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09/12/2010

WikiLeaks: les hackers contre-attaquent

WikiLeaks: les hackers contre-attaquent

LONDRES (AP) — Des soutiens de WikiLeaks ont riposté mercredi contre les ennemis supposés du site et de son fondateur en détention Julian Assange. D'apparentes représailles de pirates informatiques ont ainsi visé Mastercard, des procureurs suédois et un avocat suédois entre autres.

Des militants hackers opérant sur Internet dans le cadre de l'"Operation Payback" (opération vengeance) ont revendiqué dans un message Twitter la responsabilité des problèmes technologiques essuyés par MasterCard, qui, la veille, avait suspendu ses relations avec le site WikiLeaks.

MasterCard a reconnu connaître "un trafic important" sur son site mais un porte-parole de la compagnie James Issokson n'a pas voulu confirmer à l'Associated Press l'implication ou non de WikiLeaks dans ces problèmes. Il a précisé que MasterCard tentait de restaurer le service mercredi mais ignorait combien de temps il faudrait avant le retour à la normale. Les problèmes techniques du site n'ont pas d'impact sur les consommateurs qui utilisent leurs cartes de crédit pour des transactions sécurisées, a-t-il précisé.

MasterCard est la dernière d'une série de compagnies internet basées aux Etats-Unis, dont Visa, Amazon.com, PayPal et Every DNS, qui ont coupé les liens avec WikiLeaks sous la pression insistante du gouvernement américain. Visa disait mercredi ne pas connaître de problèmes techniques.

Les attaques informatiques constatées consistent notamment à inonder les sites visés de requêtes afin de bloquer leur fonctionnement. Elles s'inscrivent dans une vague de soutien à WikiLeaks après l'arrestation de son fondateur. Twitter était inondé de messages de solidarité avec WikiLeaks et la page Facebook du site a atteint un million d'amis.

Après avoir mis en ligne des centaines de câbles diplomatiques américains confidentiels, le site WikiLeaks subit des pressions sur de nombreux fronts. Julian Assange, qui s'est livré mardi à la police londonienne mardi, est actuellement incarcéré en Grande-Bretagne et tente de s'opposer à une extradition vers la Suède. La justice suédoise veut l'entendre après les accusations de viol et agression sexuelle portées à son encontre par deux femmes.

De plus, Visa et MasterCard ont annoncé mardi la suspension de tous les paiements à WikiLeaks dans l'attente d'éclaircissements sur la situation du site Internet. Un coup dur pour l'organisation, qui dépend des donations faites en ligne pour financer ses opérations. L'entreprise de paiement en ligne PayPal avait déjà rompu ses liens avec WikiLeaks, et lundi, Postfinance, filiale bancaire de la Poste suisse, avait décidé de fermer le compte bancaire suisse de Julian Assange.

Cela n'a pas empêché néanmoins WikiLeaks de publier dans la nuit de nouveaux câbles diplomatiques américains. AP

sb/v0424/ll

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/monde/20101208.F...

WikiLeaks: Les hackers contre-attaquent

http://www.20minutes.fr/article/635855/monde-wikileaks-ha...

 

Wikileaks : Irak, morts collatérales !

Et c'est quoi qu'il ne faut pas que Julian Assange nous montre, des crimes commis contre l'humanité gratuitement par les gardiens du Monde ?

C'est pour cela qu'Assange est en prison ?

 Pour nous montrer leurs crimes ?
Parce qu'il montre l'horreur commise par les criminels US et ses alliés ?


Malheureusement en Anglais.

Utilisez un traducteur :

Collateral Murder

Overview

Update: On July 6, 2010, Private Bradley Manning, a 22 year old intelligence analyst with the United States Army in Baghdad, was charged with disclosing this video (after allegedly speaking to an unfaithful journalist). The whistleblower behind the Pentagon Papers, Daniel Ellsberg, has called Mr. Manning a 'hero'. He is currently imprisoned in Kuwait. The Apache crew and those behind the cover up depicted in the video have yet to be charged. To assist Private Manning, please see bradleymanning.org.

5th April 2010 10:44 EST WikiLeaks has released a classified US military video depicting the indiscriminate slaying of over a dozen people in the Iraqi suburb of New Baghdad -- including two Reuters news staff.

Reuters has been trying to obtain the video through the Freedom of Information Act, without success since the time of the attack. The video, shot from an Apache helicopter gun-sight, clearly shows the unprovoked slaying of a wounded Reuters employee and his rescuers. Two young children involved in the rescue were also seriously wounded.

Short version

Collateral Murder - Wikileaks - Iraq

http://www.youtube.com/watch?v=5rXPrfnU3G0&feature=pl...

Full version

Wikileaks leaked video of Civilians killed in Baghdad - Full video

http://www.youtube.com/watch?v=is9sxRfU-ik&feature=player_embedded


WikiLeaks' Collateral Murder:
U.S. Soldier Ethan McCord's Eyewitness Story

http://www.youtube.com/watch?v=kelmEZe8whI&feature=pl...

The military did not reveal how the Reuters staff were killed, and stated that they did not know how the children were injured.

After demands by Reuters, the incident was investigated and the U.S. military concluded that the actions of the soldiers were in accordance with the law of armed conflict and its own "Rules of Engagement".

Consequently, WikiLeaks has released the classified Rules of Engagement for 2006, 2007 and 2008, revealing these rules before, during, and after the killings.

WikiLeaks has released both the original 38 minutes video and a shorter version with an initial analysis. Subtitles have been added to both versions from the radio transmissions.

WikiLeaks obtained this video as well as supporting documents from a number of military whistleblowers. WikiLeaks goes to great lengths to verify the authenticity of the information it receives. We have analyzed the information about this incident from a variety of source material. We have spoken to witnesses and journalists directly involved in the incident.

WikiLeaks wants to ensure that all the leaked information it receives gets the attention it deserves. In this particular case, some of the people killed were journalists that were simply doing their jobs: putting their lives at risk in order to report on war. Iraq is a very dangerous place for journalists: from 2003- 2009, 139 journalists were killed while doing their work.

http://www.collateralmurder.com/

Iraqi family demands justice for US attack death

http://www.youtube.com/watch?v=Dw_5tZqzwXg&NR=1


Julian Assange de Wikileaks accusé de viol par un personnage lié aux groupes anti-castristes financés par la CIA

Nous y voilà ! Qui a créé la CIA pour protéger les Grands Gris Reptiliens, pour ridiculiser le phénomène OVNI, faire taire la rumeur sur les ET et les OVNIS, et éliminer les témoins ? Le MJ12.

Ne soyons donc pas étonnés que Julian Assange soit victime d'un dossier monté de toutes pièces contre lui, par la CIA !

Julian Assange de Wikileaks accusé de viol par un personnage lié aux groupes anti-castristes financés par la CIA

Kirk James MURPHY

Hier, Alexander Cockburn nous a rappelé l’information révelée par Israel Shamir et Paul Bennet dans Counterpunch au mois de septembre. Le principal accusateur d’Assange en Suède a un lourd passé de collaboration avec les groupes anticastristes dont au moins un est financé par les Etats-Unis et ouvertement soutenu par un ex-agent de la CIA condamné pour son implication dans l’assassinat de 73 cubains dans un attentat en plein vol contre un avion de ligne.

Anna Ardin (la plaignante officielle) est souvent décrite par les médias comme une « gauchiste ». Elle est liée aux groupes anticastristes et anticommunistes financés par la CIA. Elle a publié ses diatribes anticastristes (voir ici et ici) dans le journal de langue suédoise Revista de Asignaturas Cubanas publié par Misceláneas de Cuba. A Oslo, le professeur Michael Seltzer souligne que ce journal est produit par une organisation anticastriste en Suède grassement financée. Il remarque aussi que le groupe est lié à l’Union Libérale Cubaine dirigée par Carlos Alberto Montaner dont les liens avec la CIA sont exposés ici.

Quelle surprise, non ? Shamir et Bennet ont raconté le passé d’Ardin à Cuba où elle a collaboré avec une organisation qui est ouvertement soutenue par un véritable terroriste, Luis Posada Carriles.

A Cuba elle a collaboré avec une groupe de femmes anticastriste Las Damas de Blanco. Ce groupe reçoit des fonds du gouvernement US et est soutenu par le terroriste anticommuniste, condamné par la justice, Luis Posada Carriles. Wikipedia cite Hebe de Bonafini, président des Mères de la Place de Mai en Argentine qui déclare « Les soi-disant Femmes en Blanc défendent le terrorisme des Etats-Unis ».

Qui est Luis Posada Carriles ? Un assassin notoire et ancien agent de la CIA.

Luis Clemente Faustino Posada Carriles (né le 15 février 1928 – alias Bambi pour certains exilés Cubains) (1) est un Vénézuelien d’origine cubaine, et un anticommuniste extrémiste. Ancien agent de la CIA (2) il a été condamné par contumace pour différents actions et complots terroristes sur le continent Américain, dont : l’explosion d’une bombe à bord d’un avion de ligne cubain en 1976 qui a couté la vie aux 73 passagers ; (3) (4) l’aveu de son implication dans une série d’attentats en 1997 visant des hotels et des lieux touristiques à Cuba ; (5) (6) (7) implication dans l’invasion de la Baie des Cochons ; et implication dans l’affaire Iran-Contra.

Luis Posada Carilles est un personnage si maléfique que même l’administration Bush voulait le voir en prison :

En 2005, Posada Carriles a été détenu par les autorités US au Texas pour entrée illégale sur le territoire national mais le charges furent abandonnées le 8 mai 2007. Le 28 septembre 2005, un juge US a décidé que Posada ne pouvait pas être expulsé vers le Venezuela car il risquait d’y subir des tortures. (11) Sa libération sous caution le 19 avril 2007 a provoqué la colère des gouvernements Cubain et Vénézuelien. (12) Le Département de la Justice US avait demandé à la cour de le maintenir en prison car il « avait reconnu être l’auteur de complots et d’actions terroristes », et parce qu’il risquait de s’enfuir et représentait un danger pour la communauté. (7)

Qui est le principal accusateur de Julian Assange en Suède ? Elle est une militante pour l’égalité des sexes à l’université d’Uppsula – et qui a choisi de s’associer avec un groupe financé par les Etats-Unis et ouvertement soutenu par un terroriste et assassin notoire. C’est le hasard si ses écrits sont publiés par un groupe grassement financé par les US et lié à l’Union Libérale Cubaine, dont le dirigeant, Carlos Alberto Montaner, est apparu par hasard sur une chaîne de télévision colombienne d’extrême-droite quelques heures seulement après le coup d’état au Honduras. Où il est allé rejoindre le dirigeant du coup d’état manqué en Équateur dirigé contre Correa. Montaner a aussi par hasard bruyamment défendu le coup d’état violent au Honduras et chanté les louanges de la junte militaire hondurienne. Jean-Guy Allard, un journaliste à la retraite qui écrit pour le quotidien cubain Granma, nous décrit le tableau :

« Un couple étrange est apparu sur NTN 24, une chaîne de télévision colombienne d’extrême-droite alignée à la Fox Broadcasting Company aux Etats-Unis. Quelques heures seulement après la tentative de coup d’état à Quito, Equateur, l’agent de la CIA Carlos Alberto Montaner, recherché par le justice cubaine pour terrorisme, s’est joint à un des dirigeants du coup d’état manqué en Equateur, le lieutenant colonel Lucio Gutiérrez, pour attaquer le président Rafael Correa...

Parallèlement à son activité dans les médias, Montaner est connu pour son soutien fanatique aux éléments les plus extrémistes de la mafia cubano-américaine.

L’année dernière, au lendemain du coup d’état contre le président hondurien Manuel Zelaya, le 28 juin, il est devenu un fervent supporter du dictateur Roberto Micheletti, en compagnie de la députée US Ileana Ros-Lehtinen (future présidente de la Commission des Affaires Etrangères de la Chambre des Représentants US - NdR), en compagnie aussi d’un autre terroriste cubano-américain et collaborateur de la CIA, Armando Valladarés.

Montaner s’est souvent rendu à Tegucigalpa pour « défendre les droits de l’homme » et en même temps applaudir le régime fasciste hondurien lorsque celui-ci a envoyé sa police pour réprimer les manifestations du Front National de Résistance. »

Oh, et l’accusation de « viol » qui a entâché la réputation de Julian Assange dans le monde entier ? Jeudi, James D. Catlin, l’avocat de Melbourne qui représente Assange à Londres, a écrit :

« Apparemment, avoir des rapports sexuels consentants sans préservatif est punissable d’une peine d’emprisonnement de deux ans minimum pour viol. C’est sur cela que se fondent les accusations de viol contre le représentant de Wikileaks, Julian Assange, et qui feront de la Suède et son système judiciaire la risée du monde entier et endommagera sa réputation de pays modèle.

Le bureau du procureur général suédois était embarrassé au mois d’août dernier lorsque la presse a su qu’il voulait faire arrêter Assange pour viol, et a retiré la mandat d’arrêt le jour même parce que, selon ses propres mots, il n’y avait « aucune preuve ». La réputation d’Assange a été salie de manière incalculable. Plus de trois-quarts des références à Assange sur Internet font référence au viol. Trois mois plus tard et trois procureurs plus tard, les suédois semblent avoir enfin accordé leurs violons : un rapport sexuel avec consentement qui a commencé avec un préservatif s’est terminé sans préservatif, ergo, le rapport était sans consentement. »

J’ai passé une bonne partie de ma vie professionnelle comme psychiatre à aider les femmes (et hommes) victimes de violences sexuelles. Le viol est un crime horrible. Et pourtant, dans le cas d’Assange, sa présumée victime – militante féministe à l’université d’Uppsala – a choisi d’organiser une fête en l’honneur de son présumé agresseur – après qu’ils eurent eu des rapports sexuels que même les procureurs suédois qualifient de consentants. L’avocat Caitlin de nouveau :

« Le phénomène des réseaus sociaux via internet et les téléphones mobiles empêche les autorités suédoises de charger le dossier contre Assange parce qu’ils seraient encore moins crédibles devant les tweets d’Anna Ardin et les SMS de Sofia Wilen vantant leur conquêtes respectives après les « crimes ». »

Dans le cas d’Ardin, il est clair qu’elle a organisé une fête en honneur d’Assange dans son appartement après le « crime » et a envoyé un tweet à ses amis pour leur annoncer qu’elle était en compagnie « des gens les plus intelligents et cools de la planète, c’est incroyable ! » Vous pouvez consulter le tweet vous-même sur internet. Le fait qu’Ardin ait tenté de faire effacer ces messages révélateurs est grave. Le fait qu’elle a publié sur Internet un guide sur « comment se venger contre ton petit ami qui te trompe » est encore plus préoccupant. Le contenu exact des SMS du téléphone portable de Wilen n’est pas encore connu mais leur caractère orgueilleux et enthousiaste a été confirmé par les procureurs suédois. Ni Wilen ni Ardin se plaignent de viols. »

Le monde est petit, n’est-ce pas ? Julian Assange est le visage public de Wikileaks – l’organisation qui a permis à des donneurs d’alerte de révéler au monde entier d’horribles crimes de guerre et une partie de la politique étrangère des Etats-Unis.

Il rencontre par hasard une suédoise qui par hasard publie dans un groupe anticastriste grassement financé et qui par hasard a des liens avec un groupe dirigé par un homme décrit par au moins un journaliste comme un agent de la CIA, c’est-à-dire le bras violent et secret de la politique étrangère des Etats-Unis.

Et – malgré son action en Suède pour l’égalité des sexes – à Cuba elle est associée par hasard à un groupe ouvertement soutenu par un agent reconnu de la CIA, lui-même un assassin qui a participé à un attentat terroriste contre un avion de ligne cubain... un acte qui faisait partie de la politique étrangère secrète et violente des Etats-Unis contre Cuba.

Et maintenant – après avoir avoué avoir eu des rapports consentants – elle se présente aux autorités suédoises pour expliquer que les rapports se sont terminés sans préservatif... qui est par hasard le motif invoqué par Interpol pour émettre une « Alerte Rouge » contre Julian Assange.

Qui, par hasard, est l’homme que la classe politique US – ceux qui dirigent la politique étrangère des Etats-Unis – tentent de réduire au silence. Et qui, par hasard, se trouve être le même homme contre lequel certains appellent au meurtre

Avec une telle soif de vengeance, on peut comprendre qu’ils aient décidé par hasard de consulter une page du guide de la vengeance d’Anna.

Kirk James Murphy

http://my.firedoglake.com/kirkmurphy/2010/12/04/assanges-...

Traduction VD pour le Grand Soir, avec probablement les fautes et coquilles habituelles

http://www.legrandsoir.info/Julian-Assange-de-Wikileaks-a...


 

Wikileaks détiendrait des documents relatifs aux extraterrestres et aux OVNI

Pas étonnant que Julian Assange et Gary MaKinnon soient persécutés par les autorités et les Elites !


Quand le secret sera levé sur les ET et les Ovnis, le monde que nous avons connu et que l'on nous a présenté depuis des millénaires s'écroulera complètement, à commencer par le Vatican et les religions ! Il faut donc que l'Unique Religion Mondiale qui est la base même de l'instauration du Nouvel Ordre Mondial soit établie par les Grands Gris Reptiliens pour que la révélation ait lieu ! Ne rêvez donc pas d'une révélation quelconque par les officiels, ils ne sont pas fous d'aller fracasser leur fonds de commerce millénaire avant que vous ne soyez  tous mis à genoux !  

  

Wikileaks détiendrait des documents relatifs aux extraterrestres et aux OVNI

  

Le quotidien Britannique « The Guardian », via son site internet ; a eu l'occasion d'organiser une interview du fondateur de Wikileaks, le site controversé de divulgation de documents jusque là gardés secrets.


Le public a également pu poser ses propres questions à l'homme le plus recherché par Interpol. Forcément, l'ufologie y a figuré…

   

Nous remercierons donc un certain « Achanth » qui a posé la question suivante : « Monsieur Assange ; vous a t-on déjà communiqué des documents faisant référence aux OVNI ou aux extraterrestres ? »

 
Réponse de l'intéressé : « Beaucoup d'excentriques nous contactent par courrier électronique à ce sujet. Certains nous expliquent comment ils ont découvert qu'ils étaient l'Antéchrist en parlant, assis sur une plante verte, avec leur ex-femme à une réception en plein air. Cependant, ils n'ont pas encore satisfait à nos deux règles de publication : que les documents ne soient pas conçus par la source, et qu'ils soient originaux. Cependant, il faut noter que dans certaines parties des archives que nous n'avons pas encore divulguées, il y a en effet des références aux OVNIs. »

  

Toujours selon « The Guardian « , apprend-on dans ces mêmes échanges entre diplomates internationaux que la demande du Premier Ministre Britannique Gordon Brown à l'administration Obama concernant le pirate informatique Gary Mac KINNON (ayant réussi à s'introduire dans les données sensibles de la NASA) pour que celui-ci effectue sa peine en Grande-Bretagne a été refusée catégoriquement par le Président Américain. Même le successeur de Gordon Brown ; David Cameron s'y est cassé les dents ; évoquant la possibilité de plaider coupable pour pouvoir purger sa peine « à la maison« . En vain, le gouvernement reste inflexible et veut la tête du pirate.

 

Bref, ce que nous attendons tous n'est pas encore diffusé par Wikileaks. Attendons donc d'autres publications à venir, en espérant qu'il s'agira davantage de documents militaires ou scientifiques plutôt que des échanges diplomatiques sans réelle pertinence à la grande divulgation de la vie extraterrestre intelligente.

 

Rien à voir avec l'annonce pompeuse de la NASA et sa « bactérie à l'arsenic »

Source: bebr.fr

 

Articles similaires

http://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/wikileaks/81805...

http://economictimes.indiatimes.com/articleshow/7042278.cms

http://www.guardian.co.uk/world/2010/nov/30/wikileaks-cab...

 
  

Julian Assange du site Wikileaks va publier des documents référencés ovnis s'il n'est pas assassiné d'ici là

 

crash-roswell.jpg 

Lire l'article mis en ligne le 04 décembre 2010, sur le site ici :  

http://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/wikileaks/81805...

En Français :  

http://translate.google.fr/translate?u=http%3A%2F%2Fwww.t...  

Les documents révélés par le site Wikileaks évoquent le Pirate des Ovnis Gary McKinnon :  

http://ovniparanormal.over-blog.com/article-les-documents...   


Stephen Bassett, Directeur du Paradigm Research Group, est intervenu le 4 décembre sur Coast to Coas AM de 22h à 22h30 pm (pacific time) invité par George Noory pour répondre aux questions qu'on se pose après les récentes déclarations de Julian Assange au Guardian.
http://www.coasttocoastam.com/


Stephen Bassett on Wikileaks and UFO/ET Documents

Commentaire sur le forum Ici et maintenant
"En attendant, nous avons appris que dans ce dossier se trouvent des documents souvent fantaisistes, et que WikiLeaks n'accorde aucun crédit aux témoignages individuels. Mais Julian Assange possède des cables diplomatiques sur le sujet, et c'est cette partie qui l'intéresse. Il était inévitable que WikiLeaks diffuse de telles infos, la seule question était : Quand vont-ils le faire ? Quoi qu'on en pense, l'action de WikiLeaks est une opportunité extraordinaire. Ils valident bien des théories conspirationnistes, en nous permettant de constater comment le gouvernement a développé la pratique systémique du secret au point de commettre de tels abus. Assange a de bonnes raisons de craindre qu'on tente de l'assassiner... C'est le début d'une nouvelle ère. Le sujet des Ovnis occupe une place de choix, qui démontre les abus de l'empire secret dans un domaine essentiel. Nous reviendrons vous en parler dès que ça sort publiquement."
http://icietmaintenant.fr/SMF/index.php/topic,14424.15.html

08/12/2010

John F. Kennedy et les OVNIs, par Jim Marrs

Voilà sûrement ce que Julian Assange voulait révéler  sur JFK,  les OVNIS et les ET, qui ne plaît pas aux Grands Gris reptiliens et à la CIA !

Le Président qui disait la vérité !

 

samedi 7 mars 2009 par NewsOfTomorrow

(Traduction Jsf)

Le Président John F. Kennedy pourrait en avoir su davantage que la plupart d’entre nous à propos des OVNIs, selon plusieurs sources crédibles. Le niveau élevé de connaissance que Kennedy avait sur les OVNIs est confirmé par un ancien steward d’Air Force One qui a parlé d’une remarque cryptique du Président Kennedy.

Bill Holden, qui a également servi en tant qu’arrimeur de fret pour l’Air Force One, a voyagé avec Kennedy en Europe en été 1963. Il a dit qu’une conférence sur les OVNIs à Bonn, en Allemagne, avait déclenché une discussion sur le sujet dans un avion du président un matin. Holden a dit qu’il s’est adressé à Kennedy et a demandé, "Que pensez-vous des OVNIs, Mr. le Président ?" Il a dit que Kennedy est devenu plutôt sérieux et a réfléchi un moment avant de répondre :"J’aimerai parler de la situation extraterrestre au public mais, mes mains sont fatiguées."

Un document controversé du MJ-12 ayant pour titre "Aperçu de l’Unité de Phénomène Interplanétaire" a fait mention des connaissances "d’insider" de Kennedy. Ce document, apparemment écrit peu de temps après le crash au Nouveau Mexique en juillet 1947, déclare, "Le CIC [Counter Intelligence Corps] a su que certaines des opérations de récupération ont été partagées avec John F. Kennedy, démocrate du Massachusetts élu au Congrès en ’46, fils de Joseph P. Kennedy, Commission sur l’organisation de l’exécutif du gouvernement. [Jack] Kennedy avait des devoirs limités en tant qu’officier affecté aux services de renseignements de la Marine pendant la guerre. On croit qu’il a obtenu l’information [concernant les crashs de Roswell] [d’une] source dans le Congrès qui est proche [du] Secrétaire de l’armée de l’air." Kennedy était le seul membre du Congrès qui savait la vérité sur l’incident de Roswell en ces temps-là.

Pourtant, un autre document semble être une note écrite du président Kennedy au directeur de la CIA : "Examen de la classification de tous les dossiers du renseignement sur les OVNIs ayant lien à la sécurité nationale." Dans cette note, Kennedy déclare, "... J’ai engagé [noirci] et ai chargé James Webb [alors directeur de la NASA] de développer un programme spatial et d’exploration lunaire en commun avec l’Union Soviétique. Ce serait très utile si vous aviez les cas de grande menace examinés dans le but de l’identification de bonne foi, par opposition aux sources classifiées de la CIA et l’USAF. Il est important que nous fassions une distinction claire entre les connus et les inconnus au cas où les soviétiques prendraient notre coopération étendue comme une couverture pour la collecte de renseignements sur leur défense et leurs programmes spatiaux.” Kennedy a ensuite demandé à ce que tous les fichiers sur les "Inconnus" soient envoyés aux autorités de la NASA et qu’un rapport soit transmis à la Maison-Blanche au plus tard le 1er février 1964.

Ce document qui montre clairement que le président allait parler des secrets sur les OVNIs à des cercles plus extérieurs dans le gouvernement, et donc, allait probablement informer le public, est daté du 12 novembre 1963, 10 jours seulement avant son assassinat à Dallas le 22.

S’accrochant désespérément à leur conviction de l’inexistence des OVNIs, les débunkers mettent en doute l’authenticité de ce document, mais un document absolument authentique a été trouvé dans la bibliothèque de John F. Kennedy.

Le mémorandum No. 271 de la National Security Action a pour titre "Coopération avec l’URSS pour les questions spatiales" et est adressé au directeur de la NASA, à ce moment-là James Webb. Ce mémo signé ne mentionne pas les OVNIs en particulier, mais cependant, Kennedy charge Webb d"’assumer personnellement la responsabilité centrale et l’initiative dans le gouvernement du développement d’un programme de coopération avec l’Union Soviétique dans le domaine spatial, ce qui inclue l’élaboration de propositions techniques.." Kennedy a ajouté que ce plan était le résultat de sa "demande du 20 septembre pour une coopération élargie entre les États-Unis et l’Union Soviétique dans le domaine spatial, y compris une coopération dans les programmes d’alunissages." Ce document incroyable était également daté du 12 novembre 1963, mais qui aurait cru en 1963 que les États-Unis et l’Union Soviétique se seraient engagés dans des opérations communes d’exploration spatiale ? Le registre de la Maison Blanche pour ce jour montre qu’à 14h Kennedy a déjeuné et n’avait ensuite "pas de rendez-vous officiels" mais des "entretiens avec des membres divers de l’équipe pendant l’après-midi." De toute évidence, ce jour-là, Kennedy avait largement assez de temps pour traiter de problèmes spatiaux.

Il est aussi évident que cette apparente tentative de coopérer avec l’URSS s’est conclue par la mort de Kennedy à Dallas. Avec l’administration de Ronald Reagan, on était encore avertis du danger de "l’empire du mal" et la coûteuse guerre froide a perduré. Les opposants à JFK devenaient frénétiques en voyant ses tentatives de modifier le cours de la politique qu’avait entretenue auparavant les États-Unis. Selon une source informée, Kennedy jouait un jeu dangereux, "... après avoir mis au clair qu’il n’allait pas soutenir l’action contre les communistes dans le sens habituel - il planifiait de retirer les troupes du Sud-Vietnam, de fragmenter ou d’éliminer des filières de la CIA ; d’étendre le système judiciaire ; il n’avait pas soutenu l’invasion de la Baie des Cochons ; et désirait partager certains des secrets les plus sensibles avec les Russes et les Chinois – plates-formes spatiales, etc... Tout cela dans une époque où sa popularité grandissait à pas de géant dans le peuple américain – alors qu’il ne jouissait pas de l’appui de la majorité à son élection. Situation très dangereuse, laissant peu de méthodes de contrôle de disponibles autres que l’assassinat."

La même source continue, "Je crois que John F. Kennedy avait accès à suffisamment d’informations classifiés, qu’il avait évalué, pour en venir personnellement à la conclusion que les OVNIs et donc de possibles formes de vie extraterrestres vivent dans notre système solaire... Je pense que Kennedy en est certainement venu à cette conclusion... et cherchait à démontrer non seulement que l’humanité pouvait se réunir autour d’un but commun, mais prouver formellement que nous pouvions entrer et conquérir l’espace en tant qu’espèce. À l’époque, certains pourraient avoir pensé que c’était une folie (s’ils n’avaient pas eu accès aux informations) ou (s’ils y avaient eu accès) que c’était très prématuré et potentiellement dangereux.

Toute l’affaire JFK a changé autour de son discours prévu à Dallas Trade Mart, destination de son cortège funeste le 22 novembre 1963. Plusieurs chercheurs et quelques tabloïds ont affirmé qu’il avait prévu de changer son discours et utiliser des notes manuscrites, qui auraient pu contenir des commentaires sur les OVNIs. Ces notes n’ont jamais été rendues publiques et continuent de nourrir les théories.

Encouragés par de tels alléchants indices, certains chercheurs affirment même que l’assassinat de Kennedy avait pour fin de l’empêcher de révéler des informations sur les visites extraterrestres au public.

Bien que cette théorie soit certainement non prouvée et sans doute fausse, sa volonté de mettre fin à la guerre froide et partager les connaissances sur l’espace avec nos ennemis de l’époque a pu briser le dos du complexe Militaro-Industriel (et du Renseignement). Ce groupe avait déjà pensé que le jeune président était "doux avec le communisme" et dangereux pour leur structure de commandement et de contrôle.

Toutes les preuves maintenant en main, il fait peu de doutes que le président Kennedy en savait plus sur les OVNIs qu’on le croit d’habitude.

JFK-10 jours avant son assassinat

http://www.youtube.com/watch?v=Slf4_52kTw8&feature=pl...

Milton William Cooper déclare à ce sujet : Dans une certaine mesure, le président Kennedy découvrit des bribes de vérité au sujet des drogues et des aliénigènes. C’est pourquoi, en 1963, il posa un ultimatum à Majesty douze, leur enjoignant de faire place nette, sans quoi il se chargerait lui-même de faire le ménage dans le marché des stupéfiants. De plus, il informa Majesty douze de son intention de révéler l’existence des aliénigènes à toute la nation l’année suivante. Il leur ordonna donc de préparer un plan de divulgation conformément à cette décision. Or, Kennedy ne faisait pas partie du Conseil des relations étrangères (CFR). Aussi ne savait-il rien des solutions 2 et 3 ( bien que quelques personnes aient clamé que JFK était un membre du Conseil des relations étrangères, je n’ai pu trouver aucune liste légitime où son nom est cité). Au niveau international, les opérations secrètes étaient gérées par un comité de l’élite Bilderberg connu sous le nom de « Comité des politiques ». Aux Etats-Unis, ce comité était supervisé par le comité exécutif du Conseil des relations étrangères et en U.R.S.S., par une organisation homologue.

La décision du président Kennedy fit l’effet d’une pierre jetée dans un nid de frelons. Son assassinat fut aussitôt décrété par le Comité des politiques, puis l’ordre en fut transmis aux agents postés à Dallas. Le président John F. Kennedy a été assassiné par l’agent des services secrets qui conduisait sa voiture dans le cortège et l’acte est pleinement visible dans le film Zapruder. Regardez le conducteur et non pas Kennedy quand vous voyez le film. Tous les témoins oculaires qui se trouvaient aient à proximité de la voiture présidentielle ont très bien vu William Greer tirer sur Kennedy, mais tous ceux parmi eux qui ont cru bon en parler aux autorités ont subi le même sort que Kennedy dans les deux années qui suivirent son meurtre. Rien d’étonnant, du reste, à ce que la commission Warren n’ait abouti à aucun résultat concluant puisque la majorité de ses sièges était occupée par des membres du Conseil des relations étrangères. Par ailleurs, elle a fort bien réussi à obnubiler le peuple américain.

Jim Marrs, auteur d’Alien Agenda

NewsOfTomorrow