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28/01/2012

Les oeuvres de l'Open des Artistes de Monaco 2012, sur le thème : La cité demain

Comment les artistes voient la cité de demain ?
Vous pouvez voter en cliquant sous chaque oeuvre pour faire gagner le 1er prix aux artistes, mais il faut voter en notant 4 oeuvres.
Une sélection de 3 oeuvres ci-dessous pour vous donner une idée de ce que les artistes pensent.

Et vous comment voyez-vous la cité de demain ?

OPEN DES ARTISTES DE MONACO 2012

OEUVRE N°45

n45

N°45 - "La cité demain"
Matériaux composés de poudre de pierre enduit sur bois, rehaussé de bas relief et peint à l'acrylique
Dimensions: 80 x 80 cm

Un double regard peut être porté sur l'oeuvre: La cité construite autour du port synonyme d'ouverture au monde. Et L'homme, pierre angulaire d'un univers en perpétuel évolution. Les 4 ronds représentant soit les 4 points cardinaux soit les 4 éléments de l'univers.


OEUVRE N°73

n73

N°73 - "La cité (latin civitas)"
Technique mixte par association de sacs plastique par collage thermique sur châssis bois recycle
Dimensions: 60 x 30 cm en arrondi

La cité (latin civitas). La notion de cité recouvre autant le lieu que ce qui s'y passe. Il s'agit de zones situées dans la ville pour la plupart. Il s'agit aussi de bâtiments qui sont désignés


OEUVRE N°4

n4

N°4 - "La cité demain"
Technique mixte
Dimensions: 65 x 50 cm

Un monde bravant les éléments, mais innovateur, réconcilié, tout en gardant les bases solides de nos anciens !

Toutes les oeuvres ici : http://www.lentrepot-monaco.com/oeuvres-open-des-artistes...

 

 

27/01/2012

Séisme en Italie ressenti dans le Var, les Alpes-Maritimes, la Corse, Strasbourg et jusqu'en Suisse

Deuxième séisme ressenti dans les Alpes-Maritimes, le Var et la Corse en quelques mois.
Le précédent avait eu lieu en Corse, cet été, et celui-ci dans la région de Parme en Italie.

Précédent séisme en juillet 2011.

Un bref séisme a secoué la Corse et Marseille

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2011/07/08/01016-...

Un précédent séisme avait été ressenti mercredi dans le nord de l'Italie, avant celui d'aujourd'hui.

Comme par hasard ces séismes interviennent en même temps que la dernière explosion solaire et le dernier orage magnétique  !

Doit-on établir un lien entre les explosions solaires, les orages magnétiques et les tremblements de terre ?


Séisme en Italie ressenti dans le Var, les Alpes-Maritimes et la Corse

Publié le vendredi 27 janvier 2012 à 16h15 
 
Seisme Italie ide 
L'épicentre du séisme se trouve dans la région de Parme. Ide

Un séisme de magnitude 5,3 enregistré cet après-midi à 15h53 dans la région de Parme en Italie a été ressenti jusque dans les Alpes-Maritimes, le Var et la Corse.

Les pompiers des deux départements ont reçu de nombreux appels d'habitants inquiets mais aucun dégât n'a  été recensé. Le SDIS 06 avait comptabilisé une soixantaine d'appels à 16h15.

Le réseau national de surveillance sismique a confirmé le tremblement de terre dont l'épicentre se trouve à Fornovo di Taro, à 36km de Parme. Il a été suivi, 15 minutes après, d'une réplique de magnitude 3,7.

Dès les premières minutes qui ont suivi le séisme, la rédaction de Nice-Matin a reçu de nombreux témoignages de Varois et d'Azuréens (à lire ici).

La secousse a également été ressentie en Corse-du-Sud où la préfecture appelle les particuliers à « ne pas engorger les lignes téléphonique si la situation ne revêt pas de caractère d'urgence »

Mercredi matin déjà, un séisme de magnitude 4,9 au nord de l'Italie avait été "ressenti faiblement" jusqu'à Monaco, Menton et Nice, selon le site France Séisme, qui répertorie les phénomènes sismiques.

http://www.nicematin.com/article/alpes-maritimes/seisme-e...


Un séisme en Italie ressenti jusqu'à Cannes

Par , le 27 janvier 2012 à 17h03 , mis à jour le 27 janvier 2012 à 18h16

INFO INTERNAUTE - Le séisme d'une magnitude de 5,4 qui a touché vendredi après-midi le Nord de l'Italie a été ressenti jusque sur les côtes françaises.

"Je suis sur la commune du Cannet (Alpes-Maritimes). Vers 16h, j'ai ressenti une faible secousse sismique, avez-vous d'autres témoignages, d'autres infos ? Je vous précise que je suis en étage élevé",  écrit François, un internaute de TF1 News. "Des témoignages à l'image de celui-ci, il y a en déjà près d'une centaine sur le site de l'Observatoire des sciences de la Terre à Strasbourg", précise Jérôme Vergne, Chercheur sismologue  à TF1News. L'onde de choc d'un séisme qui a touché vendredi après-midi le Nord de l'Italie s'est propagée jusque sur les côtes françaises.
 
Peu avant 16h, un séisme de magnitude  5,4 s'est produit dans la province de Parme (dans le Nord de l'Italie. La secousse a été ressentie fortement à Gênes (Ligurie),
Turin, Bologne, et Milan, mais également en Toscane et en Vénétie. ). Aucun blessé  ou dégât matériel n'a été signalé, selon les médias italiens.  Une onde de choc arrivée moins d'une minute plus tard dans les Alpes-Maritimes en France. Les côtes françaises étant à plus de 250 km de l'épicentre, l'onde de choc a perdu de son intensité et ne présente aucun risque pour les habitants.  En Italie, il n'est pas rare que de telles secousses sismiques surviennent. En France, "cette magnitude n'arrive que tous les 4 ou 5 ans", précise le sismologue.
 
Un léger séisme, dont l'épicentre était situé dans la province de Reggio Emilia (centre-nord), avait déjà été ressenti mercredi matin à Milan et à Turin, les deux grandes villes du nord du pays. Selon l'institut italien de géophysique (INGV), la magnitude de ce séisme était de 4,9 et son épicentre situé près des communes de Poviglio, Bresciello et Castel di Sotto, dans la région d'Emilie-Romagne.

Par Véronique Buonomano le 27 janvier 2012 à 17:03

Le séisme italien ressenti dans l'extrême sud-est et jusqu'à Strasbourg

Publié le 27.01.2012, 17h55

 

L'organisme a reçu sur son site internet (www.franceseisme.fr) quelque 90 témoignages provenant d'habitants de 38 communes des départements des Alpes-Maritimes, Corse-du-Sud, Haute-Corse, Bas-Rhin, Savoie, Var et Territoire-de-Belfort.
La secousse, à une profondeur de 60,8 km, a été ressentie fortement à Gênes (Ligurie), Turin, Bologne, et Milan, mais également en Toscane et en Vénétie, sans qu'aucun blessé, ni dégât matériel, n'ait été signalé. De nombreuses personnes sont descendues dans la rue après la séisme. Les standards des pompiers ont également été assaillis d'appels.
En Corse-du-Sud, le tremblement de terre n'a fait ni victimes, ni dégâts, a précisé la préfecture dans un communiqué.
"Le risque de répliques sismiques est très faible", a ajouté la préfecture, soulignant qu'"aucun risque de submersion maritime n'(était) à craindre".
Une secousse sismique de la même magnitude de 5,2 degrés avait été ressentie le 7 juillet en Corse, sans faire de victimes, ni provoquer de dégâts. L'épicentre se situait en mer, à 95 km à l'ouest d'Ajaccio, et la secousse avait également été ressentie sur le continent.
 
 

27.01.2012
 
La terre tremble en Italie et en Suisse

Quelques secousses ont traversé la Suisse vendredi après-midi. Un tremblement de terre d'une magnitude de 5,4 sur l'échelle de Richter s'est produit à 15h53 dans le nord de l'Italie, vers Parme. Selon le Service sismologique suisse, le séisme a été ressenti jusqu'à Zurich. La secousse a pu également être ressentie dans la région, selon les spécialistes et différents témoignages. Un séisme de la même magnitude avait déjà touché Parme mercredi. /fra

http://www.rjb.ch/rjb/Actualites/Regionale/20120127-La-te...

 

27/12/2011

La véritable origine de NOËL. Edifiant ! Fête païenne, satanique. Hommage à Baphomet !

Lisez bien cet article et surtout écoutez bien la vidéo en fin d'article.

Certes  la Bible n'est pas une référence, comme nous l'avons déjà vu, mais les références qui sont données dans ce texte et dans le vidéo sont très intéressantes.

Surtout que comme vous le verrez dans l'article il est question de vénérer le Dieu Moloch celui que vénèrent les Illuminati-reptiliens au sein de leur Club privé Le Bohemians Club sur lequel circulent des rumeurs selon lesquelles leurs adeptes sacrifieraient des enfants lors de leur réunion annuelle.

Voir l'extrait de l'article ci-dessous :

Extrait : Des comportements déviants

De récentes informations (O'Brien et Phillips, Trance Formation de l'Amérique) peuvent changer radicalement cette perception du Bohemian Club. Elles dénoncent non seulement l’ivrognerie, l’usage sans bornes d'alcool et de drogues accompagné de pratiques homosexuelles, mais elles rapportent aussi des activités beaucoup plus sérieuses, tel que des kidnappings, des viols, des actes pédophilies sodomites, et des meurtres rituels. L'enquête est entravée par l’acte de la Sécurité Nationale de 1947.

http://frenzy.chez.com/bohemian.htm

Le Bohemian Club 1*3 - Par alex Jones

http://www.dailymotion.com/video/x6oyae_le-bohemian-club-1-3_shortfilms




La véritable origine de NOËL

PAR DAVID C. PACK
TRADUIT PAR JEAN RICHARD

Quelle est l’origine de Noël ? De la Bible ou du paganisme ? Quelle est l’origine véritable du Père Noël, du gui, des arbres de Noël, des guirlandes et de la coutume d’échanger des cadeaux ? Plusieurs voudraient « réintroduire le Christ dans la fête de Noël ». Y a-t-Il seulement jamais été ? Voici les réponses étonnantes à ces questions !

Chaque année lorsque l’automne avance, les pensées d’un grand nombre de personnes se tournent vers Noël. C’est le moment où les chrétiens pratiquants doivent se concentrer sur Jésus-Christ. Après tout c’est une période qui Lui est dédiée !

Rudolph, le petit renne au nez rouge, les guirlandes, les arbres décorés, le gui, les échanges de souhaits, la musique de Noël, les marrons grillés ainsi que le Père Noël sont toutes des choses qui sont associées à cette fête. Chacune d’elles apportent à tous ceux qui la célèbrent un sentiment de douce chaleur.

J’ai grandi dans une famille qui observait Noël et pour laquelle c’était un événement très important, année après année. Nous n’oubliions rien de ce qui faisait partie de la fête. Le 24 décembre au soir, la nervosité croissait à chaque minute qui passait. Mes parents allaient jusqu’à faire chauffer du café noir frais pour le Père Noël juste avant de nous envoyer nous coucher. Je me suis toujours demandé comment ils avaient appris que le Père Noël aimait son café noir, juste comme eux-mêmes l’aimaient. Après avoir été au lit, j’avais de la difficulté à m’endormir et j’étais impatient d’arriver au matin afin de découvrir ce que le « Père Noël » m’avait apporté.

