28/11/2015
Immigrationnisme : Une Europe sans Européens selon la recette Coudenhove-Kalergi, un Plan vieux de 90 ans (Vidéos)
Les buts des Illuminati étant ceux de faire perdre leur identité, non seulement aux européens, mais aussi aux populations émigrées notamment par le métissage pour "les soumettre tous ensemble" aux dictats des Illuminati qui prônent le racisme qui peut générer des guerres civiles en Europe !
Ce qui fait partie du plan des Illuminati promoteurs du Nouvel Ordre Mondial !
Nouvel Ordre Mondial = 1 UNIQUE GOUVERNEMENT MONDIAL
(ONU avec siège déplacé à Jérusalem)
= 1 UNIQUE RELIGION MONDIALE (VATICAN)
= 1 UNIQUE POPULATION MONDIALE
Une Europe sans Européens selon la recette Coudenhove-Kalergi
11:42 Publié dans Actualité, politique ou géopolitique, Economie, Colonisation, Antisémitisme, Racisme, Immigration, Conspiration mondiale, Conspiration, Complot, Corruption, Europe, Euro, CEDH, Franc-Maçonnerie & Jésuites Lucifériens, France/Israël/Elections, Génocide préparé, Israël/ISIS/DAESH/Al-Quaïda/EI, Le Gouvernement Mondial, Le Pouvoir Mondial, Nouvel Ordre Mondial, ONU, Rockfeller, Rothschild, Mafia Kazhar, Sionisme, Oligarchie, LDJ, Syrie, Iran, Russie, Irak, Chine, USA, Israël | Lien permanent | |
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Etat d’urgence: perquisitions et assignations dans les milieux zadistes et alternatifs
Ce qui confirme bien que les Politiques : ont plus peur du peuple que des "terroristes" !
Mieux : Bernard Cazeneuve n'exclut pas de prolonger l'état d'urgence si besoin, et pourquoi pas faire perdurer la loi martiale jusqu'à ce qu'ils auront instauré leur Nouvel Ordre Mondial !
Ce serait la meilleure solution pour eux, pour nous paralyser et nous museler complètement !
Voir aussi :
Etat d’urgence: perquisitions et assignations dans les milieux zadistes et alternatifs
10:27 Publié dans Actualité, politique ou géopolitique, Economie, Dictature Française, Mondiale et religieuse, Europe, Euro, CEDH, Franc-Maçonnerie & Jésuites Lucifériens, France/Israël/Elections, Israël/ISIS/DAESH/Al-Quaïda/EI, Poutine, Moscou, Russie, Qatar, Turquie, Arabie Saoudite, USA, Israël | Lien permanent | |
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Laurent Fabius fait machine arrière après avoir proposé de travailler avec l'armée syrienne
Et bien évidemment, Fabius, en remet une couche sur le départ de Bachar Al-Assad !
Et la sienne de transition et celle du gouverne-menteur, c'est pour quand ?
Fabius : les forces gouvernementales syriennes peuvent participer à la lutte contre Daesh au sol
27 nov. 2015Le chef de la diplomatie française a révélé un tournant dans la stratégie syrienne de Paris en envisageant, pour la première fois, la participation des troupes du gouvernement légitime de la Syrie dans la lutte internationale contre l’Etat islamique.
Laurent Fabius fait machine arrière après avoir proposé de travailler avec l’armée syrienne
27 nov. 2015, 21:25
Le ministre français des Affaires étrangères a été contraint de se rétracter suite à la suggestion faite dans la journée comme quoi les troupes d’Assad pouvaient être utilisées dans le combat contre Daesh avant la transition politique dans le pays.
«La coopération de toutes les forces syriennes, y compris de l'armée syrienne, contre Daesh est évidemment souhaitable, mais elle ne sera envisageable que dans le cadre d'une transition politique crédible», a-t-il dit.
La coopération de toutes les forces syriennes, un objectif atteignable seulement dans le cadre d’une transition politique crédible.
— Laurent Fabius (@LaurentFabius) 27 Novembre 2015
Laurent Fabius, un des critiques les plus acerbes de Bachar el-Assad, a déclaré plus tôt dans la journée sur les ondes de RTL que les forces au sol ne pouvaient pas être françaises mais peuvent être «à la fois des forces de l’Armée syrienne libre [opposition], des forces arabes sunnites, et pourquoi pas des forces du régime et des Kurdes également bien sûr».
Des responsables proches du ministre français ont clarifié sa position par la suite expliquant qu’une coopération ne pourrait avoir lieu seulement après le départ d’Assad.
