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21/11/2009

Henri Makow : La Russie victime des complots de la Franc-maçonnerie

Droit de reproduction interdit. Veuillez consulter l'article par ce lien

http://www.spreadthetruth.fr/?p=5504

Article original en Anglais

http://www.henrymakow.com/how_the_illuminati_took_back_r....

 

NWO : Nouvel Ordre Mondial -1/2
http://www.youtube.com/watch?v=3QcPV6LAjwI

 

NWO : Nouvel Ordre Mondial 2/2
http://www.youtube.com/watch?v=afg30yoXcl0


Silence on vaccine !

Nous vous rappelons en ces temps de vaccination criminelle que vous pouvez consulter une précédente note portant sur le film :

"Silence on vaccine", accessible par le lien suivant :

http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2009/07/24/silenc...

L'ONF a permis la sortie du documentaire sous condition qu'aucune personne, aucun commerce, ne puisse acquérir le film pour la revente.
De plus aucune publicité ne sera faite pour faire connaître la sortie DVD.
Conséquemment la population ne sera pas informée de la sortie du documentaire.
Pour cette raison, nous remercions de transmettre cette note à tous vos contacts, que l'information circule, et que la sortie du documentaire ne reste pas sous silence.


A VOIR ABSOLUMENT SI VOUS AVEZ DES ENFANTS !

 

GrippeA/H1N1 : La République des Menteurs

Nous vous laissons tirer les conclusions entre ces deux discours, celui de Mme Bachelot et celui de la Ministre Polonaise de la santé.

Lettre de Madame BACHELOT Ministre de la Santé et des Sports à l'ensemble des personnels de l'AP-HP - 13 Novembre 2009

Mesdames et Messieurs,

Je vous prie de trouver en pièce jointe la lettre concernant la vaccination contre le virus de la grippe H1N1 que la Ministre de la santé vient de m’adresser pour l’ensemble des personnels travaillant dans les établissements de santé.

La Ministre, tout en rappelant la liberté de chacun, nous invite tous à faire le choix de la prévention et de la solidarité et à donner l’exemple de notre implication responsable.

Je vous remercie de bien vouloir assurer la diffusion de ce courrier dans votre environnement professionnel.


Benoit LECLERCQ

Directeur Général

Secrétariat Particulier du Directeur Général

( 01 40 27 32 77 / 32 78

@ secretariat.dg@sap.aphp.fr

Ê 01 40 27 55 77



Ministre de la santé polonaise sur le vaccin H1N1


Discours prononcé le 5 novembre 2009.


« Je voudrais dire que ma priorité pendant mes 20 ans de pratique de médecine générale a été « d’abord ne pas nuire » J’ai toujours à l’esprit ce principe en tant que Ministre de la Santé.

Dans ma pratique, quand je recommandais un médicament à qui que ce soit, je crois comme chaque praticien le ferait, je me posais simplement la question : est-ce que je préconiserais cela pour ma vieille maman, pour mon enfant ?

Ce type de pensée est révélatrice de toute la prudence que je dois avoir, des vérifications et des garanties dont je dois m’assurer en tant que Ministre de la Santé avant de préconiser un médicament à chaque citoyen polonais

A des millions de Polonais qui n’ont pas de formation médicale qu’un ministre ou un expert peut avoir comme le professeur Brydack par exemple qui a, en tant qu’expert, travaillé pendant plus de 40 ans sur la grippe.

Il travaille dans un des 189 centres de recherche sur la grippe dans le monde, un de ces centres se trouvant en Pologne. Pouvons-nous aujourd’hui être accusés d’un manque de connaissances sur la grippe ?

Pouvons-nous remettre en question l’opinion d’un professeur qui travaille sur la grippe depuis plus de 40 ans et pas seulement sur un seul type de grippe ? Quelqu’un qui a publié des centaines d’articles sur le sujet ?
Je me pose seulement une question fondamentale : voulons-nous combattre la grippe pandémique ?

Aujourd’hui, nous savons la teneur de différentes clauses des contrats que d’autres, beaucoup de gouvernements de pays riches ont signé avec les fabricants de vaccins.

Nous savons aussi ce qui a été proposé à l’état polonais. Suite aux négociations en cours, je ne peux pas tout dire aujourd’hui mais je peux dire une chose :

Notre département juridique a trouvé au moins 20 points douteux dans le contrat.

Or, quel est le devoir du Ministre de la Santé ? Signer des contrats qui sont dans le meilleur intérêt des Polonais ou bien signer des contrats qui sont dans le meilleur intérêt des compagnies pharmaceutiques ?

