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07/10/2015

Le Nouvel Ordre Mondial passe par Damas ou l'obligation de résultat de réussite pour Poutine en Syrie !

Excellente analyse faite dans cet article qui reflète l’obligation de réussite de Poutine en Syrie, s’il veut détruire le projet d’instauration du Nouvel Ordre Mondial qui passera par la Syrie pour créer y compris, le Grand Israël et le Grand Moyen Orient.

Obligation de réussite pour Poutine, non seulement pour la Russie mais pour l'ensemble de l'humanité pour devoir éradiquer la mafia Kazahr de Rothschild et ses projets mortifères d'instauration de son Nouvel Ordre Mondial !

 

Le Nouvel Ordre Mondial passe par Damas

by Laid Seraghni / on 6 octobre 2015 at 16 h 58 min

poutine vs obama

Si la Syrie tombait, la Russie serait, en plus d’une humiliation diplomatique, menacée dans son intégrité territoriale, ce qui pourrait induire un éclatement de la Fédération de Russie. Les événements qui se déroulent actuellement en Syrie ne sont en aucun cas liés à la question de démocratisation de la société ni pour plus de liberté pour les Syriens. Il s’agit d’un ordre mondial que cherchent à imposer les États-Unis avec leurs vassaux occidentaux prédateurs à un autre monde qui, la Russie en tête, réclame plus de participation dans la gestion des affaires internationales desquelles ils ont été exclus depuis des décennies.

Le point de départ pour la nouvelle configuration géopolitique du monde passe aujourd’hui par Damas. L’avenir de la Russie s’y joue actuellement. Poutine sur la ligne de Catherine II (1) qui considérait que « Damas détient la clé de maison Russie » comprend bien que « Damas est la clé d’une nouvelle ère ». Depuis le début des contestations en Syrie, la Russie, appuyée notamment par la Chine et l’Iran, a décidé de faire échouer toutes les tentatives d’un changement de régime car elle était persuadée que si le plan des Occidentaux réussissait, elle serait confinée dans un rôle de second plan et serait menacée dans son intégrité territoriale. C’est pourquoi, dès le début de la crise, la Russie s’était montrée très ferme et s’est opposée à toute intervention militaire, et ce malgré les pressions du Conseil de sécurité, de l’assemblée générale de l’ONU et de la Ligue arabe. A chaque tentative visant la reproduction du scénario libyen ou yéménite, elle opposa un refus catégorique.

Hypocritement, les Occidentaux semblent ne pas comprendre les raisons de la position russe en avançant que Moscou avait, en Syrie, des intérêts économiques et de soutiens logistiques pour sa flotte militaire. Ce ne sont nullement les contrats d’armement passés avec ce pays, ni le port de Tartous qui sont les enjeux stratégiques russes dans la région au point de mener une lutte atroce pour éviter que l’État syrien ne tombe. Cela est confirmé en partie par le directeur du Centre d’analyse sur les stratégies et les technologies-Moscou Rousslan Poukhov, qui a déclaré : « penser que la Russie soutient Damas en raison des ventes d’armes est une aberration ! C’est totalement hors sujet ». (2)

Loin de l’instauration de la démocratie ou des libertés, c’est le rôle résistant de la Syrie qui est visé. En soutenant les mouvements des résistances palestiniennes et libanaises, la Syrie a fait avorter tous les plans américains pour la mise en place du Grand Moyen-Orient dans lequel les États arabes seront atomisés et soumis au diktat israélien. Par ailleurs, son alliance stratégique avait l’Iran a fait que l’axe hostile aux plans étatsuniens se consolide dans la région.

Pourquoi la Russie n’admettra-elle pas une victoire des prédateurs de la Syrie ? Si la Syrie venait à tomber, de sérieuses menaces pèseraient sur elle, et les plus manifestes sont :

A- AU PLAN ECONOMIQUE

Poutine sait parfaitement que pour que son pays puisse prétendre au statut de grande puissance il faut qu’au travers de son économie il renforce sa force militaire et rende sa politique étrangère plus agressive en vue d’une influence réelle au niveau mondial. Il affiche ses prétentions en disant « en d’autres termes, nous ne devrions tenter personne en nous autorisant d’être faibles. » (3).

