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29/10/2015

Comment la Russie espionne Israël ? Debkafile répond....

Si Israël espionne la Russie sur ses actions militaires en Syrie, la Russie n'est pas en reste pour surveiller tous ses agissements dans divers pays du Moyen Orient.

Comment Israël espionne la Russie en Syrie ?
Oct 24, 2015 10:18 UTC - IRIB (sp)- Les satellites d’espionnage du régime israélien surveillent les moindres agissements militaires de la Russie en Syrie.

Comment la Russie espionne Israël? Debkafile répond....

Oct 27, 2015 10:37 UTC

http://media.ws.irib.ir/image/4bhif3cc37292718p0_800C450.jpg

IRIB- Le site israélien Debkafile a annoncé que la Russie, en utilisant des systèmes de guerre cybernétique, a créé une nouvelle donne dans le cadre de laquelle, aucune attaque aérienne ou terrestre américaine ou israélienne en Irak et en Syrie voire au-delà de ces pays, ne sera possible sans coordination avec Moscou.

Cité par Farsnews, le site israélien Debkafile, proche des milieux de renseignements du régime sioniste, a écrit, dans un reportage sur la victoire de la Russie dans ses vastes frappes aériennes contre les positions de Daech en Syrie et en Irak que la distance entre le vol des avions russes depuis la base aérienne de Hmeimim près de Lattaquié en Syrie à la base aérienne de Takadoum en Irak est de 824 km tandis que la distance entre Lattaquié à Israël (les territoires occupés palestiniens) est de 288 km.

Le rapport continue que les gouvernements irakien et syrien ont permis, chacun à son tour, l’utilisation des moyens et équipements de ces bases au personnel de l’aviation russe. La présence russe dans ces deux bases aériennes a créé donc un trajet de vol sûr au cœur du Moyen-Orient. Faisant recours à la guerre cybernétique, la Russie a créé une nouvelle réalité : presque aucune attaque ni aérienne ni terrestre de la part des Etats-Unis ou d’Israël ne sera possible contre l’Irak ou la Syrie ou n’importe quel endroit encore plus loin, sans coordination avec Moscou.


Debkafile a ainsi écrit : « Les spécialistes russes, utilisant des systèmes sophistiqués, ont rendu les forces aériennes capables de mener leurs raids aériens dans le ciel du Moyen-Orient sans se voir face à un obstacle quelconque et déjouer ainsi les opérations de la coalition dirigée par les Etats-Unis, en profondeur de la Syrie, aussi bien que les opérations des rebelles au gouvernement syrien. »

 
Ainsi, l’avion sophistiqué d’espionnage « Illusion 20 » de l’aviation russe, avec 4 moteurs Turbo et plus de 12 heures de vol, équipés de senseurs infrarouge, de senseurs de température, de caméras et d’antennes spécifiées, collectent de loin, jour et nuit et dans n’importe quelle condition météorologiques, une vaste quantité de données et de renseignements qu’il transmet aux bases d’opérations à Moscou ou à la base aérienne de Lattaquié.

La Russie effectue cette opération d’espionnage avec ses systèmes très puissants de la guerre cybernétique, des satellites et d’autres méthodes. L’avion « Illusion 20 » ne collecte pas non seulement des informations et renseignements importants sur des agissements d’Israël dans les hauteurs du Golan mais aussi il procède à l’écoute des conversations téléphoniques dans centres de commandement des bases aériennes à Qods et dans le sud des territoires occupés voire même dans le site nucléaire de Dimona à Néguev. Le système de guerre cybernétique de la Russie est aussi capable de perturber, sérieusement, les réseaux de renseignements et de télécommunications d’Israël le long des hauteurs du Golan et des frontières septentrionales et occidentales d’Al-Khalil.

 

 

Les forces aériennes russes ont frappé 118 positions djihadistes en Syrie

Les forces aériennes russes ont frappé 118 positions djihadistes en Syrie


14:54 28.10.2015 (mis à jour 18:20 28.10.2015)

 Su-24 russe, base aérienne Hmeymim en Syrie

Lors des dernières 24 heures, les forces aériennes russes ont frappé 118 positions djihadistes, rapporte le porte-parole du ministère russe de la Défense, général de brigade Igor Konachenkov.

Lors des dernières 24 heures, les forces aériennes russes ont frappé 118 positions djihadistes, rapporte le porte-parole du ministère russe de la Défense, général de brigade Igor Konachenkov.

