Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

04/02/2010

Retraites : Un Hold-up d'Etat

Continuez à voter pour l'UMP et les autres !

Publié le 20/01/2010 à 17:28 Le Point.fr

RETRAITES

Un hold-up d'État

Par Patrick Bonazza

Un hold-up d'État

Au centre de tri de La Poste, à Moissy-Cramayel, le 21 octobre 2009, Christian Estrosi à la manoeuvre... © AFP PHOTO / LIONEL BONAVENTURE


Click here to find out more!
Le gouvernement s'apprête à réaliser un casse sur les retraites des 20 millions de salariés du privé dans la plus grande discrétion, révèle l'association Sauvegarde Retraites. Il profite du changement de statut de La Poste pour remplir les caisses de l'Ircantec, régime de retraite bénéficiant aux élus et fonctionnaires non titulaires. Et ce sont les cotisants de l'Arrco et de l'Agirc, c'est-à-dire les salariés et cadres du privé, qui sont détroussés. Le tour de passe-passe au profit du public orchestré par Christian Estrosi, ministre de l'Industrie, est une première.

Quelles en sont les (grosses) ficelles ? Pour comprendre, il faut savoir que les employés de La Poste embauchés avant 1990 ont un statut de fonctionnaire et la retraite qui va avec. Depuis 1990, les pensions des postiers relèvent de l'Ircantec et, à partir de cette année, les nouveaux embauchés tomberont dans le régime commun (Sécurité sociale plus Arrco-Agirc). À l'occasion de ce changement, le Sénat a fait passer un amendement accepté par Christian Estrosi qui prévoit que l'Ircantec recevra une soulte du régime Arrco-Agirc. On parle de 5 à 6 milliards d'euros, rien à voir donc avec un pourboire ! L'argument avancé pour justifier la soulte est spécieux, estime Sauvegarde Retraites.

L'Ircantec, en effet, considère que, les nouveaux embauchés de La Poste relevant désormais d'un autre régime, cela lui occasionnera des pertes de cotisations futures. Et comme ses responsables ne font pas dans la dentelle, ils exigent une indemnisation calculée sur cinquante ans. Autrement dit, l'Ircantec réclame des cotisations sur des employés dont certains ne sont même pas encore nés et, pour cela, "pompe" sans scrupule le régime Arrco-Agirc, dont les finances sont menacées de déficit à très court terme (dès 2013).

Robin des Bois à l'envers

C'est Robin des Bois, mais à l'envers, car on vole les pauvres pour donner aux riches.
Passons sur le fait que le régime de l'Ircantec est plus généreux (on cotise moins pour un meilleur rendement) que celui de l'Agirc-Arrco. On retient surtout que les finances de l'Ircantec sont plus saines. C'est que le nombre d'élus et de contractuels (collectivités locales, fonction publique d'État, hôpitaux) ne cesse d'augmenter, ce qui fournit une armée de nouveaux cotisants (643.000 en 10 ans) qui font terriblement défaut au privé à cause des ravages du chômage.

Après les élections régionales de mars, le gouvernement a promis une nouvelle réforme des retraites. Étrangement, pour l'heure, il déploie son zèle pour défendre l'Ircantec, dont les 2,6 millions de cotisants ne sont en fait que des oiseaux de passage : soit parce que des élus perdent leurs mandats soit parce que des non-titulaires vont dans le privé ou deviennent fonctionnaires (la durée moyenne de cotisation à l'Ircantec est de seulement 8 ans et 11 mois). Ce régime spécial n'a, certes, pas échappé à la réforme des retraites, mais restera plus avantageux que celui du privé.

