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01/05/2017

Le Macron que toute la presse nous cache

Le Macron que toute la presse nous cache 

Toute la presse nous cache délibérément les turpitudes du candidat Macron. TV Libertés, la chaîne TV dissidente, nous réinforme.

 

 

 

 

 

Avertissement sino-russe: notre première riposte à une attaque nucléaire causerait la mort de 70 millions de personnes en Occident et en 6 heures

Tout est prêt depuis le mois de février 2014 pour aller attaquer la Russie à partir des 27 pays européens affiliés à l'OTAN qui sont devenus la base militaire avancée des US/Sionistes, aux portes de la Russie. Nous sommes actuellement dans la même configuration que celle qu'a connu la Révolution Bolchevique et ils n'attendent plus que MACRON soit élu pour lancer les hostilités contre la Russie ! 

Tant que la France et les 27 pays de l'UE seront les alliés militaires des USA et de l'OTAN, c'est-à-dire, les alliés des BANKSTERS de la Mafia KHAZARE de ROTHSCHILD,  les pays et les peuples européens seront exposés à devoir subir les retombées dévastatrices d'une guerre nucléaire contre la Russie ! Nous avons donc intérêt à faire BARRAGE à MACRON !

 

Avertissement sino-russe: notre première riposte à une attaque nucléaire causerait la mort de 70 millions de personnes en Occident et en 6 heures

 dimanche 30 avril 2017

Un sombre rapport du ministère de la Défense (MoD) russe, circulant dans le Kremlin le 27/04/2017, indique que le haut commandement des forces de l'aérospatiale russe (HCAF) et de la Commission militaire centrale de Chine (CMP) sont parvenus à un accord sur la liste des cibles de la première frappe (nucléaire) contre l'Occident après que des preuves ont été révélées que les États-Unis se préparent secrètement à une attaque nucléaire surprise contre la Chine et/ou contre Moscou.

Selon ce rapport, les chefs militaires russes et chinois ont commencé une série de réunions au Kremlin à partir de mercredi (26 Avril) après qu’une confirmation ait été reçue que les États-Unis déploient leur bouclier antimissile THAAD en Corée et du Sud, et que le majorgénéral Cai Jun de l’état major du ministère de la Commission militaire centrale de Chine ait mis en garde à ce sujet en déclarant: «la Chine et la Russie prendront des mesures supplémentaires pour contrer cela et pour sauvegarder leurs intérêts de sécurité et l’équilibre stratégique régional de la Chine et de la Russie. »



 The THAAD anti-missile defence system is deployed in South Korea
THAAD déployés en Corée du Sud

 

De même, le lieutenant-général Viktor Poznikhir, chef adjoint du département opérationnel de l'état-major russe, a ajouté que ce bouclier antimissile américain visait la Russie et la Chine et présente une menace sérieuse pour la sécurité nationale de Moscou car il permettrait aux États-Unis de lancer une attaque nucléaire surprise contre la Russie. Celle-ci a, en outre, averti: « la présence des bases de défense antimissile des États-Unis en Europe, et des navires de défense antimissile dans les mers et les océans proches de la Russie, créent un élément de frappes nucléaires puissantes contre la Fédération de Russie ».

Les résultats de la simulation informatique, faite par les experts militaires russes, confirment que la défense antimissile est dirigée contre la Russie et la Chine, a déclaré Poznikhir.

« Les représentants russes ont souvent fait appel à la partie américaine, attirant leur attention sur le danger que le système global de défense antimissile fait peser sur l'équilibre stratégique des forces dans le monde. Mais ces faits sont ignorés. Les États-Unis affirment que leur système de défense antimissile n’est pas dirigée contre la Russie et la Chine. Mais ... les résultats des simulations informatiques témoignent du contraire », a-t-il dit. « En ce moment-particulier, la garantie la plus fiable de la paix est notre capacité à fournir les réponses les plus dures possibles à toute agression envisageable. ». 

