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14/10/2016

Sarkozy à Assad : « On va mettre votre pays à feu et à sang ! »

A partager massivement !

REVELATION EXCLUSIVE : en 2008, lors d'une rencontre entre Nicolas Sarkozy et Bachar al-Assad concernant un projet de gazoduc, le président français, contrarié par son refus, aurait promis à Assad de « mettre son pays à feu et à sang ! »

Un an plus tard, des « révolutions populaires » éclataient en Syrie...


Dans le dernier numéro de Sécession (disponible ici), Julien Rochedy a livré une anecdote exclusive au sujet d’une rencontre, en 2008, entre Nicolas Sarkozy et Bachar al-Assad.

Source : ICI

 

 

 

09/12/2015

COP21 : Pourquoi faire ? Au-delà du climat, le Nouvel Ordre Mondial

COP21: Réveil anarchiste sur le capitalisme vert (de gris)… Hourra !

Très bonne analyse de l’affaire du « changement climatique anthropique » publiée dans le numéro spécial COP21 du Monde Libertaire. Nous nous réjouissons de cette analyse d’autant plus que cela marque une espèce de tournant dans le courant anarchiste. En effet, depuis bien des années, les compagnes et compagnons ont toujours eu une tendance à sauter les yeux fermés dans le train écolo en marche, or tout ce qui est vert n’est pas pré bio, c’est bien connu… Il est bon de voir les yeux s’ouvrir et la fumée se dissiper pour qu’enfin l’agenda politico-économique se dévoile au grand jour. L’analyse ci-dessous descend profond dans le terrier du lièvre et lève un coin du voile jeté depuis bien longtemps sur cette supercherie climatique anthropique.

Le fichier à télécharger en PDF : ICI

Anti cop 21 - COP 21 : pour quoi faire ?

29/11/2015

L'UE versera 3 mds EUR à la Turquie

Est-ce que l'on nous a posé la question de savoir si nous voulions donner notre argent à un pays terroriste et si nous voulions qu'il rentre en prime dans l'UE pour continuer avec notre argent à financer le terrorisme et à le faire rentrer chez nous, en Europe ?

Poutine, la communauté internationale et nous-mêmes sommes les témoins que nous sommes dans une Europe Nazie qui finance le terrorisme !

Poutine ayant éliminé nombre d'armements et des bases des terroristes en Syrie, il faut bien aider financièrement le terroriste d'Erdogan pour qu'il puisse encore former et armer de nouveaux mercenaires à la solde des USA et de l'UE !

L'UE versera 3 mds EUR à la Turquie

Les drapeaux de la Turquie et de l'UE

Les dirigeants européens et turcs se sont mis d'accord dimanche, lors du sommet Europe-Turquie à Bruxelles, pour verser 3 milliards d'euros à la Turquie afin de l'aider à accueillir les réfugiés syriens.

Les dirigeants européens des 28 pays membres de l'Union européenne ont reçu à Bruxelles le Premier ministre turc Ahmet Davutoglu pour discuter du règlement de la crise migratoire. La Turquie s'engage à contenir le flux des réfugiés arrivant en Europe du Proche-Orient, via la Turquie, en échange de contreparties financières et politiques.

Ainsi, à l'issue du sommet Europe-Turquie à Bruxelles, dirigeants européens et turcs ont convenu d'ouvrir le chapitre 17 des négociations sur l'adhésion de la Turquie à l'UE à la mi-décembre, selon le projet de conclusions du sommet.

Le texte précise que d'autres chapitres seront préparés pour être discutés au premier trimestre de 2016.

Selon le texte, l'UE est prête à assouplir les conditions d'obtention de visas aux citoyens turcs d'ici octobre 2016, si Ankara répond aux critères de la feuille de route.

En échange de l'aide aux Européens dans la gestion de la crise des migrants, la Turquie recevra une somme initiale de trois milliards de dollars. Ce montant pourra être bonifié ultérieurement en fonction de l'évolution de la situation.

L'accord prévoit que "les deux parties vont, comme convenu et avec effet immédiat, coopérer activement sur les migrants ne nécessitant pas une protection internationale, pour entraver les entrées en Turquie et dans l'UE, assurer la mise en œuvre des dispositions bilatérales de réadmission et renvoyer rapidement les migrants qui ne nécessitent pas une protection internationale vers leurs pays d'origine".

Après les révélations concernant l'achat par la Turquie du pétrole de Daech et les scandales dévoilant le lien de la famille du président turc Recep Tayyip Erdogan avec le groupe terroriste, les médias du monde entier se demandent si les milliards des contribuables européens seront bien destinés aux besoins des réfugiés.

 Le 18 octobre, la chancelière allemande Angela Merkel s'était déjà rendue à Istanbul, où elle s'est entretenue sur la crise migratoire avec Recep Tayyip Erdogan et Ahmet Davutoglu. Mme Merkel a surtout souligné le rôle clé de la Turquie dans le règlement de la crise migratoire.

 

Assad: les pays-ennemis s'allient à Daech face aux succès militaires en Syrie

Il va falloir que Poutine renonce à vouloir s'allier à tout prix avec les ennemis de la Russie, de la Syrie, de l'Irak, de la Libye et de l'Afrique !

ll serait temps de constituer de nouvelles alliances avec des pays qui ne sont pas sous l'influence des USA/Sionistes !