Comment pareil hold-up peut-il se produire dans le plus grand silence ?
Les sénateurs, en votant l'amendement, ont défendu les intérêts des élus auxquels ils doivent leur mandat. L'État employeur, en soutirant de l'argent à l'Agirc-Arrco, fait des économies. Quant aux syndicats, s'ils ne pipent mot, c'est parce qu'ils sont surreprésentés dans le public. Même la CGC, dont on pourrait s'attendre qu'elle défende la retraite des cadres (Agirc), reste en retrait. Et pour cause, elle assure la présidence de l'Ircantec... Tout le monde y trouve donc son compte, conclut Sauvegarde Retraites. Tout le monde sauf l'énorme masse des salariés du privé qui va se faire plumer. Voilà qui augure mal des discussions sur la réforme du régime des retraites prévues après les élections régionales de mars.

http://www.lepoint.fr/actualites-economie/2010-01-20/retr...

L'Etat fait main basse sur nos retraites complémentaires Agirc-Arrco !

Est-ce que cela vous étonne ?

Affaire à suivre !

Sauvegarde Retraites dénonce le pillage en règle des caisses de l'Agirc-Arrco par l'Etat au profit de l'Ircantec, caisse des fonctionnaires contractuels et des élus locaux.

 

A l'heure où les plus hautes autorités de l'Etat s'affirment résolues à réformer notre système de retraites, Sauvegarde Retraites lève un lièvre énorme : l'Etat organise un pillage en règle des caisses complémentaires des salariés du privé (Cnav/ Agirc-Arrco), dont l'avenir est pourtant loin d'être assuré, afin de "sécuriser" le régime des fonctionnaires contractuels et des élus (Ircantec). Et ce pillage porte sur plusieurs milliards d'euros !


Voici, textuellement, l'engagement qu'a pris le ministre chargé de l'Industrie, Christian Estrosi, devant les parlementaires (Cf. Sénat, JO débat, séance du 8/11/2009, p. 9788) :

"L'Agirc-Arrco versera à l'Ircantec une soulte dont le montant n'est pas encore déterminé. En l'occurrence, il est question de milliards d'euros et de projections démographiques à cinquante ans. Nous ne prenons pas une décision pour les six mois ou les cinq ans qui viennent ! Nous parlons d'une échéance de cinquante ans !"

Rappelons que le régime Ircantec des fonctionnaires et des élus locaux est déjà deux fois meilleur que celui des salariés du privé. Or, au lieu de mettre fin à cette iniquité, l'Etat puise dans les caisses du privé, pourtant exsangues, afin de garantir, coûte que coûte, les privilèges des fonctionnaires et des élus, pour une durée d'un demi siècle ! C'est prendre aux pauvres pour donner aux riches...

Comparaison Ircantec / Agirc-Arrco

Taux de cotisation Rendement
Ircantec 5,63 % 12,18 %
Agirc-Arrco 9,50 % 6,64 % (Arrco) à 6,75 % (Agirc)

 

Pour mettre en œuvre ce plan honteux, l'Etat prend prétexte du changement de statut de La Poste, qui devient une société anonyme (SA). Les nouveaux embauchés de cette entreprise publique seront donc affiliés à l'Agirc-Arrco plutôt qu'à l'Ircantec. Or, les administrateurs de l'Ircantec estiment avoir un droit de propriété sur les futurs salariés de La Poste et réclament, à ce titre, la bagatelle de 6 milliards d'euros.


On croit rêver !
Ainsi, lorsque tout va bien (beaucoup de nouveaux cotisants, peu de retraités), les régimes spéciaux peuvent profiter pleinement et sans partage de la situation pour maintenir les privilèges de leurs affiliés. En revanche, au moindre accroc, les autres régimes, beaucoup moins bien lotis, doivent leur porter assistance même s'ils sont eux-mêmes au bord du gouffre et que la retraite de leurs affiliés est moins bonne.

Pour en savoir plus, consultez l'étude réalisée par Sauvegarde-Retraites : " Agirc-Arrco : main basse sur nos retraites" et lisez l'article consacré à ce Hold up d'Etat par Le Point.

Etude_31_Ircantec.pdf (Objet application/pdf)

RETRAITES : Un hold-up d'État, actualité Economie : Le Point

http://www.sauvegarde-retraites.org/dossier-retraite-du-m...

