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04/01/2015

Le mystère du Judaïsme et de l’Hexagone sur Saturne ou "Le Seigneur des Anneaux" !

A rapprocher de ces articles :

*- Le Seigneur des Anneaux : La trilogie

* - L’étoile de David est le symbole du dieu païen Saturne ou "Le Seigneur des Anneaux" !

 

Le mystère du Judaïsme et de l’Hexagone sur Saturne

 

 

 

Une leçon très intéressante qui va vous laisser perplexe mais s’il vous plait, faites moi confiance et continuez de lire car vous ne serez absolument pas déçu.

 

Il y a pas si longtemps Cassini, le satellite de la NASA lancé dans l’espace pour étudier Saturne, Titan et les divers satellites des géantes gazeuses a fait une découverte incroyablement remarquable. Il y a un hexagone parfait au pôle nord de Saturne qui semble pivoter sur lui-même sans s’altérer. On peut y insérer 2 planètes Terre sans problème.

 

Vous allez me dire… Cool ! Mais encore ?

 

Eh bien voila ce qu’il faut retenir. Les Juifs sont actuellement des adorateurs de Saturne. Le seigneur des anneaux. Leur jour saint est le Samedi, jour de Saturne. Les anneaux de Saturne ont été découverts sur les plaines de Babylone, par les sumériens sur leur ziggourat, ils remarquèrent que c’était une planète ‘couronnée’ et vouèrent un culte aux colliers, anneaux, pierres précieuses. Nous savons qu’en anglais le mot ‘jew’ (juif) est aussi employé dans ‘jewelry’, et savons aussi que le jeune Dieu des catholiques avant la réforme de saint Paul était un Dieu saturnien. La tradition de mettre des anneaux quand l’on se marie est un exemple parmi tant d’autres. Le fait que les femmes portent des anneaux pour ‘écouter leur Dieu saturne’ aussi.

 

Et si vous regardez bien le symbole des Juifs, c’est actuellement un hexagramme, et un hexagramme rentre facilement dans un hexagone. Coïncidence remarquable. Les gens ne savaient pas cela auparavant. Donc comment les Juifs ont-ils pu savoir que Saturne était la planète
avec un hexagone, et ont voué un culte à celle-ci en utilisant l’étoile de Saturne? (LISEZ CET ARTICLE : L’étoile de David est le symbole du dieu païen Saturne ou "Le Seigneur des Anneaux" !

 

Le magicien Aleister Crowley dans un de ses essais suppose que les Juifs ont communiqué avec la planète Saturne de façon télépathique et auraient reçu l’information ‘magiquement’. A vrai dire le mystère est tellement incroyable qu’il n’y a aucune réponse logique cohérente à offrir. Donc à vos méninges et pensez à investiguer et à lire l’article sur l’étoile de Saturne.

 

Il n’y avait Aucun Moyen de savoir qu’un hexagone parfait se trouvait sur le pôle nord de Saturne car il a fallut attendre les années 2000 pour le savoir. Donc comment ont-ils pu le savoir ? On leur a dit ? Des extraterrestres ? Démons ? Anges ? Vous décidez.

 

 

L’étoile de David est le symbole du dieu païen Saturne ou "Le Seigneur des Anneaux" !

Pour établir le lien avec la Trilogie initiatique  "Le Seigneur des Anneaux = Saturne" issue des livres écrits par Tolkien qui était écrivain, poète, philologue, qui était un homme parfaitement instruit, écrivain, poète, philologue, qui fréquentait des gens particulièrement haut placés dans la hiérarchie des élites. 

Biographie de John Ronald Reuel Tolkien : ICI 

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L’étoile de David est le symbole du dieu païen Saturne

Le symbole que nous appelons « Etoile de David » est en fait un ancien symbole pour le dieu païen du ciel Saturne.

L’adoration de Saturne est encore active de nos jours, mais nous ne la reconnaissons pas.

Ancien Testament – Amos 5:26

Amos 5:24-27 Version Louis Segond

26 Emportez donc la tente de votre roi, Le piédestal de vos idoles, L’étoile de votre Dieu Que vous vous êtes fabriqué!

Amos 5:24-27 Version Bible du Semeur

26 Mais vous avez porté Sikkouth qui était votre roi, Kiyoun, votre statue, l’étoile de vos dieux que vous vous êtes fabriqués.

[Sur la source anglaise on peut lire les notes sur le côté, dont l’une dit:]

Chiun/Kiyoun : L’équivalent Grec ou Egyptien pour Remphan

Nouveau Testament – Actes 7:43

Actes 7:43 Version Louis Segond

43 Vous avez porté la tente de Moloch Et l’étoile du dieu Remphan, Ces images que vous avez faites pour les adorer! Aussi vous transporterai-je au delà de Babylone.

