Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

28/11/2015

COP 21, projet de réduction massive de la population mondiale (Vidéos)

Voir aussi :

COP 21, projet de réduction massive de la population mondiale

Habitants du Népal

La COP 21 n'est pas un bien absolu. Le mouvement "Solidarité et progrès" est le seul à dénoncer la conférence sur le climat, sur laquelle les autorités françaises misent beaucoup.

Nous avons demandé à Christine Bierre de nous expliquer en quoi les négociations pourraient conduire à des conséquences néfastes et dangereuses.

La COP 21 n'a pas tellement pour objectif la protection de la planète, mais un "plongeon massif de la population actuelle de sept milliards à un milliard seulement", parce que " l'économie fondée sur les énergies renouvelables ne pourra accueillir qu'un milliard d'individus sur la Terre". Christine Bierre témoigne: "On dit, par exemple que s'il y a des changements climatiques, c'est à cause du travail de l'homme et non pas des cycles galactiques, des cycles solaires, des cycles terrestres qui ont toujours été à l'origine des changements climatiques. Si cette théorie est vraie, cela veut dire qu'il faut réduire la production de l'homme. On propose alors de sortir des énergies fossiles et du nucléaire pour aller, d'ici 2050, vers les énergies renouvelables. Mais ces énergies renouvelables produisent beaucoup moins que les énergies fossiles et le nucléaire. Si on va vers une économie qui est fondée sur les énergies renouvelables, cette économie-là ne pourrait soutenir et accueillir qu'environ un milliard d'individus sur la planète. Or, aujourd'hui, nous sommes sept milliards et nous allons vers beaucoup plus."


La terrible idée de réduire la population de la Terre a été ouvertement proclamée par le prince Philip d'Edimbourg et l'un de ses plus proches collaborateurs, Martin Palmer, secrétaire général de l'ARC (Alliance pour la religion et la conservation) qui est parmi les quatre organisateurs du sommet de la Conscience qui vient d'avoir lieu à Paris, les 20-21 juillet. En 1987, il a écrit un livre intitulé "Si j'étais un animal", dans lequel il dit que s'il était un animal, il aurait souhaité d'être réincarné en un virus mortel pour réduire la population "afin de contribuer de quelque manière à résoudre le problème de la surpopulation". Précédemment, en 1981, dans une interview à People Magazine, il s'est opposé au programme des Nations unies sur la lutte contre le paludisme au Sri Lanka parce que celui-ci avait abouti à doubler la population en 20 ans. Et il a dit: "Nous n'avons pas de choix, si la croissance démographique n'est pas limitée de façon volontaire, elle le sera involontairement par l'expansion des maladies, de la famine et de la guerre" se rappelle Christine Bierre.

Cette idéologie cible principalement les pays des BRICS et les pays émergents, continue-elle. "Lors du sommet de Copenhague, en 2009, l'Inde, la Chine et d'autres pays émergents avaient complètement refusé d'adopter les règles censées lutter contre le réchauffement climatique. Ils avaient dit que, pour eux, ce qui passait, d'abord, c'était le développement des populations". Or, les Etats-Unis, un des plus grands pollueurs au monde, ne sont pas du tout menacés: "Lorsqu'on est à la tête du monde, on n'est pas obligé de suivre ses propres lois."Or, les changements climatiques ont toujours eu lieu. En fait, la température a commencé à augmenter en 1695, précise Christine Bierre, parce que le soleil a eu une activité magnétique beaucoup plus importante. "Entre 1695 et aujourd'hui, il y a eu une augmentation de température d'à peu près un degré. Ce n'est pas énorme. Entre temps, l'activité humaine s'est développée massivement. Depuis 2000 il y a plutôt une tendance à la baisse, un petit refroidissement qui a eu lieu entre 1940 et 1970 ". Cela veut dire qu'il faut étudier beaucoup plus les causes des changements de température sur notre planète (mouvements galactiques, activité solaire et autre) qui ne sont pas du tout l'effet de l'activité humaine.

 L'avenir de la population mondiale n'est pas terne aux yeux de Christine Bierre qui reste optimiste: "Je pense que, pour toutes ces raisons, il est extrêmement important de dénoncer ce qui se passe. Si les ressources naturelles sont limitées, la capacité de l'homme ne l'est pas, ainsi que sa créativité, sa faculté de découvrir de nouvelles ressources, de nouvelles technologies qui ont toujours permis à l'homme de passer d'une population moindre à une intensité de population plus grande, à sept milliards et plus aujourd'hui".

