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22/10/2016

Résolution sur la Syrie: Moscou espère que les auteurs cessent le soutien aux djihadistes

 
Comme cela nous savons que 33 pays forment, financent et arment leurs mercenaires pour faire leur sale besogne et qu'ils sont complices des USA avec lesquels ils se coalisent pour entretenir leur terrorisme d'état dans les pays européens  !
 
Ensuite, ils viendront nous parler d'état d'urgence et de la soi-disant lutte contre le terrorisme dans les pays européens !
 
 
Alep
 
L'ambassadeur de Russie auprès des Nations-Unies s’est vu couper ce vendredi son micro alors qu’il abordait le thème de la Syrie lors d’une réunion du Conseil des droits de l'homme de l'Onu. Voici le texte de son discours.

La Russie s'attend à ce que les auteurs du projet de résolution du Conseil des droits de l'homme de l'Onu sur Alep cessent de soutenir les djihadistes et aident à expulser d'Alep les terroristes du Front al-Nosra et leurs alliés, a annoncé le représentant permanent de la Russie auprès de l'Onu et d'autres organisations internationales à Genève, Alexeï Borodavkine.
 
« Nous espérons que ces pays finiront par entendre la voix de la raison : cesseront de soutenir les djihadistes et — pas en paroles, mais en actions — commenceront à les éradiquer, contribueront à la séparation des terroristes et de l'opposition modérée et aideront à chasser d'Alep le Front al-Nosra et ses alliés et ce en soutenant l'initiative appropriée de l'envoyé spécial du secrétaire général de l'Onu Staffan de Mistura », a-t-il indiqué dans son discours cité par le site du ministère russe des Affaires étrangères.


En outre, Moscou espère que les pays en question mettront fin aux livraisons d'armes aux terroristes et apporteront une contribution réelle à la poursuivre des négociations intersyriennes, a précisé M. Borodavkine.

« Nous sommes persuadés que la mise en place de ces mesures permettra de créer en Syrie des conditions nécessaires à l'application en Syrie des normes universelles en matière des droits de l'homme et du droit humanitaire », a-t-il souligné.
 
 
Vendredi, le Conseil des droits de l'homme de l'Onu a approuvé la résolution sur la Syrie proposée par le Royaume-Uni. Soutenu par 33 pays, le document n'a pas satisfait Moscou qui a exigé que des amendements y soient apportés.

17/10/2016

Les « sanctions économiques » ou la guerre en col blanc

Les États-Unis et l’Union européenne ont lancé une guerre qui ne dit pas son nom contre la Syrie, l’Iran et la Russie, celle des « sanctions économiques ». Cette tactique redoutable a tué plus d’un million d’Irakiens dans les années 90, sans éveiller les soupçons des opinions publiques occidentales. Elle est aujourd’hui patiemment mise en place contre les États qui refusent d’être dominés par l’Ordre mondial unipolaire.

 

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Par le passé, la stratégie des guerres conventionnelles comprenait le siège d’une ville ou d’un État. Il s’agissait d’isoler l’ennemi, de l’empêcher d’utiliser ses ressources, de le soumettre à la famine, et en définitive de le vaincre. En Europe, l’Église catholique a fermement condamné cette tactique comme criminelle en ce qu’elle tue d’abord les civils, et seulement ensuite les belligérants.

Aujourd’hui, les guerres conventionnelles comprennent les « sanctions économiques », qui visent aux mêmes buts. De 1990 à 2003, les sanctions décrétées contre l’Irak par le Conseil de sécurité des Nations unies tuèrent plus d’un million de civils. De fait, il s’agissait bien d’une guerre menée par des banquiers au nom de l’institution chargée de promouvoir la paix.

Il est probable que plusieurs États qui votèrent pour ces sanctions n’en avaient perçu ni l’ampleur, ni les conséquences. Il est certains que lorsque certains membres du Conseil de sécurité en demandèrent la levée, les États-Unis et le Royaume-Uni s’y opposèrent, portant en cela la responsabilité du million de morts civils.

