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28/10/2015

Yves de Kerdrel : « Ces guignols qui font de l'écologie une morale » (Vidéo)

Encore un climato/lucide avec Yves de Kerdrel, rédacteur en chef de Valeurs actuelles qui dénonce l'arnaque de l'écologie et la nouvelle religion réchauffiste, qui est encore une belle escroquerie mise en place par les lobbies pour en tirer un grand profit !

Si en plus le pédophile, sioniste, Daniel Cohn Bendit s'y met aussi, nous avons compris pour qui travaille tout ce beau monde !

Pour la petite histoire et pour avoir dit la vérité, Philippe Verdier, Monsieur Météo de France 2 a été convoqué pour procéder à son licenciement par France 2, chaîne à désormais boycotter comme toutes les autres qui passent leur temps à nous perfuser leurs mensonges et leur propagande.


Procédure de licenciement engagée contre Philippe Verdier

Cette semaine, Valeurs actuelles traite de la grande arnaque de l'écologie. La conférence mondiale sur le climat, organisée par la France, place sur le devant de la scène politique tous ces "khmers verts", profiteurs et idiots utiles qui ont pris l’écologie comme prétexte. Découvrez l’édito d'Yves de Kerdrel, rédacteur en chef de Valeurs actuelles.

http://www.valeursactuelles.com/sites/default/files/styles/va-article/public/valeurs4114_001.jpg?itok=5u-A2Wgz

 

 

 

25/10/2015

Propagande climatique : bientôt l'apocalypse, c'est sûr... sauf avec notre pognon, heureusement

Propagande climatique : bientôt l'apocalypse, c'est sûr... sauf avec notre pognon, heureusement

COP21 : le climat va bien, merci pour lui !

István E. Markó
Contrepoints
ven., 09 oct. 2015 06:13 UTC

 

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Comment le GIEC a organisé un gigantesque transfert d'argent de tous les citoyens vers quelques bénéficiaires...

À l'aube de la Conférence internationale sur le climat de Paris (COP21), les déclarations alarmistes se succèdent à un rythme effréné, entretenu par la colossale machine de propagande de l'ONU. Rien ne nous est épargné, ni la sècheresse et les feux de forêts en Californie, ni le dernier ouragan traversant l'Asie. Tout événement météorologique pouvant inquiéter un tant soit peu le public est immédiatement relié au changement climatique anthropique.


Commentaire : Ah oui, à propos de la sécheresse californienne... : Selon la NOAA, la sécheresse en Californie n'est pas due au « réchauffement climatique »


Dans une récente interview sur La Première (RTBF), le vice-président du GIEC (Groupe Intergouvernemental pour l'Étude du Climat), le Professeur Jean-Pascal van Ypersele, n'a pas hésité à nous promettre l'apocalypse finale : des sécheresses et des pluies extrêmement intenses, des récoltes de céréales en chute libre, une montée catastrophique du niveau des océans... et de blâmer le CO2 produit par l'homme. Et d'exiger que l'on arrive à une décarbonisation totale de notre société d'ici 2100 ! Sinon, la température de la Terre augmentera de plus de 2°C, niveau au-delà duquel une fin atroce nous attend.

Cette déclaration n'émeut pas notre vice-président qui poursuit : « Si on continue le train de développement actuel sans rien modifier, nous arriverons probablement à +4 ou + 5° de plus et ce sera catastrophique pour bien des populations ». De nouveau, il semble ignorer (?) que de nombreuses publications scientifiques récentes revoient à la baisse l'impact du réchauffement dû au doublement de la quantité de CO2 atmosphérique. Le Pr Jean Jouzel, également vice-président du GIEC, affirmait récemment que le réchauffement observé de la Terre était de l'ordre de 0,01°C par an ! D'ici 2100, la Terre verrait sa température augmenter de 0,85°C si rien ne changeait. On est loin, très loin, des +2°C politiques et des +4 à +5°C extravagants issus des modélisations les plus folles.

La non-fiabilité des modèles climatiques a été clairement dénoncée par Hans von Storch, l'un des plus éminents climatologues allemands, qui n'hésite pas à déclarer : « Les modèles climatiques sont faux à plus de 98% ! » Et pourtant, ce sont les résultats erronés de ces modèles non fiables qui servent de base de travail aux décideurs politiques.


Commentaire : A voir l'état de la science moderne et l'état de corruption généralisé des esprits, est-ce vraiment étonnant ? :

- Corruption de la science : la falsification des évaluations par les pairs
- Corruption de la science : collusions entre chercheurs et industriels
- Corruption de la science : John Ioannidis dénonce l'inutilité de nombreux travaux scientifiques


Le coupable est, évidemment, le CO2 émis par l'homme, et uniquement celui-là. Rappelons qu'il n'y a aucune preuve scientifique de l'influence du CO2 sur la température du globe. Au contraire, toutes les études indiquent que, durant les 400.000 dernières années, la variation de la concentration en CO2 atmosphérique a toujours suivi les fluctuations de la température, jamais l'inverse. Tandis que la quantité de CO2 émise par l'homme ne cesse de croître depuis l'ère industrielle, un refroidissement climatique important a été observé de 1942 à 1975, menant certains à prédire l'imminence d'un nouvel Âge Glaciaire. Depuis presque 19 ans, la température moyenne de la Terre n'a pas augmenté d'un iota. Durant cette période, 1/3 du CO2 produit par l'homme a été émis dans l'atmosphère. Si le CO2 avait un effet quelconque sur la température, nous l'aurions déjà observé, non ?


Commentaire : Tremblons face au méchant CO2 ! :

- Propagande climatique : Pauvre CO2 !
- Réguler le CO2 est une pure absurdité selon un physicien allemand
- Petite fabrique d'un rechauffement climatique


Toutes les prédictions effectuées par les climatologues modélisateurs se sont toujours révélées erronées. Toutes, sans exception !

Le nombre et la violence des ouragans a diminué au lieu d'augmenter, les glaces en Antarctique ne cessent de croître depuis près de 30 ans, la banquise arctique qui devait disparaître depuis 2008 est toujours là et elle récupère admirablement, la vitesse de montée des océans a fortement diminué, les ours polaires qui étaient en voie de disparition ont vu leur population multipliée par 7 depuis 1970 et la planète a verdi de 21%, en partie grâce à la croissance du taux de CO2 atmosphérique.

Au contraire des affirmations du Pr van Ypersele : « Dès 1° de plus, la production de céréales comme le blé ou le riz est menacée », de nombreuses études effectuées en champ et sous serre montrent que le blé et le riz prospèrent lorsque le taux de CO2 dans l'atmosphère et la température augmentent (jusqu'à 600 ppmv et +3°C) ! Signalons qu'il existe aussi de multiples variétés de blé et de riz résistantes à ce type de stress.

Quant aux énergies renouvelables, prônées par le vice-président du GIEC, elles ne sont pas compétitives avec les énergies fossiles et nucléaires. Sans les gigantesques subventions étatiques payées par les contribuables, ces énergies intermittentes au coût exorbitant n'auraient jamais vu le jour. Pourtant, il s'obstine à recommander ces solutions inopérantes qui, non seulement appauvrissent la population (plus d'un million d'Allemands sont incapables de payer leurs factures énergétiques) mais risquent de renvoyer à la pauvreté un nombre croissant de nos frères humains. Le scandale du transfert des taxes des pauvres vers les plus nantis, qui peuvent se payer des panneaux solaires et des Tesla S, des compagnies électriques qui s'enrichissent grâce aux certificats verts, et des banques qui prennent au passage leur obole, n'a que trop duré. Le GIEC a organisé, avec la complicité de certains politiques, un gigantesque transfert d'argent de tous les citoyens vers quelques heureux bénéficiaires. C'est une honte éthique... Le pire est que cela a été orchestré par des partis de gauche.

Qu'il est triste que la climatologie, cette jeune et belle science, soit ainsi dévoyée à des visées politiciennes et au dogmatisme idéologique.

 

21/10/2015

Réchauffement climatique : Donald Trump ose la blague la plus cliché des climatosceptiques

Donald Trump, le candidat aux prochaines élections présidentielles aux USA fait partie semblerait-il des climato-lucides qui ne croît pas à la fable du réchauffement climatique et qui le fait savoir sur son compte Tweeter !

