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15/05/2020

Pour le Pr Didier Raoult le Covid19 est derrière nous, quelle leçon doit-on tirer de l'épidémie?

Pour le Pr Didier Raoult le Covid19 est derrière nous, quelle leçon doit on tirer de l'épidémie? 

 

 

 

 

 

14/05/2020

Didier Raoult devant les sénateurs : « l’Etat français est décrédibilisé »

Didier Raoult devant les sénateurs : « l’Etat français est décrédibilisé »

 

Après le Covid-19, le gouvernement et l’Etat devront faire face à une épidémie de plaintes

Après le Covid-19, le gouvernement et l’Etat devront faire face à une épidémie de plaintes 

14 mai 2020

 

En pleine crise sanitaire, les plaintes se multiplient contre des membres du gouvernement ou des responsables de la Santé, accusés d'infractions graves mettant en danger la vie d'autrui. Analyse par Pierre Debuisson, avocat pénaliste à la Cour.

En période difficile, l’inclination humaine pousse systématiquement la société à trouver un bouc-émissaire sur lequel faire rejaillir l’entière responsabilité du marasme qu’elle traverse.

La crise sanitaire du Covid n’échappera pas à cette règle.

Et cela d’autant plus que, s’il est évident que l’on ne peut reprocher au gouvernement français l’apparition et la prolifération de ce virus, il apparaît en revanche que sa gestion de cette épidémie suscite déjà le courroux d’une nation consternée par l’accumulation inacceptable de lourdes défaillances.

D’aucuns s’interrogent sur la nature des manquements qui ont accompagné l’action gouvernementale : s’agit-il d’erreurs, susceptibles d’être plus facilement acceptées, ou de fautes, appelées à déchaîner une forte répression ?

Si les premières peuvent susciter davantage de compréhension et entraîner une responsabilité atténuée, en revanche les secondes ne pourront pas se départir de la sanction pénale qui en constitue la conséquence légitime. 

D’ailleurs de nombreuses plaintes ont déjà été déposées contre plusieurs ministres, contre le directeur général de la Santé ou des directeurs d’Ehpad… Les faits visés sont constitutifs d’infractions graves : 

Les faits visés sont constitutifs d’infractions graves :

- Délit d’abstention volontaire de prendre ou de provoquer les mesures permettant de combattre un sinistre de nature à créer un danger pour la sécurité des personnes,

-  Homicide involontaire,

-  Mise en danger de la vie d’autrui, etc. 

Et sont punis d’une peine pouvant aller jusqu’à trois ans d’emprisonnement.

En effet, pour beaucoup de Français, la progression exponentielle du virus a mis à jour l’impréparation des autorités françaises et les insuffisances d’un système politique qui semble à bout de souffle. 

Refusant de lire la chronique d’une catastrophe sanitaire et financière annoncée, et balayant d’un revers de main tous les signes avant-coureurs de l’épidémie, le gouvernement a non seulement été incapable d’anticiper, d’analyser et de décider dans l’intérêt des Français, mais a également attendu qu’il soit trop tard pour agir.

La débâcle que nous avons dû subir est aussi le résultat de nombreuses années de choix politiques calamiteux qui ont conduit à affaiblir notre souveraineté nationale en matière médicale, comme à de nombreux autres niveaux : quasi-disparition de stocks de masques, nombre restreint de lits médicaux, de tests de dépistage, etc. 

De surcroît, il doit être précisé que face au risque d’épidémie, des recommandations sanitaires avaient pourtant été établies à titre préventif dans le cadre de nombreux documents officiels, qui révèlent d’ailleurs que la menace de pandémie était connue des autorités et prise au sérieux.

Ces documents préconisaient tous la constitution de réserves de matériel de protection : rapport parlementaire sur le risque épidémique de 2005, plans nationaux de lutte contre les pandémies, livre blanc sur la défense et la sécurité nationale, avis de Santé publique France de 2019 recommandant la constitution d’un stock préventif d’un milliard de masques, alerte auprès de la Direction générale de la santé concernant les stocks en 2018, etc. 

