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21/05/2010

Et si DSK.....COM rachetait la France pour 100 Milliards d''euros ????

DSK, Sarko et le copinage sélectif

Et vous voulez voter pour DSK en 2012 ?

Texte libre de présentation sur le site :


Welcome on board,

"La propagande des médias aux ordres et la désinformation quotidienne de penseurs et pseudos philosophes, qui squattent les plateaux TV et ondes radiophoniques, ont triomphé de la lucidité des Français. Depuis hier, 16 mai 2007, le candidat du CAC 40, du MEDEF et des lobbies, est le président de la République. Sa victoire face à la candidate socialiste, Ségolène Royal, est nette ( sans bavures ???). La majorité des suffrages s'est portée sur son projet, celui d'une droite raciste et ultra-réactionnaire, ce n'est pas la présence de quelques Basanés à l'UMP ou dans le prochain gouvernement, voire les ralliements opportunistes de centristes et d'apparentés socialistes, qui démontrera le contraire. En criant aux loups et en sous-tendant qu'il existait des ennemis de l'intérieur, ceux là qui demandent la "repentance" de la France, comme l'ont suggéré le candidat de la peur et ses amis "intellectuels", les électeurs ont voté sans discernement pour un projet de société néoconservateur. On sait ce qu'il adviendra très bientôt. En clair, comme l'a rappelé le slogan choc de la campagne électorale, "Ensemble tout est possible". Oui, tout est possible, mais sans nous, c'est à dire une grande minorité ( 47%) qui croit en une société plus "juste" et plus "forte", fière de son identité "multiraciale", qui n'a pas honte de reconnaître toute son Histoire, celle qui est à la fois estimable et condamnable.

Ce n'est qu'à ce prix là que la France se réalisera et évitera de culpabiliser ceux des siens qui ne croient ni au mythe d'une grand ancêtre Gaulois commun, ni aux bienfaits de la colonisation, encore moins aux fables d'un historien de pacotille sorti de la botte d'un journaliste cumulard et chef de la propagande sur l'unicité de l'Histoire ( pas la sienne, bien entendu).


Enfin, le nouvel occupant du château de l'Elysée n'empêchera pas au monde de tourner, même si l'on s'attend à subir, plus que jamais, ses coups de pression et autres intimidations. Il faut l'accepter, c'est le peuple qui l'a souhaité majoritairement ( 53%), mais regrettera très bientôt son choix à courte vue. En attendant la CENSURE promise par le monarque en puissance, au nom de la protection des "petits intérêts" d'une oligarchie de la finance et de lobbies politico-mafieux, vous pouvez continuer à vous exprimer ou visiter cet espace de liberté sans concession. Putain 5 ans !"



Jeudi 20 mai 2010 4 20 /05 /2010 18:37


La France est décidément dans de très sales draps. La propagande médiatico-sondagière pourra toujours enfumer les cerveaux disponibles, c'est à dire les Français qui regardent le JT de TF1, cela n'empêchera pas de dire qu'un duel présidentiel en 2012 entre Dominique Strauss Kahn, le bourreau du peuple grec, et l'accident électoral du 06 mai 2007 constituerait un HOLD UP mortel et la liquidation de la République. Et le hasard du calendrier politique devrait, espérons le, réveiller tous ceux qui sont victimes de l'opération de lobotomisation massive entreprise par les communicants respectifs du " messie du FMI" et du gesticulateur de l'Elysée. Jugez plutôt.


Premièrement, après avoir triplé les déficits des comptes publics, augmenté son salaire de  110%, acheté un avion " Air Sarko one", dévalisé les contribuables au profit de la bande du Fouquet's, mis la France au bord de la banqueroute, Nicolas Sarkozy se fait le chantre de la bonne gouvernance, après avoir été celui de la lutte contre l'insécurité, la protection de la nature et la refonte du capitalisme.
Désormais, il envisage de modifier la Constitution pour obliger le gouvernement à s'engager sur "une trajectoire" pour réduire les déficits, pour cinq ans. "Le redressement des finances publiques ne doit pas être l'engagement d'un gouvernement mais de la Nation. [...] C'est pourquoi je souhaite la mise en oeuvre d'une réforme constitutionnelle". Et de proposer le "le gel" des fonds versés aux collectivités locales.