 

Le général a précisé que les avions russes ont effectué 71 sorties militaires et ont frappé les positions djihadistes dans les provinces d'Idleb, de Homs, de Hama, d'Alep, de Damas et de Lattaquié.

 

 En outre, des avions de bombardement Su-24M ont détruit un poste de commandement djihadiste et un grand dépôt de matériel militaire dans la province de Lattaquié.

Les forces aériennes russes ont augmenté le nombre de sorties militaires parce que le commandement a reçu des nouvelles données confirmées sur des objets d'infrastructure terroriste.

Le 30 septembre, l'Armée de l'air russe a entamé une opération militaire contre l'EI en Syrie sur décision du président russe Vladimir Poutine et à la demande du président syrien Bachar el-Assad. Les frappes aériennes russes ciblent les sites militaires, les centres de communication, les transports, ainsi que les stocks d'armes, de munitions et de combustible appartenant à l'EI.

Depuis le début de la campagne militaire, l'aviation russe a effectué plus de 930 sorties, a éliminé des centaines de djihadistes, des dizaines de postes de commandement, de dépôts et d'autres positions. En outre, 26 avions-fusées ont été lancés par les navires militaires de la flottille de la Caspienne. Ils ont frappé les positions de l'EI avec succès et poursuivent activement leur offensive d'ampleur.

 

Bagdad déclare ne pas avoir besoin d'opérations spéciales US

Une belle gifle pour les USA qui entendaient continuer à faire la pluie et le beau temps en Irak avec le pétrole et le reste !

L'Irak entend prendre son indépendance à l'égard des USA qui sont à l'origine de la débâcle dans ce pays, et qui leur font savoir qu'ils évitent de continuer leurs actions militaires sur leur territoire !

Voir aussi :

IRIB- L’ex-Premier ministre britannique Tony Blair a présenté « des excuses » pour l’invasion de l’Irak en 2003, durant laquelle il fut le principal allié de Georges W. Bush.
 

Bagdad déclare ne pas avoir besoin d'opérations spéciales US

18:09 28.10.2015 (mis à jour 18:26 28.10.2015)

Soldats américains en Irak

L'Irak n'a pas besoin d'opérations terrestres des troupes américaines sur son territoire et n'a pas demandé aux États-Unis de les mener, a déclaré le porte-parole du premier ministre irakien Haïder al-Abadi.

Le 27 septembre, le secrétaire US à la Défense Ashton Carter a déclaré que les militaires américains n'excluaient pas de mener de nouvelles opérations spéciales contre les rebelles du groupe Etat islamique en Irak.

Pourtant, Sa'ad al-Hadithi, le porte-parole du premier ministre irakien Haïder al-Abadi, a déclaré à la chaîne NBC que toute activité militaire devait se faire en accord avec le gouvernement, tout comme les frappes aériennes menées par la coalition avec les Etats-Unis en tête.

"Ce sont nos affaires et le gouvernement n'a pas demandé au ministère américain de la Défense de participer à de telles opérations. Nous avons assez de troupes terrestres", a souligné Sa'ad al-Hadithi sur la chaîne NBC.

L'intensification des initiatives américaines en Irak s'accompagne de démarches diplomatiques visant à empêcher le rapprochement entamé entre Moscou et Bagdad. Les États-Unis rappellent aux autorités irakiennes leurs engagements en tant qu'allié de l'Amérique. Le jour de la visite de Joseph Dunford, les principaux médias arabes ont publié des fuites évoquant des actions de Washington destinées à neutraliser l'influence russe en Irak.

Selon la presse arabe, le général américain John Allen, le coordinateur de la coalition internationale anti-Daech, s'est rendu à Bagdad huit jours avant le général Dunford afin de transmettre au leader irakien les préoccupations de Barack Obama concernant la coopération entre Moscou et Bagdad.

 

La police turque a lancé un raid dans les locaux d'une chaîne de télévision d'opposition à Istanbul

La démocratie selon Erdogan : éliminer l’opposition !

Après les attentas à Ankara qu’il aurait utilisés pour faire reporter les législatives, maintenant on fait inscrire un opposant sur la liste des terroristesen employant les grands moyens.

La police turque a lancé un raid dans les locaux d’une chaîne de télévision d'opposition à Istanbul

28 oct. 2015, 09:43

https://cdn.rt.com/french/images/2015.10/article/56308febc461881b428b4659.jpg

© Capture d'écran d'une vidéo de Haber3com Videoları

Les employés de la chaîne de télévision d’opposition Bugun TV ont subi une descente des forces antiémeutes quelques jours avant les législatives. Son propriétaire, qui s’oppose aux idées présidentielles a été inscrit sur la liste des terroristes.