02:42 Publié dans Actualité, politique ou géopolitique, Economie, CIA, MOSSAD, Al-Quaïda, Conspiration, Complot, Corruption, Franc-Maçonnerie & Jésuites Lucifériens, France/Israël/Elections, Rockfeller, Rothschild, Mafia Kazhar, Sionisme, Oligarchie, LDJ, Syrie, Iran, Russie, Irak, Chine, USA, Israël | Lien permanent | |
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L'UE dit suivre «de près» l'affaire «inquiétante» des journalistes opposants arrêtés en Turquie
Mais oui, l'UE suit de "près" l'affaire «inquiétante» des journalistes opposants arrêtés en Turquie, pour le respect de la liberté d'expression des journalistes, mais elle ne s'inquiète pas de savoir si Erdogan est complice des mercenaires de l'EI ou si la Turquie doit rentrer dans l'Europe, et si le France respecte les droits des français avec l'instauration de l'état d'urgence prorogé de 3 mois et qui a validé le fait que la France ait communiqué qu'elle ne respectera peut-être pas les droits de l'Homme !
Ce qui est déjà fait du reste depuis longtemps et notamment avec SARKOZY qui nous a imposé le traité liberticide de Lisbonne qui semble bien être en application en ce moment !
L'UE dit suivre «de près» l'affaire «inquiétante» des journalistes opposants arrêtés en Turquie
27 nov. 2015, 14:29
Avec AFP
© Umit Bektas. Source: Reuters
Des policiers devant les locaux du journal d'opposition Cumhuriyet.
Lors d'un point de presse à Bruxelles, la porte-parole Maja Kocijancic a indiqué aux journalistes venus l'interroger que «La liberté d'expression est l'un des principes fondamentaux de l'Union européenne».
La porte-parole a notamment précisé que l'UE avait «soulevé la question à plusieurs reprises avec les autorités turques», notamment lors de la publication du rapport annuel sur les progrès de la Turquie vers une adhésion à l'UE le 10 novembre.
Les deux dirigeants du journal d'opposition turc Cumhuriyet, Can Dündar, rédacteur en chef, et Erdem Gül, son chef de bureau à Ankara, sont accusés par le pouvoir d'«espionnage», «trahison» et «divulgation de secrets d'Etat» pour avoir publié en mai un article sur de possibles livraisons d'armes par les services secrets turcs (MIT) à des islamistes en Syrie.
Le président islamo-conservateur turc Recep Tayyip Erdogan qui nie catégoriquement soutenir militairement les mouvements djihadistes qui combattent le régime du président Bachar al-Assad, sa «bête noire», avait personnellement porté plainte contre Can Dündar.
«La Turquie, en tant que pays candidat, doit s'assurer que sa législation existante est en accord avec les standards européens», a poursuivi Maja Kocijancic.
Les dirigeants de l'UE et de la Turquie se retrouvent pour un sommet dimanche à Bruxelles qui doit principalement porter sur la crise migratoire.
L'ambassade américaine en Turquie, a également condamné les arrestations et évoqué une nouvelle preuve de la pression qui pèse sur les médias en Turquie. Dans un communiqué, l'ambassade américaine a appelé les tribunaux turcs à respecter le principe de la liberté de la presse, selon RIA Novosti.
(1/2) We are very concerned by the arrests of @candundaradasi & @erdemmgul and what appears to be yet another media outlet under pressure.
— US Embassy Turkey (@USEmbassyTurkey) 27 Novembre 2015
Dans le même temps, un millier de personnes se sont réunies vendredi devant le siège d'Istanbul de Cumhuriyet pour dénoncer l'incarcération des deux journalistes.
Les manifestants, des journalistes, élus de l'opposition et intellectuels, ont hurlé des slogans hostiles au président Recep Tayyip Erdogan et à son Parti de la justice et du développement (AKP, islamo-conservateur). «Tous ensemble contre le fascisme», «Tayyip menteur» ou «l'AKP complice de Daech», ont-ils scandé.
Au pouvoir depuis treize ans, l'actuel gouvernement turc est régulièrement épinglé dans les capitales étrangères et par les ONG de défense de la liberté de la presse, qui lui reprochent ses pressions de plus en plus importantes sur les médias.
Lire aussi : Avec Erdogan, en route vers la Troisieme Guerre mondiale ?
02:24 Publié dans Actualité, politique ou géopolitique, Economie, CIA, MOSSAD, Al-Quaïda, Conspiration, Complot, Corruption, Dictature Française, Mondiale et religieuse, Europe, Euro, CEDH, Franc-Maçonnerie & Jésuites Lucifériens, France/Israël/Elections, Israël/ISIS/DAESH/Al-Quaïda/EI, Nouvel Ordre Mondial, Rockfeller, Rothschild, Mafia Kazhar, Syrie, Iran, Russie, Irak, Chine, USA, Israël | Lien permanent | |
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La France prévient officiellement qu'elle ne respectera peut-être pas les droits de l'Homme
Pourquoi, la France respectait-elle les Droits de l’Homme, avant les attentats et ni après, du reste ?