Le plan des élites pour la dépopulation mondiale


20/11/2015

L'Aipac, (American Israel Public Affairs Committee) le lobby pro-israélien des États-Unis

Et en France nous avons le CRIF, plus le Parlement Juif Européen !

L'Aipac, le lobby pro-israélien des États-Unis

Par Laure Mandeville, correspondante à Washington
Mis à jour Publié

Le président israélien, Shimon Pérès, a prononcé un discours lors de la soirée d'ouverture de la conférence annuelle de l'Aipac, à Washington, le lundi 4 mai 2009.

Fort de 100 000 membre, il a pour but de veiller à maintenir intacte l'alliance stratégique qui lie, depuis 1948, l'État hébreu aux États-Unis.

(Article publié dans Le Figaro du 18 mai 2009)

Il est 19 heures ce lundi 4 mai, et une soirée exceptionnelle commence à Washington. Dans l'immense salle bleu nuit du centre de conférences de la capitale américaine, sont réunis près de 6 500 convives de marque en tenue de soirée, venus de tous les coins du pays et du monde. Des lumières laser glissent sur les visages, donnant à l'événement une atmosphère festive de gala. Des dizaines de serveurs vont et viennent entre les tables, déposant des assiettes où trônent des volailles farcies. «C'est le plus grand dîner casher du monde», sourit Caroline Chetrit, une Juive espagnole de Madrid qui a constitué une veille de l'antisémitisme en Espagne et vient chaque année depuis cinq ans. «On se croirait à Hollywood», ajoute Ofer Bronstein, conseiller du premier ministre Zapatero pour les relations avec Israël, en observant avec amusement la mer de convives qui s'étale à perte de vue.

Pourtant, cette soirée qui se tient à grands frais à Washington n'a rien à voir avec le show-biz. La puissance invitante n'est autre que l'Aipac (American Israel Public Affairs Committee), un lobby pro-israélien américain dont le but est de veiller à maintenir intacte l'alliance stratégique qui lie, depuis 1948, l'État hébreu aux États-Unis. Ce comité tient sa conférence annuelle durant trois jours intenses de tables rondes animées par des experts et des personnalités politiques de haut niveau. Le président israélien, Shimon Pérès a ouvert les travaux. Le vice-président Joe Biden les a clôturés. «Il s'agit du plus important rassemblement de l'année pour la communauté pro-israélienne, note le président de l'Aipac, David Victor. Alors que le Moyen-Orient traverse une période de défis et d'opportunités sans précédent, c'est le moment de venir à Washington et de rejoindre tous les autres Américains qui partagent notre passion pour la relation israélo-américaine, pour faire en sorte que nos voix soient entendues au Congrès.»

100 000 membres

L'Aipac naît en 1951, trois ans après la naissance d'Israël, surgi des cendres de l'effroyable génocide juif. Les Juifs d'Amérique, dont beaucoup sont des survivants de la Shoah, en viennent à penser que si Israël avait existé, l'Holocauste n'aurait pu avoir lieu. Garantir la survie du nouvel État, en travaillant au renforcement de la relation États-Unis-Israël, devient alors la priorité des priorités d'une large partie de la communauté juive américaine. Cet objectif n'est remis en question par personne au sein de l'establishment politique américain, qui voit dans la défense d'Israël une priorité de sa diplomatie. L'Aipac, qui ne finance aucune campagne électorale, se concentrant sur ses objectifs d'éducation et d'influence, ratisse large, comptant dans ses rangs de nombreux membres non juifs. Elle n'est nullement une organisation occulte, mais un lobby qui a pignon sur rue, agissant en toute transparence conformément au système en vigueur aux États-Unis. Contrairement à ce qui prévaut en France, où les lobbies sont associés à une théorie du complot, ils sont, là-bas, institutionnalisés et officiels, partie intégrante du processus démocratique.