En clair,il s'imagine remporter la prochaine présidentielle en dissimulant ses turpitudes derrière une rigueur qui ne veut pas dire son nom. Pire, il se livre à une opération de politique de caniveau en faisant croire que les collectivités territoriales sont responsables du bilan catastrophique de la droite. Pitoyable !

Martin Malvy accuse Nicolas Sarkozy d'entretenir "depuis des mois l'ambiguïté en mettant les collectivités locales en cause pour leur gestion". Et d'ajouter que la conférence de jeudi est "un simulacre de dialogue sur un problème dont nous ne portons ni l'origine ni la solution". Car "les 36 000 communes, les 100 départements, et les 26 régions n'atteignent pas, toutes ensemble, le seuil de 10 % de la dette nationale", écrit-il. "Elles sont toutes à l'équilibre. Aucune n'est en déficit. Elles portent 75% de l'investissement public", conclu t-il.

Cet dire si le guide suprême de l'UMP prend réellement les Français pour des CONS.
Deuxièmement, alors que les grecs dénoncent unanimement la politique prédatrice du FMI, Dominique Strauss Kahn, lui, se félicite de son " plan de rigueur", et s'offre même un passage dans l'émission " A vous de juger", France 2,  en prime-time, après son dernier passage du 28 mars 2009, SVP ! ( vidéo n° 3)

A quel titre y est-il invité ? N'a t-il pas assez de travail pour s'offrir des heures supplémentaires de confession cathodique en France ? Qu'a t-il donc d'intéressant à dire au point que France 2 lui consacre une soirée ?

Rien, si ce n'est que DSK et sa clique intoxiquent les Français à coups de manipulations diverses pour s'imposer comme " candidat naturel" de la gauche pour 2012. Comme l'a affirmé justement Malek Boutih: "Les enfants gâtés de Mitterrand veulent faire main basse sur le PS"

C'est  peu de dire que l'homme du FMI n'a rien à envier à celui qui l'a aidé à se refaire une santé à New York.( vidéo n°4) Comme quoi, qui s'assemble se ressemble, ce pour le plus grand malheur de la France. Pour enfoncer le clou, histoire de se moquer un peu plus des Français, et si Dominique Strauss...COM signait un chèque de 100 milliards d'euros pour racheter la France ? Au moins, ça éviterait que son jumeau saigne encore plus un peuple déboussolé et ruiné par 3 ans de gesticulations irresponsables et sudoripares.

Allez, Dominique sors ton carnet de chèque FMI, le peuple t'attend tel un messie !
A2N





DSK en route vers le nouvel ordre mondial !

Si vous voulez l'instauration du Nouvel Ordre Mondial, voici après Sarkozy, le candidat rêvé pour 2012 !

DSK en route vers le nouvel ordre mondial !






La crise européenne menace l'économie US, selon la Fed : On va se mettre à pleurer pour la FED !

WASHINGTON (Reuters) - La crise de la dette européenne constitue un risque "potentiellement important" pour la reprise économique américaine car elle menace les marchés de crédit et le commerce mondial, a estimé jeudi Daniel Tarullo, un des gouverneurs de la Réserve fédérale.

Pour ce responsable de la Fed, si la crise de la dette européenne n'est pas contenue, cela pourrait entraîner un gel des marchés financiers et provoquer une crise mondiale semblable à celle de la fin de 2008.

Jusqu'à la semaine dernière, les représentants de la banque centrale américaine avaient minimisé les effets potentiels des difficultés européennes sur l'économie américaine.

