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01/07/2009

« Bertelsmann, une Fondation au service de la gouvernance mondiale », par Pierre Hillard Par Pierre Hillard

« Bertelsmann, une Fondation au service de la gouvernance mondiale », par Pierre Hillard

Par Pierre Hillard, pour Mecanopolis

juin 28 2009

La Fondation Bertelsmann évoque peu de choses auprès des Français. Nous serions même tentés de dire que cela n’évoque rien du tout. Pourtant, le lecteur doit prendre conscience que les grandes décisions sont toujours conçues par une minorité. Le peuple prétendu souverain n’a aucune prise sur l’évolution interne et externe du pays. Le choix qu’il porte sur tel ou tel candidat du système ne change rien à la donne parce que ce dernier est, en fin de compte, le produit de l’oligarchie. Parvenu au pouvoir, le « poulain » issu de la matrice financière se voit servi tout frais une série de rapports et de documents qui conditionnent sa politique dans tous les domaines. Ceci est patent dans le cas de la Fondation Bertelsmann.

 

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En fait, il faut distinguer l’entreprise de la Fondation. A l’origine, l’entreprise a vu le jour en 1835 grâce aux efforts de son fondateur Carl Bertelsmann. Ce dernier et ses successeurs ont su développer leurs affaires au point que la petite imprimerie de la première moitié du XIXè siècle était devenue le premier fournisseur du IIIè Reich à la veille de la Seconde guerre mondiale. A partir de 1945, son jeune président, Reinhard Mohn (descendant de la famille Bertelsmann, mais par les femmes), reprend en main l’affaire familiale et donne à son entreprise la taille d’un empire. En effet, c’est un véritable empire des médias et de l’édition qui a vu le jour. Fort d’un chiffre d’affaires de plus de 18 milliards d’euros, Bertelsmann est à la tête de filiales comme RTL (radio), M6 (télévision) et d’une variété de journaux et de revues comme GEO, Femmes Actuelles, VSD, Stern, Gala etc. A cela, il faut ajouter que la plus grande maison d’édition américaine, Random House, est sous la coupe de cette entreprise germanique. Ainsi, lorsque Barack Obama a publié son livre en 2006 L’audace de l’espoir chez Random House ; en fait, c’était sous l’égide de Bertelsmann. Enfin, précisons que le groupe de distributeurs de livres, France Loisirs, est coiffé par Bertelsmann même si ce dernier, selon certaines indiscrétions, tente de se séparer de sa filiale française. Cette simple énumération suffit à souligner le poids incontournable de ce grand média allemand en Europe mais aussi dans le monde. Cependant, ce poids est d’autant plus renforcé que les dirigeants de Bertelsmann ont su profiter des succès de l’entreprise pour financer la création d’un « laboratoire à idées » : la Fondation Bertelsmann.

Celle-ci a vu le jour en 1977. Ses objectifs sont clairs. Il s’agit d’œuvrer dans trois domaines : la construction européenne, le renforcement du partenariat transatlantique et élaborer une politique au Proche-Orient subdivisée en deux parties ; Israël et le monde musulman.

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Bertelsmann et ses ramifications
(cliquer sur l’image pour l’agrandir)

Dans le cas européen, les efforts de la Fondation Bertelsmann sont probants puisqu’elle a joué un rôle décisif dans la relance du projet de constitution européenne après les non français et hollandais en 2005. En effet, un rapport a été adopté par le Parlement européen en janvier 2006 appelant à remettre sur les rails l’idée d’une constitution dotée de la personnalité juridique (droit accordé à l’Union européenne d’être un acteur reconnu sur la scène internationale). Malgré le non irlandais en juin 2008, le projet de constitution est maintenu. Or, les deux rapporteurs, les députés anglais et autrichien au Parlement européen, Andrew Duff et Johannes Voggenhuber, ont travaillé en liaison étroite avec la Fondation Bertelsmann. Celle-ci a bénéficié de relais au sein du Parlement européen comme les présidents des commissions des Affaires étrangères et constitutionnelles (Elmar Brok et Jo leinen) pour remettre en vigueur l’idéal politique de Valéry Giscard d’Estaing. Ce texte doit théoriquement voir le jour en 2010. Parallèlement à l’évolution de la politique européenne, la Fondation Bertelsmann s’active dans le renforcement des liens transatlantiques. En fait, cette Fondation se démène pour réussir à créer un bloc transatlantique unifié pour 2015. Ces ambitions vont très loin puisqu’il est spécifié qu’une « arène monétaire » doit voit le jour de part et d’autre des rives de l’Atlantique. C’est l’annonce en filigrane d’une monnaie transatlantique. Dans ce cas bien précis, l’Europe contre puissance est un vain mot.