Mais l'Aipac, qui réunit 100 000 membres, n'en reste pas moins exceptionnel par sa capacité de ralliement, qui le situe, selon les experts, au côté du lobby des retraités ou du lobby des armes (National Rifle Association). «C'est l'organisation de lobbying la plus influente en matière de politique étrangère», affirme son site Internet, qui dit employer 165 personnes à plein-temps à travers la plupart des États américains et disposer d'un budget de 45 millions de dollars. Outre ses solides soutiens politiques, l'Aipac mobilise des fonds importants. Beaucoup de personnalités font des dons pouvant aller jusqu'à des centaines de milliers de dollars. Les invités arborent sans complexes des badges sur lesquels apparaît l'importance de leurs donations en fonction des couleurs inscrites. Plus on affiche de couleurs, plus on compte au sein de l'organisation, explique une généreuse donatrice venue de Floride, et membre du Board.

Ce lundi soir, la «force de frappe» politique de l'Aipac apparaît avec éclat quand commence le roll call, l'appel de toutes les personnalités de marque présentes au gala. Sur fond de musique de film destinée à garantir l'émotion de la salle, deux organisateurs lisent avec emphase la liste des invités. À chaque fois, la salle applaudit, enthousiaste. On a l'impression d'assister à une cérémonie des Oscars. Près de la moitié des élus du Congrès sont là, républicains comme démocrates, car l'Aipac est bipartisan. On aperçoit de nombreux membres en vue de l'Administration Obama ainsi que la plupart des ambassadeurs accrédités à Washington. Puis apparaît le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, depuis Jérusalem, pour une adresse retransmise par télé-satellite. Il se garde bien de prononcer le terme «d'État palestinien», se contentant de formules vagues sur l'économie et la paix. Mais il est très applaudi quand il parle de la menace nucléaire iranienne, le cœur de son discours. «C'est impressionnant», confie un homme venu de Californie. Il explique qu'il a réactivé récemment sa souscription car il a «l'impression de faire quelque chose d'important en étant ici». Il y a croisé tant de personnalités de premier plan : le président de la commission des affaires étrangères du Sénat, John Kerry Cohen, l'ancien speaker conservateur Newt Gingrich…

La conférence de l'Aipac est un must pour les politiques. Selon une tradition ancrée, tous les candidats à la présidentielle y étaient venus l'an dernier exposer leur vision du Moyen-Orient et exprimer leur attachement à la relation avec Israël. Hillary Clinton avait parlé d'une «réunion géante de famille» ; McCain, loué «une organisation magnifique» ; et Barack Obama, évoqué «le lien indissoluble hier, aujourd'hui et pour toujours» entre Israël et les États-Unis. Dès le lendemain du gala, des milliers de participants montent sur la colline du Capitole pour quelque 515 rencontres avec des parlementaires. Inquiets des ouvertures de l'Administration Obama vers le régime des mollahs, les lobbyistes de l'Aipac veulent convaincre les députés de voter en faveur d'une panoplie de sanctions très dures en cas d'échec de la négociation. Leur projet de loi propose d'imposer des sanctions aux entreprises qui fournissent du carburant aux Iraniens, ceux-ci dépendant à 40 % de l'étranger pour l'essence et le diesel.

Mais un vrai suspense entoure désormais cette stratégie, vu la volonté très affirmée d'Obama de privilégier une nouvelle approche, plus équilibrée, du règlement du conflit israélo-palestinien. Dans les dernières semaines, le président a clairement prôné une solution à deux États. Son vice-président a plaidé devant l'Aipac contre la poursuite de la colonisation israélienne dans les Territoires occupés. Rahm Emanuel, chef de l'Administration présidentielle et personnage influent de la communauté juive américaine, aurait même invité ses amis de l'Aipac à changer de ligne lors d'une table ronde fermée à la presse. Selon nombre de sources, l'Administration souhaiterait mettre Nétanyahou sous pression et nuancer le caractère inconditionnel du soutien américain à la politique de la droite israélienne, qui avait prévalu sous Bush.