Actes 7:43 Version La Bible du Semeur

Non, vous avez porté la tente de Molok et l’astre de votre dieu Rompha, idoles que vous avez fabriquées pour vous prosterner devant elles. C’est pourquoi je vous déporterai plus loin que Babylone.

D’autres références sur Kiyoun/Remphan = Saturne (d’après the New Strong’s Exhaustive Concordance of the Bible)

REMPHAN (rem’fan) Une idole vénérée par Israël.
Moloch, and the star of your god Remphan Moloch, et l’étoile de votre dieu Remphan Actes 7:43

CHIUN (ki’-un) voir REMPHAN. Un autre nom pour le dieu Saturne.

Maintenant quelques références en Français pour Kiyoun / Kyun / Kijun:

Sirius, aperçus nouveaux sur l’origine de l’idolatrie. Introduction Par Le Quen d’Entremeuse

La Bible: traduction nouvelle avec introductions et commentaires, Volume 2

Astronomie et Bulletin de la Société astronomique de France, Volume 44

Et vous avez des tonnes et des tonnes de référence qui vous diront que c’est en rapport à Saturne…

C’est la même chose pour Remphan, d’après le Dictionnaire universel de philologie sacrée Par Charles Huré,Edward. – Leigh,Ludovicus Wolzogen.

Donc l’étoile de Dieu est l’étoile de Saturne

Voir
Google : Remphan
Chiun Star God

Petit Bonus ! Le pape et son chapeau Saturnien.

30/12/2014

L’arche avant Noé. Le mythe du déluge universel !

Vous remarquerez que dans cet article de Sciences et Avenir on nous dit que « Dans cette tablette, sumérienne, le dieu Enki apprend ainsi à Atrahasis que la base de l’embarcation doit couvrir une superficie de 3600 m2 et que son diamètre est de 70 m », explique Irving Finkel, qui a dû effectuer de longs calculs de conversion pour transcrire les unités de mesure antiques. Nous retrouvons encore le Dieu Enki qui fait partie de la Triade Divine de la religion sumérienne qui leur a été imposée par les Grands Dieux AN-NUNAKIS dont la planète est Nibiru, et dont le principal Dieu est AN
de AN-NUNAKIS.

Voir ici la religion Sumérienne
http://home.nordnet.fr/caparisot/html/sumerreligion.html

Extrait : Au sommet se détachent la Divine Triade : An, Enlil et Enki (voir ci-dessus les 4 dieux créateurs). Attention, le terme triade est ici trompeur, au sens où il pourrait nous faire croire que le pouvoir suprême était divisé à part égale entre ces trois divinité, ce qui n'était pas le cas, An étant le dieu le plus puissant des trois.


La Divine Triade : An, Enlil et Enki

 

Nous avons encore une fois la preuve que la Torah a été plagiée à partir des écrits sumériens de la Création qui ont été repris dans l'ancien testament de la Bible, et que depuis près de 4000 ans, les hébreux qui sont à l'origine de l'invention du Judaïsme et des 3 religions dites du livre, sous couvert de nous avoir instauré le Monothéisme par Abraham né à Ur à Sumer, nous font prier leurs Dieux Reptiliens AN-NUNAKIS. Pas étonnant qu'ils nous décrivent des Dieux méchants et vengeurs, qui ne demandent à leurs supposés enfants que de se sacrifier pour eux et de payer pour un péché originel que nous n'avons jamais commis ! Tant il est vrai qu'ils détestent l'Humanité et qu'il faut la punir par le simple fait qu'elle existe !

Est-e que c'est aussi le Dieu ENKI ou AN qui ont demandé à Rockfeller,  Bill Gates et Monsanto de créer l'arche végétale en Norvège  ?

*- Des arches de Noé pourquoi faire ?

Quand ils cesseront de nous prendre pour des imbéciles, ce sera un grand jour !

L’arche avant Noé

Sciences > Archéo & paléo > L’arche avant Noé

Bernadette Arnaud


Publié le 30-03-2014 à 17h00Mis à jour le 09-04-2014 à 18h02

Une tablette mésopotamienne (Sumérienne), datant de 1900 avant J.-C., détaille la construction d’une arche... ronde. Une nouvelle preuve de l’ancienneté millénaire du mythe du Déluge.