"Les problèmes européens de dette souveraine sont un contretemps potentiellement important", a déclaré Daniel Tarullo selon le texte d'un témoignage destiné à deux sous-commissions parlementaires.

L'intervention de ce gouverneur intervient alors que les marchés financiers internationaux sont plombés par la confusion et le manque d'unité affichés par les dirigeants politiques européens pour régler leurs difficultés.

"Les investisseurs sont conscients que ce plan ne peut pas supprimer en fin de compte la nécessité de véritables, et probablement douloureuses, réformes budgétaires dans la zone euro", estime Daniel Tarullo en référence au plan de stabilisation de 750 milliards d'euros mis en place par l'Union européenne avec l'aide du Fonds monétaire international (FMI).

RISQUE DE PERTES ACCRUES POUR LES BANQUES US

"Si les problèmes des Etats périphériques européens s'étendent jusqu'à créer de nouvelles difficultés au sein de l'Europe, les banques américaines seront confrontées à des pertes accrues sur leur exposition d'ensemble au crédit qui est très importante", a-t-il prévenu.

"En plus d'occasionner des pertes directes aux institutions américaines, un accroissement des tensions financières en Europe pourrait se transmettre aux marchés financiers à travers le monde."

Dans une certaine mesure, les marchés financiers montrent déjà des signes de tension accrue, étayant l'idée d'un maintien des taux d'intérêt américains, proches de zéro, jusqu'à l'année prochaine.

La reprise de l'économie américaine pourrait être menacée par une réduction des échanges internationaux si les perspectives européennes se détériorent, a prévenu Daniel Tarullo.

Ted Truman, ancien responsable au Trésor américain et qui doit témoigner devant une sous-commission du Congrès après Daniel Tarullo, juge la menace très réelle.

"Le risque est que la situation européenne devienne incontrôlable, se répande à travers l'Europe au-delà de la Grèce, replonge l'Europe en récession et cause de nouveaux dommages à l'économie américaine et mondiale ainsi qu'au système financier", estime-t-il selon le texte de son témoignage.

Alexandre Boksenbaum-Granier pour le service français, édité par Danielle Rouquié

http://www.lemonde.fr/depeches/2010/05/20/la-crise-europe...

 

20/05/2010

La fraternité de la mort

"Comme vous le savez, de nos jours, des groupes satanistes ou lucifériens (idem) gouvernent le monde : Théosophes, Rose-Croix, Illuminés, francs-maçons de hauts grades et autres sectes et clubs avec leurs énormes pouvoir financier et industriel...


Peut être difficile à croire, mais c'est un fait.
Une secte peu connue, l'ordre des Skull & Bones, surnommée aussi "Fraternité de la mort", est l'une des plus puissante d'amérique... et du monde.


Issue de l'ordre des Illuminés de Bavière - Adam Weishaupt - , cette secte, dont la loge mère, ou "loge noire", se trouve à l'université de Yale, "sélectionne" des fils de la haute société protestante et israélite américaine (WASP).


Les membres sont recrutés au sein des plus grandes universités américaines, et définitivement sélectionnés au cours de rituels sataniques dans la loge mère, ou "loge noire", à Yale, portant le numéro 322."

La suite ici : http://www.barruel.com/fraternite-de-la-mort.htm

 

 

 

L’euro chute. La Suisse tire la sonnette d'alarme

L'événement | Pour la première fois depuis des mois, la BNS change de discours et reconnaît les dangers d’un euro faible. - Hier, l’euro a plongé à 1,23 dollar, au plus bas depuis quatre ans. Le franc confirme son rôle de valeur refuge. - Pourtant avantagés, les Helvètes ne se ruent pas en Europe pour réserver leurs vacances ou y faire leurs emplettes.

