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15/04/2010

Bilderberg 2010, en Catalogne début juin

Le 11 avril, dernier jour des négociations de Bonn sur le climat, Global Times diffuse une dépêche Xinhua rappelant les objectifs proposés par le négociateur chinois :

1. Aboutir à une quantification, pour l’ensemble des pays développés, des diminutions de l’émission de gaz d’effet de serre conformes à l’esprit du protocole de Kyoto.

2. Que les pays « développés » apportent leur aide aux pays « en voie de développement » dans les domaines financier et de transfert de technologie.

Le 11 avril également, le site Mecanopolis commente les déclarations récentes de l’actuel président du Conseil Européen, Herman Van Rompuy, à propos des « mesures impopulaires » qu’exigera inévitablement, de son point de vue, la situation économique des pays de l’Union Européenne (UE). Le rechauffement climatique deviendra-t-il un prétexte pour imposer de telles mesures au nom, notamment, d’une prétendue « urgence écologique » ? En tout état de cause, l’utilisation de la question du climat par les « élites occidentales » pour imposer une « gouvernance mondiale » sous leur contrôle paraît bien compromise, même si au moment de sa désignation Van Rompuy avait proclamé haut et fort la marche vers une « gouvernance mondiale » par le biais notamment du G20 et de la conférence de Copenhague sur le climat. Mais l’UE peut-elle donner des leçons au monde, si on pense par exemple à la situation catastrophique de la Grèce et, plus globalement, à la ruine économique des pays de l’Europe occidentale générée par trois décennies de délocalisations financières et industrielles ? C’est en Grèce, que s’était réuni le cercle de Bilderberg il y a un an. Cette année, son hôte semble être un autre Etat européen en situation critique : l’Espagne et, plus précisément, la localité de Sitges (Catalogne), du 3 au 6 juin d’après Jim Tucker.

bilderberg

Dans une dépêche d’American Free Press le journaliste James P. Tucker présenté ainsi le programme stratégique ou les attentes envisagés par le cercle de Bilderberg, qui se réunira à Sitges du 3 au 6 juin, un mois après la Commission Trilatérale dont la réunion est prévue à Dublin du 7 au 9 mai :

- La récession mondiale devrait durer, au moins, encore un an. Les « élites occidentales » devraient en profiter pour tenter d’imposer une gouvernance financière mondiale avec un véritable « Département du Trésor ». Tucker rappelle à ce sujet des propos tenus il y a deux semaines par Nicolas Sarkozy à l’Université de Columbia, réclamant notamment « un nouvel ordre monétaire mondial ». Dans la même intervention, Sarkozy a ouvertement assimilé l’ONU à un « gouvernement mondial ».

- Les Nations Unies devraient devenir un véritable gouvernement mondial, avec les Etats souverains actuels réduits au statut de simples références géographiques. L’Union Européenne devrait devenir un Etat à l’échelle continentale, et pareil pour des équivalents dans les autres continents.

Mais Tucker fait remarquer, sur ce dernier point, qu’à ce jour les tentatives des oligarchies pour imposer une « Union Américaine » se sont avérées vaines.

On pourrait ajouter à cette remarque une simple question : l’UE serait-elle une république ou une monarchie ?

Les puissances de l’Europe occidentale, qui à ce jour persistent à vouloir donner des leçons au monde, ont-elles réussi leurs propres révolutions bourgeoises ? Tel ne semble pas être le cas, à en juger par le nombre des monarchies qui règnent encore sur des pays « riches » du continent.

Et l’effondrement des économies des pays occidentaux, est-elle autre chose que le résultat de plus d’un siècle et demi d’exportation incessante de capitaux ? Des opérations au bénéfice d’intérêts privés, qui se sont soldées notamment par la guerre franco – allemande de 1870, suivie de la « grande expansion coloniale », de deux guerres mondiales et d’une politique systématique de délocalisations depuis les années 1980.

Les oligarchies « occidentales », qui ont répandu la guerre et ruiné leurs propres pays, paraissent très mal placées pour donner des leçons de « gouvernance » au monde entier. A fortiori, pour lui imposer une quelconque « gouvernance » par leurs soins.