Une image du film Noe dont la sortie est prévue en France le 9 avril 2014 afp

 Une image du film Noé dont la sortie est prévue en France le 9 avril 2014 afp

TABLETTE. Un grand bateau chargé d’animaux de toutes sortes ballottés au-dessus des flots démontés, telle est depuis 2000 ans l’image de l’arche du Déluge qu’offre l’iconographie. Or il va peut-être falloir changer de décor pour imaginer cet épisode qui, selon le récit biblique, vit des pluies catastrophiques s’abattre sur la Terre pour punir l’humanité de ses péchés.

Depuis janvier, une tablette mésopotamienne d’argile, présentée au British Museum de Londres, vient en effet bousculer ce que l’on savait du mythe. En décryptant les 60 lignes en cunéiforme (la plus ancienne écriture du monde) présentes sur ses deux faces, Irving Finkel, éminent assyriologue britannique, a en effet découvert que celle-ci recélait un trésor : la description détaillée de la construction même de l’arche, destinée à sauver de la noyade un couple de chaque espèce présente sur Terre, plus de mille ans avant celle figurant dans le livre de la Genèse (lire aussi p. 18). Et, surprise : l’arche est... ronde.

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Dans un livre récemment publié en Grande-Bretagne (The Ark before Noah) — qui devrait connaître une traduction française début 2015 —, l’assyriologue britannique détaille le véritable « manuel de construction » d’une arche que constitue ce texte.

Pour la première fois, les dimensions précises de l’embarcation, sa taille et sa forme sont clairement décrites. Avec cette particularité remarquable qui veut que le héros nommé Atrahasis (« Sceptre d’ingéniosité »), sorte de proto-Noé babylonien, façonne une arche ronde.

Ronde comme les « coracles » de l’antique Mésopotamie, ces embarcations fluviales que l’on rencontre encore de nos jours en ExtrémeOrient, et qui étaient toujours en usage en Irak dans la première moitié du XXe siècle.

Des sortes de grands paniers de roseaux, calfatés avec du bitume pour assurer leur étanchéité.

« Dans cette tablette, le dieu Enki apprend ainsi à Atrahasis que la base de l’embarcation doit couvrir une superficie de 3600 m2 et que son diamètre est de 70 m », explique Irving Finkel, qui a dû effectuer de longs calculs de conversion pour transcrire les unités de mesure antiques.

Séparer les animaux mortellement incompatibles

Le dieu précise également que le coracle doit être fabriqué en cordes de fibres de palme. Après avoir enroulé ces cordages les uns sur les autres pour former un panier rond géant, Atrahasis doit consolider le tout avec des membrures de bois placées dans l’espace intérieur, tout en mettant en place des étais, destinés à supporter un pont supérieur.

LONGÉVITÉ. L’espace ainsi ménagé doit être ensuite agencé au moyen de cloisons pour accueillir séparément « des animaux encombrants ou ceux mortellement incompatibles ». Vingt des soixante lignes de la tablette sont ensuite consacrées à l’étanchéité du bateau, laquelle doit être obtenue par l’application d’une épaisse couche de bitume.

Puis, à la ligne 52, une précision inédite apparaît : les animaux doivent monter à bord « deux par deux ». « C’est une indication très proche de la narration de la Bible. C’est la première fois qu’elle apparaît sur une tablette mésopotamienne », s’enthousiasme Irving Finkel. Preuve, s’il en était, de la prodigieuse longévité de ce mythe.

Pour tout savoir sur les travaux d'Irving Finkel et les autres mentions du mythe du déluge, rendez-vous sur le dernier numéro de Sciences et Avenir qui vient d'arriver dans les kiosques et sur vos tablettes.

http://www.sciencesetavenir.fr/archeo-paleo/20140328.OBS1750/l-arche-avant-noe.html

 

 

Documentaire FranceTV5 à voir absolument : La vérité sur l'arche de Noé qui n'a jamais été construite !

Allez encore un mythe de la Torah et de la Bible qui s'effondre ! Une nouvelle fable qui s'écroule ! Ce qui rapporte encore une fois la preuve que tout a été copié à partir des récits de la création de la religion sumérienne qui leur a été imposée par les Grands Dieux AN-NUNAKIS reptiliens !

Nous avons ainsi la preuve que le Dieu vengeur et méchant dont ils nous parlent dans leurs écrits dits sacrés, n'a jamais existé et qu'il n'a rien détruit du tout ! En revanche les AN-NUNAKIS et les hybrides/reptiliens savent que leur planète/vaisseau Nibiru qui est le Soleil Noir, revient tous les 3600 ans et qu'elle participe par sa force magnétique à provoquer l'inversion des pôles magnétiques de la Terre, des perturbations climatiques et forcément le débordement des mers et des océans ! Ce qu'ils doivent attendre avec impatience qu'elle revienne bientôt pour se débarrasser de nous et instaurer leur Nouvel Ordre Mondial avant le retour de leurs Grands Dieux AN-NUNAKIS auxquels ils ont promis de livrer la Terre et toutes ses richesses.