© Keystone | Philipp Hildebrand


PIERRE-YVES FREI | 18.05.2010 | 00:00

Même si le chef des ministres des Finances européen, le Luxembourgeois Jean-Claude Juncker, déclarait hier qu’il ne s’inquiétait pas de l’érosion de la monnaie européenne, on ne peut nier qu’il y a le feu dans la maison euro. Et ce ne sont pas les nombreux appels européens à la lutte contre les spéculateurs qui régleront la question, celle des déficits abyssaux et des dettes grandissantes.

Quelles conséquences pour la Suisse?
Hier soir et pour la première fois, le président de la Banque nationale suisse (BNS), Philipp Hildebrand, n’a pas caché sa forte préoccupation face à la chute ininterrompue de l’euro et surtout face à l’appréciation du franc. «La fuite de l’euro, a-t-il affirmé hier soir à Zurich, conduit à une pression à la hausse sur le franc, mettant ainsi en danger la stabilité des prix et la reprise économique en Suisse.» L’économie suisse, a encore rappelé Philipp Hildebrand, est en effet fortement dépendante de ses exportations (près des deux tiers dans la zone euro). «Cette situation, a-t-il ajouté, est donc inquiétante pour notre pays, car nous ne pouvons pas influencer directement les événements en Europe.» La BNS a pourtant tout tenté pour maintenir l’euro à 1,50 franc; elle est dès lors intervenue à moult reprises sur les marchés des devises, en achetant des milliards d’euros, ce qui a permis de stabiliser la monnaie helvétique autour de 1,40 franc pour un euro, la marque la plus «tolérable» pour notre Banque centrale et notre économie. Parallèlement, le secteur d’exportation suisse, qui dépend passablement de la zone euro, peut légitimement s’inquiéter du train de mesures d’austérité annoncé par ses voisins, puisqu’il pourrait compromettre la croissance et donc les intentions d’achat pour des produits helvétiques. Il faut pourtant relativiser ce danger. L’érosion de l’euro est plutôt une bonne chose pour la croissance allemande. Or, l’Allemagne reste le principal partenaire commercial de la Suisse.

Pourquoi l’euro chute-t-il?
Deux mécanismes semblent se combiner. Premièrement, certains investisseurs, sur le marché des devises, vendent de l’euro pour acheter des monnaies refuge comme le dollar, la couronne norvégienne ou le franc. D’autre part, des acteurs vendent des actions libellées en euros pour leur préférer des titres basés sur d’autres monnaies. Ce faisant ils «vendent» des euros et «achètent» d’autres devises.

Pourquoi les Bourses ont-elles tant baissé?
Si les marchés européens ont joué hier au yo-yo pour livrer un tableau contrasté de hausses et de baisses, la défiance semble de mise. Celle-ci s’explique moins par un manque de confiance dans le plan de stabilisation de 750 milliards d’euros que par la soudaine peur que les cures d’austérité décidées par les pays de l’eurozone ne minent au final tout espoir de reprise économique. «C’est très similaire à ce que l’on a pu observer après l’annonce des grands plans de sauvetage bancaire en 2008 et 2009, explique Michel Juvet, économiste à la banque Bordier. D’abord les marchés se sont réjouis avant de douter. Personnellement, je crois que c’est un manque de confiance passager des investisseurs sur les marchés actions.» En effet, sur le marché obligataire, les tensions sont moins nettes. Les écarts entre les taux allemands et grecs se sont resserrés depuis l’annonce du plan de stabilisation, ce qui est bon signe.

La chute de l’euro est-elle inquiétante?
Les pays de l’eurogroupe peuvent même s’en réjouir puisque cette baisse rend les produits européens plus compétitifs. «C’est particulièrement avantageux pour une économie comme l’Allemagne qui est grandement tournée vers l’extérieur», explique Michel Juvet de la banque Bordier. Un avantage qui vaut aussi pour l’Espagne, très compétitive au début des années 2000, mais qui, parallèlement à son boom économique, a vu son indice des prix bondir de 35% entre 2000 et 2008, ce qui a abouti à une perte de compétitivité de ses produits.

