15/05/2020
Pour le Pr Didier Raoult le Covid19 est derrière nous, quelle leçon doit-on tirer de l'épidémie?
Pour le Pr Didier Raoult le Covid19 est derrière nous, quelle leçon doit on tirer de l'épidémie?
13:34 Publié dans Arnaques, Mensonges, Propagande, Bildenberg Group, Grand Reset Mondial, Davos, Bill Gates, Bioterrorisme, Eugénisme, Escroquerie, Franc-Maçonnerie & Jésuites Lucifériens, France/Israël/Elections, Les Illuminati-Reptiliens, Les Lobbies et la Politique, Livres, Lobbying et Politique, Laboratoires Pharmaceutique, Manipulations génétiques, OMS, ONU, OTAN, Pr Didier RAOULT - COVID/19, hydroxychloroquine, Rothschild, Mafia Kazhar, Santé, Médecine, Science, Survie, Réveillez-vous, Préparez-vous, Urgence. Survie, Virus Coronavirus, Virus, épidémies | Lien permanent | |
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14/05/2020
Didier Raoult devant les sénateurs : « l’Etat français est décrédibilisé »

Le professeur Didier Raoult devant la commission des affaires sociales du Sénat (Crédit DR).
Critiqué par le Premier ministre, mis en garde par le ministre de la Santé, remis en question sur les plateaux TV, le professeur Didier Raoult a dégainé son argumentaire devant le Sénat le 7 mai dernier en visioconférence. Les questions des sénateurs furent factuelles, précises, acérées. Les réponses de Didier Raoult sont à la hauteur. Il réplique coup pour coup et précise ses attaques, sur le fond, avec les mêmes arguments qu’il défend depuis le début de la crise ou plus récemment dans son interview à Paris Match du 9 mai, mais sur la forme avec plus de combativité et de vélocité.
Dans un document de synthèse qui circule, produit par Didier Raoult, les Réponses au questionnaire de la commission des affaires sociales du Sénat et que nous publions ci-dessous (en dernière page), il remet en cause globalement l’approche du gouvernement et pointe des responsabilités lourdes des décideurs politiques et médicaux. La pensée raoultienne en 10 citations.
1. Le conseil scientifique n’est pas au niveau
Sur le Conseil scientifique, il réitère sa grande défiance arguant du mauvais niveau des membres (par rapport à lui C.Q.F.D.) « Je refuse de débattre avec des gens ayant un niveau de connaissance trop bas » réaffirme-t-il dans Match. Mais surtout, il attaque sa consanguinité avec uniquement l’Inserm et l’Institut Pasteur au board, des infectiologues d’abord mais surtout, « ce groupe évolue dans un écosystème commun avec les directions locales de l’industrie pharmaceutique. »
2. Il faut tester tout de suite le maximum de personne
« Dans une situation épidémique qui débute, il faut tester tout de suite le maximum de personne. Ceci n’a pas été réalisé, en particulier parce que pendant un certain temps, les Centres nationaux de référence (tous les deux présents au Conseil ccientifique) considéraient que les tests diagnostiques étaient une difficulté particulière, (ce qui ne correspond pas à̀ la réalité), et qu’eux seuls pouvaient les faire.»
3. Le paracétamol avant l’insuffisance respiratoire : une décision extrêmement dangereuse
« L’idée de proposer, officiellement, aux patients de ne pas chercher de soins avant de sentir des difficultés respiratoires, a été une décision extrêmement dangereuse : chez les patients qui ne présentaient que pas, ou peu de symptômes, et pas de difficultés respiratoires (dyspnée), 65 % d’entre eux avaient des lésions au scanner.
