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03/01/2017

Le vrai Fillon et le patronat qui préparent la guerre sociale et l'écrasement des salarié-e-s et des syndicats pour l'été 2017.

L'agent du Groupe Bilderberg !

Peut-on rester 5 ans au gouvernement de Sarkozy, participer à détruire la Libye et autres crimes, en étant honnête ?

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Fillon et le patronat qui préparent la guerre sociale et l'écrasement des salarié-e-s et des syndicats pour l'été 2017. Edifiant ! N'attendons pas qu'il soit trop tard, organisons-nous, attaquons !

Fillon prévoit ouvertement d'appliquer la Stratégie du Choc (lire Naomi Klein) s'il est élu pour dénoyauter ce qu'il reste de l’État et nous ramener en 1900 en matière de droits sociaux. Dans cette vidéo révélée par Public Sénat, l'homme s'exprime devant un panel de dirigeants d'entreprises, réunis par la Fondation Concorde. On comprend rapidement que sa soudaine ascension médiatique répond aux intérêts des grandes entreprises et du capital.

 


François Fillon face aux patrons - Événements par publicsenat

 
Dans la perspective de la primaire de la droite et du centre, Public Sénat diffuse en exclusivité le premier « grand oral » des leaders de l'opposition devant un panel de dirigeants d'entreprises, réunis par la Fondation Concorde.


François Fillon, ancien Premier ministre, répondra ensuite pendant près d'une heure aux questions de chefs d'entreprises, experts, et universitaires sur son programme économique et ses projets de réforme pour 2017.


A cette occasion sera dévoilé un sondage exclusif Ifop-Fiducial pour la Fondation Concorde et Public Sénat sur l'image de François Fillon dans l'opinion.
 
 
Voir aussi :
 
 

François Fillon en 2007 à Philippe de Villiers : "C’est eux – Bilderberg – qui nous gouvernent"


François Fillon et le Club Bilderberg

21 nov. 2016 - Début novembre 2011, alors que la crise de l'euro est à son comble, François Fillon prend le temps de recevoir à Matignon un groupe obscur ...

Le président du groupe Bilderberg dans le gouvernement de Fillon (vidéo)


Le système Fillon (1/5): Henri de Castries, une société très civile

Le système Fillon :Henri de Castries, une société très civile

Larcher-Retailleau, l’axe politique

Anne Méaux, égérie libérale

Patrick Stefanini, dans la machine de campagne

Antoine Gosset-Grainville et les grognards de Matignon 

 

12/11/2016

Trump : "Le réchauffement climatique est un canular"

Fin de l'escroquerie de la COP !!!

 

Trump : "Le réchauffement climatique est un canular"

Fin de la plaisanterie pour les mondialistes ?

Publié le : mercredi 9 novembre
Source : geopolis.francetvinfo.fr

 

06/11/2016

USA : Le président du département de la sécurité intérieure déclare officiellement Hillary Clinton coupable de trahison

Enorme !!!

 

L’article en anglais : BREAKING: Department of Homeland Security Chairman Officially Indicts Hillary Clinton Of TREASON

Traduction Google : Le président du département de la sécurité intérieure déclare officiellement Hillary Clinton coupable de Trahison

Posté par Alex Cooper | 3 novembre 2016 | Breaking Nouvelles

 

Le président du Département de la sécurité intérieure Michael McCaul vient de faire l'annonce de DAMNING

Le président du Département de la sécurité intérieure Michael McCaul vient de faire sa déclaration

Le Département de la sécurité intérieure s’est rendu sur Fox News pour dire au peuple américain qu’Hillary Clinton était coupable de trahison.

Dans l'annonce accablante, le président du Département de la sécurité intérieure Michael McCaul a révélé qu’Hillary Clinton a manifestement agi contre les multiples avertissements de sécurité qu'elle recevait alors qu’elle était secrétaire d'État.

En outre, il a continué à dire qu’ Hillary Clinton a pris plusieurs appareils à l' étranger. Non seulement cela, mais il a été prouvé que ces dispositifs pour être piraté par la Chine, la Russie et l'Etat islamique d'Iran.

L'intention est claire. Hillary Clinton a utilisé le serveur secret pour cacher ses actions au peuple américain. Elle a commis une pure trahison contre les États-Unis.

Voici la vidéo complète:

States seek Homeland Security's help securing elections

Obama a également été impliqué dans l'activité de messagerie hautement illégal. Il a même utilisé un alias pour aider à protéger son identité. Les experts en sécurité du FBI ont facilement craqué l'alias, révélant des centaines de conversations secrètes entre Obama et Hillary sur la politique étrangère et intérieure!

Et maintenant que le FBI a trouvé des preuves massives qu’Hillary utilisé la Fondation Clinton pour faire des millions, cela signifie que le serveur de messagerie a été sans aucun doute utilisé pour voler le peuple américain.

