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23/10/2015

Netanyahou/Hitler : le nouveau révisionniste de la seconde guerre mondiale

Si vous l’avez manqué, ça vaut le coup de lire et d’écouter cela !

N'importe quoi pour faire supporter le massacre des Juifs aux musulmans !

C'est devant le 37ème congrès sioniste que le Premier ministre israélien a dédouané Hitler de la responsabilité de l'extermination des juifs européens, expliquant que c'était le grand mufti de Jérusalem qui aurait suggéré l'idée au dirigeant nazi.

Sauf que durant la seconde guerre mondiale, la Palestine était encore sous colonisation Anglaise !

3 articles ci-dessous :

Selon Benjamin Netanyahou, Hitler n'a pas voulu exterminer le peuple juif
21 oct. 2015

Benjamin Netanyahou

C'est devant le 37ème congrès sioniste que le Premier ministre israélien a dédouané Hitler de la responsabilité de l'extermination des juifs européens, expliquant que c'était le grand mufti de Jérusalem qui aurait suggéré l'idée au dirigeant nazi.

L'Allemagne affirme sa responsabilité dans le génocide juif après les propos de Benjamin Netanyahou
21 oct. 2015

Benjamin Netanyahou

L'Allemagne a eu une responsabilité «inhérente» dans l'extermination systématique des Juifs d'Europe. Telle est la mise au point de Berlin après la sortie du Premier ministre israélien qui a dédouané les Nazis du crime, accusant le Mufti de Jérusalem

Affaibli par ses propos sur Hitler, Benjamin Netanyahou rencontre John Kerry
22 oct. 2015

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou et John Kerry le 22 octobre

La rencontre entre Benjamin Netanyahou et John Kerry a été quelque peu assombrie par les propos du Premier ministre israélien, qui a récemment affirmé qu’Adolf Hitler avait décidé le génocide des juifs sous l'influence du grand mufti de Jérusalem.

 

 

Les attentats du 11/09/2001, s'invitent à la campagne présidentielle : «Pitoyable» : Trump, Bush et le 11-Septembre

Enfin, un courageux présidentiable qui ose dire la vérité, sur les attentats du 11 septembre 2001 aux USA !

Donald Trump a soulevé que BUSH était au courant des attentats et qu’il aurait pu les éviter ? Ce qui n’a pas manqué de titiller le frère de Gorges BUSH, Jeb BUSH !

«Pitoyable» : Trump, Bush et le 11-Septembre

Samedi 17 octobre 2015 | Mise en ligne à 8h49

http://thehill.com/sites/default/files/styles/article_full/public/blogs/trumpbush1.png?itok=OsoDqiO8

Donald Trump blames George W. Bush for 9/11


«Pitoyable» : C’est l’épithète que Jeb Bush et Donald Trump se sont lancé hier après les propos tenus par ce dernier au sujet de George W. Bush et des attaques terroristes du 11 septembre 2001.

«Quand vous parlez de George Bush, vous pouvez dire ce que vous voulez, mais le World Trade Center s’est effondré durant son mandat», a d’abord déclaré Trump lors d’une interview accordée à Stephanie Ruhle de Bloomberg (voir la vidéo qui coiffe ce billet).

Et d’ajouter, après que la journaliste lui eut demandé s’il blâmait Bush : «Il était président, OK? Blâmez-le, ne le blâmez pas, mais il était président. Le World Trade Center s’est effondré durant son règne.»

Cette déclaration a fait réagir Jeb Bush sur Twitter. «Pitoyable de la part de @RealDonaldTrump de blâmer le président pour le 11/9. Nous avons été attaqués et mon frère nous a gardés en sécurité», a-t-il écrit.

Et Trump a répliqué à son tour dans une série de tweets dont le premier faisait allusion à une réponse que Jeb Bush avait donnée lors du premier débat des primaires républicaines : «Au débat vous avez dit que votre frère nous a gardés en sécurité – je voulais être gentil & je n’ai pas mentionné que le WTC s’est effondré durant sa présidence.»

Et d’enchaîner : «Non @JebBush, vous êtes pitoyable d’avoir dit que rien n’est arrivé durant le mandat de votre frère quand le WTC a été attaqué et s’est effondré.»

L’échange entre Trump et Bush est d’autant plus remarquable que la critique formulée par le milliardaire est ni plus ni moins tabou parmi les politiciens républicains ou démocrates d’une certaine envergure. On verra maintenant comment les électeurs républicains réagiront à des propos qui auraient très bien pu être tenus par une de leur bête noire, en l’occurrence Michael Moore.