De mon point de vue, il y a tentative de monopolisation de la connaissance dans ce que cette crise a permis de révéler, et qui ne correspond pas à la réalité analysable. Quant aux recommandations, il paraît difficile, de mon point de vue, de dire aux gens qui sont malades de ne pas venir se faire tester, ni soigner, et de dire aux patients que la seule thérapeutique acceptable est le Doliprane jusqu’au moment où ils présenteront une insuffisance respiratoire. »
4. La bonne méthode pour découvrir des choses inattendues
« Tout commence toujours dans les maladies nouvelles par de l’observation anecdotique, ensuite par des séries observationnelles qui permettent de cerner les questions basées sur l’observation initiale. Le fait d’imaginer que l’on puisse, en utilisant des méthodes traditionnelles se doter des capacités d’observations est juste un fantasme là aussi lié au fait que la plupart des gens qui sont en situation d’avoir une opinion sur cette situation se trompent de guerre. Dans les maladies nouvelles, les initiatives individuelles, les observations sont essentielles, c’est ce que les Anglais appellent l’abduction, c’est-à-dire la capacité de découvrir des choses qui sont inattendues et qui ont été extrêmement communes dans cette maladie.»
5. La chloroquine : émotion, délire, manipulation de l’opinion
« Il est à noter, qu’à cette occasion, j’ai pu observer un délire, qui est le plus stupéfiant sur le plan médicamenteux, de toute ma carrière, pourtant longue, sur le danger extrême de l’utilisation de l’hydroxychloroquine et de la chloroquine. Ces médicaments sont prescrits depuis 80 ans, il est probable qu’au moins 1/3 de la population a eu l’occasion d’en manger. En France, la CNAM rapporte que 36 millions de comprimés de Plaquenil 200 mg ont été́ distribués en 2019. L’émotion formidable, sur les risques de la chloroquine et l’hydroxy-chloroquine, témoigne d’une absence complète de contrôle de l’information raisonnée, basée sur la bibliographie, et non pas sur les émotions des uns et des autres, voire la manipulation de l’opinion et je mesure mes termes. Par définition, le directeur de l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé), en est responsable. » (N.D.L.R. Le docteur en psychiatrie, Dominique Martin).
6. Conflits d’intérêts et « scientific misconduct »
Didier Raoult avait déjà dénoncé les conflits d’intérêts des autorités médicales en particulier avec le laboratoire américain Gilead.
« Ce qui est inquiétant, est que l’équipe conseillère du Conseil scientifique, qui rapporte des données sur le Remdesivir ou sur l’hydroxychloroquine, au mieux sont maladroites, ou pire, sont manipulées ». (…) « Il existe un problème très fondamental de conflits d’intérêts concernant la médecine dans ce pays, il paraît difficile d’être à la fois le bénéficiaire de financement massif et de se prononcer raisonnablement sur des choix thérapeutiques qui concernent les médicaments d’un industriel qui les produit. » Didier Raoult a même fait établir une courbe comparée des interventions contre la Chloroquine et du cours de Bourse Gilead ! (9 milliards de dollars d’action ont été́ échangés pendant la période du COVID 19 pour l’action Gilead). Derrière les murs de labos la bataille est sans merci : « Des dénonceurs professionnels m’ont fait harceler, pour me faire rétracter des publications ».
Pour donner l’exemple, l’IHU publie en fin de rapport un compte rendu chiffré de tous les contrats, conventions et dons des industries pharmaceutiques faits à la Fondation.
7. Le ministère dans le collimateur
« La position du ministère qui a consisté, sur les conseils du Haut comité de santé publique actuel, conseillé par le Professeur Chidiac, d’interdire la prescription d’hydroxychloroquine aux médecins généralistes. (…) Il existe donc pour des raisons qui sont mystérieuses et dont je pense que cette commission devrait se préoccuper sérieusement, d’empêcher l’usage du médicament le plus utilisé au monde pour traiter le COVID, le plus utilisé au monde par les médecins qui prennent en charge les COVID. Ce mystère français reste à élucider. Ceci décrédibilise durablement les décisions de l’État dans une situation de crise quand les praticiens sont massivement en désaccord avec les autorités et représente un danger pour l’avenir. »
8. L’essai Discovery biaisé
« L’essai Discovery représente les conséquences d’un choix initial, qui était d’utiliser le Remdesivir, et celui-ci ne pouvant être utilisé que dans les formes graves du fait de sa toxicité. Il ne testait plus la prise en charge des formes au début, ce que je pense être une erreur grave et une ignorance scientifique coupable sur la virologie.»