La concurrence d'une nouvelle organisation

Ce soutien inconditionnel avait été mis en évidence en 2006 dans un livre fracassant (*) par deux professeurs d'université, John Mearsheimer et Stephen Walt, pourtant connus pour leur orientation centriste et pro-israélienne. Les deux chercheurs, dont l'ouvrage a suscité une vaste polémique et même des accusations d'antisémitisme, voulaient révéler ce qu'ils voient comme une forme d'OPA de la droite israélienne likoudnik sur la politique étrangère américaine, via l'Aipac. «Je suis pro-israélien, mais j'estime qu'une politique aussi déséquilibrée ne sert pas les intérêts des États-Unis ni d'Israël», a confié, en février dernier, Stephen Walt à une radio française. «Je suis impressionné par l'engagement civique de l'Aipac, mais pas d'accord avec sa définition de l'intérêt israélien. Il faudra bien en venir à une solution de deux États séparés, et Nétanyahou le sait», avance le Franco-Israélien Ofer Bronstein.

En écho à ces préoccupations sur l'alignement jugé excessif de l'Aipac sur la droite israélienne, un lobby pro-israélien concurrent, J Street, destiné à mobiliser la rue juive libérale en faveur d'une approche plus équilibrée du conflit, s'est mis en orbite au Congrès depuis l'année dernière. Cette nouvelle organisation serait encouragée en sous-main par l'équipe Obama, qui cherche des appuis pour affiner son changement de cap de politique étrangère. «L'Aipac a l'oreille de l'establishment politique, dit un responsable de J Street en privé. Mais de nombreux juifs ne sont pas d'accord avec le Likoud. C'est à eux que nous nous adressons. N'oublions pas que la communauté juive a voté à plus 78 % pour Obama. Elle ne soutient plus une politique qui échoue depuis si longtemps.»

Peu convaincu, l'Israélien Avi Beker, professeur à l'université de Georgetown, explique que «la communauté juive américaine est un monde complexe», mais qu'une «solide» majorité d'Américains adhère à la vision de l'Aipac et son scepticisme sur les perspectives actuelles d'un État palestinien. «Vu la menace iranienne et le comportement du Hamas, ce n'est pas près de changer», conclut-il.

(*) John Mearsheimer et Stephen Walt, «Le Lobby pro-israélien et la politique étrangère américaine», La Découverte 2007.

» Obama veut imposer à Israël un Etat palestinien

Par Laure Mandeville, correspondante à Washington

 

 

19/11/2015

TERRORISME - Un RABBIN balance TOUT - (Daesh - Etat islamique - attentats du 13 novembre)

TERRORISME - Un RABBIN balance TOUT - (Daesh - Etat islamique - attentats du 13 novembre)


 

02/11/2015

La Russie se prépare à une guerre nucléaire !

Chose promise, chose due, après les provocations incessantes des USA et de ses alliés européens criminels, comme encore ici : Les USA invoquent la "menace russe" pour augmenter leur présence navale en Europe, et à ce qui ressemble de plus en plus à un attentat provoqué sur l'avion russe en Egypte, Crash: la partie arrière de l’avion était endommagée, selon la compagnie aérienne, la Russie se prépare à une guerre nucléaire !

 

Le pire c'est que si une guerre nucléaire éclate entre les US/UE et la Russie, avec tous les traîtres et les collabos que nous avons à la tête des gouvernements européens,  et les bases militaires de l'OTAN qui sont implantées sur les territoires européens et aux portes de la Russie, nous aurons les nazis sur nos territoires et sur nos têtes !

Voir aussi :

Poutine révise la stratégie de sécurité nationale
11:37 22.10.2015

Vladimir Poutine

Une nouvelle version de la Stratégie de sécurité nationale de la Fédération de Russie sera soumise à l'examen du président russe avant la fin de l'année 2015.

Poutine convoque le Conseil de sécurité de la Fédération de Russie
20:07 10.10.2015

 Совместная пресс-конференция президента РФ В.Путина и канцлера Германии А.Меркель

Le président russe Vladimir Poutine a discuté l'opération de l'Armée de l'air russe en Syrie avec les membres du Conseil de sécurité de la Fédération de Russie.

La Russie se prépare à une guerre nucléaire

Publié le par Иван Михайлович Фраков

105083382_o

A l’issue de la dernière réunion du Conseil de Sécurité de la Fédération de Russie le chef du Conseil a déclaré que Vladimir Poutine a ordonné de préparer le pays à affronter une guerre nucléaire, en connexion avec la menace de la « Première Frappe » des USA, qui apparait clairement dans leur doctrine militaire.