Enfin, les activités de la Fondation Bertelsmann s’exercent en direction du Proche-Orient : Israël et le monde musulman. Dans le cadre du « Dialogue germano-juif » (Deutsch-jüdischer Dialog), Bertelsmann souhaite associer un « troisième pilier » du judaïsme (Israël) à ceux des piliers Nord-américain et européen. Pour ses promoteurs, il s’agit de favoriser l’émergence d’un immense bloc euro-atlantique prolongé jusqu’à l’État d’Israël. Il va de soi qu’une même organisation politique, économique, militaire et philosophique doit structurer cette immense architecture au sein de laquelle le monde musulman doit s’adapter. C’est tout l’enjeu des « Discussions de Kronberg » (Kronberger Gespräche) qui animent les travaux de la Fondation Bertelsmann. Cette dernière cherche à « moderniser » l’esprit des musulmans afin de les rendre aptes, selon elle, aux exigences de la modernité. Cela se traduit par une série de mesures allant dans la voie de l’occidentalisation des structures politiques, sociales et morales des sociétés musulmanes. D’une certaine manière, c’est une forme de « Vatican II » que Bertelsmann veut imposer aux esprits arabo-musulmans en liaison avec les think tanks anglo-saxons. Une telle politique court le risque d’aviver les tensions avec ces populations rétives aux préceptes occidentaux.

Finalement, les travaux de la Fondation Bertelsmann accompagnent et renforcent les ambitions d’une gouvernance mondiale politique, financière et monétaire dont le coup d’envoi officiel fut lancé lors du Sommet du G-20 à Londres en avril 2009.

Pierre Hillard, pour Mecanopolis


Pierre Hillard est l’auteur du livre
« La Fondation Bertelsmann et la gouvernance mondiale »

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Editions François-Xavier de Guibert, 2009


Le règne du chaos

Première partie :

La stratégie du chaos fonctionne sur l’entretien mensonger de la terreur ; elle gère et attise le désordre, l’effroi, la crainte religieuse, la panique sociale, la haine raciale, pour mieux affirmer son contrôle liberticide. Le cynisme de sa pratique nous informe sur son projet idéologique : celui d’un pouvoir seigneurial et sans partage.

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Le mouvement de liquidation du système fédéral américain, qu’il convient maintenant d’appliquer au monde entier, s’est organisé selon un plan logique et structuré : développer un dispositif chaotique de type féodal fonctionnant sur l’ignorance, la désinformation et le crime mafieux, afin de rendre invisible et invulnérable le centre réel du pouvoir.

Ce dispositif opacifie les centres de décision (impossibilité de consolider les bilans des grandes multinationales) ; il privatise la recherche scientifique, l’enseignement et les institutions gouvernementales ou non gouvernementales de contrôle ; il tente de réduire le savoir à la seule communication permise. Tout ce qu’il finance plus ou moins visiblement, c’est ce qu’il contrôle de manière occulte. On peut mesurer son pouvoir de corruption à la mise en place d’un circuit moderniste d’Argent-Marchandise-Argent pouvant être décliné à l’infini en Argent sale-Marchandise-Argent, ou, Argent-Marchandise-Argent sale, etc. Ainsi, les techniques du contrôle mafieux deviennent les formes de la politique la plus moderne. L’État entièrement sous contrôle, on assiste à son dépérissement absolu.