Réchauffement climatique : Donald Trump ose la blague la plus cliché des climatosceptiques

Rédaction Le HuffPost

Publication: 19/10/2015 17h24 CEST Mis à jour: 19/10/2015 18h09 CEST

RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE

 

ENVIRONNEMENT - C'est une réflexion classique des climatosceptiques, laissant entendre qu'ils aimeraient que le changement climatique existe vraiment dès qu'il commence à faire froid. Habitué des sorties remarquées sur cette thématique (mais aussi sur l'immigration et bien d'autres sujets), Donald Trump s'en est encore donné à cœur joie ce lundi.

Présent à New York, selon la localisation de son compte Twitter, le candidat controversé à l'investiture républicaine en vue des élections présidentielles de 2016 a visiblement souffert de la première vague de froid de l'année qui s'est abattue le week-end dernier sur la Grosse Pomme, avec des températures descendant jusqu'à 4°C la nuit. Et il l'a fait savoir:

"Il fait vraiment froid dehors, ils disent que c'est un refroidissement majeur, plusieurs semaines à l'avance. Eh bien, on pourrait utiliser une bonne grosse dose de réchauffement climatique!" a tweeté Donald Trump dimanche matin. Dans le passé, il a mis plusieurs fois en cause l'existence d'un réchauffement causé par l'Homme, estimant par exemple que c'était un "concept inventé par les Chinois".

Fin septembre, le milliardaire a encore affirmé qu'il n'était pas d'accord avec le pape François, qui s'était exprimé sur le sujet en pointant la responsabilité humaine . "Je ne crois pas au changement climatique", a expliqué Donald Trump, selon lequel "c'est juste de la météo". "Ça a toujours été comme ça, le temps change, il y a des tempêtes, de la pluie, et des belles journées".

A New York samedi, lors du match de base-ball oppodzny les Mets aux Chicago Cubs, on pouvait voir certains joueurs porter une cagoule pour se protéger du froid, et les spectateurs semblaient également bien couverts. Peut-être que Donald Trump aurait dû y penser:

rechauffement climatique

rechauffement climatique

 

 

20/10/2015

Philippe Verdier sur la touche : la chasse aux « climatosceptiques » est ouverte

La chasse aux sorcières est ouverte par les adeptes de la nouvelle religion du Nouvel Ordre Mondial dont le principal credo est celui de réchauffement climatique et qui a pour mission d’enrichir les Banskters pour leur permettre de perpétuer leurs guerres génocidaires dans le monde, contre ceux qui dénoncent leurs escroqueries !

Philippe Verdier sur la touche : la chasse aux « climatosceptiques » est ouverte

« Il devient impossible dans notre pays d’exposer un avis ouvert sur cette question sans être insulté ou stigmatisé ».

Philippe Verdier, droit de réponse à Rue89, 14/10/2015

France - media

Suite à la parution de son livre, Climat investigation (Ring, 2015), le monsieur météo de France 2 a été la cible de vives critiques avant d’être mis en congé forcé par la chaîne publique.

C’est Arrêt sur images qui a ouvert le bal de la chasse aux sceptiques, dénonçant un « discours promotionnel confus… et un éditeur proche de l’extrême-droite ». Aussitôt, Rue89 est entré dans la danse, proposant carrément d’arrêter d’inviter les « climatosceptiques » dans les médias !

Considérant que « leurs arguments ont été démontés définitivement », le journaliste Thibaut Schepman juge qu’on se croirait « revenus 30 ans en arrière » avec le discours de ceux qu’il estime « ultra-minoritaires » dans la communauté scientifique. Pour lui, donner la parole à ces gens revient à permettre de « confronter ces thèses farfelues à des vérités scientifiques », mais surtout « contribue à donner l’illusion du doute, ce qui est exactement la stratégie des lobbies sceptiques ».

Pire : l’auteur reproche notamment à Marianne, au Figaro et à Valeurs Actuelles de simplement leur avoir donné la parole. En l’occurrence, il fait référence à Philippe Verdier, chef du service météo de France 2 qui assure actuellement la promotion de son dernier livre. Pour Thibaut Schepman, sans doute lui-même spécialiste du climat à ses heures perdues, Verdier « avance des arguments d’une nullité évidente ».