N. SARKOZY, tenterait-t’il de contrôler Dailymotion ?

Nouveau venu chez Dailymotion, l'Etat investit 7 millons d'euros !

Bienvenue à la censure sur le net !

Jusqu'ici, le fonds souverain s'intéressait surtout à l'industrie. Surprise : il va investir plus de 7 millions d'euros dans Dailymotion. Après avoir supprimé 10% de ses effectifs, le site affirme qu'il est rentable. En finançant le concurrent français de YouTube, le contribuable réalise-t-il vraiment une bonne affaire ? Le Fonds stratégique d'investissement (FSI) va apporter 7,5 millions d'euros à Dailymotion, comme l'a annoncé le site du Figaro ce jeudi matin. Un investissement réalisé dans le cadre d'une augmentation de capital totale de 17 millions d'euros. Le reste provient des actionnaires historiques du site : les fonds Advent Venture Partners, AGF Private Equity, Atlas Venture et Partech International.

Le FSI, « c'est une arme anti-crise », avait expliqué Nicolas Sarkozy. Le chef de l'Etat voulait que la France dispose elle aussi de son fond souverain, comme Abu Dhabi ou Singapour, très offensifs sur les marchés internationaux. Le FSI avait, lui, un rôle surtout défensif : soutenir des PME en difficultés, notamment dans l'industrie. Pourquoi s'intéresse-t-il désormais à un des piliers du web français ?

Imaginons la France d’après... Ou le net serait aussi sous la même influence Sarkoziste que les médias officiels ? Attention danger! Cet homme veut tout contrôler... Si non pour quelle raison rentrait-t'il dans le capital d'une entreprise sans problème?

Quand on se souvient de la lenteur qu’avait mis le gouvernement à ordonner au FSI de déloquer l’aide nécessaire pour sauver Heuliez ? Sans la pression et la ténacité de la présidente de la région Poitou Charentes Ségolène Royal, sur N. Sarkozy, le FSI aurait sans doute laissé mourir une entreprise à la pointe de nouvelles technologies

Claude2frejus

http://www.lepost.fr/article/2009/10/22/1754622_n-sarkozy...




 

03/02/2010

Sarkozy vu par la presse russe !

Anniversaire de Nicolas Sarkozy: portrait de l’homme et du président

Article superbe au vitriol des journalistes Russes !

Nicolas Sarkozy
Nicolas Sarkozy
10:21 28/01/2010
© RIA Novosti. Sergei Guneev
Par Andreï Fediachine, RIA Novosti

L'infatigable Nicolas Sarkozy, président de la République Française, soufflera ses 55 bougies le 28 janvier.
L'hyper-énergique "Super-Sarko" fêtera son anniversaire à un moment où sa popularité n'est pas à son apogée: après deux ans et 9 mois de présidence (il est entré en fonction le 16 mai 2007), seuls 38% des Français approuvent son activité.
La cote de popularité du 6e président de la Ve République aurait été plus médiocre encore (à peine plus de 34% en décembre), si la France n'avait pas réagi en janvier avec tant de compassion à la tragédie haïtienne. Les électeurs ont apprécié. En France, il y a de nombreux immigrés, et entre autres, beaucoup d'immigrés d'Haïti francophone, ancienne colonie française.

Deux ans et 9 mois ne sont pas un prétexte pour analyser sérieusement les réalisations et les erreurs de Sarkozy.
Mais à l’occasion de son anniversaire, on peut dresser le portrait de Sarkozy, homme et président.
D'autant plus que certains détails de son comportement donnent à réfléchir.

Lorsqu'un pays réputé pour sa galanterie, son vin et ses  parfums est mécontent de son dirigeant (65% des Français sont mécontents de leur président), on peut se demander comment des éléments aussi raffinés que politesse et  délicatesse ont pu faire sa réputation.


Toute l'ingratitude française pour celui qui a été élu par la nation avec 53% des voix (Sarkozy a devancé sa concurrente de 6%) ressort dans les ouvrages des caricaturistes français. Sarkozy est leur pain quotidien.