Par ailleurs, au début de l’épidémie, les manquements ont été nombreux et pourraient être sanctionnés par la justice :

- Fermeture tardive des frontières,

- Non-suspension des vols avec la Chine,

- Retard dans le contrôle des voyageurs internationaux arrivés à Charles de Gaulle,

- Retard dans l’interdiction des rassemblements de plus de 100 personnes,

- Maintien des élections municipales,

- Énorme retard de dépistage : les premiers tests sont intervenus – selon les données de Santé publique France – un mois après l’arrivée du virus en France !

- Mensonge du gouvernement sur l’inutilité des masques, contredit par l’Académie de médecine !

- Aucune commande ou presque de tests de dépistage, de machines PCR, de masques… lesquels ont d’ailleurs été envoyés en Chine ! 

En outre, l’action du gouvernement et de la Direction générale de la Santé a mis en lumière tout au long de cette crise deux graves irrégularités qui ne pourront pas ne pas être sanctionnées :

- Le droit à la santé, qui implique une protection de tous, première obligation qui incombe à l’Etat, a été ignoré, voire bafoué. Cette réalité s’est notamment concrétisée par l’absence de masques respiratoires à destination de la population.

- Par ailleurs, le droit à être dépisté, droit essentiel, n’a pas été reconnu (ce qui est d’ailleurs revendiqué par le ministère de la Santé).

À cela s’est ajoutée une pénurie de matériels de protection, de gels hydroalcooliques, de blouses, de charlottes…et un retard considérable dans les commandes de tests et de masques.

En outre, l’absence de dépistage massif hautement recommandé par l’OMS n’a donc pas permis d’isoler les malades infectés et d’enrayer plus vite les chaînes de contamination.

Enfin, le dépistage partiel – réservé aux personnes symptomatiques, depuis le déconfinement –  semble représenter une aberration en matière épidémiologique : puisqu’il conviendrait évidemment de dépister tout le monde, y compris les personnes infectées mais asymptomatiques, celles-ci demeurant tout aussi contagieuses…

Et ces fautes, qui ont empêché d’endiguer l’épidémie, ont entraîné de très nombreuses victimes qui sont en droit de demander des comptes, de telle sorte que les plaintes pénales et les actions en responsabilité contre l’Etat vont se multiplier.

Les premières actions, de nature pénale, ont une double vocation : celle d’obtenir une sanction vis-à-vis des responsables mais aussi de faire la lumière sur les chaînes de responsabilité.

Si la démarche qui les accompagne revêt surtout un aspect symbolique, destiné à obtenir justice, il n’en demeure pas moins que les conséquences pourraient s’avérer particulièrement lourdes pour ceux qui seraient jugés responsables. Les secondes, de nature administrative, auront surtout pour objectif d’obtenir une juste indemnisation des divers dommages subis.

Les secondes, de nature administrative, auront surtout pour objectif d’obtenir une juste indemnisation des divers dommages subis.

À ce titre, l’action en indemnisation des divers préjudices (moral, physique, économique) auprès du Tribunal administratif repose sur le constat qu’une politique sanitaire lacunaire et fautive a été menée par le gouvernement et notamment le ministère de la Santé (et s’appuie notamment sur les dispositions de l’article L. 3131-1 du Code de la santé publique).

Cette action sera utilisée par une myriade de victimes : familles endeuillées par la perte d’un proche, non traité, qui a subi une perte de chance de vivre plus longtemps, personnes infectées ayant souffert de dommages corporels, personnels exposés et laissés en première ligne sans protection et donc confrontés à un préjudice d’angoisse récurrent, restaurateurs et propriétaires d’hôtels et de cafés, obligés de rester fermés si longtemps et subissant une perte d’exploitation massive…

À telle enseigne que le pays doit s’attendre à un véritable raz-de-marée judiciaire à l’encontre du gouvernement et de l’Etat. 

Si certains sont encore hantés par le spectre de l’affaire du sang contaminé, la prolifération des procédures judiciaires et administratives à venir n’aura à l’évidence rien de commun avec les scandales qui ont pu émailler la deuxième partie du XXe siècle.

Il convient ainsi légitimement de s’attendre à une abondance de jugements dont le retentissement inouï sera à la hauteur des conséquences désastreuses de ces scandales d’État.