Ce qui est pire, Daily Mail a rapporté sur le WikiLeak que le chef Hillary et Obama d'état - major John Podesta ont été avertis à l'avance des enquêtes imminentes. En raison de cela, ils ont été en mesure de supprimer et de laver à l'acide tous les 33 000 courriels seulement 5 jours avant son procès!

Les actions de Clinton vont bien au-delà de la corruption politique. Ils montrent une intention claire et décisive de détruire la justice et la démocratie américaines. Et ce n'est pas seulement Hillary Clinton. Notre propre commandant en chef a été impliqué tout le temps.

Ils font partie de la même force, le mal qui a pris la place de la démocratie américaine

Ils font partie de la même force, le mal qui a pris la place de la démocratie américaine

Oh, et le ministère de la Justice est dirigé par Loretta Lynch, qui a secrètement rencontré Bill Clinton sur une bande d'atterrissage de Phoenix quelques jours à peine avant que Hillary a été acquitté! À partir d'aujourd'hui, Lynch est poursuivi de divulguer les détails de la réunion.

Lorsque la Constitution américaine a été élaborée, une clause très significative et nécessaire a été ajoutée:

«Que chaque fois qu'une forme de gouvernement devient destructrice de ces fins, c'est le droit du peuple de la modifier ou de l'abolir et d'instituer un nouveau gouvernement»

Nous sommes maintenant à la pointe de ce que nos petits - enfants viennent à connaître comme la Seconde Révolution américaine. Le gouvernement n'est plus du peuple; Au lieu de cela, les fonctionnaires corrompus utilisent les citoyens comme des pions dans un jeu tordu de mort et de destruction.

En vérité, le destin de notre nation sera décidé en seulement cinq jours.

 

Hillary, ses courriels, son scandale, en 5 actes

Un bon résumé de l’affaire Clinton en 5 actes parJacques Sapir.


Hillary, ses courriels, son scandale

Le scandale de ce que l’on appelle l’emailgate est en train d’interférer de manière spectaculaire avec la campagne présidentielle américaine. Il met en lumières les pratiques, pour le moins douteuses, d’Hillary Clinton. Quel que soit le résultat de l’élection du 8 novembre, cette affaire hantera dans les années à venir Mme Clinton.

Il y a, en réalité, plusieurs « affaires » dans l’affaire. On est en présence d’un mélange de négligence sur les questions de sécurité nationale de la part d’Hillary Clinton, d’arrogance de sa part (équivalente il faut le dire aux « révélations » de notre Président à des journalistes sur les opérations illégales qu’il aurait ordonné), mais aussi d’obstruction à la justice et – potentiellement – de corruption aggravée. C’est un « drame » en cinq actes, qui se déroule donc depuis 2009 et qu’il faut retracer précisément pour en comprendre l’importance et les implications potentielles.

Premier acte : Hillary Clinton se croit au-dessus des lois

Reprenons ; en janvier 2009 Hillary Clinton est nommée par Barack Obama au poste de Ministre des affaires étrangères (State Secretary). Dans le même temps, les époux Clinton mettent en place une messagerie privée (adresse électronique pour Hillary Clinton : hdr22@clintonemail.com). Sur la recommandation d’Huma Abedin, alors épouse d’Anthony Weiner politicie démocrate de New York, et que Hillary Clinton considère comme sa fille adoptive, Justin Cooper, un des assistants de Bill Clinton contacte Brian Pagliano pour mettre en place un serveur. Brian Pagliano récupère du matériel informatique de la campagne des primaires d’Hillary Clinton pour l’installer à la résidence des Clinton et transfère alors le serveur de mails sur cet équipement, qui devient connu comme le « serveur Pagliano ». Au printemps 2013, le serveur installé par Brian Pagliano se fait vieux, et Pagliano change d’horizon professionnel. L’acquisition et l’installation d’un nouveau système est alors demandée à une société de services, la PRN ou Platte River Networks, société qui est choisie par Hillary Clinton. Un système de sécurité avait été demandé à PRN, mais la société décida finalement de ne pas trop durcir le serveur mail pour permettre une administration-système plus facile.

Mme Hillary Clinton utilise de 2009 à 2013 dans ses fonctions officielles cette messagerie installée sur le serveur Pagliano, et ce en parfaite violation du Federal Records Act. Cette loi impose en effet une copie pour archivage des communications officielles des élus et hauts fonctionnaires pour des activités liées à leur mandat (obligation liée la loi sur la liberté d’information ou Freedom of Information Act). Aux Etats-Unis, en effet, l’ensemble des communications gouvernementales, y compris les courriels, sont supposés être enregistrés par le Ministère de la Justice pour archivage[1]. Mais surtout elle le fait en parfaite violation des règles de sécurité et de confidentialité de sa fonction.

