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20/05/2010

Impostures du Quai D'ORSAY contre les chemises rouges!

La démocratie à la française ! Rechercher les gens pour les faire taire !


Le Quai d'Orsay veut faire taire l'ex-Premier ministre thaïlandais

Monde 20/05/2010 à 11h37

L'ex-Premier ministre thaïlandais en exil Thaksin Shinawatra, le 26 avril 2010 à Podgorica, au

L'ex-Premier ministre thaïlandais en exil Thaksin Shinawatra, le 26 avril 2010 à Podgorica, au Monténégro (© AFP Savo Prelevic)

Le ministère français des Affaires étrangères cherche à empêcher l’ex-Premier ministre thaïlandais en exil Thaksin Shinawatra, vu récemment à Paris, de s’exprimer en public en France, affirme jeudi Le Figaro dans son édition papier.

«Le Quai d’Orsay recherche sa trace, pour lui intimer l’ordre de se taire sur le territoire français, mais ne le trouve pas...», constate le quotidien. Le Quai d’Orsay n’était pas en mesure en milieu de matinée de commenter cette information.

Thaksin Shinawatra, icône de nombreuses «chemises rouges» qui manifestent violemment contre le gouvernement à Bangkok, doit être l’invité d’un dîner-débat avec des journalistes français le 31 mai à Paris, organisé par le Center of Political and Foreign Affaires, un institut de recherche. Cette rencontre est toujours prévue, a indiqué jeudi cet organisme. L’ex-Premier ministre thaïlandais était ces jours derniers à Paris mais il a quitté la France pour Londres, a-t-on ajouté de même source.

Selon le Figaro, Thaksin Shinawatra a été photographié dans un magasin de luxe des Champs-Elysées à Paris, ses emplettes à la main, alors que dans le même temps, les forces de l’ordre thaïlandaises donnaient l’assaut contre le camp retranché des «chemises rouges». Le journal ne publie cependant pas ces photos. L’ex-chef du gouvernement (2001-2006) et homme d’affaires a été renversé en 2006 par un coup d’Etat militaire et de nombreuses «chemises rouges» réclament son retour en Thaïlande et au pouvoir. Le gouvernement d’Abhisit Vejjajiva l’accuse de soutenir financièrement le mouvement des «rouges».

(Source AFP)

http://www.liberation.fr/monde/0101636638-le-quai-d-orsay...


Qui sont les « chemises rouges » dans les rues de Bangkok ?

http://www.rue89.com/explicateur/2010/04/22/qui-sont-les-...

19/05/2010

Bangkok s'embrase après la chute du camp des "Chemises rouges"

Pourriez-vous nous dire quel est le seul endroit au monde où tout va bien ?

L'humanité serait-elle en train de se réveiller ?



BANGKOK (AP) — Le centre de Bangkok s'est embrasé mercredi après la chute du camp retranché des "Chemises rouges" sous l'assaut de l'armée. Après la reddition de plusieurs chefs du mouvement antigouvernemental, des manifestants ont incendié la bourse, des banques et d'autres bâtiments. Cette nouvelle explosion de violence aurait coûté la vie à une douzaine de personnes, ce qui porterait le bilan d'une semaine d'affrontements à une cinquantaine de morts.

Pour la première fois depuis 1992, un couvre-feu nocturne est entré en vigueur à Bangkok, de 20h à 6h. Le Premier ministre Abhisit Vejjajiva s'est déclaré confiant dans le rétablissement de l'ordre et a déclaré que les soldats étaient autorisés à tirer sur des individus suspectés d'avoir allumé des incendies. "Le gouvernement, les officiers et moi-même sommes déterminés et certains de notre capacité à surmonter les problèmes", a-t-il assuré à la télévision.

Les décès de six personnes -un photographe de presse italien et cinq protestataires- ont été confirmés par des responsables qui ont aussi fait état d'une soixantaine de blessés. Des témoins ont déclaré que les corps de six à huit autres victimes se trouvaient dans un temple boudhhiste, où des centaines de manifestants, dont des femmes et des enfants, s'étaient réfugiés.

Le bilan des violences à Bangkok depuis le début des manifestations le 12 mars s'élèverait ainsi à 80 morts et environ 1.760 blessés.

Un journaliste canadien, Mark MacKinnon, présent aux côtés des manifestants, a précisé que la situation restait dangereuse près de la zone de protestation abandonnée en dépit d'un cessez-le-feu qui a permis l'évacuation de plusieurs blessés, dont un journaliste britannique.

Les Chemises rouges étaient retranchés depuis six semaines dans une zone d'environ 3 kilomètres carrés protégée par des barricades de pneus et de bâtons de bambou, dans le quartier commercial huppé de Rajprasong. Les autorités estimaient le nombre des manifestants à environ 3.000 ces derniers jours, contre 10.000 au début.

L'armée a pris le camp d'assaut mercredi à l'aube. Des véhicules blindés ont écrasé les barricades tandis que des centaines de soldats déclenchaient des fusillades avec les manifestants, qui ont lancé des grenades et incendié des pneus. Sept des chefs des Chemises rouges ont choisi de se rendre pour éviter un bain de sang. "Mes frères et mes soeurs (...) rentrez chez vous s'il vous plaît", a lancé l'un d'eux, Nattawut Saikua, au moment de son arrestation.