Une première réplique européenne de ce « coup du monde » à d’abord été donnée en Italie ces quinze dernières années. Elle a d’abord prétendu nettoyer ses institutions politiques, juridiques, journalistiques, policières, militaires. Puis, soudain, par un détournement de l’opération « mains propres », elle a légitimé la « modernité et le sens de l’État» d’une classe politique qui, après être passée par les juges et la prison, revenait, vierge de tout soupçon, à la nation. En réalité, ce détournement réussi, devant des médias aux ordres, fut la victoire de la nouvelle mafia d’affaires s’emparant des hautes sphères de l’État.

La nouvelle société mafieuse à réussi en Italie un coup d’État légal : son crime est propre. En contrôlant tout ou partie des médias, c’est elle qui édicte les critères de vérité, mais surtout, c’est elle qui possède les armes de la pensée logique. Aujourd’hui, ce que les médias montrent, c’est ce que le crime organisé produit et non ce qu’il commet.

Le but de cette stratégie du chaos, son pouvoir féodal, est profondément liberticide. La suppression préméditée des libertés civiques qu’il organise va de paire avec son projet de liquidation de l’État républicain. Cet État, qui, la plupart du temps ne respectait le citoyen que pour son vote, est trop libre pour lui. Il arrive encore, mais de plus en plus rarement, que le citoyen sache pour qui il vote. Et c’est cette liberté là qui est en cause. Il ne s’agit pas de supprimer le droit de vote, mais de le rendre virtuel : on presse ce risque dans le développement, au sein même de l’État, d’une série d’instances décisionnaires sans contrôle électif. Les commissions européennes sont comme les sigles monétaristes : plus on en parle moins ils ont de comptes à rendre.

La stratégie du chaos qui modélise si habilement des mythes, comme celui de la persistance d’une démocratie en Amérique, n’a pas ignoré l’Europe. L’ambition de cette modélisation locale est de ruiner le respect envers la politique, et d’affirmer la primauté, nécessairement propre, de l’économie : les nouveaux juges ont condamné à la prison quelques lampistes, mais épargné avec le plus grand soin leurs donneurs d’ordres. Les maîtres des multinationales ont pu, en toute impunité, préparer l’Europe monétariste, et installer aux commandes une nouvelle génération d’hommes d’affaires instruits selon les codes de la mafia.

Après l’effondrement de l’Empire soviétique, l’Europe politique n’a pas su profiter, pour son projet d’unification, d’une opportunité historique qui ne se renouvellera plus. C’est à une collective absence d’ambition historique qu’on peut attribuer son incapacité à régler, en son seul nom, les conflits nés sur son sol. L’Europe politique n’a jamais pu imposer sa diplomatie en Europe Centrale et en Europe de l’Est comme à l’Ouest : elle ignore que cet échec, qu’elle revendique encore comme une victoire, la rend inoffensive pour les stratèges du chaos.

Aujourd’hui, chaque mesure qu’elle prend dans l’urgence, acculée par les médias, est toujours prise à contretemps. Elle ne prévoit plus, mais survit au jour le jour, confrontée au déferlement incessant du paradoxal et de l’insolite, de l’incompréhensible et du mystérieux qu’entretient le dispositif chaotique dominant. Un tel dispositif ne laisse aucune chance à la classe politique européenne : ce qu’il désorganise le mieux est précisément ce qu’il contrôle le mieux, et l’incertitude est la matière même de sa pratique. Face à une stratégie qui fait de la dissipation une technique de guerre, les décisions des politiques sont de moins en moins dictées par la raison, mais de plus en plus par une peur teintée de superstition.