Elle ne pouvait ignorer qu’elle violait la loi, ayant en 2007 comme sénatrice reproché à des élus républicains leur utilisation de mails privés dans le cadre de leurs fonctions. De plus, en 2011 elle envoya, depuis sa messagerie privée un message enjoignant aux ambassadeurs américains de ne pas utiliser des adresses privées. Elle ne pouvait donc ignorer que ce qu’elle faisait – elle – était contraire aux lois et règlements. Fin du premier acte.

Deuxième acte : Hilary Clinton se moque de la loi

C’est la commission d’enquête parlementaire sur Benghazi (soit l’attaque du bâtiment consulaire des USA à Benghazi qui conduisit à la mort de l’ambassadeur Stevens et de quatre autres personnes) à la découverte de cette pratique. En demandant la communication des courriels concernant cette attaque, les parlementaires s’aperçoivent que les archives du Ministère de la Justice sont quasiment vides sur cette affaire. D’où questions posées, et bientôt réponses trouvées : Madame le Secrétaire d’Etat passait par un serveur privé. Le New York Times révèle alors, en 2015, l’utilisation par Hillary Clinton de sa messagerie privée[2].

Or, lors de la « migration » du système du « serveur Pagliano » vers celui de PRN, les possibilités de piratage ont été énormes. Actuellement (novembre 2016) le FBI estime que 5 pays au moins ont piraté des données sur ce serveur. Bref, c’est open-bar pour tous…En fait, un pirate diffuse des messages de l’un des aides d’Hillary à Hillary au printemps 2013, et le Département d’Etat considèrera que ces messages contiennent des informations de nature « confidentielle ».

Hillary Clinton, qui avait démissionné de sa fonction de Ministre des affaires étrangères en février 2013 est alors rattrapée par ce qu’elle qualifie « d’imprudence » mais que l’on peut considérer comme une faute professionnelle grave. Il semble bien qu’elle en soit consciente. En effet, en décembre 2014 un membre de son équipe demande à Paul Combetta, un employé de la société PRN, de supprimer les archives courriels. Mais, ce dernier oublie de le faire.

Suite à la commission d’enquête sur Benghazi, le 4 mars 2015, une subpoena ou requête officielle et contraignante émise par un juge est délivrée par la commission parlementaire au cabinet Williams & Connolly, les principaux avocats d’Hillary Clinton, demandant la communication des emails personnels de Clinton. Elle déclare alors «j’ai décidé de ne pas inclure mes emails personnels, des emails sur la préparation du mariage de Chelsea (la fille de Bill et Hillary), des funérailles de ma mère, des lettres de condoléances, des exercices de yoga, l’organisation des vacances familiales et toutes ces choses qu’on trouve dans toutes les boîtes de réception. Personne ne voudrait voir ces emails publiés, et je pense que la plupart des gens le comprennent et respectent cette intimité». Mais, le 25 mars 2015, soir après l’émission de la subpoena, Paul Combetta est à nouveau contacté par l’équipe d’Hillary Clinton. Il réalise alors qu’il a oublié de supprimer les archives courriels. Il supprime ces archives fin mars 2015 avec Bleachbit, qui est un programme de nettoyage de disque dur. Interrogé par la justice, le 18 février 2016, Combetta niera avoir eu connaissance d’une subpoena au moment où il a supprimé les courriels. Mais, le 3 mai 2016, Combetta admet qu’il était au courant d’une demande d’archivage et du fait qu’il n’aurait pas du toucher au serveur PRN. Il y a donc ici un délit constitué, et un « donneur d’ordre ». Car Paul Combetta n’est pas intervenu de sa seule autorité sur le serveur. Fin du deuxième acte.

Troisième acte : ce bon James Comey…

Il manque donc 33000 courriels dans ce qui est remis par Hillary Clinton à la justice dans le cadre de l’enquête. Le scandale dit « emailgate » commence alors. Cependant, même dans les courriels fournis à la justice, on trouve des éléments de nature « confidentielle ». Le FBI mène l’enquête et décide de l’interrompre au printemps 2016 (mais sans la clore officiellement, simplement en retirant les agents chargés de l’enquête). On est en pleine campagne électorale et Hillary est au coude à coude avec Bernie Sanders pour le choix de la primaire démocrate. En juillet 2016, le directeur du FBI, James Comey, annonce que l’enquête est close (sans que rien n’ait changé juridiquement au FBI) et tout le petit monde politique de Washington salue l’impartialité de ce Républicain, lui tressant des lauriers. Hillary Clinton peut alors penser que le scandale est derrière elle. Fin du troisième acte.