Je sais qu’il y a 3 vaccins disponibles sur le marché aujourd’hui, de 3 producteurs différents. Chacun a une quantité de substance active différente et, étrangement, ils sont tous jugés équivalents ?

N’est-ce pas suffisamment étrange pour que le Ministre de la Santé et les experts aient au minimum de légers doutes à ce sujet ?

Peut-être, si ça se trouve, le produit avec très peu de substances actives n’est juste qu’une « eau miraculeuse » que nous supposons pouvoir agir sur la grippe ? Sommes-nous supposés payer pour cela ?

Nous avons l’exemple de l’Allemagne qui a acheté 50 millions de doses, seulement 10% ont été utilisées jusqu’ici. 13% des Allemands sont disposés à accepter ce « remède miracle » aujourd’hui.

Mais c’est vraiment peu parce qu’en Allemagne, il y a un grand pourcentage de gens favorables à la vaccination.

Ainsi, en Pologne, sur 1000 personnes, 52 personnes feront le vaccin antigrippal (classique) alors qu’en Allemagne, ils sont 238 pour 1000 (23%)

Donc, qu’est-ce qui fait que seulement 10% des Allemands veulent se faire vacciner contre la grippe porcine et pas 23% de la population comme pour la grippe saisonnière ?
Leur gouvernement achète ces vaccins et les leur propose gratuitement et les gens ne les veulent pas ? Comment cela se fait-il ?

Est-ce que ces faits peuvent nous donner des arrière pensées concernant le fait d’acheter ou non ces vaccins ?
Des arrières pensées concernant le fait d’introduire un médicament qui serait une sorte de médicament secret ?
Il y a des sites internet sur lesquels les fabricants de vaccins ont l’obligation de publier les effets secondaires inattendus des vaccins. La vaccination en Europe a commencé le 1er octobre 2009.

Je voudrais que vous visitiez n’importe lequel de ces sites et que vous me trouviez un seul de ces effets secondaires inattendus, ne serait-ce qu’une réaction dermatologique généralisée, ce qui peut arriver même avec des médicaments sûrs.

Il n’y en a aucun sur ces sites internet.

Un médicament « parfait ».

Et puisque c’est si miraculeux, pourquoi la firme productrice ne veut pas introduire son produit sur le marché en acceptant d’assumer la responsabilité de celui-ci ? Pourquoi ne disent-ils pas : c’est un produit merveilleusement sûr c’est pourquoi nous prenons la responsabilité de celui-ci, nous allons le mettre sur le marché et tout est clair et transparent plutôt que de mettre la pression sur nous, les acheteurs ?

Nous n’avons pas les résultats de tests cliniques, pas de détails sur les composants et pas d’informations sur les effets secondaires. Les vaccins en sont maintenant à une phase 4 de tests, des tests vraiment très courts et nous ne disposons toujours pas de ces informations. De plus, l’échantillon (de testeurs) était vraiment petit : un type de vaccins a été testé sur seulement 160 volontaires âgés de 20 à 60 ans, tous sains, pas infectés.

Un autre type de vaccin a été testé sur 600 volontaires âgés de 18 à 60 ans, tous bien portants. Est-ce que c’est suffisamment consistant pour nous les médecins présents dans cette salle ? Ce n’est pas suffisant à mes yeux.

Je veux être suffisamment sûre avant de recommander cette vaccination.

Nous ne sommes pas définitivement hors jeu pour l’achat de vaccins.

Pendant le temps des négociations (en cours), nous voulons prendre le temps et l’utiliser à bon escient pour obtenir autant d’informations que possible sur le vaccin.

Ensuite, si le comité de lutte anti-pandémique finit par approuver le vaccin, alors nous l’achèterons.

En outre, il y a 1 milliard de gens qui font la grippe saisonnière chaque année, 1 millions en meurent chaque année. Et c’est le cas non pas depuis 1 an ou 2 mais depuis des années.

Est-ce que quelqu’un a déjà annoncé une pandémie de grippe saisonnière quelque part dans le monde ? Et pourtant la grippe saisonnière est bien plus dangereuse que la grippe porcine. Il y a même des décès et de graves complications.

Y a-t-il eu la moindre pandémie (de grippe saisonnière) qui ait été annoncée ?

Dès lors, à celui qui me pousse à acheter des vaccins (contre la grippe pandémique), je vous demande : Pourquoi n’avez-vous pas crié ou pleuré pour qu’on en achète l’année dernière, il y a 2 ans et en 2003. En 2003, il y a eu 1, 2 millions de Polonais qui ont fait la grippe saisonnière !

Est-ce que quiconque dans cette salle a alors crié « achetons des vaccins pour tout le monde ! » ?? Je ne peux pas ne pas me rappeler cela.