L’Europe politique s’est perdue en abandonnant le savoir à des transnationales pour qui l’instabilité et l’incertitude, la surenchère et la terreur sont les fondements théoriques de leur contrôle sur la société. C’est justement en ce point que réside la forme d’invisibilité du dispositif chaotique. On peut cependant établir des liaisons dialectiques entre certains discours énigmatiques et quelques faits effrayants. Par exemple, entre l’accélération des mutations virales et le langage de la techno-science sur le devenir d’une médecine guérissant, dans un très proche futur, toutes les maladies. On peut établir d’autres relations logiques entre l’effondrement de l’institution sanitaire aux États-Unis et en Europe et l’apparition d’une tendance de la techno-science qui, par une perversion de la logique, veut imputer l’origine de la misère aux gènes et non à l’exploitation. On peut suggérer que la réponse apportée par la stratégie du chaos à la gestion des conflits s’apparente à un dispositif mathématique expérimental dont la sécheresse des résultats n’est pas redevable des morts. On peut encore signaler que, loin de toute génétique, certains secteurs très spécialisés de l’économie et de la politique pratiquent depuis longtemps une forme performante de clonage. On peut, pour finir, conseiller à la classe politique européenne de méditer sur la fonction hégélienne de la synthèse, c’est mise en perspective historique de la décision, qui est devenue la propriété exclusive de la société du chaos.

x6tenz, pour Mecanopolis

La suite de cet article se trouve ici

Source : http://www.mecanopolis.org/?p=8243&type=1

Deuxième partie :

La première partie de cet article se trouve ici

L’extrême cynisme qui domine la gestion mafieuse de la société se mesure dans la violence des attaques subies par la classe politique occidentale. Ceux qui tombent sous le coup d’affaires sont le plus souvent remplacés par des hommes et des femmes « aux ordres ». Les médias n’échappent pas à ce processus : ce qu’ils dévoilent par leur travail de recherche se retourne contre eux. On peut même affirmer qu’il n’y a plus de journalistes d’investigation dans les médias officiels contrôlés par de grands groupes économiques : les nouvelles affaires qu’ils « découvrent » sont le plus souvent téléguidées.

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La gestion chaotique d’une crise virtuelle, qui n’est en réalité qu’une mutation de la circulation monétaire, condamne à la misère assistée la plus importante partie de la population des pays dits « riches ». Cet assistanat se manifeste d’abord par une surconsommation médiatique, mais jamais par une aide financière proportionnée à la richesse générale. Pour les pauvres des sociétés occidentales, la misère est criante et l’argent se fait rare, mais les médias rayonnent. Les aides octroyées aux miséreux les maintiennent de toute façon en dessous du seuil de pauvreté.

Ceux qui n’ont plus rien, hormis la faculté de se reproduire, sont désignés comme les responsables d’une situation qui les condamne simultanément à la pauvreté aggravée et à la mortification. La crise dont on les accuse est virtuelle. Elle n’existe que dans le discours médiatique. Elle est la technique de désinformation utilisée par les stratèges du chaos pour supprimer les libertés et augmenter les bénéfices.

Un degré supérieur de l’infamie à été atteint lorsque, après le 11 septembre, des présidents et des ministres fantoches ont exhorté ceux qui subissent les privations les plus grandes à consommer massivement en empruntant l’argent qu’ils ne pourront jamais rembourser, de sorte à soutenir un ordre mondial qui les rend totalement esclaves.

Les stratèges du chaos, qui dissimulent leurs intentions par un usage systématique des sigles, ont inventé le FMI. Quelques lettres anodines qui cachent une infinité de fonctions. On l’utilise surtout pour gérer la crise de la dette, et pour cautionner le leurre d’une crise de l’économie. Nous vivions une crise virtuelle et le FMI, comme un leurre, est l’agent de cette modélisation. Selon un dispositif chaotique, le FMI dénonce des détails subalternes en ne les traitant pas, pour mieux dissimuler le sujet de sa mise en scène d’une économie de crise.

Ce ne sont pas le FMI et les instances monétaires qui interviennent directement dans les conflits en cours, mais ceux qui les animent, ceux qui s’agitent dans leur ombre, les manipulateurs de leur image virtuelle, ceux qui savent que l’ONU est désactivée par un nouvel ordre mondial, ceux qui connaissent les arborescences de la scène monétaire, ceux qui peuvent blanchir l’argent de la drogue, ceux qui peuvent négocier le sort des Palestiniens et composer avec les mafias russes et chinoises, ceux qui peuvent financer les Talibans - au nom du pétrole - et produire une série de clones de Ben Laden, ceux qui peuvent utiliser des armes à uranium appauvri en Irak et condamner les Serbes, ceux qui peuvent laisser pourrir les « cités » et privatiser l’enseignement, ceux qui peuvent empoisonner la planète et uniformiser tous les goûts et toutes les saveurs, ceux qui peuvent jouer avec les gènes comme ils jouent à la bourse tout en planifiant une « réduction massive de la population ».

Les créanciers des État-Unis ne connaissent pas de frontières. Ils sont parfois Américains. Cela importe peu. Le réseau criminel appelle un centre symbolique. Le crime à toujours besoin d’une cohérence centrale. Cette cohérence, ce sont les organisations monétaristes, qui n’existent que par leur sigle, qui la lui apportent.

La démocratie américaine est une fiction. Aux États-Unis cohabitent toutes les nuisances de l’époque : argent sale, puissance mafieuse, monétarisme incontrôlé, pauvreté tiers-mondiste et richesse éhontée, manipulation génétique, pollution exponentielle, intégrisme aveugle. Mais la fiction de la démocratie américaine est nécessaire a sa survie : la guerre. L’armée américaine est devenue l’équivalent moderne et à grande échelle de le Condottiere qui faisait la guerre pour le prince le plus offrant. Aujourd’hui, il n’y a qu’un seul prince et le Condottiere n’a plus le choix. Les États-Unis sont dotés de l’armée la plus moderne, technologiquement, et la plus soumise. Ils sont les Condottieri d’un groupe militaro-économico-industriel qui commande par sigles. Ils guerroient pour le compte de leur maîtres, avec la garantie morale du FMI.

On voudrait toujours nous faire croire qu’il y a une super-puissance qui contrôle, avec plus ou moins de succès, la planète. Des séries télévisées guerrières produites par CNN et ses clones tentent de nous en convaincre. On nous montre une armée et une bannière étoilée. Il semble que les morts sur l’écran soient de vrais morts. Mais les soldats à la bannière ne sont pas ce qu’ils pensent être. Ils ignorent pour qui ils se battent. A qui appartiennent les grands réseaux médiatiques ? Ils sont virtuellement américains. Des soldats se battent., tuent et meurent en brandissant leur bannière, image de synthèse d’un nouvel ordre mondial, en ignorant l’incroyable partie d’échecs dont ils ne sont que les pions.

x6tenz, pour Mecanopolis

Rédaction Mecanopolis

A la suite de cet article, nous placerons les Informations en Continu de la rédaction de Mecanopolis

Source : http://www.mecanopolis.org/?p=8366

USA : 9000 milliards de $ égarés par la Réserve Fédérale (FED)

9000 milliards de $ égarés par la Réserve Fédérale (FED)

Le 5 Mai 2009, Alain Grayson questionne l'Inspecteur Général, Elisabeth Coleman,de la FED sur les 9,7 trillions de dollars qui ont disparu et sur ceux ou celui qui ont bénéficié de cet argent.

L'Inspecteur Général de la Réserve Fédérale (FED) dans la vidéo ci-dessous, reconnaît que des trillions de dollars ne peuvent pas être retrouvés.

Ces cinq minutes de vidéo proviennent d'une audition du Congrès où l'Inspecteur Général de la FED, Elisabeth Coleman est interrogée par le Membre Du Congrès, Alain Grayson, le 5 mai 2009, sur les sommes d'argent énormes dont la FED est responsable.

L'Inspecteur Général évite de répondre à chaque question demandée. En fait, elle semble en savoir moins que le Membre du Congrès Grayson.

Selon les informations de Bloomberg, des trillions de $ de crédits ont été prolongés par la FED.