Depuis la fin de l'année dernière, l'image caricaturale « Le Sarko » s’est enrichi des attributs de Napoléon et a des notes évidentes de mégalomanie, de narcissisme, de vanité, d'arrogance, d'affection pour le luxe et la bravade.


Elle laisse un arrière-goût de méchanceté et de jalousie envers les hommes politiques mondiaux et les opposants intérieurs.

Si l'on croit les journalistes français au courant de ce qui se produit à l'Elysée, ces derniers dix-huit mois, le 23e président français a pris l'habitude d'exposer de façon longue et pathétique ses réalisations lors de réunions de cabinet; de souligner qui et comment il a incité à prendre des décisions historiques (suggérant des idées, aidant à éviter un fiasco foudroyant, sauvant, retirant de l'abîme, etc).
Ces monologues se terminent invariablement par des paroles péjoratives à l'adresse d'autres dirigeants mondiaux qui, si Sarko n'existait pas, "n'auraient pu faire, n'auraient pas compris ou n'auraient pas osé".

Ces derniers mois, Sarkozy est mécontent d'Obama. Les experts français affirment que Sarkozy est offensé de la conduite du président américain qui n'a pas réagi comme il se devait (avec enthousiasme et obséquiosité) à l'amitié proposée, n'a pas suivi les recommandations faites par Sarkozy pour venir à bout de la crise financière et de nombreux autres conseils dans le domaine de la politique étrangère.
A la "cour de Sarkozy" (selon l’expression des journaux français), on ne comprend pas. Sarkozy s’est mis à qualifier Obama de "surestimé", "malchanceux" et faible. En fin de compte, après avoir été un fervent atlantiste, Sarkozy s'est tourné vers l'Allemagne.

Dans les rapports avec la chancelière d'Allemagne, entre Merkel et Sarkozy, on entend de plus en plus « Lieber Nicolas » et « Chère Angela ».


Il est vrai, il y a aussi une autre échelle des valeurs, selon laquelle le tournant vers l'Allemagne est le résultat du désir naturel de renforcer le partenariat entre les deux plus grandes économies de l'Europe.


Certains experts disent même que le revirement de Sarkozy vers Berlin s'explique par la crainte que Berlin ne se rapproche de Moscou et que ce processus puisse se faire sans la France.


Certains reporters affirment que Sarkozy se plait à raconter comment, lors de sa première visite de travail à Moscou en octobre 2007, il a littéralement "hypnotisé" Vladimir Poutine, alors président.

On peut citer ses autres sujets préférés : "Comment j'ai sauvé l'Union européenne de l'échec total et prévenu, par la même occasion, l'irruption russe en Géorgie et la guerre dans tout le Caucase".


Cela correspond partiellement à la réalité, compte tenu du rôle joué par Sarkozy dans le sauvetage du traité de Lisbonne de l'UE et dans la médiation lors des pourparlers russo-géorgiens à l'automne 2008.

Comme tous ceux qui sont issus de familles d'immigrés (le père de Nicolas Sarkozy s'est enfui en 1944 de Hongrie après l'entrée des troupes soviétiques dans ce pays et s'est marié à Marseille avec la fille d'un célèbre médecin juif), Sarkozy peut se permettre à l'égard des immigrés ce qu'ils n'auraient pas toléré de la part d'un autochtone. Son approche des problèmes de l'immigration et de la criminalité des immigrés est très dure.

Parmi les dernières initiatives patriotiques du président, on peut citer celle qui ressemble beaucoup aux recherches russe de l'"idée nationale".


A la manière de Sarkozy, cela s'appelle le grand débat sur l'identité nationale, amorcé en novembre de l'année dernière et qui devrait s'achever fin janvier.