Noël est considéré par la plupart comme étant une des plus belles périodes de l’année, celle où les gens en profitent pour donner, pour se rassembler en famille, pour écouter de la belle musique et décorer les maisons, pour manger tous ensemble et même chanter des chants de Noël dans le voisinage (comme ma propre famille le faisait chaque année). Toutes ces coutumes veulent être le reflet de l’adoration que nous avons pour le Christ. Et, sans conteste, c’est ce que la Bible nous dit de faire, n’est-ce pas ?

Les réponses à cette question vous surprendront !

Pourquoi les gens pensent-ils que Noël est merveilleux ? Personnellement, je trouvais cette période merveilleuse. J’ai accepté ce que mes parents m’avaient appris. Je n’avais aucune raison de douter de ce qu’ils m’avaient dit. En fait, ils ne faisaient que m’enseigner ce que leurs parents leur avaient enseigné. Jamais je n’ai remis en question l’origine de Noël !

La plupart des gens ne réfléchissent jamais aux raisons qu’ils ont de croire ce qu’ils croient ou de faire ce qu’ils font. Nous vivons dans un monde rempli de coutumes mais très peu se soucient d’en chercher les origines. Nous les acceptons généralement comme allant de soi. En fait, la plupart des personnes font ce que tous les autres font — parce que c’est aisé et naturel.

Examinons soigneusement les racines de la fête de Noël. Voyons quelles sont les raisons de l’existence des coutumes qui lui sont associées. Pourquoi la fête s’observe-t-elle le 25 décembre ? L’Église apostolique du Nouveau Testament observait-elle cette fête ? Cette brochure est remplie de faits historiques qui, une fois regroupés, permettent d’obtenir une image complète. Évitons les suppositions et n’acceptons que les faits qui peuvent être PROUVÉS !

Origine païenne

En 1990, la commission scolaire de Solon, (banlieue de Cleveland) en Ohio, a interdit les représentations de la nativité ou de Noël sous prétexte qu’elles violaient le principe de la séparation de l’Église et l’État. Les parents, outragés par leur décision, traînèrent la commission devant les tribunaux. Ces personnes se sentaient lésées car, disaient-elles, on volait le Noël qui appartenait à leurs enfants et à la communauté. La Commission perdit sa cause ! Les citoyens avaient plaidé que Noël était une tradition universelle qui ne faisait partie d’aucune religion car elle la transcendait. On jugea que c’était une fête séculière qui faisait partie de toutes les cultures à travers le monde.

La décision de la Cour stipulait que Noël n’avait aucune racine chrétienne ! Par contre, selon l’opinion de la Cour, la lecture de la Bible et la prière étaient évidemment associées au christianisme — une admission toute à fait remarquable ! La Cour conclut que l’observance de Noël et les scènes de nativité pouvaient continuer car elles ne faisaient pas partie réellement du christianisme ni de la religion — mais que la prière et la lecture de la Bible, qui elles sont « religieuses » devaient demeurées exclues des écoles.

Pratiquement tout dans la célébration de Noël a ses racines dans les coutumes et la religion romaines. Lisez ce qu’en a dit un important journal américain (The Buffalo News, 22 novembre 1984) : « :La référence la plus ancienne à la célébration de Noël un 25 décembre, est datée du second siècle après la naissance de Jésus-Christ. On croit que les premières célébrations de Noël se tinrent en réaction aux saturnales romaines, un festival des moissons à l’occasion du solstice d’hiver —le retour du Soleil — et pour honorer Saturne, le dieu des semailles. Les saturnales étaient une période plutôt chahuteuse à laquelle s’opposaient fermement les chefs austères de la secte chrétienne encore minoritaire de l’époque. La fête de Noël, dit un érudit, a pris de l’ampleur parce qu’elle servit à remplacer l’adoration du soleil (sun) par l’adoration du Fils (Son). En 529 ap. J.-C.., après que le christianisme fut devenu la religion d’état, l’empereur Justinien fit de Noël une fête officielle. La célébration de celle-ci atteint son summum — certains diront son point le plus bas — pendant la période médiévale lorsqu’elle devint une période de consommation incontrôlée et de festivités encore inégalées. »

Considérez ces citations tirées de l’Encyclopédie catholique, édition 1911, sous la rubrique « Noël ». « Noël n’était pas une des premières fêtes de l’Église…les premières preuves de son existence proviennent d’Égypte. » De plus, « Les coutumes païennes de la période des calendes de janvier se déplacèrent vers Noël. » Sous le titre « jour de la nativité », Origène, un des premiers écrivains catholiques admet. : « …Dans les Écritures, on ne voit personne fêter ou tenir un grand banquet le jour de son anniversaire. Ce ne sont que les pécheurs (comme Pharaon et Hérode) qui tiennent de grandes réjouissances l’anniversaire du jour où ils sont nés dans ce monde » (Partout c’est nous qui traduisons et qui soulignons).

L’Encyclopédie Americana, édition 1956, ajoute : « Noël… ne fut pas observée pendant les premiers siècles puisque l’usage était, en général, de célébrer la mort de personnes importantes plutôt que leur naissance…une fête fut établie pour cet événement (la naissance du Christ) au quatrième siècle. Au cinquième siècle l’Église de l’Ouest ordonna que la fête soit célébrée perpétuellement le jour des rites mithriaques de la naissance du Soleil ainsi qu’à la fin des saturnales, puisqu’il n’y avait aucune certitude quant à la date exacte de la naissance du Christ. »

Impossible de faire erreur sur l’ORIGINE moderne de la célébration de Noël. Nous pourrions citer plusieurs autres sources. Nous y reviendrons plus loin. Commençons par rattacher ensemble certains faits.

Cela a pris 300 ans avant que l’Église romaine observe Noël et ce n’est qu’au cinquième siècle qu’elle ne devint obligatoire dans tout l’empire en tant que festival officiel en l’honneur du « Christ ».

Le Christ peut-Il être honoré par la fête de Noël ?

La justification la plus fréquente que l’on entend au sujet de Noël est que les gens ont remplacé les vieilles coutumes et intentions païennes en disant que, maintenant, elles sont « centrées sur le Christ. » J’en ai entendu plusieurs dire qu’ils « honoraient le Christ » par leur observance de Noël. Le problème est que Dieu ne dit pas que cela est acceptable à ses yeux. En fait, Il nous commande clairement de ne pas le faire. Observer Noël déshonore le Christ ! Il considère tout ce qui s’y rapporte comme une abomination ! Nous verrons pourquoi bientôt.

Le Christ a dit : « C’est en vain qu’ils m’honorent, en enseignant des préceptes qui sont des commandements d’hommes » (Matth 15 :9). Noël n’a pas été ordonné par Dieu. C’est une tradition d’hommes. Et le Christ poursuit, : « Vous anéantissez fort bien le commandement de Dieu, pour garder votre tradition » (Mc 7 :9). Chaque année, dans le monde entier, des centaines de millions de personnes font exactement cela !

Nous allons voir que Dieu nous commande clairement, « N’imitez pas la voie des nations ». Or la majorité des gens ne Le craignent pas, mais Dieu leur permet de décider par eux-mêmes. Les êtres humains possèdent le libre-arbitre — libre d’obéir ou de désobéir à Dieu ! Mais malheur à ceux qui ignore la Parole de Dieu !

Le Christ est-Il né un 25 décembre ?

Le Christ est né durant l’automne. Plusieurs croient erronément qu’il est né au début de l’hiver, le 25 décembre ! Ils se trompent.

Voyez le Adam Clarke Commentary, volume 5, page 370, édition New York : « Il était habituel pour les Juifs d’envoyer leurs brebis au désert aux alentours de la Pâque (tôt le printemps), et de les ramener au bercail au début des premières pluies. » Ces premières pluies commencent entre le début de l’automne et la mi-automne. Si l’on poursuit la citation : « Pendant le temps de leur sortie les bergers les surveillaient nuit et jour. Comme… le début de la pluie était tôt au mois de marchesvan, ce qui correspond en partie aux mois d’octobre et de novembre (commençant parfois en octobre), nous constatons que les brebis demeuraient à l’extérieur pendant tout l’été. Comme ces bergers n’avaient pas encore ramené leurs brebis au bercail, on peut supposer que le mois d’octobre n’avait pas encore commencé et que, conséquemment, notre Seigneur n’est pas né un 25 décembre, parce que les troupeaux étaient encore dans les champs. Il n’aurait pas pu naître plus tard qu’en septembre, les troupeaux étant toujours dans les champs, la nuit. En nous basant sur ces faits seulement, l’idée d’une nativité en décembre devrait être abandonnée. Le pacage des bêtes la nuit dans les champs est un fait chronologique… Vous pouvez aussi lire les citations des Talmudistes par Lightfooth. »

Luc 2 :8 nous explique que lorsque le Christ est né. « Il y avait, dans cette même contrée, des bergers qui passaient dans les champs les veilles de la nuit pour garder leurs troupeaux. ». Veuillez remarquer qu’ils demeuraient dans les champs. Ceci ne s’est jamais produit au mois de décembre. Esdras 10 :9-13 et le Cantique des Cantiques 2 :11 montrent que l’hiver était la saison des pluies et que les bergers ne pouvaient demeurer dans les champs la nuit.

Un grand nombre d’encyclopédies stipulent clairement que le Christ n’est pas né un 25 décembre ! L’Encyclopédie catholique confirme directement ce fait. En toute vraisemblance, le Christ est né en automne ! Une longue explication technique prouverait ce point.

Comme nous savons maintenant que la date du 25 décembre n’est même pas proche de la date de naissance du Christ, d’où proviennent donc les festivals associés à cette date ?

Lisez maintenant la citation suivante sous la rubrique « Noël ». « Dans le monde romain, les saturnales (17 décembre) étaient une période de réjouissances et d’échanges de cadeaux. Le 25 décembre était également considéré comme le jour de la naissance du dieu des mystères iranien Mithra, le Soleil de Justice. Le Jour de l’An romain (1er janvier), les maisons étaient décorées de verdure et de lumières, et des cadeaux étaient remis aux enfants et aux pauvres. À ces célébrations étaient ajoutés les rites germaniques et celtiques de la bûche (de Noël) provenant du temps de l’entrée en Gaule, en Bretagne et en Europe centrale des tribus teutonnes. La nourriture, la fraternisation, la bûche de Noël et autres gâteaux de la période, la verdure et les sapins, les cadeaux et les souhaits soulignaient tous différents aspects de cette période de réjouissances. Les feux et les lumières, les symboles de chaleur et de longue vie, ont toujours été associés aux festivals d’hiver, autant païens que chrétiens » (Encyclopédie Britannique, 15E édition, Vol. II, p. 903).

