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Voici les résultats scientifiques des effets de l'un des organes de propagande ou de l'un des outils de manipulation mentale qu'est la télévision pour ceux notamment qui considèrent que parce que c'est dit à la télé ou à la radio "c'est forcément vrai" ! Et ce, sans chercher la vérité ailleurs, sans lire eni s'informer personnellement et sans connaître l'histoire du monde, la géopolitique ou l'histoire tout court, sans chercher à savoir qui mène le monde depuis des millénaires, sans procéder à des analyses des informations de manière objective par flemme, par peur de découvrir et de reconnaître leur ignorance ou par facilité. Ce qui fabrique quelques millions d'idiocrates que le système corrompu peut parfaitement manipuler et faire adhérer à ses théories mensongères et fumeuses à mille lieux de la vérité !
Mais je suis content, je regarde la télé et je gobe tout ce que les merdias aux ordres des lobbies me disent et qu'ils veulent que je sache sans ne jamais me poser aucune question, ce qui est plus confortable en qualité d'idiot utile du système parce que je suis un parfait mouton prêt à aller à l'abattoir pour les Illuminati ! !
Pour les spécialistes, tel Michel Desmurget, il n’y a plus de doute : la télévision est un fléau. Elle exerce une influence profondément négative sur le développement intellectuel, les résultats scolaires, le langage, l’attention, l’imagination, la créativité, la violence, le sommeil, le tabagisme, l’alcoolisme, la sexualité, l’image du corps, le comportement alimentaire, l’obésité et l’espérance de vie.
TV Lobotomie - La vérité scientifique sur les effets de la télévision
Analyse du livre de Michel Desmurget : TV Lobotomie
Ce livre gagnerait sans doute le prix de la couverture la plus laide s’il existait, mais, malgré cette erreur de l’éditeur, il vaut tout de même la peine d’être lu. Michel Desmurget, chercheur à l’INSERM, dans TV Lobotomie. La vérité scientifique sur les effets de la télévision (Paris : Max Milo, 2011) nous propose rien de moins qu’une synthèse de tout ce que les scientifiques savent sur les liens entre la consommation télévisuelle et les attitudes, comportements, capacités, des êtres humains qui consomment de la télévision. Ce bilan scientifique, à partir de 4000 articles selon l’auteur, serait en fait effrayant. Plus on regarde la télévision, plus on a regardé la télévision, plus on l’a fait jeune, plus on augmente toutes choses égales par ailleurs les probabilités d’événements défavorables pour soi-même à tous les âges de la vie. De fait, pour croire aux résultats cités de cette étude, il faut fondamentalement être accessible à la pensée statistique. Comme le montre, le “débat” organisé le 7 février 2011 autour de ce livre sur Europe 1 et la réaction d’une auditrice qui cite son propre cas de téléphagie ne l’ayant pas empêchée d’être, à l’en croire, un génie, c’est un point fondamental.
Ainsi, si l’on a accès au raisonnement en probabilité, typique en épidémiologie par exemple, Michel Desmurget établit à partir de la littérature disponible que :
a) “la télévision est un véritable désastre ontogénétique” (p.136) (conclusion du chapitre II La télé étouffe l’intelligence, p. 71-137), autrement dit des preuves solides existent que, toutes choses égales par ailleurs, le développement intellectuel des enfants se trouve profondément affecté par la consommation de télévision, avec un effet d’autant plus fort que la consommation s’effectue massivement très jeune (dans les toutes premières années 0-3 ans). Des études montrent même qu’à cet âge précoce, le simple fait d’avoir la télévision allumée dans une pièce sans la regarder aurait des effets sur le développement intellectuel. La raison profonde de cette déficience en matière de maturation de l’intelligence ne serait pas liée à la qualité déficiente (ou non) des programmes, mais à la nature non interactive de la télévision. Dans le fond, notre chercheur retrouverait dans la littérature savante contemporaine la vérité marxienne selon laquelle la vérité de l’homme (comme de tout animal) n’est autre que la praxis, et que la télévision constitue une forme extrêmement appauvrie d’(in)activité. En tant que professeur d’université, je dois dire que la courbe historique des scores obtenues aux tests d’admission dans les universités américaines, corrélé avec un retard d’une vingtaine d’années avec la pénétration de la télévision dans les foyers (p. 92), m’a plutôt impressionné. L’auteur cite quelques exemples d’études ayant pu montrer que l’introduction de la télévision détraque les comportements enfantins, et qu’inversement, le sevrage télévisuel peut avoir des effets positifs assez rapides (si l’on valorise la réussite scolaire, le sommeil, le calme, etc.).