Ce débat se déroule sous la devise d’un retour à la "Douce France". Le "point de repère" est une chanson de 1943 (durant l'occupation) sur la bonne vieille France, plus idéalisante et nostalgique que réaliste. Sarkozy (un autre trait des immigrés) tâche d'être plus français que les Français. Ces derniers, selon lui, manquent actuellement de patriotisme.

Par conséquent, ce que disent les journaux et les revues au sujet de Sarkozy n'est pas étonnant. Sarkozy est maintenant représenté (en couleurs et en collages) montant à l'assaut de la Bastille en 1789, assis à côté de Churchill et Staline en 1945 à Yalta, découvrant la pénicilline et l'Amérique, et même fondateur des Beatles.

Bref, les Français semblent montrer qu'ils en ont "assez" de Nicolas Sarkozy. Ils en ont assez de Sarkozy seul et de Sarkozy avec Carla Bruni (sa troisième épouse).


Ils en ont assez de Pal Istvan Sarkozy de Nagy-Bosca, son père, âgé de 81 ans qui s'essaie à la peinture et qui profite du nom de son fils. Il présentera même en avril une exposition à la galerie parisienne Espace Pierre Cardin, dont le clou sera un portrait de Carla Bruni et Nicolas Sarkozy-fils.

Les Français ne seraient pas autant lassés de leur président, s'il ne s'était pas adonné à la débauche aussitôt après son élection, irritant la France par son penchant pour la douceur de vivre, son amour démonstratif du luxe, ses actes pour épater, son divorce, son nouveau mariage, etc. Les Français en ont assez de la quantité d'escapades indignes du président.

La France de Sarkozy et la France des Français s'éloignent de plus en plus l'une de l'autre.
La France des Français comprend mal ce que le président attend d'elle, ce qu'il fait d'elle et ce qu'on peut attendre de lui.

Ce texte n'engage que la responsabilité de l'auteur.


http://fr.rian.ru/discussion/20100128/185948405.html

 

Sondage : La cote de confiance de Sarkozy est au plus bas

Le chef de l'Etat voit sa cote de confiance baisser d'un point à 31%, son plus bas niveau depuis son élection à la présidence de la République en mai 2007.

Nicolas Sarkozy (AFP)

Nicolas Sarkozy (AFP)

Nicolas Sarkozy voit sa cote de confiance baisser d'un point à 31%, son plus bas niveau depuis son élection à la présidence de la République en mai 2007, d'après un sondage TNS Sofres Logica pour Le Figaro Magazine.
D'après cette étude diffusée mercredi 3 février, 65% des sondés ne font pas confiance au chef de l'Etat pour résoudre les problèmes actuels (+2 points), un niveau proche du 66% enregistré mi-2008.
A l'inverse, le Premier ministre, François Fillon, gagne deux points à 39%, 55% des sondés disant au contraire ne pas lui faire confiance (-1).


DSK bien classé


Par ailleurs, Dominique Strauss-Kahn est en tête des personnalités politiques auxquelles les Français souhaitent voir jouer un rôle important à l'avenir, devant Rama Yade et Martine Aubry.
La "cote d'avenir" du directeur général du FMI (PS) s'établit à 44% (-1 point par rapport à janvier), ce qui lui permet de garder la première place de ce palmarès.
La benjamine du gouvernement (42%, +2) ravit la deuxième place à la première secrétaire du PS qui l'occupait le mois dernier (40%, -1).
Le ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner vient ensuite à 39% (-1), devant le porte-parole du NPA Olivier Besancenot (36%, inchangé).
Les plus importantes pertes de ce classement -5 points- sont subies par les sixièmes, ex-aequo à 34%, le ministre de l'Environnement Jean-Louis Borloo et le maire PS de Paris Bertrand Delanoë.

- Le sondage a été réalisé du 29 janvier au 1er février auprès d'un échantillon national de 1.000 personnes représentatif de l'ensemble de la population âgée de 18 ans et plus.

(Nouvelobs.com avec Reuters)



baromètre tns sofres logica

23:34 Publié dans Nicolas Sarközy de Nagy-Bocsa | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |