la matière noire est la masse la plus importante dans l’Univers. Ils nous permettent aussi de mieux comprendre les lois fondamentales de l’univers comme la gravitation.

Nos horizons célestes

Les scientifiques ont connecté patiemment la surface joignant toutes les lignes de partage des flux de galaxies qui nous entourent. Notre continent de galaxies, le superamas dans lequel nous vivons, apparaît en creux : c’est le volume englobé, qui se sépare nettement des autres continents voisins. Notre « continent » mesure 500 millions d’années-lumière de diamètre et contient une masse d’environ 100 millions de milliards de fois celle du Soleil. Les chercheurs lui ont donné le nom hawaiien Laniakea, qui signifie “horizons célestes immenses”. Accepté par l’Union Astronomique Internationale, c’est un hommage à ce pays de navigateurs aux étoiles qui abrite désormais quelques-uns des plus grands télescopes du monde, utilisés pour cette découverte et celles qui suivront.

Une tranche du Superamas Laniakea dans le plan équatorial supergalactique. Les nuances de couleur représentent des valeurs de densité de matière avec en rouge la haute densité et en bleu les vides. Les galaxies individuelles sont montrées comme des points blancs. On observe en blanc des courants de galaxies se déversant dans le bassin d’attraction du Laniakea, tandis que des courants en bleu foncé s’éloignent de ce bassin local et permettent de séparer notre continent de ceux voisins. Le contour orange inclut les limites extérieures de ces courants. Ce domaine a une mesure de 500 Millions d’années lumière de diamètre et inclut ~1017 M⊙ (100 millions de millards de masses solaires). © Cosmic Flows

Regarder à travers plusieurs lunettes

Pour arriver à ces résultats, Hélène Courtois et ses partenaires ont mis au point une nouvelle méthode pour définir les structures à grande échelle à l’aide des courants de galaxies. Ces calculs sont basés sur les observations conduites par Hélène Courtois et les méthodes de visualisation de Daniel Pomarède, chercheur à l’Institut de Recherche sur les Lois Fondamentales de l’Univers, CEA/Saclay.

Ils ont concentré leurs observations sur un cube de 1,5 milliards d’années-lumière de côté, soit environ 2% de l’Univers observable. Ils ont réussi le tour de force de cartographier intégralement 8 000 des galaxies présentes dans cette zone avec une précision de 10-15% : On mesure des vitesses de l’ordre de 1000 à 15000 kilomètres par seconde. Puis nous enlevons de cette mesure la part due à l’expansion de l’Univers : on parle de coordonnées co-mobiles. Il ne reste plus que la vitesse due uniquement à la masse de la galaxie et la gravité environnante, elle de l’ordre de 400 à 600 kilomètres par seconde ”, précise Hélène Courtois. Pour arriver à une précision aussi fine, il est indispensable de croiser les résultats obtenus par plusieurs techniques d’observation : analyse des supernovae et des “raies d’hydrogène neutre”, par exemple (voir encadré).

Hydrogène neutre : Cette méthode a été co-inventée en 1977 par R. Brent Tully, qui signe l’article avec Hélène Courtois. Elle consiste à observer les traînées d’hydrogène neutre (H pur) des galaxies à l’aide de radiotélescopes : les photons qu’elles émettent sont toujours à 21 cm de longueur d’onde. En vertu de l’effet Doppler, les raies s’élargissent en fonction de la vitesse de rotation de la galaxie. Et la vitesse de rotation est proportionnelle à la masse. Lumineux !

Et le Grand Attracteur ?

Plus important encore, les scientifiques posent les premiers jalons vers la résolution d’un des grands mystères de l’astrophysique moderne. On sait depuis 1986 que notre galaxie et ses voisines se déplacent dans la même direction à la vitesse de 630 kilomètres par seconde, 630 Km/s X 3600s/h = 22 680km/h. Mais on ignorait jusqu’à présent quelle est la nature de ce “Grand Attracteur” dont on observait les effets sans voir suffisamment de masse dans sa région. Hélène Courtois a d’ailleurs fait sa thèse de doctorat sur le sujet en 1995. Les chercheurs montrent que cette région est en réalité un large vallon où se déverse la matière, un peu comme le point le plus bas d’une baignoire plate, et qui englobe une région 100 fois plus grande qu’on ne le pensait depuis cinquante ans. Qui sait quelles surprises nous réservent à présent les prochains horizons célestes ?

* R. Brent Tully (University of Hawaii), Yehuda Hoffman (Hebrew University Jerusalem), Daniel Pomarède (CEA/Saclay)

 


Cette découverte fait la Une de la prestigieuse revue internationale Nature datée du 4 septembre 2014.

 

The Laniakea Supercluster of Galaxies, Nature, volume 513, number 7516, p.71 (4 September 2014) par R.Brent Tully, Hélène Courtois, Yehuda Hoffman and Daniel Pomarede.

 L’Institut de Physique Nucléaire de Lyon (IPNL) est une Unité Mixte de Recherche (UMR 5822) agissant sous la double tutelle de l’Université Claude Bernard Lyon 1 et de l’Institut National de Physique Nucléaire et de Physique des Particules (IN2P3) du CNRS. Les activités de l’IPNL visent à étudier les propriétés des composants subatomiques de la matière ainsi que leurs interactions. Laboratoire essentiellement de physique expérimentale, ses thématiques de recherche sont variées puisqu’elles concernent la physique des particules et des astroparticules, la matière nucléaire et les interactions ions/agrégats-matière.

http://sciencespourtous.univ-lyon1.fr/vous-etes-ici-super...

 

 

 

 

 

 

 

Vidéo : Oubliez le Réchauffement climatique. Ascension et déménagement de la Galaxie vers le Grand Attracteur de Laniakea !

Fig21.jpgSi vous aviez encore des doutes sur le fait que nous soyons en voie d’ascensionner et pas seulement la Terre ni notre système solaire, mais l’ensemble de la Galaxie et toutes les galaxies contenues dans Laniakea vers le Grand Attracteur découvert au sein de Laniakea, notre nouvelle adresse cosmique qui marque les frontières du continent de galaxies dans lequel nous vivons. Vous avez la preuve scientifique que nous sommes tous condamnés à ascensionner et à évoluer grâce aux nouvelles énergies cosmiques que nous traversons tout au long de notre parcours d’évolution et qui nous entraînent irrévocablement vers le Grand Attracteur, et ce, à une vitesse de 22 680 km/h.

 

Si nous rajoutons la vitesse à laquelle extrêmement rapide de 828 000 km/h à laquelle se déplace le soleil qui n’est pas stationnaire. L'ensemble de notre système solaire ascensionnant en spirale vers le centre de la galaxie, il se pourrait bien que nous soyons en train d’ascensionner à la vitesse de : 22 680 km/h +  828 000 km/h = 850 680 k/h.

 

Au cours de notre ascension il est donc normal que les puissants rayonnements cosmiques changent en fonction du nouvel environnement cosmique que nous traversons et plus nous nous rapprochons du Grand Attracteur, et plus les rayonnements cosmiques sont puissants et lumineux, et transforment donc la matière en profondeur, activant ainsi tout naturellement notre ADN.

 

Nous sommes donc tous en cours de Grand déménagement vers le Grand Attracteur qui se trouve au sein de Laniakae !


Quel plus beau cadeau l’Univers créateur pouvait-il nous faire ?

 

Petits rappels d’articles précédents :

* La Terre ne tourne pas autour du Soleil, elle ascensionne en spirale avec l'ensemble de notre système solaire.

* Nassim Haramein : Notre modèle du système solaire tel qu'on nous l'enseigne depuis le début est faux!

* la nature cyclique de l'univers

Ballade dans l’univers : à la découverte de Laniakea | Hélène Courtois | TEDxLyon

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Une ballade et une aventure exceptionnelles dans l'infiniment grand et ses secrets.

Astrophysicienne-cosmologue lyonnaise, Hélène Courtois a découvert les frontières du continent de galaxies dans lequel nous vivons : "Laniakea".

Ce travail de longue haleine a fait la Une de Nature. La vidéo publiée sur ce thème par la prestigieuse revue a comptabilisé plus de 2,5 millions de vues lors du premier mois de sa diffusion (novembre 2014). http://ted.com/tedx

 

 

Nouvelle adresse cosmique

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