b) la consommation de télévision est un facteur déterminant d’augmentation des risques de santé suivants : obésité, tabagisme, alcoolisme, sexualité mal contrôlée chez les adolescents, et j’en oublie quelques autres dont la sénescence précoce (cf. chap. III, “La télé menace la santé”, p. 139-201). Sur le tabagisme par exemple, des études montrent que, pour des adolescents, le simple fait de voir des films plutôt anodins dans lesquels apparaissent massivement des cigarettes fumées par des acteurs sympathiques augmentent la probabilité de devenir soi-même fumeur. En conclusion, indirectement, la télévision tue purement et simplement, et, avant cela, coûte cher en dépenses de santé – mais rapporte beaucoup aux entreprises qui manipulent ainsi nos comportements.
c) Enfin, la consommation de télévision rend violent et /ou anxieux (chap. IV“La télévision cultive la peur et la violence”, p. 203-238). Pour l’auteur, sur le premier point, à savoir le fait de voir de la violence et de devenir en conséquence soi-même, toutes choses égales par ailleurs, plus violent et/ou indifférent à la violence, aurait atteint un tel point de consensus parmi les scientifiques que les recherches se sont ralenties sur ce point depuis quelques années. Inutile de continuer à prouver que la terre est ronde. Pour l’anxiété, due au visionnage massif de la télévision, elle s’exerce d’autant plus puissamment sur les plus jeunes esprits.
En résumé, à en croire l’auteur, la communauté scientifique se trouve sur les divers effets négatifs de la télévision dans un consensus semblable par son ampleur que celui que connaissait cette même communauté sur les effets cancérigènes du tabac alors que l’industrie du tabac et ses affidés et idiots utiles niaient encore farouchement tout lien – avec la même difficulté donc, à savoir que cette “vérité scientifique” n’arrive pas du tout à s’imposer dans l’espace public. La plus grande partie des études citées se trouvent être nord-américaines, et l’on découvrira que, sur la foi de ces recherches, les sociétés savantes des Etats-Unis ont multiplié les avis sur les différents points évoqués, sans à ma connaissance aucun effet sur la civilisation télévisuelle de ce pays. Pisse dans ce violon, camarade savant, tu nous intéresses!
Cependant, bien que Michel Desmurget ne fasse pas la différence, il faut distinguer deux séries d’effets : le plus grave, celui du média télévision en soi, par la passivité qu’il implique et qui s’avère en tout point imparable dans ses effets à tous les âges de la vie (point a)); et les plus remédiables, ceux qui sont liés au contenu des programmes (incitation à la malbouffe, à la violence, etc.) (point b) et c)). On peut remarquer de fait qu’il existe déjà beaucoup de règlementations pour limiter ce qui est montrable à la télévision. Par exemple, aucun pays n’autorise à ma connaissance de la vraie pornographie en clair sur des chaînes accessibles à tous; beaucoup de pays disposent d’un système de classification des œuvres selon le degré de violence; des programmes pour enfants sont conçus et diffusées; on limite ou on interdit la publicité visant les enfants, etc. ; autrement dit, sur les points b) et c), on pourrait, à la limite, imaginer de règlementer en vue d’une télévision qui éviterait les principaux écueils repérés par la recherche. Cela serait sans doute un peu ennuyeux pour beaucoup de gens (plus de séries criminelles, plus de sexe suggéré, plus de fumeurs positifs, etc.) et ressemblerait aux recommandations en la matière de laVie (encore) catholique en 1968 – ou, au contenu de la télévision actuellement gérée par le Patriarcat de Roumanie. Comme le montre l’auteur avec soin (dans le premier chapitre I, p. 33-69), les enfants regardent en gros la même chose que les adultes; donc, à moins de supposer des parents devenus tous raisonnables et ne laissant voir à leurs enfants que ce qui est de leur âge, il faudrait revenir à un terrible degré de censure des programmes. (Dans le cas des Etats-Unis, le principe intangible de la liberté d’expression rend toute réflexion en ce sens largement caduque, mais en Europe, des avancées seraient possibles.)