«Нужно проанализировать, насколько они отвечают реалиям сегодняшнего дня и при необходимости провести соответствующие коррективы. Уже в ближайшее время следует провести инвентаризацию индивидуальных средств защиты граждан, определить, какие из них морально и технически устарели, и выработать меры по восполнению запасов таких средств за счет современных образцов, но только на отечественной базе»

Vladimir Poutine a ordonné un inventaire, une remise en état si besoin est, et un réapprovisionnement des matériels de protection individuelles des citoyens contre les menaces NBC.

La remise en état et l’approvisionnement des abris dans les grandes métropoles de Russie est également en cours depuis plusieurs mois. Des centres de commandement décentralisés sont par ailleurs installés en divers endroits « anonymes », en général enfouis profondément.

Par ailleurs des essais de matériel ont été ou seront prochainement effectués:

Tirs de missiles intercontinentaux balistiques Topol depuis le cosmodrome de « Plesetsk »

Tirs de missile depuis le sous-marin Briansk (Flotte du Nord) et Podolsk (Flotte du Pacifique), dans les mers de Barent et Okhotsk.

Tirs de missiles depuis les navires de la Flotte de la Caspienne

Lancement de missiles de croisière depuis les Tupolev TU-160 sur des cibles au sol au Kamchatcka et dans la République des Komis.

Multiples opérations avec les missiles Iskander

La Russie se tient donc prête à une guerre nucléaire suite à une éventuelle « Première Frappe » des USA.

 

29/10/2015

Arabie Saoudite, ces faux musulmans, arabocides, alliés des US, de Tel-Aviv et de la France qui pervertissent les valeurs de l'Islam

Un petit tour sur cette engeance qui détruit les valeurs de l'Islam, alimente le terrorisme et provoque le racisme dans le monde.

Vladimir Poutine : «L’idéologie de Daesh est une perversion des valeurs de l’islam»
23 sept. 2015

https://fr.rt.com/french/images/2015.09/thumbnail/56027892c461884e648b4617.jpg

Mercredi, la cérémonie de réouverture de la plus grande mosquée d’Europe à Moscou a été l'occasion pour les dirigeants turc, palestinien et russe d’évoquer les graves problèmes qui secouent le monde musulman, y compris évidemment la menace de Daesh.

Alcool, drogue et prostituées…la police saoudienne «ferme les yeux» sur tout ça !

20 oct. 2015

https://fr.rt.com/french/images/2015.10/thumbnail/5626a806c46188c82a8b465c.jpg

Un expatrié britannique a accusé l’Arabie saoudite d’hypocrisie quand il a appris que les jeunes y buvaient de l’alcool, consommaient des drogues, avaient des rapports sexuels avec des prostituées et que la police fermait les yeux.

Beuveries, drogue et prostituées : le quotidien révélé d'un prince saoudien
24 oct. 2015

Majed ben Abdullah ben Abdoulaziz Al Saoud

Une enquête de la justice californienne a révélé que le prince saoudien Majed ben Abdulaziz Al-Saoud sniffait de la cocaïne et se livrait à des journées entières de beuverie entouré de prostituées et à des actes sadiques sur ses employées féminines.

Saisie record de drogue à l'aéroport de Beyrouth, un prince saoudien impliqué
26 oct. 2015

Le captagon

Selon les autorités libanaises, le prince Abdel Mohsen Ibn Walid Ibn Abdelaziz et quatre autres personnes ont été arrêtées alors qu'ils embarquaient pour Riyad dans un avion privé avec près de deux tonnes de pilules de Captagon et de la cocaïne.

Сaptagon, la drogue des djihadistes qui refait parler d'elle
27 oct. 2015

L'amphétamine joue un rôle très important dans le conflit syrien. Par ses effets, mais également par l'argent qu'elle rapporte.

L’immobilisation du jet privé du prince saoudien Abdel Mohsen avec deux tonnes de captagon à son bord a relancé les interrogations sur l’amphétamine préférée des terroristes.

Arabie saoudite : vers une éviction du roi Salmane ?

24 oct. 2015

https://fr.rt.com/french/images/2015.10/thumbnail/562b22e6c461884c5b8b45d8.jpg

Selon un prince dissident, le clergé du Royaume, l'establishment religieux ainsi que huit des douze fils de l'ancien roi Saoud, fondateur de l'Arabie saoudite et déposé en 1964, souhaitent renverser l'actuel roi Salmane.