Dans cette notion de puissance, le facteur économique est déterminant. Si l’opposition syrienne l’emportait, cela signifierait que la bataille féroce pour le contrôle des sources d’énergie tournerait en faveur des États-Unis et de leurs alliés, permettant à ceux-ci d’étendre leur influence de la Syrie jusqu’en Australie. Les implications qui en découleraient seraient : l’avortement du programme ambitieux de développement économique basé sur la réduction de la dépendance de l’économie vis-à-vis des matières premières et sur l’innovation articulée autour des hautes technologies pour devenir une grande économie mondiale.

Dans une interview à la BBC, Douglas MC Williams, Chef du Centre de Recherches Britannique (CBER), déclarait : « La Russie arrivera en quatrième position dans le classement des plus grandes économies mondiales d’ici l’horizon 2020 » (4)

Les ressources du financement de ce projet provenant essentiellement des exportations gazières seraient compromises. Les recettes de Gazprom 2011 qui contrôle plus de 80% de la production de gaz s’élèvent à 118 M $. En vue d’empêcher que ces recettes atteignent le niveau escompté,, il devient impératif, de torpiller l’exportation du gaz russe vers l »Europe à travers les gazoducs paneuropéens en projet ; le South Stream et le Nord Stream. Les pays européens devraient être approvisionnés par le gaz iranien par le Nabucco (5), gazoduc reliant l’Iran à l’Europe centrale via la Turquie. Le Qatar pourrait faire transiter son gaz pour l’Europe également par la nouvelle Syrie amie, écartant définitivement l’alimentation de ce continent par le gaz russe. Dans cette hypothèse, la Russie ne peut qu’enterrer son programme de développement, notamment son ambitieux programme militaire d’armement 2011/2020 d’armement pour l’équipement de ses forces armées pour lequel elle prévoit une enveloppe financière de 650 milliards de dollars » (6) au titre d’un programme et « 114 milliards de dollars au titre de la modernisation des équipements ». (7)

Les USA contrôleraient le Liban, la Syrie et l’Iran et, par conséquent, maitriseraient les sources d’approvisionnement énergétique situant dans un espace géographique et stratégique énergétique Liban Syrie, Irak et Iran. D’où cette lutte acharnée pour faire tomber la Syrie.

B – AU PLAN SECURITAIRE :

La chute de B. Al-Assad, ouvre la politique d’endiguement mis en place en 1946 par Georges. F. Kennan (8). Les actions d’encerclement de la Russie seront relancées. Cette stratégie, en matière de géopolitique, est fondée sur la ligne Brezinski (9) qui prévoyait la domination de l’Union Soviétique en deux étapes, l’encerclement de la Russie en premier lieu, pour ensuite passer à sa déstabilisation, pour mieux contrôler son espace périphérique. Cette stratégie est aussi valable pour la Russie d’aujourd’hui. La politique de Gorbatchev que Poutine qualifiait de « La plus grande catastrophe du XXème siècle » (10) serait de retour pour démanteler définitivement la Fédération de Russie.

Ce démantèlement induirait probablement un transfert, au nord du Caucase, des Djihadistes qui opèrent actuellement en Syrie en vue d’instaurer une république islamique. Il est rappelé que le nord du Caucase (Daghestan et Tchétchénie) est à prédominance musulmane. Doku Umarov (11) n’avait-il pas proclamé « l’Emirat caucasien. » en 2007. (12)

Un des pivots américains dans la région montrera ses crocs pour la restauration de l’Empire Ottoman. Il s’agit de la Turquie qui, base avancée des intérêts américains en Eurasie, rêve toujours d’un empire qui s’étendrait jusqu’à l’Asie centrale, ex territoires soviétiques. Une aubaine pour qu’elle étende son hégémonie jusqu’aux confins de Moscou sur les républiques turcophones qui sont l’Azerbaïdjan, le Kazakhstan, le Turkménistan, le Tadjikistan et le Kirghizistan. L’éventualité de leur intégration dans une alliance avec l’ancien occupant pourrait être envisagée. Elle est encouragée par les États-Unis pour faire désintégrer la Communauté des États Indépendants, composée de 11 sur 15 anciennes républiques soviétiques, créée le 8 décembre 1991 par le Traité de Minsk. Il est clairement établi que cette puissance soutient discrètement les mouvements séparatistes et ethno-religieux dans l’optique de briser définitivement la Communauté des États Indépendants (CEI).