9. Le vaccin : un pari symbolique ?
« Concernant les vaccins, je ne suis pas sûr qu’un vaccin, pour une maladie dont on ne sait pas si elle existera l’année suivante, soit réellement autre chose qu’un pari. Il n’empêche qu’il faut bien que certains prennent des paris, mais la route est longue. Les exigences de sécurité, pour un vaccin de cette nature, prennent plusieurs années, en général.
J’ai la plus grande incompréhension sur les recommandations vaccinales. Il n’y a aucune homogénéité sur les recommandations vaccinales en Europe, où il existe 23 programmes de vaccination différents, aucun rapport entre nos recommandations vaccinales et celles des États-Unis. Des vaccins extrêmement importants et efficaces comme celui de la varicelle (plusieurs de centaines de milliers de cas en France, par an), le rotavirus (plusieurs de centaines de milliers de cas), le papillomavirus, plus l’absence de mise en place d’une vaccination pour la grippe des enfants (la grippe aura tué probablement plus d’enfants cette année que le Covid), amène à penser que la création d’un vaccin, en dehors de son aspect symbolique, ne débouche pas nécessairement sur un usage. Je pense qu’il est plus urgent d’avoir une réflexion sur les vaccins existants actuellement, que sur les vaccins pour une maladie dont on ne sait pas si elle sera encore présente l’année prochaine.»
10. Le Lazaret ou la quarantaine ?
« Les isolements ont été faits sur un mode de quarantaine et non pas sur un mode de Lazaret, que nous connaissons bien à Marseille. Nous savons à Marseille, depuis plusieurs siècles, que le Lazaret (on isole les malades) a un intérêt (comme les avaient les sanatoriums) mais que la quarantaine (on confine tout le monde) ne fonctionne pas (elle consiste à enfermer des gens contagieux avec des non contagieux) et il se passe ce qui s’est passé sur les bateaux comme le Diamond Princess ou le Charles de Gaulle qui sont des exemples typiques de ce qu’est le confinement sans test préalable.»
Rapport du Pr Didier RAOULT du 8 mai 2020
Document source à télécharger : ICI
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Après le Covid-19, le gouvernement et l’Etat devront faire face à une épidémie de plaintes
Après le Covid-19, le gouvernement et l’Etat devront faire face à une épidémie de plaintes
14 mai 2020
En pleine crise sanitaire, les plaintes se multiplient contre des membres du gouvernement ou des responsables de la Santé, accusés d'infractions graves mettant en danger la vie d'autrui. Analyse par Pierre Debuisson, avocat pénaliste à la Cour.
En période difficile, l’inclination humaine pousse systématiquement la société à trouver un bouc-émissaire sur lequel faire rejaillir l’entière responsabilité du marasme qu’elle traverse.
La crise sanitaire du Covid n’échappera pas à cette règle.
Et cela d’autant plus que, s’il est évident que l’on ne peut reprocher au gouvernement français l’apparition et la prolifération de ce virus, il apparaît en revanche que sa gestion de cette épidémie suscite déjà le courroux d’une nation consternée par l’accumulation inacceptable de lourdes défaillances.
D’aucuns s’interrogent sur la nature des manquements qui ont accompagné l’action gouvernementale : s’agit-il d’erreurs, susceptibles d’être plus facilement acceptées, ou de fautes, appelées à déchaîner une forte répression ?
Si les premières peuvent susciter davantage de compréhension et entraîner une responsabilité atténuée, en revanche les secondes ne pourront pas se départir de la sanction pénale qui en constitue la conséquence légitime.
D’ailleurs de nombreuses plaintes ont déjà été déposées contre plusieurs ministres, contre le directeur général de la Santé ou des directeurs d’Ehpad… Les faits visés sont constitutifs d’infractions graves :
Les faits visés sont constitutifs d’infractions graves :
- Délit d’abstention volontaire de prendre ou de provoquer les mesures permettant de combattre un sinistre de nature à créer un danger pour la sécurité des personnes,
- Homicide involontaire,
- Mise en danger de la vie d’autrui, etc.
Et sont punis d’une peine pouvant aller jusqu’à trois ans d’emprisonnement.