Le déchiffrage d'une tablette d'argile cunéiforme par le professeur Irving Finkel du British Museum est le point de départ d'une enquête sur le mythe du Déluge et de Sumer. L'arche était décrite sur une tablette sumérienne qui date de 1000 ans avant JC qui est décrite pour être ronde (un ovni?) et qui n'a jamais été construite, selon ses travaux de recherches qui auront duré 20 ans.

Voir le documentaire sur FranceTV5 en replay durant encore 1 jour !

La vérité sur l'arche de Noé
Diffusé le mer. 24-12-14 à 15h06 | Plus qu'1 jour en replay
Documentaire | 55' | Tous publics |
Le déchiffrage d'une tablette d'argile cunéiforme par le professeur Irving Finkel est le point de départ d'une enquête sur le mythe du Déluge et de Sumer.
http://pluzz.francetv.fr/videos/la_verite_sur_l_arche_de_...

Quelques articles ci-dessous notamment en Anglais.

L’arche d’avant Noé

L’arche d’avant Noé

Une tablette mésopotamienne exposée au British Museum vient d’être déchiffrée par un éminent assyriologue britannique qui livre son étude au terme de 20 années de travail dans un livre intitulé « L’arche avant Noé ».

Irving Finkel affirme que la tablette raconte la construction de cette arche… qui était ronde !

La tablette date de 1800 avant JC, soit 1000 ans avant le récit de la Genèse… Une preuve pour cet homme de l’ancienneté millénaire du mythe du Déluge, que la Bible aurait repris fidèlement : un grand arche, dans lequel les animaux iraient deux par deux …

Articles en lien :

*- Babylonian tablet shows how Noah's ark could have been constructed

*- Noah's ark was round – so the ancient tablet tells us

Irving Finkel, curator of the British Museum's 130,000 Mesopotamian clay tablets, has spent 20 years investigating one that challenges the story of Noah and the flood

Irving Finkel

Irving Finkel at the British Museum. Photograph: Sarah Lee for the Guardian

Irving Finkel is the curator from central casting. Battered clothes, bushy white beard, little circular glasses, boundless enthusiasm. From a distance he looks about 100, but as he sprints across the British Museum's Great Court to offer the warmest of handshakes – he is 10 minutes late for our meeting – you realise he is much younger. In reality, he is 62 going on 12, since a lifetime spent examining the clay tablets of ancient Mesopotamia has left him seemingly unaffected by the cares of the workaday world.

"The man who is tired of tablets is tired of life," he announces in his delightful new book, The Ark Before Noah, which sets out to demonstrate that the biblical flood narrative was derived from stories that had been embedded in Sumerian and Babylonian society and literature for thousands of years. The book revolves around a clay tablet dating from about 1800BC with 60 lines of cuneiform (the tiny, wedge-shaped script on the tablets), which relate part of the flood story. Finkel first encountered this "Ark tablet" almost 30 years ago when a member of the public brought it to show him. He has spent the past 20 years translating the text and putting it in the context of other flood literature, and is now ready to unveil it to the world. This is in the form of his book and a Channel 4 documentary, due to be shown in August, which is building the ark to the specifications on Finkel's tablet to see if it floats.

Finkel's bombshell – and the point of the Channel 4 programme – is that he reckons the original ark was round. "The fact that the ark was round is the headline finding," he says. "It's something nobody in the world had anticipated because everybody knows what Noah's ark looked like." All those pictures of oblong, multi-decked boats that look like neat country cottages will have to be redrawn.

The mobile phone-sized ark tablet is housed in a posh-looking red box with "Instructions on the Building of the Ark" written on it. Finkel takes the tablet out of the box and lets me hold it – a chance to commune with the ghosts of ancient Mesopotamia. I manage not to drop it. As well as casting new light on the shape of the original ark, it also contains the first written allusion to the animals "going in two by two". In the book, he describes unearthing this reference on the broken, weathered tablet with its worn-out wedges as his "biggest shock in 44 years of grappling with difficult lines in cuneiform tablets ... I nearly fell off my chair." He is good at conveying the excitement of academic discoveries, a television natural.