C – AU PLAN STRATEGIQUE.

Dans le prolongement de la ligne de Catherine II, Poutine considère Damas comme étant le point de départ du nouvel ordre mondial. Si cette capitale tombait, la Russie perdrait définitivement son rêve de retrouver son statut de grande puissance dans le monde du temps de la guerre froide. L’inflexion des rapports serait à son désavantage, avec en plus une humiliation diplomatique.

En effet, une fois la Syrie soumise, l’Iran à son tour sera attaqué. L’axe chiite Syrie-Irak-Iran brisé sera sous la botte de l’Arabie Saoudite qui imposera la normalisation des relations avec Israël aux autres pays arabes.

Ainsi, le proche orient sera modelé géographiquement au profit exclusivement des États-Unis et d’Israël, et de leurs vassaux occidentaux et arabes. L’espace sunnite  » modéré  » dominera l’espace géographique qui s’étend du Maghreb, au Pakistan et l’Afghanistan en passant par la Turquie et la corne Africaine. La barrière séparant la Turquie des autres pays de confession musulmane sunnite n’existera plus. La Turquie, membre de l’Otan, qui constitue pour la Russie le chemin le plus court pour rejoindre les eaux chaudes, deviendrait une menace stratégique pour ce pays tant que celle-ci peut bloquer et assiéger sa flotte militaire de la mer Noire.

Ainsi, la Russie aura devant elle un espace hostile qui s’étendra alors de la France à l’ouest jusqu’à la Chine à l’est. Elle sera chassée définitivement de la région du Grand Moyen-Orient où elle était naguère fortement présente.

A la lumière de ce qui précède, nous estimons que le soutien de Moscou à Damas est indéfectible car dicté par des impératifs liés à l’existence même de la fédération de Russie en l’état actuel. Pour contrer toutes les manoeuvres de l’Occident pour la déstabiliser et la fragiliser sur la scène internationale, elle fera tout ce qu’elle peut pour que l’ordre géopolitique du Moyen-Orient ne subisse aucun changement.

Grâce au levier énergétique, elle cherche à renverser les alliances en se rapprochant de l’Europe, de la Chine, de l’Iran et de l’Inde. Elle compte créer un espace eurasien pour contrer l’hyperpuissante Américaine.

Laid SERAGHNI

Références :

1- Catherine II, impératrice de Russie (1762-1796), surnommée Catherine la grande. Elle disait « je laisse à la prospérité de juger impartialement ce que je fais pour la Russie. ». Durant le plus long règne de l’histoire de la Russie, outre le développement et la modernisation de la société russe, elle tint tête à tous les envahisseurs voisins ou lointains.

2- Le Figaro du 31 mai 2012.

3- Atlantico du 21 février 2012.

4- RIA Novosil du 27 décembre 2012.

5- Nabucco dont le titre initial est Nabuchodonosor est un opéra de Verdi. Il évoque l’épisode de l’esclavage des juifs à Babylone. Cela dénote que tout l’enjeu en Syrie est centré autour de la sécurité d’Israël.

6- Voix de la Russie 14 décembre 2012.

7- Géostratégique.net du 6 mars 2012.

8- Diplomate, politologue et historien américain dont les thèses eurent une grande influence sur la politique américaine envers l’Union Soviétique au sortie de la deuxième guerre mondiale.

9- Z Brezinski : politologue américain, il a été entre autres, conseiller à la sécurité nationale du Président des Etats-Unis Jimmy Carter, de 1979 à 1981.

10- La dépêche.fr du 20 février 2012

11- Né en 1964 en Tchétchénie, Doku Umarov fut en 2005 le cinquième président de la république d’Ichkérie (Tchétchénie). Il abolit cette dernière pour en 2007 pour la remplacer par un « Émirat Tchétchénie » dont il s’autoproclame émir.