Une dernière référence au sujet du 25 décembre en tant que date de naissance du Christ est nécessaire. Prenez note de l’article paru dans le Toronto Star en décembre 1984, rédigé par Alan Edmonds et intitulé, « Nous devons beaucoup aux druides et aux Hollandais » (partout, c’est nous qui traduisons). La Réforme a quelque peu terni Noël. Déjà à cette époque certains ecclésiastiques politiciens rusés avaient adopté le festival hivernal païen comme la prétendue date de naissance de Jésus de Nazareth et, y avaient joint quelques autres friandises païennes afin de les rendre acceptables.

Le 25 décembre n’a pas été choisi parce que c’était la naissance du Christ ou même parce qu’il s’en rapprochait. Cette date fut choisie parce qu’elle coïncidait avec le festival idolâtre et païen des saturnales ! Cette célébration doit être soigneusement examinée. Quoi qu’il en soit, nous ne connaissons pas la date exacte de la naissance du Christ. Bien que Dieu ait pu nous la faire connaître, Il a choisi de la cacher aux yeux du monde !

Qui était Saturne ?

Les citations précédentes ont introduit les saturnales. Examinons plus en profondeur qui était Saturne. Considérons d’abord la citation suivante provenant d’un autre grand journal américain, The Democrat and the Chronicle, Rochester, New York, décembre 1984 : « Le festival romain des saturnales, 17 au 24 décembre, encourageait les citoyens à décorer leurs maisons avec de la verdure et des lumières et à faire des cadeaux aux enfants et aux pauvres. Le festival du 25 décembre, natalis solis invicti ou la naissance du soleil invincible, avait été décrété par l’empereur Aurélien en 274 ap. J.-C. en tant que célébration du solstice d’hiver et plus tard… fut christianisé en tant que date à laquelle était né le Fils de la Lumière.

Le Dr William Gutsch, président du Musée américain d’histoire naturelle — planétarium Hayden, a confirmé l’origine de Noël par la citation suivante, le 18 décembre 1989, dans le journal de Westchester, The Reporter Dispatch :

« Les premiers Romains ne célébraient pas Noël mais plutôt une fête païenne appelée saturnales. C’était une fête annuelle qui se tenait au début de l’hiver, ou du solstice d’hiver. C’était la période pendant laquelle le soleil avait emprunté le chemin le plus bas au-dessus de l’horizon et où les jours commençaient à rallonger annonçant par cela une autre saison de croissance.

Si plusieurs des ornements des saturnales ressemblent, d’une façon ou d’une autre, à ceux que nous avons aujourd’hui, nous savons maintenant où nous avons emprunté…nos traditions des fêtes. En réalité, on a suggéré que bien que le Christ ne soit fort probablement pas né à la fin décembre, les premiers chrétiens, étant toujours une secte hors-la-loi, avaient changé la date de la célébration de Noël pour celles des saturnales afin de ne pas attirer l’attention sur eux pendant qu’ils célébraient leur propre fête. »

Les saturnales, bien entendu, célébraient Saturne, le dieu du feu. Saturne était le dieu des semailles parce que la chaleur du soleil était nécessaire pour permettre l’ensemencement et la croissance des cultures. Il était aussi adoré lors de ce festival qui se tenait au plus creux de l’hiver, afin qu’il revienne (il était le « soleil ») réchauffer la terre pour que les semailles de printemps puissent avoir lieu. La planète Saturne a hérité ce nom plus tard car, parmi toutes les planètes, ses anneaux et sa couleur rouge brillant représentait le mieux le dieu du feu !

Virtuellement chaque civilisation possède son dieu du feu ou dieu soleil. Les Égyptiens (et parfois les Romains) l’appellent Vulcain. Les Grecs l’ont appelé Chronos, tout comme les Phéniciens mais ils l’appelaient aussi Saturne. Les Babyloniens l’appelaient Tammuz (en tant que Nimrod ressuscité en la personne de son fils), Moloch ou Baal (comme l’appelaient aussi les druides). Tous ces titres étaient en fait les différents noms de Nimrod. Ce dernier est considéré le père de tous les dieux babyloniens.

Les sacrifices d’enfants.

Veuillez noter la pratique horrible qui est associée à l’adoration du dieu du feu (Nimrod, Saturne, Chronos, Moloch et Baal) dans les références suivantes tirées du livre Les deux Babylones d’Alexander Hislop, p. 231.

« Maintenant, ceci est en concordance exacte avec le caractère du dirigeant suprême de ce système d’adoration du feu. Nimrod, en tant que représentation du feu dévorant, auquel les victimes humaines, tout particulièrement des enfants, étaient offertes en sacrifice, était considéré comme le grand dévoreur…il était, bien entendu, le vrai père de tous les dieux babyloniens ; et, qui par la suite a toujours été universellement considéré en tant que tel. En tant que Père des dieux, il fut, comme nous l’avons vu, appelé Chronos. Tout le monde connaît l’histoire classique de celui qui simplement « dévorait ses fils aussitôt qu’ils naissaient ». (Lempriere Classical Dictionnary, Saturn)…Cette légende possède encore un sens plus profond ; toutefois, appliqué à Nimrod, dit « le Cornu », cela fait simplement allusion au fait que, en tant que représentation de Moloch ou Baal, les enfants étaient l’offrande la plus acceptable sur son autel. Nous possédons suffisamment de tristes preuves à ce sujet à partir des archives de l’Antiquité. « Les Phéniciens » disaient Eusèbe, sacrifiaient chaque année leurs nouveau-nés bien-aimés à Chronos ou Saturne. »

Mais pourquoi les sacrifices humains ont-ils une telle importance dans l’adoration de ce terrible dieu ? Quel bien les êtres humains pouvaient-ils espérer dans le fait de sacrifier leurs propres enfants ? Continuons : « …celui qui s’approchait du feu recevait une lumière de la part de la divinité » et « par ce feu divin toutes les taches dues aux générations précédentes pouvaient être effacées. » C’est la raison pour laquelle ils [ont fait passer par le feu] à Moloch leurs fils et leurs filles (Jér 32 :35). (Partout c’est nous qui traduisons).

Aussi incroyable que cela puisse paraître, des êtres humains séduits croyaient réellement qu’ils plaisaient à leur « dieu » en sacrifiant leurs propres petits enfants innocents. Ils croyaient que le feu les purifiait du péché originel. La doctrine païenne énonçant la nécessité de passer du temps au purgatoire afin de purifier l’âme de tout péché tire son origine de cette croyance !

Qui était Nimrod ?

Nous devons examiner de plus près qui était ce personnage biblique. Nous avons déjà pu constater qu’il était un des faux dieux originaux de l’histoire. Mais que pouvons-nous apprendre de plus ?

Genèse 10 :9 dit de Nimrod : « Il fut un vaillant chasseur devant [à la place de] l’Eternel ». En fait, il a tenté de remplacer Dieu.

Le réputé historien juif, Flavius Josèphe a écrit dans « les Antiquités judaïques » des preuves importantes sur le rôle de Nimrod après le déluge universel. Voyez : « …il [Nimrod] aspirait à la tyrannie…il leur offrit de les protéger contre lui [Dieu] s’il menaçait la Terre d’un nouveau déluge, et de bâtir à cet effet une tour si haute que non seulement les eaux ne pourraient s’élever au-dessus, …Ce peuple insensé se laissa aller à cette folle persuasion qu’il lui serait honteux de céder à Dieu » (Livre I, Chapitre IV, sec 2,3).

C’est sous plusieurs noms que les premiers, et sans doute les plus grands, rebelles ont été adorés au moyen de fausse religion. Israël n’a jamais cessé de servir les nombreux faux dieux que Nimrod représentait.

Ézéchiel 8 :13-14 parle d’une vision au sujet de femmes d’Israël « qui pleuraient Thammuz ». Ce Thammuz (dieu du feu) aurait représenté Nimrod et l’étymologie du mot est absolument fascinante. Tam signifie « rendre parfait » et muz « feu ». La signification est très claire en regard de ce que nous avons déjà appris. Incidemment, pendant la guerre Tempête du Désert, entre l’Irak et le Koweit, Saddam Hussein avait même nommé un de ses missiles « Thammuz ». Il avait certainement compris que la signification du nom impliquait du feu.

Sacrifiés à Moloch.

Voyons comment le peuple de Dieu, Israël, adorait Baal-Moloch une fois qu’il avait abandonné le vrai Dieu : « Ils ont bâti des hauts lieux à Baal dans la vallée de Ben-Hinnom, pour faire passer (par le feu) à Moloch leurs fils et leurs filles : Ce que je ne leur avais point ordonné ; et il ne m’était point venu à la pensée qu’ils commettraient de telles horreurs… », (Jér 32 :35).

Veuillez noter que Dieu Lui-même dit que de telles horreurs ne lui étaient jamais venues à la pensée. « Ils ont bâti des hauts lieux à Baal, pour brûler leurs enfants au feu en holocaustes à Baal : Ce que je n’avais ni ordonné ni prescrit, ce qui ne m’était point venu à la pensée. » C’est pourquoi voici, les jours viennent, dit l’Eternel, où ce lieu ne sera plus appelé Topheth et vallée de Ben-Hinnom, mais où on l’appellera vallée du carnage. (Jér 19 :5-6). Le verset 6 lie la vallée de Tophet et de Hinnom à ce genre de sacrifices. Jérémie 7 :31 lie aussi la vallée de Tophet ou Hinnom aux sacrifices d’enfants. La signification de Tophet est « tambour – tambourin ». On faisait résonner les tambours afin d’étouffer les cris des victimes qui brûlaient dans les flammes.

Prenez note de cette citation par John Milton, auteur du poème « Le Paradis Perdu », au sujet du terrible dieu Moloch : « D’abord s’avance Moloch, horrible roi, aspergé du sang des sacrifices humains et des larmes des pères et des mères, bien qu’à cause du bruit des tambours et des timbales retentissantes le cri de leurs enfants ne fût pas entendu lorsqu’il les passait par le feu devant cette sinistre idole. » Bien entendu, plusieurs diront qu’ils ne sacrifient pas leurs enfants à Moloch aujourd’hui, mais poursuivez. (Partout c’est nous qui traduisons).

Dans le Nouveau Testament, Étienne, le martyr, fut lapidé à mort, au moins en partie parce qu’il avait accusé ceux qui l’écoutaient de l’adoration de cette idole malveillante (Actes 7 :43).

Lorsque le roi Josias, un juste, hérita du trône en tant que roi de Juda, il détruisit tous les autels de la vallée de Tophet (ou Hinnom — la même vallée que le Christ compara au feu de la géhenne dans Mc 9 :43-49) peu après avoir été couronné. Il avait réalisé tout le mal des pratiques qui se tenaient à cet endroit.

Les druides et les sacrifices humains.

Plusieurs ont entendu parler des druides. Peu savent qui ils étaient ou ce qu’ils étaient. Nous ferons allusion à eux plus bas et verrons ce qui les relie à certaines pratiques de Noël bien connues. Nous devons d’abord établir quel était leur rôle dans les sacrifices humains.