Après que de nombreux hauts-fonctionnaires internationaux ont été renvoyés pour leur participation au massacre du million de civils irakiens, les Nations unies réfléchirent à la manière de rendre des sanctions plus performante par rapport aux objectifs annoncés. C’est-à-dire de s’assurer qu’elles ne toucheraient que les responsables politiques et militaires et pas les civils. On parla donc de « sanctions ciblées ». Cependant, malgré les nombreuses recherches en la matière, on n’a jamais pratiqué de sanctions contre un État qui ne touchent que ses dirigeants et pas sa population.

L’effet de ces sanctions est lié à l’interprétation que les gouvernements font des textes qui les définissent. Par exemple, la plupart des textes évoquent des sanctions sur les produits à double usage civile et militaire, ce qui laisse une grande marge d’interprétation. Une carabine peut-être interdite à l’exportation vers un État déterminé car elle peut servir aussi bien à la chasse qu’à la guerre. Mais une bouteille d’eau peut être bue aussi bien par une mère de famille que par un soldat. En conséquence, les mêmes textes peuvent aboutir —selon les circonstances politiques et l’évolution de la volonté des gouvernements— à des résultats extrêmement différents.

La situation est d’autant plus compliquée qu’aux sanctions légales du Conseil de sécurité s’ajoutent les sanctions illégales des États-Unis et de l’Union européenne. En effet, si des États ou des institutions intergouvernementales peuvent légalement refuser de commercer avec d’autres, ils ne peuvent établir de sanctions unilatéralement sans entrer en guerre.

Le terme de « sanction » laisse à penser que l’État qui en est l’objet a commis un crime et qu’il a été jugé avant d’être condamné. C’est exact pour les sanctions décrétées par le Conseil de sécurité, mais pas pour celles unilatéralement décidées par les États-Unis et l’Union européenne. Il s’agit purement et simplement d’actes de guerre.

Depuis la guerre contre les Britanniques, en 1812, Washington s’est doté d’un Bureau, l’Office of Foreign Assets Control, qui est chargé de mener cette guerre en cols blancs.

Actuellement les principaux États victimes de sanctions, ne le sont pas du fait des Nations unies, mais exclusivement des États-Unis et de l’Union européenne. Ce sont la Syrie, l’Iran et la Russie. C’est-à-dire les trois États qui se battent contre les jihadistes soutenus par les Occidentaux.

La plupart de ces sanctions ont été prises sans lien direct avec la guerre contemporaine contre la Syrie. Les sanctions contre Damas sont principalement liées à son soutien au Hezbollah libanais et à l’asile qu’il avait accordé au Hamas palestinien (qui a depuis rejoint les Frères musulmans et se bat contre lui). Les sanctions contre l’Iran ont été prétendument prises contre son programme nucléaire militaire, même si celui-ci a été clôturé par l’ayatollah Khomeiny, il y a trente ans. Elles se poursuivent malgré la signature de l’accord 5+1 censé résoudre ce problème qui n’existe pas. Celles contre la Russie sanctionnent le rattachement de la Crimée après que celle-ci a refusé le coup d’État nazi de Kiev, qualifié de « révolution démocratique » par l’Otan.

Documents joints

 

16/10/2016

De quel droit les élites occidentales s’autoproclament «communauté internationale»?

De quel droit les élites occidentales s’autoproclament «communauté internationale»?

Mikhail Gamandiy-Egorov Points de vue 19:17 14.10.2016

De quel droit les élites occidentales s’autoproclament «communauté internationale»?

 

Fait assez incroyable et pourtant si l’on suit les nombreuses sorties en rapport avec l’actualité internationale, y compris syrienne, aussi bien des élites politiques comme médiatiques de l’Occident, on les entend constamment parler d’eux-mêmes à titre de « communauté internationale »… On se demande sur quelle base ?

 
En effet à chaque fois qu'il est question de tenter de réaffirmer le diktat occidental s'approchant de sa fin irrémédiable, les dirigeants à Washington, Londres ou Paris ressortent la, ou plutôt leur, notion de communauté dite internationale. Vraisemblablement les habitudes coloniales ont vraiment du mal à disparaitre. On se pose donc à juste titre la question afin de savoir et de comprendre sur quelle base les élites politiques et médiatiques de l'Occident parlent d'eux-mêmes à ce titre ? Qui les a autoproclamé (si ce n'est eux-mêmes) à se prendre pour la communauté internationale ? Le fait qu'ils représentent d'une certaine manière la communauté occidentale, certes. Tout en sachant quand même que de plus en plus de citoyens des pays occidentaux sont loin d'approuver la politique de leurs « représentants ». La France en est d'ailleurs un cas très représentatif. Mais même à titre de communauté occidental et dans le cadre de l'humanité toute entière, cela ne représente qu'une infime partie de la véritable communauté internationale, de la véritable communauté mondiale.

