Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

26/05/2010

Herman van Rompuy expose les plans du Triumvirat

En route pour la ruine des peuples et des pays européens, et pour leur mise sous tutelle au profit des banquiers Illuminati ! Le Nouvel Ordre Mondial arrive à grands pas !


Les sophistes grecs enseignaient que le maniement du langage peut faire de la parole un moyen d’action. La plasticité de celle du président du Conseil européen, Herman van Rompuy, même si elle ne laisse rien au hasard, démontre le contraire. Sa parole ne vaut que par l’oligarchie mondialiste qui l’a mis en place, et son discours, aussi falsifié que notre sinistre époque, ne peut séduire que les complices et ne tromper que les imbéciles.

rompuy

Vendredi, l’Eurogroupe, la Banque centrale et la Commission européenne – le Triumvirat que nous évoquions dans notre article du 14 mai dernier - étaient réunis à Bruxelles pour mettre au point le protocole de la mise sous tutelle des pays de la zone euro, sous le pilotage de l’agent du groupe Bilderberg Herman van Rompuy. Décryptage.


« Nous avons discuté des sanctions. L’une des conclusions est qu’il est apparu très clairement qu’il existe un large consensus sur des sanctions financières et non financières ».

« Nous avons », c’est à dire le Triumvirat. Le Parlement européen est donc écarté de toute consultation. De fait, la démocratie n’existe plus en Europe.

Les pays qui n’arriveront pas à ramener leur dette a moins de 60% du PIB seront amendés par Bruxelles (sanction financière), et leurs droits de vote seront suspendus (sanction non financière).

« Nous devons aller vers davantage de discipline budgétaire. En d’autres mots nous devons renforcer le pacte de croissance et de stabilité et aller vers plus de croissance et de stabilité et le rendre plus efficace ».

L’ensemble des mesures, telles que celles imposées à la Grèce ces dernières semaines (abandon des régimes sociaux, augmentations des taxes et impôts, réduction des salaires, allongement de la durée du travail, etc.) doivent être élargies à l’ensemble des pays de la zone euro.

« Nous devons trouver les moyens de réduire les divergences de compétitivité entre les États membres, du moins, quand ces divergences sont trop importantes. »

Il faut éliminer toute disparité entre pays membres. Par exemple, la sécurité sociale à la française n’est pas compatible avec le régime des assurances maladies privées de l’Allemagne. Bien sûr, cette intégration des économies va se faire par le bas, puisqu’il convient d’améliorer la « compétitivité » et non la justice sociale. La cure passe par « des procédures budgétaires croisées, des sanctions accrues et autres gages de coordination et de rigueur budgétaire », a indiqué Christine Lagarde, ministre française de l’Economie, lors de la réunion.

La date d’entrée dans la zone euro de la Lettonie, de la Pologne et de la Hongrie devrait être avancée au 1er janvier 2011 au lieu de 2015. Il convient donc d’accélérer le processus actuel. La crise et, si nécessaire, quelques autres catastrophes, vont pouvoir autoriser ce qu’aucune résolution démocratique n’aurait pu permettre.

« Nous devons avoir un mécanisme de crise efficace pour être capables de gérer les problèmes comme ceux que connait la zone euro aujourd’hui. »

Les attaques contre l’euro et les pays en difficultés ne vont pas s’arrêter, bien au contraire. Le plan de 750 milliards, décidé il y a trois semaines, va être augmenté, de sorte à soutenir davantage encore les banques européennes impliquées dans la dette des Etats. Une demande expresse des États-Unis qui se doivent de soutenir les banques européenne qui ont des intérêts croisés avec les banques américaines, et pour lesquelles la Fed a mis à disposition de la BCE 583 milliards de dollars, sous forme d’un accord swap de devises.

« Nous avons besoin de renforcer la gouvernance économique au niveau institutionnel pour agir vite de manière plus coordonnée et plus efficace. »

« Peut-être que nous aurons besoin de changer les traités, mais nous ne devons pas attendre trois ans pour prendre des décisions », a dit le ministre des finances allemand, Wolfgang Schäuble, lors de cette réunion. En réalité, leur modification est planifiée pour septembre, octobre au plus tard. D’ici là, il est nécessaire que les États membres modifient leurs propres constitutions afin d’abandonner leur souveraineté économique au Triumvirat.  Christine Lagarde a d’ailleurs immédiatement confirmé en indiquant qu’il fallait passer par « l’intégration du pacte de stabilité dans la législation nationale (…) Ce que l’on peut faire maintenant, il faut le faire » a-t-elle conclut, laissant ainsi entendre que la France allait vraisemblablement profiter de la période estivale pour capituler.