En revanche, sur le point a), la télévision en soi (quelque soit le contenu) s’avère un désastre ontogénétique pour les enfants (et, accessoirement, tend à aider les adultes à devenir sénile avant l’heure), les perspectives d’action publique me semblent plus limitées; de fait, l’objectif de l’ouvrage semble être bien essentiellement d’obtenir que les parents, prévenus par l’auteur, arrêtent de laisser la télévision à disposition de leurs jeunes enfants (cf. la conclusion en ce sens p. 246 : “pendant les cinq ou six premières années de vie, toute exposition audiovisuelle devrait être strictement proscrite par les parents tant la télévision trouble le sommeil, promeut l’obésité à long terme et interfère avec le développement intellectuel, affectif, physique et social de l’enfant.” ), et, ensuite, contrôlent strictement la qualité et la quantité de ce qui est regardé par ces derniers. Or, comme il croit pouvoir le montrer, ce sont les adultes eux-mêmes qui veulent que les (très) jeunes enfants s’intéressent à la télévision (ou à des DVD) afin d’obtenir du répit dans la lourde tâche de l’éducation qui leur incombe. Bien que n’ayant pas d’enfants, cela m’a rappelé que des amis, n’ayant d’ailleurs pas la télévision chez eux pour des raisons fort semblables à celles invoquées par l’auteur, amis avec lesquels je passais des vacances il y a quelques années, utilisaient sciemment en dernier recours la télévision (cachée jusque là dans un coin du logement) pour paralyser littéralement leur chère progéniture, plutôt remuante par ailleurs, en cas de nécessité absolue (faire les bagages et le ménage à la fin du séjour). Cela m’avait plutôt amusé à l’époque que de voir cet effet de fascination – un peu le rayon paralysant des séries télévisées de mon enfance -, mais je me rends compte à la lecture de Michel Desmurget que là se trouve largement la clé du problème. Tous les adultes n’ont pas l’énergie pour interagir tout le temps avec leur progéniture. Se passer de fait de la télévision supposerait une réorganisation des vies familiales.
Plus généralement, si l’on admet que Michel Desmurget, chercheur à l’INSERM, a fait correctement son travail de compilation et engage ainsi sa responsabilité de savant, on peut en tirer trois conclusions.
Tout d’abord, le peu de sympathie exprimée par quelques grands penseurs du siècle dernier à l’égard de la télévision, Karl Popper, Pierre Bourdieu, et Giovanni Sartori, pour citer des grands noms, semble recevoir une confirmation empirique forte de toutes ces études si l’on partage l’idéal d’une humanité forte et adulte.
Ensuite, on possèderait là un exemple supplémentaire d’écart abyssal entre ce qu’exigeraient les résultats scientifiques et les pratiques socioéconomiques en vigueur. Bien qu’il ne l’ait pas calculé, l’externalité négative de la télévision comme activité sociale parait au total énorme – surtout si l’on compte les effets de long terme qui semblent étonnamment forts. Même si Michel Desmurget se montre très prudent dans ses interventions médiatiques en visant surtout à protéger les enfants d’aujourd’hui et à se présenter comme quelqu’un qui n’est pas contre la télévision en soi, la conclusion logique de son travail serait en fait une suppression pure et simple de la télévision, ou, tout au moins, dans une société de liberté d’entreprendre, la fin de tout soutien public à cette activité économique nocive. Par exemple, si la télévision en soi creuse la tombe de la performance scolaire et nous promet en plus des générations d’obèses, il n’est peut-être pas nécessaire de financer cela sur fonds publics. Ou, du moins, pourrait-on se limiter à une seule chaine exempte de tout effet nocif par le contenu et ne visant que les plus de six ans. Bien évidemment, on n’en fera rien! C’est là un aspect fascinant de nos sociétés, cette capacité à payer des gens pour savoir qu’on se détruit en faisant telle ou telle chose, tout en s’en souciant peu au total. Je pourrais aussi citer la prison comme institution criminogène, ou les deux roues comme cause de mortalité massive sur les routes. Mais, dans le fond, après tout, nous pouvons (encore) nous payer ces luxes.