 

De quel droit une assemblée très réduite de personnes se prend pour l'unique pouvoir décisionnel au niveau planétaire ? Comme si la Russie, la Chine, l'Inde, l'Iran, les pays d'Afrique, d'Asie et d'Amérique latine n'existaient pas. Il serait bon de rappeler que le monde occidental dans sa définition la plus juste (Europe de l'Ouest, Amérique du Nord, Australie et Nouvelle-Zélande) représente environ 950 millions d'habitants, donc moins d'un milliard. Au moment où la population mondiale tourne aujourd'hui à 7,43 milliards d'habitants (chiffres au premier juillet 2016, selon l'ONU). Donc un peu plus de 10 % de la population terrestre, tout en sachant encore une fois que les populations occidentales sont aujourd'hui bien loin de suivre les actions de leurs gouvernements respectifs, serait la « communauté internationale » ? Incroyable…

 
Il faudrait quand même aussi rappeler que c'est justement la communauté non-occidentale qui représente aujourd'hui plus des ¾ de l'humanité et qui pèse de plus en plus sur le plan économique, politique, diplomatique, militaire et même culturel. Au moment où au contraire l'influence unipolaire occidentale diminue à grands pas. Il suffit d'ailleurs de prendre l'exemple d'organisations telles que l'OCS ou les BRICS pour comprendre une évidence simple : l'Occident politique ne peut plus dominer. Plus que cela, les actions du bloc non-occidental sont aujourd'hui de plus en plus soudées. Il suffit pour cela d'observer la coordination de la Russie et de la Chine sur plusieurs niveaux, allant des manœuvres militaires conjointes jusqu'à la coordination diplomatique sur nombreuses questions de l'actualité, de la Syrie jusqu'au Burundi. Tout en rappelant aussi qu'ils sont deux des cinq pays membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU.


En parlant d'ailleurs de ce Conseil de sécurité onusien, la Russie et la Chine sont justement ouverts à l'élargissement pour d'autres pays de ce conseil jusqu'ici très fermé. Pourquoi ? Car ni la Russie, ni la Chine, n'ont peur de voir leur influence se réduire dans le cadre du monde multipolaire, tout au contraire des dirigeants occidentaux.

 
Les élites occidentales sont-elles donc si aveugles ? Aucunement. Mais l'héritage colonial de ces élites est tellement ancrée, qu'il leur est jusqu'à maintenant toujours impossible de se débarrasser une bonne pour toute de cette maladie. Car il s'agit bien de maladie. Et comme toute maladie, elle se soigne. Donc de la même manière que l'on soigne les personnes souffrantes, nous (la vraie communauté internationale), soignerons ensemble les prétendues élites de l'Occident. Le monde multipolaire, dans lequel d'ailleurs l'Occident aura toujours sa place, gagne du terrain chaque jour qui passe. L'unipolarité s'éloigne comme un mauvais rêve ayant duré un peu longtemps. Près de vingt ans pour être exact. Et l'hystérie collective des élites de l'Occident n'y changera rien.

Les opinions exprimées dans ce contenu n'engagent que la responsabilité de l'auteur.

 

 

15/10/2016

Veterans Today : Les USA souffrent de la défaite massive des terroristes qui sont écrasés dans le nord d'Alep

 

Les choses sont suffisamment graves pour prendre le temps de vous adresser des informations concernant ce qui s’est passé et ce qui est en voie de se passer dans le cadre du conflit syrien pour que vous puissiez vous y préparer.

Nous allons tout droit à la 3ème guerre mondiale avec toutes les menaces et les calomnies diffusées dans les merdias et les réactions violentes dirigées à l’encontre de Poutine, de la Russie et de la Syrie après les révélations faites par Poutine avant-hier qui a mis en cause la France, Négociations sur la Syrie : Poutine accuse la France d'avoir cherché à «envenimer la situation» et l’Occident Vladimir Poutine : l'Occident est responsable de la guerre en Syrie dans leurs responsabilités face à la situation qu’ils ont créée de toutes pièces au Moyen-Orient et notamment en Syrie. Poutine a l’air d’être suffisamment remonté et prêt à s’attaquer au premier qui s’attaquera à la Syrie et aux armées syrienne et russe.


Rappelez-vous ce qu’il disait en 2015 :
Poutine.. « SI LA BAGARRE EST INÉVITABLE, IL FAUT FRAPPER LE PREMIER » POUTINE EST À PRENDRE AU SÉRIEUX Ce serait une grave erreur pour l’Occident et ses dirigeants de ne pas prendre au sérieux ce que dit Poutine. Il n’est pas du genre à parler pour ne rien dire. Ce qu’il a à dire, il le dit sans élever le ton et sans effet oratoire. Les mots sont pesés, les pensées sont claires et ses intentions sont sans équivoque. On se souviendra de son intervention, l’an dernier, à la rencontre de Valdaï, où il avait précisé les défis à relever de la part des puissances qui conditionnent les destinées de ce monde.

La Russie a eu droit à toutes les attaques et menaces, et les criminels occidentaux ont lâché leurs sbires sur Damas et sur Alep en frappant notamment des écoles et des hôpitaux. Les plus virulents dans leurs propos et leurs actions ont été les Anglais, l’UE et les USA qui ont tenté d’intimider Poutine par tous les moyens. La Nouvelle Zélande qui est venue aussi mettre son grain de sel pour saisir l’ONU d’une nouvelle résolution. Poutine a écarté d’emblée l’UE dans les négociations qui devront se tenir aujourd’hui, samedi à Lausanne qui sera la réunion de la dernière chance avec les USA et aussi les ministres des Affaires étrangères de la Turquie, du Qatar et de l’Arabie saoudite. Mais Poutine et Lavrov sont déterminés à aller jusqu’au bout, donc soit la clique mafieuse accepte les conditions de la Russie, soit ils partiront en guerre. Et Hollande ferait mieux de fermer son clapet avec les soi-disant exigences de la France qui ne sont que les siennes et celles de la communauté à laquelle il appartient.

Le Peuple français ne lui a jamais demandé de faire et de financer sur les deniers du peuple des guerres qui ne nous concernent pas et notamment lorsque la France fait partie d’une coalition internationale US criminelle et illégale qui ne bénéficie d’un quelconque mandat de l’ONU et d’une demande officielle de Bashar Al-Assad pour intervenir dans son pays, en violation d’un pays souverain et de toutes les lois internationales et lorsque Hollande serait passible d’être renvoyé devant la CPI : Hollande, mis en cause pour des assassinats, en route vers la CPI.

Comme par hasard et malgré les difficultés lorsque les empêcheurs de tourner en rond ne sont plus sur le terrain, les armées alliées avancent en Syrie.

Vous avez ci-dessous un résumé de ce qu’il s’est passé dès le 13 octobre 2016 après les révélations faites par Poutine et Lavrov sur la complicité des occidentaux dans les guerres au Moyen-Orient.

 


Les attaques et les menaces de sanctions contre la Russie et la Syrie

L’ambassade de Russie à Damas sous le feu des rebelles pendant deux heures Le territoire de l’ambassade a été entièrement recouvert d’éclats d’obus après deux heures de tirs fournis le 12 octobre, a annoncé le ministère russe des Affaires étrangères, ajoutant que personne n’avait été blessé.

Genève: un avion russe évacué Genève: un avion évacué après une alerte à la bombe Un avion de la compagnie russe Aeroflot a été évacué aujourd'hui peu avant son décollage de l'aéroport de Genève. Dans un communiqué, Aeroflot indique que les 115 passagers du vol 2381 à destination de Moscou vont être transférés dans un autre appareil pour poursuivre leur voyage.

Alep: l’UE envisage de nouvelles sanctions antirusses Face à la situation dans la ville syrienne d’Alep, l’UE, au lieu de s’atteler réellement à la lutte contre le terrorisme, reprend sa vieille rengaine: sanctions antirusses.