Mais après avoir délocalisé capitaux et activités productives, que reste-t-il à vendre d’autre que la « gouvernance », la « gestion », le tant vanté « management », la « haute administration »… ? Les meubles, certes…

Pourtant, pas question d’autocritique ni de changement de politique. Le 9 avril, Le Monde faisait état de cette réponse de Van Rompuy à la question : « Quel est le plus grand danger qui menace l’Europe ? » : « C’est le populisme, qui génère le manque d’engagement européen. En tant que Belge, je suis bien placé pour en parler. Le populisme va à l’encontre du courage politique. (…) Quand je vois l’agenda, les réformes nécessaires, les défis budgétaires, on sera contraint de prendre des mesures impopulaires. On devra le faire, on n’aura pas le choix. »

Source : Collectif Indépendance des chercheurs

14/04/2010

Les Illuminati (v.e.v.d.i)

La société secrète des "illuminati"

 

Les Illuminati (v.e.v.d.i)

http://www.tagtele.com/videos/voir/16439/

 

29/03/2010

Attali met les choses au clair !!

Jérusalem, l'unique capitale mondiale et le siège du Nouvel Ordre Mondial pour attendre le Messie !

Ben voyons !

Peut-on savoir lequel  parce que le nôtre est déjà venu, il y a plus de 2000 ans !

Quand l'idéologie tue le monde !

C'est pour cela que le génocide des peuples s'opère depuis la nuit des temps ?

Celui que nous attendons en ce moment c'est l'Antéchrist qui arrivera justement avec le Nouvel Ordre Mondial.

VADE RETRO SATANAS !

Faudrait peut-être que nous canonisions JUDA pour lui fêter sa fête aussi peut-être ?

A quand l'unique religion mondiale M. Attali ? Sans laquelle le Nouvel Ordre Mondial ne pourrait pas exister ?


Etes-vous déjà d'accord avec tous les chefs religieux pour nous jouer la carte de l'illusion et le Projet Bleu Beam  ??


Attali met les choses au clair !!




 

Des arches de Noé pourquoi faire ?

Pourquoi tant d'arches de Noé pour nous faire consommer des OGM ?

C'est pour les esclaves de l'après 2012 ?


Biodiversité : L’arche de Noé agricole se remplit

Biodiversité : L'arche de Noé agricole se remplit - [News Of Tomorrow]


La chambre forte mondiale de graines de Svalbard en Norvège a dépassé les 500 000 échantillons, rapportent les instigateurs du projet financé par l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture.

Le principal objectif de cette banque de graines inaugurée en février 2008 est d'éviter toute pénurie de vivres qui pourrait conduire à une réduction de la diversité des cultures et à une baisse de la production alimentaire mondiale.

L'abri constitue en fait une réserve de secours dans le cas où les 1400 autres banques de semences végétales du monde seraient touchées par des catastrophes.

Ce bunker se trouve dans la montagne Plataberget situé dans l'archipel de Svalbard. Sa situation géographique lui donne un avantage, car le pergélisol de la région permet de bien conserver les dépôts de graines. De plus, l'activité tectonique dans cette zone est l'une des plus faibles de la planète.

L'endroit, divisé en trois chambres froides, permet de garantir la pérennité des principales variétés d'espèces agricoles si celles-ci venaient à disparaître dans leur milieu naturel. Le bunker offre une capacité de stockage qui peut contenir jusqu'à 4,5 millions d'échantillons de semences du monde entier.

Des graines du monde entier y sont entreposées, dont :

  • la tomate rose, une variété allemande rare transportée aux États-Unis, dans l'État de l'Iowa, en 1883, par un immigrant bavarois. Cet homme était le grand-père de l'un des fondateurs du Seed Savers Exchange, une organisation à but non lucratif qui a fourni plus de 400 échantillons de graines à la chambre forte.
  • une espèce de fraise qui pousse sur les flancs du volcan Atsonupuri, sur les îles Kourile, au large de la Russie, et à 150 kilomètres d'Hokkaido, au Japon
  • une espèce de haricot sauvage en provenance d'Amérique du Sud. Cette variété de haricot, appelée Phaseolus costaricensis, semble être résistante à la pourriture blanche, une maladie qui menace les variétés de haricots traditionnels.

L'agriculture en question

De récentes recherches sur les cultures montrent que la production de maïs en Afrique, par exemple, pourrait diminuer de 25 % ou plus d'ici 2030 en raison du réchauffement.

Cette situation pourrait mener l'Afrique à une instabilité alimentaire, qui pourrait déclencher à son tour une crise alimentaire à l'échelle mondiale.

Les experts pensent que les cultivateurs et agriculteurs doivent développer de nouvelles variétés résistantes à la sécheresse et à la chaleur sans plus tarder.