Dernier point : M. Desmurget nomme sans aménité aucune “pipeaulogue” les spécialistes des médias ou les essayistes qui nient ou minimisent les effets qu’il décrit à la suite de cette littérature qu’il a dépouillé. Son livre prend en effet parfois le ton d’un pamphlet, mais c’est sans doute un choix de sa part pour atteindre un plus vaste public qu’avec un rapport de synthèse et pour rendre le contenu moins austère. Au delà des termes dépréciatifs utilisés à l’encontre de quelques-uns cités dans l’ouvrage, je suis confondu par la divergence entre les conclusions qu’il tire à partir de cette littérature, trouvée essentiellement dans les revues de médecine, d’épidémiologie, de psychologie, et ce que j’avais perçu comme le consensus présent des spécialistes des médias, qui insistent plutôt sur les filtres sociaux à la réception, sur le côté anodin de toute ces contenus. Par exemple sur le cas de la violence et de la sexualité, l’écart me parait énorme. Il est vrai que le souhaitable que dessine en creux le consensus scientifique auquel se réfère Michel Desmurget ressemble fort à la bonne vieille morale éducative de la bourgeoisie catholique du début du siècle dernier. L’auteur s’en défend et s’en amuse même parfois, mais il reste qu’il casse totalement le lien entre “progressisme” (entendu comme recherche de l’autonomie pleine et entière de l’individu) et “libéralisme culturel” (entendu ici comme extension du domaine du montrable). Finalement, cela voudrait dire que des films-culte comme Pulp Fiction ou simplement Avatar sont porteurs de maux pour les jeunes qui en sont les plus friands consommateurs. Si la violence, le sexe et le tabagisme montrés aux masses adolescentes ne sont plus aussi anodins que cela, où va-t-on arriver ma brave petite dame? Chez Benoit XVI? Chez les talibans? Et puis, par ailleurs, si l’on n’a plus de faits divers bien gores pour le JT, de quoi peut-on parler alors? Où sera l’émotion?
Michel Desmurget : l'impact de la télé sur notre santé
P.S. Dans un autre registre, comme signalé en commentaire, je vous conseille le film Idiocracy (Planet Stupid “en français”, de 2007). Au 1er degré, ça ne vole pas super haut, mais au second, c’est une critique assez radicale et bien vue…
Idiocracy trailer Bande-annonce
P.P.S. : et pour le coup, sans aucun rapport avec tout ça, je vous conseille vraiment d’aller voir au cinéma le film La famille Belier, c’est remarquable de sensibilité et une belle façon de commencer l’année…
Un peu d'histoire pour comprendre que ce sont l'Angleterre, les banksters et la Franc-maçonnerie qui ont fomenté la Révolution dite française et que la France est colonisée depuis par les VRP Illuminati qui nous ont inventé la République maçonnique ou l'arrêt-public !!Dans le cas où vous ne le sauriez pas nous avons affaire à des imposteurs et la France est toujours une Monarchie, certes sans Roi, mais toujours une Monarchie !
Marion Sigaut - 1789 n'a jamais été la révolte du Peuple !
Marion Sigaut - Mensonges de la Révolution française
Si vous vouliez être fixés pour savoir à qui appartient Paris depuis la révolution dite française, vous serez fixés, notamment quand Bertrand Delanoë décidait sûrement au nom de la sacro-sainte loi sur la laïcité à géométrie variable, de ne pas faire siéger le Conseil de Paris le jour de Yom Kippour ! Et ensuite on viendra nous bassiner avec la fable de l'Islamisation de la France et de l'Europe !
La décision de Bertrand Delanoë survient en plein débat sur la laïcité. Le maire de la capitale a décidé que le conseil de Paris ne se réunirait pas mercredi, jour de la fête de Yom Kippour.
La fête de Yom Kippour (le "Grand Pardon") - la plus importante du judaïsme - vient clore la période des "jours terribles" ouverte par la fête de Rosh Hashana. Cette année, elle commence le mardi 25 septembre en fin de journée.
Pour Bertrand Delanoë, il s'agit de "tenir compte de toutes les composantes de la société parisienne". Si les élus ne parviennent pas à boucler tout l'ordre du jour du conseil en deux jours, les points subsistants seront repoussés au conseil du 15 octobre, a précisé le maire de Paris.
