La France a perdu une bataille ! Mais la France n'a pas perdu la guerre ! Général Charles De GAULLE (30/04/2017)

Allez DEBOUT les Français, faisons BARRAGE à MACRON et aux BANKTERS apatrides, de la MAFIA KHAZARE des ROTHSCHILD !

FAISONS HONNEUR A LA FRANCE EN LEUR FAISANT UNE BELLE QUENELLE, dimanche prochain en virant tous ces apatrides, adeptes de la Secte Judéo-maçonnique qui détruisent la France depuis près de 300 ans et 27 pays européens dans l'objectif de nous mener à la guerre et à la ruine, sur lesquelles, ils pourront encore s'enrichir !  

SOYONS EN EXEMPLE POUR PERMETTRE AUX 27 PAYS EUROPÉENS DE SE LIBÉRER DU NAZISME DES BANKSTERS ! 

 

Rappel d'une autre '' croisée des chemins''

En souvenir de Charles de Gaulle, Jeanne Hachette, Charles Martel, Sainte Geneviève, Jeanne d'arc... Et tant d'autres... 

 


La France a perdu une bataille ! Mais la France n'a pas perdu la guerre !


Auteur : Général Charles de Gaulle (22 novembre 1890 - 9 novembre 1970)


Date : juillet 1940 à Londres


Ecouter le discours du 22 juin 1940 au format mp3 (2 min 20 sec)


Contexte historique :

Ces phrases ne font pas partie de l'Appel du 18 juin 1940 lancé depuis Londres par le général de Gaulle, mais elles en résument le sens.

Après les défaites françaises sur la Somme et l'évacuation de la capitale, le commandant en chef français Weygand demande l'armistice le 13 juin 1940, appuyé par le maréchal Pétain. Le 15 juin à Bordeaux, où les dignitaires se sont réfugiés, le président du conseil Paul Reynaud propose au contraire la capitulation de l'armée mais le repli du gouvernement hors de métropole pour continuer le combat auprès de l'Angleterre. Devant le refus des défaitistes, Reynaud démissionne dans la soirée du 16 juin, et il est immédiatement remplacé par le maréchal Pétain, qui fera signer l'armistice à Rethondes le 22 juin 1940, dans l'ancien wagon du Maréchal Foch utilisé lors de la signature de l'armistice du 11 novembre 1918.

Sous-secrétaire d'état à la défense nationale, le général de brigade à titre temporaire Charles de Gaulle décide de continuer la lutte et s'envole pour Londres le 17 juin. Le jour-même, il rencontre au 10 Downing Street le premier ministre britannique Winston Churchill, qui lui offre les micros de la BBC pour secouer le peuple français.

Le premier message est lancé le lendemain 18 juin 1940 à 22 heures dans le studio 4C de la BBC, à Oxford Circus. Après l'ouverture de l'antenne par le speaker français Maurice Thierry ("Ici Londres, la BBC parle à la France"), le général de Gaulle prononce le discours suivant :

"Les chefs qui, depuis de nombreuses années, sont à la tête des armées françaises ont formé un gouvernement. Ce gouvernement, alléguant la défaite de nos armées, s'est mis en rapport avec l'ennemi pour cesser le combat.

Certes, nous avons été, nous sommes, submergés par la force mécanique, terrestre et aérienne, de l'ennemi.

Infiniment plus que leur nombre, ce sont les chars, les avions, la tactique des Allemands qui nous font reculer. Ce sont les chars, les avions, la tactique des Allemands qui ont surpris nos chefs au point de les amener là où ils en sont aujourd'hui.

Mais le dernier mot est-il dit ? L'espérance doit-elle disparaître ? La défaite est-elle définitive ? Non !

Croyez-moi, moi qui vous parle en connaissance de cause et vous dis que rien n'est perdu pour la France. Les mêmes moyens qui nous ont vaincus peuvent faire venir un jour la victoire.

Car la France n'est pas seule ! Elle n'est pas seule ! Elle n'est pas seule ! Elle a un vaste Empire derrière elle. Elle peut faire bloc avec l'Empire britannique qui tient la mer et continue la lutte. Elle peut, comme l'Angleterre, utiliser sans limites l'immense industrie des États-Unis.

Cette guerre n'est pas limitée au territoire malheureux de notre pays. Cette guerre n'est pas tranchée par la bataille de France. Cette guerre est une guerre mondiale. Toutes les fautes, tous les retards, toutes les souffrances, n'empêchent pas qu'il y a, dans l'univers, tous les moyens nécessaires pour écraser un jour nos ennemis. Foudroyés aujourd'hui par la force mécanique, nous pourrons vaincre dans l'avenir par une force mécanique supérieure. Le destin du monde est là.

Moi, Général de Gaulle, actuellement à Londres, j'invite les officiers et les soldats français qui se trouvent en territoire britannique ou qui viendraient à s'y trouver, avec leurs armes ou sans leurs armes, j'invite les ingénieurs et les ouvriers spécialistes des industries d'armement qui se trouvent en territoire britannique ou qui viendraient à s'y trouver, à se mettre en rapport avec moi.

Quoi qu'il arrive, la flamme de la résistance française ne doit pas s'éteindre et ne s'éteindra pas.

Demain comme aujourd'hui, je parlerai à la radio de Londres".


Les deux premières phrases du discours ont été coupées à l'antenne et remplacées par celles-ci, jugées plus consensuelles par les Anglais :

"Le gouvernement français a demandé à l'ennemi à quelles conditions pourrait cesser le combat. Il a déclaré que, si ces conditions étaient contraires à l'honneur, la lutte devrait continuer."


Affiche

Comme on le voit, la célèbre citation mise en exergue ici n'a pas été prononcée dans l'Appel du 18 juin, ni dans ceux qui suivront les jours suivants. Elle est en fait issue d'une affiche qui sera placardée fin juillet sur les murs de Londres et dont voici un fac-simile :

Il faut souligner que le général de Gaulle se serait inspiré d'un discours du ministre de l'information britannique Duff Cooper prononcé le 28 mai 1940 et publié dans le Times du lendemain :

"Even if the Allies lost this battle, we should not have lost the war" ("même si les Alliés ont perdu cette bataille, nous n'avons pas perdu la guerre"). 


 

 

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