L’eurozone peut-elle éclater?
Nul ne peut obliger un pays à sortir de l’euro. Les pays fragilisés, comme la Grèce, n’ont aucune raison de faire le pas. Leur monnaie serait faible et comme leur dette est libellée en euro, leur charge ne ferait que s’aggraver. Un seul pays aurait la force de sortir de l’euro, c’est l’Allemagne. «Mais si elle revenait au mark, sa monnaie s’apprécierait fortement contre l’euro, explique le professeur genevois d’économie Charles Wyplosz. Ce serait catastrophique pour son secteur d’exportation.» En outre, en sortant de la zone euro, c’est le projet européen lui-même qu’elle menacerait.

L’Europe peut-elle restaurer la confiance?
Avant toute chose, elle doit mettre en application le plan de 750 milliards d’euros. C’est essentiellement la constitution du Fonds monétaire européen doté de 440 milliards et garanti par les pays de l’eurozone et certains volontaires (la Suède, par exemple). En outre, et c’est désormais l’objectif de l’eurogroupe, elle doit passer régulièrement au crible les finances publiques de tous les membres et futurs candidats à l’euro pour éviter de mauvaises surprises «à la grecque». «Mais je doute que l’on aille vers un transfert accru de compétences des Etats vers l’Union, estime l’économiste Charles Wyplosz. Les premiers tiennent trop à leur souveraineté budgétaire. Aucun plan de stabilité n’a jamais fonctionné. Il en ira de même avec celui-ci et l’euro restera bancal.»

Pour les vacanciers suisses, la baisse de l’euro est une heureuse surprise

- Un euro aux alentours de 1 fr. 40 – contre encore 1 fr. 50 en décembre dernier –, jamais le franc n’a valu aussi cher face à la devise européenne. De quoi doper la consommation et les voyages des Suisses chez les voisins européens? Pour l’heure, point de ruée dans les pays de la zone euro, constatent les principaux voyagistes.

- Ainsi, chez Kuoni, on se réjouit d’une saison estivale qui s’annonce sous de bien meilleurs auspices que l’été dernier. Mais pas en raison de la faiblesse de l’euro puisque cette embellie concerne toutes les destinations. «C’est principalement l’amélioration de la conjoncture économique qui incite les gens à s’offrir à nouveau des vacances, d’autant que certains ont dû y renoncer en 2009», note Peter Brun, son porte-parole. Sans compter l’attractivité des forfaits, en baisse jusqu’à –15%, précise-t-il. Pour ce dernier, le taux de change favorable au franc s’avère, certes, une heureuse surprise lorsqu’il s’agit de faire du shopping ou de payer une facture de restaurant à Paris ou à Berlin, mais ne se révèle pas pour autant un critère décisif de choix de destination.

- Un avis que partage Valentin Handschin, chargé de communication chez Hotelplan, qui ne remarque aucun afflux sur les réservations en Europe. «Les clients ne réagissent jamais si rapidement aux effets de change, déclare-t-il. L’offre de vol et d’hôtel reste déterminante.» Cet été, les Suisses semblent opter pour la Turquie, la Tunisie, Cuba, les Maldives, les Etats-Unis ou le Canada, ajoute Valentin Handschin.

- Quant au tourisme d’achat, il ne semble pas non plus connaître de boom notable. Il y a quelques semaines, Hansueli Loosli, le patron de Coop, minimisait l’impact du franc fort, constatant un «léger recul» dans certaines filiales proches des frontières – plus notable en Suisse alémanique qu’en Suisse romande – mais ceci de manière bien moindre que dans le passé. Même son de cloche chez Migros France, qui n’a pas observé de rush de la clientèle genevoise dans ses magasins, même si le volume des ventes a quelque peu grossi ces dernières semaines.
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LA TRIBUNE DE GENEVE