Publié par wikistrike.com sur 23 Novembre 2011, 09:46am
Vision d'une figure présente devant la façade principale de la Mairie de Paris. Vous pouvez y voir le symbole de la ville, un bateau sur l'eau.
Faites maintenant le tour du bateau, vous pouvez clairement voir une ménorah. Ce symbole est placé juste devant le sigle "Égalité" sur la façade principale la Mairie de Paris.
Une première mention d'armoiries de Paris apparaît dès 1190lorsquePhilippe Auguste, au moment de son départ pour laTerre Sainte, donne pour premières armoiries à la ville de Paris3 :
Le blason de Paris, sous sa forme actuelle, date de 1358, époque où le roi Charles V donna le chef (partie supérieure) semé de fleurs de lys.
Une nef, ou un vaisseau, paraissent avoir été de tout temps le symbole de la corporation des marchands de l'eau, qui donna ensuite naissance à la municipalité de Paris. On a même pu faire remonter ce symbole aux nautes de Lutèce dès l'époque gallo-romaine, même si sa forme n'a pas toujours été la même.
Une première mention d'armoiries de Paris apparaît dès 1190 lorsque Philippe Auguste, au moment de son départ pour la Terre Sainte, donne pour premières armoiries à la ville de Paris3 :
« un écu dont le champ était de gueules, à la nef d'argent, au chef d'azur, semé de fleurs de lys d'or »
C'est Saint Louis qui reconnut pour la première fois officiellement le sceau de Paris. Ce sceau permettait de sceller les actes pris par le prévôt des marchands, désigné par ses pairs, les nautes, pour diriger la cité4.
Sur les sceaux du xive siècle, on trouve la légende « Sigillum mercatorum aquæ Parisius », toujours en vigueur jusqu'aux premières années du xve siècle.
La transformation du sceau en véritable blason représentant un vaisseau surmonté d'un chef de fleurs de lys sans nombre est notamment attestée par les lettres patentes délivrées par Louis XVIII le 20décembre1817, qui citent elles-mêmes une ordonnance du 2février16995, avec pour description6 :
« De gueules un vaisseau équipé d'argent, soutenu d'une mer de même, un chief d'azur semé de fleurs de lys d'or sans nombre. Lesdites armoiries, surmontées d'une couronne murale de quatre tours, et accompagnées de deux tiges de lys formant supports »
Entre temps, lorsque la Révolution a aboli la noblesse par le décret du 20juin1790, elle a simultanément supprimé tous les emblèmes correspondants. La municipalité de Paris a rapidement obtempéré en décidant la suppression de ses propres armoiries dès novembre de la même année.
Il a fallu attendre le Premier Empire pour que les villes soient à nouveau officiellement autorisées à se doter d'armoiries. Pour Paris, cela s'est concrétisé par les « lettres patentes » accordées à la ville de Paris par Napoléon Ier le 29janvier1811, dans lesquelles le chef du blason comporte trois abeilles d'or sur fond de gueules en lieu et place des fleurs de lys. On y voit de plus apparaître une étoile d'argent au-dessus de la nef, et la déesse Isis en proue de la nef.
La Restauration, par les lettres patentes de Louis XVIII de 1817, a ensuite rétabli les armoiries de Paris dans leur forme traditionnelle.
De 1848 à 1853, de la Deuxième République au début du Second Empire, le chef d'azur semé de fleurs de lis a été remplacé par un semé d'étoiles. À noter que Napoléon III a permis le retour du chef fleurdelisé de France.
Blason actuel de Paris (1358)
Le blason de Paris sous le Premier Empire (1811-1814)
La condamnation à mort des Français et des Européens et l'officialisation de la colonisation et du rattachement de la France et des Pays européens aux US/Nazisionistes ! Et sans nous demander notre avis ! Ensuite ils iront sanctionner la Crimée parce que le peuple a voté son rattachement à la Russie !
Selon les technocrates de Bruxelles, “Le traité transatlantique sera signé en 2015″
Comme on l'a rapporté la semaine dernière, pour être très précis, ils se sont donné comme dernière limite 2017 : ce document prévoit la reprise des négociations (la France entre autres ayant déclaré qu'elle ne signerait rien en 2015) , et une relance du processus (voir une signature : ça c'est l'idéal des technocrates, qui ne correspond pas exactement à celui des nations, qui finiront par s’exécuter ) , dés 2015 .