On s’inquiétait pour la dette US, qui vient de dépasser les 11300 milliards de dollars US , mais on découvre avec stupéfaction que la banque centrale des USA, la “Federal Reserve”, qui n’est en fait rien d’autre qu’un cartel constitué par les plus grands établissements bancaires des États-Unis d’Amérique, aurait égaré pas moins de 9000 milliards de dollars !

Disparus. Volatilisés. Plus aucune trace de ce qui représente une dette supplémentaire de 30 000 dollars par citoyen des USA.

En 2001, le 10 Septembre, c’est-à-dire la veille des attentats du 11 Septembre 2001, Donald Rumsfeld déclarait que le Pentagone avait égaré de manière inexplicable la somme de 2300 milliards de dollars US.

Pourquoi les grands médias, CNN, FOX, MSNBC, TF1, France 24, Itélé, BFMtv, Canal+, et LCI n'osent-ils pas en parler ?
Que va faire Mr.Obama ? Qu'elle est la responsabilité de l'administration Bush ? Cette histoire est-elle une "Secret Story" de la finance internationale ?

9000 milliards de $ égarés par la Réserve Fédérale (FED)

http://www.dailymotion.com/video/x9oibr_9000-milliards-de...

9000 milliards de $ égarés par la Réserve Fédérale (FED)

envoyé par Rudy-D. - L'actualité du moment en vidéo.

En complément:

LE JEU DE L'ARGENT - Archives oubliées

LES ARCHIVES OUBLIEES N°2

Documentaire Canadien : Le contrôle et la création du dollar américain est effectué, non pas par le gouvernement, mais par une banque privée "la réserve fédérale" (FED) qui détient le monopole.

 



Doc maison sur les Bilderberg:
http://leweb2zero.tv/video/alfred_27484ba3b73294a

28/06/2009

Instauration du Nouvel Ordre Mondial pour l'automne 2009 ?

Une analyse géopolitique intéressante à écouter, ce d'autant plus que ces informations sont recoupées par d'autres sources journalistiques à découvrir ci-dessous après avoir écouté la vidéo.

Le 28/06/2009

Mr Ahmadinejad confirme une conspiration britannique
visant à déstabiliser le Moyen-Orient.
Tsunami financier et économique à l'automne 2009.
Faille de San Andréas désormais dans la ligne de mire du sommet de la franc-maçonnerie.
Décès de Michael Jackson et Nouvel Ordre Mondial.

Alain Delon : le nouveau pion utilisé par le sommet de la franc-maçonnerie pour le nouvel ordre mondial.

Source : http://revelations4.blogs.fr/

LE MESSAGE AUDIO CORRESPONDANT :

http://www.blog-video.tv/video-10631eb87f-Archive-tele-du...


Archive télé du 28/06/2009 10:45:12 sur Blog video

Journalist Files Charges against WHO and UN for Bioterrorism and Intent to Commit Mass Murder

by Barbara Minton, Natural Health Editor
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Source : http://naturalnews.com/z026503_pandemic_swine_flu_bioterrorism.html

Traduction Google en Français : Cliquez sur le lien ci-dessous :

Une journaliste porte des accusations contre l'OMS et les Nations Unies pour Bioterrorisme et intention de commettre un meurtre en masse.


Virus artificiel

Président de l'Institut des questions géopolitiques à Moscou, l'ex-général Leonid Ivachov croit détenir la clef des pandémies qui semblent se multiplier. Selon lui, le virus A H1N1, qui a désormais contaminé plus de 25 000 personnes, a été fabriqué dans des laboratoires par des médecins militaires. En guise de preuve, il cite les "renseignements américains", sans plus de précision, qui estimeraient à quelque "3 milliards de personnes" la surpopulation de la planète d'ici à 2015. Des apprentis sorciers auraient donc "activé" des agents infectieux capables de provoquer une extermination massive. Ivachov, le plus sérieusement du monde, y voit une "stratégie globale".