Clay tablet The tablet in Irving Finkel's hand casts new light on the shape of the ark. Photograph: Sarah Lee for the Guardian

He could have written up his findings in an academic tome that would have pleased his peers, but he has instead produced a digressive, amusing, personal book for the general reader, a book that is willing to ask big questions – such as how did the Babylonian ark story find its way into the Bible? – and make the odd educated guess. "There's very little in existence that helps people with this subject. Mostly we're orientated to make it seem forbidding and difficult."

The first draft was written in what he calls a "very defensive" way. "In the world of scholarship," he says, "you don't make a statement without supporting it with footnotes and references to German periodicals."

"When I first wrote the book I did it feeling that all my colleagues were going to read it and they'd be saying [puts on whispery academic voice] 'I rather doubt ...' But when I wrote the second draft, I suddenly had this brilliant idea that I would forget my colleagues existed and write for everybody else, which was very liberating. It meant I could speak with my real voice." In the book, Finkel explains his own route into Assyriology and his continuing love affair with the subject. He had wanted to be a curator at the British Museum from the age of nine, and was overjoyed when he joined in 1979. But how will those colleagues react? "I don't know," he admits. "They'll probably all gang up against me at conferences and throw fruit."

Finkel wears several academic hats. As well as being in charge of the museum's 130,000 clay tablets, he looks after its collection of board games and has made it a personal crusade to preserve old diaries, launching the Great Diary Project to "provide a permanent home for unwanted diaries of any date or kind".

What links Mesopotamian inscriptions and the humdrum diaries of elderly ladies from Carshalton? "I had this sudden epiphany that diaries were like clay tablets," he says. In 4,000 years time, the shopping lists of elderly ladies in Surrey will be pored over with fascination. Finkel sees his mission as rescuing artefacts of the past – clay tablets, obscure Indian board games, the diaries of ordinary people – before they are swept away, a latterday Noah constructing a cultural ark. A round one of course.

 

29/12/2014

Le projet secret d’un "deuxième Israël" en Ukraine et en Crimée

Ainsi nous avons les confirmations de savoir que ce sont les sionistes qui ont fomenté le coup d'état en Ukraine et qui attaquent la Russie dans l'autre objectif de récupérer la Crimée et que ce sont bien les Rothschild et Rockefeller qui augmentent la pression sur Poutine

Article à rapprocher des articles ci-dessous :

*- Fuite du rapport: Israël reconnaît que les Juifs sont des descendants des -Khazars. Le plan secret pour leur migration inverse vers l'Ukraine

*- Les Khazars, des trucos-mongoles, peuple de la steppe converti au Judaïsme

*- Ukraine/intégrité territoriale: pas de compromis possible (Porochenko)

 

Le projet secret d’un « deuxième Israël » en Ukraine

Le rôle joué par les personnalités juives et l’État d’Israël dans la crise ukrainienne n’est pas passé inaperçu, sachant que cette communauté représente moins d’un pour cent de l’ensemble de la population. Cependant, l’administration Netanyahou a en sa possession un rapport confidentiel confirmant que les juifs ashkénazes ne sont pas originaires du Levant, mais sont les descendants des Khazars, ce peuple mal connu fondateur d’un empire juif au dixième siècle sur les rives de la mer Noire. Ceci explique pourquoi certains sionistes voient en l’Ukraine un possible second Israël.

| Washington D. C. (États-Unis) | 28 décembre 2014

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Le Premier ministre ukrainien Arseni Iatseniouk (Thetan opérant de niveau 6 au sein de l’Église de scientologie) en pleine discussion avec le mafieux Ihor Kolomoïsky, qu’il a nommé gouverneur de l’oblast de Dnipropetrovsk. Ce dernier est impliqué dans le massacre d’Odessa du 2 mai 2014 à la tête de sa propre armée, le bataillon Dnipro-1. Il s’est attaché les services de R. Hunter Biden (fils du vice-président états-unien Joe Biden) et de Devon Archer (président du Comité de soutien à la campagne présidentielle de l’actuel secrétaire d’État, John Kerry) en tant que membres du conseil d’administration de sa holding d’infrastructures gazières.

Le Times of Israel, journal israélien indépendant dont le comité de rédaction compte des anciens journalistes du quotidien Ha’aretz, a publié un papier passionnant qui n’a pourtant pas fait grand bruit. L’article en provenance de Jerusalem et Zhitomir, daté du 16 mars 2014 et écris par Hirsh Ostropoler et I. Z. Grosser-Spass, correspondants russes et ukrainiens du journal, fait mention d’un rapport confidentiel remis au gouvernement israélien [1]. Ce rapport, établi par un comité d’experts en histoire juive et reposant sur des sources universitaires, parvient à la conclusion que les juifs européens descendent en réalité des Khazars, peuple guerrier d’origine mongole et tatare ayant dominé l’Ukraine et la Russie méridionale et s’étant converti en masse au judaïsme au VIIIè siècle.