Assad: les pays-ennemis s'allient à Daech face aux succès militaires en Syrie

20:38 29.11.2015

Armée syrienne

Face aux progrès de l'armée syrienne, certains pays hostiles à la Syrie ont augmenté leurs livraisons d'armes tout comme leur soutien financier aux rebelles de Daech, a déclaré le président syrien Bachar el-Assad, cette annonce intervenant lors de sa rencontre avec Ali-Akbar Velayati, ministre iranien des Affaires étrangères.

S'entretenant avec M. Velayati, le président syrien a mis en exergue que la résistance remarquable du peuple syrien et les succès des forces militaires syriennes luttant contre le terrorisme, appuyées par leurs alliés, en premier lieu l'Iran et la Russie, ont poussé certains pays-ennemis de la Syrie à augmenter leurs livraisons d'armements et le financement des rebelles, indique l'agence de presse syrienne SANA.

En cela, le président syrien a confirmé la détermination de la Syrie et de ses alliés à "poursuivre la lutte contre le terrorisme sous toutes ses formes". Selon lui, l'élimination des terroristes représentera le principal pas vers la stabilité dans la région.

M. Velayati, pour sa part, a affirmé que c'était le devoir de l'Iran de soutenir Bachar el-Assad dans cet affrontement "fatidique".

Ali-Akbar Velayati, proche conseiller du Guide de la révolution islamique l'Ayatollah Ali Khamenei, s'est rendu dimanche en visite à Damas pour s'entretenir avec le président Bachar el-Assad, ainsi qu'avec son homologue syrien Walid al-Mouallem.

 

Erdogan a tiré un "missile air-air" sur 4 secteurs de l'économie turque

Allez t'inquiète pas, va, quand la Russie, légitimement sanctionne les terroristes, comme toi, Erdogan, les USA, l'UE et la France continueront à t'aider à financer le terrorisme au Moyen Orient, au profit d'Israël et des Banksters US/Sionistes !

Ils ont besoin de toi pour leur permettre de faire régner la terreur dans les pays du Moyen Orient, pour faire des millions de réfugiés parmi lesquels, tu nous enverras bien quelques terroristes pour faire exploser ces pauvres imbéciles d'Européens qui paient pour vos crimes !

Et puis les sionistes seront contents, car grâce à toi, ils pourront créer le Grand Israël et le Grand Moyen Orient ! Et dans cet objectif, ils ne peuvent pas s'allier à la Russie, sans renoncer à leurs projets machiavéliques  !

Erdogan a tiré un "missile air-air" sur 4 secteurs de l'économie turque

Le président turc Recep Tayyip Erdogan

La décision d'abattre le bombardier russe Su-24 prise par la Turquie ne tardera pas à frapper quatre secteurs de l'économie turque, a estimé Alexeï Pouchkov, chef du comité des Affaires étrangères de la Douma (chambre basse du parlement russe).

Commentant les mesures de rétorsion annoncées hier par le président russe en réponse à l'attaque contre le bombardier Su-24, Alexeï Pouchkov a fait remarquer que l'attaque n'était qu'un coup porté à l'économie de la Turquie.

Premièrement, c'est le secteur du tourisme qui va en pâtir, car les Russes rapportaient, annuellement, entre 3,5 et 4 milliards de dollars à l'industrie touristique turque, ce qui représente de 12% à 18% du volume total du secteur du tourisme du pays, a précisé le chef du comité.

Ensuite, la décision nuira aux entreprises turques qui travaillaient en Russie. Selon M. Pouchkov, le montant total de leurs profits s'élèverait à 50 milliards de roubles (environ 767 millions d'euros) l'année prochaine.

Troisièmement, la situation actuelle ne tardera pas à se répercuter sur les groupes turcs spécialisés dans les exportations en Russie.

"Vu que, ces dernières années, les échanges commerciaux entre la Russie et la Turquie se chiffrent à quelques 30 milliards de dollars, une telle perte constituera à coup sûr un grave obstacle à l'exportation turque", explique M. Pouchkov. "Ils seront obligés de chercher de nouveaux marchés, et ces groupes ne les retrouveront pas tous", poursuit-il.

Finalement, les évènements de ces derniers temps auront pour conséquence de porter un coup dur au budget de l'Etat turc. La Turquie verra ses recettes des exportations fortement réduites ainsi que pour les entreprises turques qui travaillaient auparavant sur le marché russe et celles du secteur du tourisme", a souligné le député russe.

Le 28 novembre, le chef d'Etat russe Vladimir Poutine a signé un décret visant à renforcer la sécurité nationale et introduisant des mesures économiques contre la Turquie, après l'attaque du bombardier russe Su-24.

Selon le décret, les opérateurs touristiques ne seront plus autorisés à vendre des séjours en Turquie et les vols charters entre la Russie et la Turquie seront également interdits. De même, les mesures du Kremlin interdisent aux employeurs russes d'embaucher des citoyens turcs à partir du 1er janvier 2016 et ordonnent d'interdire ou de limiter l'activité des organisations turques en Russie. De surcroît, Vladimir Poutine a ordonné d'interdire ou de limiter les opérations économiques extérieures, prévoyant l'importation sur le territoire russe de certains produits provenant de la République turque selon une liste définie par le gouvernement de la Fédération de Russie.

Voir aussi :

La Turquie attend des actions démontrant plus de sang-froid de la part de la Russie, a commenté le Premier ministre turc Ahmet Davutoglu aux sanctions que la Russie a imposé à Ankara après le crash du SU-24 russe, abattu par les forces turques.