La Commission Européenne a publié son programme de travail pour 2015. Il prévoit notamment le bouclage du Traité Transatlantique de Libre-Echange (TTIP). Un vrai texte de bisounours comme on les aime.
Voici le texte du programme:
Emploi, croissance et investissement
La priorité du programme est consacrée à l’emploi, à la croissance et à l’investissement. L’essentiel de ce chapitre (qui accumule les déclarations d’intention sans contenu effectif) repose sur la mise en place du plan de relance de Jean-Claude Juncker. Les lecteurs de ce blog se souviennent que celui-ci apporte 8 milliards€ d’argent frais, 13 autres milliards en garanties diverses, et que le reste n’est qu’un montage hypothétique de financements privés rendus plausibles par l’effet de levier.
Un marché unique digital et connecté
Ce chapitre prévoit essentiellement une directive sur la protection des données privées et une mise à jour des dispositions applicables au marché des télécommunications. La directive sur les droits d’auteur devrait être modernisée.
Union de l’énergie et réchauffement climatique
Sur ce point, la Commission devrait adopté le Schéma directeur de l’Union de l’énergie, destiné notamment à renforcer l’indépendance énergétique du continent. La Commission devrait également définir les positions européennes pour la conférence de Paris, tout en veillant à developper les services de transport compatibles avec une réduction des émissions de gaz à effet de serre.
Sur ce point, on rappellera lemécontentementdes associations écologistes face à l’abandon programmé du paquet air.
Approfondissement du marché unique
La Commission commence par asséner que le marché unique est l’une des plus grandes réussites de l’Europe, mais qu’il doit être mieux exploité pour créer de l’emploi et promouvoir la compétitivité de nos industries! La Commission devrait tout particulièrement développer des dispositions pour favoriser l’industrie aéronautique.
Dans le domaine des services financiers, la Commission enterre (comme je l’avais annoncé sur ce blog début décembre) le projet Barnier de séparation des activités bancaires, en limitant sa réforme à quelques objectifs très vagues: mise en place d’un marché unique des capitaux (ça, c’est moins vague) facilitant l’accès des entreprises au financement productif.
Approfondissement de l’union économique et monétaire
La Commission fait vivre la fiction selon laquelle l’emploi et la confiance des citoyens reviendront grâce à un approfondissement de l’Union Monétaire. Quel étrange constat, et quelle étrange conviction! La Commission propose donc une « souveraineté collective dans la gouvernance économique ». On se marre par avance. Elle annonce également vouloir « reinvigorate », revigorer le dialogue social à tous les niveaux. Quelle blague!
Il paraît que la Commission va également lutter contre la fraude fiscale, contre l’opacité dans ce domaine, mais sans remettre en cause la souveraineté des Etats membres dans ces domaines. Juncker nous sert ici le blabla habituel: échanges d’information, taxations nouvelles dans le domaine numérique, lutte contre le blanchiment, et incitation des Etats membres à adopter une taxe sur les transactions financières.
Un traité transatlantique de libre-échange raisonnable et équilibré
La Commission affirme que le commerce est bon pour l’emploi et la croissance. Elle propose donc de signer un TTIP bien sous tous rapports (respectueux de la santé, de la diversité culturelle, de l’environnement, etc.), et transparents.
Un espace de justice et de droit fondé sur la confiance mutuelle
La Commission remet sur le tapis la création du procureur européen, qui sera notamment chargé de lutter contre les crimes commis dans plusieurs Etats membres. La Commission devrait par ailleurs légiférer sur l’égalité des chances, notamment en faveur des personnes en situation de handicap. Dans le domaine de l’égalité hommes-femmes, la Commission propose de retirer le projet de directive sur le congé maternité (majoré à 20 semaines) si un accord n’est pas trouvé par les Etats membres dans les 6 mois: une aubaine pour tous ceux qui n’en veulent pas…
La Commission devrait en outre boucler un « Agenda sur la sécurité en Europe », spécialement consacré à la lutte contre le terrorisme.
Vers une nouvelle politique migratoire
La Commission devrait durcir les règles en matière d’immigration clandestine.