Frédéric Courvoisier, Mecanopolis

Les citations de Christine Lagarde et de Wolfgang Schäuble sont issues d’un article de La Tribune.fr

Article mis à jour à 04h00

23/05/2010

Illuminati-terroriste

A méditer en conservant votre esprit de discernement.

 

Illuminati-terroriste : La lignée luciférienne



Fin du monde des illuminatis 2010-12 By Rapunion2012 WTC

http://www.youtube.com/watch?v=qSJiZ0ZH1sg&feature=em...



Le plan anti illuminati par les sociétés secrètes chinoises

http://www.youtube.com/watch?v=BOvowdOxM8M&NR=1

Obama dirigé par les Elites Illuminati

http://www.youtube.com/watch?v=24rviTMTJd0&feature=re...

Benoît XVI s'invite dans les débats sur la crise économique

"Dès que possible, nous devons arriver a élaborer un gouvernement mondial et une religion mondiale diriges par un leader mondial" -Robert Muller- (ancien assistant au secretaire général de l'ONU)

 

Le Vatican est la plus grande puissance mondiale qui sous prétexte de la séparation de l'église et de l'état, continue à faire ingérence dans les affaires politique des états.

Nous remarquons encore une fois que la Pape en appelle à la constitution d'une "autorité politique mondiale" qui serait placée sous la houlette de l'ONU !

Ce qui revient à dire en clair qu'il est favorable à l'instauration du Nouvel Ordre Mondial et qu'il favorise les plans des Illuminati-reptiliens, dont le projet a toujours été celui d'instaurer le Gouvernement Unique Mondial, dont le président serait le président de l'ONU et dont le siège serait déplacé en Israël.

On remarque par ailleurs qu'il prêche pour une mise en avant des religions dans "la vie civile et contemporaine", dont on sait que depuis des millénaires elles ne sont que des instruments politiques de division des peuples pour permettre à l'orchestration des guerres fratricides sous couvert de guerres de religions. Cela veut dire en clair, qu'il faut ramener les "moutons dans la bergerie pour les endormir au nom de Dieu" et qu'il se prépare avec les autres chefs religieux à nous instaurer l'unique religion mondiale sans laquelle le Nouvel Ordre Mondial ne pourrait pas exister. Réveillez-vous et ne vous laissez pas endormir par les faux prophètes qui oeuvrent pour l'établissement du règne de l'antéchrist.

 

Ne confondons pas la "croyance en une religion créée par les hommes" avec "la Foi en Dieu" qui est un inscrite en nous et dont l'existence n'a pas besoin d'être démontrée. Nous en sommes arrivés là car nous avons sorti Dieu de nos vies pour mettre notre foi dans les religions et dans les églises. Dieu est omniprésent et omnipotent, car pure lumière et énergie, nous a-t-on dit n'est-ce pas ? Est-il utile à ce tire pour le prier de se réfugier dans les églises  quand nous sommes tous enfants de Dieu et qu'il est déjà en nous ?


Le Pape juge les gouvernements "trop faibles" pour faire face aux spéculations "irresponsables", appelant à une réforme de l'ONU.

La politique "doit avoir la primauté sur la finance et l'éthique doit orienter toute activité", a affirmé Benoît XVI. (AFP)

La politique "doit avoir la primauté sur la finance et l'éthique doit orienter toute activité", a affirmé Benoît XVI. (AFP)

Les gouvernements sont "trop faibles" face aux spéculations "irresponsables" qui agitent les marchés financiers dans un contexte de crise économique, a estimé samedi 22 mai le pape Benoît XVI. Lequel a reçu au Vatican les participants à un congrès de la fondation économique vaticane Centesimus Annus-Pro Pontefice.

Le pape a déploré que les gouvernements, confrontés "à des épisodes renouvelés de spéculations irresponsables à l'égard des pays les plus faibles, ne réagissent pas avec des décisions adéquates de gouvernement de la finance".

L'économie ne peut pas se réduire à la production de biens qui viennent alimenter "le consumérisme, le gaspillage, la pauvreté et les déséquilibres", a estimé le pape.

Il a également jugé nécessaire "une solidarité créative et dynamique orientée vers le bien commun" entre les pays.

La politique "doit avoir la primauté sur la finance et l'éthique doit orienter toute activité", a ajouté Benoît XVI.

Benoît XVI insiste sur une réforme de l'ONU

En juillet 2009, en pleine crise économique et financière, Benoît XVI avait réclamé dans sa première encyclique sociale, intitulée "Caritas in veritate", l'instauration d'une "autorité politique mondiale" pour mieux réguler les phénomènes liés à la mondialisation.