Et le journaliste de moquer « cet étrange complotiste, amateur de double discours et auteur d’un livre publié par une maison d’édition proche de l’extrême droite ». « À Rue89, nous avons décidé de ne pas contribuer à cette drôle de représentation », conclut-il.

Dans un droit de réponse publié sur le site des éditions Ring et sur Rue89, Philippe Verdier pointe une « accusation diffamatoire » et se défend d’être un « climatosceptique ». Simplement, celui-ci explique montrer aussi « les aspects positifs du réchauffement en France » car « notre pays fait partie des rares à pouvoir s’adapter rapidement aux risques du climat ».

« L’enquête Climat Investigation restaure au contraire les avis différents du discours officiel aux mains des États », clame-t-il avant de juger qu’« interdire les sceptiques de s’exprimer est une atteinte au débat et à la liberté. Beaucoup de scientifiques hors du GIEC ont de nombreuses découvertes et de révélations à nous apporter. »

« Je ne suis donc pas climatosceptique mais sceptique concernant les propos des protagonistes de la COP 21 qui s’expriment exagérément sur le climat », assure le monsieur météo de France 2. Selon lui, « il devient impossible dans notre pays d’exposer un avis ouvert sur cette question sans être insulté ou stigmatisé ».

Concernant sa maison d’éditions, Ring, accusée d’être « proche de l’extrême-droite », Verdier rappelle que « le directeur littéraire de Ring, Raphaël Sorin, ancien directeur littéraire de Flammarion et Fayard, est une figure de la gauche et éditeur historique de Michel Houellebecq, Charles Bukowski, Philippe K. Dick, et William Burroughs ».

« Mon confrère Louis Bodin fera prochainement paraître son livre chez Albin Michel, le même éditeur que Éric Zemmour ou Philippe de Villiers. Rue89 posera-t-elle la question de savoir si l’éditeur défend les mêmes idées sur la société française ? », interroge-t-il pertinemment. Et ce dernier de conclure son droit de réponse en prévenant que « si ce genre d’amalgames devait se répéter, mon éditeur et moi-même serions contraints d’engager des poursuites judiciaires contre cette volonté de nuire manifeste, dont certains journalistes ont fait profession ».

En attendant, son livre Climat investigation est en « rupture de stock », ce qui a, sans doute, le don d’agacer les « climatocertains ». Du côté de France 2 cependant, on ne prend pas cette affaire à la légère. Comme l’a annoncé puremedias.com, la chaîne a demandé à M. Verdier de retirer sur Twitter toute référence à son employeur. Sa biographie s’est ainsi transformée en :

«Compte perso. Météo à TV en France (je ne peux pas en dire davantage) et auteur de ‘Climat Investigation’ chez Ring. »

Aussi, ce dernier n’a pas assuré les derniers bulletins météo à l’antenne. Et pour cause : il a été mis en « congés forcés » jusqu’au 26 octobre. Pas sûr que les téléspectateurs pourront le retrouver un jour à l’écran, du moins pas sur le service public, où l’on rappelle que le directeur de cabinet de Delphine Ernotte n’est autre que Stéphane Sitbon-Gomez, ancien bras droit de Cécile Duflot à EELV

En attendant, cette triste histoire montre jusqu’où sont tombés la liberté d’expression et le respect de l’opinion adverse au pays de Voltaire.

OJIM |16 octobre 2015

Source: Ojim.fr

 

17/10/2015

Un pas de plus vers la dictature climatique

Nous vous laissons apprécier ce qui nous attend avec la cour de justice internationale climatique qui serait créée à l'initiative par la Grande Bretagne ( l'une des première places financières au monde) !

Qu'est-ce que ça signifie ? Tout simplement que nier le réchauffement climatique d'origine humaine va devenir illégal et passible de poursuites.