 

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Poutine : La Russie est prête à riposter à toute éventualité


Rappelons ici  quelles étaient les cibles prioritaires de frappes nucléaires des États-Unis en cas de conflit avec le bloc de l'Est à la fin des années 1950. Le National Security Archive de la George Washington University a en effet obtenu des archives américaines une liste de cibles de plusieurs centaines de pages, établie en 1956 et qui révèle des détails «glaçants»:


«Les cibles prioritaires retenues et les bombardements nucléaires tactiques auraient exposé les civils à proximité [...] à de hauts niveaux de retombées atomiques. De plus, les auteurs avaient développé un plan de "destruction systématique" de cibles industrielles urbaines au sein du bloc de l'Est qui ciblait spécifiquement et explicitement la "population" de toutes les villes, y compris Pékin, Moscou, Léningrad [aujourd'hui Saint-Pétersbourg, ndlr]. »Parmi les 1.100 cibles listées, les deux sites militaires prioritaires étaient les bases aériennes russes de Bykhaw et Orcha, en Biélorussie. Parmi les cibles civiles, les deux villes prioritaires étaient Moscou et Léningrad, avec 179 sites ciblés dans la première ville et 145 dans la seconde, baptisés designated Ground Zeros (DGZ).

Avec les incitations à la guerre contre la Russie, qui montent dans l'Ouest, sans preuve tangible présentée pour toute allégation, Franz Klintsevich, le premier vice-président du comité du Conseil de la Fédération pour la défense et la sécurité, a mis en garde ces dirigeants occidentaux que leur rhétorique militariste-russophobe doit cesser avant que cette guerre inimaginable ne commence.


Le parlementaire russe Frants Klintsevich, qui a récemment critiqué les remarques du ministre britannique de la Défense, Michael Fallon, sur l'utilisation des armes nucléaires (nukes) dans une première frappe contre la Russie dans « les circonstances les plus extrêmes », a envoyé un dur avertissement aux États-Unis en cas d'agression.


La Russie sera en mesure de fournir une réponse adaptée à une frappe nucléaire des États-Unis
, a déclaré Frants Klintsevich.

Ayant échoué dans leurs tactiques de guerre économique contre la Russie, avec les rapports des Nations Unies montrant que les sanctions occidentales contre la Russie ont coûté aux États-Unis et à l'UE plus de 100 milliards $, alors que la Fédération a seulement perdu 50 milliards $, et qu’en même temps, la Russie a été en mesure de créer le « Miracle de la Russie », la « première frappe » sino-russe n’a pas été militaire, mais financière. Elle a été lancée la semaine dernière contre le dollar US, ce qui a exaspéré les élites occidentales.

 

Les appels de l'Occident pour la guerre totale contre la Russie et la Chine sont donc dus au fait que les économies occidentales sont prises dans une spirale de la mort, à cause d’une dette inimaginable que les Occidentaux ne peuvent pas payer. Comme la Russie et la Chine sont en train de se détacher du système du pétrodollar, en se fondant sur les monnaies soutenues par l'or, les États-Unis et l'UE vont sûrement s'effondrer en raison du fait que l'Amérique ne sera plus en mesure de financer sa puissance militaire.


VOIR AUSSI :

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Poutine convoque le "Saint Conseil de la Guerre" car les menaces américaines s'intensifient

Sirènes hurlantes, la Russie se réveille à l'alerte de combat total. L'OTAN commence à se fissurer

 

 

Hannibal GENSERIC

30/04/2017

Ne votez pas pour l’extrême-droite, oui mais laquelle ?

Ne votez pas pour l’extrême-droite, oui mais laquelle ?

« Ne votez pas pour l’extrême-droite.

Le Salon Beige a décidé, après un grand débat au sein du comité de rédaction, de se joindre à tous ceux qui appellent à résister à l’extrême-droite, contre le retour aux heures les plus sombres de notre histoire. Voyez plutôt : 

 

(cliquer sur l’image pour l’agrandir) 

extreme-droite-en-marche1.jpg

Le Salon Beige, le 28 avril 2017 (via Le Blog à Lupus)

 

 (cliquer sur l’image pour l’agrandir)  

fascisme-moderne.jpg

 

 

 (cliquer sur l’image pour l’agrandir)  

test-presidentielles.jpg

 

Jospin avoue que "l'antifascisme n'était que du théâtre".

 

Etienne Chouard sur l'extrême droite et le fascisme

 

 

 

Zemmour: La plupart des collabos étaient de gauche pendant la seconde guerre en France 

 

 

 

La France a perdu une bataille ! Mais la France n'a pas perdu la guerre ! Général Charles De GAULLE

Allez DEBOUT les Français, faisons BARRAGE à MACRON et aux BANKTERS apatrides, de la MAFIA KHAZARE des ROTHSCHILD !

FAISONS HONNEUR A LA FRANCE EN LEUR FAISANT UNE BELLE QUENELLE, dimanche prochain en virant tous ces apatrides, adeptes de la Secte Judéo-maçonnique qui détruisent la France depuis près de 300 ans et 27 pays européens dans l'objectif de nous mener à la guerre et à la ruine, sur lesquelles, ils pourront encore s'enrichir !  

SOYONS EN EXEMPLE POUR PERMETTRE AUX 27 PAYS EUROPÉENS DE SE LIBÉRER DU NAZISME DES BANKSTERS ! 

 

Rappel d'une autre '' croisée des chemins''

En souvenir de Charles de Gaulle, Jeanne Hachette, Charles Martel, Sainte Geneviève, Jeanne d'arc... Et tant d'autres... 

 


La France a perdu une bataille ! Mais la France n'a pas perdu la guerre !


Auteur : Général Charles de Gaulle (22 novembre 1890 - 9 novembre 1970)


Date : juillet 1940 à Londres


Ecouter le discours du 22 juin 1940 au format mp3 (2 min 20 sec)


Contexte historique :

Ces phrases ne font pas partie de l'Appel du 18 juin 1940 lancé depuis Londres par le général de Gaulle, mais elles en résument le sens.

Après les défaites françaises sur la Somme et l'évacuation de la capitale, le commandant en chef français Weygand demande l'armistice le 13 juin 1940, appuyé par le maréchal Pétain. Le 15 juin à Bordeaux, où les dignitaires se sont réfugiés, le président du conseil Paul Reynaud propose au contraire la capitulation de l'armée mais le repli du gouvernement hors de métropole pour continuer le combat auprès de l'Angleterre. Devant le refus des défaitistes, Reynaud démissionne dans la soirée du 16 juin, et il est immédiatement remplacé par le maréchal Pétain, qui fera signer l'armistice à Rethondes le 22 juin 1940, dans l'ancien wagon du Maréchal Foch utilisé lors de la signature de l'armistice du 11 novembre 1918.

Sous-secrétaire d'état à la défense nationale, le général de brigade à titre temporaire Charles de Gaulle décide de continuer la lutte et s'envole pour Londres le 17 juin. Le jour-même, il rencontre au 10 Downing Street le premier ministre britannique Winston Churchill, qui lui offre les micros de la BBC pour secouer le peuple français.

Le premier message est lancé le lendemain 18 juin 1940 à 22 heures dans le studio 4C de la BBC, à Oxford Circus. Après l'ouverture de l'antenne par le speaker français Maurice Thierry ("Ici Londres, la BBC parle à la France"), le général de Gaulle prononce le discours suivant :

"Les chefs qui, depuis de nombreuses années, sont à la tête des armées françaises ont formé un gouvernement. Ce gouvernement, alléguant la défaite de nos armées, s'est mis en rapport avec l'ennemi pour cesser le combat.

Certes, nous avons été, nous sommes, submergés par la force mécanique, terrestre et aérienne, de l'ennemi.

Infiniment plus que leur nombre, ce sont les chars, les avions, la tactique des Allemands qui nous font reculer. Ce sont les chars, les avions, la tactique des Allemands qui ont surpris nos chefs au point de les amener là où ils en sont aujourd'hui.

Mais le dernier mot est-il dit ? L'espérance doit-elle disparaître ? La défaite est-elle définitive ? Non !

Croyez-moi, moi qui vous parle en connaissance de cause et vous dis que rien n'est perdu pour la France. Les mêmes moyens qui nous ont vaincus peuvent faire venir un jour la victoire.

Car la France n'est pas seule ! Elle n'est pas seule ! Elle n'est pas seule ! Elle a un vaste Empire derrière elle. Elle peut faire bloc avec l'Empire britannique qui tient la mer et continue la lutte. Elle peut, comme l'Angleterre, utiliser sans limites l'immense industrie des États-Unis.

Cette guerre n'est pas limitée au territoire malheureux de notre pays. Cette guerre n'est pas tranchée par la bataille de France. Cette guerre est une guerre mondiale. Toutes les fautes, tous les retards, toutes les souffrances, n'empêchent pas qu'il y a, dans l'univers, tous les moyens nécessaires pour écraser un jour nos ennemis. Foudroyés aujourd'hui par la force mécanique, nous pourrons vaincre dans l'avenir par une force mécanique supérieure. Le destin du monde est là.

Moi, Général de Gaulle, actuellement à Londres, j'invite les officiers et les soldats français qui se trouvent en territoire britannique ou qui viendraient à s'y trouver, avec leurs armes ou sans leurs armes, j'invite les ingénieurs et les ouvriers spécialistes des industries d'armement qui se trouvent en territoire britannique ou qui viendraient à s'y trouver, à se mettre en rapport avec moi.

Quoi qu'il arrive, la flamme de la résistance française ne doit pas s'éteindre et ne s'éteindra pas.

Demain comme aujourd'hui, je parlerai à la radio de Londres".


Les deux premières phrases du discours ont été coupées à l'antenne et remplacées par celles-ci, jugées plus consensuelles par les Anglais :

"Le gouvernement français a demandé à l'ennemi à quelles conditions pourrait cesser le combat. Il a déclaré que, si ces conditions étaient contraires à l'honneur, la lutte devrait continuer."


Affiche

Comme on le voit, la célèbre citation mise en exergue ici n'a pas été prononcée dans l'Appel du 18 juin, ni dans ceux qui suivront les jours suivants. Elle est en fait issue d'une affiche qui sera placardée fin juillet sur les murs de Londres et dont voici un fac-simile :

Il faut souligner que le général de Gaulle se serait inspiré d'un discours du ministre de l'information britannique Duff Cooper prononcé le 28 mai 1940 et publié dans le Times du lendemain :

"Even if the Allies lost this battle, we should not have lost the war" ("même si les Alliés ont perdu cette bataille, nous n'avons pas perdu la guerre"). 


 

 

Le gouvernement américain pourrait-il s’arrêter ce week-end ou le 5 mai 2017 ?

Le gouvernement américain pourrait-il s’arrêter ce week-end ?

Par Aude Massiot

 
 
C'est au Capitole, siège du Congrès à Washington, que la bataille sur le «shutdown» se joue. Photo Jim Watson. AFP

La Chambre des représentants a proposé, dans la nuit de mercredi, une mesure qui remettrait au vendredi 5 mai l’échéance pour adopter une nouvelle loi budgétaire. Elle doit encore être votée par les deux chambres du Congrès.


Cette année, par un étrange hasard du calendrier, la possible cessation des activités du gouvernement tombe pour les cent jours de la présidence de Donald Trump, le 29 avril. Alors que les élus des deux chambres du Congrès sont de retour après deux semaines de congé, ils doivent maintenant s’accorder à rédiger, avant samedi, un projet de loi budgétaire qui convienne aux républicains comme aux démocrates.

Qu’est-ce qu’un «shutdown» (arrêt) du gouvernement ?