Un acteur global plus fort
La Commission annonce officiellement qu’aucune nouvelle adhésion n’interviendra dans les 5 ans. Elle plaide néanmoins pour une politique étrangère commune, avec un objectif de stabilisation politique à ses frontières. Comme d’habitude, la Commission sert le blabla habituel sur la démocratie et les droits de l’Homme, fondements de notre politique étrangère.
Une Union du changement démocratique
La Commission a décidé d’être plus transparente. Un registre devrait être mis en place à cette fin, permettant de clarifier l’intervention des lobbies dans les décisions. Dans ce cadre, le dossier des OGM devrait être réexaminé pour mieux mesurer l’indépendance des acteurs du dossier. En outre, la Commission va tenter d’améliorer la coordination des institutions et l’évaluation d’impact de toutes ses décisions.
Bref, on retiendra de l’ensemble quelques affirmations majeures:
– signature prochaine du TTIP,
– pas d’adhésion nouvelle dans les 5 ans,
– mise en place du mini-plan de relance auquel personne ne croit,
– lutte accrue contre l’immigration clandestine.
Pour le reste, la Commission se contentera de mesurettes sans importance majeure.
L’UPR demande au gouvernement de s’expliquer sur sa surveillance des Français et sa passivité face à l’espionnage américain
Qu'est-ce que le projet Indect ?
COMMUNIQUÉ DE PRESSE DE L’UNION POPULAIRE RÉPUBLICAINE
= Dimanche 28 décembre 2014 =
OBJET : L’UPR demande au gouvernement de s’expliquer sur la surveillance étroite qu’il exerce à l’encontre de la population française et sur sa passivité face aux actes d’espionnage des États-Unis d’Amérique et de plusieurs de leurs alliés.
TEXTE :
Incapable de regarder les Français en face, le gouvernement a pris en catimini, le jour de Noël, de nouvelles mesures liberticides destinées à étendre la surveillance de la population. [http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/guerric-ponce...]
Le décret publié ce 24 décembre 2014, qui précise les modalités d’application de l’article 20 de la loi de programmation militaire du 18 décembre 2013, autorise un vaste accès des services de l’État aux télécommunications des Français – téléphone, SMS, Internet principalement – et à toutes les informations qui transitent par les réseaux nationaux. [http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JOR...]
Ces dispositions, justifiées comme d’habitude de manière très vague, au nom de la « lutte contre le terrorisme », s’ajoutent à celles votées, par la procédure accélérée, le 4 novembre 2014 au sein d’une énième loi antiterroriste, qui permet au gouvernement d’interdire la sortie du territoire national aux Français qu’il juge suspects. [http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/11/04/97001-201411...]
L’attitude du gouvernement est d’autant plus troublante qu’il a, de façon certaine, armé et entrainé des combattants qui ont fait allégeance à des groupes islamistes radicaux en Syrie. [http://www.wnd.com/2014/06/officials-u-s-trained-isis-at-...]
La multiplication de mesures liberticides témoigne de la tendance de plus en plus fascisante des gouvernements européistes, gouvernement français en tête. L’UPR note d’ailleurs que ces mesures s’accompagnent d’un silence médiatique et politique quasiment absolu alors qu’elles contreviennent aux libertés les plus fondamentales proclamées par la Constitution de la République. Ces derniers jours, les médias de grande diffusion ont préféré, par exemple, focaliser l’attention des Français sur la nouvelle chienne Labrador de François Hollande ou sur l’insignifiante affaire du film « The interview », pure opération de propagande, plutôt que de les alerter sur la mise en danger du secret de leur vie privée.
Dans le même temps, le gouvernement laisse complaisamment des puissances étrangères – au premier rang desquelles les États-Unis d’Amérique – espionner les institutions européennes ainsi que les intérêts français, quand ce n’est pas directement la population.
- Comme l’a révélé une enquête conduite par trois journaux et publiée le 13 décembre 2014, les services secrets britanniques, américains et canadiens ont conjointement piraté dès 2008, et d’une façon spécialement agressive, les télécommunications des institutions européennes. [http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/guerric-ponce...].
Cette cyberattaque, conduite à l’aide du virus ultra perfectionné « Regin », n’a été découverte qu’en 2013 et a ainsi permis à Washington de mettre la main sur des documents sensibles relatifs à la négociation du Grand marché transatlantique (GMT).