Source : L'express


Jackson and Fawcett Deaths Overshadow NWO Moves On Liberty

Kurt Nimmo
Infowars
Friday, June 26, 2009

Source :
http://www.prisonplanet.com/jackson-and-fawcett-deaths-ov...

Traduction Google en Français : Cliquez sur le lien ci-dessous

Les décès de Jackson et Fawcett pour éclipser l'instauration du NWO et la privation des Libertés

En complément une enquête sur la FED par Alex Jones

Alex Jones Federal Reserved Rant HQ
http://www.tagtele.com/videos/voir/38908


27/06/2009

Système monétaire mondial – Crise du dollar

Qui mène le monde ? Les Banques privées US.... dont la FED qui n'a de fédérale que le nom !

Système monétaire mondial – Crise du dollar

Les manipulations du système monétaire et du système des changes provoquent le scandale le plus important de notre époque. Pour la première fois, l’escroquerie monétaire atteint des dimensions mondiales, parce qu’elle a lieu effectivement dans le monde entier, qu’aucun gouvernement ne peut plus la contrôler ni la stopper ou l’empêcher et que, formellement, elle a même lieu légalement en raison de lois désuètes.


L’étape décisive dans la rupture avec la monnaie d’Etat a été la fondation, en 1913, du Système fédéral de réserve des Etats-Unis. Dès la fin du XIXe siècle, les banques sous la coupe de l’empire Rotschild ont lancé une grande campagne pour prendre le contrôle de l’économie des Etats-Unis. Venant d’Europe, les Rotschild ont financé la Banque J.P. Morgan & Co., la Banque Kuhn Loeb & Co., John D. Rockefellers Standard Oil Co., les chemins de fer d’Edward Harriman et les aciéries ­d’Andrew Carnegie.


Aux environs de l’an 1900, les Rotschild ont envoyé aux Etats-Unis un de leurs agents, Paul Warburg, pour coopérer avec la Banque Kühn Loeb & Co. Jacob Schiff et Paul Warburg ont lancé une campagne visant à instaurer des «Federal Reserve Banks» (FED), instituts privés d’émission. Appuyés par les deux grands groupes financiers Rotschild et Rockefeller, ils sont parvenus à fonder une banque centrale privée ayant le droit d’émettre sa propre monnaie, moyen légal de paiement garanti à l’origine par l’Etat. L’instauration de la FED en 1913 a permis aux banquiers internationaux de raffermir leur puissance financière aux Etats-Unis. Paul Warburg a été le premier président de la FED.


Le XVIe amendement de la Constitution américaine, qui a permis au gouvernement de prélever un impôt sur le revenu, a suivi la fondation de la FED. Telle était la conséquence du fait que le gouvernement ne pouvait plus émettre sa propre monnaie. Ainsi, les banquiers internationaux faisaient indirectement main basse sur le patrimoine privé des citoyens américains. A l’époque, les plus importants actionnaires de la FED étaient:


  1. Les banques Rothschild de Paris et de Londres
  2. La Banque Lazard frères de Paris
  3. La Banque Israel Moses Seif en Italie
  4. La Banque Warburg à Amsterdam et à     Hambourg
  5. La Banque Lehmann à New York
  6. La Banque Kuhn Loeb & Co. à New York
  7. La Banque Rockefeller Chase Manhatten à New York
  8. La Banque Goldman Sachs à New York.

Après la Première Guerre mondiale, les réserves d’or mondiales ont été accumulées dans cette banque privée qu’était la FED, de sorte que de nombreuses banques centrales n’ont plus pu maintenir l’étalon-or et que leur pays a sombré dans la déflation – la première crise économique mondiale. Même pendant la Guerre mondiale, les Etats-Unis ont exigé des pays en guerre qu’ils paient les armements livrés en or. Après la fin de la guerre, l’or de l’Allemagne a dû aussi être cédé comme butin de guerre. A elles seules, plus de 30 000 tonnes d’or du monde se sont ainsi accumulées aux Etats-Unis. Cet or a servi de couverture au dollar. Toutefois, comme une grande partie des dollars étaient détenus dans les banques centrales étrangères comme réserves monétaires, les Etats-Unis ont pu imprimer et dépenser davantage de dollars qu’ils n’avaient d’or. En effet, les autres pays avaient besoin de dollars pour acheter des matières premières, traitées uniquement en cette monnaie. Outre l’or, le dollar est donc devenu de plus en plus une des réserves monétaires principales des banques centrales étrangères. Le règne du dollar dans le monde avait commencé.