Quatrième acte : coup de théâtre à Washington

Sauf que, les fuites se multiplient. On cite en particulier par Wikileaks mais pas seulement. Signalons que Wikileaks publie aussi les courriels du directeur de campagne d’Hillary, John Podesta[3]. Dans ces courriels, Podesta met en garde Hillary Clinton contre l’utilisation de son serveur personnel pour traiter des affaires confidentielles. On découvre aussi que la direction du parti démocrate et Hillary Clinton ont manipulé le choix de la primaire démocrate pour écarter son adversaire de l’époque, Bernie Sanders.

Le FBI enquête sur l’ex-mari de la conseillère d’Hillary Clinton, Huma Abedin, qui est soupçonné de harcèlement sexuel sur une mineure. Or, fouillant l’ordinateur d’Anthony Weiner, on découvre des dizaines de milliers de courriels envoyés par Hillary. James Comey doit faire face à une véritable révolte au sein de son administration et annonce, spectaculairement, que l’enquête est reprise (elle n’avait jamais été officiellement close, mais il semble que plus aucun agent n’y était affecté). Hillary Clinton maintient sa position selon laquelle ces courriels sont d’ordre privé. Mais, cela semble assez douteux. Il semble bien qu’Huma Abedin ait utilisé l’ordinateur de celui qui était à l’époque son mari, pour communiquer avec Hillary Clinton.

Mais, dans le cadre de la réouverture de l’enquête par le FBI, on commence à s’intéresser à l’ensemble des collaborateurs d’Hillary Clinton et surtout à la Fondation Clinton, machine créée par les époux Clinton pour collecter des fonds (ce qui est légal) mais qui aurait pu être utilisée pour monnayer l’influence de Bill et Hillary Clinton, ce qui constituerait un délit. C’est dans ce cadre que l’on parle de la procédure « RICO »[4], une procédure utilisée contre la mafia.

Cinquième acte : Quo Vadis America ?

Le cinquième acte est encore à écrire. Il ne fait plus de doute aujourd’hui que les 33 000 courriels qu’Hillary Clinton a souhaité ne pas divulguer sont en possession des agences de sécurité américaines. On peut penser qu’elle y a des ennemis acharnés, en raison de ses négligences sur les questions de sécurité qui ont pu causer de graves préjudices à des agents, et qui ont peut-être été responsables de la mort de l’ambassadeur américain à Benghazi.

Selon Wikileaks, dont les informations ont sur ce point toujours pu être vérifiées, elle était au courant des sources de financement de l’organisation « Etat Islamique » et elle a reçu des sommes d’argent, via la Fondation, provenant de sources associées. La dimension « financière » ne doit donc pas être sous-estimée, surtout si la procédure « RICO » est effectivement déclenchée.

Quel que soit le résultat de l’élection du 8 novembre, il est aujourd’hui certain que l’enquête va prendre de l’importance et va probablement aboutir, si Hillary devait être élue, à l’engagement d’une procédure de destitution (impeachment). Cette procédure est lourde et longue à mettre en œuvre. Mais, elle va paralyser une potentielle « présidence Hillary Clinton » pour au moins les deux années qui viennent…La possibilité qu’elle finisse en prison, et sans doute avec Bill Clinton, n’est plus aujourd’hui négligeable.

Où en sommes-nous en ce 5 novembre ?

La négligence d’Hillary Clinton concernant l’usage d’un serveur privé est avérée.

Si l’analyse des 33 000 courriels soi-disant « détruits » et retrouvés montre qu’un seul porte sur la sécurité des Etats-Unis, le délit d’obstruction à la justice, crime fédéral aux Etats-Unis, est avéré. Or, Wikileaks cite de nombreux courriels concernant les activités d’Hillary Clinton en tant que Secrétaire d’Etat. Hillary Clinton devra démontrer qu’elle n’est pas le « donneur d’ordre » dans cette obstruction.

Potentiellement, une procédure portant sur des affaires de corruption pourrait être engagée dans les jours qui viennent.

On le voit, ce que l’on appelle l’emailgate n’est as une simple « boule puante » de campagne électorale, mais bien un scandale majeur.

                      

Notes

[1] https://www.justice.gov/archive/

[2] (http://web.archive.org/web/20150310190317/http://www.nyti...

[3] https://wikileaks.org/podesta-emails/

[4] Le Racketeer Influenced and Corrupt Organizations Act voir aussi, United States. Congress. House. Committee on the Judiciary. Subcommittee No. 5. Organized Crime Control. Hearings … Ninety-first Congress, Second Session on S.30, and Related Proposals, Relating to the Control of Organized Crime in the U.S. [held] May 20, 21, 27; June 10, 11, 17; July 23, and August 5, 1970. Washington, D.C.: U.S. Government Printing Office, 1970.

 

 

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