12- affaires géostratégiques.Info du 22 octobre 2012

 

Le département d'Etat accuse Moscou de frapper l'opposition syrienne sans en fournir les preuves

Les deux meilleures réponses de Mark Toner lorsqu’il est sommé par la Russie de donner les preuves sur le fait que les frappes russes aient pu faire des victimes parmi la soi-disant opposition syrienne modérée, fantôme :

1 -  «J’ai répété ce qu’ont déclaré mes collègues militaires» !

Et si ses collègues militaires lui disent que le Père Noël existe, il va le croire aussi ?

2 - «Il y a eu des préoccupations dès le début que ces frappes aériennes seraient effectuées contre l’opposition syrienne modérée, celle que nous soutenons et qui s’est battue vaillamment contre Bachar el-Assad depuis quatre ans».

Là, il reconnaît non seulement que leur présence en Syrie est illégale, mais que ce sont eux qui soutiennent financièrement, les mercenaires dits islamistes et qui orchestrent le coup d’état contre Assad qui est soutenu par son peuple et l'armée régulière syrienne, ce qui est prépondérant.

Ils vont avoir du mal à prouver quoi que ce soit, car l'opposition syrienne modérée n'existe pas, il n'y a que des mercenaires dits islamistes.

S’il existait une opposition syrienne modérée, elle s’exprimerait par la voie des élections et non pas en massacrant le peuple Syrien ni en organisant, sans l’appui de l’armée régulière syrienne qui soutient Bachar Al-Assad, un coup d’état politique téléguidé par les intérêts de la Mafia Kazah de Rothschild !

 

Le département d’Etat accuse Moscou de frapper l’opposition syrienne sans en fournir les preuves

6 oct. 2015, 22:53

Mark Toner

 

En conférence de presse, le représentant du département d’Etat américain, Mark Toner, a blâmé la Russie pour avoir encore une fois bombardé l’opposition syrienne modérée. Il est resté sans voix à la question de RT lui demandant de le prouver.

«J’ai répété ce qu’ont déclaré mes collègues militaires», s’est contenté de répondre Mark Toner, à la question de la correspondante de RT Gayané Tchitchakyan qui lui a demandé d’étayer sa déclaration antérieure : «Nous n’avons vu aucune indication qu’ils [la Russie] frappent actuellement des cibles de Daesh».

Le représentant du département d’Etat a ajouté que ses collègues militaires avaient, selon lui, «une vision très claire de ce qu’a été frappé ou de ce qui n’a pas été frappé dans le nord de la Syrie et les régions où les attaques aériennes russes se déroulent».

Cependant, le ministère américain des Affaires étrangères n’est pas à même de confirmer ses propos par des preuves. Quand la correspondante de RT a demandé à Mark Toner de les fournir, le porte-parole du département d’Etat a répondu de façon évasive : «Il y a eu des préoccupations dès le début que ces frappes aériennes seraient effectuées contre l’opposition syrienne modérée, celle que nous soutenons et qui s’est battue vaillamment contre Bachar el-Assad depuis quatre ans».

Une confirmation patente des déclarations de la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, qui a appelé le 6 octobre, lors d’une conférence de presse, les dirigeants occidentaux à «éviter des formulations vagues». «Si l’opération militaire russe en Syrie est une erreur, donnez-nous des faits concrets, parlez-nous. De cette manière, on forge l’opinion publique, les gens qui restent devant leurs écrans croient que c’est une erreur», a-t-elle déploré.

«La censure contre la propagande de l'Etat islamique est vouée à l'échec» assurent des experts

La seule et unique question que nous devrions nous poser est celle de savoir qui a intérêt et les moyens financiers suffisants pour former, armer et financer ces groupes de mercenaires pour pouvoir créer le Grand Israël et le Grand Moyen Orient ?

Devinons ?

Échec et mat à l'empire ? Poutine leader d'une coalition anti-Mafia Khazare Rothschild (Veterans Today)

La guerre secrète de la Russie contre la CIA en Syrie

Le jouet de l'Empire : ISIS/DAESH/DAECH/EI. création, financement, armement.