Et, en conclusion, je voudrais dire seulement une chose : la nation polonaise a beaucoup de sagesse. Les Polonais savent distinguer la vérité du mensonge très précisément. Ils peuvent aussi déterminer ce qui constitue une situation objective et ce qui n’est qu’un jeu.


20/11/2009

USA, OBAMA : La République en faillite

 Ce qui se passe aux USA et qui ne manque pas de rejaillir sur nous !

Nomination du Président de l'EU : Un député Européen dénonce l'influence du Group de Bildenberg

Le président de l'UE, un choix par défaut qui se tiendra à huis clos ! Les Illuminati-Reptiliens se préparent pour le Nouvel Ordre Mondial  !

Nomination à Huis cvlos, bien-sûr ! il ne faut pas que les Peuples votent, on ne sait jamais s'ils devaient choisir celui qui leur conviendrait le mieux !
On se demande d'ailleurs pour quelles raisons on nous impose un Président de l'Europe alors que les Français ont voté NON au Traité de Lisbonne !

Le président de l'UE, un choix par défaut

Par Jean-Michel Demetz, publié le 05/11/2009 14:30

AFP

"Les noms de la première vague ne sont pas forcément les vainqueurs de la dernière", déclare Nicolas Sarkozy à Bruxelles, le 30 octobre.

"Les noms de la première vague ne sont pas forément les vainqueurs de la dernière", déclare Nicolas Sarkozy à Bruxelles, le 30 octobre.

 

La méthode pour désigner la future tête du Conseil européen est mauvaise. Elle pèse sur le choix final, qui, faute de débat public, pourrait bien être décevant.

Il aurait fallu écouter Giscard. En février 2008, le père du projet avorté de Constitution de l'Union européenne se félicitait dans L'Express de la ratification du traité de Lisbonne par la France. En privé, il évoquait la suite des événements: une adoption rapide par les Vingt-Sept et le lancement d'une véritable campagne à l'échelle du continent, afin de déterminer qui serait le premier président permanent du Conseil européen. Et de dessiner, non sans gourmandise, son déroulement idéal.

Un "comité de sages" présélectionnerait les candidats au cours d'auditions publiques. Les figures retenues s'affronteraient en un débat télévisé retransmis par toutes les chaînes de l'UE. Partis et médias prendraient position. Eclairés par ce recours à la démocratie d'opinion et l'expression du "demos" européen, les chefs d'Etat et de gouvernement feraient finalement le "bon choix", celui d'"un George Washington pour l'Europe". Rien de moins.

Une affaire de chefs

Las! Le non irlandais de juin 2008, puis les atermoiements polonais et tchèque ont bousculé le calendrier institutionnel. Il aura fallu concéder une dérogation sur la Charte des droits fondamentaux, lors du sommet européen des 29 et 30 octobre, à la République tchèque, selon l'exigence de son président, Vaclav Klaus, pour lever le dernier obstacle en date. La Cour constitutionnelle de Prague ayant donné son aval au traité le 3 novembre, un sommet exceptionnel pourrait être convoqué au milieu du mois afin d'annoncer finalement les noms des personnalités retenues pour les postes de président du Conseil européen et de haut représentant pour la politique étrangère et de sécurité commune.

Seule certitude à ce jour: contrairement aux desiderata de Valéry Giscard d'Estaing, le processus de sélection de celui qui sera le visage de l'Europe aux yeux de ses 500 millions de concitoyens et du reste du monde aura été tout sauf transparent. Ni campagne ouverte ni programme exposé, pas davantage de débat contradictoire.

Ce que dit le traité de Lisbonne

Quel rôle pour le président du Conseil européen ? Modeste animateur ou vif inspirateur? Porte-voix mondial de l'Union ou non? Quelle fonction de représentation à côté du président de la Commission et du haut représentant? Le texte ne tranche pas.
"Il est élu par le Conseil européen à la majorité qualifiée pour une durée de deux ans et demi, renouvelable une fois [...]. Il ne peut exercer de mandat national en même temps. En cas d'empêchement ou de faute grave, le Conseil européen peut mettre fin à son mandat. Il réunit deux fois par semestre le Conseil européen et, si la situation l'exige, il le convoque en réunion extraordinaire.Il préside et anime les travaux du Conseil européen.Il assure la préparation et la continuité des travaux du Conseil européen en coopération avec le président de la Commission et sur la base des travaux du Conseil des affaires générales.Il oeuvre pour faciliter la cohésion et le consensus au sein du Conseil européen.Il présente au Parlement européen un rapport à la suite de chacune des réunions du Conseil européen.
Il assure, à son niveau et en sa qualité, la représentation extérieure de l'Union pour les matières relevant de la politique étrangère et de sécurité commune, sans préjudice des attributions du haut représentant de l'Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité."