En 1971, Richard Nixon (37e président des Etats-Unis de 1969 à 1974) a résilié l’obligation de convertir le dollar en or (l’étalon de change-or) et, simultanément, la garantie de l’Etat à propos du dollar. Depuis lors, le billet vert n’est couvert ni par l’or ni par une garantie de l’Etat; il s’agit donc de la monnaie privée libre de la FED.
Or la masse monétaire de dollars en circulation déterminée par la FED (depuis mars 2006, celle-ci ne publie plus le chiffre de la masse monétaire M3) est devenue un problème insoluble: pendant que la masse mondiale de biens quadruplait au cours des 30 dernières années, la masse monétaire s’est multipliée par quarante.


Comment fonctionne cette banque privée qui a le droit d’imprimer des dollars? La FED produit des dollars. Ceux-ci sont prêtés au gouvernement des Etats-Unis contre des obligations qui servent de «sûretés» à la FED. Les banques de la FED qui détiennent ces titres perçoivent des intérêts annuels. Astucieux, n’est-il pas vrai? Dès 1992, les obligations détenues par la FED avaient une valeur de quelque 5 trillions de dollars, et les intérêts payés par les contribuables américains augmentent constamment. La FED s’est appropriée ce patrimoine incroyable en prêtant de l’argent au gouvernement américain et en encaissant alors des intérêts. La contre-valeur: du papier de couleur, nommé dollar.


Répétons-le: le dollar est émis non pas par le gouvernement des Etats-Unis, mais par la FED, qui est contrôlée par des banques privées et met à disposition du gouvernement de l’argent et, en contre-partie, encaisse largement des intérêts et prélève des impôts. Personne ne remarque cette duperie. De plus, les obligations émises par le gouvernement donnent à la FED un droit de gage, public et privé, sur l’ensemble des biens-fonds des Etats-Unis.
De nombreuses actions en justice se sont efforcées de faire annuler la loi sur la FED, mais sans succès jusqu’à maintenant. Le président John F. Kennedy a été le premier à tenter de transformer la FED en édictant un décret présidentiel («executive order number 11110»). Peu après, il a été assassiné, probablement par son propre service de renseignements. Le premier acte de son successeur, Lyndon B. Johnson, a été d’annuler le décret de son prédécesseur dès son retour de Dallas à Washington, dans l’avion présidentiel.

Et aujourd’hui ? Les banques privées tentent par tous les moyens de maintenir et d’assurer leur gigantesque source de revenu qu’est le dollar. Les Etats qui veulent nouer leurs relations commerciales internationales sur la base de l’euro, tels l’Irak, l’Iran ou le Venezuela, sont déclarés terroristes. Les gouvernements sont forcés de livrer des produits aux Etats-Unis contre des dollars sans valeur, et l’augmentation effrénée de la liquidité fournit à la haute finance les liquidités illimitées avec lesquelles elle peut acheter dans le monde entier. Les banques centrales du monde entier sont forcées de détenir des dollars sans valeur comme «réserves monétaires». Le dollar des Etats-Unis est la monnaie privée de la haute finance, garantie par personne si ce n’est par elle-même, utilisée pour maximiser le profit, accrue sans vergogne, employée comme moyen de domination mondiale et pour accaparer toutes les ma­tières premières et autres valeurs au monde.     •

Source: Internationaler Hintergrundinformationsdienst für Politik, Wirtschaft und Wehrwesen, inter info, suite 344, juillet et août 2007
(Traduction Horizons et débats)

Source : http://www.horizons-et-debats.ch/index.php?id=462