Jules César est une des sources d’information les mieux connues sur les druides. Ce qui suit est tiré de l’Encyclopédie Britannique. Cette citation, sous la rubrique « Druides », explique clairement qui ils étaient : « Druides, la classe instruite des anciens Celtes, dont le nom signifie Connaître (ou Trouver le chêne). On dit qu’ils fréquentaient les forêts de chênes et agissaient en tant que prêtres, enseignants et juges. Les archives les plus anciennes au sujet des druides proviennent du troisième siècle av. J.-C…Les druides étaient en charge des sacrifices publics et privés et plusieurs jeunes hommes allaient vers eux pour être instruits. Ils jugeaient toutes les querelles privées et publiques et prononçaient les sentences…La principale doctrine des Druides était l’immortalité de l’âme…(ils) offraient des victimes humaines pour ceux qui étaient gravement malades ou en danger de mort dans les batailles. D’énormes paniers d’osier étaient remplis d’hommes vivants pour être ensuite brûlés. Bien que les druides choisissaient préférablement des criminels, ils sacrifiaient aussi des victimes innocentes, si nécessaire.

L’Ancien Testament est rempli de condamnations prononcées par Dieu à l’endroit d’Israël pour avoir pratiqué les coutumes des nations qui les entouraient. Nous rassemblons des faits importants qui sont en train de révéler une image atroce.

Le rôle du cannibalisme.

Une autre vérité à propos de l’origine de Noël a rapport au mot moderne cannibale. Cette pratique a ses racines dans l’une des fonctions principales de tous les prêtres de Baal. Le mot hébreu pour « prêtre » est Cahn.

Voyez maintenant la citation suivante tirée de l’ouvrage « Les Deux Babylones » d’Alexander Hislop, page 232. « C’était un des principes de la loi mosaïque, un principe qui découlait sans aucun doute de la foi des patriarches, que le prêtre devait partager tout ce qui était offert en tant que sacrifice d’expiation (Nombres 18 :9-10). Donc, les prêtres de Nimrod (Baal) avaient aussi l’obligation de manger les victimes des sacrifices humains, et c’est ainsi qu’est né le mot « Cahna-Bal », prêtre de Baal, dans notre propre langue pour désigner ceux qui mangent de la chair humaine. »

Personne ne peut ignorer cette réalité. Il est également vrai que la plupart des civilisations possèdent une tradition qui inclut le cannibalisme. Voyez cette affirmation du New York Times. « Quelle est la signification du cannibalisme ? » par Erik Eckholm. Le cannibalisme a, par le passé, à la fois fasciné et repoussé virtuellement chaque société connue, incluant celles qui sont réputées l’avoir pratiqué. »

Le même article poursuivait en démontrant que la plupart des civilisations attribuaient une signification divine à une telle pratique.

Qu’en est-il du mythe du Père Noël ?

Avez-vous déjà pensé que vous pourriez être en train de faire passer vos enfants par le feu, les sacrifier, (d’une manière différente toutefois) en observant la fête de Noël, tout en essayant sincèrement de mettre « l’emphase sur le Christ » ?

Les parents soutiennent qu’ils doivent observer tout le mythe de Noël à cause de leurs enfants ! Les traditions de Noël se concentrent principalement sur les enfants qui deviennent le centre de pratiquement tout ce qui se déroule. Je le sais car j’ai fêté dix-sept Noël. Ma sœur aînée, mon jeune frère et moi recevions beaucoup et donnions très peu à cette occasion, et tout commençait par le mensonge à propos du Père Noël.

Il y a de cela quelques années, un prêtre du New-Jersey dit aux élèves de sa classe du dimanche que le Père Noël était un mythe. L’indignation des parents et de ses superviseurs fut instantanée. Il venait de « tuer le Père Noël ». Il avait « détruit la tradition familiale » ! Il avait « usurpé l’autorité familiale, » disait l’article. Il fut censuré par ses supérieurs pour avoir été « trop zélé et insensible. »

Son crime ? Avoir dit la vérité !

Selon « l’Encyclopedia of World History » de Langer (article Santa), le nom de ce personnage était un surnom commun de Nimrod en Asie mineure. C’était aussi le même dieu du feu qui descendait dans les cheminées chez les anciens païens et le même dieu du feu pour qui des enfants étaient brûlés et mangés lors des sacrifices humains pratiqués par ceux qui jadis avaient été le peuple de Dieu.

Aujourd’hui le nom de Santa Claus vient de « Saint Nicolas ». En 1809, Washington Irving fut responsable d’avoir transformé le sévère et vieil évêque original en un nouveau et « joyeux St-Nick » dans son Knickerbocker History of New York. (La plupart des traditions de Noël de l’Amérique sont encore plus récentes que cela). L’expression anglaise « Old Nick », que l’on retrouve d’ailleurs dans le dictionnaire, est depuis longtemps reconnue comme un surnom du diable.

Dans Apocalypse 2 :6 et 15, la Bible traite du sujet de la « doctrine des Nicolaïtes ». à propos de laquelle le Christ dit qu’il la hait. Analysons le terme Nicolaïtes. Cela signifie « disciple de Nicolas ». Nikos signifie « conquérant, destructeur ». Laos signifie « peuple ». Les Nicolaïtes sont donc ceux qui suivent le conquérant ou destructeur — Nimrod. Si jamais vous aviez cru qu’observer Noël est une coutume chrétienne sans conséquence, alors permettez à ces vérités de s’imprégner dans votre esprit.

Les Écritures permettent-elles les échanges de cadeaux ?

Les marchands disent régulièrement que 60% de leur chiffre d’affaires se réalisent pendant la saison de Noël. Cela représente l’achat d’un nombre extraordinaire de cadeaux. Plusieurs croient que la coutume de donner des cadeaux provient de l’exemple des « trois rois mages » (la Bible ne dit pas combien ils étaient) faisant des dons au Christ. Est-ce bien vrai ? D’où vient cette coutume, et qu’en dit la Bible ?

La Bibliotheca Sacra, volume 12, pages 153-155, dit : « L’échange de présents entre amis est une caractéristique de Noël et des saturnales, et a du être adopté des païens par les chrétiens comme le montre clairement l’avertissement de Tertullien. »

Comme tout autre aspect de Noël, la vérité brutale est que même cette soi-disant coutume chrétienne ne vient pas de la Bible. Ironiquement, les gens aiment croire qu’ils suivent l’exemple des rois mages faisant des présents au Christ alors qu’en fait, ils se donnent des cadeaux presqu’exclusivement l’un à l’autre ! Quelle hypocrisie ! Le Christ est complètement oublié.

En fait la Bible enseigne que les chrétiens ne doivent pas observer les anniversaires de naissance. Plusieurs passages illustrent ce principe clairement. (Lisez notre article « Les anniversaires de naissance sont-ils des célébrations chrétiennes ? ») Que penseriez-vous si vous aviez été invité pour fêter votre anniversaire et, qu’une fois sur place, vous constatiez que tous s’échangent des cadeaux sans se préoccuper de vous ? Cela semblerait plutôt ridicule ! Si cela arrivait vous diriez que les gens sont égoïstes en vous oubliant de la sorte. La vérité est que la plupart des gens font des cadeaux aux autres à Noël simplement parce qu’ils s’attendent à en recevoir eux-mêmes !

Retournons brièvement aux « rois mages » qui ont fait des présents au Christ. Les passages qui décrivent cela se retrouvent dans Matthieu 2 : 1-11. « Jésus étant né à Bethléhem en Judée, au temps du roi Hérode, voici des mages d’Orient arrivèrent à Jérusalem, et dirent : Où est le roi des Juifs qui vient de naître ?… Ils entrèrent dans la maison, virent le petit enfant avec Marie, sa mère, se prosternèrent et l’adorèrent ; ils ouvrirent ensuite leurs trésors, et lui offrirent en présent de l’or, de l’encens et de la myrrhe. »

On croit d’une façon générale que ces présents étaient des cadeaux d’anniversaire pour « l’enfant Jésus ». Mais est-ce bien ce que la Bible dit ? Absolument pas ! En premier lieu, on doit noter qu’ils ont donné les présents à Jésus. Ils ne se tenaient pas devant lui en s’échangeant des cadeaux ou en en donnant à d’autres. Les présents Lui furent donnés. De plus, ils arrivèrent bien après son « anniversaire de naissance ». Ceci est une raison supplémentaire pour laquelle ce ne pouvait être des « cadeaux d’anniversaire. »

Une des plus anciennes coutumes de l’Orient est d’offrir des cadeaux lorsque quelqu’un se retrouve en présence d’un roi. Ces personnes savaient qu’elles étaient en présence du « Roi des Juifs ». La Bible cite plusieurs exemples de personnes envoyant des cadeaux aux rois ou leur remettant en arrivant en leur présence. C’est une coutume courante de nos jours lorsqu’un ambassadeur ou d’autres personnes se retrouvent en présence d’un dirigeant du monde.

En dernier lieu, notez ce que dit le « Adam Clarke Commentary » volume 5, p. 46, à propos de ce qui s’est réellement passé à cette occasion : « Verset 11. Ils Lui offrirent [des présents].Les gens de l’Orient n’approchent jamais des rois ou des personnages de renom sans avoir un présent dans leurs mains. On peut souvent remarquer cette coutume dans l’Ancien Testament, et elle a toujours cours en orient de nos jours ainsi que dans certaines îles nouvellement découvertes des mers du sud. » Des présents étaient couramment faits aux rois.

Quoi de plus simple ?

L’origine de l’arbre de Noël

Aucune brochure au sujet de Noël ne serait complète sans une explication à propos de « l’arbre de Noël ». Jusqu’à maintenant nous n’avons qu’effleurer le sujet. L’arbre de Noël moderne a eu son origine en Allemagne. Mais les Allemands l’ont eu des Romains qui, eux, l’ont eu des Babyloniens et des Égyptiens.

Ce qui suit démontre ce que les Babyloniens croyaient à propos de l’Origine de l’arbre de Noël : « Une vieille fable babylonienne parle d’un arbre « toujours vert » qui était sorti de la souche d’un arbre mort. La souche était le symbole de Nimrod, mort, le nouvel arbre symbolisait Nimrod revenu à la vie en la personne de Thammuz ! Chez les druides, le chêne était sacré, chez les Égyptiens c’était le palmier, et chez les Romains c’était le sapin que l’on décorait avec des fruits rouges pendant les saturnales ! (Walsh, Curiosities of Popular Customs, p. 242).

Le livre de Frederick J. Haskins intitulé « Answers to Questions dit : « L’arbre de Noël provient d’Égypte et son origine date d’une période bien antérieure à l’ère de Noël ». Saviez-vous cela… que l’arbre de Noël a précédé de longtemps le christianisme ?