L'UE et Alep: qui donc sanctionner? Tiens, sanctionnons les Syriens! Les sanctions antirusses, ce n'est plus à la mode! L'UE s'apprête à rédiger la liste des sanctionnés sur la situation à Alep et il n'y aura pas de noms russes, seules des hauts responsables et des militaires syriens.


Londres veut abattre les Sukhoï russes et  a appelé à des manifestations devant l’ambassade russe

Londres veut abattre les Sukhoï russes Les pilotes britanniques autorisés à tirer sur les chasseurs russes Les forces de l’air de la Grande-Bretagne ont équipé leurs chasseurs de missiles sophistiqués air-air, autorisant leurs pilotes à tirer sur les avions russes en mission en Syrie et en Irak.

En appelant à manifester devant l’ambassade russe, Boris Johnson «rejoint l'hystérie américaine»  La rhétorique anti-Russie de Boris Johnson est hystérique, irresponsable et s'explique par le fait que la Russie réussit à restaurer la stabilité au Moyen-Orient, indique l'ancien diplomate britannique William Mallinson

 


La Nouvelle Zélande

 

Le Conseil de sécurité examine un nouveau projet de résolution sur Alep
Face à une brusque aggravation de la situation à Alep, en Syrie, le Conseil de sécurité de l’Onu planche sur un nouveau projet de résolution sur la Syrie pouvant servir de compromis après l’échec de deux résolutions précédentes. Face à une brusque aggravation de la situation à Alep, en Syrie, le Conseil de sécurité de l’Onu planche sur un nouveau projet de résolution sur la Syrie pouvant servir de compromis après l’échec de deux résolutions précédentes.

 


Les menaces US y compris nucléaires

 

Obama discuterait avec ses conseillers du bombardement des positions militaires syriennes Les forces aériennes américaines pourraient être autorisées à frapper des positions de l’armée syrienne, si Barack Obama et le Conseil de sécurité nationale le décidaient. Une autre option serait de livrer des armes plus sophistiquées aux rebelles.

Syrie: Obama examine «toutes les options»  Le président des États-Unis, Barack Obama, se réunira vendredi 14 octobre avec ses principaux conseillers en politique étrangère pour examiner toutes les options militaires en Syrie, ont déclaré de hauts responsables américains à Reuters.

Le Congrès américain appelle Obama à renoncer à l’idée de frappe nucléaire préventive

 


Les réponses de Moscou et de Poutine

Syrie: Moscou ripostera à tout acte hostile Moscou: tout acte inamical contre la Russie ne restera pas sans conséquence

Poutine défend l’indépendance des BRICS Poutine: les BRICS ne toléreront aucune pression À l’approche du sommet des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) à Goa en Inde, le président russe Vladimir Poutine a expliqué son point de vue dans une interview accordée à l'agence russe Rossia Segodnia et à l'agence indienne IANS. « Face aux approches unilatérales des pays occidentaux, les BRICS n'accepteront pas les pressions et les violations de la souveraineté des autres États », a déclaré le président Poutine, en estimant que ce point trouverait écho dans la déclaration finale du sommet de Goa.« Nous adoptons les mêmes approches pour résoudre des problèmes internationaux, notamment en ce qui concerne la crise syrienne et le règlement de la situation au Moyen-Orient. […] Face aux tentatives d'un certain nombre de pays occidentaux d'imposer leur approche unilatérale, cette position revêt une importance particulière », a déclaré le président russe. Le sommet des BRICS aura lieu les 15 et 16 octobre à Goa en Inde. À l’issue du sommet, il est prévu que soit adoptée la déclaration de Goa et un plan d'action, qui détermineront les priorités de la coopération dans un avenir proche.


Les mercenaires des occidentaux se sont lâchés sur les innocents

 

Alep : des terroristes du Front Al-Nosra recrutent des adolescents de force, selon la Défense russe Le ministère russe de la Défense a révélé de nouveaux détails quant aux agissements des terroristes à Alep, en Syrie : ils recrutent des adolescents de 14 ans de force et utilisent les civils comme des boucliers humains pour réduire leurs pertes.