Voir aussi :

Traduction de l’article : Trump : Bush savait à l’avance que les attentats du 9/11 auraient lieu

Trump: Bush Knew In Advance 9/11 Was Coming

The Donald Doubles down on previous comments

by Steve Watson | Infowars.com | October 20, 2015

Donald Trump Defends 9/11 Comments - Bush ‘ Did Know It Was Coming ’ - October 20, 2015


Russie/Syrie/USA : quelques réactions après la rencontre avec Assad et les déclarations de Poutine au club Valdaï

Poutine: le messianisme US entrave le dialogue russo-américain
22:02 22.10.2015

 Le président russe Vladimir Poutine

L'une des lois américaines a un point à propos de la "démocratisation de la Russie", mais que penseraient les Etats-Unis si Moscou se fixait le même but à leur encontre, s'interroge Vladimir Poutine.

Poutine: combattre les terroristes en Syrie au lieu de les attendre en Russie
21:45 22.10.2015

 Vladimir Poutine lors d'une réunion du club de discussion Valdaï

Selon le président russe, la menace terroriste en Russie reste au même niveau qu'avant le début de l'opération antiterroriste russe en Syrie.

Les Kurdes syriens saluent la rencontre Poutine-Assad
21:23 22.10.2015

Des miliciens kurdes

Moscou mène des négociations au niveau international pour trouver une solution politique au problème syrien. C'est précisément dans cette optique qu'il faut considérer la rencontre entre Vladimir Poutine et Bachar el-Assad, estiment les dirigeants kurdes.  

Lutte anti-EI: les critiques de Poutine font tiquer Washington
08:41 23.10.2015

soldats américains

Selon des représentants du département d'Etat des Etats-Unis, Washington a "construit ce qui semble être une coalition efficace" afin de lutter contre l'EI.

Syrie: frappes aériennes russes contre l'EI

 

Poutine fustige le «double jeu» occidental avec les «terroristes»

Les USA se sont empressés de réagir aux critiques de Poutine, considérant que Washington avait construit "une coalition qui lui semblait efficace", sûrement pour construire le Grand Isarël et le Grand Moyen Orient !

Lutte anti-EI: les critiques de Poutine font tiquer Washington
08:41 23.10.2015

soldats américains

Selon des représentants du département d'Etat des Etats-Unis, Washington a "construit ce qui semble être une coalition efficace" afin de lutter contre l'EI.

Syrie: frappes aériennes russes contre l'EI

 

Poutine fustige le «double jeu» occidental avec les «terroristes»

22 oct. 2015, 21:06

Vladimir Poutine

 

Le président russe s’est exprimé lors de la réunion annuelle du Club Valdaï à Sotchi. Il a évoqué les problèmes les plus graves de la politique mondiale. Voici sept points clés de son intervention.

Sur les Etats-Unis et l’Iran

«La menace nucléaire de l’Iran n’a jamais existé. Les Etats-Unis ont tenu leurs premiers exercices de défense antimissile en Europe, qu’est-ce que cela signifie ? Nous avions raison lorsque nous nous sommes disputés avec nos partenaires américains. Ils ont tenté de déstabiliser l’équilibre stratégique et de faire évoluer le rapport des forces en leur faveur pour avoir une possibilité de dicter leurs volonté à tous, y compris à leurs concurrents géopolitiques et à leurs alliés».

Sur le double jeux des Etats-Unis avec les terroristes

«Les Etats-Unis possèdent un grand potentiel militaire mais il est toujours difficile de mener un double jeu : lutter contre les terroristes et en même temps en utiliser certains pour poser des pions sur le damier du Moyen-Orient dans leur propre intérêt. Il est impossible de vaincre le terrorisme si on utilise une partie des terroristes comme un bélier pour renverser des régimes que l’on n’aime pas. On ne peut pas ensuite se débarrasser de ces terroristes. C’est une illusion de croire qu’on pourra les chasser du pouvoir. Le meilleur exemple nous est donné par la situation en Libye. On espère que le nouveau gouvernement pourra stabiliser la situation mais ce n’est pas le cas pour l’instant».

Sur le comportement de la coalition menée par les Etats-Unis au Moyen-Orient

«La force militaire reste un instrument de la politique internationale. Mais certains l’utilisent sans aucune raison évidente. Pour montrer qui est le maître à la maison. On ne pense pas à la légitimité de leurs frappes et à leurs conséquences. Cela ne résout pas les problèmes mais les multiplie. Les problèmes, à caractère différent, s’accroissent au Moyen-Orient depuis des années. Mais les tentatives «grossières» de reconstruire le Moyen-Orient se sont transformées en allumette qui a mené à l’explosion».