Ce véritable acte de guerre, commis par Washington avec la complicité de Londres, rappelle combien la « solidarité européenne » est une fiction et le « lien transatlantique » une relation de vassal à suzerain. Il n’a bien entendu donné lieu à aucune réaction, ni des institutions européennes ni du gouvernement français et n’a pas entravé le moins du monde l’avancée des négociations du GMT. Le scandale des écoutes de la NSA et du dispositif PRISM ainsi que le piratage de l’Élysée en 2012 n’avaient pas suscité davantage de réaction des autorités françaises [http://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/2012/11/20/01007...] ;
- Selon l’ex rapporteur du Conseil de l’Europe et ancien parlementaire suisse, Dick Marty [http://fr.wikipedia.org/wiki/Dick_Marty], dans une interview qu’il a accordée à la RTS le 10 décembre 2014, les pays européens se sont engagés, en application de l’article 5 du Traité de l’Atlantique nord, à accorder l’immunité totale à la CIA, en particulier dans les cas de torture reprochés à l’agence américaine [http://www.rts.ch/info/monde/6374144-les-pays-europeens-s...].
Dick Marty s’était fait connaître pour avoir porté à la connaissance du public le scandale des prisons secrètes de cette même CIA en Europe. Le gouvernement français a observé un silence absolu sur les dernières révélations – ahurissantes – de Dick Marty, lesquelles illustrent, d’ailleurs, l’urgence de faire sortir la France de l’OTAN ;
- Un rapport parlementaire de décembre 2014 a révélé la vulnérabilité des entreprises françaises face au dispositif d’espionnage et de pillage d’informations sensibles mis en place par les États-Unis d’Amérique, ainsi que le manque criant de dispositif de défense en la matière du côté du gouvernement français, qui n’a programmé aucune action vigoureuse et urgente depuis. [http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2014/12/18/20002-20141...]
La mise sous surveillance de la population française et l’absence de réaction face aux actes de guerre perpétrés par les États-Unis d’Amérique et plusieurs de leurs alliés contre la France est un nouvel acte de haute trahison du gouvernement français. Ces faits confirment la justesse de l’analyse que François Mitterrand livra, au soir de sa vie, au journaliste Georges-Marc Benamou :
« La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre avec l’Amérique. Oui, une guerre permanente, une guerre vitale, une guerre économique, une guerre sans mort… apparemment. Oui, ils sont très durs les Américains, ils sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le monde… C’est une guerre inconnue, une guerre permanente, sans mort apparemment et pourtant une guerre à mort ! »
L’UPR demande au gouvernement français de s’expliquer sur le contrôle étroit auquel il soumet la population française et sur sa passivité et son indifférence face à l’espionnage intense – véritable acte de guerre – qu’exercent les États-Unis d’Amérique et plusieurs de leurs alliés à l’encontre des intérêts français.
Si MM. Hollande et Valls ne répondent pas à cette demande parfaitement légitime, les Français auront une nouvelle preuve que la France n’est plus une République et que leurs dirigeants se rendent coupables de haute trahison.
============= FIN DU COMMUNIQUÉ============
NE LAISSEZ PAS DÉTRUIRE VOTRE LIBERTÉ ET LA LIBERTÉ DE CEUX QUE VOUS AIMEZ !
N’oubliez jamais cette formule de l’essayiste suisse du XXe siècle, Max Frisch : dans une dictature, « IL Y A PIRE QUE LE BRUIT DES BOTTES, C’EST LE SILENCE DES PANTOUFLES. »
C’est aujourd’hui qu’il faut la mettre en pratique collectivement : car pour triompher, ceux qui veulent détruire la France n’ont besoin que de votre inaction.
C’est aujourd’hui qu’il faut se rassembler pour faire échec à la destruction programmée de la patrie de Saint-Louis, Henri IV, Louis XIV, Montesquieu, Gambetta, Jaurès, Clemenceau, Charles de Gaulle.
C’est aujourd’hui qu’il faut s’opposer résolument à la soumission à l’empire euro-atlantiste qui est en train de ruiner notre niveau de vie, de transformer la France en dictature et de nous entraîner dans des guerres terrifiantes avec le reste du monde.