Les sionistes prétendent depuis longtemps que la terre revendiquée d’Israël revient de droit au peuple juif, que les conquêtes successives de différents empires ont évincé et dispersé, ce que l’on a appelé la diaspora. Apporter la preuve que les ashkénazes, qui forment l’essentiel de la population israélienne, ne sont pas historiquement liés à la Palestine remettrait en question le principe même d’Israël comme étant la patrie millénaire du peuple juif.

Les journalistes israéliens ont souligné que toute discussion entre Khazars et l’État d’Israël avait toujours été méprisée par les responsables israéliens. Ils citent ainsi le Premier ministre Golda Meir, qui aurait déclaré : « Khazar, Schmazar. Il n’y a pas de peuple khazar. Je ne connais pas de Khazars à Kiev. Ni à Milwaukee. Montrez-les moi, ces Khazars dont vous parlez. » Les preuves génétiques d’une population khazare migrante venue d’Europe et qui revendique aujourd’hui des origines ancestrales en Palestine disqualifient sérieusement les prétentions sionistes sur cette terre.

L’établissement du fait que les juifs d’Europe centrale et d’Europe de l’est n’ont pas de légitimité historique en ce qui concerne leurs revendications sur la Palestine a créé bien des remous en Israël et ailleurs. La Knesset se prépare à voter une loi présentée par le gouvernement faisant d’Israël une « nation » juive. Le Premier ministre, Benyamin Netanyahou, après avoir lu le rapport confidentiel au sujet des Khazars, a déclaré qu’Israël était « l’État nation du peuple juif. » Les prétentions ashkénazes en Israël étant diminuées, pour ne pas dire plus, Netanyahou, ses amis du Likoud, ses alliés du parti orthodoxe juif comme les colons de Cisjordanie n’ont pas d’autre choix que de jouer la carte de la revendication nationaliste, non seulement pour Israël, mais aussi pour la Cisjordanie (ou « Judée-Samarie », comme l’appelle les nationalistes juifs).

Toutefois, certains juifs, en Israël comme ailleurs, ne souhaitent pas prendre de risques. Une des raisons principales pour qu’Ihor Kolomoïsky —le richissime magnat juif ukrainien et gouverneur de la province de Dnipropetrovsk, qui est aussi citoyen israélien et chypriote— dépense des dizaines de millions de dollars pour recruter des nationalistes ukrainiens de droite et des néo-nazis venus d’ailleurs en Europe pour combattre la majorité russophone de la région du Donbass en Ukraine orientale, c’est la peur de voir capoter le projet de transformation de l’Ukraine en « Israël-bis ». Les mesures de protection prises par la Russie vis-à-vis de la région du Donbass, tout comme son intégration à la Crimée par voie référendaire (cette région étant convoitée par les nationalistes khazars juifs renaissants) menacent la transformation de l’Ukraine en deuxième patrie pour les juifs ashkénazes qui, déjà, s’inquiètent au sujet de leur emprise sur la terre d’Israël.

Le papier retentissant du Times of Israel à propos des origines khazares des juifs ashkénazes a aussi mis en lumière qu’Israël, ayant conscience qu’un État palestinien est inévitable compte tenu des pressions européennes en ce sens, se prépare à déplacer ses colons ashkénazes de Cisjordanie en Ukraine. La recherche de pointe dans le domaine de la génétique en Israël a permis d’établir un lien direct entre les ashkénazes d’Israël et les Khazars qui se sont jadis dispersés en Europe de l’est et en Europe centrale après la conquête de l’empire khazar par la Russie au XIè siècle.

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Les Israéliens et leurs alliés sionistes du monde entier ont toujours accusés les tenants du lien génétique entre ashkénazes et Khazars d’antisémitisme primaire. Cependant, les éléments de recherche génétique contenus dans le rapport confidentiel israélien ne font que confirmer ce qu’avait révélé l’historien juif Shlomo Sand dans son livre Comment le peuple juif fut inventé. Le concept de descendance khazare, lui, avait été pour la première fois évoquée en 1976 par l’historien hongrois Arthur Koestler dans son livre La Treizième tribu.