Sur la définition de l’opposition modérée syrienne

«Il ne faut pas diviser les terroristes entre modérés et non-modérés. On voudrait savoir la différence. Les experts disent que les terroristes «modérés» décapitent les gens de façon modérée ou tendre».

Sur le règlement de la crise syrienne

«Il faut libérer les territoires de la Syrie et de l’Irak qui sont aux mains des terroristes et ne pas les laisser déplacer leurs activités dans les autres régions. Il faut unir toutes les forces : les armées régulières de la Syrie et de l’Irak, des rebelles kurdes et des groupes d’opposition qui sont prêts à apporter leur pierre à la lutte contre le terrorisme. Il faut coordonner les actions des pays de la région et d’autres pays qui combattent le terrorisme. Mais il est évident que les opérations antiterroristes doivent se baser sur le droit international»

Sur la crise migratoire en Europe

«Il faut aider les migrants sans léser les intérêts des citoyens des pays dans lesquels ces migrants veulent s’installer. La collision choquante des traditions de différentes nations ont déjà entraîné une croissance du nationalisme, de l’intolérance, du conflit permanent dans la société»

L'Islande, ce pays qui n'a pas peur d'envoyer les banquiers en prison

Aux USA et en Europe, ce sont les Banksters qui choisissent leurs représentants politiques pour placer leurs pions aux gouvernements !

Ils ne risquent pas d'être délogés de leurs postes, ni les uns et ni les autres !

 

L’Islande, ce pays qui n’a pas peur d’envoyer les banquiers en prison

22 oct. 2015, 21:07

Le pays fait figure d'exemple dans la lutte contre la délinquance financière.

Source: Reuters

Le pays fait figure d'exemple dans la lutte contre la délinquance financière.

La petite île de l’Atlantique-nord a condamné vingt-six banquiers à des peines de prison fermes pour leurs rôles dans la crise financière.

C’est un contraste saisissant entre d’un côté des responsables américains et européens peu inquiétés après la crise et la manière dont l’Islande traite ses propres cas. Vingt-six «banksters» verront les portes des pénitenciers de l’île. Pour la majorité des cas, les peines vont de deux à cinq ans. En Islande, la sentence maximum pour délit financier est de six ans.

Manipulations et … condamnations

Les délinquants en col blanc ont été jugés pour des manipulations du marché financier islandais. Le pays avait dérégulé son secteur financier en 2001. Une accumulation de dettes étrangères aggravée par la crise a conduit à une fusion de l'entièreté du secteur bancaire en 2008.

A propos de cette affaire, l’Iceland Magazine écrit : «Dans deux décisions séparées la semaine dernière, la Cour suprême d’Islande et la Cour fédérale de Reykjavik ont condamné trois cadres supérieurs de Landsbankinn et deux top managers de Kaup þ Ing pour des crimes commis peu avant le krach financier de 2008. Avec ces décisions, le nombre d’acteurs de la finance impliqués dans la crise et punis par la justice se montent à 26 pour des peines accumulées portant à 74 ans de prison.»

Des dettes massives ont été souscrites au nom du peuple islandais afin de permettre au pays de continuer à tourner. Il vient tout juste de rendre son argent au FMI. Certaines dettes sont en cours de remboursement à d’autres nations, huit ans après la terrible crise économique qui a frappé le pays. A l’inverse de la très grande majorité des pays occidentaux, la petite île a tenu à respecter la loi et à chatier ceux qui ont manipulé son système financier.

Les Etats-Unis souffrent grandement de la comparaison

Du côté de l’Oncle Sam, presque aucun des responsables de la crise financière de 2008 n’a été jugé coupable. Un comble lorsque l’on sait que les plus grandes fraudes financières ont été commises outre-Atlantique, fraudes qui ont participé grandement à l’effondrement économique mondial.

Au contraire, le Congrès a soutenu les banques en difficulté à hauteur de 700 milliards de dollars en faisant participer les contribuables américains.

Lorsque l’on demande au président islandais, Olafur Ragnar Grimmson, comment son pays se remet de l’hécatombe, voici sa réponse : «Nous avons été assez sages pour ne pas suivre l’exemple du monde financier occidental ces trente dernières années. Nous avons introduit le contrôle de notre monnaie, fourni de l’aide aux gens et n’avons pas mis en place de mesures d’austérité comme vous le voyez en Europe.»