Le terrorisme, l’État et la mafia

 

«La censure contre la propagande de l'Etat islamique est vouée à l'échec» assurent des experts

6 oct. 2015, 23:37

Jihadi Jon, l'un des protagonistes des vidéos de l'Etat Islamique

Jihadi Jon, l'un des protagonistes des vidéos de l'Etat Islamique

Spécialisé dans la déradicalisation, un groupe de chercheurs anglais a publié un rapport de 52 pages intitulé «Documenter le Califat virtuel», afin d'analyser la stratégie de propagande de l'Etat islamique.

Pendant 30 jours, la Fondation Quilliam arecensé toutes les publications (textes, photos, vidéos, émissions de radio, chansons...) produites par le pôle médiatique djihadiste : ils en ont recensé 1146, soit plus de 38 productions par jour. Le rapport les divise en plusieurs catégories thématiques.

 

Plus de la moitié des documents s'attachent à décrire la vie civile au sein des territoires administrés par l'Etat islamique. Activité économique, événements sociaux, loi stricte, ou encore une ferveur religieuse pro-active forment les fondations du discours civil de l'Etat islamique. Pour les auteurs du rapport «Le groupe cherche à attirer des supporters sur une base politique et idéologique».

Lire aussi : «Hormis la reconnaissance par le droit international, Daesh a tout d'un Etat»

L'Etat islamique se promeut toujours avec de la violence. Néanmoins, le public ciblé par cette ultra-violence est davantage situé dans la région qu'il ne l'était précédemment. L'équipe d'Haraf Rafiq explique :«Il semble que chercher à provoquer l'infamie internationale soit maintenant un objectif secondaire par rapport à la nécessité d'intimider sa propre population afin de décourager la rébellion et la dissidence».

Une large part des publications militaires montre la guerre d'usure menée par l'Etat islamique, mettant en scène des tirs de mortiers ou de roquettes tirées au loin en direction d'un ennemi indistinct. Selon les auteurs du rapport, il est probable que ces publications soient orchestrées afin de maintenir le sentiment que l'Etat islamique reste à l'offensive.

Étant donné «le caractère de sophistication exceptionnel de ces campagnes d'informations, dont le succès repose sur la quantité et la qualité, des contre-mesures comme la censure sont vouées à l'échec». En effet, pour la Fondation, «la quantité, la qualité et la variété de la propagande de l’État islamique produite en un mois surpasse la quantité, la qualité et la variété des tentatives, étatiques ou non, de défier le groupe. Les efforts actuels doivent être accentués afin de réaliser des progrès substantiels dans cette guerre».

Lire aussi : Facebook veut mettre en contact des candidats au djihad avec des repentis de Daesh

Haras Rafiq, directeur de la Fondation, conclut : «Sur de nombreux aspects, l'EI agit comme un média. Notre réponse doit être proportionnelle. Nous devons réaliser qu'il n'existe aucun élixir qui puisse nous libérer de la suprématie informationnelle de l'EI. Le Califat se promeut à échelle industrielle. Si nous voulons détruire sa marque, nous devons d'abord chercher à en approfondir notre compréhension».

Lire aussi : Grande-Bretagne : un compte Twitter comme arme de guerre contre Daesh

 

Bachar Al-Assad démonte la Propagande Occidentale sur la TV Portugaise

Les vérités de Bachar Al-Assad qui démontent la Propagande Occidentale sur la TV Portugaise et dans un parfait anglais, ce qui n'est pas le cas pour Holl'andouille, le VRP des banskters/sionistes, parachuté à la tête de la France/Israël pour faire avancer leurs intérêts au détriment de ceux du Peuple Français  !

Bachar dénonce l'imposture de l'ONU de laisser se propager volontairement les guerres sans intervenir pour permettre au rétablissement de la Paix !


 

Arrête de mentir, Holl'andouille, dans les intérêts des Rothschild, d'Israël, du Qatar et Cie !

Le criminel d'enfants et d'innocents en Syrie qui accuse Assad d'être à l'Origine des massacres des Syriens et qui va les attaquer dans leur pays sans mandat de l'ONU, ni l'accord d'Assad sous le faux prétexte de la légitime défense.

On ignorait que les Frontières de la France ou que la France se trouvaient en Syrie !

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