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Les journalistes du Times of Israel relayent les révélations d’un assistant anonyme de Netanyahou au sujet des projets d’émigration israélienne vers l’Ukraine. « Nous avons d’abord pensé que reconnaître être des Khazars serait une façon pour nous de contrer l’inflexibilité d’Abbas (le président de l’autorité palestinienne) sur l’impossibilité d’une présence juive dans un État palestinien. Nous tentions sans doute ce faisant de nous raccrocher à ce que nous pouvions. Mais son incapacité à accepter la chose nous a poussés à chercher des solutions plus ingénieuses. L’invitation au retour des juifs en Ukraine fut une véritable aubaine. Mais le déplacement rapide de tous les colons d’Israël n’irait pas sans poser problème au niveau logistique et économique, et Il va de soi que nous ne souhaitons pas revivre une expulsions des colons semblable au plan de désengagement de Gaza. »

Ostropoler et Grosser-Spass rapportent aussi les propos d’une source israélienne anonyme selon laquelle « Il ne s’agit pas de renvoyer tous les ashkénazes en Ukraine. Cela n’est, de toute évidence, pas faisable. Comme souvent, les médias exagèrent et font dans le sensationnel… C’est bien pourquoi il faudrait une censure militaire. »

Le Projet conjoint d’Israël et de l’Ukraine consiste à déplacer les colons de Cisjordanie en République Autonome de Crimée (Russe), et ce après une éventuelle rétrocession de la péninsule à l’Ukraine, comme ils l’espèrent. Pour les sionistes ukrainiens comme Kolomoïsky, ou leurs alliés états-uniens tels que Victoria Nuland (secrétaire d’État adjointe, déléguée aux Affaires européennes et eurasiennes) et Geoffrey Pyatt (ambassadeur US en Ukraine), l’objectif ultime consiste à établir une région juive autonome en Crimée et à redonner à la péninsule son nom khazar d’origine, Chazerai. Comme les Tatars qui vivent aujourd’hui en Crimée, et ailleurs, sont en majorité musulmans, le projet de création d’une nation khazare en Ukraine reposerait aussi probablement sur un fort prosélytisme de la part des Israéliens et des Ukrainiens déterminés à réinstaurer la Khazarie comme alternative à l’État d’Israël. Le prosélytisme juif (qui se concentre actuellement sur les « crypto-juifs » métis catholiques au Mexique, les chrétiens, hindous et bouddhistes en Inde, les orthodoxes russes et les bouddhistes de Birobidjan en Sibérie, les musulmans du Pakistan et d’Afghanistan, les chrétiens, musulmans et animistes d’Ouganda, du Ghana, du Mali du Nigeria du Zimbabwe, du Mozambique et du Malawi et sur quelque groupes de descendants juifs supposés en Chine, à Sao Tomé-et-Principe, à Tahiti, au Suriname, au Vietnam, au Brésil et au Pérou) traduisent la volonté d’Israël de renforcer la présence juive dans un but de colonisation en dehors des territoires illégalement occupés que sont le Cisjordanie et le plateau du Golan. Outre l’Ukraine, le nord de l’Irak, l’est de la Libye, la ville d’Alexandrie en Égypte, certaines parties de la Turquie, la Patagonie en Argentine ainsi que l’Ouganda sont tous des territoires qui ont été envisagés comme colonies juives en remplacement ou en complément de la Cisjordanie. Les Bnei Menashe des États de Manipour et de Mizoram au nord-est de l’Inde, ces soi-disant « tribus perdues d’Israël », sont considérées par la majorité des Indiens, non comme des juifs, mais comme des migrants économiques à la recherche d’une vie meilleure en Israël. Les expansionnistes israéliens veulent tellement gonfler leurs rangs et développer leurs prétentions territoriales qu’ils ont fait réaliser des études génétiques douteuses en vue de classer comme « tribus perdue » d’Israël les Sorbes d’Allemagne de l’est, l’ethnie Bantou Lemba (au Zimbabwe, Malawi et Mozambique) et aussi certains Italiens du sud, certains Arméniens, et certains Grecs.

Carte de l’empire khazar au Xè siècle tirée du livre de Koestler.

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En Ukraine, ce prétendu « deuxième Israël », Kolomoïsky et le pouvoir de Kiev ont enrôlé des ex-membres des Forces de défense israéliennes dans leurs bataillons de volontaires, notamment le bataillon Azov. Une des unités israéliennes, commandée par un certain « Delta » est connue sous le nom des « Casques bleus de Maidan » [2]. Si Israël n’avait pas un intérêt direct à développer son influence en Ukraine, le pays pourrait facilement empêcher ces unités de se rendre sur place.

On trouve aussi en Cisjordanie des colons juifs sépharades qui sont les descendants des juifs Marranos d’Espagne sous domination musulmane, qui furent chassés de la péninsule ibérique au cours de l’inquisition espagnole et portugaise du XVè siècle et qui n’ont aucun lien avec les ashkénazes ou les khazars. Récemment, dans une démarche similaire à l’invitation des ashkénazes de Cisjordanie à venir s’installer en Ukraine, l’Espagne et le Portugal ont promulgué des lois permettant aux juifs sépharades du monde entier en mesure d’attester de leurs origines Marranos d’acquérir la nationalité dans les deux pays.

Certains russophones du Donbass en ont assez des intentions des pro-Israéliens au sein du gouvernement de Kiev. Curieusement, Kolomoïsky a fait appel à un certain nombre de néo-nazis d’Ukraine occidentale et d’Europe pour rejoindre les rangs de ses bataillons et il faut savoir que les organisations droitistes auxquelles ils appartiennent ont toujours défendu l’idée d’une « mêlée générale » opposant la Russie aux descendants des Khazars d’Israël, d’Ukraine, de Pologne et de Géorgie pour venger la victoire de l’Empire Russe sur l’empire khazar au XIè siècle.

Israël a mis à disposition du gouvernement géorgien de Mikheil Saakachvili (dont un certain nombre de représentants ont la double nationalité israélo-géorgienne et sont d’origine khazare) une aide au niveau militaire comme au niveau du renseignement dans la guerre de 2008 contre l’Ossétie du sud et L’Abkhazie. Les Israéliens ont également tissé des liens étroits avec l’Azerbaïdjan, pays qui, à l’instar de la Géorgie et de l’Ukraine, est historiquement lié à la Khazarie par le biais des Subbotniks, un groupe indigène de juifs azéris.

Les journalistes du Times of Israel racontent aussi pourquoi, selon l’assistant anonyme de Netanyahou, le gouvernement israélien s’efforce de mettre en place une implantation israélienne massive en Ukraine : « Comme l’a dit le Premier ministre, personne ne saurait dire aux juifs où ils doivent vivre en tant que peuple souverain. Il est prêt à faire d’importants sacrifices au nom de la paix, même si cela implique de renoncer à notre terre biblique de Judée-Samarie. Par contre, il faut s’attendre à ce que nous fassions valoir nos droits historiques ailleurs. Nous avons décidé que cela se ferait sur les rives de la mer Noire, là où nous fûmes un peuple autochtone pendant plus de 2 000 ans. L’historien non-sioniste Simon Dubnow lui-même a déclaré que nous étions en droit de coloniser la Crimée. Tous les livres d’histoire en parlent. Vous pouvez vérifier par vous-même. »

Cet anonyme a aussi révélé aux deux journalistes que Netanyahou avait beaucoup d’estime pour la vigueur des anciens Khazars et rapporte ces propos, qu’il aurait tenu : « Nous sommes un peuple ancien et fier dont l’histoire remonte à 4 000 ans. » Mais l’assistant ajoute : « On peut dire la même chose des Khazars… en Europe, mais pas sur une période aussi étendue. Mais jetez un œil à la carte : les Khazars n’ont pas eu à vivre dans les « frontières d’Auschwitz »....

Pour les personnes mal renseignées, dont font apparemment partie le président Barack Obama et son secrétaire d’État John Kerry, l’actuelle volonté de créer une nouvelle identité nationale israélienne est directement liée aux activités des dirigeants ukrainiens (Petro Porochenko, Arseni Iatseniouk, Ihor Kolomoïsky) et à celles de leurs soutiens états-uniens (Victoria Nuland et Geoffrey Pyatt), occupés à préparer une terre d’accueil, temporaire ou pas, pour les ashkénazes de Cisjordanie. Grâce aux révélations du Times of Israel au sujet du rapport confidentiel sur les Khazars et l’Israël contemporain, les manœuvres des États-uniens et de l’Union Européenne visant à déstabiliser l’Ukraine sont à présent on ne peut plus évidentes.

Traduction
Erwann

Source
Strategic Culture Foundation

[1] “Leaked report : Israel acknowledges Jews in fact Khazars ; Secret plan for reverse migration to Ukraine”, Jim Wald, The Times of Israel, March 16, 2014.

[2] « Des soldats israéliens étaient camouflés place Maidan », Réseau Voltaire, 3 mars 2014. Et « Le nouveau Gladio en Ukraine », par Manlio Dinucci, Traduction Marie-Ange Patrizio, Il Manifesto (Italie), Réseau Voltaire, 18 mars 2014.