Un pas de plus vers la dictature climatique
Jacques Henry
dim., 11 oct. 2015 04:25 UTC

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Grâce à la sagacité exemplaire de la journaliste canadienne Donna Laframboise qu'il faut remercier ici, on découvre que le totalitarisme climatique planétaire se met progressivement en place sous l'égide des Nations-Unies. L'information a été reprise ce 11 octobre 2015 par The Telegraph, un quotidien britannique connu pour ses opinions de gauche modérée. Il s'agit d'un fait révélateur de ce qui attend la population de la planète entière (voir le lien).

À la fin du mois de septembre dernier, s'est tenue dans les locaux de la Cour Suprême britannique une conférence sponsorisée par le King's College, le gouvernement britannique, la Cour Suprême britannique, l'Asia Development Bank et l'UNEP (United-Nations Environment Program). Ce dernier organisme onusien est également le principal pourvoyeur de fonds de l'IPCC. Cette conférence réunissait des juges, des professeurs universitaires de droit, des avocats et naturellement, bien que jamais l'identité et la provenance des participants ne furent révélées, des représentants mandatés par la famille royale britannique. Il s'agissait de mettre en place une cour de justice internationale climatique.

Qu'est-ce que ça signifie ? Tout simplement que nier le réchauffement climatique d'origine humaine va devenir illégal et passible de poursuites. En d'autres termes puisqu'un accord global sur le climat est loin d'être acquis lors de la prochaine réunion COP21 à Paris, il faudra donc légiférer à l'échelle mondiale et ce sera l'affaire des Nations-Unies. Ça rappelle tout simplement la mise en place des tribunaux de l'Inquisition mis en place par la papauté. Ce sera, selon les informations recueillies par cette journaliste canadienne à la Cour Internationale de Justice de statuer sur les cas de déni climatique individuels, de la part de gouvernements ou d'entreprises industrielles et/ou commerciales.

Sans reprendre mots pour mots l'article du Telegraph, on peut imaginer que les Chinois et les Indiens vont doucement rigoler à Paris quand on leur demandera les larmes aux yeux de réduire leurs émissions de carbone alors que l'essentiel de l'énergie électrique produite par ces pays repose sur le charbon et le pétrole. Il en est de même du Japon qui a timidement redémarré un seul réacteur nucléaire depuis l'arrêt total de la production électronucléaire du pays après le grand tremblement de terre du 11 mars 2011. Idem pour l'Australie, le Canada, le Brésil et encore plus les USA qui n'accepteront jamais de sacrifier leur industrie pour satisfaire les lubies de l'IPCC et de l'UNEP. Le COP21 ne collectera que des déclarations de bonnes intentions qui ne seront jamais suivies d'effet, voilà quel en sera le résultat.

On comprend donc mieux qu'instaurer une loi climatique mondiale coercitive ne soit plus que le seul moyen restant pour imposer les vues totalitaires du 0,01 % de la planète. C'est un grand pas vers le retour aux heures sombres du nazisme et du totalitarisme bolchévique qu'on croyait disparues à jamais ...

« Bienvenue dans un monde meilleur », tel était le slogan en exergue des émissions de Nicolas Hulot sponsorisées par Rhône-Poulenc ...

Source : http://www.telegraph.co.uk/comment/11924776/Judges-plan-to-outlaw-climate-change-denial.html et http://nofrakkingconsensus.com (illustration)


Commentaire : Nous n'avons hélas jamais cru à la disparition d'un quelconque totalitarisme ; celui-ci change de forme, devient plus subtil ; il s'est modernisé. Prenons conscience de l'énormité de la situation : un groupe de personne voulant imposer par un texte de loi ce qu'il est interdit de dire, et autoriser, par là-même, ce qu'il convient de penser. Quand on y réfléchit un tant soi peu, avec le bon sens et le cœur qu'on s'attendrait à trouver chez un être humain normal, c'est insensé. Ce manque de conformité au bon sens et à la raison nous fait suspecter encore une fois que de telles idées ne peuvent être issu que d'un esprit malade.

Et nous n'abordons même pas encore le problème de la validité scientifique justifiant l'élaboration d'un tel délire :

- Propagande climatique : du biais des mesures aux biais cognitifs ; torturons les chiffres, il finiront par tout avouer !
- La nouvelle religion du « réchauffement climatique »
- Un petit goût de fascisme climatique