Radio-Canada.ca avec Cordis

Biodiversité : L'arche de Noé agricole se remplit | Environnement | Radio-Canada.ca

17/02/2010

Fin de partie pour les pays de l’Union européenne

Article placé le 10 fév 2010, par Mecanopolis

Addendum ajouté le 11 février

Les manipulations générales en faveur de l’établissement d’un nouvel ordre économique sont devenues si denses qu’elles s’étalent presque au grand jour. Pourtant, les véritables influences restent cachées, et les intentions ultimes ne peuvent qu’être assez difficilement soupçonnées, presque jamais comprises.

La crise financière aura permis de recapitaliser les banques avec l’argent public. Aujourd’hui ce sont ces mêmes institutions qui menacent de détruire les États qui les ont sauvées. Qui peut un instant croire encore que ces opérations de déstabilisation seraient dues à la seule irrationalité des marchés, et qu’elles n’obéissent pas, en premier lieu, à un agenda caché ?

euro

Chronologie de la crise en cours

C’est l’agence de notation Flitch Ratings, contrôlée par le holding français Fimalac, qui a été la première à dégrader la Grèce, en décembre dernier. Ce sont ensuite les dirigeants de la la Banque centrale européenne (BCE) qui ont mi le feu aux poudres, en annonçant « Si avant la fin de l’année la Grèce n’a pas retrouvé son niveau de notation qu’elle avait avant la crise, nous ne garantissons pas que la dette grecque puisse être refinancée par la BCE. Ce n’est d’ailleurs pas notre problème, mais celui de la Grèce seulement ».

Ensuite, comme plusieurs sources le confirment, c’est une grande banque américaine d’investissements et deux hedge funds (fonds de gestion spéculatifs) qui ont décidé de faire courir la panique sur les marchés. Ces « investisseurs » ont tout d’abord parié sur la baisse du prix des obligations émises par le trésor grec, portugais ou espagnol, puis, se sont précipités sur les produits dérivés qui permettent de s’assurer contre le risque de défaut de paiement d’un Etat ou d’une entreprise, appelés Credit Default Swap (lire notre article du 6 février).

Avant la réunion du G7, en fin de semaine dernière, Dominique Strauss-Kahn, le directeur général du FMI, a créé un nouvel effet panique en annonçant que « son institution était disponible pour voler au secours de la Grèce ».

Mensonges

Mais en réalité la faillite de la Grèce est impossible. Cela pour une raison simple, c’est qu’elle ne peut, du fait de son appartenance à la zone euro, se retrouver en manque de liquidités (en comparaison, quand l’Argentine à été en « faillite » en 2001 c’était parce qu’elle n’avait plus de devises en dollars pour financer ses importations). De plus, les traités européens prévoient que l’UE doit assister les États en cas de « menace sérieuse de graves difficultés ». Il est donc mensonger de prétendre que l’UE pourrait sacrifier la Grèce. La plupart des analystes admettent d’ailleurs qu’il s’agit d’une opération planifiée . En fait, la déstabilisation de la Grèce n’a pour but que de donner l’illusion que l’UE est engagée dans un bras de fer avec les spéculateurs, alors qu’il s’agit en réalité d’une « action concertée », comme l’indiquait le premier ministre grec la semaine dernière.

Les statuts de la BCE ne permettant pas d’émettre une dette publique, mais seulement de racheter ces dettes à travers les institutions bancaires privées, il ne sera donc pas possible pour l’UE de refinancer directement la Grèce et les autres pays en difficultés, dont l’état de délabrement demandera également un « plan de sauvetage » dans les semaines ou mois à venir. Dans l’immédiat, pour « couvrir » la Grèce, il va être nécessaire de créer un nouvel « organe » afin de mettre en commun une grande partie de la politique budgétaire européenne. La Grèce sera donc contrainte de faire d’autres concessions que celles des derniers jours, de sorte à ouvrir la voie des réformes sociales qui seront ensuite promulguées en Espagne, en Italie et au Portugal, pour commencer. L’idée centrale est d’utiliser cette crise des Etats afin contraindre au fédéralisme économique la majorité des pays membres qui s’y refusaient jusqu’ici.

L’homme de l’ombre

Le président du Conseil européen, Herman Van Rompuy avait évoqué, en novembre dernier, la création d’un « gouvernement économique » des 27 pays membres, de même que l’établissement d’un impôt européen. Le président de la Commission européenne José Manuel Barroso lui avait emboité le pas quelques jours plus tard, devant le parlement européen : « Je ne suis pas contre l’idée d’un impôt européen pour permettre à l’UE de bénéficier de ressources propres par rapport aux contributions des États. J’ai l’intention d’examiner toutes les questions de fiscalité dans l’Union européenne, nous devons passer en revue toutes les ressources (financières) de l’UE (…) Le programme sur lequel j’ai été élu dit qu’il faut examiner de possibles ressources propres ».