Aussi étonnant que cela puisse paraître, la constitution américaine prévoit la possibilité d’un arrêt du gouvernement. L’arrêt des activités du gouvernement se traduit par l’obligation faite à plusieurs centaines de milliers d’employés fédéraux, considérés comme «non essentiels», à rester chez eux. Une inactivité temporaire qui suspend le versement des salaires. L’arrêt est déclenché lorsque élus démocrates et républicains au Congrès ne parviennent pas à convenir d’une proposition de budget, ou encore lorsque la Maison Blanche n’accepte pas leur proposition de budget.

«Quand les agences fédérales et les programmes manquent de fonds appropriés, ils doivent cesser leurs opérations, sauf en cas de situation d’urgence, selon la loi Antideficiency», décrit un rapport du Congrès sur le sujet. La cessation des activités du gouvernement se poursuit aussi longtemps qu’un accord n’est pas trouvé. Mais certaines, considérées comme vitales, à l’instar des fonctions militaires, du contrôle aérien, de la sécurité aux frontières, sont épargnées par un «shutdown». En revanche, les démarches telles que la délivrance de passeport ou de prêts bancaires d’Etat sont suspendues. Les musées et parcs nationaux fermés. Au total, quelque 800 000 employés du gouvernement, sur un total de plus de 5,3 millions, pourraient se retrouver en congé forcé. Mais les élus du Congrès, comme le Président, continuent, eux, d’être payés.

Cela pourrait-il arriver samedi ?

Les démocrates se trouvent en position de force : le camp adverse a besoin d’une majorité qualifiée de 60 voix pour voter le projet de loi de dépenses, or ils n’ont que 52 sièges au Sénat. Pour ne pas devoir porter la responsabilité d’un «shutdown», les républicains et la Maison Blanche ont fait des concessions aux démocrates depuis le début de semaine.

Alors que Trump avait d’abord menacé de ne plus payer les subventions de l’Obamacare si les démocrates refusaient de financer la construction du mur à la frontière entre les Etats-Unis et le Mexique, la Maison Blanche s’est rétractée mercredi matin. Les élus républicains du Congrès avaient, de toute façon, dès le début de semaine, balayé la possibilité d’inclure le financement du mur dans cette loi de dépenses. Tandis qu’ils sont déjà fragilisés dans leurs circonscriptions par le bilan mitigé des cent premiers jours de Trump, les républicains veulent à tout prix éviter un arrêt du gouvernement. Dans la nuit de mercredi, la Chambre des représentants a, pour cela, proposé un projet de loi budgétaire temporaire qui repousserait l’échéance du «shutdown» au 5 mai. Elle doit encore être votée par les deux chambres du Congrès, ce qui a beaucoup de chances d’arriver.

A LIRE AUSSI:Après cent jours, les pro-Trump tentent de garder la foi

Un accord n’est pourtant pas assuré. Des points de litige persistent. Les démocrates refusent notamment de signer des «dispositions» (appelées «riders» aux Etats-Unis), ajoutées par les républicains à cette loi de finances pour les faire passer discrètement. Une première disposition qui restreint l’accès à l’avortement via l’assurance santé Obamacare et une autre qui supprime les réformes de Wall Street passées sous Obama après la crise financière de 2008.

Cela s’est-il déjà produit ?

La dernière fois qu’un «shutdown» du gouvernement a eu lieu en octobre 2013, quand les républicains ont bloqué l’adoption d’un nouveau budget pour que la réforme de l’Obamacare ne soit pas appliquée. Après quinze jours de négociations, les deux camps se sont entendus pour sortir de cette crise politique qui a coûté 2 à 6 milliards de dollars au pays, rien qu’en productivité perdue, selon un rapport de la Maison Blanche. Le précédent «shutdown» et le plus long avait duré vingt et un jours, du 16 décembre 1995 au 6 janvier 1996. Les désaccords entre républicains et démocrates portaient sur le montant des dépenses publiques, que les premiers voulaient diminuer. Pour faire pression sur le président Clinton, les républicains avaient alors menacé les Etats-Unis de faire défaut sur leur dette publique. Bill Clinton était finalement sorti plus populaire de ce blocus, l’opinion tenant les élus républicains pour responsables.

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Aude Massiot