Au moins cinq enfants morts dans le bombardement d’Alep par des rebelles (VIDEOS EXCLUSIVES) A la suite de frappes rebelles sur Alep, le correspondant de RT a été l’un des premiers journalistes à pouvoir se rendre à l'hôpital d’Al-Razi, d’où il a ramené des images choc.

Responsable de l'Unicef : l’impact psychologique de la guerre en Syrie sur les enfants est énorme Près de quatre millions d’enfants syriens de moins de cinq ans n’ont connu que la guerre. La responsable régionale chargée de la communication à l'Unicef, Juliette Touma, s'indigne des violences d'un conflit qui n'épargne pas les plus vulnérables.

Syrie: une école pilonnée (vidéo) Les enfants tués à Alep, grands oubliés des médias occidentaux.

Les Casques blancs, sont-ils vraiment les héros anonymes du conflit syrien ? (VIDEO) Aux yeux du monde entier, ce sont des sauveteurs. Mais lorsqu'on se penche sur l'orgine des fonds qu'ils reçoivent, la personnalité et le parcours de leurs responsables leur action prend un tour différent que celui que narrent les grands médias.


Les préparatifs de guerre de la Russie avec ses alliés et les armements

Poutine ratifie l’accord sur le déploiement permanent des forces aériennes en Syrie Le président russe Vladimir Poutine a ratifié ce vendredi 14 octobre un accord sur le déploiement permanent des forces aériennes russes sur le territoire syrien.

La Russie tient sa promesse à l’Iran Moscou annonce avoir livré la totalité des S-300 à Téhéran

Le système russe S-300 en Turquie ? La Russie « peut envisager » la livraison d’un système de défense antiaérienne à la Turquie

« L’Amiral Kouznetsov » à Tartous « L’Amiral Kouznetsov » en route vers la Syrie Les médias syriens ont publié de nouvelles images sur le navire porte-avions de l’armée russe « l’Amiral Kouznetsov » qui est en route pour le port syrien de Tartous. Ce navire transporte le plus grand convoi militaire composé des Sukhoï 25, 23, des MiG-27 Ka, des hélicoptères Kamov Ka-52, Ka-29, Ka-27 ainsi que des centaines de containers d’armes et de lourdes munitions, de missiles de défense aérienne et sol-sol.

Russie: trois tirs d'essai de missiles balistiques intercontinentaux La Russie a annoncé mercredi avoir procédé avec succès à trois tirs d'essai de missiles balistiques intercontinentaux, alors que les tensions entre Moscou et Washington sur le dossier syrien se sont nettement aggravées ces derniers jours.

La Russie a créé un nouveau type d’arme révolutionnaire – de type énergétique Ce type d'armement est capable de réaliser une frappe sans contact direct, mais avec un faisceau d'énergie dirigée. En même temps, il ne s'agit pas de laser.

Des armes de nouvelle génération sans projectiles testées en Russie  Les chercheurs russes poursuivent leur travail sur les nouveaux types d’armes, à savoir des armes de laser et des canons à très hautes fréquences. Un nouveau type d’armements sans précédent capable de frapper des cibles sans recourir à des projectiles a été testé avec succès en Russie, a déclaré un porte-parole du concepteur, le Consortium unifié de construction d'instruments de précision (OPK) à l’agence Rossiya Segodnia.


La patrouille des «Preux russes» reçoit de nouveaux chasseurs Le groupe de haute voltige Russkie Vitiazi («Preux russes»), a reçu quatre nouveaux chasseurs polyvalents Su-30SM. Les appareils, assemblés à l'usine d'Irkoutsk, sont arrivés dans la région de Moscou après deux escales à Novossibirsk et à Oulianovsk. Il s'agit du second lot de chasseurs de ce type transmis au ministère russe de la Défense en 2016. Le premier Su-30SM a été mis en service au sein de l'aviation navale de la flotte de la mer Noire en septembre.

 


Les conditions de cessez-le-feu seront discutées aujourd’hui, samedi à Lausanne entre la Russie, les USA et les pays de la région de la Syrie. L’Europe a été exclue des discussions, mais Lavrov impose ses conditions

Lavrov énonce les conditions de la reprise de la trêve en Syrie Le sens des discussions de Lausanne est bien clair : « l'arrêt des violences en Syrie, la lutte contre les terroristes, la garantie de l'accès humanitaire vers tous les nécessiteux et le lancement sans délais d'un processus politique entre l'ensemble des groupes syriens que ce soit le gouvernement ou l'opposition et ce sans aucun préalable », a expliqué le ministre.