Le texte du traité de Lisbonne indique que "M. Europe" doit être élu par les chefs d'Etat et de gouvernement à la majorité qualifiée, calculée de telle manière que ni les grands Etats ne puissent imposer seuls leur vue ni les petits, réunir seuls une minorité de blocage. Rien de plus. Tout juste est-il acquis que l'impétrant doit justifier d'une expérience au Conseil - ce qui, en pratique, veut dire qu'il y a représenté antérieurement son pays.

Ce qui a priori exclut les chefs d'Etat réduits aux fonctions cérémonielles, comme l'ex-présidente irlandaise Mary Robinson. L'élection sera donc un huis clos: loin des peuples, elle tiendra plus d'un conclave du Vatican que d'un choix démocratique. C'est, selon l'expression allemande, une "affaire de chefs". "Les peuples auront nécessairement, un jour, leur mot à dire sur ce choix, pronostique Hubert Haenel, président de la commission des Affaires européennes au Sénat, ancien membre de la Convention qui rédigea le projet de traité constitutionnel. Mais nous ne sommes pas mûrs pour cela aujourd'hui."

Un non ferme du Benelux à l'hypothèse Blair

Plus que l'Esprit saint, c'est une logique d'intérêts nationaux qui anime le grand marchandage en cours. Car ces deux nominations sont aussi liées à la répartition des postes au sein de la Commission, qui interviendra plus tard. Chaque gouvernement s'est fixé son propre but. Paris réclame ainsi le poste de commissaire au Marché intérieur. Londres souhaite l'un des deux "top jobs", afin de ranimer la popularité d'un gouvernement travailliste menacé, au vu des sondages, d'une déroute électorale. Berlin veut que le poste présidentiel revienne à la droite, majoritaire en Europe, d'où la tiédeur d'Angela Merkel, tout juste victorieuse de son combat électoral contre la gauche, à l'égard du travailliste Tony Blair, pressenti.

Les logiques de politique intérieure interfèrent. Le possible départ pour Bruxelles de Jan Peter Balkenende, chef du gouvernement néerlandais, panique les partis partenaires de la coalition gouvernementale à La Haye. Celui du Belge Van Rompuy risquerait de rompre le fragile compromis entre Wallons et Flamands. Madrid et Rome, enfin, souhaitent que le futur titulaire vienne d'un Etat membre de la zone euro.

D'autres facteurs compliquent ce Cluedo électoral. Le 6 octobre, au lendemain du référendum irlandais, les trois pays du Benelux publient une note conjointe stipulant que le futur président devra avoir "démontré son engagement européen et développé une vision sur l'ensemble des politiques de l'Union". La phrase est sibylline, le décryptage aisé. C'est un non ferme à l'hypothèse Blair, un temps favorisée par Nicolas Sarkozy. Car le Royaume-Uni n'est ni dans l'eurozone ni dans l'espace Schengen et déroge à la Charte des droits.

REUTERS/Yves Herman

Nicolas Sarkozy, le 30 octobre à Bruxelles: "Nous sommes d'accord avec Mme Merkel sur la vision des postes et les noms."

Nicolas Sarkozy, le 30 octobre à Bruxelles: "Nous sommes d'accord avec Mme Merkel sur la vision des postes et les noms."

L'ex-Premier ministre britannique se voit, en outre, rappeler qu'il n'a pas tenu sa promesse de pousser plus avant l'intégration du royaume dans l'Union. Les Belges tiennent là une petite vengeance : leur ancien Premier ministre Guy Verhofstadt avait été écarté de la présidence de la Commission en 2004 à la suite du veto de... Londres. Enfin, les "trois nains" du Benelux ont l'aval de Berlin. Angela Merkel ne veut pas d'une personnalité trop forte comme président : elle a déjà suffisamment à faire avec l'ardeur qu'elle juge brouillonne d'un Sarkozy pour se colleter en plus avec un Blair, lui aussi avide de feux médiatiques!

En laissant savoir qu'il est disponible pour le poste, le Luxembourgeois Jean-Claude Juncker - en disgrâce à Paris depuis la crise financière - envoie l'ultime torpille. A Londres, on tente bien de riposter : offensive dans la presse (l'édition européenne de l'hebdomadaire Newsweek fait de sa Une un appel à Blair) et mobilisation sonore du gouvernement. Mais le soufflé retombe. Le plaidoyer de Gordon Brown en faveur de son ex-rival "Tony" devant les socialistes européens, à Bruxelles, le 30, fait pschitt. Nul n'a oublié le soutien à la guerre d'Irak, objet, par ailleurs, d'une commission d'enquête britannique qui mettra forcément Blair sur la sellette.