En milieu d'après-midi, l'armée a annoncé qu'elle avait repris le contrôle de la zone occupée et que les opérations lancées neuf heures plus tôt étaient terminées.

Mais la violence s'est propagée dans tout le centre-ville. Des émeutiers ont incendié la Bourse de Thaïlande, qui restera fermée jusqu'en fin de semaine, selon sa présidente, et plusieurs banques ainsi que le siège de la compagnie d'électricité régionale et un complexe de cinémas qui s'est effondré. Ils ont aussi mis le feu à l'un des plus grands centres commerciaux de Thaïlande, le Central World, tout proche du camp, qui a été pillé.

Les opposants s'en sont également pris à la chaîne de télévision locale qu'ils accusent d'avoir dénigré leur action. Des voitures ont été incendiées sur le parking, des conduites d'eau crevées, et la chaîne a cessé d'émettre. Des hélicoptères ont évacué ses responsables de l'immeuble en feu tandis que le petit personnel s'enfuyait à pied.

Des sapeurs-pompiers ont dû battre en retraite après avoir été pris pour cibles par des protestataires armés, alors qu'une épaisse fumée obscurcissait le ciel de la métropole de 10 millions d'habitants. Mercredi soir, des affrontements sporadiques entre militaires et manifestants se poursuivaient.

Le Premier ministre a décrété un couvre-feu total dans toute la capitale ainsi que dans 23 provinces de 20h à 6h (15h à 1h à Paris; 13h à 21h GMT). Le gouvernement a annoncé que les opérations militaires continueraient toute la nuit. Le dernier couvre-feu de ce type à Bangkok remonte à 1992 quand des dizaines de manifestants pro-démocratie avaient été tués par l'armée.

Des violences et incendies ont également éclaté dans le nord-est rural de la Thaïlande mercredi, et à Chiang Mai (nord), la troisième ville du pays.

Beaucoup des Chemises rouges viennent des campagnes pauvres et se sentent négligés par Bangkok. Ils accusent le gouvernement d'être arrivé au pouvoir en manipulant les tribunaux, avec le soutien de la puissante armée, celle-là même qui a renversé leur champion, le Premier ministre Thaksin Shinawatra, en 2006. Ils exigent la dissolution du Parlement et des législatives anticipées. AP

NouvelObs

La vie quotidienne des "chemises rouges" en plein Bangkok
http://www.in.com/videos/watchvideo-la-vie-quotidienne-de...


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Révolution mondiale

La colère des peuples doit grondrer  !

 

http://www.youtube.com/watch?v=NHwuVkjEyTk

Des dizaines de milliers de Roumains dans la rue contre l'austérité

Après les Grecs, les Roumains du secteur public n'apprécient guère qu'on leur annonce un plan d'austérité. 
Jamais contents ces Européens !...  Et quand vous écoutez les politiques faudra bientôt appliquer la méthode Couet !

Tout va bien, je vais bien ! Je suis gai, tout me plaît !

Les banquiers boivent et s'enrichissent et ce sont les peuples qui trinquent !

Sortons de l'Europe et de l'Euro, la prison des peuples européens !


Des dizaines de milliers de Roumains ont protesté, mercredi 18 mai, à Bucarest contre un plan d'austérité du gouvernement.


AFP/DANIEL MIHAILESCU
Des dizaines de milliers de Roumains ont protesté, mercredi 18 mai, à Bucarest contre un plan d'austérité du gouvernement.


LEMONDE.FR avec AFP | 19.05.10 | 13h27
Des dizaines de milliers de Roumains ont protesté, mercredi 19 mai, à Bucarest contre un plan d'austérité du gouvernement prévoyant de sévères coupes des retraites et salaires du secteur public dans le cadre d'un accord avec le Fonds monétaire international.


Les manifestants, des enseignants, médecins, policiers ou encore retraités, 50 000 selon les syndicats, 30 000 selon la gendarmerie, ont réclamé la démission du premier ministre libéral-démocrate (PDL, centre droit) Emil Boc, menaçant dans le cas contraire d'organiser une grève générale le 31 mai.

LE MONDE



Grèce : Loukanikos, le chien anarchiste !

Même les animaux s'en mêlent !

EXCELLENT !

 

ANARCHY DOG


Je vous présente un cousin éloigné de Grece. Loukanikos ( souvent improprement appelé Kanelos sur youtube ) et qui est de toute les manifs depuis 2008. On ne sait rien de lui sauf qu'il na pas froid aux yeux et va fourrer sa truffe au plus près des affrontements avec la police.

http://leweb2zero.tv/video/booly_024bee69bf6652d


Loukanikos en train de défier les flics :



C'est pas un chat qui oserait faire ça moi j'vous l'dit !

http://libcom.org/gallery/loukanikos-greek-anarchist-dog

Loukanikos, the Greek anarchist dog

tags:

Photographs of Loukanikos, "sausage", the legendary dog who has been present at nearly every outbreak of mass class struggle and social disorder in Athens in recent years. Previously reported in the Guardian newspaper, who mistakenly named him as Kanellos.


 

14:52 Publié dans Crise Financière & Mondiale, Europe, Euro, CEDH, International | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |