Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

28/10/2015

Le chef de file des francs-maçons français met en garde contre le FN, Florian Philippot riposte

La secte judéo-maçonnique qui a fomenté la Révolution Française et inventé la République maçonnique, se sentirait en danger si le FN était élu en 2017 !

La secte oublie allègrement que jusqu’à preuve du contraire, la France est une Monarchie, certes sans Roi, mais toujours une Monarchie : aucun Roi de France n’ayant jamais annulé la Constitution Monarchique Constitutionnelle promulguée par le Roi Louis XVI en 1791. Dès lors toutes leurs constitutions, ne sont que les constitutions de fait, avec lesquelles ils trompent les français ignorants de l’Histoire de France et du Droit Civil.

La secte Judéo-Maçonnique, n’aime pas le populisme, il paraît !

Ce qui confirme que la Révolution dite française, n’a jamais été voulue par le peuple français et qu’il s’agissait bien d’un coup d’état maçonnique fomenté par la secte judéo-maçonnique contre le Roi Louis XVI !

Nous rappelons au passage que Jean-Marie LE PEN est Royaliste et qu’à ce titre le FN ne peut pas admettre la Révolution dite française et la République maçonnique !

Déclaration de Louis XX

« La question institutionnelle n'a jamais été plus actuelle. Elle constitue un enjeu politique de première importance et tous les Français doivent souhaiter qu'elle soit publiquement débattue, pour ne pas laisser à d'illégitimes oligarchies le soin de trancher pour nous la question de notre avenir national."

Le chef de file des francs-maçons français met en garde contre le FN, Florian Philippot riposte

La plus importante des obédiences maçonniques françaises met en garde contre le Front national. L'état major du parti frontiste répond.

© Wikipedia

La plus importante des obédiences maçonniques françaises met en garde contre le Front national. L'état major du parti frontiste répond.

Dans le Journal du Dimanche (JDD), le grand maître du Grand Orient de France a fait part de ses craintes de voir le Front national mettre en danger la République. Le numéro deux du parti frontiste dénonce «le ridicule» de l’intervention.

Le Grand Orient de France, les francs-maçons, les obédiences… Chaque intervention d’un cadre des loges maçonniques fait réagir. Quand elle concerne le FN, ayant le vent en poupe dans les sondages, elle devient une poudrière, un vaste terrain explosif.

Dans le dernier JDD, Daniel Keller, patron de la  première obédience maçonnique d’Europe, a mis en garde contre un «Front national qui est l’expression d’un bloc qui, finalement, n’a jamais admis la Révolution française, n’a jamais admis la République et dont les racines philosophiques, intellectuelles et politiques sont authentiquement réactionnaires.»

 
Daniel Keller se place en défenseur de Marianne, pour lui «la République reste un combat". "Ce n’est pas un régime acquis définitivement. Si tout le monde baisse les bras, je le dis : la République est en danger.»  Le maître du Grand Orient appelle même les «150 000 à 170 000 maçons de France» à se mobiliser pour faire barrage au FN.

Des maçons qui, selon lui, ont pour rôle de «réapprendre aux gens à se parler, retisser du lien». «Le rôle des maçons c’est d’être les pédagogues de la République, et de rappeler que la République, ce n’est pas le populisme», déclare-t-il.

Les francs-maçons inquiets pour 2017

«On est en train de dérouler le tapis rouge au Front national. Ce qui paraissait impossible devient chaque jour un peu plus vraisemblable s'agissant de la présidentielle de 2017.» Par ces mots, Daniel Keller résume le sentiment de peur grandissant qui touche sa communauté. Il semble d’ailleurs craindre que la France «soit à la veille d'une explosion sociale».

Concernant les élections régionales, Daniel Keller milite pour le front républicain : «Le désistement républicain est, selon moi, le minimum à faire. Il faut éviter au maximum des triangulaires au second tour des régionales. Le désistement, ce n'est pas une magouille. C'est accepter de sacrifier ses propres couleurs pour l'intérêt général.»

Le leader du Grand Orient de France a également un avis sur la crise des migrants. Pour lui, Ils sont «une chance pour l’Europe».

Florian Philippot contre-attaque

A la lecture des propos de Daniel Keller, le sang du numéro deux du FN n’a fait qu’un tour. Florian Philippot critique une volonté de jouer «sur les peurs» et se montre très… très offensif :  «Ces gens là ne se sentent-ils pas ridicules, au bout d'un moment ? La République est en danger. Ecoutez, ils nous ont fait le même coup aux municipales de 2014 en nous expliquant que si le Front national remportait des villes, la République était en danger, que ces villes allaient être noyées sous les sauterelles et que le soleil allait s'arrêter de briller.»

Florian Philippot accuse Daniel Keller de se soustraire du débat, de «refuser la démocratie, de terroriser les gens». Il en profite pour mettre un tacle au leader franc-maçon qui userait d’une méthode «qui ne fonctionne plus parce que les gens n’y croient plus».

Jean-Marie Le Pen aussi

Le patriarche en a profité pour y mettre son grain de sel. Et attaquer, à nouveau, la stratégie de dédiabolisation entreprise par sa fille : «Les propos de Daniel Keller devraient pousser la direction du FN à méditer sur la vacuité de son rêve de dédiabolisation. Ceux qui pensaient que la mise à l'écart de Jean-Marie Le Pen pouvait séduire des milieux qui lui sont structurellement et philosophiquement hostiles reçoivent aujourd'hui un méprisant démenti.»

En tête des sondages dans plusieurs régions, au centre d’un feuilleton politico-médiatico-judiciaire qui n’en fini plus, le FN est sur tous les fronts.

 

 

 

27/10/2015

François Fillon confie à Philippe de Villiers concernant les Bilderbergs : « Que veux-tu, c’est eux qui nous gouvernent »

Ils complotent derrière notre dos et quand nous les dénonçons nous sommes des complotistes !

François Fillon confie à Philippe de Villiers concernant les Bilderbergs : « Que veux-tu, c’est eux qui nous gouvernent »

25 octobre 2015 - 16:34

http://www.syti.net/Organisations/Bilderberg.html

2-Organisations-ILLUMINATI-JESUITES.png

Vidéo assez extraordinaire et rare puisque M. de Villiers y explique des propos de F. Fillon qui avoue clairement que le groupe Bilderberg gouverne l’Europe ! Quand je pense à Marc-Édouard Nabe qui se moque de ces structures supra-nationales en niant la réalité du complot (ainsi que bon nombre de journaleux), pauvre imbéciles. L’apocalypse continue son travail de dévoilement des réalités pour notre plus grand plaisir et pour le malheur de l’humanité. Il n’y a pire aveugle que celui qui ne veut voir, les faits sont là pour ceux qui sont prêts, les autres n’ont qu’à continuer à dormir, ça ne changera pas grand chose au cours des événements…
 

Ces puissants et mystérieux messieurs du cercle Bilderberg

Publié le 06-06-2013 à 19h00

François Fillon, invité jeudi soir sur France 2, se rend vendredi à la conférence de ce club très fermé, qui se réunit jusqu'à dimanche près de Londres.

L'hôtel Suvretta, à Saint-Moritz, en Suisse, où s'est réuni le cercle Bilderberg en juin 2011. (AFP)

L'hôtel Suvretta, à Saint-Moritz, en Suisse, où s'est réuni le cercle Bilderberg en juin 2011. (AFP)

 

Le dîner ne figure pas à l'agenda officiel. L'hôte et ses invités tiennent à cette discrétion. Début novembre 2011, alors que la crise de l'euro est à son comble, François Fillon prend le temps de recevoir à Matignon un groupe obscur d'une trentaine de personnes dont les noms sont presque tous inconnus du grand public, mais pas des initiés.

Ce soir-là, le Premier ministre de Nicolas Sarkozy planche sur l'état de la France devant les membres d'un petit club qui ne fait jamais la une des journaux, mais fascine les obsédés du complot : le Bilderberg. A croire les "conspirationnistes", ce cercle, fondé en 1954 par un prince hollandais et un milliardaire américain pour endiguer le communisme, serait le "vrai gouvernement du monde". On lui devrait la victoire de Bill Clinton, la guerre en Irak ou la nomination de Herman Van Rompuy, président du Conseil européen. Rien de moins !

Gotha politico-financier occidental

Comparés au Bilderberg, d'autres forums internationaux bien plus célèbres, tels la Trilatérale ou Davos, auraient autant d'influence qu'une fête de patronage. Les convives de François Fillon sont tous d'éminents représentants du gotha politico-financier occidental. Sous les lambris de l'hôtel Matignon, il y a là, entre autres, le patron de la banque Goldman Sachs, Peter Sutherland, le big boss de la banque d'affaires Lazard, Ken Jacobs, l'inspirateur des néoconservateurs américains, Richard Perle, le grand manitou de Shell, Jorma Ollila, le futur chef du gouvernement italien, Mario Monti, ou la présidente du Musée d'Art moderne de New York, Marie- Josée Kravis, par ailleurs épouse du propriétaire d'un fonds d'investissement américain.

Le grand ordonnateur du dîner n'est autre qu'Henri de La Croix, comte de Castries, PDG du groupe d'assurances Axa et premier Français à présider le Bilderberg. Petit-fils d'un ministre de la IVe République et inspecteur des Finances, ce pilier de l'establishment français est aussi proche de Nicolas Sarkozy que de François Hollande, son camarade de la promotion Voltaire à l'Ena. On l'a compris : à un tel aréopage, même le chef du gouvernement de la cinquième puissance mondiale ne peut refuser l'hospitalité. Ce repas est-il pour autant le signe d'une vaste conspiration ? "Je ne comprends pas l'hystérie autour du Bilderberg, s'amuse aujourd'hui François Fillon. Je ne trouve pas qu'il s'y dise des choses si confidentielles..."

Groupe ultramondain ou confrérie d'influence planétaire ?

Groupe ultramondain ou confrérie d'influence planétaire ? De 6 au 9 juin, le club réunira, à l'abri des regards, sa soixantième et unième conférence annuelle, dans un palace près de Londres. Comment fonctionne ce groupe, dont la liste des membres n'est publiée officiellement que depuis trois ans ? A-t-il le pouvoir qu'on lui prête ? "Le Nouvel Observateur" a interrogé une trentaine de personnalités françaises et étrangères qui ont participé aux travaux du Bilderberg. Elles racontent, souvent pour la première fois, les coulisses de cette institution qui suscite tant de fantasmes.

"C'est un Davos en plus fermé", dit Jean-Pierre Jouyet, président de la Caisse des Dépôts et autre camarade de promotion de François Hollande à l'Ena. Le célèbre forum suisse accueille plus de mille VIP issus des cinq continents. Le Bilderberg, lui, s'adresse à un cercle bien plus restreint - cent trente personnes, jamais plus, venues d'Europe et des Etats-Unis. Les fondateurs du club l'ont voulu ainsi, discret et transatlantique. Le prince Bernhard des Pays-Bas et David Rockefeller l'ont créé en 1954, au plus chaud de la guerre froide, avec un objectif précis : la lutte contre le communisme. La première réunion se déroule du 29 au 31 mai, en catimini, à Oosterbeek, aux Pays-Bas, dans un hôtel appelé Bilderberg.

Les participants : de grands leaders politiques et économiques du Nouveau et du Vieux Continent - tels les Français Guy Mollet, Jean Monnet et Antoine Pinay. "A l'époque, le but était de convaincre les dirigeants européens et américains de resserrer leurs liens et de ne pas baisser la garde face à la puissante Union soviétique", explique l'ancien ministre des Affaires étrangères Hubert Védrine.

Dans les premières années du Bilderberg, on s'exprime en français et en anglais, les deux langues officielles de l'Otan. On parle défense de l'Europe de l'Ouest et contre-propagande. On réfléchit à des actions communes contre le péril rouge.

Rien ne doit filtrer

Rien ne doit filtrer. David Rockefeller veille. Le richissime héritier de la Standard Oil est un expert en opérations spéciales. Comme il le raconte dans ses Mémoires (1), le futur patron de la Chase Manhattan Bank a fait la guerre dans le renseignement militaire, à Alger. Francophone, il a poursuivi ses activités d'espion en 1945 à Paris. Son goût du secret a imprégné l'esprit du club, dont on n'a découvert l'existence qu'au milieu des années 1960.

L'institution est véritablement sortie de l'ombre en 1976, à l'occasion d'une grande affaire de corruption qui a durablement terni son image. On a appris que le prince Bernhard monnayait son prestige pour favoriser le groupe d'armement Lockheed auprès de l'armée néerlandaise et que ses conciliabules avec les dirigeants de la firme américaine avaient notamment lieu en marge de la conférence du Bilderberg, qu'il présidait depuis vingt ans. "Ce scandale a failli tuer le club, reconnaît Thierry de Montbrial, patron de l'Institut français des Relations internationales (Ifri) et membre du Bilderberg jusqu'à aujourd'hui. On l'a sauvé en remplaçant le prince par l'ancien Premier ministre britannique, lord Home." L'odeur de soufre est restée.

En dépit de ce passé controversé, le Bilderberg est toujours le cercle le plus sélect de l'élite transatlantique. Sa grande affaire n'est plus le communisme, mais la mondialisation et les défis qu'elle pose à l'Occident. Au sommet, on trouve un petit cénacle, le comité directeur, composé de trente personnalités du monde du grand business et de la géopolitique, celles-là mêmes qui ont dîné à Matignon.

"De l'entregent et une vision planétaire"

"Pour y être coopté, il ne suffit pas d'être patron de Coca-Cola : il faut avoir de l'entregent et une vision planétaire", explique l'avant- dernier président du Bilderberg, le flamboyant vicomte Etienne Davignon, dans son immense bureau qui surplombe la place Royale à Bruxelles. Lui-même tutoie la terre entière. Ancien commissaire européen, cet octogénaire belge toujours bronzé et courtois est administrateur d'une dizaine de multinationales. "Steevie", comme le surnomment ses amis du gotha, a siégé pendant des décennies au comité directeur du club, aux côtés de figures historiques, tels le magnat italien Giovanni Agnelli ou l'ex-secrétaire d'Etat américain Henry Kissinger, et de personnalités montantes, comme l'avocat Tom Donilon, qui deviendra conseiller de Barack Obama pour la sécurité.

Les trente se réunissent deux fois par an - généralement dans une capitale européenne pour parler de la situation du club et du monde. Ils en profitent pour dîner discrètement avec les dirigeants locaux ou les leaders prometteurs. En février, c'était à Rome, autour du nouveau président du Conseil italien, Mario Monti, un fidèle du Bilderberg depuis trois décennies. Il n'a fait que présenter ses réformes au club. Mais ces repas peuvent avoir une influence sur le cours des choses. En novembre 2009, le comité directeur se retrouve à Bruxelles. On invite le chef du gouvernement belge d'alors, Herman Van Rompuy. "Personne ne connaissait ce petit homme discret et quadrilingue, raconte "Steevie". Il nous a fait un explosé très clair. Il a défendu l'euro avec force et brio, face aux Américains incrédules."

Quelques jours plus tard, à la surprise générale, le "petit homme" est désigné à la présidence de l'Union européenne. "Sa brillante présentation l'a peut-être ajouté, au dernier moment, à la liste des candidats possibles",reconnaît son compatriote Davignon, sans livrer d'autres détails. En revanche, les trente n'ont pas réussi à rencontrer le futur président français, François Hollande. En novembre 2011, Henri de Castries avaient convié son camarade de l'ENA, qui venait tout juste de remporter la primaire socialiste, à plancher devant le steering committee à Paris. L'adversaire de Nicolas Sarkozy avait accepté, avant de se décommander. C'est son ami Jean-Pierre Jouyet, autre "voltairien", qui l'a remplacé au pied levé.

100 invités

Le comité directeur a une autre prérogative : établir la liste des cent invités à la prestigieuse conférence annuelle du Bilderberg, qui se déroule début juin, en Europe ou aux Etats-Unis. Comme tous les ans depuis 1954, David Rockefeller, 97 ans, assistera à la prochaine, "si sa santé le lui permet", précise le vicomte belge. Rares sont ceux qui déclinent l'invitation. Certains redoutent encore d'être épinglés par les "conspirationnistes". François Fillon, par exemple, a refusé d'y assister tant qu'il dirigeait le gouvernement. Vladimir Poutine aussi. C'était en 2002 quand le président russe a commencé à vociférer contre l'Occident. Mais, le plus souvent, les invités acceptent, flattés.

"Etre convié à ce forum annuel est un signe de reconnaissance, une marque de prestige, assure Thierry de Montbrial, membre du steering committee jusqu'en 2011. J'y ai été coopté en 1976, en remplacement de Wilfrid Baumgartner, ministre des Finances sous de Gaulle", glisse-t-il pas peu fier. C'est donc lui qui, pendant trente-cinq ans, a désigné les heureux élus français à la conférence du Bilderberg - "quatre par promotion", précise-t-il. Délicieux privilège pour cet X-Mines, éternel patron de l'lfri.

De l'ère Giscard au quinquennat Sarkozy, Thierry de Montbrial a fait défiler à la conférence du Bilderberg une grande partie de l'élite parisienne. Quand le français a été abandonné comme langue officielle du club, à la fin des années 1980, il n'a plus convié que des anglophones. "Ca limite le choix", ironise-t-il. Sont venus des dirigeants politiques, de droite et de gauche, des grands patrons, des journalistes réputés. Aujourd'hui encore, craignant d'être stigmatisés par les obsédés du complot, certains n'avouent leur participation que du bout des lèvres. "Moi, je regrette de ne pas avoir été invité plus souvent", reconnaît franchement le député UMP Pierre Lellouche, grand spécialiste de l'Otan.

Jets privés et limousines

La conférence annuelle est organisée comme un sommet de chefs d'Etat. Arrivés en jets privés et en limousines aux vitres teintées, les 130 happy few sont enfermés pendant deux jours et demi dans un hôtel de luxe entièrement privatisé. L'obsession de la sécurité et de la confidentialité est telle que le lieu exact de la rencontre est tenu secret jusqu'au dernier moment. "A ce point, c'est ridicule, confie Hubert Védrine. Il y a même un système de triple badge pour franchir chacune des trois barrières de sécurité." "Il est interdit de venir avec son conjoint ou sa secrétaire", ajoute Nicolas Bazire, l'ancien directeur de cabinet de Balladur et témoin de mariage de Nicolas Sarkozy. Et "pas le droit non plus de partir avant la fin du week-end", précise le patron de Publicis, Maurice Lévy.

A l'extérieur, des militants altermondialistes tentent de prendre des photos des participants. Leurs pancartes dénoncent une conspiration. "Cette idée de complot est une farce, assure Hubert Védrine. Le Bilderberg réunit des gens du même monde qui se rencontrent dans d'autres cercles." "Contrairement aux fantasmes, aucune décision n'y est prise", assure l'économiste et éditorialiste au "Figaro" Nicolas Baverez, qui vient de remplacer Thierry de Montbrial au comité directeur. "En fait, on est là pour travailler. Les deux jours et demi sont très intenses. De 8 heures à 20 heures, il y a une succession de débats." Les thèmes ? Depuis peu, le site du Bilderberg en publie une liste dont on ignore si elle est exhaustive.

Au menu officiel de la conférence 2012, à Chantilly (Etats-Unis) :"austérité et croissance", "l'Occident face à l'Iran" ou "géopolitique de l'énergie". Selon nos informations, cette année, ils débattront de l'accélération de la croissance aux Etats-Unis et en Europe, du nationalisme et du populisme ou des orientations prioritaires de la recherche médicale... Bref, les grands dossiers du moment. "Les exposés sont strictement limités à dix minutes et les questions à trois minutes", raconte l'ancien patron de la banque Paribas André Lévy-Lang. Seul Henry Kissinger n'est pas rappelé à l'ordre quand il déborde.

Confidentialité absolue

Autre règle, plus surprenante : tous les membres, sans distinction de titre, doivent accepter d'être assis par ordre alphabétique. Ainsi, lors des trois conférences auxquelles elle a assisté, la star du petit écran Christine Ockrent s'est-elle retrouvée à la droite de Béatrix d'Orange-Nassau, reine des Pays-Bas (et fille du prince Bernhard). Tandis que la Russe Lilia Shevtsova, kremlinologue réputée, côtoyait l'autre souveraine habituée du Bilderberg, la reine Sofa d'Espagne.

Au Bilderberg, tout le monde est traité sur un pied d'égalité. Le compte rendu des débats est rédigé par deux journalistes de l'hebdomadaire économique britannique "The Economist", qui font office de greffiers mais n'ont pas le droit d'en publier le contenu. Tous les participants sont tenus de respecter une confidentialité absolue. Même les think tanks les plus stricts, comme le prestigieux club de géostratégie Chatham House, autorisent que l'on dévoile la substance des discussions, à condition de ne pas citer de personnalités précises. "A Bilderberg, c'est le silence total", souligne, admiratif, Maurice Lévy. "A cause de cette contrainte, certains journalistes réputés refusent de venir", admet le vicomte Davignon. Mais les hauts responsables parlent plus librement que dans d'autres forums. Le patron des services secrets britanniques a pu ainsi décrire la cyberdéfense en détail, bien avant que le sujet ne devienne médiatique.

Cette liberté de parole provoque parfois des étincelles. En juin 2003, alors que l'armée américaine vient d'envahir l'Irak, la conférence annuelle se déroule au Petit Trianon à Versailles. Le ministre français des Affaires étrangères, Dominique de Villepin, fervent opposant à la guerre, accepte de se déplacer. L'éditeur Conrad Black, propriétaire notamment du "Daily Telegraph", le prend à partie. Il l'accuse d'avoir souhaité une défaite des Etats-Unis. "C'est faux", s'insurge Villepin. "Pourtant quand l'un de mes journalistes vous a demandé si vous préfériez une victoire de Saddam Hussein ou de George Bush, vous avez refusé de répondre", lance Black. Le Français dément. "J'ai ici la cassette de l'interview, vous voulez l'entendre ?", rétorque le Canadien.

"Un niveau inégalé dans le monde"

"Parce que rien ne fuite, les conversations du Bilderberg sont d'un niveau inégalé dans le monde", dit, enthousiaste, Michel Rocard. Plus réservé, Philippe Villin, ancien patron du "Figaro", trouve les invités "assez conformistes", "tous attachés au capitalisme et au libre-échangisme". "Les sessions sont d'un intérêt variable", commente Anne Lauvergeon. L'ex-patronne d'Areva se souvient du jour où, en 2007, José Luis Zapatero est venu présenter, en avant-première, les mesures financières que son gouvernement allait prendre. "Il a été applaudi à tout rompre, raconte-t-elle. Et puis on a vu le résultat..."

Passionnante ou pas, la conférence du Bilderberg est l'occasion de se faire repérer par des hommes très puissants. Manuel Valls, Michel Sapin et Jean-François Copé y sont allés. "Copé, vous êtes sûr ? Je ne l'ai pas remarqué", dit, vachard, le vicomte Davignon. Margaret Thatcher a été invitée dès 1975, quatre ans avant sa nomination à Downing Street. Et Bill Clinton, en 1991, quand personne ne misait sur lui. C'est l'un des piliers du club et grand argentier du Parti démocrate, Vernon Jordan, qui a repéré l'obscur gouverneur de l'Arkansas.

Le Bilderberg a joué un rôle dans la présidentielle américaine de 2004. En juin, alors qu'il est en passe d'être désigné candidat face à George Bush, John Kerry (autre habitué du club) cherche un colistier. Selon le "New York Times", il reçoit alors un appel de son ami le diplomate Richard Holbrooke. Celui-ci est à Stresa, en Italie, où il assiste à la fameuse conférence annuelle. Il vient d'écouter une intervention du sénateur de Caroline du Nord John Edwards, et a été séduit. Il lui recommande de le choisir. Kerry écoutera son conseil.

Christine Lagarde, Valérie Pécresse et François Fillon

"Le plus souvent, ce sont les à-côtés de la conférence qui sont les plus intéressants", dit Anne Lauvergeon. Pendant deux jours et demi, du petit déjeuner au coucher, les cent trente invités ne se quittent pas. "C'est plus intime que Davos, souligne Maurice Lévy. On a le temps de construire des relations qui vont au-delà du 'speed dating'." Autour d'un verre ou pendant une promenade, des discussions inattendues s'amorcent. Lors du Bilderberg de 1998, en Ecosse, l'ancien directeur de la stratégie de Matra Jean-Louis Gergorin a appris que l'allemand Dasa et l'anglais BAE négociaient leur rapprochement. Du coup, il a initié la fusion entre Matra et Aerospatiale, qui a donné ensuite naissance à EADS. Philippe Villin, lui, a rencontré là-bas le banquier qui l'a aidé à démarrer dans la finance quand il a quitté "le Figaro".

Pour la première fois depuis 1954, le Bilderberg vient de publier sur son site la liste des participants à sa conférence annuelle qui démarre le 6 juin dans le Herfordshire, au nord de Londres. Seront présents notamment Christine Lagarde, Valérie Pécresse et... François Fillon.

(1)"Mémoires" de David Rockefeller, Editions de Fallois, 2006.

Odile Benyahia-Kouider et Vincent Jauvert - Le Nouvel Observateur

 

Le "vrai gouvernement du monde", selon les conspirationnistes

Selon un sondage publié début mai, la moitié des Français seraient des adeptes de la théorie du complot : ils considèrent que "ce n'est pas le gouvernement qui gouverne la France" et qu'"on ne sait pas en réalité qui tire les ficelles".Les "conspirationnistes", très actifs sur internet, nourrissent cette croyance en désignant le Bilderberg comme le détenteur du "vrai pouvoir dans le monde". Des manifestations (ici en Espagne en 2010, photo) - ont lieu à chaque réunion annuelle du club.

 

USA : Le MJ12 ou le Gouvernement Secret par William-Cooper

Ce gouvernement secret que les USA et le Vatican craignent tellement qu'il soit dévoilé.

Voir aussi :

Le phénomène OVNI selon William Cooper...Ils sont sur la lune et nous surveillent...

 

USA : Le MJ12 ou le Gouvernement Secret par William-Cooper

Extrait du livre

Le Gouvernement Secret William Cooper by Pouvoir Mondial

 

2ème indice : NSA, un scandale mondial, Snowden obtient l'asile politique en Russie

Nous continuons pour essayer de comprendre pourquoi les USA et l’UE se sont attaqués à la Russie, dès février 2014 en fomentant le coup d’état à Kiev.

Voyons ce qui s’est passé en 2013.

Le lien est notamment à établir avec la CIA qui forme et finance les mercenaires de l’EI, et qui a été créée pour couvrir et discréditer le phénomène ET et OVNIS. George H.W. Bush, père,  a été directeur de la CIA entre 1976 et 1977, il est donc bien informé sur le sujet. 

Dernièrement  répondant à la question posée par un journaliste passionné d'ufologie au sujet du secret autour des ovnis et des extraterrestres. George Bush sénior répondit : « Les Américains ne seraient pas en mesure de supporter la vérité. »

La bonne excuse pour couvrir le gouvernement secret qui dirige les USA dans l’ombre : Le MJ12 !

Voir le fichier le MJ12 ou le Gouvernement Secret des USA dévoilé par William COOPER, un ancien militaire qui a été assassiné pour ses révélations. ICI

En 2013, un journaliste suédo-états-unien, John P. Anderson qui a enquêté pendant onze ans sur l’assassinat, en 1963, de John Fitzgerald Kennedy, (qui voulait révéler l’existence des extraterrestres et du MJ 12, le gouvernement secret qui mène les les USA, dans l’ombre),  ainsi que sur les méthodes opérationnelles et l’histoire de la CIA, pense que le meurtre d’Olof Palme (premier ministre suédois, assassiné en 1986, ndt) était une opération de la CIA.

Les USA et le Vatican ont une peur bleue que la Russie dénonce, l’existence des ET et des OVNIS, parce que si l’on présente réellement la réalité, notre vision du monde changera concernant l'histoire, les religions, le présent et le futur et plusieurs scandales vont apparaitre concernant les élites de ce monde qui font tout ce qu'elles peuvent pour nous dissimuler la vérité."

Voir les révélations du Dr Michael WOLF qui a travaillé avec les ET à la base secrète de l'Area 51 dans le Nevada : ICI

Voir aussi celles de Phil Schneider sur : Le Nouvel Ordre Mondial, les Illuminati-reptiliens et les ET (Grands gris).

Phil Schneider était un scientifique qui travaillait pour le Gouvernement US sur des projets occultes de construction de bases souterraines de grande profondeur en faveur des protagonistes et instigateurs du Nouvel Ordre Mondial. L'une des bases les plus connues est celle de DULCE au  Nouveau Mexique.

Phil Schneider pensait travailler pour le Gouvernement Fédéral des USA pour un projet de constitution du Nouvel Ordre Mondial lorsqu'il eût la surprise de constater que les promoteurs et instigateurs n'étaient autre que les ET (les Grands Gris) qui avaient obtenu le droit dès 1954 par le Gouvenernement US de procéder à des expériences sur des animaux et sur des humains, à condition qu'ils rendent compte régulièrement de leurs travaux auprès du Gouvernement US.

Origine de cette autorisation accordée aux ET (Grands gris) et le " traité Greada de 1954 ". Voir la suite : ICI

Le premier indice est donc celui que la Russie ait menacé le 24 janvier 2013, de révéler l’existence des extraterrestres si Obama ne le faisait pas.


1er indice : Le 24 janvier 2013, La Russie Ordonne à Obama de parler au monde à propos des extraterrestres, ou nous le ferons

Le 2ème indice est celui que le 6 juin 2013, Edward Snowden, ancien agent de la CIA  et consultant de la NSA dévoile l’espionnage concernant la surveillance mondiale d'internet, mais aussi des téléphones portables et autres moyens de communications, principalement par la National Security Agency américaine (NSA).

C’est un coup porté aux pratiques secrètes et infâmes des USA qui porte atteinte à la sécurité nationale des USA. Qui plus est Snowden après avoir demandé l’asile politique auprès de nombreux  pays, l’obtient où ? En Russie !

Le 6 juin 2013 : Les révélations d'Edward Snowden commencent avec un important volume de documents (d'abord estimé entre 15 et 20 000, chiffre ensuite constamment réévalué à la hausse pour atteindre 1,7 million en décembre 20131) transmis par l'ancien agent de la CIA et consultant de la NSA Edward Snowden à deux journalistes, Glenn Greenwald et Laura Poitras, et progressivement rendus publics à partir du 6 juin 2013 à travers plusieurs titres de presse. Elles concernent la surveillance mondiale d'internet, mais aussi des téléphones portables et autres moyens de communications, principalement par la National Security Agency américaine (NSA).

Snowden a aussi révélé l’existence des ET, tout comme les lanceurs d’alerte, dont Assange avec Wikileaks.

OVNIs : des documents de Wikileaks confirment l'existence de la vie extra-terrestre

Edward Snowden : "Les extraterrestres cryptent leurs communications"

Rappelons-nous le cas du jeune militaire US,Bradley Manning, qui a écopé de 35 ans de prison pour avoir téléchargé et livré à WikiLeaks plus de 700.000 documents militaires et diplomatiques classés secret-défense, de novembre 2009 jusqu'à son arrestation en mai 2010. Wikileaks : Bradley Manning condamné à 35 ans de prison

Rappelons-nous aussi, de Bob Lazar qui à la fin des années 80, se présente comme un scientifique ayant travaillé pour des laboratoires secrets du gouvernement US, a "révélé" que les autorités américaines détenaient des technologies extraterrestres. 25 ans plus tard, un témoin viendrait enfin confirmer une partie de ses assertions... Bob Lazar n'aurait pas tout inventé

Imaginons donc la tête que fait le MJ12 et le Gouvernement OBAMA en voyant tous ces renseignements classés secret défense qui sont désormais entre les mains de Poutine et qui pourraient porter atteinte aux USA.

Il ne leur restait plus qu’à aller s’attaquer à la Russie de manière biaisée en fomentant un coup d’état en Ukraine et depuis lors nous connaissons la suite.

La Russie est elle-même dans les missions spatiales depuis de nombreuses années et les USA sont dépendants de leur technologie. Mieux, la Russie pourrait créer sa propre station orbitale (Roskosmos)

Ils sont donc au fait de tout ce qui se passe dans l’espace et aptes à révéler l’existence des extraterrestres.

Pour découvrir l’histoire et les révélations faites par Snowden vous pourrez consulter le site qui est dédié à son travail.

Snowden, espionnage et démocratie

L'affaire Snowden remet-elle en cause la conception de la démocratie ?

Nouvelle image (4).jpg


Extrait du livre : L'affaire Snowden: Comment les États-Unis espionnent le monde

http://widget.editis.com/Books/ladecouverte/9782707178480/gf/70717848_000_CV_1_000.png#image


 

25/10/2015

Benyamin Netanyahou, un criminel de guerre

Et à ce psychopathe criminel, est-ce que Holl'andouille, lui demande de quitter son poste, parce que la paix durable ne peut se faire avec lui en Palestine occupée, parce qu'il est le problème et qu'il ne peut pas faire partie de la solution ! 

Israël a exécuté deux garçons, alors qu’ils demandaient l’aide d’un soldat

de la solution !

Benyamin Netanyahou, un criminel de guerre

Jeudi, 22 Octobre, 2015

Humanité Dimanche

Photo: Archives/Gali Tibbon/Pool/AFP

La chronique de Francis Wurtz, député honoraire du Parlement européen.

L'Occident, en garantissant l'impunité aux incendiaires au pouvoir en Israël, porte des responsabilités écrasantes.

Le 4 novembre prochain, cela fera vingt ans que Yitzhak Rabin, alors premier ministre d'Israël, a été assassiné par un ultranationaliste israélien. Cette tragédie eut lieu dans un contexte marqué par une campagne de haine hystérique de la droite et de l'extrême droite de ce pays contre un leader coupable de s'engager dans un processus de paix avec Yasser Arafat. Depuis ce jour funeste, une génération entière de Palestiniens n'a plus connu le moindre espoir d'une paix juste, assurant la fin de l'occupation, de la colonisation, de l'humiliation sans limite. Aujourd'hui, nous sommes peut-être à l'aube d'un nouveau soulèvement populaire qui a démarré, cette fois, là où le pouvoir de Tel-Aviv s'y attendait le moins : la partie palestinienne ­ annexée ­ de Jérusalem. C'est le moment de revenir sur ce terrible tournant de 1995. D'abord, pour rappeler qu'il a toujours existé en Israël des hommes et des femmes en grand nombre qui combattent l'occupation avec courage et dignité, fût-ce au péril de leur vie. Ensuite, pour souligner la responsabilité écrasante de tous ceux qui, en Europe et en « Occident » en général, garantissent aux incendiaires au pouvoir en Israël une impunité absolue. Ce faisant, ils ne défendent pas Israël, ils protègent les héritiers des assassins de Rabin.

Qui était, en effet, durant les jours et les semaines précédant les coups de feu mortels contre le premier ministre de l'époque, à la tête des hordes d'extrémistes vociférant jusque sous les fenêtres de celui-ci et brandissant des pancartes prémonitoires, représentant Rabin dans le viseur d'un sniper ? Le chef du Likoud ­ déjà ! ­, un certain Benyamin Netanyahou. L'homme à l'encontre duquel il alimenta la haine n'avait pourtant pas un profil de pacifiste. Ancien chef d'état-major de l'armée durant la guerre des Six-Jours, en 1967, il fut ministre de la Défense au moment de la première Intifada. Mais, en véritable homme d'État, il sut, avec lucidité et courage, tirer les leçons de son expérience. Lors de l'impressionnant rassemblement en faveur du processus de paix à l'issue duquel il tomba sous les balles du tueur Ygal Amir, il a tenu un discours que les parrains honteux de l'actuel gouvernement d'Israël ­ le plus réactionnaire qu'ait connu ce pays ­ gagneraient à méditer. En voici quelques phrases qui en illustrent l'actualité : « La violence s'attaque à la base de la démocratie. Elle doit être condamnée et isolée. (...) La paix a ses ennemis qui tentent de nous atteindre, pour torpiller le processus de paix. (...) Pour Israël, il n'est pas de chemin sans douleur. Mais la voie  de la paix est préférable à la guerre. Je vous dis cela en tant qu'ancien soldat. (...) Je veux que ce gouvernement exploite chaque ouverture, chaque occasion de parvenir à une paix totale » (1). !

D'autres grands personnages d'Israël ont, par la suite, osé creuser ce sillon : c'est l'intérêt bien compris d'Israël d'assurer une paix juste et durable avec le peuple palestinien. Une référence en la matière reste le discours historique d'Avraham Burg, alors président de la Knesset, à l'occasion du 53e anniversaire de la création du Parlement israélien, en 2002 : « Un peuple d'occupants finit par être changé et défiguré par les tares de l'occupation », lança-t-il, sous les huées de la droite, à ses collègues en les invitant à voir en face ce qu'ils ont fait de leur pays, avant d'annoncer sa visite prochaine au Parlement palestinien à Ramallah ! (2). Dans quelques jours, lorsque les dirigeants européens et occidentaux rendront hommage à Yitzhak Rabin, rappelons-leur qu'entre la fidélité à l'héritage du premier ministre israélien de 1995 et la complaisance vis-à-vis de celui de 2015, il faut choisir ! L'impunité de Netanyahou est un crime contre la paix.