Retour à la case départ? Le Premier ministre suédois, Fredrik Reinfeldt, chargé de la présidence européenne jusqu'à la fin de l'année, attend officiellement la ratification tchèque. Sitôt le paraphe de Vaclav Klaus apposé, il saisira son téléphone pour appeler, un par un, ses 26 collègues du Conseil européen, afin de les sonder. Avec les mêmes questions: qu'attendent-ils de ces fonctions? Qui les remplirait le mieux? Deux interrogations cruciales qui n'en font, en réalité, qu'une. "Le poste de président n'est pas précisément défini par le traité, explique Pierre Lequiller, président de la commission des Affaires européennes à l'Assemblée nationale. Par son action, le premier président déterminera donc les contours de la fonction pour l'avenir."

Un président pris à droite, un haut représentant pris à gauche?

Faute de débat public, on ne saura donc qu'a posteriori comment le "président de l'Europe" - tel que le désignent déjà les médias internationaux - entend remplir sa mission. Sera-t-il l'homme capable de répondre à la question cruelle jadis posée par Henry Kissinger: "L'Europe a-t-elle un numéro de téléphone?" Saura-t-il incarner le génie du continent face aux opinions mondiales? Ou sera-t-il le jouet des eurocrates? Bâtira-t-il des coalitions variables selon les sujets? Ou se contentera-t-il de n'être - quatre fois par an - que le majordome stylé des Vingt-Sept réunis à Bruxelles? Ou, au mieux, leur greffier besogneux?

Les attentes sont, de fait, contradictoires. "Les petits pays se sentent déjà trop souvent violentés par la pression des grands au Conseil, explique le diplomate d'un nouvel Etat membre. Ils s'inquiéteraient d'une personnalité dotée d'une vision, voire d'une idéologie." Une logique minimaliste contre laquelle s'insurge, au Parlement européen, l'eurodéputé Arnaud Danjean (Parti populaire européen): "On nous avait dit que le traité de Lisbonne remettait de la politique dans la machine européenne, et voilà qu'on nous vante désormais la vertu des petits compromis techniques!" Un président choisi à droite, un haut représentant pris à gauche: c'est cette logique qui devrait l'emporter.

Le futur ministre européen des Affaires étrangères - vice-président de la Commission à côté des 26 commissaires - pourrait être alors l'actuel patron du Foreign Office, le Britannique David Miliband. Mais, (trop) brillant, ce dernier risquerait de concurrencer le président du Conseil... Sa compatriote Catherine Ashton, alors? Ou le social-démocrate autrichien Alfred Gusenbauer? Le Finlandais Olli Rehn souffre d'être un libéral, le Suédois Carl Bildt, d'être à droite. Tout comme l'Autrichienne Ursula Plassnik. Mais des surprises sont toujours possibles: Barroso, lui-même, avait été déniché, en 2004, à l'ultime moment.

D'autant que le puzzle se complique encore lorsqu'il faut prendre en compte les autres critères. Géographique, par exemple. Le Sud? Barroso en vient. Il faut donc satisfaire le Nord et l'Est. Ce serait bien aussi de placer une femme. Ne serait-ce que pour contrebalancer le profil de la future Commission, aujourd'hui tant dominée par les hommes que José Manuel Barroso a confié aux Vingt-Sept son inquiétude à l'idée de présider un exécutif "qui ressemble trop à un gouvernement saoudien"... Le traité de Lisbonne valait-il tant d'efforts pour en arriver à ce maquignonnage?

http://www.lexpress.fr/actualite/monde/europe/le-president-de-l-ue-un-choix-par-defaut_826055.html?p=2

Nomination

http://www.spreadthetruth.fr/?p=5468

Un député Italien: « les candidats à la présidence de l’UE participent à des réunions du Groupe Bilderberg »
http://www.spreadthetruth.fr/?p=5446


Mario Borghezio (Lega Nord) au Parlement Européen, 11 novembre 2009, à propos des candidats à la Présidence de l'Union Européenne (encore une belle arnaque). Le peuple aura-t-il son mot à dire dans cette affaire ? Si la démocratie existait, ça se saurait...

Informez-vous... Groupe Bilderberg, Commission Trilatérale, Council on Foreign Relations, Skull and Bones, Bohemian Club, Le Siècle, Fondation Bertelsmann, etc... etc... etc...

Groupe Bilderberg et silence des médias français...

http://aleth.over-blog.com/article-31683352.html