L’assaut de la police a été filmé et diffusé en direct par la chaîne de télévision Bugun TV.

«Chers téléspectateurs et téléspectatrices, ne vous étonnez pas si vous voyez la police dans quelques minutes», a précisé le présentateur de Bugun TV en direct à l'antenne.




Selon les témoignages, la police a fait usage de gaz lacrymogènes pour disperser la foule et se frayer un passage afin d'accéder au bâtiment Koza Ipek Holding, où se trouvent les locaux de la chaîne de télévision Bugun TV.


Des centaines de personnes, en particulier des journalistes liés au groupe média dont fait partie la chaîne, s'étaient rassemblées devant le bâtiment pour manifester contre le raid policier.

Selon les témoignages, la police a fait usage de gaz lacrymogènes pour disperser la foule et se frayer un passage afin d'accéder au bâtiment Koza Ipek Holding, où se trouvent les locaux de la chaîne de télévision Bugun TV.

Koza Ipek Holding est lié au prédicateur islamique Fethullah Gulen, un adversaire politique du président actuel Recep Tayyip Erdogan. Hier, les autorités turques avaient déjà pris le contrôle de 22 sociétés apparentées à Koza Ipek Holding.

Fethullah Gulen a d’abord été l'allié d’Erdogan jusqu’à ce que la police instruise contre lui  une affaire dans laquelle il était accusé de corruption en 2013. En raison des faits qui lui sont reprochés, il encourt jusqu'à 34 ans de prison mais il s'est réfugié aux Etats-Unis où il se cache.

Après une journée de manifestations devant le bâtiment de Koza Ipek Holding, le ministre de l’Intérieur turc Selami Altinok a déclaré inscrit le nom de Fethullah Gulen sur une liste de terroristes mise à jour.

La France soutient les groupes terroristes en Syrie, estime Bachar El-Assad

Les vérités de Bachar Al-Assad.

La France soutient les groupes terroristes en Syrie, estime Bachar el-Assad

Le président syrien lors d'un discours à Damas

© Sana Source: Reuters - Le président syrien lors d'un discours à Damas

Alors qu’une délégation parlementaire française était ce mercredi à Damas pour discuter, en dépit de la réprobation de l’Elysée, avec le président syrien, ce dernier a dénoncé le rôle joué par les autorités françaises dans le conflit.

«De nombreux pays de la région ou occidentaux, dont la France, continuent jusqu'à présent de soutenir le terrorisme en donnant une couverture politique aux groupes terroristes en Syrie et dans la région», a-t-il affirmé à l’agence de presse officielle Sana. Il a par ailleurs estimé que «le terrorisme est la raison principale de la souffrance du peuple syrien [...], ainsi que l'embargo imposé à la Syrie».

Le 27 octobre, une délégation de trois députés français s'est rendue à Damas afin d’y rencontrer Bachar el-Assad. Jean-Frédéric Poisson, président du Parti chrétien-démocrate breton, qui était du voyage, a déclaré que la solution au conflit passerait par un dialogue avec le président syrien, «qui est en place et qui est élu par le peuple syrien».

En savoir plus : «Beaucoup de députés français souhaitent qu’on commence à discuter avec Assad», selon Jacques Myard

Cette position est à l’opposé de celle défendue par le gouvernement français. En 2012, le chef de la diplomatie, Laurent Fabius, avait affirmé que «le régime syrien doit être abattu et rapidement» et que «Bachar el-Assad ne mériterait pas d'être sur la terre». La même année, le même Fabius avait déclaré à propos du groupe djihadiste, le Front al-Nosra, combattant aux côtés des rebelles contre le président de la Syrie, que «sur le terrain, ils font un bon boulot», comme l’avait alors rapporté le journal français Le Monde. A la tribune des Nations unies, François Hollande a souligné, concernant le chef de l’Etat syrien qu’«étant le problème, il ne pouvait pas faire partie de la solution».

Ce n’est pas la première fois que la France et ses alliés dans le dossier syrien, se voient accusés de soutenir des groupes terroristes contre Bachar el-Assad. Plus tôt, en octobre, un archevêque syrien avait demandé au Royaume-Uni de stopper son soutien aux islamistes

Lire aussi : Le président syrien Bachar el-Assad se déclare prêt à des élections anticipées