En effet, pour beaucoup de Français, la progression exponentielle du virus a mis à jour l’impréparation des autorités françaises et les insuffisances d’un système politique qui semble à bout de souffle.
Refusant de lire la chronique d’une catastrophe sanitaire et financière annoncée, et balayant d’un revers de main tous les signes avant-coureurs de l’épidémie, le gouvernement a non seulement été incapable d’anticiper, d’analyser et de décider dans l’intérêt des Français, mais a également attendu qu’il soit trop tard pour agir.
La débâcle que nous avons dû subir est aussi le résultat de nombreuses années de choix politiques calamiteux qui ont conduit à affaiblir notre souveraineté nationale en matière médicale, comme à de nombreux autres niveaux : quasi-disparition de stocks de masques, nombre restreint de lits médicaux, de tests de dépistage, etc.
De surcroît, il doit être précisé que face au risque d’épidémie, des recommandations sanitaires avaient pourtant été établies à titre préventif dans le cadre de nombreux documents officiels, qui révèlent d’ailleurs que la menace de pandémie était connue des autorités et prise au sérieux.
Ces documents préconisaient tous la constitution de réserves de matériel de protection : rapport parlementaire sur le risque épidémique de 2005, plans nationaux de lutte contre les pandémies, livre blanc sur la défense et la sécurité nationale, avis de Santé publique France de 2019 recommandant la constitution d’un stock préventif d’un milliard de masques, alerte auprès de la Direction générale de la santé concernant les stocks en 2018, etc.
Par ailleurs, au début de l’épidémie, les manquements ont été nombreux et pourraient être sanctionnés par la justice :
- Fermeture tardive des frontières,
- Non-suspension des vols avec la Chine,
- Retard dans le contrôle des voyageurs internationaux arrivés à Charles de Gaulle,
- Retard dans l’interdiction des rassemblements de plus de 100 personnes,
- Maintien des élections municipales,
- Énorme retard de dépistage : les premiers tests sont intervenus – selon les données de Santé publique France – un mois après l’arrivée du virus en France !
- Mensonge du gouvernement sur l’inutilité des masques, contredit par l’Académie de médecine !
- Aucune commande ou presque de tests de dépistage, de machines PCR, de masques… lesquels ont d’ailleurs été envoyés en Chine !
En outre, l’action du gouvernement et de la Direction générale de la Santé a mis en lumière tout au long de cette crise deux graves irrégularités qui ne pourront pas ne pas être sanctionnées :
- Le droit à la santé, qui implique une protection de tous, première obligation qui incombe à l’Etat, a été ignoré, voire bafoué. Cette réalité s’est notamment concrétisée par l’absence de masques respiratoires à destination de la population.
- Par ailleurs, le droit à être dépisté, droit essentiel, n’a pas été reconnu (ce qui est d’ailleurs revendiqué par le ministère de la Santé).
À cela s’est ajoutée une pénurie de matériels de protection, de gels hydroalcooliques, de blouses, de charlottes…et un retard considérable dans les commandes de tests et de masques.
En outre, l’absence de dépistage massif hautement recommandé par l’OMS n’a donc pas permis d’isoler les malades infectés et d’enrayer plus vite les chaînes de contamination.
Enfin, le dépistage partiel – réservé aux personnes symptomatiques, depuis le déconfinement – semble représenter une aberration en matière épidémiologique : puisqu’il conviendrait évidemment de dépister tout le monde, y compris les personnes infectées mais asymptomatiques, celles-ci demeurant tout aussi contagieuses…
Et ces fautes, qui ont empêché d’endiguer l’épidémie, ont entraîné de très nombreuses victimes qui sont en droit de demander des comptes, de telle sorte que les plaintes pénales et les actions en responsabilité contre l’Etat vont se multiplier.
Les premières actions, de nature pénale, ont une double vocation : celle d’obtenir une sanction vis-à-vis des responsables mais aussi de faire la lumière sur les chaînes de responsabilité.
Si la démarche qui les accompagne revêt surtout un aspect symbolique, destiné à obtenir justice, il n’en demeure pas moins que les conséquences pourraient s’avérer particulièrement lourdes pour ceux qui seraient jugés responsables. Les secondes, de nature administrative, auront surtout pour objectif d’obtenir une juste indemnisation des divers dommages subis.
Les secondes, de nature administrative, auront surtout pour objectif d’obtenir une juste indemnisation des divers dommages subis.
À ce titre, l’action en indemnisation des divers préjudices (moral, physique, économique) auprès du Tribunal administratif repose sur le constat qu’une politique sanitaire lacunaire et fautive a été menée par le gouvernement et notamment le ministère de la Santé (et s’appuie notamment sur les dispositions de l’article L. 3131-1 du Code de la santé publique).
Cette action sera utilisée par une myriade de victimes : familles endeuillées par la perte d’un proche, non traité, qui a subi une perte de chance de vivre plus longtemps, personnes infectées ayant souffert de dommages corporels, personnels exposés et laissés en première ligne sans protection et donc confrontés à un préjudice d’angoisse récurrent, restaurateurs et propriétaires d’hôtels et de cafés, obligés de rester fermés si longtemps et subissant une perte d’exploitation massive…
À telle enseigne que le pays doit s’attendre à un véritable raz-de-marée judiciaire à l’encontre du gouvernement et de l’Etat.
Si certains sont encore hantés par le spectre de l’affaire du sang contaminé, la prolifération des procédures judiciaires et administratives à venir n’aura à l’évidence rien de commun avec les scandales qui ont pu émailler la deuxième partie du XXe siècle.
Il convient ainsi légitimement de s’attendre à une abondance de jugements dont le retentissement inouï sera à la hauteur des conséquences désastreuses de ces scandales d’État.
Car, si les Français doivent bien être conscients que les difficultés présentes et à venir nécessitent un mouvement d’unité nationale pour faire face et tenir bon, en revanche l’on ne saurait leur reprocher de condamner la gestion calamiteuse de cette crise, dont les stigmates impacteront profondément et durablement leur vie et celle de leurs proches.
Après tout, la Justice n’est-elle pas rendue au nom du peuple français ? Pierre Debuisson
RT France :
23:15 Publié dans Actualité, politique ou géopolitique, Economie, Armes silencieuses, Espionnage, Arnaques, Mensonges, Propagande, Bildenberg Group, Grand Reset Mondial, Davos, Bill Gates, Bioterrorisme, Eugénisme, Boycott, Vaccination, Conspiration mondiale, Conspiration, Complot, Corruption, Crimes contre l'humanité, Eugénisme, Davos, Bildenberg, Word Economic Forum, Dépopulation, Des atteintes à la santé, Empoisonnement, Escroquerie, Europe, Euro, CEDH, Franc-Maçonnerie & Jésuites Lucifériens, France/Israël/Elections, Génocide préparé, La dictature mondiale, La fin programmée de la démocratie, La Loi Martiale, Laboratoires pharmaceutiques, Le Gouvernement occulte US ou MJ12, Le Bildengerg Group, Le Gouvernement Mondial, Les Banques Mondiales, Les Cartels, Les Illuminati-Reptiliens, Les Maîtres du Monde, Les Reptiliens, Les Sociétés Secrètes, Les Techniques de manipulation, Les Vaccins, Lobbying et Politique, Laboratoires Pharmaceutique, Monsanto, Rockefeller, Rothschild et Bill Gates, Nouvel Ordre Mondial, OMS, ONU, OTAN, Pr Didier RAOULT - COVID/19, hydroxychloroquine, Rothschild, Mafia Kazhar, Sectes & Sociétés Secrètes, Sionisme, Oligarchie, LDJ, Urgence. Survie, USA, Israël, Vaccins, Virus Coronavirus, Virus, épidémies | Lien permanent | |
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12/05/2020
«On n'a pas voulu soigner les gens», fustige le Pr Didier Raoult
En conclusion, les morts sont des morts politiques à cause des décisions mortifères qui ont été prises par le Gouvernement de Macron qui a écarté volontairement les experts et les médecins pour soigner le maximum de personnes et qui ont préféré prendre des décisions politiques pour favoriser, les charlatans et satisfaire aux demandes des lobbys financiers pour endetter les français et de BIG PHARMA pour nous sortir un vaccin qui est inutile si le traitement préconisé depuis le début de la pandémie, par le Pr Didier RAOULT, avait été appliqué et qui a été en revanche utilisé dans de nombreux autres pays dans le monde !
«On n'a pas voulu soigner les gens», fustige le Pr Didier Raoult
Dans un entretien filmé, le professeur Didier Raoult critique vertement les carences en matière de soins et d’hospitalisation des malades durant la crise sanitaire. Il pointe en particulier du doigt l’absence de tests systématiques et les essais thérapeutiques sur des substances qui auraient retardé les soins.
Le professeur Didier Raoult a dénoncé le manque de soins prodigués lors de l’épidémie, dans un entretien filmé par l'Institut hospitalo-universitaire (IHU) Méditerranée, où il exerce.
Selon lui, la crise sanitaire a mis en lumière que certains patients ont parfois été livrés à eux-mêmes.
À ce sujet, la décision des autorités de ne pas autoriser immédiatement l’hydroxychloroquine, traitement dont il vante l’efficacité contre le Covid-19, le laisse perplexe.
«Il ne faut pas que cette peur de l’épidémie, qui semble avoir tout envahi, finisse par remplacer ce qu’est la médecine habituelle. Il faut soigner les gens, il ne faut pas les laisser à la maison. […] Il s’est mis en place quelque chose de très étonnant. On ne soigne pas les gens, ensuite on interdit de prescrire les médicaments qui pourraient marcher. Ces épidémies ne doivent pas faire perdre les nerfs au point où en oublie la médecine elle-même», explique-t-il dans cet entretien.
Attendre les essais thérapeutiques
Selon le professeur Raoult, les autorités sanitaires ont eu tendance à trop vouloir se reposer sur les essais thérapeutiques et la recherche de molécules, dans l’attente d’un hypothétique traitement miracle.
Il pointe en particulier du doigt les recherches sur le Remdesivir des laboratoires Gilead. Cette attitude a freiné d’après lui la prise en charge effective des malades.
«Tout ça a été rendu confus, car il y a un grand projet d’évaluation scientifique. C’est peut-être la raison pour laquelle on n’a pas voulu soigner les gens, en attendant qu’il y ait un essai thérapeutique qui arrive. Essai dont on connaîtra les résultats quand il n’y aura plus personne de malade […]», déclare-t-il dans cette vidéo.
Absence de tests systématiques
Le professeur Raoult a également souligné l’échec des autorités à mettre en place une politique de tests systématiques pour dépister les malades. Il y voit le signe d’une attitude «profondément antimédicale».
«Nous avons été incapables de développer les stratégies de tests systématiques, qui ont été mis en place dans la plupart des pays. Pourtant c’est banal, il y a plein de gens volontaires pour les faire. Il y a eu une tentative de monopoliser la capacité à diagnostiquer les gens, qui est profondément antimédicale», affirme-t-il.
À propos du cours que prend aujourd’hui l’épidémie, le professeur Didier Raoult met en garde contre la possible présence de séquelles chez les malades guéris du Covid-19. Il alerte en particulier sur des cas de fibrose, qu’il est préférable de prendre en charge «au stade précoce».
COVID19 : Quelles leçons doit-on tirer de l'épidémie ?
Bulletin d'information scientifique de l'IHU - Nous avons le droit d'être intelligents ! Pr Didier Raoult, Directeur de l'IHU Méditerranée Infection
Source : ICI
23:50 Publié dans Actualité, politique ou géopolitique, Economie, Arnaques, Mensonges, Propagande, Bildenberg Group, Grand Reset Mondial, Davos, Bill Gates, Crimes contre l'humanité, Eugénisme, Davos, Bildenberg, Word Economic Forum, Dépopulation, Des atteintes à la santé, Epidémie, Pandémie, Laboratoires pharmaceutiques, Le Gouvernement occulte US ou MJ12, Le Bildengerg Group, Le Gouvernement Mondial, Les Projets des Maîtres du Monde, Lobbying et Politique, Laboratoires Pharmaceutique, Monsanto, Rockefeller, Rothschild et Bill Gates, Nouvel Ordre Mondial, OMS, ONU, OTAN, Pr Didier RAOULT - COVID/19, hydroxychloroquine, Rockfeller, Rothschild, Mafia Kazhar, Urgence. Survie, USA, Israël, Vaccins, Virus Coronavirus, Virus, épidémies | Lien permanent | |
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DES TESTS DE CORONAVIRUS CONTAMINÉS PAR LE CORONAVIRUS EN PROVENANCE DU LUXEMBOURG
Il ne manquerait plus que cela, que nos enfants qui ont repris l’école de manière prématurée et suicidaire, ne soient contaminés par des tests infestés par le virus du Covid-19 en France, ce d'autant plus que le Pr Didier RAOULT a déjà informé qu’il avait rédigé un rapport, il y a près de 20 ans, sur le Coronavirus et le SRAS, et que depuis lors personne n’avait rien appris et que personne n’était capable de tester le Covid-19 et que Macron le savait très bien !
A relier à cet article :
Alerte : Covid/19 : Attention aux arnaques aux tests et au vaccin sur nos enfants !
DES TESTS DE CORONAVIRUS CONTAMINÉS PAR LE CORONAVIRUS
Mis à jour le 2 Avril 2020 à 08:18 | Publié le 2 Avril 2020 à 07:44
Par CNEWS Actualités
Si l'annulation en question n'est pas problématique au regard des autres commandes passées, rassure le gouvernement, cette information arrive en pleine polémique autour du nombre de tests réalisables dans le pays. Le gouvernement britannique avait en effet assuré qu'il comptait atteindre le rythme de 25.000 tests par jour sur son territoire d'ici à la fin avril.
Toutefois, dimanche dernier le cabinet du ministre Michael Gove affirmait que le pays serait en mesure de conduire actuellement 10.000 tests par jour. Lundi, l'organe de santé public britannique, Public Health England, est venu ajouter à la confusion des chiffres en affirmant que 8.000 tests avaient été menés dans les dernières 24h.
DES RESSOURCES MAL UTILISÉES ?
De son côté, le professeur Henry Costello, de l'université du Collège de Londres, a vivement critiqué les instances du pays au micro de la BBC. Selon lui, le pays «n'utiliserait pas assez efficacement ses ressources pour mener plus de tests», contrairement à l'Allemagne actuellement capable d'en réaliser 70.000 quotidiennement.
Outre les moyens actuels déjà déployés ,«nous avons 44 laboratoires de virologie moléculaire au Royaume-Uni et si chacun d'eux menait au moins 400 tests par jour ou plus, nous pourrions rapidement augmenter ce nombre», a-t-il martelé en plaidant pour la mobilisation de l'ensemble de ces sites et une politique de tests de masse. «Si vous regardez le cas de la Corée du sud, ils ont conduit 490.000 tests dans leur pays, leur taux de mortalité est de trois pour un million et ils ont pratiquement éradiqué le virus», conclut le Pr. Henry Costello.
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10:21 Publié dans Arnaques, Mensonges, Propagande, Bildenberg Group, Grand Reset Mondial, Davos, Bill Gates, Bioterrorisme, Eugénisme, Conspiration mondiale, Conspiration, Complot, Corruption, Crimes contre l'humanité, Eugénisme, Davos, Bildenberg, Word Economic Forum, Le Gouvernement occulte US ou MJ12, Le Bildengerg Group, Le Gouvernement Mondial, Le gouvernement satellite et occulte américain, Les Illuminati-Reptiliens, Les Lobbies et la Politique, Les Maîtres du Monde, Les protocoles des Sages de Sion, Les Reptiliens, Lobbying et Politique, Laboratoires Pharmaceutique, Nouvel Ordre Mondial, Pr Didier RAOULT - COVID/19, hydroxychloroquine, Sionisme, Oligarchie, LDJ, Traçage des populations, Urgence. Survie, USA, Israël, Virus Coronavirus, Virus, épidémies | Lien permanent | |
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