Car, si les Français doivent bien être conscients que les difficultés présentes et à venir nécessitent un mouvement d’unité nationale pour faire face et tenir bon, en revanche l’on ne saurait leur reprocher de condamner la gestion calamiteuse de cette crise, dont les stigmates impacteront profondément et durablement leur vie et celle de leurs proches.

Après tout, la Justice n’est-elle pas rendue au nom du peuple français ? Pierre Debuisson

RT France

 

12/05/2020

«On n'a pas voulu soigner les gens», fustige le Pr Didier Raoult

En conclusion, les morts sont des morts politiques à cause des décisions mortifères qui ont été prises par le Gouvernement de Macron qui a écarté volontairement les experts et les médecins pour soigner le maximum de personnes et qui ont préféré prendre des décisions politiques pour favoriser, les charlatans et satisfaire aux demandes des lobbys financiers pour endetter les français et de BIG PHARMA pour nous sortir un vaccin qui est inutile si le traitement préconisé depuis le début de la pandémie, par le Pr Didier RAOULT, avait été appliqué et qui a été en revanche utilisé dans de nombreux autres pays dans le monde !

 

«On n'a pas voulu soigner les gens», fustige le Pr Didier Raoult 

 

 

Dans un entretien filmé, le professeur Didier Raoult critique vertement les carences en matière de soins et d’hospitalisation des malades durant la crise sanitaire. Il pointe en particulier du doigt l’absence de tests systématiques et les essais thérapeutiques sur des substances qui auraient retardé les soins.

Le professeur Didier Raoult a dénoncé le manque de soins prodigués lors de l’épidémie, dans un entretien filmé par l'Institut hospitalo-universitaire (IHU) Méditerranée, où il exerce.  

Selon lui, la crise sanitaire a mis en lumière que certains patients ont parfois été livrés à eux-mêmes.

À ce sujet, la décision des autorités de ne pas autoriser immédiatement l’hydroxychloroquine, traitement dont il vante l’efficacité contre le Covid-19, le laisse perplexe.

«Il ne faut pas que cette peur de l’épidémie, qui semble avoir tout envahi, finisse par remplacer ce qu’est la médecine habituelle. Il faut soigner les gens, il ne faut pas les laisser à la maison. […] Il s’est mis en place quelque chose de très étonnant. On ne soigne pas les gens, ensuite on interdit de prescrire les médicaments qui pourraient marcher. Ces épidémies ne doivent pas faire perdre les nerfs au point où en oublie la médecine elle-même», explique-t-il dans cet entretien. 

Attendre les essais thérapeutiques

Selon le professeur Raoult, les autorités sanitaires ont eu tendance à trop vouloir se reposer sur les essais thérapeutiques et la recherche de molécules, dans l’attente d’un hypothétique traitement miracle.

Il pointe en particulier du doigt les recherches sur le Remdesivir des laboratoires Gilead. Cette attitude a freiné d’après lui la prise en charge effective des malades.

«Tout ça a été rendu confus, car il y a un grand projet d’évaluation scientifique. C’est peut-être la raison pour laquelle on n’a pas voulu soigner les gens, en attendant qu’il y ait un essai thérapeutique qui arrive. Essai dont on connaîtra les résultats quand il n’y aura plus personne de malade […]», déclare-t-il dans cette vidéo.

Absence de tests systématiques

Le professeur Raoult a également souligné l’échec des autorités à mettre en place une politique de tests systématiques pour dépister les malades. Il y voit le signe d’une attitude «profondément antimédicale». 

«Nous avons été incapables de développer les stratégies de tests systématiques, qui ont été mis en place dans la plupart des pays. Pourtant c’est banal, il y a plein de gens volontaires pour les faire. Il y a eu une tentative de monopoliser la capacité à diagnostiquer les gens, qui est profondément antimédicale», affirme-t-il.

À propos du cours que prend aujourd’hui l’épidémie, le professeur Didier Raoult met en garde contre la possible présence de séquelles chez les malades guéris du Covid-19. Il alerte en particulier sur des cas de fibrose, qu’il est préférable de prendre en charge «au stade précoce». 

COVID19 : Quelles leçons doit-on tirer de l'épidémie ?

Bulletin d'information scientifique de l'IHU - Nous avons le droit d'être intelligents ! Pr Didier Raoult, Directeur de l'IHU Méditerranée Infection 

 

 

Source : ICI 

 

DES TESTS DE CORONAVIRUS CONTAMINÉS PAR LE CORONAVIRUS EN PROVENANCE DU LUXEMBOURG

Il ne manquerait plus que cela, que nos enfants qui ont repris l’école de manière prématurée et suicidaire, ne soient contaminés par des tests infestés par le virus du Covid-19 en France, ce d'autant plus que le Pr Didier RAOULT a déjà informé qu’il avait rédigé un rapport, il y a près de 20 ans, sur le Coronavirus et le SRAS, et que depuis lors personne n’avait rien appris et que personne n’était capable de tester le Covid-19 et que Macron le savait très bien ! 

A relier à cet article : 

Alerte : Covid/19 : Attention aux arnaques aux tests et au vaccin sur nos enfants !

 

DES TESTS DE CORONAVIRUS CONTAMINÉS PAR LE CORONAVIRUS

Mis à jour le 2 Avril 2020 à 08:18 | Publié le 2 Avril 2020 à 07:44
Par CNEWS Actualités

Un lot provenant d'un laboratoire Luxembourgeois aurait été contaminé par le coronavirus lui-même.

 Un lot provenant d'un laboratoire Luxembourgeois aurait été contaminé par le coronavirus lui-même. [© JACK GUEZ / AFP]
 
Alors que le Royaume-Uni attend l'arrivée de plusieurs millions de tests sur son territoire, un lot provenant d'un laboratoire Luxembourgeois aurait été contaminé par le coronavirus lui-même.
 
Le Telegraph rapporte ainsi que la livraison de ces tests a été repoussée en raison de cette contamination au covid-19 inquiétante.

Le Prince Charles est sorti d'affaire et a tenu à remercier les soignants du Royaume-Uni.

 

FAMILLE ROYALE Le prince Charles, contaminé par le coronavirus, sort du silence

Si l'annulation en question n'est pas problématique au regard des autres commandes passées, rassure le gouvernement, cette information arrive en pleine polémique autour du nombre de tests réalisables dans le pays. Le gouvernement britannique avait en effet assuré qu'il comptait atteindre le rythme de 25.000 tests par jour sur son territoire d'ici à la fin avril.

Toutefois, dimanche dernier le cabinet du ministre Michael Gove affirmait que le pays serait en mesure de conduire actuellement 10.000 tests par jour. Lundi, l'organe de santé public britannique, Public Health England, est venu ajouter à la confusion des chiffres en affirmant que 8.000 tests avaient été menés dans les dernières 24h.

DES RESSOURCES MAL UTILISÉES ?

 

De son côté, le professeur Henry Costello, de l'université du Collège de Londres, a vivement critiqué les instances du pays au micro de la BBC. Selon lui, le pays «n'utiliserait pas assez efficacement ses ressources pour mener plus de tests», contrairement à l'Allemagne actuellement capable d'en réaliser 70.000 quotidiennement.

Outre les moyens actuels déjà déployés ,«nous avons 44 laboratoires de virologie moléculaire au Royaume-Uni et si chacun d'eux menait au moins 400 tests par jour ou plus, nous pourrions rapidement augmenter ce nombre», a-t-il martelé en plaidant pour la mobilisation de l'ensemble de ces sites et une politique de tests de masse. «Si vous regardez le cas de la Corée du sud, ils ont conduit 490.000 tests dans leur pays, leur taux de mortalité est de trois pour un million et ils ont pratiquement éradiqué le virus», conclut le Pr. Henry Costello.

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Un médecin allemand teste un automobiliste pour vérifier s'il est positif ou non au coronavirus le 27 mars 2020 à Halle, dans l'est de l'Allemagne. [Ronny Hartmann / AFP]

 

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COVID-19 : COMMENT LA CHINE ET LA CORÉE DU SUD ONT RÉUSSI À ENDIGUER LA PANDÉMIE