Il avait souhaité une réforme urgente de l'ONU pour que l'organisation internationale assume ce rôle de supervision.

Aux participants au congrès, le pape a expliqué aussi que les différentes religions ont un rôle important à assumer au coeur de la société contemporaine. "L'exclusion des religions de l'espace public tout comme le fondamentalisme religieux empêchent la rencontre entre les personnes et leur collaboration pour faire progresser l'humanité", a-t-il estimé.

En l'absence de considérations religieuses, "la vie de la société s'appauvrit et la politique prend une tournure opprimante et agressive", a ajouté le pape.

(Nouvelobs.com avec AFP)

http://tempsreel.nouvelobs.com//actualite/economie/201005...

D'autres citations d'hommes politiques portant sur la nécessité de créer le Nouvel Ordre Mondial :

"Il y a deux histoires: l'histoire officielle, menteuse, puis l'histoire secrète, où sont les véritables causes des évènements."
Honoré de Balzac

"Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire.

Albert Einstein"

"Le monde se divise en trois catégories de gens: un très petit nombre qui fait se produire les évènements, un groupe un peu plus important qui veille à leur exécution et les regarde s'accomplir, et enfin une vaste majorité qui ne sait jamais ce qui s'est produit en réalité."

Nicholas Murray Butler
Président de la Pilgrim Society, membre de la Carnegie, membre du CFR (Council on Foreign Relations


« La présente fenêtre d’opportunité, durant laquelle un ordre mondial pacifique et interdépendant peut-être construit, ne sera pas ouverte pour très longtemps. Nous sommes à l’orée d’une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin est une crise majeure appropriée, et les nations accepteront le Nouvel Ordre Mondial.»

David Rockefeller, 23 septembre 1994.

“Quelques-uns croient même que nous (la famille Rockefeller) faisons partie d’une cabale secrète travaillant contre les meilleurs intérêts des États-Unis, caractérisant ma famille et moi en tant qu’internationalistes et conspirant avec d’autres autour de la Terre pour construire une politique globale plus intégrée ainsi qu’une structure économique – un seul monde si vous voulez. Si cela est l’accusation, je suis coupable et fier de l’être.”

David Rockefeller, MEMOIRES, page 405



22/05/2010

Et maintenant, l’euro-dollar ?


Article placé le 21 mai 2010, par Julian Diesdorf (Zürich)

 

Pour se maintenir, le projet mondialiste pourrait précipiter son calendrier et utiliser la crise actuelle pour « fusionner » l’euro et le dollar en une monnaie unique, écrit en substance Clovis Casadue, collaborateur de la revue Flash, dans l’article que nous plaçons ci-après. Cette perspective est plus que plausible, et la chute incessante de la devise européenne, qui se retrouvera bientôt a parité avec le dollar, l’accrédite. Comme l’indiquait le banquier Alexandre Wohlwend il y a quelques jours, la seule issue pour les pays de la zone euro passe par « un retour à leur souveraineté monétaire et territoriale », ce qui est inenvisageable pour les tenants de l’ordre mondial, qui, n’en doutons pas, utiliseront tous les moyens pour interrompre les velléités secessionnistes. De nouvelles informations, pour le moins surprenantes, nous parviennent ce soir sur les manipulations en cours. Nous les publierons dès que nous aurons pu effectuer les vérifications d’usage.

Julian Diesdorf, Mecanopolis

euro-dollar

 

La ratification du Traité de Lisbonne par les 27 États a donné le pouvoir de rompre avec les méthodes de la démocratie et d’imposer une mise sous “bonne gouvernance” des pays de la zone euro, au mépris des droits fondamentaux du Parlement européen et de la volonté des peuples.


Dans son discours du 13 mai dernier, le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso propose de placer l’ensemble des pays de la zone euro sous tutelle budgétaire. L’objectif : réduire le déficit public à 3 % du PIB en 2013, en les soumettant à des mesures d’austérité semblables à celles imposées à la Grèce. La mesure est en effet peu démocratique, puisque le Parlement européen n’entrera pas dans les décisions. Pas de problème pour la chancelière allemande, parlant d’un “pas important dans la bonne direction”. Même son de cloche du côté de la France, le secrétaire d’État aux Affaires européennes, Pierre Lellouche déclarant : “C’est la contrepartie du plan européen de sauvetage. La discipline de chacun devient l’affaire de tous. Bruxelles aura le droit de surveiller tous les comptes.” Résultat, cette aide de 750 milliards, votée lors du sommet européen des 8 et 9 mai. Son message : “Nous vous soutenons, mais vous devez abandonner votre souveraineté économique.”

Malgré ce qui a été annoncé, cette manœuvre n’a pas pour but de soutenir l’euro. C’est même le contraire qui devrait se passer, et la monnaie unique a déjà perdu plus de 7 % depuis sa mise en place. La nouvelle politique monétaire de la BCE devrait encore contribuer à son affaiblissement, puisqu’elle est maintenant autorisée à recourir à la “planche à billets”, de manière à émettre elle-même des Bons du Trésor sur les marchés financiers.

Plutôt que soutenir l’euro, sauver les banques…

En fait, ce dispositif permet surtout de soutenir en amont les banques européennes impliquées dans la dette grecque. Ce qui permet encore de

suggérer aux investisseurs ayant acquis des obligations qu’ils ne risquent rien. Ce sont donc les banques que l’on sauve, une fois de plus, et avec l’argent du contribuable. Ces 750 milliards n’existant pas dans les caisses européennes, il faudra donc les emprunter sur les marchés financiers pour les offrir aux États qui les offriront ensuite aux banques, tandis que les populations seront après mises à contribution…

Si l’on avait voulu aider la Grèce, et faire “la guerre aux spéculateurs”, comme l’a annoncé fièrement Nicolas Sarkozy, il aurait été préférable de restructurer sa dette. On aurait ainsi placé les

investisseurs devant leurs responsabilités et leur aurait fait assumer une partie des risques liés à leurs investissements. Mais pour cela, il aurait fallu sortir la Grèce de monnaie unique. En revanche, l’affaiblissement de l’euro bénéficie à l’Allemagne, et dans une moins large mesure à la France.

Cette crise est donc utilisée, comme le laissait récemment entendre le patron de l’Eurogroupe, Jean-Claude Juncker(1), afin de rendre l’Europe plus compétitive.

Les dégâts d’une construction européenne anarchique

Pour les élites européennes, le problème majeur de la zone euro tient à sa construction anarchique et à la disparité des règles économiques, politiques et sociales qui régissent les pays membres. La crise peut leur permettre de reconfigurer l’économie de l’ensemble du bloc européen et le rendre plus concurrentiel, tout en élargissant la monnaie unique aux autres pays de l’Union, ce qui a d’ailleurs été proposé à l’Estonie la semaine dernière. La Banque européenne pour la reconstruction et le développement (Berd) conseille d’avancer l’adhésion à la zone euro de la Lettonie, de la Pologne et de la Hongrie au 1er janvier 2011 au lieu de 2015. On joue donc à nous faire peur quand on nous indique que la monnaie unique est menacée. Elle en réalité en pleine expansion.

Bien sûr, cette unification se fera par le bas, et va nécessiter partout des mesures d’austérité qu’aucune résolution démocratique n’aurait permises, et qui finiront d’enterrer la souveraineté des nations et des peuples d’Europe au profit d’un régime central lié à une oligarchie financière. Toutes choses qui ont été rendues possibles par la ratification du traité de Lisbonne.

Les spéculations sur les dettes grecque, portugaise et espagnole vont donc se poursuivre et s’étendre à d’autres pays, sans que rien ne puisse enrayer le processus en cours. Dans le même temps, l’euro va continuer sa chute, pour arriver à parité avec le dollar, sans doute d’ici le mois de septembre – décembre au plus tard. La monnaie canadienne suit le même mouvement et aura sans doute atteint le niveau du dollar US au moment où vous lirez cette chronique. Car bien sûr, le projet de ce nouvel ordre économique est, in fine, de fusionner l’ensemble des monnaies, en commençant par celles de l’Europe et l’Amérique du Nord. En effet, l’Union européenne n’est qu’une composante d’un vaste plan conduisant à l’émergence de blocs économiques dotés chacun d’une monnaie, d’une citoyenneté, d’un parlement unique, etc ; l’ensemble de ces blocs étant éventuellement appelé à constituer une gouvernance mondiale.

Bien sûr, certains nous reprocherons d’avoir ici une vision “conspirationniste” des événements. Mais force est de constater qu’on ne conspirait autrefois que contre un ordre établi. Aujourd’hui, conspirer pour son maintien et son expansion est une activité en grand développement. Et à regarder la marche du monde, on doit reconnaître que cette conspiration fait partie de son fonctionnement même.

Clovis Casadue

Publié en exclusivité sur Mecanopolis avec l’aimable autorisation de Jean-Emile Néaumet, directeur de la rédaction du bimestriel Flash


21/05/2010

DSK en route vers le nouvel ordre mondial !

Si vous voulez l'instauration du Nouvel Ordre Mondial, voici après Sarkozy, le candidat rêvé pour 2012 !

DSK en route vers le nouvel ordre mondial !