Libertés fondamentales
La France prévient officiellement qu’elle ne respectera peut-être pas les droits de l’Homme
Agnès Rousseaux 27 novembre 2015
La France vient d’informer le Conseil de l’Europe qu’elle pourra, à cause de l’état d’urgence, déroger à certains droits garantis par la Convention européenne des droits de l’homme et des libertés fondamentales. Tout pays signataire de cette convention peut demander une dérogation à l’application de celle-ci, pour une durée limitée, en cas de guerre mais aussi de « danger public menaçant la vie de la nation ». Et cela dans la « stricte mesure où la situation l’exige », précise l’article 15 de la convention. Situation ironique : la France annonce qu’elle va enfreindre des droits et libertés fondamentales – et l’officialise – pour combattre ceux qui menacent les droits et libertés...
En vertu de cet article 15 de la convention, les autorités françaises ont donc envoyé un courrier le 24 novembre pour avertir le Secrétariat général du Conseil de l’Europe que, dans le cadre de l’état d’urgence instauré suite aux attentats terroristes, certaines mesures appliquées « sont susceptibles d’impliquer une dérogation » à des droits garantis par la Convention européenne des droits de l’homme. Signée par les 47 membres du Conseil de l’Europe et basée sur la Déclaration universelle des Droits de l’Homme de 1948, cette convention protège les libertés fondamentales : la liberté de pensée, de conscience et de religion, la liberté d’expression, le respect de la vie privée, la liberté de réunion et d’association, le droit à un procès équitable... Certains droits ne peuvent pas faire l’objet de dérogations, comme le droit à la vie, l’interdiction de la torture et de l’esclavage [1]. Mais les autres, donc, peuvent être exceptionnellement mis entre parenthèses.
Pourquoi une telle demande officielle ? Cette procédure permet notamment à la France de se prémunir d’éventuels futurs procès devant la Cour européenne des Droits de l’homme (CEDH), qui contrôle et veille à la bonne application de la convention. Cette situation n’est pas inédite. D’autres pays européens ont fait valoir récemment cette dérogation, comme la Grande-Bretagne en 2005 lors des attentats de Londres. La demande officielle doit être suffisamment argumentée : des « attentats terroristes de grande ampleur », explique la France, et une « menace terroriste [qui] revêt un caractère durable, au vu des indications des services de renseignement et du contexte international », appellent à de telles mesures (lire le courrier).
Reste que des abus concernant l’application de ces mesures commencent à faire réagir (lire nos articles : L’état d’urgence face au terrorisme tourne à la répression des mouvements sociaux et Perquisition administrative chez des maraîchers bio : « Ils s’attendaient à quoi, des légumes piégés ? »). Les changements apportés au texte de 1955 sur l’état d’urgence laissent craindre également des dérives : si le texte initial faisait état de restriction des libertés des personnes ayant une activité « dangereuse pour la sécurité et l’ordre publics », le texte modifié autorise désormais des perquisitions et assignations à résidence en tenant compte du seul « comportement » suspect [2].
L’ONG Human Rights Watch fait l’inventaire de tous les droits garantis par la convention européenne que menace la nouvelle loi. L’état d’urgence voté en France pour trois mois permet d’enfreindre certains libertés fondamentales, telles la liberté de circulation, la liberté d’expression ou le respect de la vie privée : assignation à résidence, perquisitions sans autorisation judiciaire, copie de données informatiques,... « Le gouvernement doit s’assurer que toute mesure prise en vertu de la loi soit strictement proportionnelle à l’objectif poursuivi, alerte Human Rights Watch. Le gouvernement doit également veiller à ne pas appliquer ces pouvoirs de manière discriminatoire et à ne pas stigmatiser en fonction d’une appartenance ethnique, religieuse ou sociale particulière. » La volonté de la France de se prémunir de tout futur recours auprès des instances européennes de la part de potentielles victimes d’abus ou de personnes ayant subi des restrictions de libertés injustifiées ne semble pas être un bon signal.
02:04 Publié dans Actualité, politique ou géopolitique, Economie, Attentats, Terrorisme, Europe, Euro, CEDH, Franc-Maçonnerie & Jésuites Lucifériens, France/Israël/Elections, Rockfeller, Rothschild, Mafia Kazhar, Syrie, Iran, Russie, Irak, Chine, USA, Israël | Lien permanent | |
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