La majorité des coutumes de Noël ne sont pas mentionnées dans la Bible. La raison principale étant, bien entendu, qu’elles ne viennent pas de Dieu. Elles ne font pas partie de la façon dont Il veut que les gens L’adorent. L’arbre de Noël par contre est directement mentionné dans la Bible ! Lisez Jérémie 10 :2-5 : « Ainsi parle l’Eternel : N’imitez pas la voie des nationsCar les COUTUMES des peuples ne sont que VANITE. On coupe le bois [l’arbre] dans la forêt ; la main de l’ouvrier le travaille avec la hache ; on l’embellit avec de l’argent et de l’or, on le fixe avec des clous et des marteaux, pour qu’il ne branle pas. Ces dieux sont comme une colonne massive [un palmier], et ils ne parlent point ; on les porte, parce qu’ils ne peuvent marcher. Ne les craignez pas (comme dieu), car ils ne sauraient faire aucun mal, et ils sont incapables de faire du bien. »

C’est une description de l’arbre de Noël moderne. Dieu y réfère en disant « la voie des nations ». D’une manière aussi directe, il commande à Son peuple de ne pas « [imiter] … la voie des nations ». Il dit que ces coutumes ne sont que « vanité ». Le verset 23 affirme d’une façon remarquable et puissante : « Je le sais, Ô Eternel ! La voie de l’homme n’est pas en son pouvoir ; Ce n’est pas à l’homme, quand il marche, à diriger ses [propres] pas. » Dieu doit enseigner aux gens la façon de vivre. Ils ne sont pas capables de comprendre par eux-mêmes ce qu’il faut faire.

Le 10e chapitre de Jérémie ne permet pas de croire, comme certains ont voulu le suggérer parce qu’il est dit qu’ils ne sauraient faire mal, que ce ne soit pas vraiment défendu d’avoir un arbre de Noël. Dieu condamne l’élévation d’arbres (de Noël) païens en l’ordonnant clairement !

L’origine des couronnes, de la bûche et du gui.

L’Encyclopedia Americana dit : « Le houx, le gui, la bûche de Noël…sont des vestiges de l’ère pré-chrétienne. » Autrement dit, du paganisme ! La bûche (de Noël) faisait partie d’un rite Teuton d’adoration de la nature.

Le livre de Frederick J. Haskins ajoute : « Les autorités croient que l’utilisation des couronnes de Noël tire leur origine des coutumes païennes de décoration d’édifices et des endroits de culte pendant la fête qui se tenait pendant la même période que Noël. »

L’Encyclopédie Britannique, sous la rubrique « Celastrales », révèle l’origine des couronnes : « Les païens d’Europe apportaient dans leurs demeures des gerbes, offrant ainsi aux êtres féériques des bois un refuge pendant la dure période hivernale. Pendant les saturnales, la fête hivernale romaine, des branches de houx étaient échangées en gage d’amitié. Les premiers chrétiens romains auraient apparemment utilisé le houx en tant que décoration pendant la période de Noël. »

Il existe des douzaines de types de houx. Presque tous se présentent sous une variété mâle ou femelle comme la « Blue Prince et Blue Princess », ou la « Blue Boy et la Blue Girl » ou la « China Boy et China Girl ». Les plantes de houx femelles ne peuvent porter de fruits à moins qu’un plant mâle à proximité les ait pollenisées. Il est aisé de voir pourquoi la couronne de houx a été adoptée dans les rituels païens en tant que signe d’amitié et de FERTILITÉ !

Noël ne serait pas complet pour certains à moins d’échanger « un baiser sous le gui ». Cette coutume païenne allait de soi lors d’une nuit de festivités tenue dans un esprit d’ivrognerie. Tout comme aujourd’hui, les « baisers » étaient échangés au tout début des célébrations des saturnales, ou, de nos jours, de Noël. Je n’oublierai jamais l’obligation à laquelle j’étais tenu d’embrasser la mère de mes amis en entrant dans chacune de leur maison le jour de Noël. C’était la première chose que nous faisions. Je détestais cela, mais c’était quelque chose qu’il « fallait faire » !Le gui était supposé avoir des pouvoirs de guérison spéciaux pour ceux qui « s’amusaient » en dessous.

L’Encyclopédie Britannique, sous la rubrique « Santalales » dit : Le gui européen est supposé avoir eu une signification rituelle spéciale lors des cérémonies druidiques et possède toujours, dans le folklore d’aujourd’hui, un statut particulier, en tant que gui de Noël, qui nous vient du temps des Anglo-Saxons ». Le gui est un parasite qui vit sur le chêne. (Rappelez-vous que les druides adoraient les bocages de chênes). Les anciens Celtes (associés aux druides) avaient pour habitude de donner du gui en tant que remède aux animaux stériles afin de les rendre fertiles. Sa signification en langue celte est toujours : « la plante qui guérit tout ».

Tout comme le gui, les fruits de houx étaient considérés sacrés pour le dieu soleil. La « bûche du soleil » originelle (sun log) en est venue à être appelée la bûche de Noël (yule log) simplement parce que le mot « Yule » (bûche) signifie « roue », symbole païen qui depuis longtemps représente le soleil.

Quelle que soit la culture, l’origine de la fête est la même. Seuls certains symboles diffèrent selon les cultures. Voici ce que dit l’Encyclopedia Universalis au sujet de Noël : « Fête solennelle de la naissance de Jésus-Christ, Noël est célébré le 25 décembre dans toutes les Églises chrétiennes depuis le IVe siècle. À cette époque, cette date était alors celle de la fête païenne du solstice d’hiver appelé « Naissance (en latin, Natale) du soleil », car celui-ci semble reprendre vie lorsque les jours s’allongent… ». (« Natale » est la racine du mot Noël).

Mélanger l’adoration du vrai Dieu et les fausses pratiques.

Le mot moderne pour expliquer le mélange de fausses pratiques païennes et l’adoration du vrai Dieu est syncrétisme. Quiconque faisait une telle chose dans l’ancien Israël était mis à mort (Lévitique 18 :21, 29) ! C’était très sérieux !

II Rois 17 :33 nous donne un aperçu de la façon dont la nation d’Israël pensait et croyait, dans son esprit, adorer Dieu : « Ainsi ils craignaient l’Eternel, et ils servaient leurs dieux d’après la coutume des nations d’où on les avait transportés. »

Avez-vous bien saisi ceci ? Oui, ils craignaient Dieu pendant qu’ils servaient d’autres dieux. Pas étonnant que le verset qui suit immédiatement (34), dise qu’en réalité «, « ils ne craignent POINT l’Eternel » selon la voie qu’il a prescrite. Voilà la façon dont Dieu voit les gens se comporter aujourd’hui, malgré tout ce qu’ils peuvent penser de leurs actions en copiant d’anciennes pratiques païennes !

Le verset 30 dit que tout cela avait été appris au contact des « gens de Babylone » (parmi d’autres) dont le dieu principal, nous nous en souviendrons, était Nimrod, — Baal ou Moloch —, qui nous le savons maintenant, était la même personne.

Constatez jusqu’à quel point l’avertissement de Dieu est spécifique dans Deutéronome 12 :29-31, et la raison pour laquelle Il les avertissait ! « Lorsque l’Eternel, ton Dieu, aura exterminé les nations que tu vas chasser devant toi… et que tu te seras établi dans leur pays, garde-toi de te laisser prendre au piège en les imitant, après qu’elles auront été détruites devant toi. Garde-toi de t’informer de leurs dieux et de dire : Comment ces nations servaient-elles leurs dieux ? Moi aussi, je veux faire de même. Tu n’agiras pas ainsi à l’égard de l’Eternel, ton Dieu ; car elles servaient leurs dieux en faisant TOUTES LES ABOMINATIONS qui sont odieuses à l’Eternel, et même elles brûlaient au feu leurs fils et leurs filles en l’honneur de leurs dieux. »

Plusieurs autres versets, semblables à Deutéronome 12, devraient être étudiés. Voyez Exode 34 :10-17 ; 23 :23-33 ; Lévitique 20 :22-26 ; Deutéronome 20 :13-18, etc. Le véritable Dieu savait que servir d’autres dieux menait toujours à leur sacrifier les enfants !

Deutéronome 12 :32 dit clairement que Dieu ne veut pas que nous mélangions Ses voies avec quelque fausse voie. « Vous observerez et vous mettrez en pratique toutes les choses que je vous ordonne ; vous n’y ajouterez rien, et vous n’en retrancherez rien. »

Voilà les PAROLES CLAIRES que Dieu adresse à tous ceux qui disent qu’ils peuvent mélanger les coutumes horribles du paganisme tout en conservant « l’emphase sur le Christ. »

Les pratiques païennes de l’ancien Israël dans les coutumes modernes.

Deutéronome 12 :2-4 précise un contexte important. Dieu y dit clairement : « Vous détruirez tous les lieux où les nations que vous allez chasser servent leurs dieux, sur les hautes montagnes, sur les collines, et sous tout arbre vert. … vous brûlerez au feu leurs idoles [bocages], … Vous n’agirez pas ainsi à l’égard de l’Eternel, votre Dieu. »

Veuillez prendre note des références aux « arbres verts » et aux « bocages ». Il y a au-moins dix versets semblables dans l’Ancien Testament mentionnant les arbres verts » en association avec l’idolâtrie. Les historiens croient que le terme « vert » se réfère à ce qui demeure vert toute l’année, autrement dit, les arbres à feuilles persistantes !

À nouveau, examinons encore de près l’histoire et l’origine de quelques coutumes des saturnales encore pratiquées aujourd’hui. Voici une citation à donner le frisson et qui provient du Dictionary of Greek and Roman Antiquities, « Oscilla », 3e édition, volume II. « …tous s’appliquaient à fêter et à être joyeux, des présents étaient échangés entre amis, les foules remplissaient les rues en criant : « Voilà les saturnales ». Selon le poète païen Virgil, une offrande était présentée sous un arbre vert décoré. Des figurines et des masques, appelés oscilla, étaient suspendues dans l’arbre, tout comme dans les arbres de Noël d’aujourd’hui. L’histoire admet…qu’il n’y a aucun doute que ces oscilla représentassent les vestiges de sacrifices humains… »

Est-ce que toutes ces choses vous semblent familières ? Des cadeaux, des chants dans les rues, des arbres verts, des décorations, des offrandes au pied de l’arbre, des réjouissances, festoyer. Elles peuvent sembler merveilleuses mais elles représentent des choses vraiment horribles.

Les oscilla modernes ressemblent à de petits « anges » joufflus lorsqu’ils sont suspendus dans l’arbre. Quand j’étais jeune, je plaçais ces petits « bébés anges » dans l’arbre moi-même. Du moins je croyais qu’ils étaient des « bébés anges ». Quelle erreur je faisais ! Pensez-vous que quiconque parmi vos connaissances se rend compte de ce qu’ils sont ? Bien sûr que non — mais cela n’enlève pas le sérieux de la chose ni ne les rend moins mal aux yeux de Dieu !

Un paganisme flagrant dans l’Église.

Une autre source permet de démontrer comment tout ceci en est venu à faire partie des coutumes observées « innocemment » par des millions de personnes — tout en étant loin d’être « innocent » aux yeux de Dieu. Lisez maintenant la citation de l’Encyclopédie Britannique, 15è édition, volume 10, pages 1062-63 : « La chrétienté…par un processus complexe et graduel…devint la religion officielle de l’empire (romain).

Pendant un certain temps, les pièces de monnaies ainsi que d’autres monuments continuèrent de lier les doctrines chrétiennes avec l’adoration du soleil, pratique à laquelle Constantin s’était adonné auparavant. Mais même après cette période, le paganisme romain continua d’exercer d’autres influences permanentes, petites et grandes. Le calendrier ecclésiastique a conservé un grand nombre de souvenirs des festivals pré-chrétiens, notamment Noël, qui inclut un mélange d’éléments des saturnales et de l’anniversaire de Mithra. Mais plus encore, le branche dominante de la chrétienté occidentale doit à la Rome ancienne sa discipline qui a été le garant de sa forme et de sa stabilité. »

Une autorité aussi réputée que l’Encyclopédie Britannique qui admet, pour tous ceux qui voudront bien le lire, que ce sont les saturnales et la Rome ancienne qui ont défini la « discipline, la stabilité et la forme » de la chrétienté occidentale !

Ceci est une admission pour le moins renversante !

Voici une autre citation très forte, sous la rubrique « Christmas » du New Schaff-Herzog Encyclopedia of Religious Knowledge, qui révèle la façon dont ce festival idolâtre et païen s’est infiltré dans le monde « chrétien ». (Partout dans le texte, c’est nous qui traduisons).

« À savoir jusqu’à quel point la date du festival dépendait de la fête de Brumalia (25 décembre), qui suivait immédiatement les saturnales (17 au 24 décembre) et, qui célébrait le jour le plus court de l’année et fêtait le « soleil nouveau »…ne peut être déterminé avec précision. Les saturnales et la fête de Brumalia étaient trop profondément implantées dans les coutumes populaires pour être mis de côté par l’influence chrétienne…Le festival païen avec ses réjouissances et ses émeutes était si populaire que les chrétiens du temps furent heureux d’avoir une excuse leur permettant de continuer sa célébration avec peu de changement dans l’esprit de la fête comme dans la façon de la célébrer. Les prédicateurs chrétiens de l’Ouest et du Proche-Orient ont protesté contre cette frivolité déplacée avec laquelle l’anniversaire de la naissance du Christ était célébré, alors que les chrétiens de Mésopotamie accusèrent leurs frères de l’ouest d’idolâtrie et d’adoration du soleil parce qu’ils avaient accepté comme chrétien ce festival païen. »

Une source additionnelle révèle comment l’église romaine a absorbé Noël en tant que célébration officielle. L’Encyclopédie Britannique, édition 1946, dit : « Noël ne faisait pas partie des premiers festivals de l’église…Certains Latins, aussi tôt qu’en 354, ont peut-être transféré l’anniversaire du 6 janvier au 25 décembre qui était alors une fête mithriaque…ou l’anniversaire du SOLEIL invincible…Les Syriens et les Arméniens, qui retinrent le 6 janvier, accusent les Romains d’adoration du soleil et d’idolâtrie, soutenant…que la fête du 25 décembre avait été inventée par les disciples de Cérinthus… »

C’est de cette façon qu’un festival païen, célébré longtemps avant la naissance du Christ, fit son chemin jusque dans la chrétienté reconnue.

Saviez-vous qu’au dix-septième siècle, même les Puritains de la Nouvelle-Angleterre savaient à quel point Noël était mauvais ? Ils en ont défendu l’observance par une loi, en 1659, dans toute la colonie de la Baie de Massachussets. C eux qui l’observaient étaient passibles d’amendes et de la prison. Cela prit 200 ans (1856) avant que les gens cessent de travailler le jour de Noël à Boston. Les Puritains en connaissaient l’origine et la considéraient comme « païenne et comme une fête papiste idolâtre ».

Ceux qui changent les temps et la Loi.

Le prophète Daniel (7 :8) parle d’une « petite corne » à propos de laquelle le verset 25 du même chapitre dit « …prononcera des paroles contre le Très-Haut, il opprimera les saints du Très Haut, et il espérera changer les temps et la loi ». Cette petite corne est une grande autorité religieuse qui tente d’imposer sa propre conception des dates et des célébrations sur un monde sans méfiance en remplacement des instructions claires de Dieu.

Le mot hébreu utilisé pour « changer » signifie « transformer, altérer ou fixer ». Le mot traduit par « temps » signifie « occasions désignées, époques, moments ». Le mot hébreu traduit par « loi » signifie « décrets ou loi de Dieu ». Cette phrase fait référence à une autorité qui tente de transformer des occasions désignées et des époques définies dans la loi de Dieu. Noël est certainement un exemple important qui illustre comment une telle chose a été faite. Les instructions de Dieu ont été remplacées par les traditions des hommes.

La citation suivante révèle comment cela s’est produit. Elle provient également de l’Encyclopédie Britannique sous la rubrique « Christianisme ». « Ainsi, la liturgie de Pâques a été développée davantage dans l’Église orthodoxe d’orient, et celle de Noël davantage dans l’Église catholique romaine…Le calendrier chrétien est une des institutions chrétiennes les plus répandues. La semaine de sept jours et le rythme des festivals chrétiens ont été acceptés même par les pays les moins chrétiens. Malgré de nombreuses tentatives énergiques d’introduire des semaines de travail variables, la semaine de sept jours avec le dimanche de congé n’a pu être éliminée même dans les pays communistes ayant une vue athée du monde. Même dans les cercles et organisations athées du monde, les fêtes chrétiennes jouissent d’une popularité incontestée en tant que jours de congé, spécialement Noël. »

En vérité, ce sont les « politiciens ecclésiastiques » auxquels nous avons fait référence plus tôt qui ont cherché à imposer le calendrier « chrétien » moderne à un monde inconscient. Ce sont ces « leaders » qui ont « pensé changer les temps et la loi. »

Le dangereux pouvoir des mensonges.

Un des noms de Satan est Destructeur (Apocalypse 9 :11). Nimrod-Saturne-Moloch-Baal, tout comme Satan, est un dieu du feu qui détruit et dévore nos petits enfants.

Le vrai Jésus-Christ n’a jamais été et ne sera jamais « dans » Noël ! On ne peut Le remettre là où Il n’a jamais été. Le « dieu de ce siècle », Satan (II Cor 4 :4) a toujours été dans Noël. Il en est l’auteur !

Le vrai Dieu nous commande de l’adorer « en esprit et en vérité » (Jn 4 :23-24). Cela ne cadre pas avec le grand mensonge de Noël et du Père Noël que tous les enfants croient si volontiers.

I Tim 4 :2 avertit ceux qui « enseignent hypocritement des faussetés », « portant la marque de la flétrissure (grec : cautériser) dans leur propre conscience ». Les parents peuvent « brûler » leurs propres enfants, leur laissant une profonde cicatrice, avec la supercherie et le mensonge de Noël !

On ne peut donner l’excuse du grand nombre de personnes qui observent Noël car Satan, qui est appelé « père du mensonge » et « meurtrier dès le commencement » (Jn 8 :44), « a séduit toute la Terre » (Apoc 12 :9) ! Trouvez et lisez ce verset. Et reconnaissez aussi le fait que Noël est sans contredit un témoignage de cette grande séduction.

Par contre le Christ fait référence à Son Église en tant que « petit troupeau », (Lc 12 :32). Plusieurs autres versets illustrent aussi cela. Cette Église ne possède pas un grand nombre de fidèles comme les grandes dénominations chrétiennes bien établies de ce monde.

Que devriez-vous faire ?

Finalement, examinons ce que Dieu dit à Son peuple de faire et comment il devrait éduquer ses enfants.

Rappelez-vous Jérémie 7 :31 qui rapporte la condamnation d’Israël par Dieu pour avoir brûlé leurs enfants dans la vallée de Tophet. Huit versets plus tôt, Dieu avait clairement dit ce qu’Il exigeait : « Mais voici l’ordre que je leur ai donné : Ecoutez ma voix, et je serai votre Dieu, et vous serez mon peuple ; marchez dans toutes les voies que je vous prescris, afin que vous soyez heureux. Et ils n’ont point écouté… Ils ont suivi … les penchants de leur mauvais cœur »

Les êtres humains ne veulent pas obéir à Dieu (Romains 8 :7). Ils préfèrent suivrent leurs propres « penchants ». Ils ne comprennent pas que Dieu veut que leur vie se déroule « bien ». Il veut que le bonheur, la joie et les bénédictions coulent dans leur vie. Toutes ces choses seraient le résultat d’une telle obéissance.

Dieu a inspiré Moïse afin qu’il prévienne les parents de la sérieuse responsabilité qu’ils doivent assumer dans la façon d’éduquer leurs enfants. Remarquez les instructions données dans Deutéronome 6 :1, 6-7, 20-21, 25 : « Voici les commandements… que l’Eternel, votre Dieu, a commandé de vous enseigner, afin que vous les mettiez en pratique dans le pays dont vous allez prendre possession… Et ces commandements, que je te donne aujourd’hui, seront dans ton cœur. Tu les inculqueras à tes enfants, et tu en parleras quand tu seras dans ta maison, quand tu iras en voyage, quand tu te coucheras et quand tu te lèveras… Lorsque ton fils te demandera un jour : Que signifient ces préceptes, ces lois et ces ordonnances, que l’Eternel, notre Dieu, vous a prescrits ? tu diras à ton fils : Nous étions esclaves de Pharaon en Egypte, et l’Eternel nous a fait sortir de l’Egypte par sa main puissante. Nous aurons la justice en partage, si nous mettons soigneusement en pratique tous ces commandements devant l’Eternel, notre Dieu, comme il nous l’a ordonné. »

Dieu délivra Israël d’Égypte —de l’esclavage — des coutumes du monde qui les entouraient et Il leur a révélé Sa Loi. Il ne veut pas que Son peuple retourne aux traditions, coutumes et façons dont Il les a délivrés.

Lorsque toutes ces traditions, truffées de symbolisme d’adoration des anciens dieux païens, inventés par les hommes, sont enseignées, cela ne constitue pas de l’adoration envers le vrai Créateur.

Nous ne savions pas que Noël provenait de Babylone.

À deux reprises dans Matth 7 :16 et 20, Jésus a dit : « Vous les reconnaîtrez à leurs fruits ». Tout ce que les gens font ou disent de bien ou de mauvais produit des fruits. Les fruits de Noël sont terribles. Cette période est celle pendant laquelle domine l’adultère, la solitude, la jalousie, l’ivrognerie et la conduite dangereuse au volant, les controverses familiales (et pire), sans compter les dettes qui s’accumulent et ne peuvent parfois pas être payées avant le mois de mars. Ce problème est si important que toutes les églises rapportent que leur revenu, ironiquement, chute pendant cette période alors que les gens « récupèrent » de toutes leurs dépenses.

Le véritable « esprit de Noël ».

Le prophète Ésaïe fut inspiré d’écrire, « Crie à plein gosier, ne te retiens pas, élève ta voix comme une trompette, et annonce à mon peuple ses iniquités, à la maison de Jacob ses péchés ! » (És 58 :1). C’est ce que je viens de faire. Vous venez de lire la pure vérité au sujet de l’Origine réelle de Noël. Que ferez-vous ?

La citation qui suit provient de la brochure intitulée « La simple vérité au sujet de Noël », écrite par M. Herbert W. Armstrong. Elle résume la brochure que vous venez de lire.

« Noël est devenue une saison commerciale. Cette fête est financée, exploitée, maintenue en vogue par un déploiement inouï de campagnes publicitaires les plus intenses de l’année…[où] vous voyez un Père Noël de mascarade dans plusieurs magasins. Des flots de réclames nous tiennent en haleine et nous trompent sur le « merveilleux esprit de Noël ». La presse, qui vend les annonces, imprime des éditoriaux flatteurs, en langage fleuri, exaltant la saison païenne, et son « esprit ». Un public crédule en est tellement inoculé, que beaucoup s’offensent quand on leur dit la vérité ! Ainsi se crée, année après année, « l’esprit de Noël », non point pour honorer le Christ mais pour vendre des marchandises. C’est caractéristique de toutes les mystifications de Satan qui se donne les apparences d’un « ange de lumière » et se montre sous un faux aspect de bonté ! Chaque année cette débauche commerciale effrénée engloutit des sommes qui se chiffrent par milliards de dollars et pendant ce temps l’œuvre du Christ en souffre. Cela fait partie du système économique de Babylone !

Nous avons proclamé être une nation chrétienne mais nous vivons dans Babylone tel que prophétisé dans la Bible ; et nous ne nous en rendons pas compte : « Sortez du milieu d’elle mon peuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés, et que vous n’ayiez point part à ses fléaux » — maintenant près de sévir — tel est l’avertissement qui nous est adressé dans Apocalypse 18 :4. [C’est nous qui soulignons]

Cette année, au lieu de vous livrer à ce commerce de cadeaux, pourquoi ne mettriez-vous pas cet argent au service de l’œuvre de Dieu ?

http://www.thercg.org/fr/brochures/ttooc-fr.html

26/12/2011

L'ascension est bien en cours. Le cadeau de Notre Père Eternel pour 2012. Le retour des Christs ou enfant de Dieu à la maison de Notre Père Eternel à tous !

Pour vous donner une idée des processus qui se déroulent en ce moment dans notre Galaxie et processus mis en oeuvre par Notre Père Eternel et toutes les Hiérarchies Angéliques pour favoriser le retour des Christs ou enfants de Dieu dans la maison de leur Père Eternel ou notre ascension dans la 4ème puis la 5ème dimension.

Ce qui se fera  le 21 décembre 2012, lors de l'alignement galactique avec le centre de la Galaxie qui abrite Alcyone le Grand Soleil Central de notre Galaxie.

Nous vous invitons à prendre connaissance des 3 articles ci-dessous sélectionnés pour vous, pour que soyez assurés que l'ascension au travers de la banque photonique ou ceinture de photons ou anneau de Lumière d'Alcyone, de l'ensemble de notre Système Solaire ainsi que des 6 autres systèmes solaires parallèles au nôtre qui sont aspectés par Alcyone qui est constitué de 7 soleils dont le nôtre, sont bien en cours.

Voir aussi, l'article précédent :

Ascension 2012, ère nouvelle : Le transit morontiel de 2012
http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2011/12/24/ascension-2012-ere-nouvelle-le-transit-morontiel-de-2012.html

Nous vous rappelons que les trous noirs massifs ont la capacité d'annuler et de dilater l'espace temps pour que nous vivions les évènements au temps présent dans de nouvelles dimensions.

C'est ainsi que le voile qui nous sépare de notre Double Cosmique va disparaître pour que nous puissions voir notre Double Cosmique ou Corps Christique et l'intégrer pour réaliser notre Ascension.

Après le trou noir massif qui est en train de dévorer un nuage de gaz au centre de la voie lactée, voici maintenant que Jupiter qui devait devenir un second soleil pour la Terre en décembre 2007, et que Saturne sont soi-disant, selon les scientifiques, en train de perdre leur coeur.

Ne vous fiez donc pas à ces fausses interprétations scientifiques qui prétendent que les coeurs des planètes sont solides mais qui nous donnent néanmoins de bonnes indications sur ce qui est en train de se passer dans notre Galaxie pour favoriser notre ascension et notre retour vers la maison de notre Père Eternel.

Toutes les planètes sont creuses dans l'Univers, car elles sont "des cellules reproductrices" de l'Univers, tout comme les gamètes créent leur globule polaire au moment de la fécondation.

Les planètes Mères sont fécondées par l'esprit Divin ou Le Père Eternel pour faire naître et nourrir tous les Christs ou tous les enfants de Dieu.

C'est pour cela que l'on dit d'elles qu'elles sont "vierges" car elles ne sont pas fécondées de manière matérielle par un spermatozoïde, mais de manière spirituelle par l'énergie, l'Esprit et l'Amour Divin.

Aussi, lorsqu'on vous parle de la Sainte Vierge Marie qui tout en étant "vierge" a donné naissance au Christ ou au fils de Dieu, vous devez comprendre que c'est de notre Mère la Terre de ce dont il s'agit, qui a permis à l'incarnation de tous les Christs que nous sommes ou fils ou enfants de Dieu afin de nous accueillir, de nous faire naître et de nous nourrir pour nous laisser vivre notre expérience avant notre retour vers la Maison de Notre Père Eternel.

Ainsi vous avez au moins deux mères, sans parler de la Mère Cosmique qui a été volontairement occultée par les religions misogynes :

1 - votre Mère biologique que vous avez choisie et qui vous a permis de venir vous incarner sur cette Terre et qui a été fécondée par votre Père biologique, et
2 -
Notre Mère Spirituelle, LA TERRE, qui nous nourrit toute notre vie jusqu'à notre passage au travers de la mort qui est la libération de l'Ame Divine qui est en nous et par laquelle nous sommes tous habités. Notre corps étant le temple de Dieu.

Quel joli cadeau n'est-ce pas que notre Mère la Terre nous fait en nous permettant de retourner vers la source ou la Maison de notre Père Eternel ?
Quel joli cadeau n'est-ce pas que nous fait notre Père Eternel, en nous permettant en tant que Christs ou enfants de Dieu, de retourner à la maison de notre Père Eternel et de nous faire expérimenter l'immortalité ou la Vie Eternelle qui est inscrite dans notre ADN Divin ?

Nous serons accueillis dans la Maison de Notre Père Eternel par toutes les Hiérarchies Angéliques qui attendent que nous prenions conscience de ce que nous sommes, des Christs ou enfants de Dieu qui ont la capacité d'exercer leur libre-arbitre pour reconnaître et manifester ce que nous sommes vraiment et que nous leur demandions de nous aider à ascensionner et de leur demander d'apparaître.

Devons-nous pleurer parce que le cadeau que nous fait Notre Père Eternel est celui de nous permettre de passer à la 5ème dimension sans avoir à passer par la mort physique, tout en conservant l'acquis de notre expérience terrestre ?

Nous devrions les remercier surtout pour leur Amour Inconditionnel et toute l'aide qu'ils ont toujours apportée pour nous protéger et nous permettre de prendre conscience de ce que nous sommes vraiment.

Demandez à votre Double Cosmique ou Corps Christique d'apparaître.

Il ressemble au Christ que vous connaissez et certains s'imaginent voir le Christ quand il le voit, alors qu'il ne s'agit que de leur Double Cosmique ou de leur Corps Christique ou Divin qui vibre à un autre niveau vibratoire et qui est doré.

Demandez l'aide des Hiérarchies Angéliques et demandez-leur d'apparaître pour nous éviter de vivre les horreurs que les élites prévoient pour nous, pour nous empêcher d'évoluer.

Exercez votre libre-arbitre en toute chose au lieu de penser que Dieu vous a oubliés, car les êtres de Lumière et les Hiérarchies Angéliques ne violeront jamais votre libre-arbitre pour faire ingérence dans votre vie si vous ne leur demandez pas d'intercéder en votre faveur et en faveur de tous vos frères et soeurs de Lumière.

Réjouissez-vous pour toutes ces merveilles et les magnifiques cadeaux qui sont préparés pour nous pour l'année 2012 par Notre Père Eternel, les Hiérarchies Angéliques et tous les êtres de Lumière qui attendent avec impatience que nous reconnaissions enfin qui nous sommes vraiment :

1 -  TOUS DES CHRISTS OU ENFANTS DE DIEU qui acceptons de nous reconnaître et de retourner à la Maison de Notre Père Eternel,
2 -
que nous l'affirmions,
3 - que nous fassions honneur à Notre Père Eternel en manifestant ce que nous sommes, TOUS DES CHRISTS OU ENFANTS DE DIEU, et
4 - que nous rendions grâce à Notre Père Eternel pour toutes les grâces et tous les cadeaux qu'il nous fait.

C'est ce que l'on appelle L'EVEIL et PENDRE CONSCIENCE DE NOTRE APPARTENANCE A NOTRE GRANDE FAMILLE UNI-VERS-ELLE pour réaliser l'UNI-TE ou l'UN.

Fêtons tous ensemble notre retour à la Maison de Notre Père Eternel au lieu de penser que nous allons vivre la fin du monde.


Un trou noir s'apprête à engloutir un nuage de gaz au centre de la Voie Lactée
http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2011/12/23/un-tro...

L'agonie d'un nuage de gaz fonçant vers le trou noir central de la Voie lactée

http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronomie/d/lag...

La vidéo de ce qui se passe dans notre Galaxie en ce moment.

Black Hole Meltdown in the Galactic Center
http://www.youtube.com/watch?v=ciWGrZMkXVM&feature=pl...


Le coeur de Jupiter pourrait être en train de disparaître

Le 21 décembre 2011 à 15h35
 
Par Laurent Sacco, Futura-Sciences
 

En calculant à l’aide de la mécanique quantique sur ordinateur le comportement des matériaux constituant probablement les cœurs de Jupiter et Saturne, des planétologues sont arrivés à la conclusion que ces cœurs seraient en train de se dissoudre au sein de l’hydrogène liquide métallique dans lequel ils baignent.

Jupiter et Saturne sont les seules géantes gazeuses à portée de main de l’humanité. Comprendre leur structure et la façon dont elles se sont formées est donc important, non seulement pour retracer l’origine et la formation du Système solaire, mais aussi pour comprendre les exoplanètes découvertes depuis 1995 et qui sont, elles aussi, des géantes gazeuses.

L’une des questions qui se posent concernant ces deux planètes chères à André Brahic, c’est évidement celle de leur structure interne. Bien que majoritairement constituées d’hydrogène et d’hélium, on pense qu’elles possèdent un cœur rocheux avec des glaces. Mais il s’agit de spéculations basées sur ce que l’on peut mesurer à l’extérieur de ces planètes et sur les scénarios de formation du Système solaire.

En ce qui concerne Jupiter, on devrait tout de même en savoir plus à partir de 2016 lorsque la mission Juno se mettra en orbite autour de la planète. L’étude fine de son champ de gravitation devrait permettre de faire l’équivalent de ce que les géophysiciens appellent résoudre un problème inverse. Dans ce cas précis, il s’agira de dériver des contraintes sur sa distribution interne de masse à partir du champ de gravitation externe qu’elle engendre.

En attendant, la seule façon de tenter de comprendre le cœur de Jupiter, c’est d’utiliser des ordinateurs pour simuler le comportement de la matière soumise à des températures dépassant les 10.000 degrés et des pressions de plusieurs dizaines de milliers d’atmosphères.

Des cœurs qui se dissolvent dans l'hydrogène métallique liquide

C'est à ce jeu que joue depuis des années Burkhard Militzer, un assistant professeur en sciences planétaires et en astronomie à l’université de Berkeley. Il s'est dèja fait connaitre par ses travaux sur le coeur de Jupiter, sur lesquel il pourrait y avoir des pluies d'hélium. Il vient de déposer sur arxiv deux nouveaux articles écrits avec des collègues.

On pense que les géantes gazeuses se sont formées par accrétion d'hydrogène et d'hélium gazeux autour d'un protocœur initial de roches et de glaces. Des calculs pour étudier la solubilité des roches dans l'hydrogène liquide, en choisissant l'oxyde de magnésium comme un exemple représentatif des matériaux rocheux, montrent que MgO est très soluble dans l'hydrogène liquide pour des températures supérieures à environ 10.000 K. On voit sur le diagramme ci-dessus les zones où glace et MgO se dissolvent dans l'hydrogène et où se trouvent les cœurs des géantes. En ordonnées  on a la température en milliers de kelvins et en abscisses la pression en millions de bars.
On pense que les géantes gazeuses se sont formées par accrétion d'hydrogène et d'hélium gazeux autour d'un protocœur initial de roches et de glaces. Des calculs pour étudier la solubilité des roches dans l'hydrogène liquide, en choisissant l'oxyde de magnésium comme un exemple représentatif des matériaux rocheux, montrent que MgO est très soluble dans l'hydrogène liquide pour des températures supérieures à environ 10.000 K. On voit sur le diagramme ci-dessus les zones où glace et MgO se dissolvent dans l'hydrogène et où se trouvent les cœurs des géantes. En ordonnées on a la température en milliers de kelvins et en abscisses la pression en millions de bars. © Burkhard Militzer

Jupiter possède une masse de 318 fois celle de la Terre et l’on pense qu’il possède un noyau rocheux et glacé pesant environ 10 fois la masse de notre planète. Mais selon ces articles, cela n’a probablement pas été le cas il y a des milliards d’années.

En effet, le cœur rocheux de Jupiter baigne selon toute probabilité dans de l’hydrogène et de l’hélium liquides à une température de 16.000 K et une pression de 40 millions d’atmosphères environ. D’après les calculs effectués sur ordinateur, qui font appel à une description quantique de la matière condensée dans ces conditions extrêmes (rappelons que la température de surface du Soleil est d’environ 6.000 K), la glace doit finir par se dissoudre dans l’hydrogène liquide.

De même, les calculs de cosmochimie qui prédisent un cœur rocheux contenant beaucoup d’oxyde de magnésium MgO, impliquent que dans les simulations effectuées, le cœur rocheux de Jupiter doit lui aussi finir par se dissoudre dans l’hydrogène liquide.

Des implications pour les exoplanètes gazeuses

Des conclusions similaires doivent être valables aussi pour le cœur de Saturne. Toutefois, la vitesse avec laquelle cette dissolution pourrait s’effectuer pour les cœurs rocheux n’est pas bien déterminée. Il reste donc difficile de dire si les cœurs rocheux des géantes étaient beaucoup plus importants qu’aujourd’hui ou non. De plus, on ne sait pas vraiment si des courants de convection ne sont pas susceptibles de transférer la matière des roches et des glaces dissoutes dans des couches supérieures des deux planètes géantes.

Il n’en reste pas moins qu’il s’agit de considérations importantes pour qui veut comprendre à quoi ressemblaient vraiment ces géantes lorsqu’elles se sont formées. On doit certainement aussi prendre tout cela en considération lorsque l’on propose que certaines des superterres observées sont en réalité des anciens noyaux de géantes gazeuses.

http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronomie/d/le-...


25/12/2011

Spiritualité et ascension : Les familles d’âmes se positionnent

Un article du Passeur qui date du 7 septembre 2011, mais qui est toujours d'actualité.

Les familles d’âmes se positionnent

Pour beaucoup de celles et ceux qui se sont éveillés ces dernières années ou ces derniers mois et qui ont entrepris un travail sincère de guérison de leur ego, deux des lois naturelles d’harmonie, la synchronicité et l’abondance, s’appliquent avec une accélération constante qui a fait un bond en avant ces dernières semaines. Ceux-là auront remarqué à quel point les désirs formulés en soi trouvent une réponse de plus en plus rapide et à quel point les synchronicités se multiplient, notamment en ce qui concerne les rencontres faites et les informations qui leur parviennent. Les familles d’âmes se complètent chaque jour un peu plus, dans la simplicité de retrouvailles joyeuses, sans qu’il y ait besoin d’en faire des tonnes ni d’établir des communautés. Les temps ont changé, ce qui importe, c’est que la connexion se fasse à nouveau sur le plan terrestre entre les âmes, que le lien physique dans l’incarnation ait été rétabli.

C’est un véritable maillage énergétique qui se crée entre les êtres, qui chacun ont leur place géographique quelque part. Cette reliance est importante. Ayez souvent dans le cœur et dans vos pensées ceux et celles que vous revoyez comme si vous les avez toujours connus, car ce sont eux que vous avez croisés après tant de vies. Cela maintient en conscience un réseau sur les plans plus subtils, qui a son importance dans le scénario qui se joue.

Il est important d’être très attentif aux signes qui nous environnent et contribuent à nous informer personnellement. Les différents plans se rapprochent, signifiant que les dimensions vont de plus en plus s’interpénétrer, ce qui crée tout autour de nous des ouvertures la plupart du temps discrètes, qui sont autant d’accès à des niveaux d’informations inhabituels. Cette discrétion implique une attention particulière, mais quiconque est attentif ne peut manquer ces ouvertures, même si elles s’avèrent parfois très fugaces. Au fil des mois, il y a fort à parier que l’accès à ses plans se stabilisera et sera beaucoup plus évident pour un plus grand nombre. Ces ouvertures sont l’expression de la multidimensionnalité dont nous avons souvent parlé et viendra un moment où nous réaliserons avec étonnement quels rôles (au pluriel) nous jouons parallèlement sur quelques uns de ces plans.

C’est évidemment une perception qui va choquer ceux qui n’ont pas la moindre idée de ce que cela signifie et ne sont pas familiarisés avec ne serait-ce que l’idée de l’existence de ces autres niveaux de réalité. L’expérience pourra être traumatisante pour eux et occasionner un nombre accru de ‘pétages de plombs’. Rassurer sera le maître-mot et l’exemple de quelqu’un de serein dans cette nouvelle perception de la réalité sera un baume pour les êtres désemparés.

Ces ouvertures donnent une couleur qui préfigure la nature du monde diversifié qui sera le nôtre très bientôt. Vivre hors de la quarantaine qui nous fut imposée signifie non seulement de cotoyer à nouveau collectivement – et non plus de manière exceptionnelle – des êtres et des plans qui non seulement s’harmoniseront entre eux, mais nécessiteront pour cela que l’homme réapprenne le plein sens de ses responsabilités d’être vivant émettant en permanence des énergies, entres autres sous forme de pensées et d’émotions, qui impactent à différents niveaux les autres formes de vie de tous les plans qui nous sont liés. C’est l’inconscience de cela qui a imposé jusque-là la mise en quarantaine de notre monde.

De l’inconscience du jeune chien fou qui renverse tout sur son passage, nous allons passer à la conscience étendue de notre environnement grâce à une perception accrue de celui-ci et à l’acquisition des lois fondamentales qui régissent la vie dans l’univers. Tout naturellement nous nous y soumettrons parce que nous les saurons profondément justes et aimantes. Ce sera le début d’une sagesse qui nous a fait longtemps défaut.

Entretemps, la vague qui arrive doit défaire un monde pour qu’en naisse un nouveau, il ne peut en être autrement. Comme je l’ai dit dans un précédent article, rien ne s’édifiera sur les cendres de l’ancien monde. Dans les structures, ce qui aura été effacé le sera parce qu’il ne peut s’adapter à ce qui vient, ce qui n’aura pas été effacé aura la capacité de s’adapter et d’évoluer. De même, pour les êtres humains, ceux dont la vibration ne peut s’adapter, partiront. Pour être clair, ces départs correspondront au désir des âmes de se réincarner dans des conditions à peu près similaires à celles de la Terre, qu’elles auront quittée afin de parfaire leur expérience, certaines en des mondes de dualité, d’autres en des mondes unifiés mais de vibration plus basse que celle de la nouvelle Terre. De toutes manières, tôt ou tard, chacun évolue en remontant vers la Source tel un saumon dans le torrent. C’est le grand Mystère de la vie, puisse-t-il le demeurer.

N’imaginez pas que sur sept milliards d’êtres humains il n’y en ait pas qui aient fait d’autres choix que vous. C’est logique et cela n’aidera donc personne d’ajouter du pathos à la situation lorsqu’on en sera à constater des vagues de départ importantes. Lorsque les choix ont été faits au niveau de l’âme des destinées à suivre lors de la transition, ils ont été faits par chacun en fonction de ce qu’il y a de mieux quant à son évolution personnelle. C’est ce qu’il ne faudra pas perdre de vue. S’il y a des larmes, qu’elles soient éclairées de la conscience de tout cela et de la certitude qu’il y a pour ceux qui ont des affinités, de se revoir très bientôt, d’une autre manière et avec un tout autre niveau de conscience.

Gaïa pour sa part ne sera plus jamais ce qu’elle a été durant ce long âge des ténèbres qu’elle a vécu à nos côtés, celui que la cosmogonie hindoue nomme Kali Yuga. L’avènement d’un Âge d’Or est un évènement considérable dont il ne nous est pas encore possible de prendre la juste mesure. Tout au plus, en des instants de perception privilégiée, y-a-t-il au fond de nous le parfum discret d’une ancienne mémoire qui nous rappelle subtilement que nous avons déjà connu ces temps de félicité. Ce lointain parfum a pourtant le pouvoir d’apaiser puissamment nos cœurs. Imaginez-un peu ce que sera la pleine conscience retrouvée en cet Eldorado…

Les temps à venir seront source d’électrochocs dans l’humanité inconsciente. Surtout ne versez pas dans l’idée répandue par les religions d’un quelconque châtiment. Ce qui surviendra sera le fruit de la loi de résonance et rien d’autre. A l’heure de la remise à zéro des pendules, les énergies émises par l’ensemble de l’humanité reviennent tel un boomerang à l’humanité. Au sein du collectif, ce que chacun est aujourd’hui déterminera la force et la qualité d’énergie qu’il recevra. Comme il a été dit et redit à plusieurs reprises, chacun ira vers où le porte sa vibration et tout ainsi sera juste. Ces chocs n’engendreront pas que la peur, ils auront surtout la capacité de déclencher une prise de conscience. Et c’est ce qu’ils feront pour nombre d’indécis. De très belles choses se dessinent à l’horizon de cette courte période où tout vacillera. Ecartez les bras avec légèreté et trouvez votre équilibre naturel sans crainte de tomber. Vous savez ce qui part, vous savez ce qui vient et vous savez que vous en êtes du début à la fin.

Fraternellement,

En complément de cet article : Être en ce monde n’est pas être de ce monde

© Le Passeur – 7 Septembre 2011 – http://www.urantia-gaia.info Cet article est autorisé à la copie à la seule condition de ne pas l’associer à une démarche commerciale, de respecter l’intégralité du texte et de citer la source.

http://www.urantia-gaia.info/2011/09/07/les-familles-dame...