Le 11 novembre 2009, Mario Borghezio, membre italien du parlement européen, avait évoqué la possibilité que les candidats aux postes de président et ministre des Affaires étrangères de l’UE, comme Jan Peter Balkenende, David Miliband, Herman Van Rompuy parmi d’autres, pourraient être ceux des « groupes occultes » Bilderberg et Trilatérale et non simplement ceux des forces politiques des pays (voir cette vidéo du Parlement). Le lendemain, Herman Van Rompuy se rendait au Château de Val Duchesse pour une réunion du Groupe Bilderberg où il donna, dans un discours, sa vision quant à la gouvernance de l’Europe et la nécessité de centraliser les flux financier des États membres (faits rapportés par cet article du Times).

La mise en place de ce « gouvernement » n’aura pas pour but de sauver la Grèce, l’Espagne ou le Portugal, mais d’unifier les budgets des pays membre de l’UE afin de pouvoir disposer de leurs ressources, c’est à dire, pour être plus précis, de mettre fin à leur souveraineté économique. Les dispositions du Traité de Lisbonne, entré en vigueur le 1er décembre dernier, donne toute la marge de manœuvre nécessaire pour cela.

C’est dans une ambiance de crise qu’Herman Van Rompuy pourra donc se présenter en sauveur de la zone euro au sommet qui réunira les chefs d’État européens ce jeudi 11 février, à Bruxelles. Pourtant, les solutions qu’il préconisera n’auront en rien été décidées dans l’urgence, parce que des pays européens pourraient se retrouver en faillite. Il est en réalité préparé depuis plus de vingt ans par le président européen, ses complices et l’oligarchie financière qui l’a mis en place (voir le document pdf en fin d’article).

Bien entendu, ce gouvernement ne sera pas effectif au matin du 12 février. Pour faire plier les États et que les populations européennes acceptent d’être entièrement dominées par Bruxelles, ainsi que toutes les réformes nécessaires qui leurs seront imposées sous prétexte de relancer la zone euro (lire notre article du 2 février), il faut que la situation se dégrade encore. Mais le piège est d’ors et déjà en train de se refermer.

La démocratie européenne, qui était née en Grèce en 507 avant J.C., sera morte, en Grèce également, dans les premiers mois de l’année 2010.

Addendum, 11 février 2010

Joli numéro de passe-passe dans les coulisses de Bruxelles aujourd’hui. On pourrait presque penser que Sarkozy et Merkel veulent voler la vedette au président du Conseil von Rompuy. Ce serait oublier que cette crise des États trouve, d’une part, son origine dans le déclassement de la Grèce par l’agence de notation Flitch, propriété du groupe français Fimalac et que, d’autre part c’est la Deutsche Bank, en concertation avec la banque américaine Goldman Sachs, qui est à l’origine des spéculations sur l’euro, comme l’indique cette dépêche de l’AFP.(1) Il est donc difficile de ne pas admettre que ce sont toujours les mêmes qui sont aux commandes – où qu’il y a pour le moins collusion d’intérêts – et que l’on voudrait nous faire voir des divergences là où il n’y a que des complicités.

Reste que Sarkozy et Merkel ne vont en aucune manière venir réellement et directement en aide à la Grèce. Ils se limiteront à des déclarations d’intention, de sorte à calmer un peu les marchés et évacuer tout soupçons, en indiquant qu’ils se porteront garant de la Grèce si elle en venait à se trouver véritablement en faillite – ce qui est impossible, pour les raisons que nous avons déjà évoquées plus haut.

Ce n’est bien sur pas le genre d’élucubrations hystériques dont Sarkozy s’est fait le spécialiste qui doit retenir notre attention – il n’est que l’idiot utile d’un jeu qui n’est pas le sien – mais le plan que présentera Hermann von Rompuy ce soir, puis les premiers actes de validation lors de la rencontre des ministres des finances des pays de la zone euro avec Jean-Claude Junker, patron de l’Eurogroupe et ministre des finances luxembourgeois (et ancien directeur de la Banque Mondiale), lundi prochain.

1. Ce qui n’a pas empêché le patron de la Deutsche Bank, dont le cynisme laisse penser qu’il aime prendre les gens pour des imbéciles, d’indiquer : « La pression sur l’euro s’accroît. L’UE doit maintenant tout entreprendre pour stabiliser la Grèce et l’euro ». (source)

Mecanopolis

Télécharger Unification économique européenne