Lavrov : La condition principale pour reprendre les pourparlers sur la Syrie consiste à exécuter les résolutions du CS Moscou/Le ministre russe des AE, Sergueï Lavrov, a affirmé que la condition principale pour reprendre les pourparlers sur la Syrie consiste à exécuter les résolutions du Conseil de sécurité relatives au règlement de la crise dans ce pays. Dans des déclarations, rapportées par le site web de « Russia Today » et qu’il a données en commentant les prévisions de la Russie sur la rencontre de Lausanne qui se tiendra demain sur la crise en Syrie, Lavrov a fait savoir que les voies de travail sont tous claires et consistent à arrêter la violence en Syrie, à lutter contre les terroristes, à garantir l’accès des aides humanitaires à ceux qui en besoin et à lancer immédiatement un processus politique avec la participation de tous les courants syriens, y compris le gouvernement et l’opposition sans aucune condition préalable.

Lavrov n'attend rien de particulier de la rencontre à Lausanne Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, vient de déclarer qu’il n’attendait rien des prochaines discussions sur la Syrie à Lausanne. Selon Reuters, Lavrov a en effet déclaré dans un entretien accordé à des journalistes à Erevan que Moscou n’avait pas l’intention de proposer quelque chose de nouveau pour la Syrie au cours de la réunion de samedi. Lavrov et Kerry doivent tenir des pourparlers sur la Syrie, samedi à Lausanne. Devraient y assister aussi les ministres des Affaires étrangères de la Turquie, du Qatar et de l’Arabie saoudite.


Les déclarations d’Assad

Bachar el-Assad : la Syrie connaît déjà l’odeur de la troisième guerre mondiale  Dans une interview accordée au journal russe Komsomolskaïa Pravda, le président syrien a évoqué la crise syrienne qui déchire le pays depuis cinq ans, le terrorisme et la position de l’Occident à l’égard de Damas.

Baronne Cox : le peuple syrien ne souhaite pas de changement de régime Le résultat d'un renversement éventuel du président Bachar al-Asad serait «un désastre» car il mènerait à ce que les groupes liés à Daesh «reprennent le dessus», considère Caroline Cox, membre de la Chambre des Lords britannique.

Le président al-Assad à “Komsomolskaya Pravda” : La Russie, l’Iran et le Hezbollah sont venus en Syrie pour la soutenir dans la lutte antiterroriste


Les avancées de l’armée Syrienne

L’armée s’empare de nouvelles zones à Alep et dans la banlieue de Damas Gouvernorats/L’armée arabe syrienne, en collaboration avec les forces alliées, s’est emparée de la zone de Maqla’, des carrières d’Aweijah et de Qos Aweijah, selon une source militaire. Dans une déclaration à SANA, la source a indiqué que des unités de l’armée avaient éliminé plus de 42 terroristes et blessé 30 autres en visant leurs rassemblements dans les quartiers de Cheikh Saïd, Fardos et le projet de 1070 appartements à Alep. Ultérieurement, la source a ajouté qu’une unité de l’armée avait repris le contrôle de l’Ecole agricole, des Hangars, des usines, des Carrières et de Manacher, et abattu de nombreux terroristes aux environs nord de la ville d’Alep. Selon la source, les sapeurs avaient ratissé la zone précitée et désamorcé les engins explosifs plantés par les terroristes avant la neutralisation d’un certain nombre parmi eux et la fuite des autres.Dans la banlieue de Damas, l’armée a également repris le contrôle de toute la localité de Darkhabiyah à Ghouta ouest, après y avoir abattu de nombreux terroristes et détruit leurs armes et munitions. «Les sapeurs ont ratissé les entrées et les rues de la localité pour y désamorcer les engins explosifs que les terroristes avaient plantés pour entraver la progression de l’armée », a dit la source. Dans un autre contexte, la source a révélé que des unités de l’armée avaient détruit des canons, des blindés et un véhicule, doté d’une mitrailleuse, des terroristes, tué et blessé un certain nombre parmi eux dans le camp de Nazihine, dans le quartier d’al-Abbassiya et au sud-ouest du carrefour de Raba’y dans le quartier de Tariq al-Sad à Daraa al-Balad. Ultérieurement, la source a indiqué qu’une unité de l’armée avait détruit un trax qui appartenait aux terroristes et tué un certain nombre parmi eux au nord-est de la mosquée de Sultan à Daraa al-Mahatta. Pour sa part, le correspondant de SANA à Homs a fait noter qu’une unité de l’armée avait mené ce matin une opération de qualité contre les caches et les regroupements des terroristes du ”Front Nosra” dans le village de Saan Aswad au nord de Homs, détruit deux véhicules 4×4 et liquidé 12 terroristes au moins.”Dans cette opérations, le terroriste Mustapha Mohammad Omari, chef d’un groupe terroriste et 11 éléments de son groupe, ont été éliminés”, a précisé le correspondant.

 

Et enfin l’article de Veterans Today


US Suffers Massive Defeat as Terrorists Crushed in Northern Aleppo

Traduction Google Les US souffrent de la défaite massive des terroristes qui sont écrasés dans le nord d'Alep

 Syrian War Report – October 14, 2016: Northern Aleppo Falls Into Hands of Syrian Army

.. À partir de Southfront

L'armée syrienne et les Forces de défense nationale (FDN) tente de saisir Al-Sha'er Gas Fields d'ISIS dans la province de Homs relancé. Les forces gouvernementales ont pris d'assaut les positions ISIS sud-ouest des champs de gaz et a atteint ses portes. Les affrontements sont en cours dans la région.

Les forces pro-gouvernementales ont obtenu un succès notable dans le nord d'Alep. L'armée et Liwa al-Qods ont pris le contrôle de Talat Bureij, Majbal Al-Zatin, Tal Owayjah et Tal Al-Asfar. Le contrôle de ces croupes permet, les forces gouvernementales sont en mesure de défendre facilement les gains précédents dans le nord d'Alep, donnent sur les zones dans la partie nord de Haydariyah Quartier et préparer une poussée pour définir le contrôle de l'Ba'edin Roundabout. Dans le sud d'Alep, l'armée et le Hezbollah ont capturé la colline stratégique Sheikh Sa'id dans le Sheikh Sa'id Quartier.

Dans l'Ouest Ghouta, l'armée et le NDF a saisi le Bataillon base aérienne, située au sud-est de Der Khabiyah. Maintenant, les troupes gouvernementales sont déployées sur les flancs ouest et sud de Deir Khabiyeh contrôlées par Jabhat Fateh Al-Sham (anciennement Al-Nusra avant) et Ahrar Al-Sham.

Hier, Forces Tiger de l'armée et le NDF a pris le contrôle et défendu de contre-attaques terroristes de la ville de Ma'an dans le nord de Hama. Aujourd'hui, les Forces Tiger et le NDF avancent à l'ouest du village voisin de Kubbariyah dans une tentative pour atteindre Suran, situé à l'autoroute entre Hama et Alep. Si Suran est re-prise, la militante ville contrôlée de Ma'rades deviendra la prochaine cible de l'avance.

Samedi prochain en Suisse, la Russie, les États-Unis et les pouvoirs locaux sont discuterons de la situation militaire et politique en Syrie, afin de trouver la soi-disant "solution pacifique" du conflit. Très probablement, l'alliance russo-syrienne-iranienne ne sera pas prêt à faire quelques concessions aux «partenaires américains».

 

 

14/10/2016

Sarkozy à Assad : « On va mettre votre pays à feu et à sang ! »

A partager massivement !

REVELATION EXCLUSIVE : en 2008, lors d'une rencontre entre Nicolas Sarkozy et Bachar al-Assad concernant un projet de gazoduc, le président français, contrarié par son refus, aurait promis à Assad de « mettre son pays à feu et à sang ! »

Un an plus tard, des « révolutions populaires » éclataient en Syrie...


Dans le dernier numéro de Sécession (disponible ici), Julien Rochedy a livré une anecdote exclusive au sujet d’une rencontre, en 2008, entre Nicolas Sarkozy et Bachar al-Assad.

Source : ICI